Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 19:35

Efterord : Arthur

- Je peux entrer, Tutur ?

- Bien sûr, Tata Elkie. Je viens de finir mes devoirs. Merci d’être venue pour mon anniversaire. Cela me fait tellement plaisir.

- Quinze ans déjà, comme le temps passe vite maintenant… tu n’es plus tout à fait un enfant et pas encore un homme…Asseyons-nous sur ton lit que tu me racontes tes dernières aventures. Oups… c’est quoi ce slip qui traîne. Et en plus ce n’est pas très propre dedans. Maman ne va pas être contente, dépêche-toi d’aller le mettre au linge sale !

Ce que fit immédiatement Arthur, les joues un peu rougissantes.

- Alors cela va comment à l’école, raconte-moi…

- J’ai des bonnes notes et Maman et Papa sont fiers de mon travail. Je suis toujours dans les cinq premiers, tu sais, Tata.

- C’est très bien mon Tutur. Au fait, quelle heure est-il?

- Dix-neuf heures cinq.

- Et tu n’as pas oublié quelque chose ?

- Dix-neuf heures… Oh ! … Oh non Tata, c’est le jour de mon anniversaire. Papa sera certainement d’accord pour que je mette en pyjama plus tard…

- Oui mais Maman non. Tu sais qu’elle ne transige pas sur les règles à la maison.

- S’il te plait Tata, si tu dis oui, Maman n’osera pas aller contre ce que tu as décidé. Elle te respecte trop.

- Mais non, je suis d’accord avec elle. Il y a de très bonnes habitudes. Et celle que les petits garçons soient prêt à se coucher en est une très bonne.

- Mais j’ai quinze ans, Tata !

- Oui comme je disais tu n’es pas encore complètement adulte. Mais ne fait pas cette tête, je t’ai apporté plusieurs cadeaux et je t’autorise à en ouvrir un en avance. Attends-moi le temps que j’aille à ma valise…

Elke quitte un moment la chambre pour revenir avec un paquet cadeau.

- Tatata... Allez ouvre-le… Oui c’est un nouveau pyjama que j’ai fait faire spécialement pour toi…

- Mais Tata, ce n’est pas mon âge avec toute ses girafes et lions dessus !

- Crois-tu, à quinze ans on n’est pas totalement grand, et il est bon que l’on se le rappelle en permanence. Ce pyjama sert aussi à ça, à rappeler aux garçons qu’ils doivent rester humbles et continuer à bien obéir à leurs parents jusqu’à ce qu’ils puissent voler de leurs propres ailes. Allez passe-le… Tu ne veux quand même pas vexer ta veille tante…

Arthur obéit à contrecœur et se déshabille, garde son slip et passe l’humiliant pyjama. 

- Viens te faire voir… Parfait, ta maman ne s’est pas trompée dans tes dimensions… Mais il y a quelque chose que ne va pas, justement liée à ton âge. Tes testicules sont déjà tombés, non ?

- Mes testicules… ?!?

- Tu sais bien quand les petits garçons naissent, les boules sont cachées et elles apparaissent à l’adolescence. Et toi tu en es où ?

- Non, pas de problème Tata, tout y est.

- Humm, il peut y avoir un problème. Laisse-moi t’examiner.

Et Elke sans préavis baisse le pantalon de pyjama et le slip pour dégager le service trois pièces, finalement assez semblable dans la modestie à celui du père – une sorte de marque de famille en quelque sorte. Elle porte ses doigts sur les boules pendantes et commence à les palper. Arthur est rouge pivoine et veut de ses mains l’empêcher de faire.

- Laisse tes mains où elles sont mon garçon, il vaut mieux… Bon c’est bien ce que je pensais, les testicules sont tombés et tout va bien. Te voilà presque un homme, Arthur. Rhabille-toi.

Il obéit avec empressement. 

- Tu sais que les boules sont pleines de spermatozoïdes pour faire le bébé ?

- Bien sûr Tata et depuis longtemps !

- Et que là tu les empêche de respirer en les maintenant tout le temps serrées dans ton slip. Il ne leurs faut pas trop de chaleur pour le système fonctionne bien.

- Non je ne savais pas…

- Donc maintenant que tu sais, tu comprendras donc qu’il est important pour que tu puisses avoir des enfants plus tard de les laisser libres la nuit. Allez enlève donc-moi ton slip tout de suite.

- Mais tata !

- Tss, tss, obéis. Tu ne seras pas le premier petit garçon que je verrai tout nu.

Il fait ce qu’elle demande.

- C’est bien mieux pour tes petites boules, mon chou. Rassis-toi à mes côtés. Alors elle est belle ta petite copine ?

- J’en… j’en ai pas.

- Tu veux dire que tu en n’as plus pour le moment ?

- Non j’en ai jamais eu, tata.

- Aucune ? Humm. Bon alors la femme de tes rêves tu l’imagines comment ?

- Belle et décidée, qui sache à la fois être tendre et forte, au centre de la famille.

- Alors tu as une fille en vue ?

- Oui, je lui ai déclaré ma flamme, mais elle n’a pas voulu de moi. Elle est avec un autre de la classe, maintenant.

- Et cela te fait mal au cœur ?

- Oui, je me sens si vexé et nul.

- Tu crois que ce n’était pas la bonne fille et qu’avec une autre cela ira mieux ?

- Non, tu sais, les filles m’intimident tata. Là j’avais mis des mois à prendre assez de courage pour aller lui parler, et patatras, elle m’a rejeté dès que j’ai commencé à parler. La honte !

- Pas facile si les filles te font peur. Comment comptes-tu rencontrer alors ta femme de tes rêves, si tu n’arrives pas à les draguer ?

- J’aimerais que cela soit tout cuit, que la fille me choisisse directement, sans que j’ai besoin de risquer une déception.

- Tu sais c’est comme cela que ton papa a rencontré ta maman ?

- Oui. C’est ce que je voudrais dans mes rêves.

- Et sais-tu pourquoi ta maman a choisi ton papa pour se marier, plutôt qu’un autre homme ?

- Parce qu’ils étaient amoureux.

- Non, cela vient après cela. 

- Alors je ne sais pas…

- Parce que ta mère voulait un mari et un père tendre et attentif aux besoins de sa future famille. Il faut comprendre que dans la vie, il y a deux types d’hommes. Ceux qui sont beaux, forts ou puissants, et qu’y n’ont aucun mal à draguer les filles qu’ils veulent et finalement obtiennent. Et ceux comme toi ou ton père, timides, ayant peu de choses à offrir à une fille d’autres que leur gentillesse et leur attention. Et pour cela heureusement Dieu, dans sa bonté, a créé une catégorie de femme qui leurs correspond et qui aime ce type d’homme comme ta mère. Je suis sûr que tu me comprends.

- Oui, un peu, mais pas totalement.

- Tu as quinze ans maintenant et il est temps que tu apprennes certaines choses. Mais avant laisse-moi entendre ce que tu as compris de toi-même. Réponds simplement à mes questions.

- C’est qui le chef à la maison ?

- Maman

- Pourquoi ?

- Parce qu’il vaut mieux obéir à ce qu’elle demande sans discussion ou elle nous punit.

- Elle te punit toi ?

- Oui quand je suis désobéissant ou que j’ai fait une connerie… Elle me prive d’une activité que j’aime bien ou me dit de rester dans ma chambre.

- Et pour les plus grosses bêtises ?

- Elle… elle me donne la fessée couché sur ses genoux.

- De quand date ta dernière fessée cul nu ?

- Il y a trois semaines, j’étais sorti sans son autorisation.

- Tu as eu honte ?

- Oui

- Tu as eu mal ?

- Oui

- Tu recommenceras ?

- Oh non, Tata.

- Et quand elle est contente de toi, qu’est-ce qu’elle fait ?

- Elle me fait un gros câlin au moment du coucher. . J’adore cela.

- Tu te masturbes combien de fois par jour en moyenne ?

- Non, je…

- Je n’aime pas les menteurs. Réponds-moi en me regardant dans les yeux. Je saurai si tu me mens…

- Tous les… matins et tous les soirs.

- Plusieurs fois ?

- Parfois.

- Ta maman le sait ?

- Non, ne lui en parles pas s’il te plait, tata.

- Parlons de ton père… il est puni lui aussi quand maman n’est pas contente ?

- Je crois que oui. Ce n’est pas bon quand elle lui fait les gros yeux. Cela va dire que maman va le punir.

- Comment le punit-elle ?

- Ce n’est pas comme quand elle me donne la fessée où papa est là pour regarder. Ils s’isolent pour la punition dans leur chambre qui est fermée à clé. Il y a aussi une pièce à côté de la chaufferie où je n’ai pas le droit d’aller. Parfois j’entends papa crier. D’autres fois seulement des bruits sourds. Souvent le lendemain matin, papa marche bizarrement.

- D’après toi, il se passe quoi quand ils s’isolent pour la punition de ton père ? Tu n’as jamais eu envie de savoir ?

- Oh si mais c’est trop dangereux. Et si maman me surprenait à espionner aux portes ? Je crois qu’elle lui donne une espèce de grosse fessée pour adulte. 

- Tu as déjà vu ton papa tout nu ?

- La plupart du temps, il évite que je le vois. Mais de temps en temps, je le surprends au passage sans qu’il sache que je l’ai vu. Dis, tata, c’est quoi la ceinture en métal qu’il porte autour de la taille et sur le zizi ?

- Qu’est-ce que tu crois, toi ?

- Que… que cela l’empêche de jouer avec son zizi sans l’accord de maman. Comme cela il garde tout pour maman quand ils font l’amour…

- Tu n’as pas vérifié sur internet ?

- Non je ne peux pas. Maman m’a interdit tout site adulte ou sexuel depuis que je suis petit. Et le contrôle parental est encore actif sur mon compte. J’ai essayé de négocier pour que Maman me l’enlève. Echec. Justine, elle, a droit à tout ! Ce n’est pas juste !

- Non cela me parait sage de la part de ta mère. Justine est plus grande en âge que toi et aussi en sagesse.

- Donc toi aussi quand tu seras adulte que tu auras une copine, tu voudrais que ton zizi ne soit que pour elle et qu’elle en garde la clé ?

- Oh oui ! J’aime beaucoup l’idée. Je trouve cela très beau, de se donner entièrement à une femme.

- Mais cela ne te manquerait pas, les masturbations ?

- Non, puisque nous ferions l’amour souvent…

- Que ta naïveté juvénile est touchante, mon chou. Ce que tu appelles un accessoire de fidélité est en fait une cage de chasteté. Non seulement cette contrainte t’empêche de te masturber, mais elle t’empêche de passer en érection tout court. Tu la portes tout le temps et partout. Tu en sors juste de temps en temps pour un nettoyage et les jours de Fête pour enfin éjaculer, la plupart de temps sans plaisir ou de façon très humiliante. 

- Cela fait mal ?

- Les soumis encagés disent que oui, surtout les nuits.

- Attends je ne comprends pas, c’est quoi des soumis ?

- Des hommes comme ton père qui ont besoin, comment as-tu dit, de se donner entièrement à une femme. Ils deviennent en quelques sortes la propriété de la femme, comme ton papa est devenu la propriété de ta maman, il y a des années. On appelle cela la soumission. Et cela ne marche que si en face, la femme accepte de devenir propriétaire de l’homme qui s’offre ainsi. On l’appelle alors une dominante ou une maîtresse. Cela fonctionne entre eux comme avec toi et ta mère. Ta maman ordonne et toi tu obéis sans discuter ou tu es puni. Et bien entre la femme dominante et l’homme soumis, c’est la même chose et ça tu le vois tous les jours chez tes parents. Sauf que les punitions sont d’adultes, pas de fessées, mais le fouet, la canne de rotin et beaucoup d’autres moyens de punir un homme que tu es trop jeune pour connaître. Il y a aussi une façon de faire l’amour dans ce type de relation, mais là aussi tes oreilles chastes ne doivent pas encore l’entendre.

- Je me doutais un peu que cela fonctionnait comme cela, mais je ne comprends pas à quoi sert ce que tu appelles cage de chasteté.

- Tu vas comprendre. Ta maman te demande de lui obéir et tu sais que tu seras puni si tu n’obéis pas. C’est naturel chez toi, parce que tu ne connais pas d’autre règle depuis que tu es tout petit. L’homme soumis qui se met avec une femme dominante, n’a pas cette chance. Il faut qu’il apprenne la règle et qu’il comprenne que toute désobéissance sera douloureusement punie. Il ne la connait pas lui depuis sa naissance. Alors la femme dominante va lui apprendre la règle qu’elle veut qu’il suit sans rechigner. Un peu comme on apprend un jeune chiot, à obéir, à rester au pied, à se coucher. C’est pour cela qu’on appelle cela le dressage. Et pour les hommes et les jeunes garçons la première chose avec laquelle il joue dès que  les femmes ont le dos tourné, c’est leur zizi. Donc la cage de chasteté empêche cela, mais ça je vois que tu l’as déjà compris, avec le symbole du transfert de propriété. Mais cet accessoire a deux autres effets. Il est humiliant et contraignant à porter et cela rappelle tout le temps à l’homme de rester humble. Et il interdit toute éjaculation sans l’autorisation de la femme et un homme empêché de jouir est plus tendre et attentif aux besoins de la femme, état qu’il perd immédiatement dès que l’on le laisse cracher du zizi. Donc la plupart des femmes dominantes gardent leur homme encagé très longtemps sans possibilité d’éjaculation.  Classique chez tes parents, un mois d’affilée.

- Mais un mois ! Comment papa peut-il tenir autant ?

- Il n’a tout simplement pas le choix, c’est maman qui décide et cela l’oblige à rester bien obéissant en attendant.

- Oh, quand même maman exagère…

Et la conversation prend fin quand Justine passe une tête dans la chambre.

- Dis tata, tu veux bien aller surveiller Luc dans son bain qu’il se lave bien partout. Je vais mettre la table. Maman ne va tarder à rentrer. Je ne sais pas ce que papa a fait mais il a pris du retard dans la préparation.

Dans la baignoire, Luc joue plutôt que de se laver comme l’a deviné sa sœur. Il accueille l’arrivée de sa tata avec joie et éclats de rire. Il y a tant de vie dans ce petit bout de cinq ans qui s’amuse à jouer au pistolet avec son zizi en visant Elke. « Pan tu es morte, tata ». Elke le laisse se défouler un moment, contemplative devant la vitalité de ce petit garçon. Le zizi la fascine tout particulièrement, sans doute un monstre pour son âge. Presque aussi gros que celui de son grand frère. Une trace indélébile qui démontre que les garçons n’ont pas le même père. Et le père de Luc, Elke le connait elle-aussi très intimement. Le bien membré Lucas. Les chiens ne font pas des chats, Claire a raison là aussi. Elke n’a jamais compris pourquoi Claire a choisi de garder le résultat des œuvres de sa rencontre avec Lucas, le jour du marquage du chihuahua. Et pourquoi le si révélateur prénom Luc ? Elle l’a souvent interrogé, même sous le fouet. Mais Claire garde toujours son secret. Enfant du plaisir physique ? Enfant de la rédemption soumise ? En tout cas, Pierre ne se doute pas qu’il n’est pas le père. Il est même très fier de son si bien monté de fils. Luc ne finira pas soumis comme son demi-frère Arthur et n’aura aucun mal à aligner les conquêtes féminines. Elke de son côté n’a jamais voulu rien dire au père biologique, question de principe. Ne pas récompenser l’homme inélégant. Tata Elkie réprimande légèrement l’enfant pour qu’il se lave enfin. Il se fait prier mais finit par le faire véritablement.

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Le repas touche à sa fin. Tout le monde vient de chanter un joyeux anniversaire à Arthur. Un Arthur qui a passé une partie du repas à bouder car Tata Elkie a offert exactement le même pyjama avec les girafes et les lions aux deux frères. Et si c’est charmant sur un petit garçon de cinq ans, c’est ridicule sur un adolescent de quinze ans. Les femmes en ont ri un moment humiliant pour le garçon. Mais bon c’est oublié maintenant que c’est l’excitation des cadeaux. Et Arthur attend surtout un cadeau, celui qui lui a promis Tata Elkie : son premier ordinateur rien qu’à lui.

- Joyeux anniversaire, Tutur !

Arthur déballe avec empressement le paquet et en extrait son ordinateur portable à lui, en livrée noire, avec une magnifique déesse fantasy tenant en laisse des tigres sur le dessus.

- Ouah, j’aime beaucoup le dessin, tata. Merci.

- Je l’ai fait customisé exprès pour toi. Je pensais que cela te plairait.

Il s’empresse d’allumer SON ordinateur. L’écran d’ouverture des sessions apparait. En fait deux sessions possibles : une nommée sobrement ‘admin’ et une autre au nom d’Arthur. Il clique sur celle à son nom et quelques instants plus tard le bureau apparait très enfantin avec les mêmes lions et girafes que sur son pyjama en fond d’écran. 

- Mais, tata, je suis grand maintenant…

- Tu es grand mais pas encore totalement responsable, m’as dit ta maman. Alors je pense avec ta Maman qu’il vaut mieux pour l’instant te limiter dans l’utilisation de ton ordinateur en t’interdisant certaines fonctionnalités réservées à des garçons plus matures. Quand tu seras plus âgé, ta Maman pourra te déverrouiller au fur et à mesure certaines fonctions une fois que tu sauras les utiliser sagement.

- Tata Elkie a raison, mon Tutur, tu ne nous as pas encore montré à papa et moi, que nous pouvions totalement te faire confiance. Mais maintenant que tu as quinze ans, j’espère que cela changer rapidement et que tu vas devenir un jeune adulte mesuré, mature et responsable. 

- Alors le contrôle parental sur internet…

- Il est toujours là pour le moment… Mais ne fais pas sa tête là : regarde les accessoires que je t’ai pris avec. Souris, tablette de dessin, webcam sans fil,…

- Euh… merci, tata. Et là cet accessoire, il sert à quoi ?

Arthur parle d’un étrange boitier avec une prise USB, recouvert d’un dôme semi-transparent. Il essaye de l’ouvrir mais n’y arrive pas.

- Attends ne va pas le casser déjà, bien que l’on m’a garanti que c’était très solide. C’est un accessoire fantastique, mais t’expliquer son fonctionnement est un peu long. Alors nous en parlerons ensemble, si tu veux, plus tard…

Et Arthur sait que quand tata Elkie a décidé que ce n’est pas le bon moment, ce n’est pas le moment. Il est peu frustré de ne pas savoir, mais il attendra.

- Allez Arthur tu as la permission exceptionnellement de dix heures ce soir pour découvrir ton nouvel ordinateur puisque c’est ton anniversaire aujourd’hui.

- Oh merci maman !

- Mais à dix heures extinction des lumières et tu dors, ou sinon… tu sais ce qu’il t’arrivera.

- Non il n’y aura pas de problème, Maman. Je te le promets.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 19:32

Efterord : Justine 

Six ans plus tard, la porte de la maison s’ouvre sur une Elke, un peu vieillie, que Pierre, toujours chihuahua soumis, est allé chercher à la gare. Les enfants accourent saluer leur « tata Elkie », l’ainée Justine, Arthur et le petit dernier Luc, cinq ans, qui repart aussitôt jouer dans sa chambre. En l’absence de la mère encore au travail, c’est Justine qui accueille l’amie très proche de la famille.

- Bonjour Tata, j’espère que tu as fait bon voyage. Merci d’être venue pour le quinzième anniversaire d’Arthur. D’ailleurs Arthur, je crois que tu n’as pas totalement fini tes devoirs pour demain matin, et avec ton repas d’anniversaire, tu n’auras le temps de terminer. Alors va les finir pour que tu sois libre après. Et papa va en cuisine, il est plus que temps de te mettre à préparer le repas de ce soir, ou sinon maman ne sera pas contente. Nous, nous allons discuter un peu entre femmes.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Tata Elkie et Justine s’installent sur le canapé du salon.

- Alors comment vas-tu, ma Juju ?

- Aussi bien qu’il se peut, Tata.

- Tu en es où avec ton petit ami, Paul ?

- Mieux disons. L’annonce de son redoublement l’an dernier a été un petit choc. Nous nous suivions depuis la maternelle et il a toujours été gentil, attentionné et si amoureux, sans que je le lui rende vraiment en allant butiner à droite et à gauche. Il faisait partie de mon décor depuis si longtemps.

- Il a quel âge maintenant ?

- Il est un peu plus âgé que moi. Il aura dix-sept ans en janvier. Moi j’ai fêté mes seize ans cet été et d’ailleurs merci encore pour ton gros chèque, Tata.

- Alors que fais-tu faire avec Paul, maintenant que vous n’êtes plus dans la même classe ?

- Je me suis aperçu que sa présence rassurante me manquait à la rentrée. Je m’en voulais un peu de ne pas l’avoir plus aidé alors qu’il perdait pied en classe, que je n’avais pas fait assez attention à lui. Tu sais depuis que je suis toute petite je me suis souvent dit qu’il finirait par devenir le père de mes enfants un jour. Et après réflexion de femme quasi adulte, je crois encore qu’il pourrait être encore un papa génial, mais je te rassure on n’en ait pas là. Mais là avec le redoublement, cela a cassé un peu le rêve. D’abord je ne l’ai plus tout le temps à portée de main et de voix. Cela prouve qu’il n’aura pas le niveau pour me suivre dans les études que j’envisage et que je partirai à l’université en décalage avec lui.

- Que voilà de mûres réflexions, mais ne te prend pas trop la tête, ma chérie, tu sais des hommes il en a beaucoup et sans doute des beaucoup mieux.

- C’est pour cela Tata, que tu as épousé Joseph et pas un autre ?

- Touchée ! Tu es en train de devenir adulte plus vite que je ne l’aurais cru. Alors Paul ?

- Sa rentrée a été catastrophique avec l’accumulation de très mauvaises notes à ses contrôles. Il ne m’a rien dit directement mais je l’ai su. Et que mon amoureux, disons historique, perde pied même dans une classe de niveau inférieur, me préoccupe beaucoup. Alors j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé discuter avec sa mère en son absence. Je l’ai trouvée inquiète pour l’avenir de son dernier fils, et ayant du mal à accepter qu’il ne soit pas aussi brillant que ses grands frères et sœur. Ses parents ont essayé les boites de rattrapage scolaire mais sans effet. Je lui ai dit que cette situation me désolait. Elle m’a chaudement remercié de me préoccuper du sort de Paul. Alors je lui ai proposé d’aider Paul à remonter la pente à l’école en lui donnant une motivation renouvelée.

- Qu’as-tu imaginé ?

- Je voulais que ses parents me laissent m’occuper de Paul le dimanche après-midi le temps qu’il faudra, pour mettre en place un nouveau système de motivation fondé sur la récompense et la sanction, mais que ce système ait une chance de marcher, il allait falloir qu’ils me laissent du champ libre avec Paul dans sa chambre.

- Humm je vois... Comme a réagi la mère ?

- Elle a bien sûr voulu en savoir plus comme toute mère. Je lui ai dit que son Paul aurait dorénavant des objectifs clairs en termes de notes à ses contrôles et de travail à effectuer, que je le punirai par des fessées quand il n’atteindrait pas les objectifs que je lui aurais fixés et que je le gratifierais de caresses pour ces progrès. Et pour être sûre d’avoir toute son attention, j’allais le mettre sous régime de chasteté contrainte jusqu’à ces résultats scolaires se soient redressés. Et j’ai rajouté que c’est ainsi que Maman gardait l’attention de Papa depuis des années.

- Non tu ne l’as pas dit ça ? Et puis il n’est pas trop jeune pour porter une cage ?

- Non il va avoir dix-sept ans en janvier prochain, pas tout à fait de l’âge de la maturité sexuelle mais presque… bien que les garçons sont dans ce sujet plus tardifs que les filles… et là Tata c’est un peu l’hôpital qui se moque de la charité… lol… Je crois aussi qu’au fond de lui, il est un peu de nature soumise.

- Alors comment sa mère a réagi à ta proposition qu’elle a dû trouver hallucinante ?

- Elle était toute rouge et très troublée. Dans leur milieu bourgeois, on ne doit jamais parler aussi clairement. Elle m’a demandé comment je comptais le garder chaste. Je lui ai expliqué le principe de la cage de chasteté pour pénis et son effet psychologique sur la psyché des mâles. Elle m’a demandé de lui montrer sur son ordinateur à quoi cela ressemblait à vide et en place. Je lui ai aussi parlé des concepts de la D/S.

- Ce n’était quand même trop risqué de lui parler aussi librement ?

- Oui, mais je ne voyais pas lui enfermer le sexe à l’insu de ses parents. Il y avait un risque important qu’ils le découvrent à l’improviste et qu’ils en soient choqués. Et puis ma stratégie ne pouvait marcher que s’ils me laissaient le champ libre. Bref, sa mère a compris que j’allais complètement pendre son fils en main, de la tête au sexe.

- Il est encore puceau ?

- Oui, il n’a jamais trempé son petit biscuit. D’ailleurs on ne peut pas dire qu’il ait été favorisé par la nature, contrairement à son grand frère avec qui j’ai déjà couché, hi hi. Je crois que je vais me réserver son dépucelage, mais cela ne sera pas avant quelques années, malheureusement pour lui. J’ai aussi précisé à sa mère que si je comptais le récompenser explicitement de façon sexuelle, je ne me sentais lié en aucune manière par une relation exclusive avec son fils. D’ailleurs depuis quelques temps, les hommes vont et viennent avec moi, à la désapprobation de Maman…

- Alors qu’est-ce que t’a répondu sa mère ?

- Elle a dit d’une voix très troublée que cela avait une chance de marcher, connaissant le caractère de son fils, qu’elle appréciait que je m’occupe de lui mais que là elle était loin d’avoir imaginé ces moyens, disons spéciaux, pour ramener son fils dans le droit chemin. Au final, elle m’a demandé le temps d’y réfléchir…

- C’était quand cela ?

- Début octobre. J’ai reçu sa réponse quelques jours plus tard : elle me laissait le champ libre. J’étais invité à manger chez eux le dimanche suivant. Après le repas, elle a forcé son mari à aller voir une exposition nous laissant seuls pour l’après-midi.

- Ah la louve est dans la bergerie ! Et l’agneau a-t-il été mangé tout cru ?

- Disons que l’agneau, durement sermonné, a fait ce que je voulais qu’il fasse et il a fini le zizi en cage, en sachant ce que j’attendais de lui dorénavant.

- Au fait comment as-tu fait pour la cage ?

- Simplement : c’est une ancienne cage en plastique de papa que j’ai, disons, empruntée. Tu sais, tata, j’aime bien l’idée qu’elle ait été portée par un autre avant, une sorte de rite de transmission entre mâles.

- Concept que je trouve fascinant. Cela fait deux mois qu’il marine dans une cage donc.

- Oui. Ses progrès scolaires sont spectaculaires ; ses parents sont ravis et ne cessent de me féliciter. Cela ne m’empêche pas de continuer à lui chauffer chaque dimanche le cul en augmentant mes exigences. A sa grande désillusion, il a compris maintenant qu’il ne lui serait pas facile de sortir de sa cage et que les occasions de se vider seraient rares, humiliantes et troubles. J’ai aussi commencé à l’entraîner les yeux bandés à rendre hommage aux femmes. Tu sais tata, ce genre d’hommage qui se déroule en les cuisses des Dames…

- Hi, hi, hi. Je vois très bien. Il est doué ?

- Surtout excitant dans sa maladresse. J’aime bien. Mais bon pour le côté jeune ado insouciante, j’ai un copain bien équipé en ce moment qui s’est très bien combler mes besoins. Et sa chambre est à part de la maison de ses parents ce qui est bien pratique. Et pour nourrir mes côtés plus sombres, j’ai mon père qui les remplit pour des années.

- Alors vous vous êtes finalement lancés. Ta mère m’en avait parlé mais je ne pensais pas qu’elle y irait au final.

- Arrête de me mentir, Tata. Tu sais tout ce qu’il se passe dans cette maison, avant même que je le sache ! Je crois qu’au final, maman n’avait pas le choix si elle voulait maintenir la Pax Domina à la maison. Depuis qu’elle a commencé sa formation, elle a beaucoup de travail personnel à effectuer le soir et le week-end.  Depuis septembre, elle est moins présente pour nous et papa. Et puis mon frère Arthur a commencé à être torturé par ses démons. Les chiens ne font pas des chats, dit maman, à son propos. Il faudrait d’ailleurs que tu parles un peu à Arthur, il devient impossible à gérer.

- Tiens ça ta Mère ne me l’a pas dit, cela m’étonne. Il va falloir que j’aie une conversation avec elle, pour mettre cela au clair.

- Ne la punit quand même pas trop durement, Tata, tu sais elle fait ce qu’elle peut en ce moment.

- Toi et ta compréhension des relations entre adultes ! Tu sais que tu m’as toujours étonné, impossible de te cacher quoi que soit. Tu as un sixième sens infaillible.

- Oui flatte moi…  mais ne crois pas que cela me fera finir dans ton lit comme Maman…

- Oui je sais tu me l’as déjà dit… mais revenons à ton père, qui a eu l’idée ?

- Moi. Cela m’a paru dans la continuité de ce que je faisais déjà. Papa a besoin d’être dirigé en permanence, sinon il est perdu. J’ai des fois l’impression que je suis l’autre adulte à la maison. Naturellement, j’ai fait comme Maman alors je grandissais. Je suis devenue de plus en plus exigeante avec papa, d’abord sans en avoir conscience quand j’étais enfant puis pleinement lucide à l’adolescence que je donnais des ordres à mon père soumis à la maison. Maman a besoin d’aide actuellement et moi je peux l’aider, il n’y a rien de plus simple, même si des personnes extérieures à la maison trouveraient cela complètement fou. 

- Dis-moi, comment vous êtes-vous réparties les tâches ?

- Nous en avons longuement discuté avec maman. Je ne peux pas tout faire à sa place. C’est son homme soumis, pas le mien. Pour moi il reste mon papa adoré. Je peux le surveiller, noter ses fautes et erreur mais je ne peux me substituer à maman. Je ne peux pas décider s’il doit être puni ou non. C’est forcément très intime dans le couple et réservé à maman. Alors j’ai seulement pris en main les séances de discipline hebdomadaire, qui sont passées du vendredi au mercredi soir à ma demande. Cela me laisse le mercredi après-midi pour être libérée de mes devoirs et pouvoir y consacrer la soirée. 

- Maman t’a montré comment faire ?

- Non, je ne voulais pas assister à une de leurs séances entre eux. Je ne voulais pas me retrouver au milieu de leur sexualité. A la place, je suis allé voir sur internet comment les Maîtresses pros font pour dominer leurs soumis. Très instructif. Maman m’a aussi prêté ses instruments pour que je m’entraîne à vide sur mon oreiller.

- Et bien sûr ton père n’était au courant de rien…

- Non sinon il se serait rebellé. Les séances de discipline ont lieu habituellement dans leur chambre, mais je voulais un lieu plus neutre pour moi et je ne voulais pas le voir éventuellement bander quand je viendrais. Putain je suis quand même sa fille. Il y a des limites. Je voulais voir que le minimum nécessaire. Maman m’a proposé de réhabiliter le local de la cage à chien à côté de la chaudière et d’y installer un spanking bench, mais ça tu le sais déjà, Tata.

- Oui c’est moi qui est demandé à Gunther de nous envoyer le même modèle que j’ai dans le fessoir au Domaine… tu sais, celui où ta mère a maté ton père définitivement….

- Non, je ne sais pas… et je ne veux pas savoir…

- Peu n’importe. Donc le banc est arrivé et j’ai demandé à un soumis de mes amies, de le monter chez vous, c’est tout. 

- Bref, maman l’y a attaché solidement après l’avoir bâillonné et mis une cagoule de cuir aveugle sur la tête. Elle nous a laissé pour aller réviser au café d’en face. J’ai mis près d’une heure à me décider à descendre au sous-sol. Il m’attendait complétement nu, le postérieur et le dos offert. Il a essayé de parler mais son bâillon empêchait que je comprenne. A côté se trouvait un râtelier avec toutes les armes que j’avais vu sur les vidéos. J’ignorais même que maman et papa possédaient tout cela.  Je me suis traitée de gamine naïve. Mais j’étais rassurée de ne rien voir de son sexe.  J’ai choisi la canne et je me suis mise en position. J’avais le souffle court mais je me suis lancée avec courage. Je me suis calée aux beuglements. Je mettais toute ma force dans les coups. A la fin, je suis sorti en silence de la pièce.

- Tu étais excitée ?

- Je crois que non, plutôt très émue par les circonstances exceptionnelles. J’étais concentrée sur mes gestes.

- Et il a compris ce qu’il avait subi et qui était sa fouetteuse ?

- Maman m’a dit que la fouettée l’a pris par surprise. Papa n’a pas compris sur le moment pourquoi les coups étaient si sévères. Maman m’a aussi dit qu’il a était anéanti quand elle lui avait dit que c’était moi qui tenait la canne et allait la tenir tous les mercredis dorénavant. Qu’il avait supplié, pleuré mais qu’elle ne lui avait pas laissé le choix.

- Je sais que quand ta mère veut quelque chose de ton père, elle l’obtient !

- Bref depuis six semaines notre nouvel arrangement s’est mis en place. Le mercredi matin, maman laisse sur le frigo, ce que j’appellerais, une fiche de convocation à la séance de discipline du mercredi, à la fois à destination de papa et de la mienne. Dessus, elle indique le nombre de coups prévus et l’instrument qu’elle a retenu en lettre code. Je crois qu’Arthur est sur le point de comprendre le code. Tant pis pour papa. En tout cas moi, cela me soulage de ne pas devoir choisir pour papa. Et je crois que Maman fait cela à escient pour humilier papa.

- Cela lui ressemble bien en tout cas.

- Après le rituel est maintenant bien en place. Papa doit se trouver nu en position sur le banc dans la cave à dix heures précises, la cagoule en place sur sa tête et le bâillon déjà gonflé. J’attends habituellement la fin de mon feuilleton avant de descendre, un quart d’heure ou une demi-heure plus tard. Je l’ai toujours trouvé dans la position requise, mais les deux premières fois, il pleurait doucement. J’ai failli ne pas aller au bout de ce que j’étais venue faire. Après, tout est devenu mécanique. Je vérifie en donnant un ou deux coups sur la poire que le bâillon est bien en place. L’avantage avec de dispositif c’est qu’il ne peut pas tricher et la dernière chose que j’ai envie c’est entendre sa voix dans ces moments. J’attache au banc ses bras et ses jambes. Je finis en verrouillant la sangle autour de sa taille et je procède avec l’instrument choisi lentement en décomptant à haute voix, médicalement sans tenir compte de ses réactions. A la fin, je le libère et je l’enferme pour la nuit dans la cage à barreau à côté. Là au début, nous ne faisions pas comme cela, mais je n’aimais pas l’entendre dans la maison après la séance. Cela me gênait. Alors j’ai demandé à Maman à ne plus le voir ou l’entendre après. D’où la cage. Maman m’a dit qu’il n’aimait pas le retour de la cage, mais tant pis pour lui.

- Et toi qu’est-ce que cela te fait ?

- Les premières séances pas grand-chose. J’étais très concentrée à bien faire ma tâche. Mais maintenant je suis plus détendue avec lui et…

- Ma Juju mouille un peu sa culotte !

- Hummff… oui c’est cela. Mais j’aime pas trop l’idée. C’est mon père après tout, pas quelqu’un d’autre…

- Et…

- Toi et ta perspicacité ! On ne peut rien te cacher, Tata. Oui parfois je me fais du bien au bouton après. Et si tu veux tout savoir, je prends maintenant beaucoup de plaisir à jouer des réactions d’un corps d’homme soumis, à le surprendre, à être injuste…

- Tu oublies de me dire quelque chose…

- Quoi ?

- Mercredi dernier.

- J’oublie parfois que tu sais tout sur cette maison. Maudite Maman ! Oui, mercredi dernier a un peu changé les règles du jeu. J’ai reçu plusieurs SMS à la suite. Le premier me demandait de le sermonner pendant la séance en lui disant que Maman n’était pas contente du tout de son soumis en ce moment et qu’il devait obéir sans discuter. Elle ne m’a pas dit pourquoi…

- Moi je le sais, mais je ne te le dirais pas. Continue…

- Elle m’a ensuite dit de changer l’instrument de la séance. Adieu la canne et bonjour au fouet ce qu’il craint manifestement le plus. Cents coups. Je ne suis jamais allé avec lui au-delà des cinquante coups de canne.

- As-tu aimé cela ?

- Oui et non. Je n’ai pas aimé me faire manipuler. On avait dit discipline, pas punition. Mais je n’ai pas eu d’autre choix que de constater que j’avais la cramouille complétement en feu à la fin ! Je dois être folle !

- Non tu es seulement une jeune femme dominatrice qui trouve sa voie.

- En tout cas, je suis passée jeudi soir voir Paul en surprise et il a payé un peu pour tous les autres…

 - Ce que je dis, une déjà Maîtresse d’hommes, au pluriel…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 19:12

Bigre cela fait plus de 2 ans que j'ai pas de nouveau écrit pour le Domaine. Et 5 ans que je l'ai commencé.

Nous en étions resté au double marquage du chihuahua et nous allions passer dans la chambre d'Elke pour la conquète finale de Claire...

"- Oh oui, je serai tienne cette nuit... " lui faisais-je dire au chapitre à la fin du chapitre 36.

Après il y a les 4 chapitres de l'épilogue que j'ai écrit depuis des années (3 ans ?) et qui dontc n'ont jamais été publiés, puisque le reécit principal n'a jamais été fini... logique, non ?

Donc qu'est-ce que je devais de tout cela ?

J'avais commencé à écrire ce chapitre 39 dans la chambre avant d'abandonner le domaine pour d'autres aventures. Je prévoyais ensuite en 40 et un 41, que je me retrouve incapable d'écrire maintenant dans le style que j'avais alors. Et puis je ne suis pas bien sûr de vouloir reprendre ce récit de "jeunesse"...

Aors j'ai décidé de tout brader en dernière démarque.

Récupérer ce que j'avais écrit pour le 39ème, zapper le fait que Claire devait se rebeller et en arriver à la situation finale du début de l'épilogue... Une sorte de service de l'écrivain minimum.

Donc voilà le 39ème remanié qui sera le chapitre final du week-end et chaque jour à suivre, un des 4 chapitres de l'épilogue.

Bonne lecture.

CHAPITRE 39 - Søndag

Après la cérémonie du marquage, Elke tint parole et invita Claire à partager sa nuit. Il était plus de minuit et la Danoise avait tenu à ce que le chihuahua les accompagna dans la chambre pour son « édification » de soumis.

Il découvrit la chaise de contrainte où il allait y passer sanglé sa première nuit de soumis définitif. Elle était installée dans le placard face à un miroir sans teint qui lui laissait voir ce qui se passait dans la chambre, sans incommoder de sa présence les femmes qui s’y tenaient. Elke appelait ce dispositif  la « chaise du cocu » et un carcan autour de sa tête empêchait le petit mari qui s’y trouvait contraint, de détourner la tête et d’échapper justement à ce qui se passait dans la chambre. L’homme y était empalé sur un plug de métal qui bientôt se révèlerait vibrer fortement aux cris du plaisir de Claire sous les actions de sa Danoise, dans une mélange cruel de plaisir du cul et de défaite des yeux.

Les femmes durent le motiver un peu pour l’y installer avant de refermer le miroir. 

Claire se retrouvait face à Elke, maintenant intimidée. D’autant qu’elle était restée quasi-nue en Amazone alors que la Danoise avait passé un déshabillé de soie blanche. Mais elle ne pouvait pas se masquer que l’humidité dans sa chatte était extrême, une humidité très tendue aussi.

- Finis de te mettre nue et mets-toi à genoux s’il te plait Claire !

Le corps de Claire se crispa un instant avant de se conformer, troublé et dans l’attente. Les derniers oripeaux d’Amazone chutèrent là et elle se retrouva à genoux, tremblante. Elle attendait pendant qu’Elke vaquait dans la pièce, les yeux perdus dans le tapis persan…

Finalement la main danoise vint lui dégager la nuque. C’était un premier contact si électrique que Claire releva les yeux de surprise. Elke la dominait avec un collier blanc à strass dans sa main. Elle tenait une badine noire aussi. Cela fit presque se rebeller, mouvement reflexe vite contenu d’une main ferme sur son épaule.

- Tu m’as promis que tu serais « mienne » cette nuit. Tu ne peux que de douter que cela ferait naître des envies chez une Dame comme moi… 

Claire hésita. Elle savait qu’elle devrait en passer par là, tout en espérant follement l’éviter. En tout pas aussi rapidement, pas dès le début. Elle devait être folle d’être fascinée par cette vieille sorcière et pourtant sa chatte humide ne se mentait pas, elle. La chaleur avait envahi son visage qui devait être maintenant rouge pivoine pour le bonheur des yeux de la Danoise. Claire prit une profonde inspiration et baissa les yeux. Le collier fût serré, dans la foulée, autour de son cou. Sa présence faisait une impression étrange, comme si elle était maintenant une autre, le même sentiment que quand elle avait été offerte passive au pieu de Lucas, mais beaucoup plus puissante en émotions. 

Elle se laissa diriger à se mettre en chienne, à quatre pattes sur le sol. La laisse était tenue courte, lui forçant à lever la tête. La laisse la promenait de long en large dans la pièce en une sorte de parade de victoire, autant destinée à matérialiser l’emprise de l’une sur l’autre, qu’à démontrer au mari sur sa chaise de « cocu » sa défaite totale. Et Pierre, comme un idiot, bandait à éclater sa cage à cette vision démoniaque de sa femme en chienne, avec un sentiment net de jalousie que ce ne fut pas lui qui tenait la laisse.

Elke les arrêta et lui fit présenter son entrejambe indécemment écartée, en hauteur, les épaules collées au sol et la joue contre le tapis. Jamais Claire ne s’était jamais sentie aussi impudiquement exposée. Elle en tremblait alors que sa « Maîtresse » - elle ne voyait pas comment appeler autrement une femme qui la tenait en laisse – la laissait languir… Le temps de sentir le souffle de l’air sur ses muqueuses exposées. Le temps de sentir l’humiliation arriver peu à peu. Il suffisait qu’elle se relève et dise tout simplement « non merci, finalement je ne veux pas finalement ». Mais non, elle n’en avait pas la volonté : elle se voyait pétrifiée là à attendre le bon vouloir de la Maîtresse danoise...

Après une longue attente, Claire sursauta quand l’embout de la badine toucha ses grosses lèvres, exactement à l’endroit où elles s’ouvraient. C’était d’une telle charge érotique ! La badine se faisait tentation et elle ne put s’empêcher de se trémousser pour rechercher un contact plus franc et profond, que l’expérimentée Danoise lui refusait. La badine glissait, détaillait, se faisait intense tentation, sans jamais s’aventurer plus en avant. Claire était frustrée de ne pas la sentir plus loin, et par réflexe cherchait à gagner quelques centimètres de pénétration mais la badine s’ajustait à chaque fois pour le lui refuser…

Enfin après un long moment d’attente, l’embout s’initia entre les lèvres, les décollant pour progresser. Claire poussa un long grognement de satisfaction qui résonna dans le cul du chihuahua. Le manche coulissa, effleura le clitoris tendu, sous les gémissements de Claire qui ondulait du bassin pour mieux se prendre la badine. Son plaisir montait de plus de plus, laissant entrevoir la charge de cavalerie de l’orgasme, qui s’approchait bannière au vent avant d’être brutalement stoppée dans le vide par l’arrêt de toute stimulation ! La badine venait de se retirer vicieusement, la privant de la jouissance…

Claire était terriblement déçue et ressentait une frustration. A la place, elle sentit le pied nu de la Danoise se poser sur son épaule pour la coller douloureusement au sol de son poids. Et la badine se fit piqûres sur ses fesses exposées… Claire serra les dents mais n’arriva pas de s’empêcher de crier les yeux humides… 5 coups secs le temps de laisser refroidir les choses avant que la badine revint fourailler entre les lèvres, tentatrice à invoquer l’orgasme qui fût de nouveau contrecarré à la dernière minutes… avant un nouveau refroidissement des chairs d’une nouvelle volée de coups… et ainsi de suite.

A ce traitement, Claire n’en pouvait plus, pas plus que son chihuahua dans le placard. Elle était frustrée en permanence de sa délivrance ! Et était prise d’une tension érotique sans fin qu’elle n’arrivait pas à décharger ! 

Quand elle fut à point, Elke la releva à genoux et ouvrit son peignoir devant ses yeux, sur son sexe aux muqueuses rougeâtres. L’odeur aillée envahit plus que les narines de Claire ; elle lui prit totalement l’esprit. La Danoise la poussa de sa main dans les cheveux à venir enfin communier, lui facilitant l’accès en soulevant une jambe sur le lit.

Le nez dans les effluves, Claire ferma instinctivement les yeux, entrouvrit la bouche et sortit docilement la langue, qu’elle enfonça dans l’antre épicé. L’odeur se fit goût, sirupeux et légèrement amer, qui se mêlait à la salive et prenait possession de tous les sens. Claire prodiguait la caresse si intensément imaginée de toute son âme, quasi en apnée, les narines enfoncées dans le bas ventre mollissant de la Maîtresse mature, sans jamais arrêter de sucer, d’aspirer et de boire à la source les flots ininterrompus de sève relâchée.

La caresse fût bientôt plus prise qu’offerte. Les hanches ondulaient et se frottaient sans gêne contre le visage,  la langue à s’évertuer à suivre le mouvement, bien plaquée par la main ferme dans les cheveux. Elke ne se gênait pas pour émettre des rauques de satisfaction de plus en plus fort alors que le plaisir montait. Au moment crucial, les cuisses se firent crispations en enfermant cette tête, cette langue au cœur de la fournaise… pour le feu d’artifice hurlé en Danois !

Quand Claire fut finalement libérée de la pression, elle était complètement essoufflée, la bouche et la langue endolories, le visage totalement recouvert du jus de son amante, et restait encore abasourdie de la puissance de ressenti de cette étreinte intime si spécialement engageante. Quelque chose d’incomparable et d’indescriptible ! Complètement possédée, elle levait des yeux amoureux vers sa Maîtresse, pleins de reconnaissance… que ne manqua pas Pierre anéanti sur sa « chaise de cocu ».

- Ta bouche et ta langue méritaient tous ces efforts pour te dompter… 

Les Maîtresses ont la capacité de reprendre immédiatement leur esprit et Elke en était indubitablement une. Elle attrapa la laisse de Claire au plus court pour la faire se relever, lui prit la nuque pour l’attirer à elle, jusqu’à faire joindre leurs lèvres. Claire se laissait faire docilement, résistait mollement à la langue qui entrouvrait ses dents, pour finir de la posséder. Elke lui enserrait le corps. Sa main descendait lentement de la pointe des tétons qu’ils faisaient indécemment pointer, le long du pli de l’aine, jusqu’à arriver au cœur en feu de Claire qui ouvrit les cuisses pour mieux accueillir l’indécente caresse qui finissait de lui faire perdre pied…

Elke les fit alors basculer sur le lit, toujours corps contre corps, lèvres contre lèvres, pour une affolante farandole de chair, de doigts qui traînaient, qui s’enfonçaient, de pointes qui se dressaient, de pistil pressé, de double antres visités au plus profond, arrachant à son amante le corps tendu et offert, tant de gémissements de plaisir, ne réclamant plus que jamais l’indécente caresse ne cesse. Dans le mouvement, un double gode apparut comme par magie entre les cuisses de la Danoise et s’enfila naturellement dans la vulve de Claire, pour une possession sein contre sein.

La caresse initiale se mua alors en un affolant pistonnage profond, indécemment profond, peau contre peau. Claire voulait résister, garder un reste de dignité mais en vain : le pieu décima toutes ses dernières résistances. Elle se retrouvait en chatte lubrique à feuler dans la nuit son immense plaisir de chatte possédée. Jamais qu’on lui laisse la possibilité de retomber sur ses pattes, de coups de reins en coups de reins dévastateurs. Elle explosa une fois, deux fois, sans jamais que l’engin tentateur ne s’arrêta, ni ne l’épargna…

Sa Maîtresse savait si bien se retenir elle ! Cela rajoutait de l’humiliation au plaisir. Elle fût alors choquée de d’être soudainement retournée pour présenter ses fesses à la sodomie du gode. C’était un tel choc ! Jamais dans ces divagations mouillées, elle n’avait envisagé qu’une femme puisse désirer prendre cela d’elle, comme Lucas l’avait pris avec la complicité de la Danoise il y a tout juste une journée. Elle comprenait trop tard que cet orifice non naturel était l’objectif des dominants, sûrs de leur bon droit supérieur. Quelle oie blanche elle restait, alors que tout recommençait…

Claire essaya de se rebeller quand la tête du gode appuya contre l’anus, mais elle restait bloquée sous le poids de sa Maîtresse danoise qui lui avait attrapé les poignets. Facilité par le traître graissage de sa propre cyprine, le gode l’ouvrit sans difficulté mais non sans douleur. Elle détestait cette horreur de sensation d’écartèlement non naturel qui résonnait dans son esprit comme une défaite ! Il progressa millimètre par millimètres dans son cul récalcitrant en repoussant les chairs internes. Elle ne sut pas retenir ses larmes non de douleur mais d’humiliation. Son plaisir avait disparu : Claire ressentait cela comme un viol, une prise de possession totale de sa personne.

Le gode avait atteint sa pénétration maximale et ne progressait plus, coincé sous le poids d’Elke qui bientôt bascula son corps en avant pour venir chuchoter à l’oreille de sa conquête, sans se préoccuper des tensions que son mouvement créait dans les entrailles de son enculée.

- De part ma longue expérience de domptage de femelles rétives, je sais que vous détestez toutes cela, d’être conquises de cette manière. C’est pour cela que je vous l’impose dès le début, pour son côté humiliant. Certaines hurlent, certaines pleurent, mais toutes y passent jusqu’à la garde ! Et tu sais quoi : contrairement à un homme qui finira fatalement par éjaculer plus ou moins rapidement, la sodomie par ta Maîtresse n’a pas de fin prématurée, juste celle de son plaisir. Alors tu vas geindre, pleurer, peut-être même implorer… En vain, car tout cela ne fait que renforcer mon excitation… Allez hue, pour la chevauchée de la Diablesse, ma pouliche !

Et la Maîtresse Danoise tint sa sadique promesse. Le gode bafoua son conduit sans précaution à un point que Claire n’aurait jamais cru envisageable. Elle gémit, cria, hurla au début, tant qu’elle en avait la force, puis finalement se tût pour ne plus que pleurer doucement interrompu de ci et de là d’un oh de surprise désagréable quand le gode variait son angle de travail. C’était peut être le signe qu’attendait sa Maîtresse, car dès qu’elle l’a senti mâtée, elle ne se gêna pas à laisse monter lentement le plaisir qu’elle prenait à lui imposer cela… Une lente progression vers un orgasme puissant et violent du corps et de l’esprit qui arriva alors que Claire n’en pouvait plus, n’en espérait plus…

Elle se désembrocha immédiatement après et retomba satisfaite sur le lit.

- Viens me nettoyer soumise !

Claire découvrait le gode souillé de son cul et ne put s’empêcher d’avoir honte de l’état de propreté de son cul. Elle accordait comme toutes les autres femmes une attention particulière à son hygiène et là… Elle détourna la tête d’une honte mon maîtrisée… C’était une nouvelle épreuve de déchéance particulièrement adaptée. Maîtresse Elke vint la rechercher pour la mettre face à la salissure et guida dans son nettoyage une Claire cramoisie…

La Danoise s’endormit finalement après avoir fait mettre Claire, qui ne savait plus où elle en était, sur le tapis au pied de son lit. Ni Claire, ni son chihuahua n’arrivèrent pas avant de longues heures, à la suivre dans les bras de Morphée…

Claire se réveilla alors que le soleil était déjà haut dans le ciel sur le lit de son amante, là où elle s’était finalement rendormie après une nouvelle utilisation torride de sa langue par Elke au petit matin. Mais cela ne l’empêchait d’avoir les muscles endoloris et le cul douloureux de la nuit et de la baise de conquête de la veille.

Elle était seule dans la couche et clignait des yeux le temps de mieux s’adapter à la lumière. L’armoire du « cocu » était vide aussi de son chihuahua, mais un mot l’attendait disant qu’Elke l’attendait aux écuries, si elle le « voulait ». Pour l’instant, Claire se sentait sale et voulait avant tout prendre une bonne douche chaude dans la salle de bain accolée…

En s’essuyant, elle eut l’illumination que tout se décidait là en cet instant. Trois petits choix qui auraient tant d’influence sur son avenir. Elke l’attendait : devait-elle la rejoindre ? Elle avait enlevé le collier de strass pour se laver, devait-elle le remettre ? Elle était arrivée quasi nue dans la chambre, devait-elle s’habiller ou non ? Le tout avec la conscience que finalement la Danoise lui laissait le choix et qu’elle ne pourrait jamais dire qu’elle y avait été forcée.

La vie est faîte de tels petits choix successifs qui dessinent au final une toile pour chacun. Si elle avait totalement fait faire sa raison, elle serait rentrée se réfugier dans sa propre chambre. Si elle avait suivi ses passions de la nuit, elle aurait tout choisi pour plaire à son amante. Comme souvent dans sa vie, elle opta pour le chemin du milieu. Elle remit fièrement le collier mais le dissimula ainsi que son corps nu sous un peignoir trouvé dans la salle de bain. Elle décida aussi de rejoindre Elke dans une intention de « pour voir »…

Heureusement, Claire ne croisa pas personne. Elle était suffisamment rouge et embêtée comme cela, pour soutenir en plus le regard des autres… Elle fit le tour pour rentrer par la grande porte de l’écurie, pour cette heure libre de chevaux mis au près. Cela avait quelque chose de solennel spécialement aujourd’hui d’y pénétrer par là !

Elle ne voyait pas Elke mais l’entendait…

- Alors Zépharin que décides-tu ? Je te branle maintenant ou tu retournes pour une semaine en cage ?

- Mais c’est que cela va faire mal Madame !

- C’est ta leçon du jour, quand tu obéis aux Dames, chaque plaisir peut-être douloureux…

Claire s’approcha du box où Elke était. Zépharin y était attaché aux barres métalliques, sa robe remontée sur la poitrine et fixée par des pinces à linge et sa culotte de fille baissée aux chevilles. Il ne pouvait s’empêcher de bander alors qu’un seau d’orties fraiches le menaçait.

Elke vit Claire arriver dans le dos de Zépharin et lui fit sourire. Elle lui fit signe de ne pas dévoiler immédiatement et revint amusée au cas du garçon.

- Alors, mon petit gaminou, tu as choisi : la branlette aux orties que je te ferai ou 7 jours de plus dans la cage à ne pas pouvoir bander ?

- Je ne sais pas, Madame…

- Ben, on n’a qu’à demander à Madame Claire qui vient d’arriver !

Claire se déplaça dans le champ de vision de Zépharin qui ne savait plus où disparaître, tellement il était écarlate. Elle s’amusa à lui répondre…

- On n’a qu’à faire les deux : la branlette aux orties et retour directement en cage pour sept jours. Tu en penses quoi, Zépharin ?

- Mais ce n’est pas juste…

- La vie est rarement juste avec les petits gaminoux… mon garçon. Je te regarderai avec plaisir juter en grimaçant avant que l’on laisse reposer ton zizi pour une semaine supplémentaire…

Aussitôt dit, aussitôt fait. Zépharin essaya bien de se tortiller pour échapper au gant avec une première poignée d’orties, en vain. La main finit à commencer à le branler vigoureusement. C’était délicieux de le voir grimacer aux premières piqures, mais son érection ne faiblissait pas, loin de là. Avec la vigueur de la jeunesse, les traites sont rapides. En moins de 1 minute, Zépharin avait giclé son petit jus retenu depuis une semaine et encore parce que sa branleuse danoise avait fait attention qu’il ne partit pas plus rapidement en arrêtant son mouvement !

Il reçut une dose supplémentaire d’orties avant de se retrouver de nouveau encagé.

- A nous ! Le temps que je le remise…

Zépharin est emmené dans le cachot ce qui fit réagir Claire…

- Tu ne l’emmènes pas plus loin ?

- Loin de tes futurs cris ? Non, je pense qu’entendre a un côté éducatif sur la psyché des petits mâles. Et puis, tu n’as rien à craindre qu’il se branle en pensant à toi... Il peut plus, le petit ! Mais cela me rappelle que c’est à nous…

Claire n’était plus sûre d’avoir pris la décision quand le « à poil ! » fut dit… Elle obéit quand même rouge d’humiliation et toute tremblante…

- Donne tes mains…

Qui furent attachées par une corde avant que le bout, passé au dessus d’une poutre, les lui fasse monter bien haut à présenter ses fesses. Claire tourna la tête pour être saisi de voir sa Maîtresse prendre le fouet qui l’attendait. Elle ne pu s’empêcher de frissonner à sa vue.

- Bon nous allons mettre les choses au clair. Je t’avais dit que je te prendrai d’abord ta dignité de femme libre et je vais le faire, et avec plus d’enthousiasme que tu as cru me résister ! A partir de ce moment là, tu es ma tæveling et tu m’appelleras respectueusement Herskerinde.

Et le fouet siffla immédiatement…

 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 10:59

Eté 2018

Deux ans plus tard, nous voilà de retour au bord de l’étang de Sologne. 

A 4 cette fois, nos 2 couples même si là plus que jamais c’est une notion qui nous correspond plus, tellement tout s’est finalement emmêlé et entrelacé pour que nous de formions plus qu’une seule communauté D/S totalement intime et soudée.

Les enfants ne sont pas là, qui en colo, qui en camp et le petit Arthur, « fruit » de mon prélèvement in-naturo par Maîtresse, vient de fêter ses 1 an et demi et profite de son premier été chez ses grands-parents ravis. Claire est naturellement devenue sa marraine « gâteau ».

J’attends en solitaire l’apparition du soleil au-dessus de la ligne d’arbres sur la rive opposée de l’étang, encore couvert de voiles de brunes matinales qui se dissipent peu à peu avec le retour de la chaleur. 

Cette troisième nuit enfermée dans le chenil n’a pas a été facile et je n’ai dormi que par courtes périodes. Cela a été le choc de ce retour à l’Etang : j’ai été condamné au « chenil » pour les 10 jours que nous passerons là. Pas à la mise au chenil pour quelques heures dans la journée, mais au chenil « intégral », quasi 24/24 sans possibilité de sortie. Claire a tranché à la vue de la météo prévue :

- C’est une idée que j’ai en tête depuis quelques temps et il prévoit suffisamment beau pour qu’elle soit réalisable. Donc au chenil permanent le toutou cette année !

J’ai beau avoir fait depuis 2 ans beaucoup de progrès dans l’acceptation de mon infériorité et le développement de ma docilité et humilité envers Claire, Maîtresse Emilie et les autres en général, je n’ai pas totalement encore la force morale de tout encaisser sans paniquer ou m’inquiéter. 10 jours enfermé à l’extérieur dans le chenil est une chose qui m’est apparue un nouvel Everest impossible à surmonter.

Et tellement en décalage avec le reste de l’année où la domination de Claire, une fois le matage dans la « niche » du sous-sol terminé, est devenu élégante et policée, et donc la violence est réservée aux rares fois où je l’ai déçu et elle doit sévir physiquement à mon encontre. Elle n’aime toujours pas cela mais sait maintenant frapper fort. J’ai appris en conséquence à ne plus aimer cela. Mais nous nous accordons que cela reste nécessaire pour le chemin que Maîtresse nous a initialement choisi.

Je me suis donc violemment rebellé à combattre cette décision de Maîtresse, appuyée de plus,  circonstance aggravante, par Claire. Et je l’ai payé à vif sur le champ, déshabillé de force et porté plus qu’emmené dans le chenil pendant que je débattais en tout sens. Je me suis retrouvé immobilisé contre les grilles du chenil et rapidement réduit au silence par mon équipement de tête de taurillon qui attendait, semble-t-il, ma vaine révolte.

Nous n’étions pas arrivés depuis plus de 10 minutes que déjà les sifflements des lanières de fouet se faisaient entendre. Deux fouets précisément maniés par 2 femmes qui entendaient mater dans l’œuf ma tentative de rébellion, rapidement et sans pitié, par une raclée mémorable. J’ai encore une fois fini totalement en larmes et l’esprit vidé. Je leurs  ai laissé me poser les bracelets et collier de « vacances » sans réaction avant qu’elles m’abandonnent là.

Malgré  l’enthousiasme que j’ai eu au tout début, l’apprentissage de la soumission a été difficile, avant de pouvoir m’en accommoder suffisamment pour m’y sentir à peu près à l’aise. Il m’a fallu du temps pour mentalement et physiquement m’adapter.

La meilleure image que je peux vous en donner, c’est comme rentrer dans un monastère en cours de sa vie. Renoncer à toutes ses joies passées pour se dévouer à la Divinité que l’on s’est choisie, dans la dévotion et l’obéissance absolue. Il faut du temps avant de retrouver une certaine sérénité...

Et pourtant Claire n’a pas lésiné d’efforts pour me faire renaître rapidement. Après l’Etang, le retour à la maison fût un moment terrible. J’ai été directement mis au « rebut » dans la niche du sous-sol et pour une éternité que je n’avais pas vu venir. Des jours à rester enfermé en permanence sans rien pouvoir faire, n’étant sorti que pour être « battu » sans raison dans la pièce d’à côté, avant d’être ramené en pleurs sans un mot dans la niche. Des heures à ne plus savoir comment me mettre pour ne plus peser sur mon corps meurtri en permanence. Et des nuits à endurer la morsure des pointes dans la cage à désirer ne plus jamais bander !

J’ai su plus tard que cela n’avait duré que 12 jours, « couverts » par un faux arrêt maladie fourni par Emilie... Mais cela m’a paru des mois ! Et autant à Claire qui en pleurait chaque soir dans la chambre en me regardant m’agiter dans ma niche par caméra interposée. « Combien de fois, j’ai eu envie de venir te rechercher, te libérer pour me blottir contre ton épaule… ». Mais elle a tenu pour nous 2, arrivant à créer l’attachement absolu d’un chien à sa Maîtresse et la crainte ancrée dans le corps d’être ramené dans la pièce aux cannes et fouets.

Je crois aujourd’hui qu’il n’y avait pas d’autre chemin possible. L’ancien Pierre devait être préalablement méthodiquement cassé pour lui permettre de renaître en soumis… et de le dresser strictement à sa botte…

Le soleil ne va tarder à apparaître derrière la frondaison des arbres et dissiper les brumes matinales au-dessus de l’étang. C’est bizarre de se retrouver une nouvelle fois ici, là où tout a commencé…

L’amant imposé de Claire, celui qui est devenu Monsieur pour elle et donc moi, a pris beaucoup plus de place que prévu, quand il est rapidement devenu évident que Claire prenait beaucoup de plaisir à lui rendre visite. J’avais mal compris : il ne s’est mis en place qu’au bout de quelques mois, quand j’ai été devenu suffisamment docile pour que Claire puisse me laisser quelques heures sans surveillance à la maison.

J’ai bien essayé de voir à quoi il ressemble, en vain ! Aucune photo malgré des heures de recherches sur internet au boulot car à la maison, Claire a fini par rapidement, m’interdire totalement l’accès à internet. J’ai juste réussi à trouver son âge - 32 ans, loin de l’image que je m’en étais fait – et qu’il soit plus jeune que moi et Claire a été un choc.

Cela m’a causé une longue période d’angoisse, faite de jalousie et de crainte d’être délaissé pour plus jeune et meilleur amant. Les premiers mois du système décidé par Maîtresse Emilie ont été chaotiques… C’était une horreur de découvrir chaque jeudi soir au retour de Claire, les « notes » de baise, beaucoup trop bonnes à mon goût.  Claire a rapidement pris l’habitude de me consigner dans ma niche dès son retour pour éviter de traiter avec mes bouderies sans fin.

Je n’ai donc pas eu besoin de l’encourager beaucoup à se donner. Elle le faisait très bien elle-même.  Mais Claire a eu aussi sa période d’adaptation au « gros » sexe de Monsieur (« si tu savais combien sa grosseur fait une différence… »). Il se plaignait de l’étroitesse de son cul. J’ai donc été cruellement employé équipé d’un gode ceinture au-dessus de la cage à lui « ouvrir » l’anus et le rectum. Seule moment où je voyais ma femme nue et douloureux à vivre le zizi engorgé dans la cage.

Une fois que j’ai été plus à l’aise à accepter docilement que ma femme jouisse uniquement du sexe d’un autre, j’ai donc été « invité » à assister à leurs ébats. Claire pensait que c’était nécessaire dans la progression de mon dressage de mari soumis. Monsieur ne le voulait pas au début, mais elle a su le motiver en se rendant disponible tout le week-end après chacune de mes « présences ».

La première c’était un jeudi soir pluvieux de novembre. Claire a réservé la baby-sitter et nous sommes partis ensemble retrouver Monsieur. C’était une grande première qui m’a rendu très mal à l’aise. Comment se comporter devant le mâle Alpha qui baise ma femme ? J’en tremblais d’inquiétude…  Elle m’avait interdit de voir d’une cagoule de cuir : je ne sais pas où nous sommes allés. Claire a garé la voiture, m’a fait descendre et m’a conduit en me tenant le bras à « l’intérieur ». Quand j’ai pu enfin avoir le droit de voir, j’étais dans une sorte d’antichambre. Un panier d’osier attendait mes vêtements. Je me suis retrouvé nu, me sentant impressionné et vulnérable. J’aurais bien voulu avoir mon collier de soumis pour me rassurer, mais je ne l’avais pas. 

Claire a cependant accepté que je me marche à 4 pattes à ses pieds quand nous sommes passés dans la vaste chambre, luxueuse aux lourds rideaux clos. Tissus tendus sur les murs et tapis persans au sol. Et tout qui me ramenait amèrement à ce magnifique lit où Claire et Monsieur… J’ai grimacé à sa découverte. Tout était parfaitement assorti dans cette pièce, à l’exclusion de cette caisse de bois plein, parfaitement incongrue dans ces lieux : la caisse du cocu !

Claire m’y a dirigé et m’a attaché les mains de menottes dans le dos, avant de me faire agenouiller devant la porte de la cage. Elle a retiré sa culotte sous la robe qui a finit dans ma bouche, bloquée par son foulard. Le goût intime du bâillon manifestement déjà trempé de son odeur, ne me laissait aucun doute que Claire attendait impatiemment la venue de Monsieur. A moins que cela soit ma présence dans cette chambre qui causait autant d’excitation préalable. Je préférais me persuader de la seconde possibilité…

Avec les mains dans le dos, j’ai du me contorsionner pour rentrer à reculons dans l’étroite caisse, hâté par Claire. La porte s’est refermée  et a été cadenassée, me laissant dans une situation inconfortable courbée, la tête tournée et la joue collée contre le sol de bois, à essayer de voir par une étroite ouverture grillagée réservée en bas de la porte. Impossible de prendre une autre position : j’étais condamné à contempler le seul bout de mur opposé au lit. Sauf quand la robe blanches et le soutien gorge de Claire sont tombés sous mes yeux : la preuve la plus indécente que ma femme n’était plus à moi…

Monsieur est arrivé sans que je puisse le voir. Etre réduit à seulement entendre et compléter mentalement est plus terrible que voir ! Les froissements de tissus, le zip de la braguette, ces bruits de succions, exacerbaient plus que la simple vue, l’indécence de la caresse que Claire donnait/offrait à un Autre. Monsieur est globalement taiseux, mais le râle rauque qu’il a fini par émettre pour jaillir dans la bouche soyeuse, a été la chose la plus humiliante que j’ai vécue dans ma vie. Alors que je pensais m’en être dépêtré une fois pour toute, la jalousie est revenue acérée alors que mon propre zizi battait en vain sa frustration dans le vide !

Ils sont alors passés au lit. Ce fût un nouveau choc : il y a une grande différence entre supposer et entendre. Claire ne retenait pas ses cris. Elle n’a jamais été comme cela avec moi… à émettre tant de feulements enjoués ! Il devenait « réel » à mes oreilles à quel point elle adorait se faire prendre par la grosse queue de Monsieur.

Ils baisèrent plusieurs fois d’affilée avant de finalement me laisser seul. Claire m’a prévenu « Nous partons dîner, Pierre, et je reviendrais te chercher après… ». Et quand elle est revenue, j’ai du finir de boire ma lie en avalant docilement le contenu froid de la capote qu’il avait laissé…

Ca y est : le soleil apparait et me réchauffe déjà le corps de la froideur de la nuit. Dur régime que le chenil « intégral » mais je crois que le côté masochiste au fond de moi reste ravi du traitement subi. L’esprit conscient lui a besoin de savoir qu’il ne peut pas y échapper, que c’est la volonté de l’autre, pour accepter et cesser de s’inquiéter en spirale sans fin sur son destin.

Le plus dur finalement est ces longues heures où je reste isolé du reste de la communauté. Je regarde longuement avec envie la lumière à travers la haute lucarne de l’escalier de mon côté dans l’incapacité de connaître quels plaisirs s’y déroulent sans moi.

Après mon asservissement, je suis resté 213 jours - quasiment 7 mois ! - pour être autorisé à éjaculer à nouveau.  Je n’y espérais plus et finissais par déprimer… Et les traites à la prostate prodiguées par Claire si elles vidangeaient efficacement les canalisations, me laissaient dans un état de frustration totale et extrême, à chaque fois. J’ai fini par m’enquérir auprès de Claire de l’avenir de mon zizi :

- Pour l’instant c’est compliqué du fait de la complexité de ton verrouillage. Malgré mes questions, Monsieur ne veut décidemment rien avoir à faire avec ta sexualité. Et je crois aussi qu’en Mâle, il se sent rassuré de savoir le pénis d’un éventuel rival empêché. Maitresse vit sa grossesse heureuse et ne semble plus trop s’occuper de notre sort. Quant à moi, tu sais combien il m’est important que tu sois un petit mari soumis bien élevé… Mais ne te t’inquiète pas, j’y travaille…

Ne jamais pouvoir sortir de la cage n’est pas sans conséquence. Heureusement je ne me suis jamais trop blessé dedans. Les pointes m’ont été retirées au bout de ma période initiale de matage à la niche. Mais il y a quelques problèmes annexes comme la repousse des poils. Impossible d’être rasé en cage. Claire a trouvé une solution simple : la crème dépilatoire injectée sous la cage avant un rinçage abondant !

Le déblocage de ma situation - si j’ose dire – est venu d’une visite de Claire auprès de Maîtresse Emilie lors d’un week-end prolongé à l’automne où je suis resté consigné à la maison avec les enfants, et il m’a été présenté à son retour sous la forme notarié. Monsieur avait aussi fait partie du nouvel arrangement. Je suis nu à genoux à écouter Claire.

- … en bref, Maîtresse Emilie me cède la propriété totale de ta personne et prend dorénavant un rôle de ta marraine en soumission, celle à qui tu pourras demander conseil, quand cela n’ira pas. Monsieur m’a rendu sa clé à la suite d’engagements que j’ai pris librement à son bénéfice.

- Lesquels ?

- Oh, je ne suis crois pas que tu sois en droit de les savoir. Mais si tu imagines un peu, tu comprendras que cela à voir avec une forme d’exclusivité que je lui accorde. Heureusement pour toi, il n’est pas du tout dans l’idée du mariage ou même de vie commune. Sa motivation pourrait se résumer au rêve de tout Mâle : avoir à sa disposition, et en exclusivité, une femelle dévouée pour la prendre par tous les trous sans préavis, et sans concession d’aucune sorte, même si je suis fatiguée et même si j’ai mes règles. Et crois il ne s’en prive pas…

J’avais l’impression de découvrir encore une nouvelle Claire, version chienne lubrique. Je la regarde décontenancé par ses propos. Elle s’est penchée alors à mon oreille…

- Et ne te fais pas d’illusion… J’adore quand il me défonce sans précaution, la bouche, la chatte ou le cul. J’ai appris à l’avaler complètement. Et crois-moi la longueur fait une de ces différences ! Il m’a fallu tant d’années pour comprendre qu’il y a finalement 2 types d’hommes : les gentils et attentionnés comme toi à petit machin entre les cuisses et les vrais Mâles sauvages à grosse queue qui donne tant de plaisir. Ceux-là ne font pas la conversation ; ils baisent comme des Dieux ! 

Définitivement humilié, j’ai baissé les yeux pendant que Claire se relevait.

- Tu vois la chance que j’ai de disposer maintenant de ces 2 types d’Hommes aux qualités complémentaires. C’est finalement la loi de nature : les petits zizis doivent être soumis et je dois me dévouer aux vraies queues, les seules  que j’accueillerai dorénavant. En conséquence de tout cela, je me retrouve seule Maîtresse à bord pour l’éducation de ton zizi et pour le petit homme qui va avec…

Cela faisait maintenant 5 mois que j’avais le zizi sous clé et les choses ont rapidement évoluées pour moi… D’abord le marquage de sa pleine propriété. Elle m’a emmené quelques jours plus tard me faire tatouer après m’avoir fait poser une RTT à la dernière minute. Je suis maintenant tatoué « petit homme soumis propriété de Claire » suivi de son nom de jeune fille, à deux endroits, sur le pubis et la fesse droite. Et elle a fait poncer in vivo sur la cage l’ancienne propriété de Maîtresse Emilie. 

C’est une femme qui opérait et je n’en menais pas large d’être exposé en soumis ainsi aux yeux extérieurs. C’est à partir aussi de ce moment que Claire a adhéré à un cercle de Dominante où elle m’emmène retrouver, toujours aussi honteux, mes « congénères » une à deux fois par mois, quand nous pouvons nous débarrasser temporairement des enfants…

Mais le plus dur à supporter est le collier qu’elle me fait (sup)porter en permanence, tant il s’attaque à mon image sociale. Extérieurement, ce n’est pas un collier d’esclave du XIXème siècle, mais intérieurement pour moi il l’est : ras du cou avec une plaque qui pend devant, une sorte de figure ethnique maori, symbolisant l’amour, qui intrigue tant les gens. Je dois me justifier en permanence devant les enfants, les amis, la famille, les collègues qui me demandent ce que c’est. « Une preuve d’amour », je leur réponds, en passant sous silence que le recto de la plaque porte mon statut d’homme soumis et le nom de ma Maîtresse, et que le fermoir sur ma nuque n’est pas un fermoir classique, mais un système d’écrou qui ne peut s’enlever sans une clé spéciale dont seule Claire sait où elle est cachée.

C’est globalement une période très heureuse qui s’est ouverte à partir du moment où ma propriété a été transférée. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a plus de « rencontres à la caisse » en préambule du week-end qu’elle va passer avec Monsieur chaque mois, justifié auprès des enfants par une passion soudaine pour les stages d’écritures, au point que cela leur parait maintenant naturel que leur Maman disparaisse régulièrement. Non la « caisse » m’est imposée pour me rappeler cruellement ce qui m’est interdit sans que jamais je puisse voir Monsieur.

Mais plus que cela, Claire veut maintenir l’équilibre entre ses 2 types d’hommes, ne pas faire oublier à l’un que l’autre existe dans sa vie. En plus des jeudis soirs, des week-ends de la « caisse », il se rajoute maintenant les 12 à 14, ou les 6 à 8, qu’ils me font organiser au vu de leurs plannings respectifs. Le comble de l’exploitation du cocu ! Mais savoir quand ils sont ensembles m’évite de trop angoisser en attendant à la maison avec les enfants…

Cette période a aussi coïncidée avec des évolutions dans nos carrières respectives, sous la forme de 2 promotions proposées par chacun de nos employeurs. Claire a accepté la sienne avec enthousiasme et m’a fait refuser la mienne, qui m’aurait trop éloigné de la maison et pris du temps. Mon patron n’a pas compris mon refus poli, que j’ai eu tant de mal à formuler, et a finalement donné le poste à un collègue ravi. Plus tard, du fait de sa grosse augmentation reçue, Claire m’a même demandé de passer à 80% le mercredi pour m’occuper des enfants et m’avoir à disposition le mercredi matin au besoin. Une conséquence amère de ma soumission que je vis toujours aussi mal…

- Et peut-être un jour, je te demanderai de tout simplement arrêter de travailler à l’extérieur…

C’est cela la vie de petit mari soumis, des choses auxquelles on adhère sans s’en rendre compte et d’autres que l’on regrette amèrement, nostalgique de sa vie d’avant. C’est comme une sorte de toboggan en spirale que Claire me fait descendre peu à peu, à coup de tours de vis progressifs ou brusques. Cela attaque à tous les domaines de sa vie, la sexualité d’abord, mais aussi son indépendance financière, administrative, de temps libre… Tout y passe sans que je me rende compte, ne regrettant plus que le dernier coup de vis et jugeant normaux les coups de vis préexistants…

Ma sexualité a été totalement chamboulée. Mon pénis est nié en permanence et j’ai même été percé au gland pour plus de sécurité, moi qui avais une sainte horreur des mutilations au corps. Claire ne m’autorisera plus jamais aucune pénétration : je dois en faire mon deuil. Par contre, j’ai été dressé à sucer Claire des heures durant si c’est sa volonté de manières de plus en plus sophistiquées et ritualisées, à tout moment et en tous lieux. Et devoir faire un quick cunni aux toilettes handicapé du supermarché pendant les courses de la famille, est une épreuve des plus éprouvantes.

Avec le cunni, ma sexualité de base est devenue la sodomie de mon cul plusieurs fois par semaine par le gode ceinture de Claire. Et là le slogan semble être devenu : plus long, plus gros, plus fort !

- Tu t’es fait enculer par une grosse bite à mon insu. Moi je te l’aurais interdit. Alors c’est ta faute si je dois pendre du très gros pour que tu le sentes passer…

Elle doit d’ailleurs m’attacher pour que je ne puisse pas m’y échapper. C’est puissant, c’est violent et j’ai fini à la longue par craindre quand elle me « saute » avec un enthousiasme dominant ne se gênant plus d’obtenir un orgasme de ses vilainies sur son petit mari…

C’est dans ce contexte qu’au bout de 213 jours, j’ai enfin  pu éjaculer quasi naturellement de mon zizi. Claire me l’avait annoncé une semaine à l’avance et me tenait sage comme une image pour ne pas lui donner une occasion d’encore le reporter.

J’avais hâte le mercredi matin d’être enfin libéré, mais Claire m’a surpris en me demandant de me préparer à sortir. J’ai cru à une dernière épreuve pour me tester mais non, nous avons roulé une demi-heure en dehors de la ville pour arriver finalement dans la cour d’une ferme !

- Pourquoi t’en étonnes-tu ? Où pourrait-on te traire si ce n’est dans une ferme laitière ?

Là j’ai tiré un peu la gueule et encore plus quand la fermière est venue à notre rencontre. Une femme très boulotte, aux formes gonflées et au visage particulièrement moche. Le pire c’est qu’elle parle si vulgaire. Mais elle a une qualité aux yeux de Claire et des autres Maîtresses de femmes qui amènent leur petit mari là : c’est qu’elle fait filer doux son mari à la ferme à coups de ceinture ! Claire est repartie immédiatement en voiture, me laissant seul face à la fermière.

- Bon toi, le petit connard, tu te fous à poil !

Moment difficile pour un petit mâle même soumis. Le froid de novembre me saisit d’emblée, mais il n’y aurait pas besoin de cela pour que mon zizi n’en mène pas large. 

- C’est sûr qu’avec ce matos, il ne faut pas chercher bien loin pourquoi ta Maîtresse est partie retrouver sa vraie belle queue !

Petit coup de chaud d’humiliation. Une baffe me fait mettre à terre en « animal à traire ». Je me vois équipé d’un collier d’un jeune veau et la fermière m’emmène dans l’étable…

J’y suis attaché à 4 pattes en attente entre les brebis qui curieuses viennent me lécher la peau. Claire a disparu et la fermière me laisse en attente, non sans me gratifier d’une tapette sur les fesses, le temps de réaliser la traite de son troupeau … Je « passe » après toutes femelles… sa façon à elle de me dire son mépris des hommes.

Cela m’a fait drôle d’attendre mon tour dans l’étable. Il y faisait certes plus chaud mais les fortes odeurs prenaient à la tête. C’était si humiliant d’être rabaissé ainsi ! J’étais cependant impatient de pouvoir enfin gicler !

Quand le troupeau fut fini, 2 heures plus tard, cela a été mon tour. La fermière est venue me chercher dans l’étable et m’a emmené à 4 pattes dans la salle de traite. J’en menais vraiment par large. Heureusement Claire était là de retour d’une visite rapide à Monsieur « très bonne » comme elle a répondu à la fermière. A l’entrée, je suis monté une plateforme…

- Il te faut lui décapsuler le « pis ». Mais le petit connard si tu y touches, je te garde une semaine à l’étable !

Cela me fait tout drôle de ne plus sentir la pression habituelle de la cage. Je me sens si nu sans… La fermière vient me reprendre au collier et m’emmène au dernier poste de traite, dans lequel je suis immobilisé d’une chaine prise à l’anneau du collier, le derrière vers la fermière en contrebas. Je tremblais un peu et encore plus quand elle m’a saisit le paquet des couilles…

- Mais c’est qu’il y aurait beaucoup de lait de « cocu » dedans. Je reste toujours aussi étonné combien les petits zizis encagés peuvent faire autant de réserves… Je le trait à sec ?

- Oui à sec s’il vous plait…

- Viens-là toi !

Elle m’a tiré les pattes pour m’amener au bord de la fosse, puis tout s’est passé très vite, juste le temps de frissonner quand sa main gantée m’a graissé le pis et me le fait dresser et hop j’ai été avalé par le faisceau trayeur. 

La traite mécanisée est surprenante au début. C’est comme une branlette très vigoureuse, un peu trop même. Je préfère - ou préférais – prendre mon temps au début. Le vide du système fait le même effet qu’un tube agrandisseur de pénis : il dilate à mort les corps caverneux, un peu douloureusement. Et puis cela monte, cela monte surfant sur la frontière douleur/plaisir. Pour cette découverte, j’haletais rapidement  mon plaisir crescendo…

- Je trais mon connard de mari depuis 25 ans. Parfois je le bâillonne mais j’aime bien aussi l’entendre minable à couiner dans la trayeuse. Pas besoin de cage pour lui. De toute façon, il y a 25 ans cela n’existait pas. Il suffit juste de s’assurer qu’il n’aura jamais rien à juter en le trayant  très régulièrement, plusieurs fois par jour même si je le surprends à bander… Ton mari lui a de la chance un petit tour chez Maggie et il pourra se reposer des semaines  dans sa cage…

La trayeuse était sur le point de m’achever. Je trémoussais du cul, de façon incontrôlée,  en sentant le sperme monter lentement…

- Bah, on dirait que le petit connard va gicler… attends je vais t’aider…

Elle m’a enfoncé son doigt ganté dans l’anus d’un coup ! Cela m’a surpris et déstabilisé : j’ai envoyé dans le trayeur mon « lait » sans obtenir le plaisir que j’en attendais. Un orgasme à demi-ruiné qui m’a été volé et le pire c’était que la machine ne s’arrêtait pas. Elle continuait une douloureuse masturbation de mon sexe, post éjaculation m’arrachant des petits cris.

- Profite, profite. Cela fait du bien, hein ? 

Elle me laisse « profiter » 5 minutes de la caresse inacceptable avant de reprendre la parole.

- Tu as dis que je le voulais que je le trais à sec ?

- Oui.

- Bah comme tu voudras mais il ne va pas aimer...

Elle a alors passé une barre de bois sous ma taille avant de presser sur mon anus ce qu’elle appelle un « éjaculateur ». Il a forcé pour me pénétrer et aussitôt j’ai senti les contractions incontrôlées de mes muscles et sphincters, extrêmement douloureuses, créées par ce qui était une sonde anale électrique, comme je comprendrais plus tard sur l’ordinateur du travail. Tout mon sperme était tiré comme on tirait dans la ferme ceux des taureaux ou des verrats reproducteurs quand les méthodes naturelles échouent.

Mon corps s’est effondré sur la barre de bois dont je comprenais maintenant l’utilité et la trayeuse ne cessait pas d’aspirer tout ce qui sortait de mon pis. Je criais, hurlait bientôt au point que Claire dût venir me donner du courage d’une caresse dans les cheveux. Au point que tout ce qui avait été accumulé dans mes testicules depuis tant de semaines sortit avant que la sonde fût retirée. 10 ml au total dans la fiole de traite ! Gardé pour « nourrir » le mari…

Il restait encore à remercier la fermière de ma traite la tête coincée entre ses cuisses pour un des pires cunnilingus que je n’ai jamais dû « offrir » dans le gras, l’odeur et les déferlantes de mouilles désagréable. Et il en sera ainsi les 6 autres fois où Claire m’en amené me faire traire à la ferme...

Je suis sorti de cette première fois, exténué du processus de traite qui avait été intégralement filmé par le téléphone de Claire pour être mis sur son blog, que je n’ai jamais vu. Elle y raconte en menus détails mon dressage et y attire à ce quel me raconte une partie de ses congénères Dominantes et un tas de petits mâles en recherche du frisson de soumission donc elle doit filtrer les commentaires « Si demain, je veux me débarrasser de toi, il y a un tas de garçons prêts à prendre ta place… »

Globalement je suis trait in-vivo toutes les 4/5 semaines tant que je me comporte bien à la maison, mais toujours dans l’humiliation qui semble maintenant sans limite à Claire. Ejaculer en me « frottant » contre sa bottine, en baisant une poupée gonflable. Les traites manuelles à l’ancienne sont rares donc très appréciées de ma part même si Claire utilise un gant épais pour cela. Et puis il y a les jeux au club des Dominantes dont le plus cuisant est « les culs alignés » que j’ai perdu une fois. 

Nous sommes 5 soumis courbés au dessus d’une table de ferme, bâillonnés, aveuglés, empêchés d’entendre par des boules quies dans les oreilles, à présenter aux mains de Dominantes nos sexes décagés. Chaque couple zizi/Dominante est choisi au hasard avec la règle qu’il ne peut s’agir de sa propre Maîtresse. Au top, chacune branle le zizi devant elle. Elles varient les situations et nous ne le savons jamais à l’avance à quelle sauve elles vont nous traiter : cela peut être par exemple avec des orties ou un gant à petites pointes.

A ce jeu, il ne faut être ni premier à partir, ni dernier. Quand 4 soumis auront éjaculé, la branlette sera arrêtée pour le dernier qui sera remis en cage sans avoir pu jouir. Et le premier remporte le léchage sur le sol du carrelage, de sa propre tâche de sperme ainsi que celles des 3 autres. Donc tout est capacité de résister aux caresses suffisamment longtemps mais pas trop pour avoir la possibilité de partir. Cela peut paraître simple mais là où cela se complique est que la simulation se fait par vagues rapides de 10, 20, 30 ou 60 s au hasard d’une application sur ordinateur. Sans voir où en sont les autres, il est difficile de savoir s’il faut se retenir ou se laisser aller à la caresse, et parfois la durée de la simulation crée l’incident fatal.

J’ai perdu 2 fois : la première où une excitation initiale de 60s m’a fait partir le premier. Et il y a un mois, où les autres m’ont surpris à partir en 30 + 10s. J’étais le dernier et donc remis en cage sans avoir pu éjaculer. Je suis donc techniquement chaste pour la 11ème semaine…

Au club, les Dominantes se motivent entre elles à nos dépends. Nous avons ainsi eu un jour un concours de goutâge de nectars dorés à l’aveugle avec distribution de coups de cravaches pour chaque nectar non reconnu : 5 pour une faute, 10 pour 2, 20 pour 3, puis 40 pour 4 et enfin 80 si aucune réponse bonne. La première fois, j’ai fait 5 erreurs mais j’ai fait des progrès et trouvent maintenant entre 2 et 3. Il y a aussi le concours de « dureté » qui ne finit pas ravir nos Maîtresses. Chacun est mis en érection au-dessus d’un bol de peinture. Si la dureté est à un moment flageolante, le zizi est marqué et cette manche est perdue. Nous récupérons alors un gage humiliant. 

Il existe aussi un autre jeu appelé : « je mouille donc je suis soumis ». Elle se fait elle en cage, tenue en l’air par un élastique, nous 5 autour d’un miroir rond, les mains immobilisées au milieu du dos. Nous devrons nous concentrer pour faire couler nos zizis encagés sans aucune stimulation. En jeu : + 4 semaines de cage pour le dernier à couler !

J’attends maintenant l’arrivée de mon petit Maître dans le chenil. J’ai bien dit mon Maître car dans cette improbable communauté à 4 j’ai récupéré la place la plus inférieure. C’est son heure et je soupçonne les femmes de l’exclure de leur nuit passée ensemble. L’une et l’autre apprécient tant les plaisirs matinaux.

Etonnante évolution de ma relation avec Hervé d’ailleurs. Même dans mes plus fous fantasmes ou cauchemars, pas une seconde je n’aurais imaginé cela ! Qu’il finisse par abuser sexuellement de moi… Je ne crois pas qu’il soit pour autant devenu bisexuel, sans doute beaucoup moins en trouble que moi sur son identité sexuelle. Mais les faits sont là, il se fait sucer et je recueille sont sperme dans ma bouche, ou il me saillit le cul jusqu’au dénouement. Je suis en quelque sorte devenu sa tapette à foutre quand les femmes se font exclusives.

Cela a commencé un week-end quand nous sommes allés les voir pour la naissance du petit Arthur. Il était heureux certes mais avec un fond de tristesse sur sa paternité par procuration. Et je veux bien le comprendre : avoir une descendance est une chose importante dans l’accomplissement de la vie d’un homme et là quelque part, je venais ternir cette joie primitive.

Claire était partie chercher Emilie à l’hôpital en emmenant les enfants. Nous étions seuls à la maison à encore fêter une peu alcoolisés la naissance de petit merveilleux. Nous discussions de nos Maîtresses de femmes et de leurs penchants  sur leurs petits maris soumis. Cela a glissé sans que je m’en rende compte sur un détail d’un banc de sodomie profonde au garage. A l’origine un simple établi de bricolage avec des possibilités astucieuses d’immobilisation que j’ai demandé à Hervé de me montrer.  Emilie et Hervé ont évolués de façon étonnante depuis l’épisode de l’Etang, vers plus d’égalité sexuelle. Et si Madame aime toujours autant se faire sodomiser à fond, Monsieur apprécie de se faire prendre régulièrement le trou au strapon.

Nous sommes descendus au garage. J’ai voulu tester ce « fameux » banc et me suit retrouvé sans difficulté courbé et attaché sur l’établi… La suite est malheureusement trop claire dans mon esprit. Hervé m’a détaché ma ceinture et descendu mon pantalon et mon caleçon. J’ai protesté : « hé, que fais-tu ? ». Il n’a pas dit un mot alors qu’il lubrifiait mon anus. Je croyais encore à un jeu maladroit mais j’ai alors senti son pénis tout dur pousser sur ma rondelle. J’ai hurlé : « Non ! Non ! Non ! Je ne veux pas… », alors qu’il me pénétrait. Et encore « Non tu n’as pas le droit ! » alors qu’il me baisait le cul.  Les râles de jouissance d’un ami qui vous force est chose difficile à entendre. Pas de processus de sublimation d’humiliation là. Juste la douleur et la honte de se faire violer par celui qui est son ami !

Il m’a finalement laissé et est remonté. Je tremblais. J’avais froid. J’étais complètement déboussolé. J’ai appelé Emilie pour tout lui raconter.

- Reste là : nous sommes sur le chemin de la maison…

Je me suis réfugié au fond de leur jardin, dans l’incapacité de me calmer. Claire m’y a rejoint et m’a demandé de tout lui raconter depuis le début, ce que j’ai fait en pleurs pendant qu’elle me consolait.

- Attend-moi. Je reviens bientôt… après être sûre d’avoir tout compris avec Emilie.

Elle est revenue mais pour me dire de rentrer, de prendre une douche et que nous reparlerions de tout cela, une fois les enfants couchés. Ce qu’Emilie et Claire firent en mode Maîtresses :

- Nous avons pas mal discuté en aparté. Et nous nous sommes accordées. Premièrement, Hervé n’avait pas le droit de te violer le cul de cette manière. Il sera donc puni de 3 mois de chasteté totale en cage ce qu’il n’a jamais subi. Secondement, il apparait qu’il a des conséquences atténuantes et vit très mal qu’il soit incapable d’être le géniteur de son fils. Il y a donc beaucoup d’inconscient dans ce qu’il t’a fait subir, en symboliquement giclant en toi son sperme pour boucler la boucle avec le sperme que tu as giclé en moi pour participer à concevoir Arthur. Il redevient ainsi symboliquement son vrai père. Nous pensons que nous devons garder le juste équilibre entre nous 4. Donc Hervé de te présentera formellement ses excuses ce soir. Ta bouche sera sa dernière jouissance avant 3 mois de désert. A avaler bien sûr. Et nous croyons que cela ne suffira sans doute pas. Donc à partir de cet instant, Hervé gagne un droit total de cuissage sur toi.

Même pas puni à la canne ? J’ai quand même voulu protesté que je ne trouvais cela pas équitable, mais une cinglante gifle de Claire en retour m’a coupé toute véhémence. Le « jugement » s’est déroulé comme annoncé. Hervé a présenté humblement ses excuses et je l’ai sucé jusqu’au bout. Il a été finalement enfermé sous clé pour 3 mois, mais s’est bien vengé sur mon cul lors du séjour à l’Etang l’été dernier. Sauf que cette fois, il n’est pas au courant mais Emilie a prévu de lui faire la surprise de lui offrir un vrai dépucelage de cul par Monsieur Jean pour son 40ème anniversaire qui tombe dans 2 jours. J’en rigole d’avance…

Depuis, il est devenu « habituel » qu’Hervé profite de mes faveurs quand nous sommes ensemble. Comme je disais, c’est une évolution étonnante qui finalement ne m’effraie plus, de connaître si intiment et sexuellement mon ami. Il est comme un autre quand il prend égoïstement son plaisir de ma bouche ou de mon cul, mais arrive à redevenir le bon copain après. J’ai maintenant, comme une sorte, d’addiction à son « saint » pénis. Peut-être même, quelque part, comme un sentiment de respect  un peu amouraché maintenant.

Je suis heureux quand il me rejoint le matin, mettant fin à ma solitude. D’ailleurs le voilà ! Je suis un chien sans queue mais je la remuerais bien pour lui faire sa fête ! Il s’est habillé à la vite. Il rentre dans ma cage sans un mot. Les mots ne sont plus nécessaires entre nous… Il me détache le collier du câble et je me mets à genoux à ses pieds. Il se déboutonne et met son sexe à l’air. Je sais ce que j’ai à faire.

Depuis longtemps, il ne porte plus de cage mais un simple et très symbolique anneau d’appartenance autour de ses couilles. C’est lui qui l’a proposé à Emilie. Contrairement à moi, il est donc libre de bander. J’embouche son sexe encore rabougri pour recueillir à la source son urine amère du matin. J’adore cela. Je me sens moi-même en faisant cela… J’avale tout son flux en bon petit soumis excité, avant d’avoir la joie de le sentir se gonfler à la fin de la miction alors que je le garde en fond de bouche. Je le suce avec avidité jusqu’à ce que je recueille sa semence dans ma gorge. Je me sens dévoué et utile à lui donner du plaisir, une autre forme atypique d’amitié poussée entre 2 hommes.

Puis vient le moment quotidien de discipline qui lui ait dévolu pendant ces vacances. Je suis transféré avec mes chaînes dans l’atelier, où Hervé a bricolé, lors de notre séjour de l’an dernier, une sorte de carcan avec 2 planches, installé entre 2 poteaux. Il me fait relever, mettre tête et mains dans les demi-trous avant de refermer et m’immobiliser. Son truc à lui c’est le strap de cuir souple qui m’attend sur un clou devant moi. 

Malgré les années, j’ai toujours la même boule au ventre quand je vais être frappé. Je le regarde le prendre avec appréhension et disparait de ma vue. Je sais parce que Claire me l’a dit qu’Hervé n’aime pas me faire mal. Elle l’a rassuré en lui disant que j’en avais besoin et qu’elle comptait sur lui. Besoin ? Claire a forcément raison malgré moi. Je crains d’y passer avant mais j’aime me retrouver pendant à voguer en état second dans les méandres de mon esprit compliqué. Je tremble néanmoins, tremblement arrêté de sa main ferme sur mes fesses, une des choses les plus follement érotiques que j’ai appris à connaître et qui déjà me fait bander comme je peux dans ma cage.

Ma bandaison tombe vite quand il commence à aplatir de toute sa force la lanière de cuir sur mes fesses. Je crie comme il aime me faire crier. Son travail au corps commence précis et exigeant, jouant de mes réactions incontrôlées, me ramenant sans cesse, d’un coup à droit ou à gauche au centre de sa cible. Une bonne raclée, même de discipline, se doit d’être un matage en règles. J’aime sentir que je n’ai pas d’autres choix que de subir. Aucune échappatoire possible. Et au fil du temps, il se révèle très doué pour cela. C’est parce qu’il m’aime et me respecte, qu’il réussit à se sublimer pour m’emmener loin. « Qui aime bien, châtie bien »  le proverbe n’a jamais été aussi vrai…

Je finis comme chaque matin les fesses rouges et brulantes, striées de nouvelles marques qui font ma fierté de soumis. Il repose le strap et passe à la suite, à la « monte » de mon cul bien chauffé à sec. Nous utilisions du lubrifiant avant, mais cela correspond finalement plus à mon état d’esprit que de le sentir me forcer à vif ! 

J’adore le sentir m’écarteler les chairs internes et progresser de rupture en rupture. Je serre les dents attendant le moment où il me sera presque agréable. Il est arrivé au bout. Je sens le verrou de son anneau m’écarter la raie. Et là comme à chaque fois, il commence à coulisser d’abord douloureusement avant mon plaisir infini de se faire prendre le cul. C’est à ce moment que les femmes apparaissent…

- Salut les garçons ! Bien dormis ?

Hervé s’immobilise le temps de claquer la bise à sa femme et à Claire. Il doit se tourner à demi pour cela et j’adore la sensation de sa bite qui dérape dans mon conduit interne et pousse sur les muqueuses.

J’ai hâte de retrouver ma Claire mais la tête coincée dans le carcan, je ne peux la voir. Elle l’a compris et s’avance à mes devants. Elle a un sourire radieux, le corps nu juste couvert par une veste de coton blanc qui protège son ventre enceint de 6 mois que l’on voit bien maintenant.

Claire m’embrasse sur la bouche !!

-Bonjour à mon petit toutou  favori. Il a bien dormi ?

Je réponds par un ouaf-ouaf qui la fait sourire. Si vous avez suivi notre histoire de vie, vous savez déjà que chez nous cela ne fonctionne pas totalement comme dans le reste de la société, ou plutôt les limites que nous nous mettons vont bien au-delà de celles « bonnes-mœurs ».  Là il y a eu la confluence plusieurs choses. L’envie de Claire d’être une dernière fois maman d’une ou d’un petit bout, avant le voile de la vie qui passe, surtout après voir vu Emilie le devenir. La relation de Claire avec Monsieur a pris une tournure sentimentale que j’ai vu peu à peu s’établir. Cela m’a inquiété au début, mais après j’ai compris que ma Claire pouvait être finalement poly-amoureuse.  Tout cela a aboutit au désir fou d’avoir un enfant de Monsieur…

Je n’étais pas au courant au début, de toute manière, qu’est-ce que j’aurais pu dire ?  C’est un peu l’arroseur, arrosé, ou le fouteur, foutu. Je ne suis pas le mieux placé pour le reprocher d’abuser de sperme baladeur ! 

Mais tout cela nécessitait l’accord de sa propre Maîtresse et il a bien fallu qu’elle passe à table.  Et comme toujours Maîtresse Emilie a organisé les choses en discutant des conditions avec Monsieur. Pour ce que j’en sais l’idée de concevoir lui a plu, mais - grand heureusement pour moi ! –il ne souhaite pas vivre avec la mère, n’envisageant pas de relation en couple permanent. Je ne sais pas ce qu’aurait fait Claire s’il y en avait été autrement… 

Donc voilà ce qu’il a été convenu et que Claire m’a annoncé le soir où j’ai découvert, de ma bouche et de ma langue, que Monsieur ne mettait plus de capote pour lui prendre la chatte. Pour protéger la fratrie, j’élèverai cet enfant comme s’il était le mien. Monsieur deviendra le parrain. Il parait qu’un enfant sur 10 n’est pas de son père, cela sera mon cas, en toute conscience. Mais des conditions spéciales visant à me maintenir dans mon statut de mari soumis ont été mises en place.

La première est que je n’ai pas eu le droit de savoir avant la 12ème semaine  - délai maximal pour l’avortement  - que Claire était enceinte. La deuxième est que maintenant, Claire me fait systématiquement la nettoyer des jouissances de son amant entre ses cuisses quand elle revient. Elle trouve cela très symbolique que je passe en dernier et orgasme beaucoup de cette situation. C’est Monsieur qui l’accompagne aux visites de suivi de grossesse, et non moi. Comme il assistera à l’accouchement de notre enfant. Claire m’a dit de m’attendre que, pendant ce temps, je sois remisé à la niche du sous-sol...

J’ai un sentiment paradoxal sur cette situation. Je crois que j’ai envie d’avoir un 3ème enfant à élever et que m’importe qu’il soit d’un autre. Mais d’un autre côté, je reçois l’humiliation qu’il soit d’un autre qui baise ma femme.

Claire me prend le visage entre les mains pour le « final » d’Hervé dans mon cul. Il me pistonne violemment et je sens ses boules taper sur ma raie. J’ai du mal à ne pas laisser échapper de mes lèvres mon plaisir d’être baisé, tout en étant rouge de honte que ma Maîtresse me regarde particulièrement dans cette situation…

Hervé finit par exploser en moi et je goutte une nouvelle fois l’humiliation brute sous les yeux de Claire. Il était temps car mon sexe encagé n’en finissait pas de couler de plaisir épicé. J’ai crains même de partir en cage à un moment, et ça c’est une ligne rouge qu’il m’est interdit de franchir…

- Tu sais que tu es beau mon amour, quand tu jouis de te faire baisser… allez il est temps de laisser mariner tout cela…

Elle me surprend à m’enfiler le plug verrouillable qui se déploie dans mon rectum. Elle me retire du carcan elle-même avant de me ramener dans le chenil, pour me rattacher au câble. Je laissé de nouveau seul alors que les autres vont déjeuner…  Je sais qu’on ne m’oubliera pas et que j’aurai droit à mon assiette de pâtes froide plus tard dans la matinée. 

Je me concentre sur le chant des oiseaux, mes compagnons de chenil…

Je m’appelle Pierre Berthiault et je vais volontairement passer le reste de ma vie en soumission aux Autres. J’ai eu la joie et la sagesse d’épouser une merveilleuse femme, Claire, qui est devenue ma vraie Maîtresse de femme au tournant de notre vie…

Même enfermé au fond de mon chenil, je n’ai jamais été aussi heureux et en accord avec ma vraie nature d’homme…

Je t’aime tant, « ma » Claire ! 

Je vous vénère aussi mes amis, Maîtresse Emilie et Maître Hervé.

Et je vous remercie, Monsieur, de si bien s’occuper de Claire et de me donner un 3ème enfant à élever. 

Merci à tous de m’avoir emmené là où j’en suis…  

 

THE END

   That's all folks

 

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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