Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 16:58

Le logement qui nous a été attribué est sur 2 niveaux, un rez-de-chaussée avec le salon, le coin cuisine ainsi qu’une petite chambre d’enfants aux lits superposés et un étage avec la salle de bain et la chambre parentale sous combles. J’y viendrais en famille que je dirais que cela est mal conçu d’avoir mis la pièce d’eau à l’étage, mais pour ce week-end c’est sans importance.

Il est théoriquement mitoyen avec d’autres logements, mais j’ai demandé expressément à la réservation de ne pas avoir trop de voisins, et la réceptionniste m’a confirmé que nous serions les seuls hôtes du carré de logements, pour ce dernier week-end. Je ne sais pas, vu le contexte qui a tourné depuis la réservation, si je dois m’en réjouir ou m’en inquiéter…

Une fois le tour terminé et les valises montées dans la chambre, nous nous retrouvons dans le salon. Emilie prend place dans le canapé.

- Déshabille-toi, Pierre…

L’ordre est simple, mais si impliquant. Je ne peux m’empêcher de tourner vivement la tête vers la porte fenêtre aux rideaux ouverts, précaution inutile puisque je sais que nous sommes probablement les seuls. Je rougis à l’indécence de cette demande et enlève nerveusement mon pull.

- Non pas comme cela. Lentement… Fais-moi un strip-tease langoureux, que j’en profite…

Pour m’inciter - ou m’humilier ? – Emilie fredonne les premières notes de la scène hot de « 9 semaines et ½ ». Je suis mal à l’aise à essayer de mettre, maladroitement, un peu de sex-appeal à un acte aussi banal que de se dévêtir. Je retire lentement mes vêtements, essaye de faire voler mes chaussures, d’enlever mes chaussettes comme des bas avant de me tourner pour faire descendre finalement mon slip et dévoiler ma raie du cul à la face du monde ! Je l’entends tout ce temps glousser doucement de ma maladresse, mais le résultat est là : je suis tout nu devant Emilie qui est restée habillée. Tout un symbole ! J’ai le souffle court et la honte aux joues…

- Viens me voir…

J’avance de quelques pas devant le canapé peu rassuré, en cachant instinctivement de mes mains mon sexe encagé.

- Enlèves tes mains pour me laisser voir…

J’obéis à contrecœur. Je ne sais que faire de mes mains qui bougent nerveusement. Finalement Emilie me les fait poser ridiculement sur le sommet du crâne. A ce traitement, je sue rapidement l’appréhension du soumis.

Emilie prend mon oiseau encagé entre ses doigts. Je sursaute à leurs contacts. Je préfère ne pas voir et fixe à la place le plafond blanc. Mon sexe est manipulé de gauche à droite pour pouvoir être observé dans sa gangue. J’anticipe le moment où elle le fera avec moins de précaution.

- C’est vrai que c’est émouvant un petit zizi en conserve. Cela ne peut plus mordre du tout…

Et comme si elle voulait me le démontrer de facto, son petit doigt se glisse entre les barreaux pour venir, de son ongle, me titiller le gland emprisonné. Je soupire d’un plaisir trouble, et me retrouve, trop rapidement à mon goût, gonflé dans ma prison à suinter ma frustration.

Emilie abandonne finalement mon sexe pour s’en prendre vicieusement à mes tétons : elle les flatte d’abord en traîtresse pour les faire pointer avant de les serrer en tenailles. Je crie.

- C’est qui la chef ?

- Vous !

- Il sera bien obéissant avec moi, le petit Pierre?

- Oui, Madame !

J’ai dit ces derniers mots en hurlant presque de douleur. Je ne peux qu’être impressionné comment en quelques minutes, Emilie a pris l’ascendant. Elle se révèle avoir un don pour la domination, et à ce moment, cela m’inquiète plus que cela m’excite.

- Tourne-toi et tends-moi ton cul !

Encore un ordre simple mais tellement impliquant. J’obéis en tremblant. Je dois me pencher et écarter mes fesses de mes mains. Ma position est instable mais plus que tout, c’est surtout le cœur que j’ai au bord de l’abime à devoir m’exhiber par là.

Au bout de l’observation visuelle et commentée, Emilie va « explorer ». Le contact de son doigt sur ma rondelle est électrique et désagréable tant elle use de son ongle acéré pour m’agacer. Elle a bientôt aucune réticence à forcer le trou à s’ouvrir autour de son doigt. J’ai si honte à sentir cet intrus m’envahir le cul ! L’ongle qui le surmonte a un côté exigeant et piquant, dont Emile sait jouer à me fouiller de l’intérieur. Je me rebelle un peu et cherche à échapper à cette fouille intime mais une main en prise sur mes couilles sans défense, sait me rappeler à rester en place…

- Une des Maîtresses de tes sites préférés, écrit qu’une fois que l’on possède le petit trou d’un mâle, on possède aussi son âme. Je l’ai noté au passage. C’est quand même fou cette obsession des hommes de pourfendre absolument notre petit trou de votre bite, alors que vous nous servez une soupe à la grimace dès que cela s’en occupe un peu du votre. Vous n’êtes pas logique ! Pas même ton ami François qui dit ne pas aimer que je lui mette mon doigt au cul pendant que je le suce, en bonne épouse, que ce n’est pas assez mâle… alors qu’il adore m’enculer.

Que pourrais-je répondre alors que j’ai un doigt féminin sans doute revanchard qui me travaille justement par là ?

- En tout cas, il n’y a pas à dire, tu as un petit trou très accueillant, presque féminin…

Cela doit être la conclusion car Emilie retire alors son doigt, heureusement en douceur, pendant que je bois l’humiliation de sa dernière remarque.

- Remets-toi et tourne-toi vers moi…

Je découvre une Emilie quasi en majesté sur le canapé, qui maintient le poing de sa main droite serré, ne laissant pointer que l’index qui vient de me visiter.

- Mets-toi à genoux, s’il te plait.

Je tremble en prenant la position demandée, si symbolique de la D/S. Le doigt se présente devant mes lèvres. J’ai lu suffisamment de classiques de soumission pour savoir ce qui est attendu à cet instant… La soumission vous force à consentir ce que vous ne feriez pas d’habitude. Je nettoie donc ce doigt de ma bouche avec l’humiliation réelle d’y reconnaître le goût acre de l’intérieur de mon cul, forcément. C’est le genre de dépassements un peu tabous qui finit de me subjuguer et m’envoie loin dans ma tête compliquée.

Emile conclut d’un « tu es un bon soumis » avant de rajouter pernicieusement :

- D’ailleurs, il ne te manquerait pas quelque chose, si tu es mon soumis pour ce week-end ?

Emilie est définitivement parfaite en Maîtresse crédible… Je réfléchis vite : qu’est-ce qui pourrait me manquer ? Je sais !

- Un collier, Madame ?

- Mais c’est que tu n’es pas con, comme garçon. Oui un collier et une laisse pour mon soumis. Heureusement que j’y ai pensé à ta place… Va me chercher mon sac à main sur la table… s’il te plait.

Je reviens avec son sac et je la regarde, stupéfait, sortir de son sac un collier de chien(ne)rose avec du strass brillant! C’est immettable pour un homme et bien évidemment c’est pour cela que cela a été choisi. 

- Maîtresse neuve, donc collier neuf. Cela m’a beaucoup amusé d’en trouver un sur internet… à ton intention.

Je la laisse me le passer autour du cou. Il me serre un peu et un cadenas en forme ridicule de cœur vient le verrouiller. La honte totale !

- Et la laisse… pour promener le toutou…

Tout aussi rose qui vient se fixer à l’anneau du collier. Emilie me fait basculer sur le sol en tirant sur la laisse et promène son « chien » avec une jubilation non masquée dans le salon. C’est une totale nouveauté pour moi. Je suis mal à l’aise au début à avancer à 4 pattes au bout de sa laisse, mais je me prends bientôt au jeu. C’est érotique de se sentir emmener ainsi, dans le contraste d’une femme habillée et débout, et de moi, nu et au sol. Mon zizi suinte maintenant beaucoup dans ses barreaux et elle ne manque pas de m’en humilier et de me faire remarquer oh combien je laisse des traces de « baves » derrière moi…

Je tique cependant quand Emilie décide subitement d’agrandir notre espace de jeu en ouvrant la porte fenêtre. Je marque un arrêt. C’est beaucoup plus engageant d’aller dehors ainsi. On ne sait pas ce que l’on peut rencontrer. Je sens qu’elle est prête à renoncer à son intention vu mes réticences. Et cela ne me plait pas : pas assez Maîtresse à mon goût. Je force mon destin, le ventre noué quand même, en franchissant le premier, en chien courageux, le seuil de la porte fenêtre.

Je dois être devenu totalement fou… Mais j’aime immédiatement cette sensation d’être un toutou nu, soumis à l’extérieur. Les lieux sont heureusement déserts et je prends confiance à trottiner dans l’herbe en suivant la laisse. Emilie sourit à mes facéties de jeune chiot maladroit auxquelles je l’amuse. Il n’y a que le temps qui menace et la clarté encore là il y a une demi-heure au bar, est en train de se faire avaler par des nuages noirs.

Et d’ailleurs cela ne manque pas, alors qu’Emilie m’a fait atteindre le point le plus éloigné des espaces verts entre les maisonnées pour tourner autour d’un pin, les nuages se relâchent et une pluie drue commence à tomber. C’est le signal de la débandade. Emilie oublie sa laisse. J’oublie mon rôle de chien et nous courons nous mettre à l’abri ! 

Je rentre complètement mouillé dans la maison et frigorifié. Emilie n’est guère mieux avec son bas de pantalon et son pull trempés. Le plus naturellement du monde, elle les enlève…

- Attends, je vais te trouver une serviette…

Je l’entends monter dans l’escalier et en revenir avec de quoi me sécher. J’apprécie l’attention et essuie soigneusement l’humidité sur ma peau. 

- Que c’est bon d’être de nouveau sec !

- Oui, c’est pour cela que je ne prendrai jamais de chien… Il faut le sortir même quand il pleut !

Je la regarde interloqué par sa remarque et je pars d’un grand éclat de rire. Elle m’y rejoint dans la bonne humeur. Puis les rires finissent par se taire et je prends conscience qu’elle est en culotte et soutien-gorge devant moi. J’admire ses formes élancées, non dénuées de charmantes rondeurs. C’est magnifiquement troublant et crée un émoi incontrôlable à mon zizi qui se cabre dans sa boite. J’en ai un peu honte, mais cette femme me fait sexuellement envie. Pas une envie d’un petit mâle pressé de s’y enfoncer avec délice, mais celle d’un petit soumis curieux et avide de la goûter, de la boire au plus intime…

Bien sûr à ce petit jeu, je me fais prendre et je la retrouve les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle a vu et se mord maintenant nerveusement la lèvre. Que va-t-elle décider ? Elle semble débattre avec elle-même sur ce qu’elle va concéder. J’attends… et finalement à ma grande joie, elle se décide.

- Et si nous allions dans la chambre ?

Je réponds un « ouaf ouaf » enthousiaste qui la fait sourire, et l’incite amusée à me montrer le sol du doigt. Retour en mode canin pour se retrouver au pied de l’escalier.

- Tu passes le premier que je vois ton cul charmant me sourire quand tu monteras.

Elle ne peut pas être plus claire ! Je me demande quel goût elle aura, pendant que je monte les marches. Je me sens aussi tendu et intimidé, comme à un premier rendez-vous amoureux. Je me retrouve dans la chambre au pied du lit, seul alors qu’elle s’arrête à la salle de bain :

- Je passe aux toilettes et je suis à toi…

Le temps des toilettes se prolonge en une douche. Je ne débande cependant pas. Quand elle me rejoint, elle porte un peignoir en éponge blanche. Tout homme imaginerait que la femme est nue dessous et moi aussi. Va-t-elle me faire venir la renifler sous les pans du peignoir ? Va-t-elle se faire sucer debout la tête collé contre sa vulve entre les pans ? Je m’affole d’une envie de la boire séance tenante !

Mais je me trompe et je suis trompé. Emilie se contente de prendre des habits dans sa valise et retourne dans la salle d’eau, pour en revenir sagement habillée d’une jupe portefeuille et d’un chemisier. Je comprends que mes services ne sont pas envisagés pour l’instant et je m’en sens frustré…

Elle semble un instant un peu désolée en lisant la déception sur mon visage et la sagesse de passer rapidement à autre chose en posant mon bagage sur le lit à ses côtés.

- Alors fais-voir les joujoux que tu as apportés… Claire m’a dit que, te connaissant, tu en as vraisemblablement pris quelques -uns…

Elle tombe en premier sur ma cage de chasteté en plastique que j’ai mise dans un sac de congélation transparent, sur le dessus.

- Tu es quand même un mari bizarre de prévoir de te faire enfermer le zizi pour ton anniversaire de mariage plutôt que de penser à honorer ta femme ! 

Sa main manipule le sachet.

- Tu la portes souvent ?

- 54 jours depuis le 1er janvier. Au début de ce printemps et en août quand les enfants sont partis… c’est quand cela m’excite et que c’est possible.

- Oui, Claire nous a dit que c’est toi qui désire être encagé au fond. Je suis neuve en ce type de relations sexuelles, mais je trouve que cela fait commandé, pas très D/S en fait. Cela ne serait pas à Claire d’en décider ?

Neuve peut-être, mais elle tape en plein mille au premier coup ! Je baisse les yeux…

- En théorie oui mais Claire ne le fait ou veut pas… Elle participe activement à mes « fantaisies sexuelles » parce qu’elle m’aime, mais elle ne veut pas que l’on change le mode de fonctionnement de notre couple. Elle ne m’a pas épousé pour avoir un mari soumis à la maison…

- Humm embêtant tout cela. Surtout quand on a des fantasmes pleins la tête de Maîtresses exigeantes et implacables. D’ailleurs vu de l’extérieur, avec une capacité intacte d’étonnement, le fameux BDSM, c’est d’abord un sujet de branlettes de queues des hommes. C’est toujours les mêmes thèmes qui reviennent dans les vidéos, surtout des filles en position de soumission, et la part de vécu réel me semble finalement très faible sur internet…

Emilie n’a pas tort. Si elle savait combien de fois que je me suis astiqué derrière le dos de Claire devant mon écran…

- Et donc tu t’en laisses sortir pour éjaculer de temps en temps ?

Sa remarque est acerbe et me ramène à ma situation avec Claire, où j’aimerais qu’elle prenne plus les commandes… Je choisis cependant de répondre le plus honnêtement possible.

- C’est à la base une cage pour rester chaste. Au début oui, maintenant non. J’aime bien me sentir excité en permanence par le manque… finalement. Et en août, Claire a accepté pour la première fois de garder ma clé !

Je lance cela comme un grand succès même si, en même temps, j’ai honte d’avoir si peu à me glorifier. Je suis effectivement loin d’être la partie soumise d’un couple D/S.

Emilie ouvre le paquet et respire la cage.

- Ouah, cela schlingue ! 

- C’est le plastique qui fait cela, c’est pour cela que je voulais changer pour une cage de métal. Je m’assois sur les toilettes pour uriner mais cela coule quand même dedans. Claire est ravie que je ne mette plus à côté à côté des WC !

Encore une gloriole à la con… Tu parles du progrès : devoir porter une cage pour pisser proprement sans dégueulasser !

- Tu fais comment pour te laver le sexe ?

- Avec le plastique, il n’y a pas d’autre choix que de l’enlever tous les matins. Mais j’espère, comme j’ai lu, qu’avec la cage de métal, je pourrais me laver le sexe sans l’enlever. 

- Si j’ai un conseil de femme, épile-toi les poils, cela retiendra moins d’odeurs. Et en plus cela sera plus joli avec la cage, car ces poils d’homme qui dépassent, cela gâche un peu l’esthétisme du machin. D’ailleurs les bites encagées n’ont pas de poils sur internet. Tu veux que l’on profite de notre week-end pour le faire ?

Je comprends que c’est une fausse invitation, et qu’Emilie vient de décider de me rendre aussi glabre qu’un garçonnet. J’ai toujours soigneusement évité de le faire, me contentant de couper aux ciseaux les poils qui se coincent dans la cage. Comme si j’avais peur de franchir une ligne et ne jamais plus pouvoir revenir en arrière… Mais là plus le choix et finalement j’aime ça. Je réponds dans un trouble délicieux…

- Comme vous voudrez, Madame.

- Encore un vouvoiement respectueux, que tu me sors à chaque fois que tu es touché. Je n’y ai jamais pensé mais le vouvoiement met de la distance, très utile dans un mode D/S. Alors j’ai envie de t’aider et en même temps de t’embêter un peu : tu ne feras que me vouvoyer ce week-end, ici ou à l’extérieur. Et tu m’appelleras respectueusement Madame. Règle absolue !

Emilie a une telle compréhension innée des mécanismes de la D/S que je regrette que Claire n’est pas la même…

- C’est douloureux de porter une cage ?

- Douloureux ? Non, Madame. Mais parfois cela échauffe la peau. C’est surtout fatiguant à la longue d’être réveillé la nuit pas les érections en cage et le matin, quand les couilles sont rétractées, ce n’est pas le moment le plus agréable.

- Tu vas pisser pour arriver à débander la nuit, comme j’ai lu que les encagés le font ?

- Oui, Madame. C’est la méthode la plus efficace pour pouvoir se rendormir.

- Combien de fois par nuit ?

- Toujours 2 fois, parfois 3… 

- Humm parfait : tu fonctionnes comme les encagés dont j’ai lu l’expérience de la cage. Donc ce que j’ai prévu pour toi va fonctionner…

Là je brûle d’envie de savoir ce qu’elle a imaginé. Cela m’inquiète même. Et pourtant je ne poserais pas la question qu’Emilie attend dans un silence prolongé. Je décide de vivre à fond mon week-end D/S et ne pas savoir à l’avance, fait partie du côté épicé de l’expérience.

Finalement, Emilie reprend son exploration de ma valise…

- Bon tu as quoi encore ? Humm c’est quoi cela ? Je sais un rosebud à petit trou ! Claire m’en a parlé. J’aime beaucoup cette idée de bijou très intime et le tien en forme de fleur est magnifique. C’est assez lourd finalement… Tu ne le perds jamais ?

- Non, il tient bien… Mais au bout de 3/4 heure, son port devient délicat. C’est ma limite actuelle.

Là encore j’ai choisi l’honnêteté. Je sais que ce rosebud finira fatalement dans mon anus et préfère dire mes limites à l’avance. Cela me fait un peu l’impression d’aller voir une dominatrice professionnelle – ce que je n’ai jamais osé faire – et d’indiquer ce que je peux ou ne peux pas supporter.

Emilie a l’enthousiasme d’une petite fille dans un magasin de jouet et finit par découvrir le sac au fond de la valise. Je voulais en faire la surprise à Claire et c’est une autre qui le découvre. Drôle d’aventure de vie… Comment va-t-elle réagir ?

- C’est quoi ?

Je ne réponds pas. Elle défait le sac de toile et découvre le martinet de cuir dont je viens de faire l’acquisition.

- Ah je me disais bien qu’un soumis sans menace de martinet ne devait pas être très sage… donc Claire punit le culcul de son petit mari quand il est désobéissant ?

- En fait non, Madame. C’est un cadeau pour notre anniversaire de mariage. Je voulais en faire la surprise à Claire.

Je rougis pour répondre cela tant que je dois apparaître comme cinglé de vouloir offrir à ma femme, un instrument pour me punir pour notre anniversaire de mariage !

- Je me disais bien, que je ne l’avais pas vu sur les photos des objets de ta boîte à malice, que m’a faite Claire pour que je ne paraisse pas trop idiote en découvrant tel ou tel accessoire… Alors Claire ne punit pas pour l’instant ?

- Si dans nos jeux D/S, elle me fesse cul nu sur ses genoux… à ma demande…

- Comme un petit garçon pas sage ?! J’imagine bien la scène. Vous êtes quand même incroyables avec vos petits secrets de chambre ! Et dire que vous nous l’avez caché depuis des années… Bon cela fait mal de se prendre une fessée sur le popotin par sa femme ?

- Oui, un peu. Mais c’est surtout très humiliant d’en recevoir une…

- Et l’humiliation tu aimes cela, en petit homme pervers, hein ?

Tout est dit. Emilie fait battre les lanières dans l’air, plusieurs fois.

- Cela fait mal le martinet ?

- Je ne sais pas. Je n’ai jamais essayé. 

Je crains pour mon cul et je me dis que je n’aurais dû commander un instrument plus innocent. A mon soulagement, le martinet finit sur le lit à côté du sachet de la cage et du rosebud…

- C’est tout ou tu as pris encore autre chose ?

- Une paire de menottes dans la poche de devant, Madame.

Emilie les récupère.

- Ouah, c’est du sérieux. C’est des vraies ?

- Oui, commandées sur Ybé.

Je n’aime pas la lueur qui s’allume dans l’œil d’Emilie. D’ailleurs mon intuition se précise.

- Bon vu que tu n’es pas sage, je vais donc me dévouer pour te punir. Cela serait quand même con que tu ais apporté tout cela pour ne pas les utiliser. 

- Com… comme vous voulez Madame…

Ces derniers mots m’ont coûté à faire sortir de ma bouche.

- Alors donne tes poignets… non pas comme cela… mains dans le dos !

Je me retrouve menottée. Emilie me faire prendre la position, genoux par terre, courbé sur le lit, cul exposé. Pour l’instant, Emilie se tient derrière et j’entends plusieurs fois le bruit caractéristique de déclenchement de son smartphone en train de prendre des clichés. Encore quelques instants d’attente et Emilie vient me rejoindre, pour me montrer la photo d’un « soumis en attente de punition ».

- Et celle-là, c’est toi, pas une photo du web. Je te l’enverrai et je suis sûr que dès que tu pourras le faire, tu te branleras en contemplant ton petit cul ! Et j’en prendrai une après aussi quand il sera devenu bien rouge, tu verras la différence… Tu sais pourquoi tu vas être puni ?

- No..on Madame…

- Oh, tu n’as pas une petite idée ? Cherche bien… Qu’est-ce qui pourrait te valoir le martinet ?

Là je ne trouve pas. J’ai sans doute beaucoup de choses à me reprocher, mais laquelle choisir ?

- Je…je ne sais pas. Parce que j’ai été pas sage avec Vous ?

- Tu sais quand j’étais envoyé l’été à la campagne chez ma grand-mère, la mère de papa, elle me punissait au martinet pour un oui ou un rien. Cela a duré jusqu’à mes 12 ans. Cela commençait toujours comme cela : pourquoi dois-je te punir ? Au départ je n’avouais pas et j’en prenais un max. La grand-mère avait la main leste de la campagne. Puis elle est arrivée à ce que je lui avoue plus de bêtises qu’elle connaissait réellement…

Emilie est interrompue par le jingle d’un SMS entrant. Elle consulte son téléphone dans mon dos, avant de mettre l’écran sous mes yeux.

- J’ai envoyé la photo à Claire et François, et voilà ce qu’ils nous renvoient. Ils ont manifestement fait la paix sur leur vieux problème entre eux. Attends, je crois qu’il y a du son…

Sur l’écran je reconnais la croupe laiteuse de ma femme, avec cette descente de reins sublimement érotique que j’adore. François se tient derrière et on voit carrément qu’il lui a planté sa bite dans le cul. Pour l’instant l’image est fixe mais Emilie met en route ce qui est une petite vidéo d’une quinzaine de secondes. Les images sont sans équivoque : François est en train de la sodomiser à fond ! Et le son est un choc : je reconnais très bien les cris de jouissance de Claire au lit !

Une vague de jalousie me traverse : Claire a toujours refusé que je la prenne par-là, comme toutes mes copines d’avant d’ailleurs. Je n’ai jamais réussi à sodomiser aucune femme. C’est un pan de la sexualité humaine inconnu pour moi. Et voilà qu’elle ouvre son cul à un autre !

Je regarde Emilie et elle semble le prendre plus cool que moi (même si je crois qu’elle n’a jamais entendu sa copine Claire prendre son pied). Je fais donc un effort pour refouler cette jalousie primitive et me concentrer sur que j’échange avec Emilie…

- Bon nous en étions où ? Ah oui au fait qu’en matière de morsures du martinet, je m’y connais pour en avoir reçu…

Moi personne ne m’a jamais puni au martinet et cela ne me rassure pas.

- Je suis désolé, mais cela aura un petit côté revanchard personnel. La Mémé, elle frappait fort ! Et je t’applique son barème ! Faute grave : deux fois ton âge en coups de martinet. Tu as quel âge ?

- 38 ans… Madame

76 coups de martinets ! Je ne peux m’en empêcher d’en trembler… Emilie ne me laisse aucun temps pour digérer cette annonce en abattant immédiatement les lanières sur mes fesses. Je crie de surprise… 

D’emblée, j’apprends que le martinet que j’ai bêtement choisi est beaucoup plus répressif que les claques de Claire sur mes fesses. Il fait réellement mal quand le cuir rentre en contact avec ma peau. Je découvre aussi qu’Emilie a une notion de la cadence bien plus élevée que celle de Claire. Les coups se suivent sans que je puisse bien respirer ou me reprendre entre. Elle obtient que je serre rapidement les dents et bientôt me trémousse ridiculement. Cela ne semble jamais devoir s’arrêter et je pousse des cris outragés de toutes parts, jusqu’enfin au bout du 76ème coup, le martinet arrête de me cingler.

J’en ressors le cul chaud et douloureux, mais l’impression s’estompe déjà. Je crois que c’est finalement plus l’acte qui impressionne que son résultat. Je suis même une peu déçu de ne pas en garder plus de douleur. Je dois être maso ! Mais Emilie partage ma conclusion.

- Le rouge est joli. Tes cris d’orfraie parfaits. Mais dommage que tout disparaisse si vite. Le temps de juste faire une photo… et hop c’est déjà parti.

Photo qui finit envoyée à Claire et François qui renvoient aussitôt une réponse qui cette fois, je n’ai pas le droit de lire.

- Bon, tu te rhabilles et tu nous emmènes manger en ville. Manifestement Claire et François, ont décidés de se faire livrer une pizza et de ne pas sortir de la chambre. Mais nous, on va faire autrement !

Pourquoi pas après tout, puis je pense au collier que j’avais oublié autour de mon cou.

- … te l’enlever ? Je ne vois pas pourquoi… Tu vas le garder tout le week-end… tu dois bien avoir ce qu’il faut pour le cacher dans ta valise… tiens, t’as qu’à le cacher derrière le col de ce pull camionneur. Il ne se verra pas, par contre moi je saurai que tu le portes en bon petit soumis !

Que rétorquer à Emilie, qui mélange des fulgurances de grande Maîtresse et quelques rares maladresses de débutante. Etre contraint à faire quelque chose non désirée, est finalement le grand fantasme de tout soumis.

Le temps qu’elle enfile de fascinantes bottes de cuir hautes et nous voilà partis…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Mardi 25 octobre 2 25 /10 /Oct 21:44

J’obtiens sans problème de la réceptionniste la clé de notre logement, le 704, après avoir reçu toutes les informations utiles. C’est la fin de saison, le dernier week-end avant la fermeture, et le centre de vacances est presque déserté…

C’est notre anniversaire de mariage, à quelques jours près. Le treizième exactement. J’ai réservé ce week-end en promotion, après m’être assuré que les grands-parents pouvaient prendre les enfants, ravis d’y aller finalement avec les 2 enfants de nos meilleurs amis, Emilie et François. C’est une concession que nous avons dû leur faire, pour que nos pages envahissants acceptent de « disparaitre » de notre vue, le temps du week-end… 

Impossible de prendre une seule voiture à 8, ni à 6 d’ailleurs. Notre week-end en amoureux, s’est donc transformé en week-end avec Emilie et François, qui heureusement ont pris leur propre logement. C’est cela la vie de parents : savoir faire des concessions pour arriver à faire quelque chose…

D’ailleurs les voilà, avec Claire, attablés à la terrasse sans autre client du bar du club. J’ai laissé élégamment Emilie récupérer leur clé en premier et je suis donc le dernier. Ils ont sortis des voitures nos bagages et m’ont commandé une pression. Il fait encore chaud pour une fin de septembre et je savoure avec plaisir ma première gorgée de bière.

La table est étonnamment silencieuse. Je n’ai jamais été un grand bavard, mais Claire parle pour 2, surtout quand elle est avec sa meilleure copine qu’elle connaît depuis l’enfance. D’ailleurs les 3 sont des amis d’enfance et c’est moi qui suis le petit intrus. C’est peut-être le calme des lieux qui invite à la méditation avec ces petits chalets repartis dans un sous-bois. Mais je me trompe, car Emilie finit par prendre la parole.

- Il faudrait quand même mettre Pierre au courant de notre petit arrangement… Qu’en pensez-vous ?

Je relève la tête intrigué. Leurs 3 paires d’yeux me fixent étrangement. Et j’attends un long moment avant d’être éclairé.

- Tu sais, mon nounours, quand tu t’es déplacé à Rotterdam, il y a 15 jours, et que tu n’as pu rentrer que le samedi matin ?

- Oui, cela m’a fait chier de ne pas pouvoir prendre le dernier train du vendredi soir.

- …. Comme je te l’ai dit, je suis allée passer la soirée du vendredi soir chez François et Mimi, avec les enfants. Ils ont voulu rester dormir avec leurs copains, et moi aussi je me suis aussi laissé convaincre, vu que nous avions pas mal bu et que je ne me voyais pas faire la route toute seule…

- Oui, tu me l’as dit…

Claire continue d’une voix étrangement troublée.

- Oui mais ce que je ne t’ai pas raconté, c’est qu’une fois les enfants endormis, nous avons joué à une boîte de jeu que l’on a offerte : Action ou Vérité… Quoi que je pense que le cousin de François qui a fait ce cadeau, n’a sans doute pas regardé le descriptif au dos. Et comme on avait un peu trop bu…

Là Claire commence à m’inquiéter. Elle a capable de tout quand elle boit.

- Qu’est ce…

- Ce n’est pas notre faute. Aucun de nous 3 ne savait à l’avance que les questions seraient si sexuellement inquisitrices et que les règles sont particulièrement machiavéliques. Mais le temps de s’en apercevoir, nous étions trop avancés et sans doute – excuse-moi mon nounours – bien trop excités pour arrêter !

Je commence à comprendre et tire ostensiblement la gueule, craignant que les dégâts soient pires que ceux que je pourrais imaginer… Je comprends pourquoi François et Emilie laisse courageusement parler ma seule Claire. Jusqu’où est-ce allé ? Je crains la réponse…

- Le jeu se déroule en plusieurs phases, normalement entre 2 couples. Il y a un paquet de cartes, que l’on tire plusieurs fois au hasard. Il y a une progression aussi dans les cartes…

Là Emilie intervient nerveusement. 

- Claire, on va pas tout raconter cela serait trop long, va directement à la fin !

- Bref, j’ai perdu. Note couple, Pierre, a perdu…

- Et ?

- Nous avons récolté le gage final : être à disposition sexuelle de l’autre couple !

Claire a dit cela très vite, comme si elle craignait ma réaction. Je les regarde incrédule, n’arrivant pas à croire ce que je viens d’entendre.

- Vous me faîtes marcher, là ?

Emile se contente de me tendre son smartphone ouvert sur la galerie de photos. Les images que j’y découvre ne me laissent aucun doute. Il y a là Emilie le cul écartelé par le phallus de François, et ici surtout, la bite de celui que je croyais mon ami, dans la bouche de ma Claire, couronnée d’une auréole de résidus de sperme blanc à la commissure des lèvres, qui ne laisse aucun doute que c’est allé beaucoup plus loin entre eux que j’aurais imaginé dans mes pires cauchemars ! Sans moi…

- Pierrot, tu n’étais pas là alors il me semble honnête et logique, de te demander ton avis. Si tu refuses, nous en resterons tous là et nous partirons passer le week-end ailleurs pour vous laisser vous réconcilier en paix. Si tu acceptes, Emile aura tous les droits sexuels sur toi pour le week-end et Claire sera à la disposition totale de mes envies de mâle. Pour que cela soit clair, je sais que ta femme a toujours refusé que tu l’encules. Moi je l’enculerai de droit. Elle ne veut pas avaler le sperme. Elle le bouffera parce qu’elle n’aura pas le choix. Voilà la logique du gage : un week-end complètement « open » pour les vainqueurs. Je ne sais pas ce que Mimi fera de toi et je n’ai pas voulu le savoir. Mais toi, tu as le droit de refuser ou d’accepter maintenant. Après…

Claire a fait une mimique en apprenant pour la sodomie et le sperme. Cela me rassure un peu : elle n’est pas plus en maîtrise que moi. Alors que décider ? Je sais que si elle m’a demandé de mettre, à ma grande joie, notre sac à « malices » dans le coffre de la voiture avant de partir, c’est qu’Emilie est au courant de nos petits jeux et va s’en amuser. Rien que d’y penser me fait tressaillir du bout du zizi. Mais ce qui me décide finalement, c’est la main d’Emilie qui vient, non innocemment, « traîner » sur la couture, me causant une belle bosse immédiate. 

- J’accepte, pour ce week-end…

- Bon puisque tout est ok, nous pouvons partir chacun de notre côté. On vous laisse le 704 et on va au 632… J’ai hâte de rajouter 3 trous à mon 18 trous habituels du week-end !

François est habituellement plus policé. Mais là je crois que l’excitation le fait dérailler un peu, tout comme moi qui reste totalement excité à briser un tabou en mariage ! Je les vois prendre leurs bagages et s’éloigner dans l’allée… Il ne reste plus qu’à me retourner vers celle à qui je dois « obéissance » pour le week-end… Elle les regarde comme moi et commente.

- C’est fou comme ces deux se recherchent depuis tant d’années. Déjà quand nous étions enfants. Avant que je sorte finalement avec François, ils ont eu une aventure d’ados. Ils se sont même dépucelés ensemble.

Je la regarde, ébahi !

- Tu ne le savais pas ?

- Claire m’a raconté une fois son dépucelage ados, mais pas que c’était François qui…

- A sa décharge, ce n’est pas très facile de désigner le bon ami que son mari connait, comme son dépuceleur… Les deux-là se cherchent sexuellement depuis des années. Même s’ils ont conscience que le sexe ne fait pas un couple, et qu’intelligemment, ils ne se sont pas mariés.

- Tu n’as pas peur qu’ils se remettent ensemble ?

- Aucune chance qu’ils se supportent au quotidien, en dehors du lit. C’est un peu leur malheur à tous les 2. Ils s’entendent sexuellement à 100% mais dans la vie courante, leurs caractères ne s’emboitent pas, tout simplement. Mais ne te leurre pas, la sodomie, ils veulent, aussi l’un que l’autre, la re-tester entre eux. Ils se sont définitivement séparés après une tentative malheureuse. Là ils ont la chance historique d’effacer le passé et crois-moi, ta Claire devrait crier bientôt son plaisir doux/épicé, d’ailleurs ils doivent être en train de déjà le faire. Pour l’avalage le sperme, je crois que c’est un fantasme absolu d’homme. Je l’ai toujours refusé à François, alors il en profite.

- Et nous deux dans tout cela ?

- Le sexe avec François cela toujours été très viril. C’est jouissif pour moi de me sentir prise en puissance par sa belle bite. Mais bon les préliminaires ce n’est pas trop son truc. Dis-toi Pierre, que tu m’apparais d’un exotisme torride avec ton petit sexe qui ne tient pas longtemps, au point que tu préfères l’avoir coincé dans une boite. Désolé mais Claire a pas mal parlé l’autre soir, et tu sais quand elle a bu… Et je sais donc pour tes enclins à la soumission aux femmes…

Je ne peux m’empêcher de rougir. Et encore plus, quand Emilie passe sa main sous la table et commence à tirer sur ma braguette. Instinctivement, j’essaye d’y porter mes mains en précaution mais elle me les retient, pour me les faire poser à plat sur la table. « Laisse-moi faire… De toutes manières, il faudra bien en passer par là, à un moment ou un autre. Je n’ai pas envie que nous ennuyons pendant qu’ils baisent follement… ».

Je suis aux abois, surpris d’en arriver si vite dans le vif du sujet. Je jette des coups d’œil inquiets autour de nous. A 2 tables de nous, un groupe de retraités de retour de randonnée est en train de s’installer. S’ils nous voyaient ? Cela n’arrête pas Emilie qui finit d’extirper mon sexe du pantalon. J’ai honte mais pas une seconde, je n’envisage de lui demander d’arrêter. 

Mon bonhomme fait grise mine au départ, mais quand sa main commence à doucement le flatter, il a vite fait de retrouver un peu de forme. Je sais que je ne suis pas bien gros. Ne va-t-elle pas être trop déçue ? Si elle le pense, rien ne l’indique dans ses gestes qui n’arrêtent pas d’explorer. Emilie finit par coucher sa tête sur mon épaule. Nous passerions presque pour le couple d’amoureux…

- Tu sais que ta peau est douce. Et puis ce n’est pas aussi petit que Claire avait l’air de dire. Tu es certes moins long, mais un peu plus gros, et ton gland se dégage beaucoup plus, comme une prune. C’est simplement… différent de François.

A ma stupéfaction, Emilie semble vouloir ressentir la différence jusqu’au bout et m’offrir cette caresse inouïe, des mains d’une femme autre que la mienne. Ses doigts coulissent autour de ma hampe. Je soupire autant de surprise que de plaisir. Je ferme à demi les yeux et goute à la sensation, en me mordant les lèvres pour ne pas alerter la table d’à-côté. Je sens mon petit fusil s’huiler immédiatement avant de s’armer rapidement, avide d’en arriver à l’épanchement. Je ne sais pas comment je vais réagir après… mais là, tout ce que je veux en cet instant est que cette main délicieuse me trait jusqu’au bout !

Elle n’en aura pas l’occasion ! La barman revient nous demander si nous revoulons quelque chose ! Je sursaute à son intrusion! Emilie lâche doucement mon sexe et s’enlève calmement de mon épaule. Mon zizi se recroquevil de peur, mais je n’ose pas me rhabiller. Cela me laisse une impression de vide soudain. J’en reste mal à l’aise, pendant que la barman nous conseille pour le programme de notre week-end… 

Finalement quand elle nous laisse, Emilie rit doucement de la situation.

- Tu es mignon à croquer dans ton mélange de grimaces apeurée et de petit mâle frustré de sa jouissance. Cela vous fait toujours cela, quand vous devez vous la garder sur l’oreille ? 

Emilie se penche alors vers mon oreille, pour me murmurer d’une voix avec une pointe d’excitation.

- D’ailleurs cela me donne une idée. Je ne pensais pas te la donner si vite, mais après tout pourquoi pas tout de suite.

Elle se recule un peu pour m’exhiber un drôle de sourire, le genre que les filles me montraient quand elles devenaient chipies avec moi. Là cela vient d’un petit paquet qu’Emilie sort de son sac. Le scotch a déjà été soigneusement ouvert, ce qui me laisse librement jeter un coup d’œil au contenu. Et je blêmis à découvrir, protégé dans son papier bulle, la cage de chasteté en métal chinoise que je lorgnais !

Je regarde Emilie avec grand étonnement. Comment pouvait-elle savoir ? Pour le fait que j’aime porter de temps en temps une cage de chasteté, Claire a dû lui dire, mais pour…

- … pour la cage de métal ? C’est un cadeau de Claire. Elle voulait t’en faire amoureusement la surprise, vu que tu en as marre de la mauvaise qualité de ta cage actuelle en plastique, maintes-fois recollée à la super-glue. Elle a pensé que pour cet anniversaire de mariage, cela serait le cadeau idéal, même si je suis désolé que finalement l’anniversaire soit perturbé. Il parait qu’avec, tu deviens un homme bien plus attentionné, et surtout un excellent suceur de chatte ! Par contre, moi, je ne vois comment ton brave petit soldate, va pouvoir rentrer dans une prison si petite…

Je deviens cramoisi alors que la barman revient avec nos boissons. Emilie reprend une fois la barman repartie.

- Tu ne l’essayes pas ?

Cela m’affole. Je regarde avec inquiétude la table des retraités. Elle ne veut quand même pas que… ?!

- Mais non, je vais encore préserver un peu ta pudeur. Pas ici évidemment… Tu pourrais aller la passer aux toilettes en petit soumis obéissant à sa Maîtresse…

Nous y voilà ! Le jeu a commencé ! Emilie a pris le même ton que Claire quand elle joue la Maîtresse dans nos jeux BDSM. Cela doit être l’accent de toute femme quand elle s’investit à prendre le pouvoir sur le sexe masculin. A froid il me semblerait sur-joué, mais là il me fait sentir subitement si petit, si fragile, que j’en balbutie ma réponse…

- Dans… dans les toilettes ?

- Oui dans les toilettes… En prison, le zizi !

Emilie a haussé la voix sur la dernière partie de la phrase, suffisamment pour que la table de retraités l’entende et que certains nous regardent. J’ai beau me dire que ce genre de propos, exclus de leur contexte, est incompréhensible aux non-initiés, j’en ai honte et je préfère disparaitre rapidement à l’intérieur. Je grimace cependant quand je découvre la barman est à son poste s’activer à laver ses verres…

Je m’enferme dans les toilettes et baisse mon pantalon. La cage n’est pas facile avec son anneau de métal « d’homme » qui ne s’ouvre pas. Je dois lutter un moment avant de trouver comment passer les couilles puis le pénis. Je suis terriblement ému, à devoir passer la cage pour une autre femme. L’esprit est embrumé n’arrivant pas à se déterminer si c’est une bonne chose… Je finis par emboiter la cage dans l’anneau, en refermant immédiatement le cadenas. Il ne faudrait pas que je flanche au dernier moment… 

Me voilà de nouveau encagé ! C’est comme si je contemplais un autre, avec cette cage tout juste plus grande qu’un zizi de garçonnet. Cette pensée me fait délicieusement rougir… Je remonte mon pantalon et sort avec courage des toilettes. La barman est toujours là, mais là j’ai l’impression qu’elle ne regarde plus que la nouvelle bosse dans mon pantalon. Et si elle pensait que je bandais indécemment pour ou devant elle ? Je me dépêche de traverser devant le bar.

Je retrouve Emilie sur la terrasse. Elle attend que je m’assois pour venir discrètement vérifier que j’ai bien obéi en portant sa main à mon entrejambe…

- ça va, pas trop serré ?

- non, pas pour l’instant…

- La clé ?

J’ai oublié de la rendre et cela me fait quelque chose de lui donner la clé de mon joujou intime. Mais bon, elle ne pourrait pas mieux faire pour nous mettre dans l’ambiance D/S. Nous restons silencieux le temps de finir nos bières, puis il est l’heure d’aller rejoindre notre logement pour le week-end.

Je prends l’initiative d’emmener la valise d’Emilie en plus de mon sac, et nous voilà à suivre les chemins du centre, selon les pancartes.

- Pourquoi as-tu accepté cet échange de partenaire ? 

- Question intéressante. D’abord par curiosité : ton univers de fantasmes est quand même décoiffant pour n’importe quelle femme qui le découvre. Mais il y aussi le côté chipie autorisée. C’est marrant de pouvoir jouer au Ken, avec un grand garçon. En tout cas l’idée m’excite depuis que je sais que j’allais t’avoir à disposition…

Emilie s’arrête d’avancer pour se tourner vers moi.

- J’espère que tu ne seras pas déçu. J’ai essayé de me préparer au mieux. J’ai parlé avec Claire de tes goûts et attentes en la « matière ». J’ai lu aussi ce qui te faisait fantasmer. D’ailleurs ce n’était pas trop compliqué à savoir vu le nombre de liens que tu conserves sur ton ordinateur. Y’a qu’à les suivre… Donc tu vois que j’ai essayé d’être le moins une oie blanche pour ton D/S préféré, même si cela demande d’ingurgiter pas mal de techniques. Mais c’est fou ce qu’une femme peut faire avec un homme, quand elle fait fi des limites de la chambre et du convenable. Là c’est un aspect qui me fascine beaucoup. Avoir le devoir d’être une peste pour le plaisir du mec en face, c’est génial !

Je la regarde avec une terrible inquiétude qui monte au ventre…

- Ce n’est pas cela le mécanisme qui anime l’homme soumis ? Jouir de se sentir humilié, nié, bafoué ? Ne pas aimer sur le moment et s’en exciter après au souvenir ?

- Oui, mais…

- Je sais : il y a les limites. Je crois avoir bien compris cette notion. Claire m’a dit que vous n’arriviez pas à franchir certaines, questions d’éducation et de morale personnelle. Je me suis demandée ce que moi je ferais. Alors l’autre soir, j’ai listé tout ce que j’avais retenu de tes fantasmes pour ne retenir que ceux que je croyais faisable et qui m’exciterait à faire. Tu sais quel métier je fais, et je crois avoir la capacité de t’en faire passer certaines… mais pour cela il te faudra aller plus loin que tu imagines d’aller pour l’instant… 

Elle est totalement sérieuse là. Ce n’est plus une posture, mais la Mimi la tête bien ancrée sur les épaules que j’ai toujours connue. Cela me fait un peu redescendre le zizi en cage… mais je retrouve toute ma lucidité.

- Comme quoi par exemple ?

- Cela ne serait pas marrant si je te le disais à l’avance. Tu perdrais le piment humiliant de la surprise… Alors fais comme je suis prête à faire : ne te pose pas de question et profite à fond du moment de parenthèses offerts par nos conjoints. Tu te sens prêt à me laisser mener le jeu ? 

Emilie a tout compris de la logique D/S. Je prends une large inspiration troublée et répond un « oui » peu rassuré…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 19:42

 

Efterord : Claire

Remontée du sous-sol, Elke passe par le bureau où travaille encore Claire à sa formation.

- Définitivement têtu ton chihuahua. Je suis en nage ; je vais prendre une douche. Toi tu vas m’attendre dans ta chambre. Je te veux à poil, le nez collé contre le mur.

- Oui, Herskerinde.

Claire obéit immédiatement sans prendre le temps de refermer son ordinateur. Elke y jette un coup d’œil, parcourt la « Nécessité d’avoir une hiérarchie dans la société » avant de l’éteindre, puis elle va prendre la douche. Vingt minutes plus tard, elle rejoint la chambre, nue sous le peignoir de soie carmin qui l’attend toujours dans cette maison.

La soumise entend l’arrivée de sa Maîtresse, agenouillée au côté du lit, le nez contre le mur. Elle est nue, avec néanmoins la cage à abricot autour de la taille, qu’elle porte en permanence depuis le début de sa formation – c’est le contrat -. Elke prend le temps de contempler ces formes douces pas encore trop abîmées par le début de la quarantaine, qui lui font envie ce soir.

- Bon je constate que tu es une bonne tæveling obéissante. Peut-être qu’à la fin j’arriverai à faire quelque chose de toi. Tu as de la chance, aujourd’hui je suis directement présente pour ton contrôle hebdomadaire. Nous allons donc commencer par les formalités et après je m’amuserai avec toi. Relève-toi et donne tes poignets que je te menotte dans le dos. Je ne voudrais pas que tu aies des mauvaises pensées quand j’examinerai sous la cage. Tout doux, laisse toi faire, tæveling… Voilà c’est déverrouillé… Humm, la peau est quand même assez irritée, là et là… Mais rien de trop grave. Et puis bravo cela ne sent presque pas. Tu utilises bien matin et soir la poire à lavement vaginal ?

- Oui, au lever et à mon retour à la maison, Herskerinde.

- Tu vois comme c’est efficace. Je te l’avais dit. Cela permet un long port de la cage à abricot pour satisfaire ta Maîtresse. Faut faire aussi attention à bien nettoyer l’anneau derrière. Il peut y avoir de la matière qui s’y colle. Et je ne voudrais pas que ma tæveling chérie tombe malade ; ce n’est pas le but. En fait le seul vrai problème chez les femmes pour le port de la cage c’est les règles, mais si tu prends bien la pilule que le docteur Bernard t’a donné, cela enlève le problème. Bon tu en es où de ta formation ? Tu m’as apporté ton carnet de notes ?

- Il est sur le lit à votre disposition, Herskerinde.

- Voyons-cela. Humm… pas mal. Tu es douée ou assidue, n’importe. Le principal est que tu réussisses ta formation et que tu obtiennes un poste plus élevé dans ton entreprise. Il est important qu’en femme dominatrice, cela soit toi qui fasses bouillir la marmite à la maison, plus que Pierre. Et vu l’aide que t’apporte maintenant Justine et qu’elle m’a raconté en détail, tu n’as plus d’excuse pour ne pas réussir. En fait Pierre et sa promotion ?

- Il n’a finalement pas été retenu. J’ai eu peur, je m’apprêtais à lui demander de la refuser, suite à votre conseil, mais finalement son patron a placé un de ses protégés, à mon grand soulagement.

- Alléluia ! Dieu est du côté des femmes dominantes.

- J’écouterai ton rapport détaillée un prochain jour, mais je veux savoir où tu en es du côté frustration. Cela fait quoi… huit semaines sans orgasme ?

- Non neuf et deux jours, Herskerinde. Je suis à fleur des sens en permanence. Un rien me fait mouiller. Comme cet intervenant sur l’économie mondiale si magnifiquement beau. Je ne cesse de couler en sa présence et j’en suis si gênée, d’autant que je ne peux pas essuyer le trop plein d’humidité.

- Mouiller devant un bel homme est chose fort honorable pour une femme… encore plus si elle est soumise.

- Oui, mais ne je m’aime pas ainsi, Herskerinde,  Je me dis que c’est à la faute à la cage à abricot. Que l’impossibilité crée le désir permanent. Et que la contrainte me fait devenir une putasse prête à me donner à n’importe qui. Pourtant j’aime mon Pierrot même si j’adore le soumettre. Le rien crée l’envie de la moindre chose qui est sexuellement sublimée. Je suis sûre que sans la cage, je n’accorderais pas le même regard aux autres hommes.

- C’est ce que tu as choisis je te le rappelle. Je t’ai proposé de prendre des amants réguliers et de t’en servir pour humilier ton chihuahua. Tu as toujours refusée, préférant donner ton amour à ton mari soumis, enfin pas exclusivement, avec la grosse bite de Lucas, quand tu reviens au Domaine. Je sais que tu deviens folle quand il te la met dans le cul. D’ailleurs tu aurais choisi une autre voie, tu pourrais être ce soir avec un bel apollon black à lui lécher les couilles et avaler avec délectation le mandrin qui te baise si bien la bouche. Tu sentirais les palpitations de sa bite prête à cracher sa dose nourrissante, mais il s’arrêterait au dernier moment pour te basculer sur le ventre, avant de prendre à la hussarde ton…

- Arrêtez, s’il vous plait, Herskerinde. Ces idées sont une torture. S’il vous plait Herskerinde, laissez votre tæveling prendre son plaisir. J’ai ai tant besoin. Vous savez comment j’ai été une bonne soumise ces derniers temps…

- Une jérémiade de plus destinée à émouvoir ta Maîtresse… Tu es désespérante à la fin. Tu pourrais devenir une chaudasse de la queue mais tu t’y refuses stupidement, préférant restée fidèle à ton Pierre et à Lucas, une sorte de bigamie à ta manière. Et tu subis en martyr les séances de queue au kilomètre quand je te les impose. D’ailleurs tu en as une de programmée demain toute la journée chez Claude.

Claire leva des yeux déjà embuées à la perspective.

-  Pourquoi réagis-tu comme cela ? Les choses sont claires : je paye ta formation hors de prix, tu t’engages à rester dans ta cage à abricot pendant ce temps et, avec oui, je l’ai promis, quelques jouissances contrôlées. Demain donc tu pourras jouir du cul… Mais ce soir, après tout, je vais te laisser en prendre un avant goût, vu que je n’ai pas grand-chose à te reprocher. Mais il ne va pas falloir me la faire regretter, tæveling. Tu vas commencer par aller prendre une douche, sous mes yeux comme au peep show, totalement libérée mais que je ne te surprenne pas à toucher aux choses interdites. Puis je te tannerai longuement le cuir à la cravache, pour rien sinon mon seul plaisir. Et après peut-être que....

Maîtresse Elke regarde sa soumise se savonner et se shampooiner sous la douche. Claire fait  très attention de ne pas s’approcher à moins de cinq centimètres des endroits interdits, préférant rincer abondamment ces zones avec le pommeau de la douche. Une fois la douche terminée, Elke attache les mains de Claire directement à la barre du pommeau de douche et commence à la sécher du bout de sa cravache. Claire se tort sur les coups et hurle sous la douleur à ravir Maîtresse Elke, comme si elle voulait que toute la maison sache, qui était la Maîtresse ultime. C’est violent, sans considération, juste destiné à marquer sa propriété.  Une fois la chair matée, il est temps s’assouvir les pulsions du bas ventre, celles de la Maîtresse et pas celles de la soumise. Voilà Claire étroitement attachée aux quatre coins du lit, la tête munie d’un double gode bâillon, le petit déjà plus qu’honnête dans sa bouche à distendre la mâchoire, le grand protubérant à l’extérieur en invitation. Maîtresse Elke s’y enfile la chattoune avec envie, s’excite et part rapidement d’un premier orgasme. Le temps de ralentir un peu et elle se frotte doucement sur le gode de bouche pendant qu’elle allonge son corps pour atteindre l’entrejambe de sa soumise. Il y a là bientôt le combat inégal de la chatte de Maîtresse pleinement prise d’excitation et d’une fleur de soumise machiavéliquement excitée d’un doigt fureteur qui lui refuse toute jouissance. La Maîtresse part sur un nouvel orgasme tandis que la soumise reste désespérément frustrée.

Le temps de changer de face. De pile la soumise est passée de verso. Le temps aussi de changer de gode, toujours double, un peu de lubrifiant et tæveling se retrouve enculée par sa Maîtresse qui bientôt jouit de son cul en la défonçant jusqu’à un nouvel orgasme. Post coïtum, Elke libère Claire. Les draps sont mouillés de la jouissance non aboutie de la soumise. Les mains menottées de nouveau derrière le dos, la ceinture est re-verrouillée. Occasions anéanties pour tæveling qui tire un peu la tête.

- Que c’est bon de jouir égoïstement de sa soumise ! J’ai toujours adoré cela avec toutes mes soumises. Mais là tu sais tæveling, cela m’a donné envie d’en fumer une. Accompagne-moi dehors, s’il te plait.

C’est plus un ordre qu’une demande. Sur la terrasse, Claire se retrouve à sucer la Maîtresse de sa vie avec amour et dévotion, entre les pans du peignoir entrouverts, pendant qu’Elke fume ! Y a-t-il un  Zépharin voyeur pour elles ? En fait non, la nuit est si calme… Même les voisins sont rentrés. Cela ramène aux premiers moments au Domaine, à ce fouet qui l’avait fait rendre grâce dans l’écurie suivi de ce cheval qu’elle avait dû exciter de sa langue avant que son pénis animal la baise à sa grande honte… Un avant-goût de ce qu’était capable de lui faire endurer sa Maîtresse danoise.

La main gauche dans la chevelure de Claire, pour pousser encore plus la langue contre l’intimité,  Elke commence la conversation...

- Es-tu fière de ta Justine ?

- Oui totalement. Elle est la dureté que je n’ai jamais eue, face à son père et les jeunes hommes qui tombent sous sa coupe. Elle n’a aucune miséricorde pour les autres. Je vois chez Pierre, depuis quelques semaines,  les effets de ses traitements. Terriblement efficaces  pour remuer un mâle. En fait, elle te ressemble tellement dans son exigence envers les autres.

- Cela ne te dérange pas que cela soit ta fille qui domine ton  mari et son père ?

- Humm… question difficile, Herskerinde. Je me rends compte combien cela peut être tabou, mais…non vaut mieux rien dire.

- Parle franchement, tæveling !

- Je… Je suis tout simplement soulagée que cela reste dans le secret de la famille… plutôt que d’exposer notre style de vie sur la place publique.

- Et protéger ta réputation ! Je trouve que tu t’arranges trop facilement avec les faits. Car de quoi parlons-nous là ? D’une fille mineure qui a des activités purement sexuelles avec son papa et qui aime ça ! Rien de plus et c’est déjà beaucoup. Toi sa mère, tu devrais la protéger de cette dépravation et non l’inciter à aller plus loin. Du moins la normalité, c’est ça. Mais ne te trompes pas sur mes propos, si je suis partisane de ce genre de relations atypiques, ce n’est pas pour ton petit confort d’être secondée, mais pour la perversité même de ces relations. D’ailleurs, vu que tu ne sembles pas comprendre,  je me demande si je ne devrais pas déléguer une partie de mes prérogatives de Maîtresse sur toi à Justine !

- Non ne faites pas ça, par pitié… Herskerinde. J’aurais trop honte !

- Et tu as pensé comment se jugeait ton mari à se retrouver à être excité par les actions perverses de sa fille. Non pas un seul instant ! Tu n’as vu en ta si prévenante fille qu’une occasion de te débarrasser de ton chihuahua…

- Non…

- Ne mens pas, tæveling !

- Je… je n’avais pas réfléchi à cet aspect. Je suis une idiote, Herskerinde.

- Non pas une idiote, juste une femme qui ne réfléchit pas assez à ses actes.  Et c’est pour cela que tu as une Maîtresse pour te remettre les idées en place. Et Arthur, qui vient d’avoir quinze ans, qu’envisages-tu pour lui ?

- Justine m’as dit qu’il se masturbait sans cesse et elle m’a sournoisement conseillé de lui faire porter une cage de chasteté. J’en ai parlé à Pierre qui s’est mis en colère. Je ne savais que dire ou faire et je ne le sais toujours pas…

- Pourtant c’est toi la Maîtresse de la maison, que décides-tu ?

- Je n’arrive pas à me décider. Je n’aime pas que Justine et Pierre se disputent sur l’avenir d’Arthur. Cela devient un combat de coq.  Jeudi matin, quand je suis allé libérer Pierre, il était dans un état terrible, la peau totalement marquée et boursoufflée depuis le cou jusqu’au mollet. Il était d’une humeur noire, très remonté contre moi. Je  n’ai d’abord rien compris, puis il m’a dit qu’il avait été fouetté puis enculé au gode par Justine sur mes « stupides » instructions. Pourtant je vous jure, Herskerinde, je n’ai rien demandé de si violent à Justine… Mais j’ai totalement assumé devant mon chihuahua. Il m’a demandé pourquoi il devait obéir. J’ai répondu en femelle sphinx énigmatique qu’il le savait très bien…

- Ainsi, Justine commencerait à jouer un jeu perso… Intéressant ! Va falloir que je creuse…

Elke dit cela sans conviction.

- Bon mais revenons à Arthur et oublie ta fille et ton chihuahua, qu’est-ce que tu veux, toi, faire de lui ?

- C’est vrai qu’il me rappelle tellement Pierre, sauf que Pierre a décidé plus tard de son orientation sexuelle quand il était adulte. Je n’aime pas du tout que l’on se masturbe dans ma maison, mais j’hésite à devenir l’empêcheuse de sa sexualité adolescente, finalement assez innocente. Je trouve que ce n’est pas le rôle d’une mère, ni d’une sœur. Mais dans le même temps, je ne trouve pas normal de récompenser les rebellions de mon chihuahua. Bref, je ne sais que décider. Et quoi que je décide, je mécontenterai l’un ou l’autre… Alors j’ai pensé vous demander conseil, Herskerinde.

- Bref, tu refiles le problème à tata Elkie, petit fille sans courage. En fait tu as raison, puisque je suis ta Herskerinde et que je dois décider du mieux pour toi et ta famille. Mais dans ce cas, j’hésite comme tu hésites. Je suis dégoutée par les hommes qui préfèrent s’astiquer que d’investir leur énergie vitale à satisfaire les femmes, mais je ne peux cautionner la sournoiserie inélégante de sa sœur. Je suis partagée alors je te propose de laisser le sort agir. C’est finalement la bonne solution pour sortir de cette impasse quand tu sais que les inverses ne peuvent être rapprochés. C’est ce que je fais de temps en temps. Va me chercher une pièce de deux euros si tu es d’accord sur le principe du jugement de Dieu…

Claire acquiesce avec curiosité et ramène une  pièce.

- Bon nous voilà à la croisée des chemins. Votre destin est en marche. Pile, Arthur est mis en cage jusqu’à ce qu’il quitte la maison. Face il est sauvé mais tu prendras un amant régulier sous trois mois pour cocufier en permanence ton mari  Je sais que l’enjeu est élevé mais je ne joue jamais des petites mises au hasard. Es-tu d’accord, même si cela te coûte ?

- O..Oui. que cela soit ainsi.

- Eh bien le sort en est jeté. Retourne-toi et lance la pièce derrière ton épaule. Tu auras l’interdiction de savoir immédiatement : à la place, je te ficèlerai sut une chaise, le cul empalé sur ton plus gros plug pour la nuit. As-tu compris, tæveling ?

- Oui, j’ai compris,  Herskerinde.

- Alors lance la pièce… Maintenant !

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Claire a été étroitement ficelée pour la nuit sur une chaise dans le placard, difficilement empalée sur le plus gros plug. Elke referme les portes ajourées et retourne dehors. La pièce l’attend sur le carrelage de la terrasse. Elle sort son cigare du soir, qu’elle prend longuement le temps d’apprécier entourée de la nuit. Une fois, le foin écrasé, il est temps de savoir le destin. Elle regarde la pièce. Face : Arthur est sauvé un instant, le temps que  la vile Maîtresse danoise change de côté la pièce.

- J’en étais sûre, face.  Arthur tu n’as vraiment pas de chance pour tes quinze ans… 

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Elke attachée sur sa chaise voit avec effroi, à travers les persiennes du placard, Elke ramener son fils qu’elle vient de réveiller. Elle veut crier mais ne peut pas. Elle est étroitement bâillonnée et la musique de la radio de la table de chevet couvre ses beuglements.

- Pourquoi tu m’emmènes dans la chambre de papa et maman, tata ?

- Papa a été mis au sous-sol pour la nuit et maman a besoin d’encore travailler dans le bureau. Tu viens d’avoir quinze ans, tu es devenu grand. J’ai prévu de te faire une grosse surprise pour ton anniversaire, puisque tu viens juste d’atteindre l’âge légal, mais il ne faudra pas le dire à papa/maman, ni à ta sœur. Détends-toi.

Elle le fait tomber d’autorité sur le dos sur le lit, avant de se positionner au-dessus de son entrejambe. Elle écarte l’élastique du pyjama enfantin pour dégager le jeune sexe. Arthur tente de se dégager…

- Laisse-toi faire, Arthur. Tu verras comment cela est agréable avec une femme. J’aurais préféré que tu le découvres avec une petite copine, mais comme tu n’y arrives pas,  ta tata va se sacrifier.

En parlant, elle lui masturbe le sexe. Sa  bistouquette devient vite tout gonflée et luisante.

- Ah, je vois que tu apprécies. ! J’avais peur que tu rejettes ta vieille tante. Humm, tu me donnes de ces envies… Tu sais ce que c’est une fellation ?

- Oui je sais : la femme suce le sexe de l’homme jusqu’à l’arrivée de l’orgasme. C’est ce que j’ai lu dans le dictionnaire du salon.

- Eh, bien. Tu me fais si envie, je crois que je vais te le faire. Tu en as envie ?

Sa bite dressée tressaute de plaisir.

- Oh oui, tata. Je promets, je ne dirais rien à maman, papa ou à ma sœur.

- J’espère bien. J’ai envie de manger ce zizi. Mais les Dames n’aiment pas que l’on les regarde pendant cette caresse. Acceptes-tu que je te bande les yeux ?

- Oh oui !

Arthur très excitée est prêt à toutes les concessions. Elke lui bande les yeux avec un foulard de la commode  sa mère. Elle obtient aussi qu’il enlève son pyjama. Le corps de l’adolescent est en attente, nu couché sur le lit. Les lèvres de la danoise se referme sur le petit phallus avant de coulisser en cadence. Arthur halète son plaisir qui monte. Sa suceuse lui met un doigt dans le cul, alors que le plaisir explose. Claire dans son placard pleure la perte de l’innocence de son fils. Même si le sort en a déterminé, Elke n’avait pas le droit de le prendre ainsi. Arthur explose dans la bouche d’Elke qui inhabituellement avale le jeune sperme tout en finissant de le vider de sa bouche.

- Personne ne te l’avait jamais fait ?

- Non. Les filles me font si peur tata…

- Cela t’a plu ?

- Enormément !

- Alors je continue ? J’ai envie de te faire l’amour avec toi, tu en a envie toi aussi ?

- Oh, oui !

- Alors laisses-moi faire pour t’initier. Donne-moi tes mains… Oui je sais que ce n’est pas agréable d’avoir les mains attachées. Mais aie confiance, je ne voudrais pas que tu gâches tout… Tu t’en voudrais tellement après. Tu es si important à mes yeux ! Allez laisse-toi aller à découvrir le sexe avec une femme…

Elke l’embrasse longuement dans la bouche, langue contre langue. Il est aux anges ! La danoise en profite pour lui mettre prestement le zizi dans la cage qu’elle avait prévue spécialement pour le quinzième anniversaire d’Arthur. Une cage de chasteté plutôt qu’une ceinture de chasteté complète comme le père, une concession à son jeune âge. Arthur proteste…

- Mais qu’est-ce que m’as fait, Tat…

Il n’a pas le temps de finir. Elke lui massacre le téton pour lui enfiler un gode boule, qu’elle verrouille derrière la nuque.

- Ne m’en veux pas, Arthur. C’est ta maman qu’il le veut. Elle me l’a demandé de le faire. Elle en a marre que tu masturbes tout le temps et veut que tu comprennes sa désapprobation.  Mais elle sait qu’elle intervient ainsi sur ta sexualité adolescente. Ta maman ne veut pas que tu la voies comme celle qui empêche de vivre ta sexualité. Tu te souviens du drôle d’accessoire que je t’ai offert avec ton ordinateur ? La clé de ta cage y sera mise dès ce soir. Mais pour que puisses récupérer la clé pour te soulager, il te faudra les trois autorisations de ta mère, de ta sœur et de moi-même. Les voyants sur le dessus t’indiquent qui autorise ta libération. Comme cela, ta mère ne sera pas la seule à gérer ta sexualité, cela sera une œuvre collective des femmes de ta vie, avant de te confier à une petite copine. Moi ce que j’attends est qu’au moins une fois par semaine nous discutions par webcam.

Tu n’avais pas le droit, Elke ! tente de crier Claire, mais le bâillon étouffe les paroles que la musique rend inaudible. Elle ressent comment elle a été manipulée par Elke, un nième fois, qui avait fixé le sort de son Arthur avant même de lui parler.

- Allez, il est temps que je te dépucèle… mon chou.

Elke tourne Arthur sur le ventre, lubrifie rapidement son anus avant de lui prendre le cul avec le même gode ceinture qui a pris le rectum de sa mère, il y a moins d‘une heure. Elle goutte ses cris de petit garçon outragé  jusqu’à plus fin. Une horreur pour sa mère rendue impuissante dans le placard. Deux êtres matés dans une même vacherie.

Elke perfore avec son sadisme habituel  le cul de sa nouvelle victime, le petit crie de détresse mais elle s’en contrefout, mieux elle jouit intérieurement de cette perversité.  Elle le travaille longuement pour affirmer la domination des femmes, son nouvel horizon dorénavant, avant de finalement se retirer. Le temps de mettre le collier rose de sa mère avec la laisse et de lui rendre la vue, elle l’emmène en dehors de la chambre sous la menace d’un martinet de cuir rouge. Arthur descend prestement l’escalier sous la menace réelle des lanières qui frappent ses fesses en cadence. Pour la première fois, il entre dans la pièce interdite et découvre son père nu dans la cage. Le chihuahua se réveille hébété. 

- Allez ouste, dans la cage Arthur, avec ton dépravé de père. Je suis désolé, chihuahua, mais tu avais déjà perdu avant ta rébellion. J’avais tout prévu, les faux SMS et le reste. Vous êtes tous si prévisibles. Et j’ai pris un réel plaisir à te massacrer la peau puis à dépuceler le cul de ton fils, après l’avoir faire jouir dans ma bouche.

Elke ouvre la porte de la cage, et d’un coup de pied sur le cul, y propulse Arthur. 

- Tel père, tel fils ! Je pense que vous allez avoir beaucoup de chose à vous raconter, entre père et fils… Bonne nuit !

Une fois remontée, Maîtresse Elke s’arrête un moment en haut de l’escalier, le temps de déclencher, avec une lueur vicieuse dans l’œil, l’arrosage de la cage au sol-sol, « L’épreuve soude les hommes d’une famille ». 

Maîtresse Elke met fin finalement à la déferlante au bout de quelques minutes, presque à regret, avant de se diriger vers la chambre de Justine. Sur le seuil de la porte, elle laisse tomber son peignoir, ne gardant que le gode-ceinture et le martinet rouge… Elle ouvre finalement la porte.

- Justine, tu dors ? C’est tata Elkie…

FIN DU DOMAINE

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 19:39

 

Efterord : Pierre

Plus tard dans la soirée, Justine est partie dans sa chambre réviser. Claire aussi révise ses cours dans le bureau comme tous les soirs depuis qu’elle a commencé sa formation. Elke en a profité pour déballer ses affaires dans la chambre d’ami et passer quelques coups de fils. Elle revient finalement dans le salon-salle à manger ou Pierre en bon mari soumis vient de finir de tout nettoyer et de tout ranger. Par amusement, Maîtresse Elke fait une rapide inspection.

- Ok, tout est quasi parfait, chihuahua. Et ton repas était en net progrès. Claire te dresse vraiment bien !

- Oui, Maîtresse Claire est très exigeante quant à la propreté et au rangement de la maison, ainsi qu’à la qualité des repas. Et les cours qu’Elle a la gentillesse de me fait suivre à l’Institut, m’aident beaucoup à m’améliorer.

- Ah oui l’Institut. Tu dois me raconter ce qui se passe là-bas. Mais maintenant tu sais que je suis là et ce que cela signifie pour toi cette nuit ?

- Oui je dois disparaitre de votre vue pour vous laisser entre femmes et aller passer la nuit dans ma cage de toutou soumis au sous-sol.

- Alors qu’est-ce que tu attends, chihuahua ?

- Oui tout de suite, Maîtresse Elke !

Il s’apprête à ouvrir l’escalier du sous-sol.

- Non pas de cette façon. Tu te déshabilles ici et tu me sors ton collier et ta laisse. Ils sont où ?

- Dans le tiroir fermé à clé de la commode dans la chambre.

- Alors va les chercher !

Pierre revient avec ce qu’il lui a été demandé. Il se dévêt complétement mal à l’aise sans cesser de regarder si aucun enfant n’arrive. Elke note combien sa peau vient d’être marquée si  durement. Et c’est récent…

- Et tes affaires tu les laisses là ?

- Non Maîtresse Elke, désolé.

Et il court les mettre dans le panier à linge sale. A son retour, Elke lui referme le collier autour du cou, y attache la laisse avant de lui ordonner.

- A quatre pattes, le chihuahua ! J’ai envie de sortir mon chien faire ses besoins dehors…

Dehors justement, la nuit n’est pas déserte. Le couple voisin fume sur la terrasse de la maison d’à côté à quelques mètres. Le toutou en laisse se fige.

- Et alors qu’est-ce qu’on en a affaire des voisins ? Tu n’es quand même plus un jeune chiot en apprentissage. Et même s’ils te voient, cela sera très bien : ils seront qui est le chef à la maison. Allez avances ! Il est où le pipi-spot ?    

- Au fond, derrière la cabane, caché par les haies… mais Maîtresse ne m’y emmène plus depuis longtemps.

- C’est dommage de perdre les bonnes habitudes, mais nous allons te faire une piqure de rappel ce soir… Ah nous y voilà… Allez à toi d’œuvrer en bon toutou soumis patte levée… et pendant ce temps je veux tu me racontes tes séjours à l’Institut.

- Oui, Maîtresse Elke. J’y vais tous les quinze jours, le samedi toute la journée. C’est Maîtresse Claire qui m’a inscrit. J’arrive à huit heure le matin et je passe la tenue obligatoire de French Maid avec bas, soutien-gorge, culotte en dentelle et perruque blonde. Nous sommes quatre maris soumis au cours tous habillés pareils. C’est un couple de dominants qui nous reçoit chez eux, Maîtresse Nadine et Maître Bruno. 

- Tu y vas depuis longtemps ?

- Dix mois. La formation complète dure deux ans. Au programme lessive, repassage, ménage, cuisine et tout ce qu’un bon mari soumis doit savoir maîtriser pour rendre heureuse sa Maîtresse. Si nous n’y arrivons pas ou faisons mal les choses, Maîtresse Nadine nous punit à la canne immédiatement devant les autres, jupe relevée, culotte baissée et les mains sur les chevilles. L’après-midi…

- Espèce de sale petit chiot mal élevé ! Tu ne peux pas faire attention pour ne pas te pisser dessus ! On dirait que tu n’as rien appris depuis toutes ces années… Allez continues… Mais tu ne perds rien pour attendre !

- L’après-midi Maître Bruno nous prend à part l’une après l’autre pour un cours très particulier. Nous y passons toutes une fois tous les deux mois.

- Humm intéressant et qu’est-ce que Maître Bruno vous apprend ?

- A donner du plaisir à un Maître. Maître Bruno demande au préalable la clé de ma cage auprès de Maîtresse Claire que j’apporte dans une enveloppe scellée. Je suis décagé et un anneau de Kali est fixé à mon sexe à la place. Cela commence habituellement par une fellation profonde imposée et complète qu’il faut faire sans broncher. Puis souvent Maître Bruno se soulage la vessie dans notre bouche. Pendant un temps il s’amuse à tourmenter notre clitoris avant de nous attacher pour, comme il le dit, « nous chauffer notre cuir de femelle écervelée » à coup de lanières. Enfin il… il…

-  Que te fait-il, chihuahua ?

- Il… il…  m’encule comme une fille  les fesses relevées sur un oreiller.

- Tu aimes cela, chihuahua ?

- Oh oui, Maîtresse Elke ! J’aime la sensation de n’être qu’un objet pour son plaisir. J’aime la sensation de son sexe qui glisse dans mon rectum sans pitié. J’aime quand il part en moi. Je bande tellement que j’ai les pointes qui me rentrent dans la peau et que je saigne.

- Ah voilà notre chihuahua qui développe son petit côté féminin. Bien sûr Maîtresse Claire le sait…

- Oui, je lui ai avoué.

- Et qu’est-ce qu’elle en dit ?

- Elle me taquine en disant qu’elle allait me prêter à un groupe de Maîtres gays.

- Elle a bien raison, vu comment tu as l’air d’aimer cela. Bon tu as fini… Oui ? Et comment je fais pour te nettoyer de tes saletés ?

- Il y a des chiffons dans la cabane…

----- 

- Bon avant de te descendre au sous-sol, il serait bon que tu montres bon papa et que tu ailles dire avec moi bonsoir aux enfants…

- Non, ne m’infliger pas cela, Maîtresse Elke !

- Comment ça non ? Et que fais-tu des intentions de ta seconde Maîtresse ? Et si moi, j’ai envie pour mon plaisir que tu ailles dire bonsoir en soumis aux enfants ?

- Pitié, Maîtresse.

- Pas de pitié, allez ouste le chihuahua, on commence par ta grande fille.

Et Elke accompagne ses paroles d’un superbe coup au cul du chihuahua qui participe à l’emmener jusqu’à la chambre de Justine.

- Bonsoir Justine, nous venons te souhaiter une bonne nuit avec ton chihuahua de père. Il ne voulait pas venir mais bon tu me connais…

- Trop forte, tata ! J’adore ! Je suppose qu’après tu enfermes papa au sous-sol pendant que tu seras avec maman.

- Je ne peux rien cacher à ma Juju, alors oui. Tu sais nous revenons du jardin où ton père a fait ses besoins. Oh je te rassure que du fluide, rien de solide. Il s’en est même mis partout avec la cage.

- Tiens peut être que moi aussi, je devrais faire pareil.

- Ne te gêne surtout pas. Plus tu humilies un mâle soumis, plus il aime cela. Tu sais à ce propos, que ton père adore se faire baiser le trou du cul par une bite ?

- Non je ne sais pas, mais cela ne m’étonne pas de lui. Déjà qu’il bandouille dans sa cage, pendant que je le fouette…Oui, papa, tu crois que je ne le vois pas ? Mais bon pour tout t’avouer, te fouetter me fait aussi mouillé ma culotte…

- Attend pas de procès hâtif. Laisse-le se défendre un peu… Alors, chihuahua, cela fait quoi de se faire fouetter par sa propre fille ?

- S’il vous plait, Maîtresse Elke…

- Non je veux t’entendre ainsi que MAITRESSE Justine.

Le chihuahua est cramoisi.

- Je… Je remercie Maîtresse Justine de prendre le temps de me discipliner en secours de Maîtresse Claire.

- Banalité que tout cela. Je veux entendre ce que tu ressens au fond de toi-même quand tu es sous le joug de Mademoiselle ta fille.

- Je suis fier en tant que père de la femme qu’elle devenue…

- et ?

- Je ne veux pas…

- Si tu vas, que Justine entende de son père ce qu’il en est vraiment. Plus de faux semblants. Sois honnête avec toi même, chihuahua !

- Je suis souvent excité… par… par la situation… par le fait que cela trouble… par c’est ma fille… parce que elle est beaucoup moins précautionneuse que sa mère et qu’elle m’envoie loin dans ma tête quand elle me frappe…

- Tu vois, chihuahua, ce n’était pas si difficile de dire la vérité. Tu te le savais Juju ?

- Je m’en doutais mais je pensais que c’était plus par réflexe conditionné, pas autant intellectualisé. Cela fait une bonne base que nous travaillerons mercredi prochain, papa.

- Tu sais, chihuahua, que ta fille a déjà un copain soumis rien qu’à elle, en cage, qu’elle punit et encule ?

- Non ?

- Alors tu devrais être fier d’elle. Cela fera une superbe Maîtresse de mâle soumis, et pourquoi-pas de femelle, sûre d’elle et beaucoup moins inhibée que sa mère. Allez nous te souhaitons une bonne nuit Juju et fait de beaux rêves dominants.

Ils passent rapidement devant la chambre du petit dernier (« Trop jeune pour voir certaines choses ») et arrivent devant la chambre d’Arthur. Pierre est complétement crispé et ne veux plus suivre Elke.

- Non jamais ! Je ne veux pas : il est trop jeune ! Et il a encore le temps de choisir un autre destin que son père…

- Je crains, Pierre, qu’il soit déjà trop tard pour ton fils. Il a déjà le parfait caractère d’un garçon soumis aux femmes. En pamoison devant elles mais trop timide pour qu’il arrive quoi que ce soit. Tout toi à son âge…

- Non laissez le tranquille. C’est un garçon fragile. Il trouvera son bonheur avec les femmes mais pas dans la soumission. Il n’est pas facile de développer son caractère avec les femmes trop présentes au -centre de la maison. Putain c’est qu’un gamin !

Maîtresse Elke est agacée. Elle raccourcit la longueur de laisse forçant la tête du chihuahua à se tordre dans sa direction.

- Soit raisonnable, chihuhua, et accepte ce que la nature a fait de ton fils.

- Ce n’est pas la nature qui a fait cela. Mais le milieu des hommes – et surtout des femmes - dans lequel il grandi qui le broie. Jusqu’à huit ans alors que la D/S était encore un jeu entre Claire et moi. C’était un garçon joyeux, actif et plein d’initiatives. Et puis Claire est devenue Maîtresse Claire et j’ai accepté par faiblesse. C’était une erreur, je m’en aperçois maintenant. Comment voulez-vous qu’Arthur se construise en tant qu’homme alors que les seuls modèles d’adultes proches qu’il a en face de lui, c’est un homme qui se fait battre et dresser pas sa femme, et aime cela, et des femmes, y compris maintenant sa propre sœur, qui prennent plaisir à dominer les hommes, à les tourmenter pour leur seul plaisir sadique. Je savais que Claire emporterait Justine sur sa voie. C’était un combat perdu d’avance vu la fascination qu’elle avait pour les actes de domination de sa mère. Mais Arthur non, laissez-lui le choix, laissez-lui vivre sa vie sans croire qu’il est obligatoire d’être humilié le jour de ses quinze ans à porter le même pyjama décoré que son petit frère de cinq ans.

- Te voilà, subitement, l’esprit bien protecteur. Très papa poule, Pierre.

- Non cela monte depuis longtemps. Voilà maintenant que sa mère veut lui faire porter une cage de chasteté  - à quinze ans ! et je suis sûr que tu en es complice – tout cela parce qu’elle a décidé que tous les hommes de la maison devait être encagé à partir de cet âge. Elle veut le contrôle complet sur tous les mâles de la maison. Putain c’est sa sexualité à lui et je m’en fou qu’il la réalise ou non avec une copine. D’ailleurs si c’était sa petite copine qui le demandait d’être encagé et qu’il l’acceptait volontairement, cela serait son choix de la façon où il va vivre sa sexualité. Mais là c’est sa mère qui veut intervenir dans sa sexualité, pour la contraindre, dans le seul but de garder son emprise sur lui. C’est très proche de l’inceste. Comme elle encourage sa fille, à s’amuser sexuellement explicitement du corps de son père. Tout cela n’est pas normal…

- Te voilà bien remonté contre ta Maîtresse. Elle me l’avait fait entendre par mail, mais je ne pensais pas que cela en était arrivé à ce point-là. Pourtant toi à son âge tu étais dans les mêmes dispositions que ton fils aujourd’hui.

- Non à quinze ans je me posais des questions sur ce que je voulais de ma vie. Les femmes m’impressionnaient comme lui. Mais la grande différence, c’est qu’au grand jamais mes parents m’ont influencé pour devenir le mari et le papa soumis que je suis devenu. C’est mon choix d’adulte et pas celui d’autres personnes et c’est comme cela que je vois la valeur du libre-choix dans la vie humaine.

- Tu regrettes le choix que tu as fait ?

- Parfois oui. Parfois non. Je reconnais que cela a rendu notre couple indestructible contrairement aux autres. Cela a réalisé à tant de fantasmes d’adolescent et de jeune adulte qui m’ont si excité à réaliser. J’adore aussi appartenir à une femme qui décide pour moi. Mais dans ces pratiques, il y a une noirceur indélébile, qui formate l’esprit, et qui pousse à aller toujours plus loin dans la fange.

- Bref ce que tu me demandes à moi, c’est de sauver ton fils, à l’encontre de mes convictions sur la nécessaire domination de certains sous-mâles. Il y aussi cette rébellion verbale que je ne saurais pas laisser passer. Et-tu prêt à te sacrifier pour que je n’ouvre pas cette porte, maintenant ? Sache avant de répondre que je suis passablement agacée et ce que j’envisage en ce moment sera intolérable jusqu’au sang et plus encore. Et que tu auras mille fois où tu regretteras de ne pas m’avoir livré ton fils ? Alors es-tu prêt à te sacrifier ?

- Oui…

- Regardes-moi quand tu me parles ! Je veux voir la sincérité de tes yeux.

- Oui, Maîtresse, je suis prêt à me sacrifier.

- Le sort en a donc décidé. Allez chihuahua à la cave que je m’occupe de te faire regretter ton choix. Et dépêche-toi où je pourrais regretter ma clémence du moment !

----- 

Dans la salle du sous-sol, le corps de Pierre, étroitement sanglé au banc, a été fustigé durement un long moment. Ce corps est strié de centaines de balafres depuis le coup jusqu’aux mollets, qui n’ont épargné aucune parcelle de peau. La ceinture de chasteté a même été enlevée pour que le chihuahua n’ait plus aucune protection. Le sang perle en de multiples endroits. Le chihuahua sanglote doucement dans son bâillon.

- Je t’avais dit que cela serait dur, chihuahua. Garde ton souffle je n’ai pas fini de passer ma colère sur toi. Nous avons fait le derrière. Nous allons nous occuper du devant maintenant !

Le chihuahua est désanglé et attaché debout à un crochet du plafond, les jambes maintenues écartées.

- Ah, ah. Voilà ton petit chose avec ses deux orphelines, tout mimi tant il est recroquevillé. Cela ne t’excite pas plus de te sacrifier pour ton fils ? Dans cet état, même Luc parait plus adulte que toi. Tu sais que toi et Arthur avez exactement le même appareil, taille mini,  Sans doute suffisant pour faire des bébés – tu l’as prouvé – mais insuffisant pour combler définitivement une femme. A cela aussi Arthur devra faire face… Quant au beaucoup mieux membré Luc, on va dire que cela a sauté une génération… Il sera un vrai mâle lui ! … Bon fais voir ce que cela donne dressé… Je crains tellement c’est peu remarquable de ne plus m’en souvenir depuis l’été dernier… Oui c’est bien… Dresses-toi petite chose… allez fais un effort…Grossis ! Allonges-toi encore !... C’est tout ? Tu ne peux pas mieux faire ? … c’est tout juste plus long que le plus petit de mes doigts… Depuis combien de temps, elle n’a pas craché ? Deux, trois mois quelque chose comme cela… alors tata Elkie va s’en occuper… une deux une deux… en cadence comme à l’armée… humm elle semble mûre à point… et oui cela sort…  crache ton sale venin petite chose… y en a plus… allez encore un petit effort… voilà c’est tout vidé… Combien tu as tenu ? Vingt secondes, trente secondes ? C’est ta noirceur qui te fait partir si vite après avoir été fouetté ?... Tu as vu la tâche de sperme sur le sol ? … C’est dégoutant ! … Tu ne nettoieras tout cela avec la langue, mais tout à l’heure. Car pour l’instant après les douceurs, c’est l’amer… Tu ne comprends pas ?... Je t’explique… L’homme excité sublime la douleur, l’homme préalablement trait la goutte dans son intégralité… Allez à ton âge, j’ai vingt minutes pour œuvrer…D’ailleurs je commence… Prend ton souffle… Attends je ne comprends pas dans ton bâillon, tu aimes ou n’aimes pas que je t’écrabouille les couilles… Je recommence…

Les couilles du chihuahua sont pendant de longues minutes, écrasées, étirées, arrachées, pincées. Cela a toujours été le point faible du chihuahua comme beaucoup d’autres soumis. Elke se repait des cris étouffés de l’homme tourmenté. 

- Bon c’était la partie la plus agréable pour toi. Je crains que tu n’aimes pas la suite, comme les autres soumis à qui je l’ai imposé. Mais bon cela six ans maintenant que tu es dressé par Maîtresse Claire et tu es devenu beaucoup plus endurant. Il est temps de passer à des punitions d’adultes.

Et le chihuahua voit avec effroi, Maîtresse Elke, se saisir d’un fouet court et viser son entrejambe. C’est l’enfer sur terre, intolérable, souffrance totale qui éclate dans le corps, aucune possibilité de gérer sa douleur dans la tête. Sans répit, vingt fois, trente fois – le chihuahua ne sait plus – le fouet marque ses chairs les plus fragiles et y laissent une terrible douleur permanente. Pour terminer, la maitresse danoise lui marque le torse à la volée d’une série de belles zébrures, presque un soulagement par rapport à ce qu’il vient de vivre. Elke contrôle l’état final du corps.

- Pas mal ! Voilà un beau soumis bien maté… Où est le jet d’eau que je te nettoie un peu… Ah dans l’angle.

La force du jet d’eau lui réveille la douleur dans chaque blessure, mais à la fin il est nettoyé de tout le sang séché. Ne restent plus que les balafres maintenant violacées…

- Ah plus de sperme. Dommage… L’eau à tout nettoyé. Bon il est temps de te préparer pour ta nuit de remord. D’abord on remet sa ceinture. Attend Claire a mis où le paquet que je lui ai envoyé la semaine dernière ? Ah sur l’étagère… Ouvre ton cul que j’enfile le plug. Etonné ? C’est la version Punisher de la cage pour les soumis désobéissant comme toi. Gunther l’a encore perfectionné. La base du plug se déploie dans le rectum pour bien te verrouiller et maintenant il y a un système électrique de rappel à l’ordre programmé là… humm toutes les heures. Une petite décharge et tu te rendors. Faudra quand même faire gaffe de ne pas être en train de conduire à l’heure pile. Sinon le reste c’est comme l’ancien modèle. Des piques si tu bandes. Privé de la liberté de déféquer quand tu veux. C’est à heure fixe, si ta Maîtresse te l’autorise et uniquement par lavement. Le trou est trop petit pour laisser passer tes crottes. Moi d’habitude c’est pour au minimum un mois incompressible. Mais bon tu verras cela avec ta Maîtresse, demain car ce soir tu te rappelles c’est entre filles. D’ailleurs ta Maîtresse risque de se lever tard demain., on va lui faire gagner un peu de temps en te mettant déjà l’eau du lavement. Voilà c’est fait. Allez en cage le toutou !

En dernières perversités, Elke enlève le matelas de la cage et lui attache les mains dans le dos à un barreau de la cage. Elle quitte alors la pièce en fermant la lumière.

- Je te souhaite une très bonne nuit chihuahua…

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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