Efterord : Claire
Remontée du sous-sol, Elke passe par le bureau où travaille encore Claire à sa formation.
- Définitivement têtu ton chihuahua. Je suis en nage ; je vais prendre une douche. Toi tu vas m’attendre dans ta chambre. Je te veux à poil, le nez collé contre le mur.
- Oui, Herskerinde.
Claire obéit immédiatement sans prendre le temps de refermer son ordinateur. Elke y jette un coup d’œil, parcourt la « Nécessité d’avoir une hiérarchie dans la société » avant de l’éteindre, puis elle va prendre la douche. Vingt minutes plus tard, elle rejoint la chambre, nue sous le peignoir de soie carmin qui l’attend toujours dans cette maison.
La soumise entend l’arrivée de sa Maîtresse, agenouillée au côté du lit, le nez contre le mur. Elle est nue, avec néanmoins la cage à abricot autour de la taille, qu’elle porte en permanence depuis le début de sa formation – c’est le contrat -. Elke prend le temps de contempler ces formes douces pas encore trop abîmées par le début de la quarantaine, qui lui font envie ce soir.
- Bon je constate que tu es une bonne tæveling obéissante. Peut-être qu’à la fin j’arriverai à faire quelque chose de toi. Tu as de la chance, aujourd’hui je suis directement présente pour ton contrôle hebdomadaire. Nous allons donc commencer par les formalités et après je m’amuserai avec toi. Relève-toi et donne tes poignets que je te menotte dans le dos. Je ne voudrais pas que tu aies des mauvaises pensées quand j’examinerai sous la cage. Tout doux, laisse toi faire, tæveling… Voilà c’est déverrouillé… Humm, la peau est quand même assez irritée, là et là… Mais rien de trop grave. Et puis bravo cela ne sent presque pas. Tu utilises bien matin et soir la poire à lavement vaginal ?
- Oui, au lever et à mon retour à la maison, Herskerinde.
- Tu vois comme c’est efficace. Je te l’avais dit. Cela permet un long port de la cage à abricot pour satisfaire ta Maîtresse. Faut faire aussi attention à bien nettoyer l’anneau derrière. Il peut y avoir de la matière qui s’y colle. Et je ne voudrais pas que ma tæveling chérie tombe malade ; ce n’est pas le but. En fait le seul vrai problème chez les femmes pour le port de la cage c’est les règles, mais si tu prends bien la pilule que le docteur Bernard t’a donné, cela enlève le problème. Bon tu en es où de ta formation ? Tu m’as apporté ton carnet de notes ?
- Il est sur le lit à votre disposition, Herskerinde.
- Voyons-cela. Humm… pas mal. Tu es douée ou assidue, n’importe. Le principal est que tu réussisses ta formation et que tu obtiennes un poste plus élevé dans ton entreprise. Il est important qu’en femme dominatrice, cela soit toi qui fasses bouillir la marmite à la maison, plus que Pierre. Et vu l’aide que t’apporte maintenant Justine et qu’elle m’a raconté en détail, tu n’as plus d’excuse pour ne pas réussir. En fait Pierre et sa promotion ?
- Il n’a finalement pas été retenu. J’ai eu peur, je m’apprêtais à lui demander de la refuser, suite à votre conseil, mais finalement son patron a placé un de ses protégés, à mon grand soulagement.
- Alléluia ! Dieu est du côté des femmes dominantes.
- J’écouterai ton rapport détaillée un prochain jour, mais je veux savoir où tu en es du côté frustration. Cela fait quoi… huit semaines sans orgasme ?
- Non neuf et deux jours, Herskerinde. Je suis à fleur des sens en permanence. Un rien me fait mouiller. Comme cet intervenant sur l’économie mondiale si magnifiquement beau. Je ne cesse de couler en sa présence et j’en suis si gênée, d’autant que je ne peux pas essuyer le trop plein d’humidité.
- Mouiller devant un bel homme est chose fort honorable pour une femme… encore plus si elle est soumise.
- Oui, mais ne je m’aime pas ainsi, Herskerinde, Je me dis que c’est à la faute à la cage à abricot. Que l’impossibilité crée le désir permanent. Et que la contrainte me fait devenir une putasse prête à me donner à n’importe qui. Pourtant j’aime mon Pierrot même si j’adore le soumettre. Le rien crée l’envie de la moindre chose qui est sexuellement sublimée. Je suis sûre que sans la cage, je n’accorderais pas le même regard aux autres hommes.
- C’est ce que tu as choisis je te le rappelle. Je t’ai proposé de prendre des amants réguliers et de t’en servir pour humilier ton chihuahua. Tu as toujours refusée, préférant donner ton amour à ton mari soumis, enfin pas exclusivement, avec la grosse bite de Lucas, quand tu reviens au Domaine. Je sais que tu deviens folle quand il te la met dans le cul. D’ailleurs tu aurais choisi une autre voie, tu pourrais être ce soir avec un bel apollon black à lui lécher les couilles et avaler avec délectation le mandrin qui te baise si bien la bouche. Tu sentirais les palpitations de sa bite prête à cracher sa dose nourrissante, mais il s’arrêterait au dernier moment pour te basculer sur le ventre, avant de prendre à la hussarde ton…
- Arrêtez, s’il vous plait, Herskerinde. Ces idées sont une torture. S’il vous plait Herskerinde, laissez votre tæveling prendre son plaisir. J’ai ai tant besoin. Vous savez comment j’ai été une bonne soumise ces derniers temps…
- Une jérémiade de plus destinée à émouvoir ta Maîtresse… Tu es désespérante à la fin. Tu pourrais devenir une chaudasse de la queue mais tu t’y refuses stupidement, préférant restée fidèle à ton Pierre et à Lucas, une sorte de bigamie à ta manière. Et tu subis en martyr les séances de queue au kilomètre quand je te les impose. D’ailleurs tu en as une de programmée demain toute la journée chez Claude.
Claire leva des yeux déjà embuées à la perspective.
- Pourquoi réagis-tu comme cela ? Les choses sont claires : je paye ta formation hors de prix, tu t’engages à rester dans ta cage à abricot pendant ce temps et, avec oui, je l’ai promis, quelques jouissances contrôlées. Demain donc tu pourras jouir du cul… Mais ce soir, après tout, je vais te laisser en prendre un avant goût, vu que je n’ai pas grand-chose à te reprocher. Mais il ne va pas falloir me la faire regretter, tæveling. Tu vas commencer par aller prendre une douche, sous mes yeux comme au peep show, totalement libérée mais que je ne te surprenne pas à toucher aux choses interdites. Puis je te tannerai longuement le cuir à la cravache, pour rien sinon mon seul plaisir. Et après peut-être que....
Maîtresse Elke regarde sa soumise se savonner et se shampooiner sous la douche. Claire fait très attention de ne pas s’approcher à moins de cinq centimètres des endroits interdits, préférant rincer abondamment ces zones avec le pommeau de la douche. Une fois la douche terminée, Elke attache les mains de Claire directement à la barre du pommeau de douche et commence à la sécher du bout de sa cravache. Claire se tort sur les coups et hurle sous la douleur à ravir Maîtresse Elke, comme si elle voulait que toute la maison sache, qui était la Maîtresse ultime. C’est violent, sans considération, juste destiné à marquer sa propriété. Une fois la chair matée, il est temps s’assouvir les pulsions du bas ventre, celles de la Maîtresse et pas celles de la soumise. Voilà Claire étroitement attachée aux quatre coins du lit, la tête munie d’un double gode bâillon, le petit déjà plus qu’honnête dans sa bouche à distendre la mâchoire, le grand protubérant à l’extérieur en invitation. Maîtresse Elke s’y enfile la chattoune avec envie, s’excite et part rapidement d’un premier orgasme. Le temps de ralentir un peu et elle se frotte doucement sur le gode de bouche pendant qu’elle allonge son corps pour atteindre l’entrejambe de sa soumise. Il y a là bientôt le combat inégal de la chatte de Maîtresse pleinement prise d’excitation et d’une fleur de soumise machiavéliquement excitée d’un doigt fureteur qui lui refuse toute jouissance. La Maîtresse part sur un nouvel orgasme tandis que la soumise reste désespérément frustrée.
Le temps de changer de face. De pile la soumise est passée de verso. Le temps aussi de changer de gode, toujours double, un peu de lubrifiant et tæveling se retrouve enculée par sa Maîtresse qui bientôt jouit de son cul en la défonçant jusqu’à un nouvel orgasme. Post coïtum, Elke libère Claire. Les draps sont mouillés de la jouissance non aboutie de la soumise. Les mains menottées de nouveau derrière le dos, la ceinture est re-verrouillée. Occasions anéanties pour tæveling qui tire un peu la tête.
- Que c’est bon de jouir égoïstement de sa soumise ! J’ai toujours adoré cela avec toutes mes soumises. Mais là tu sais tæveling, cela m’a donné envie d’en fumer une. Accompagne-moi dehors, s’il te plait.
C’est plus un ordre qu’une demande. Sur la terrasse, Claire se retrouve à sucer la Maîtresse de sa vie avec amour et dévotion, entre les pans du peignoir entrouverts, pendant qu’Elke fume ! Y a-t-il un Zépharin voyeur pour elles ? En fait non, la nuit est si calme… Même les voisins sont rentrés. Cela ramène aux premiers moments au Domaine, à ce fouet qui l’avait fait rendre grâce dans l’écurie suivi de ce cheval qu’elle avait dû exciter de sa langue avant que son pénis animal la baise à sa grande honte… Un avant-goût de ce qu’était capable de lui faire endurer sa Maîtresse danoise.
La main gauche dans la chevelure de Claire, pour pousser encore plus la langue contre l’intimité, Elke commence la conversation...
- Es-tu fière de ta Justine ?
- Oui totalement. Elle est la dureté que je n’ai jamais eue, face à son père et les jeunes hommes qui tombent sous sa coupe. Elle n’a aucune miséricorde pour les autres. Je vois chez Pierre, depuis quelques semaines, les effets de ses traitements. Terriblement efficaces pour remuer un mâle. En fait, elle te ressemble tellement dans son exigence envers les autres.
- Cela ne te dérange pas que cela soit ta fille qui domine ton mari et son père ?
- Humm… question difficile, Herskerinde. Je me rends compte combien cela peut être tabou, mais…non vaut mieux rien dire.
- Parle franchement, tæveling !
- Je… Je suis tout simplement soulagée que cela reste dans le secret de la famille… plutôt que d’exposer notre style de vie sur la place publique.
- Et protéger ta réputation ! Je trouve que tu t’arranges trop facilement avec les faits. Car de quoi parlons-nous là ? D’une fille mineure qui a des activités purement sexuelles avec son papa et qui aime ça ! Rien de plus et c’est déjà beaucoup. Toi sa mère, tu devrais la protéger de cette dépravation et non l’inciter à aller plus loin. Du moins la normalité, c’est ça. Mais ne te trompes pas sur mes propos, si je suis partisane de ce genre de relations atypiques, ce n’est pas pour ton petit confort d’être secondée, mais pour la perversité même de ces relations. D’ailleurs, vu que tu ne sembles pas comprendre, je me demande si je ne devrais pas déléguer une partie de mes prérogatives de Maîtresse sur toi à Justine !
- Non ne faites pas ça, par pitié… Herskerinde. J’aurais trop honte !
- Et tu as pensé comment se jugeait ton mari à se retrouver à être excité par les actions perverses de sa fille. Non pas un seul instant ! Tu n’as vu en ta si prévenante fille qu’une occasion de te débarrasser de ton chihuahua…
- Non…
- Ne mens pas, tæveling !
- Je… je n’avais pas réfléchi à cet aspect. Je suis une idiote, Herskerinde.
- Non pas une idiote, juste une femme qui ne réfléchit pas assez à ses actes. Et c’est pour cela que tu as une Maîtresse pour te remettre les idées en place. Et Arthur, qui vient d’avoir quinze ans, qu’envisages-tu pour lui ?
- Justine m’as dit qu’il se masturbait sans cesse et elle m’a sournoisement conseillé de lui faire porter une cage de chasteté. J’en ai parlé à Pierre qui s’est mis en colère. Je ne savais que dire ou faire et je ne le sais toujours pas…
- Pourtant c’est toi la Maîtresse de la maison, que décides-tu ?
- Je n’arrive pas à me décider. Je n’aime pas que Justine et Pierre se disputent sur l’avenir d’Arthur. Cela devient un combat de coq. Jeudi matin, quand je suis allé libérer Pierre, il était dans un état terrible, la peau totalement marquée et boursoufflée depuis le cou jusqu’au mollet. Il était d’une humeur noire, très remonté contre moi. Je n’ai d’abord rien compris, puis il m’a dit qu’il avait été fouetté puis enculé au gode par Justine sur mes « stupides » instructions. Pourtant je vous jure, Herskerinde, je n’ai rien demandé de si violent à Justine… Mais j’ai totalement assumé devant mon chihuahua. Il m’a demandé pourquoi il devait obéir. J’ai répondu en femelle sphinx énigmatique qu’il le savait très bien…
- Ainsi, Justine commencerait à jouer un jeu perso… Intéressant ! Va falloir que je creuse…
Elke dit cela sans conviction.
- Bon mais revenons à Arthur et oublie ta fille et ton chihuahua, qu’est-ce que tu veux, toi, faire de lui ?
- C’est vrai qu’il me rappelle tellement Pierre, sauf que Pierre a décidé plus tard de son orientation sexuelle quand il était adulte. Je n’aime pas du tout que l’on se masturbe dans ma maison, mais j’hésite à devenir l’empêcheuse de sa sexualité adolescente, finalement assez innocente. Je trouve que ce n’est pas le rôle d’une mère, ni d’une sœur. Mais dans le même temps, je ne trouve pas normal de récompenser les rebellions de mon chihuahua. Bref, je ne sais que décider. Et quoi que je décide, je mécontenterai l’un ou l’autre… Alors j’ai pensé vous demander conseil, Herskerinde.
- Bref, tu refiles le problème à tata Elkie, petit fille sans courage. En fait tu as raison, puisque je suis ta Herskerinde et que je dois décider du mieux pour toi et ta famille. Mais dans ce cas, j’hésite comme tu hésites. Je suis dégoutée par les hommes qui préfèrent s’astiquer que d’investir leur énergie vitale à satisfaire les femmes, mais je ne peux cautionner la sournoiserie inélégante de sa sœur. Je suis partagée alors je te propose de laisser le sort agir. C’est finalement la bonne solution pour sortir de cette impasse quand tu sais que les inverses ne peuvent être rapprochés. C’est ce que je fais de temps en temps. Va me chercher une pièce de deux euros si tu es d’accord sur le principe du jugement de Dieu…
Claire acquiesce avec curiosité et ramène une pièce.
- Bon nous voilà à la croisée des chemins. Votre destin est en marche. Pile, Arthur est mis en cage jusqu’à ce qu’il quitte la maison. Face il est sauvé mais tu prendras un amant régulier sous trois mois pour cocufier en permanence ton mari Je sais que l’enjeu est élevé mais je ne joue jamais des petites mises au hasard. Es-tu d’accord, même si cela te coûte ?
- O..Oui. que cela soit ainsi.
- Eh bien le sort en est jeté. Retourne-toi et lance la pièce derrière ton épaule. Tu auras l’interdiction de savoir immédiatement : à la place, je te ficèlerai sut une chaise, le cul empalé sur ton plus gros plug pour la nuit. As-tu compris, tæveling ?
- Oui, j’ai compris, Herskerinde.
- Alors lance la pièce… Maintenant !
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Claire a été étroitement ficelée pour la nuit sur une chaise dans le placard, difficilement empalée sur le plus gros plug. Elke referme les portes ajourées et retourne dehors. La pièce l’attend sur le carrelage de la terrasse. Elle sort son cigare du soir, qu’elle prend longuement le temps d’apprécier entourée de la nuit. Une fois, le foin écrasé, il est temps de savoir le destin. Elle regarde la pièce. Face : Arthur est sauvé un instant, le temps que la vile Maîtresse danoise change de côté la pièce.
- J’en étais sûre, face. Arthur tu n’as vraiment pas de chance pour tes quinze ans…
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Elke attachée sur sa chaise voit avec effroi, à travers les persiennes du placard, Elke ramener son fils qu’elle vient de réveiller. Elle veut crier mais ne peut pas. Elle est étroitement bâillonnée et la musique de la radio de la table de chevet couvre ses beuglements.
- Pourquoi tu m’emmènes dans la chambre de papa et maman, tata ?
- Papa a été mis au sous-sol pour la nuit et maman a besoin d’encore travailler dans le bureau. Tu viens d’avoir quinze ans, tu es devenu grand. J’ai prévu de te faire une grosse surprise pour ton anniversaire, puisque tu viens juste d’atteindre l’âge légal, mais il ne faudra pas le dire à papa/maman, ni à ta sœur. Détends-toi.
Elle le fait tomber d’autorité sur le dos sur le lit, avant de se positionner au-dessus de son entrejambe. Elle écarte l’élastique du pyjama enfantin pour dégager le jeune sexe. Arthur tente de se dégager…
- Laisse-toi faire, Arthur. Tu verras comment cela est agréable avec une femme. J’aurais préféré que tu le découvres avec une petite copine, mais comme tu n’y arrives pas, ta tata va se sacrifier.
En parlant, elle lui masturbe le sexe. Sa bistouquette devient vite tout gonflée et luisante.
- Ah, je vois que tu apprécies. ! J’avais peur que tu rejettes ta vieille tante. Humm, tu me donnes de ces envies… Tu sais ce que c’est une fellation ?
- Oui je sais : la femme suce le sexe de l’homme jusqu’à l’arrivée de l’orgasme. C’est ce que j’ai lu dans le dictionnaire du salon.
- Eh, bien. Tu me fais si envie, je crois que je vais te le faire. Tu en as envie ?
Sa bite dressée tressaute de plaisir.
- Oh oui, tata. Je promets, je ne dirais rien à maman, papa ou à ma sœur.
- J’espère bien. J’ai envie de manger ce zizi. Mais les Dames n’aiment pas que l’on les regarde pendant cette caresse. Acceptes-tu que je te bande les yeux ?
- Oh oui !
Arthur très excitée est prêt à toutes les concessions. Elke lui bande les yeux avec un foulard de la commode sa mère. Elle obtient aussi qu’il enlève son pyjama. Le corps de l’adolescent est en attente, nu couché sur le lit. Les lèvres de la danoise se referme sur le petit phallus avant de coulisser en cadence. Arthur halète son plaisir qui monte. Sa suceuse lui met un doigt dans le cul, alors que le plaisir explose. Claire dans son placard pleure la perte de l’innocence de son fils. Même si le sort en a déterminé, Elke n’avait pas le droit de le prendre ainsi. Arthur explose dans la bouche d’Elke qui inhabituellement avale le jeune sperme tout en finissant de le vider de sa bouche.
- Personne ne te l’avait jamais fait ?
- Non. Les filles me font si peur tata…
- Cela t’a plu ?
- Enormément !
- Alors je continue ? J’ai envie de te faire l’amour avec toi, tu en a envie toi aussi ?
- Oh, oui !
- Alors laisses-moi faire pour t’initier. Donne-moi tes mains… Oui je sais que ce n’est pas agréable d’avoir les mains attachées. Mais aie confiance, je ne voudrais pas que tu gâches tout… Tu t’en voudrais tellement après. Tu es si important à mes yeux ! Allez laisse-toi aller à découvrir le sexe avec une femme…
Elke l’embrasse longuement dans la bouche, langue contre langue. Il est aux anges ! La danoise en profite pour lui mettre prestement le zizi dans la cage qu’elle avait prévue spécialement pour le quinzième anniversaire d’Arthur. Une cage de chasteté plutôt qu’une ceinture de chasteté complète comme le père, une concession à son jeune âge. Arthur proteste…
- Mais qu’est-ce que m’as fait, Tat…
Il n’a pas le temps de finir. Elke lui massacre le téton pour lui enfiler un gode boule, qu’elle verrouille derrière la nuque.
- Ne m’en veux pas, Arthur. C’est ta maman qu’il le veut. Elle me l’a demandé de le faire. Elle en a marre que tu masturbes tout le temps et veut que tu comprennes sa désapprobation. Mais elle sait qu’elle intervient ainsi sur ta sexualité adolescente. Ta maman ne veut pas que tu la voies comme celle qui empêche de vivre ta sexualité. Tu te souviens du drôle d’accessoire que je t’ai offert avec ton ordinateur ? La clé de ta cage y sera mise dès ce soir. Mais pour que puisses récupérer la clé pour te soulager, il te faudra les trois autorisations de ta mère, de ta sœur et de moi-même. Les voyants sur le dessus t’indiquent qui autorise ta libération. Comme cela, ta mère ne sera pas la seule à gérer ta sexualité, cela sera une œuvre collective des femmes de ta vie, avant de te confier à une petite copine. Moi ce que j’attends est qu’au moins une fois par semaine nous discutions par webcam.
Tu n’avais pas le droit, Elke ! tente de crier Claire, mais le bâillon étouffe les paroles que la musique rend inaudible. Elle ressent comment elle a été manipulée par Elke, un nième fois, qui avait fixé le sort de son Arthur avant même de lui parler.
- Allez, il est temps que je te dépucèle… mon chou.
Elke tourne Arthur sur le ventre, lubrifie rapidement son anus avant de lui prendre le cul avec le même gode ceinture qui a pris le rectum de sa mère, il y a moins d‘une heure. Elle goutte ses cris de petit garçon outragé jusqu’à plus fin. Une horreur pour sa mère rendue impuissante dans le placard. Deux êtres matés dans une même vacherie.
Elke perfore avec son sadisme habituel le cul de sa nouvelle victime, le petit crie de détresse mais elle s’en contrefout, mieux elle jouit intérieurement de cette perversité. Elle le travaille longuement pour affirmer la domination des femmes, son nouvel horizon dorénavant, avant de finalement se retirer. Le temps de mettre le collier rose de sa mère avec la laisse et de lui rendre la vue, elle l’emmène en dehors de la chambre sous la menace d’un martinet de cuir rouge. Arthur descend prestement l’escalier sous la menace réelle des lanières qui frappent ses fesses en cadence. Pour la première fois, il entre dans la pièce interdite et découvre son père nu dans la cage. Le chihuahua se réveille hébété.
- Allez ouste, dans la cage Arthur, avec ton dépravé de père. Je suis désolé, chihuahua, mais tu avais déjà perdu avant ta rébellion. J’avais tout prévu, les faux SMS et le reste. Vous êtes tous si prévisibles. Et j’ai pris un réel plaisir à te massacrer la peau puis à dépuceler le cul de ton fils, après l’avoir faire jouir dans ma bouche.
Elke ouvre la porte de la cage, et d’un coup de pied sur le cul, y propulse Arthur.
- Tel père, tel fils ! Je pense que vous allez avoir beaucoup de chose à vous raconter, entre père et fils… Bonne nuit !
Une fois remontée, Maîtresse Elke s’arrête un moment en haut de l’escalier, le temps de déclencher, avec une lueur vicieuse dans l’œil, l’arrosage de la cage au sol-sol, « L’épreuve soude les hommes d’une famille ».
Maîtresse Elke met fin finalement à la déferlante au bout de quelques minutes, presque à regret, avant de se diriger vers la chambre de Justine. Sur le seuil de la porte, elle laisse tomber son peignoir, ne gardant que le gode-ceinture et le martinet rouge… Elle ouvre finalement la porte.
- Justine, tu dors ? C’est tata Elkie…
FIN DU DOMAINE
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