Efterord : Arthur
- Je peux entrer, Tutur ?
- Bien sûr, Tata Elkie. Je viens de finir mes devoirs. Merci d’être venue pour mon anniversaire. Cela me fait tellement plaisir.
- Quinze ans déjà, comme le temps passe vite maintenant… tu n’es plus tout à fait un enfant et pas encore un homme…Asseyons-nous sur ton lit que tu me racontes tes dernières aventures. Oups… c’est quoi ce slip qui traîne. Et en plus ce n’est pas très propre dedans. Maman ne va pas être contente, dépêche-toi d’aller le mettre au linge sale !
Ce que fit immédiatement Arthur, les joues un peu rougissantes.
- Alors cela va comment à l’école, raconte-moi…
- J’ai des bonnes notes et Maman et Papa sont fiers de mon travail. Je suis toujours dans les cinq premiers, tu sais, Tata.
- C’est très bien mon Tutur. Au fait, quelle heure est-il?
- Dix-neuf heures cinq.
- Et tu n’as pas oublié quelque chose ?
- Dix-neuf heures… Oh ! … Oh non Tata, c’est le jour de mon anniversaire. Papa sera certainement d’accord pour que je mette en pyjama plus tard…
- Oui mais Maman non. Tu sais qu’elle ne transige pas sur les règles à la maison.
- S’il te plait Tata, si tu dis oui, Maman n’osera pas aller contre ce que tu as décidé. Elle te respecte trop.
- Mais non, je suis d’accord avec elle. Il y a de très bonnes habitudes. Et celle que les petits garçons soient prêt à se coucher en est une très bonne.
- Mais j’ai quinze ans, Tata !
- Oui comme je disais tu n’es pas encore complètement adulte. Mais ne fait pas cette tête, je t’ai apporté plusieurs cadeaux et je t’autorise à en ouvrir un en avance. Attends-moi le temps que j’aille à ma valise…
Elke quitte un moment la chambre pour revenir avec un paquet cadeau.
- Tatata... Allez ouvre-le… Oui c’est un nouveau pyjama que j’ai fait faire spécialement pour toi…
- Mais Tata, ce n’est pas mon âge avec toute ses girafes et lions dessus !
- Crois-tu, à quinze ans on n’est pas totalement grand, et il est bon que l’on se le rappelle en permanence. Ce pyjama sert aussi à ça, à rappeler aux garçons qu’ils doivent rester humbles et continuer à bien obéir à leurs parents jusqu’à ce qu’ils puissent voler de leurs propres ailes. Allez passe-le… Tu ne veux quand même pas vexer ta veille tante…
Arthur obéit à contrecœur et se déshabille, garde son slip et passe l’humiliant pyjama.
- Viens te faire voir… Parfait, ta maman ne s’est pas trompée dans tes dimensions… Mais il y a quelque chose que ne va pas, justement liée à ton âge. Tes testicules sont déjà tombés, non ?
- Mes testicules… ?!?
- Tu sais bien quand les petits garçons naissent, les boules sont cachées et elles apparaissent à l’adolescence. Et toi tu en es où ?
- Non, pas de problème Tata, tout y est.
- Humm, il peut y avoir un problème. Laisse-moi t’examiner.
Et Elke sans préavis baisse le pantalon de pyjama et le slip pour dégager le service trois pièces, finalement assez semblable dans la modestie à celui du père – une sorte de marque de famille en quelque sorte. Elle porte ses doigts sur les boules pendantes et commence à les palper. Arthur est rouge pivoine et veut de ses mains l’empêcher de faire.
- Laisse tes mains où elles sont mon garçon, il vaut mieux… Bon c’est bien ce que je pensais, les testicules sont tombés et tout va bien. Te voilà presque un homme, Arthur. Rhabille-toi.
Il obéit avec empressement.
- Tu sais que les boules sont pleines de spermatozoïdes pour faire le bébé ?
- Bien sûr Tata et depuis longtemps !
- Et que là tu les empêche de respirer en les maintenant tout le temps serrées dans ton slip. Il ne leurs faut pas trop de chaleur pour le système fonctionne bien.
- Non je ne savais pas…
- Donc maintenant que tu sais, tu comprendras donc qu’il est important pour que tu puisses avoir des enfants plus tard de les laisser libres la nuit. Allez enlève donc-moi ton slip tout de suite.
- Mais tata !
- Tss, tss, obéis. Tu ne seras pas le premier petit garçon que je verrai tout nu.
Il fait ce qu’elle demande.
- C’est bien mieux pour tes petites boules, mon chou. Rassis-toi à mes côtés. Alors elle est belle ta petite copine ?
- J’en… j’en ai pas.
- Tu veux dire que tu en n’as plus pour le moment ?
- Non j’en ai jamais eu, tata.
- Aucune ? Humm. Bon alors la femme de tes rêves tu l’imagines comment ?
- Belle et décidée, qui sache à la fois être tendre et forte, au centre de la famille.
- Alors tu as une fille en vue ?
- Oui, je lui ai déclaré ma flamme, mais elle n’a pas voulu de moi. Elle est avec un autre de la classe, maintenant.
- Et cela te fait mal au cœur ?
- Oui, je me sens si vexé et nul.
- Tu crois que ce n’était pas la bonne fille et qu’avec une autre cela ira mieux ?
- Non, tu sais, les filles m’intimident tata. Là j’avais mis des mois à prendre assez de courage pour aller lui parler, et patatras, elle m’a rejeté dès que j’ai commencé à parler. La honte !
- Pas facile si les filles te font peur. Comment comptes-tu rencontrer alors ta femme de tes rêves, si tu n’arrives pas à les draguer ?
- J’aimerais que cela soit tout cuit, que la fille me choisisse directement, sans que j’ai besoin de risquer une déception.
- Tu sais c’est comme cela que ton papa a rencontré ta maman ?
- Oui. C’est ce que je voudrais dans mes rêves.
- Et sais-tu pourquoi ta maman a choisi ton papa pour se marier, plutôt qu’un autre homme ?
- Parce qu’ils étaient amoureux.
- Non, cela vient après cela.
- Alors je ne sais pas…
- Parce que ta mère voulait un mari et un père tendre et attentif aux besoins de sa future famille. Il faut comprendre que dans la vie, il y a deux types d’hommes. Ceux qui sont beaux, forts ou puissants, et qu’y n’ont aucun mal à draguer les filles qu’ils veulent et finalement obtiennent. Et ceux comme toi ou ton père, timides, ayant peu de choses à offrir à une fille d’autres que leur gentillesse et leur attention. Et pour cela heureusement Dieu, dans sa bonté, a créé une catégorie de femme qui leurs correspond et qui aime ce type d’homme comme ta mère. Je suis sûr que tu me comprends.
- Oui, un peu, mais pas totalement.
- Tu as quinze ans maintenant et il est temps que tu apprennes certaines choses. Mais avant laisse-moi entendre ce que tu as compris de toi-même. Réponds simplement à mes questions.
- C’est qui le chef à la maison ?
- Maman
- Pourquoi ?
- Parce qu’il vaut mieux obéir à ce qu’elle demande sans discussion ou elle nous punit.
- Elle te punit toi ?
- Oui quand je suis désobéissant ou que j’ai fait une connerie… Elle me prive d’une activité que j’aime bien ou me dit de rester dans ma chambre.
- Et pour les plus grosses bêtises ?
- Elle… elle me donne la fessée couché sur ses genoux.
- De quand date ta dernière fessée cul nu ?
- Il y a trois semaines, j’étais sorti sans son autorisation.
- Tu as eu honte ?
- Oui
- Tu as eu mal ?
- Oui
- Tu recommenceras ?
- Oh non, Tata.
- Et quand elle est contente de toi, qu’est-ce qu’elle fait ?
- Elle me fait un gros câlin au moment du coucher. . J’adore cela.
- Tu te masturbes combien de fois par jour en moyenne ?
- Non, je…
- Je n’aime pas les menteurs. Réponds-moi en me regardant dans les yeux. Je saurai si tu me mens…
- Tous les… matins et tous les soirs.
- Plusieurs fois ?
- Parfois.
- Ta maman le sait ?
- Non, ne lui en parles pas s’il te plait, tata.
- Parlons de ton père… il est puni lui aussi quand maman n’est pas contente ?
- Je crois que oui. Ce n’est pas bon quand elle lui fait les gros yeux. Cela va dire que maman va le punir.
- Comment le punit-elle ?
- Ce n’est pas comme quand elle me donne la fessée où papa est là pour regarder. Ils s’isolent pour la punition dans leur chambre qui est fermée à clé. Il y a aussi une pièce à côté de la chaufferie où je n’ai pas le droit d’aller. Parfois j’entends papa crier. D’autres fois seulement des bruits sourds. Souvent le lendemain matin, papa marche bizarrement.
- D’après toi, il se passe quoi quand ils s’isolent pour la punition de ton père ? Tu n’as jamais eu envie de savoir ?
- Oh si mais c’est trop dangereux. Et si maman me surprenait à espionner aux portes ? Je crois qu’elle lui donne une espèce de grosse fessée pour adulte.
- Tu as déjà vu ton papa tout nu ?
- La plupart du temps, il évite que je le vois. Mais de temps en temps, je le surprends au passage sans qu’il sache que je l’ai vu. Dis, tata, c’est quoi la ceinture en métal qu’il porte autour de la taille et sur le zizi ?
- Qu’est-ce que tu crois, toi ?
- Que… que cela l’empêche de jouer avec son zizi sans l’accord de maman. Comme cela il garde tout pour maman quand ils font l’amour…
- Tu n’as pas vérifié sur internet ?
- Non je ne peux pas. Maman m’a interdit tout site adulte ou sexuel depuis que je suis petit. Et le contrôle parental est encore actif sur mon compte. J’ai essayé de négocier pour que Maman me l’enlève. Echec. Justine, elle, a droit à tout ! Ce n’est pas juste !
- Non cela me parait sage de la part de ta mère. Justine est plus grande en âge que toi et aussi en sagesse.
- Donc toi aussi quand tu seras adulte que tu auras une copine, tu voudrais que ton zizi ne soit que pour elle et qu’elle en garde la clé ?
- Oh oui ! J’aime beaucoup l’idée. Je trouve cela très beau, de se donner entièrement à une femme.
- Mais cela ne te manquerait pas, les masturbations ?
- Non, puisque nous ferions l’amour souvent…
- Que ta naïveté juvénile est touchante, mon chou. Ce que tu appelles un accessoire de fidélité est en fait une cage de chasteté. Non seulement cette contrainte t’empêche de te masturber, mais elle t’empêche de passer en érection tout court. Tu la portes tout le temps et partout. Tu en sors juste de temps en temps pour un nettoyage et les jours de Fête pour enfin éjaculer, la plupart de temps sans plaisir ou de façon très humiliante.
- Cela fait mal ?
- Les soumis encagés disent que oui, surtout les nuits.
- Attends je ne comprends pas, c’est quoi des soumis ?
- Des hommes comme ton père qui ont besoin, comment as-tu dit, de se donner entièrement à une femme. Ils deviennent en quelques sortes la propriété de la femme, comme ton papa est devenu la propriété de ta maman, il y a des années. On appelle cela la soumission. Et cela ne marche que si en face, la femme accepte de devenir propriétaire de l’homme qui s’offre ainsi. On l’appelle alors une dominante ou une maîtresse. Cela fonctionne entre eux comme avec toi et ta mère. Ta maman ordonne et toi tu obéis sans discuter ou tu es puni. Et bien entre la femme dominante et l’homme soumis, c’est la même chose et ça tu le vois tous les jours chez tes parents. Sauf que les punitions sont d’adultes, pas de fessées, mais le fouet, la canne de rotin et beaucoup d’autres moyens de punir un homme que tu es trop jeune pour connaître. Il y a aussi une façon de faire l’amour dans ce type de relation, mais là aussi tes oreilles chastes ne doivent pas encore l’entendre.
- Je me doutais un peu que cela fonctionnait comme cela, mais je ne comprends pas à quoi sert ce que tu appelles cage de chasteté.
- Tu vas comprendre. Ta maman te demande de lui obéir et tu sais que tu seras puni si tu n’obéis pas. C’est naturel chez toi, parce que tu ne connais pas d’autre règle depuis que tu es tout petit. L’homme soumis qui se met avec une femme dominante, n’a pas cette chance. Il faut qu’il apprenne la règle et qu’il comprenne que toute désobéissance sera douloureusement punie. Il ne la connait pas lui depuis sa naissance. Alors la femme dominante va lui apprendre la règle qu’elle veut qu’il suit sans rechigner. Un peu comme on apprend un jeune chiot, à obéir, à rester au pied, à se coucher. C’est pour cela qu’on appelle cela le dressage. Et pour les hommes et les jeunes garçons la première chose avec laquelle il joue dès que les femmes ont le dos tourné, c’est leur zizi. Donc la cage de chasteté empêche cela, mais ça je vois que tu l’as déjà compris, avec le symbole du transfert de propriété. Mais cet accessoire a deux autres effets. Il est humiliant et contraignant à porter et cela rappelle tout le temps à l’homme de rester humble. Et il interdit toute éjaculation sans l’autorisation de la femme et un homme empêché de jouir est plus tendre et attentif aux besoins de la femme, état qu’il perd immédiatement dès que l’on le laisse cracher du zizi. Donc la plupart des femmes dominantes gardent leur homme encagé très longtemps sans possibilité d’éjaculation. Classique chez tes parents, un mois d’affilée.
- Mais un mois ! Comment papa peut-il tenir autant ?
- Il n’a tout simplement pas le choix, c’est maman qui décide et cela l’oblige à rester bien obéissant en attendant.
- Oh, quand même maman exagère…
Et la conversation prend fin quand Justine passe une tête dans la chambre.
- Dis tata, tu veux bien aller surveiller Luc dans son bain qu’il se lave bien partout. Je vais mettre la table. Maman ne va tarder à rentrer. Je ne sais pas ce que papa a fait mais il a pris du retard dans la préparation.
Dans la baignoire, Luc joue plutôt que de se laver comme l’a deviné sa sœur. Il accueille l’arrivée de sa tata avec joie et éclats de rire. Il y a tant de vie dans ce petit bout de cinq ans qui s’amuse à jouer au pistolet avec son zizi en visant Elke. « Pan tu es morte, tata ». Elke le laisse se défouler un moment, contemplative devant la vitalité de ce petit garçon. Le zizi la fascine tout particulièrement, sans doute un monstre pour son âge. Presque aussi gros que celui de son grand frère. Une trace indélébile qui démontre que les garçons n’ont pas le même père. Et le père de Luc, Elke le connait elle-aussi très intimement. Le bien membré Lucas. Les chiens ne font pas des chats, Claire a raison là aussi. Elke n’a jamais compris pourquoi Claire a choisi de garder le résultat des œuvres de sa rencontre avec Lucas, le jour du marquage du chihuahua. Et pourquoi le si révélateur prénom Luc ? Elle l’a souvent interrogé, même sous le fouet. Mais Claire garde toujours son secret. Enfant du plaisir physique ? Enfant de la rédemption soumise ? En tout cas, Pierre ne se doute pas qu’il n’est pas le père. Il est même très fier de son si bien monté de fils. Luc ne finira pas soumis comme son demi-frère Arthur et n’aura aucun mal à aligner les conquêtes féminines. Elke de son côté n’a jamais voulu rien dire au père biologique, question de principe. Ne pas récompenser l’homme inélégant. Tata Elkie réprimande légèrement l’enfant pour qu’il se lave enfin. Il se fait prier mais finit par le faire véritablement.
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Le repas touche à sa fin. Tout le monde vient de chanter un joyeux anniversaire à Arthur. Un Arthur qui a passé une partie du repas à bouder car Tata Elkie a offert exactement le même pyjama avec les girafes et les lions aux deux frères. Et si c’est charmant sur un petit garçon de cinq ans, c’est ridicule sur un adolescent de quinze ans. Les femmes en ont ri un moment humiliant pour le garçon. Mais bon c’est oublié maintenant que c’est l’excitation des cadeaux. Et Arthur attend surtout un cadeau, celui qui lui a promis Tata Elkie : son premier ordinateur rien qu’à lui.
- Joyeux anniversaire, Tutur !
Arthur déballe avec empressement le paquet et en extrait son ordinateur portable à lui, en livrée noire, avec une magnifique déesse fantasy tenant en laisse des tigres sur le dessus.
- Ouah, j’aime beaucoup le dessin, tata. Merci.
- Je l’ai fait customisé exprès pour toi. Je pensais que cela te plairait.
Il s’empresse d’allumer SON ordinateur. L’écran d’ouverture des sessions apparait. En fait deux sessions possibles : une nommée sobrement ‘admin’ et une autre au nom d’Arthur. Il clique sur celle à son nom et quelques instants plus tard le bureau apparait très enfantin avec les mêmes lions et girafes que sur son pyjama en fond d’écran.
- Mais, tata, je suis grand maintenant…
- Tu es grand mais pas encore totalement responsable, m’as dit ta maman. Alors je pense avec ta Maman qu’il vaut mieux pour l’instant te limiter dans l’utilisation de ton ordinateur en t’interdisant certaines fonctionnalités réservées à des garçons plus matures. Quand tu seras plus âgé, ta Maman pourra te déverrouiller au fur et à mesure certaines fonctions une fois que tu sauras les utiliser sagement.
- Tata Elkie a raison, mon Tutur, tu ne nous as pas encore montré à papa et moi, que nous pouvions totalement te faire confiance. Mais maintenant que tu as quinze ans, j’espère que cela changer rapidement et que tu vas devenir un jeune adulte mesuré, mature et responsable.
- Alors le contrôle parental sur internet…
- Il est toujours là pour le moment… Mais ne fais pas sa tête là : regarde les accessoires que je t’ai pris avec. Souris, tablette de dessin, webcam sans fil,…
- Euh… merci, tata. Et là cet accessoire, il sert à quoi ?
Arthur parle d’un étrange boitier avec une prise USB, recouvert d’un dôme semi-transparent. Il essaye de l’ouvrir mais n’y arrive pas.
- Attends ne va pas le casser déjà, bien que l’on m’a garanti que c’était très solide. C’est un accessoire fantastique, mais t’expliquer son fonctionnement est un peu long. Alors nous en parlerons ensemble, si tu veux, plus tard…
Et Arthur sait que quand tata Elkie a décidé que ce n’est pas le bon moment, ce n’est pas le moment. Il est peu frustré de ne pas savoir, mais il attendra.
- Allez Arthur tu as la permission exceptionnellement de dix heures ce soir pour découvrir ton nouvel ordinateur puisque c’est ton anniversaire aujourd’hui.
- Oh merci maman !
- Mais à dix heures extinction des lumières et tu dors, ou sinon… tu sais ce qu’il t’arrivera.
- Non il n’y aura pas de problème, Maman. Je te le promets.
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