Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 19:32

Efterord : Justine 

Six ans plus tard, la porte de la maison s’ouvre sur une Elke, un peu vieillie, que Pierre, toujours chihuahua soumis, est allé chercher à la gare. Les enfants accourent saluer leur « tata Elkie », l’ainée Justine, Arthur et le petit dernier Luc, cinq ans, qui repart aussitôt jouer dans sa chambre. En l’absence de la mère encore au travail, c’est Justine qui accueille l’amie très proche de la famille.

- Bonjour Tata, j’espère que tu as fait bon voyage. Merci d’être venue pour le quinzième anniversaire d’Arthur. D’ailleurs Arthur, je crois que tu n’as pas totalement fini tes devoirs pour demain matin, et avec ton repas d’anniversaire, tu n’auras le temps de terminer. Alors va les finir pour que tu sois libre après. Et papa va en cuisine, il est plus que temps de te mettre à préparer le repas de ce soir, ou sinon maman ne sera pas contente. Nous, nous allons discuter un peu entre femmes.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Tata Elkie et Justine s’installent sur le canapé du salon.

- Alors comment vas-tu, ma Juju ?

- Aussi bien qu’il se peut, Tata.

- Tu en es où avec ton petit ami, Paul ?

- Mieux disons. L’annonce de son redoublement l’an dernier a été un petit choc. Nous nous suivions depuis la maternelle et il a toujours été gentil, attentionné et si amoureux, sans que je le lui rende vraiment en allant butiner à droite et à gauche. Il faisait partie de mon décor depuis si longtemps.

- Il a quel âge maintenant ?

- Il est un peu plus âgé que moi. Il aura dix-sept ans en janvier. Moi j’ai fêté mes seize ans cet été et d’ailleurs merci encore pour ton gros chèque, Tata.

- Alors que fais-tu faire avec Paul, maintenant que vous n’êtes plus dans la même classe ?

- Je me suis aperçu que sa présence rassurante me manquait à la rentrée. Je m’en voulais un peu de ne pas l’avoir plus aidé alors qu’il perdait pied en classe, que je n’avais pas fait assez attention à lui. Tu sais depuis que je suis toute petite je me suis souvent dit qu’il finirait par devenir le père de mes enfants un jour. Et après réflexion de femme quasi adulte, je crois encore qu’il pourrait être encore un papa génial, mais je te rassure on n’en ait pas là. Mais là avec le redoublement, cela a cassé un peu le rêve. D’abord je ne l’ai plus tout le temps à portée de main et de voix. Cela prouve qu’il n’aura pas le niveau pour me suivre dans les études que j’envisage et que je partirai à l’université en décalage avec lui.

- Que voilà de mûres réflexions, mais ne te prend pas trop la tête, ma chérie, tu sais des hommes il en a beaucoup et sans doute des beaucoup mieux.

- C’est pour cela Tata, que tu as épousé Joseph et pas un autre ?

- Touchée ! Tu es en train de devenir adulte plus vite que je ne l’aurais cru. Alors Paul ?

- Sa rentrée a été catastrophique avec l’accumulation de très mauvaises notes à ses contrôles. Il ne m’a rien dit directement mais je l’ai su. Et que mon amoureux, disons historique, perde pied même dans une classe de niveau inférieur, me préoccupe beaucoup. Alors j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé discuter avec sa mère en son absence. Je l’ai trouvée inquiète pour l’avenir de son dernier fils, et ayant du mal à accepter qu’il ne soit pas aussi brillant que ses grands frères et sœur. Ses parents ont essayé les boites de rattrapage scolaire mais sans effet. Je lui ai dit que cette situation me désolait. Elle m’a chaudement remercié de me préoccuper du sort de Paul. Alors je lui ai proposé d’aider Paul à remonter la pente à l’école en lui donnant une motivation renouvelée.

- Qu’as-tu imaginé ?

- Je voulais que ses parents me laissent m’occuper de Paul le dimanche après-midi le temps qu’il faudra, pour mettre en place un nouveau système de motivation fondé sur la récompense et la sanction, mais que ce système ait une chance de marcher, il allait falloir qu’ils me laissent du champ libre avec Paul dans sa chambre.

- Humm je vois... Comme a réagi la mère ?

- Elle a bien sûr voulu en savoir plus comme toute mère. Je lui ai dit que son Paul aurait dorénavant des objectifs clairs en termes de notes à ses contrôles et de travail à effectuer, que je le punirai par des fessées quand il n’atteindrait pas les objectifs que je lui aurais fixés et que je le gratifierais de caresses pour ces progrès. Et pour être sûre d’avoir toute son attention, j’allais le mettre sous régime de chasteté contrainte jusqu’à ces résultats scolaires se soient redressés. Et j’ai rajouté que c’est ainsi que Maman gardait l’attention de Papa depuis des années.

- Non tu ne l’as pas dit ça ? Et puis il n’est pas trop jeune pour porter une cage ?

- Non il va avoir dix-sept ans en janvier prochain, pas tout à fait de l’âge de la maturité sexuelle mais presque… bien que les garçons sont dans ce sujet plus tardifs que les filles… et là Tata c’est un peu l’hôpital qui se moque de la charité… lol… Je crois aussi qu’au fond de lui, il est un peu de nature soumise.

- Alors comment sa mère a réagi à ta proposition qu’elle a dû trouver hallucinante ?

- Elle était toute rouge et très troublée. Dans leur milieu bourgeois, on ne doit jamais parler aussi clairement. Elle m’a demandé comment je comptais le garder chaste. Je lui ai expliqué le principe de la cage de chasteté pour pénis et son effet psychologique sur la psyché des mâles. Elle m’a demandé de lui montrer sur son ordinateur à quoi cela ressemblait à vide et en place. Je lui ai aussi parlé des concepts de la D/S.

- Ce n’était quand même trop risqué de lui parler aussi librement ?

- Oui, mais je ne voyais pas lui enfermer le sexe à l’insu de ses parents. Il y avait un risque important qu’ils le découvrent à l’improviste et qu’ils en soient choqués. Et puis ma stratégie ne pouvait marcher que s’ils me laissaient le champ libre. Bref, sa mère a compris que j’allais complètement pendre son fils en main, de la tête au sexe.

- Il est encore puceau ?

- Oui, il n’a jamais trempé son petit biscuit. D’ailleurs on ne peut pas dire qu’il ait été favorisé par la nature, contrairement à son grand frère avec qui j’ai déjà couché, hi hi. Je crois que je vais me réserver son dépucelage, mais cela ne sera pas avant quelques années, malheureusement pour lui. J’ai aussi précisé à sa mère que si je comptais le récompenser explicitement de façon sexuelle, je ne me sentais lié en aucune manière par une relation exclusive avec son fils. D’ailleurs depuis quelques temps, les hommes vont et viennent avec moi, à la désapprobation de Maman…

- Alors qu’est-ce que t’a répondu sa mère ?

- Elle a dit d’une voix très troublée que cela avait une chance de marcher, connaissant le caractère de son fils, qu’elle appréciait que je m’occupe de lui mais que là elle était loin d’avoir imaginé ces moyens, disons spéciaux, pour ramener son fils dans le droit chemin. Au final, elle m’a demandé le temps d’y réfléchir…

- C’était quand cela ?

- Début octobre. J’ai reçu sa réponse quelques jours plus tard : elle me laissait le champ libre. J’étais invité à manger chez eux le dimanche suivant. Après le repas, elle a forcé son mari à aller voir une exposition nous laissant seuls pour l’après-midi.

- Ah la louve est dans la bergerie ! Et l’agneau a-t-il été mangé tout cru ?

- Disons que l’agneau, durement sermonné, a fait ce que je voulais qu’il fasse et il a fini le zizi en cage, en sachant ce que j’attendais de lui dorénavant.

- Au fait comment as-tu fait pour la cage ?

- Simplement : c’est une ancienne cage en plastique de papa que j’ai, disons, empruntée. Tu sais, tata, j’aime bien l’idée qu’elle ait été portée par un autre avant, une sorte de rite de transmission entre mâles.

- Concept que je trouve fascinant. Cela fait deux mois qu’il marine dans une cage donc.

- Oui. Ses progrès scolaires sont spectaculaires ; ses parents sont ravis et ne cessent de me féliciter. Cela ne m’empêche pas de continuer à lui chauffer chaque dimanche le cul en augmentant mes exigences. A sa grande désillusion, il a compris maintenant qu’il ne lui serait pas facile de sortir de sa cage et que les occasions de se vider seraient rares, humiliantes et troubles. J’ai aussi commencé à l’entraîner les yeux bandés à rendre hommage aux femmes. Tu sais tata, ce genre d’hommage qui se déroule en les cuisses des Dames…

- Hi, hi, hi. Je vois très bien. Il est doué ?

- Surtout excitant dans sa maladresse. J’aime bien. Mais bon pour le côté jeune ado insouciante, j’ai un copain bien équipé en ce moment qui s’est très bien combler mes besoins. Et sa chambre est à part de la maison de ses parents ce qui est bien pratique. Et pour nourrir mes côtés plus sombres, j’ai mon père qui les remplit pour des années.

- Alors vous vous êtes finalement lancés. Ta mère m’en avait parlé mais je ne pensais pas qu’elle y irait au final.

- Arrête de me mentir, Tata. Tu sais tout ce qu’il se passe dans cette maison, avant même que je le sache ! Je crois qu’au final, maman n’avait pas le choix si elle voulait maintenir la Pax Domina à la maison. Depuis qu’elle a commencé sa formation, elle a beaucoup de travail personnel à effectuer le soir et le week-end.  Depuis septembre, elle est moins présente pour nous et papa. Et puis mon frère Arthur a commencé à être torturé par ses démons. Les chiens ne font pas des chats, dit maman, à son propos. Il faudrait d’ailleurs que tu parles un peu à Arthur, il devient impossible à gérer.

- Tiens ça ta Mère ne me l’a pas dit, cela m’étonne. Il va falloir que j’aie une conversation avec elle, pour mettre cela au clair.

- Ne la punit quand même pas trop durement, Tata, tu sais elle fait ce qu’elle peut en ce moment.

- Toi et ta compréhension des relations entre adultes ! Tu sais que tu m’as toujours étonné, impossible de te cacher quoi que soit. Tu as un sixième sens infaillible.

- Oui flatte moi…  mais ne crois pas que cela me fera finir dans ton lit comme Maman…

- Oui je sais tu me l’as déjà dit… mais revenons à ton père, qui a eu l’idée ?

- Moi. Cela m’a paru dans la continuité de ce que je faisais déjà. Papa a besoin d’être dirigé en permanence, sinon il est perdu. J’ai des fois l’impression que je suis l’autre adulte à la maison. Naturellement, j’ai fait comme Maman alors je grandissais. Je suis devenue de plus en plus exigeante avec papa, d’abord sans en avoir conscience quand j’étais enfant puis pleinement lucide à l’adolescence que je donnais des ordres à mon père soumis à la maison. Maman a besoin d’aide actuellement et moi je peux l’aider, il n’y a rien de plus simple, même si des personnes extérieures à la maison trouveraient cela complètement fou. 

- Dis-moi, comment vous êtes-vous réparties les tâches ?

- Nous en avons longuement discuté avec maman. Je ne peux pas tout faire à sa place. C’est son homme soumis, pas le mien. Pour moi il reste mon papa adoré. Je peux le surveiller, noter ses fautes et erreur mais je ne peux me substituer à maman. Je ne peux pas décider s’il doit être puni ou non. C’est forcément très intime dans le couple et réservé à maman. Alors j’ai seulement pris en main les séances de discipline hebdomadaire, qui sont passées du vendredi au mercredi soir à ma demande. Cela me laisse le mercredi après-midi pour être libérée de mes devoirs et pouvoir y consacrer la soirée. 

- Maman t’a montré comment faire ?

- Non, je ne voulais pas assister à une de leurs séances entre eux. Je ne voulais pas me retrouver au milieu de leur sexualité. A la place, je suis allé voir sur internet comment les Maîtresses pros font pour dominer leurs soumis. Très instructif. Maman m’a aussi prêté ses instruments pour que je m’entraîne à vide sur mon oreiller.

- Et bien sûr ton père n’était au courant de rien…

- Non sinon il se serait rebellé. Les séances de discipline ont lieu habituellement dans leur chambre, mais je voulais un lieu plus neutre pour moi et je ne voulais pas le voir éventuellement bander quand je viendrais. Putain je suis quand même sa fille. Il y a des limites. Je voulais voir que le minimum nécessaire. Maman m’a proposé de réhabiliter le local de la cage à chien à côté de la chaudière et d’y installer un spanking bench, mais ça tu le sais déjà, Tata.

- Oui c’est moi qui est demandé à Gunther de nous envoyer le même modèle que j’ai dans le fessoir au Domaine… tu sais, celui où ta mère a maté ton père définitivement….

- Non, je ne sais pas… et je ne veux pas savoir…

- Peu n’importe. Donc le banc est arrivé et j’ai demandé à un soumis de mes amies, de le monter chez vous, c’est tout. 

- Bref, maman l’y a attaché solidement après l’avoir bâillonné et mis une cagoule de cuir aveugle sur la tête. Elle nous a laissé pour aller réviser au café d’en face. J’ai mis près d’une heure à me décider à descendre au sous-sol. Il m’attendait complétement nu, le postérieur et le dos offert. Il a essayé de parler mais son bâillon empêchait que je comprenne. A côté se trouvait un râtelier avec toutes les armes que j’avais vu sur les vidéos. J’ignorais même que maman et papa possédaient tout cela.  Je me suis traitée de gamine naïve. Mais j’étais rassurée de ne rien voir de son sexe.  J’ai choisi la canne et je me suis mise en position. J’avais le souffle court mais je me suis lancée avec courage. Je me suis calée aux beuglements. Je mettais toute ma force dans les coups. A la fin, je suis sorti en silence de la pièce.

- Tu étais excitée ?

- Je crois que non, plutôt très émue par les circonstances exceptionnelles. J’étais concentrée sur mes gestes.

- Et il a compris ce qu’il avait subi et qui était sa fouetteuse ?

- Maman m’a dit que la fouettée l’a pris par surprise. Papa n’a pas compris sur le moment pourquoi les coups étaient si sévères. Maman m’a aussi dit qu’il a était anéanti quand elle lui avait dit que c’était moi qui tenait la canne et allait la tenir tous les mercredis dorénavant. Qu’il avait supplié, pleuré mais qu’elle ne lui avait pas laissé le choix.

- Je sais que quand ta mère veut quelque chose de ton père, elle l’obtient !

- Bref depuis six semaines notre nouvel arrangement s’est mis en place. Le mercredi matin, maman laisse sur le frigo, ce que j’appellerais, une fiche de convocation à la séance de discipline du mercredi, à la fois à destination de papa et de la mienne. Dessus, elle indique le nombre de coups prévus et l’instrument qu’elle a retenu en lettre code. Je crois qu’Arthur est sur le point de comprendre le code. Tant pis pour papa. En tout cas moi, cela me soulage de ne pas devoir choisir pour papa. Et je crois que Maman fait cela à escient pour humilier papa.

- Cela lui ressemble bien en tout cas.

- Après le rituel est maintenant bien en place. Papa doit se trouver nu en position sur le banc dans la cave à dix heures précises, la cagoule en place sur sa tête et le bâillon déjà gonflé. J’attends habituellement la fin de mon feuilleton avant de descendre, un quart d’heure ou une demi-heure plus tard. Je l’ai toujours trouvé dans la position requise, mais les deux premières fois, il pleurait doucement. J’ai failli ne pas aller au bout de ce que j’étais venue faire. Après, tout est devenu mécanique. Je vérifie en donnant un ou deux coups sur la poire que le bâillon est bien en place. L’avantage avec de dispositif c’est qu’il ne peut pas tricher et la dernière chose que j’ai envie c’est entendre sa voix dans ces moments. J’attache au banc ses bras et ses jambes. Je finis en verrouillant la sangle autour de sa taille et je procède avec l’instrument choisi lentement en décomptant à haute voix, médicalement sans tenir compte de ses réactions. A la fin, je le libère et je l’enferme pour la nuit dans la cage à barreau à côté. Là au début, nous ne faisions pas comme cela, mais je n’aimais pas l’entendre dans la maison après la séance. Cela me gênait. Alors j’ai demandé à Maman à ne plus le voir ou l’entendre après. D’où la cage. Maman m’a dit qu’il n’aimait pas le retour de la cage, mais tant pis pour lui.

- Et toi qu’est-ce que cela te fait ?

- Les premières séances pas grand-chose. J’étais très concentrée à bien faire ma tâche. Mais maintenant je suis plus détendue avec lui et…

- Ma Juju mouille un peu sa culotte !

- Hummff… oui c’est cela. Mais j’aime pas trop l’idée. C’est mon père après tout, pas quelqu’un d’autre…

- Et…

- Toi et ta perspicacité ! On ne peut rien te cacher, Tata. Oui parfois je me fais du bien au bouton après. Et si tu veux tout savoir, je prends maintenant beaucoup de plaisir à jouer des réactions d’un corps d’homme soumis, à le surprendre, à être injuste…

- Tu oublies de me dire quelque chose…

- Quoi ?

- Mercredi dernier.

- J’oublie parfois que tu sais tout sur cette maison. Maudite Maman ! Oui, mercredi dernier a un peu changé les règles du jeu. J’ai reçu plusieurs SMS à la suite. Le premier me demandait de le sermonner pendant la séance en lui disant que Maman n’était pas contente du tout de son soumis en ce moment et qu’il devait obéir sans discuter. Elle ne m’a pas dit pourquoi…

- Moi je le sais, mais je ne te le dirais pas. Continue…

- Elle m’a ensuite dit de changer l’instrument de la séance. Adieu la canne et bonjour au fouet ce qu’il craint manifestement le plus. Cents coups. Je ne suis jamais allé avec lui au-delà des cinquante coups de canne.

- As-tu aimé cela ?

- Oui et non. Je n’ai pas aimé me faire manipuler. On avait dit discipline, pas punition. Mais je n’ai pas eu d’autre choix que de constater que j’avais la cramouille complétement en feu à la fin ! Je dois être folle !

- Non tu es seulement une jeune femme dominatrice qui trouve sa voie.

- En tout cas, je suis passée jeudi soir voir Paul en surprise et il a payé un peu pour tous les autres…

 - Ce que je dis, une déjà Maîtresse d’hommes, au pluriel…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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