Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 19:12

Bigre cela fait plus de 2 ans que j'ai pas de nouveau écrit pour le Domaine. Et 5 ans que je l'ai commencé.

Nous en étions resté au double marquage du chihuahua et nous allions passer dans la chambre d'Elke pour la conquète finale de Claire...

"- Oh oui, je serai tienne cette nuit... " lui faisais-je dire au chapitre à la fin du chapitre 36.

Après il y a les 4 chapitres de l'épilogue que j'ai écrit depuis des années (3 ans ?) et qui dontc n'ont jamais été publiés, puisque le reécit principal n'a jamais été fini... logique, non ?

Donc qu'est-ce que je devais de tout cela ?

J'avais commencé à écrire ce chapitre 39 dans la chambre avant d'abandonner le domaine pour d'autres aventures. Je prévoyais ensuite en 40 et un 41, que je me retrouve incapable d'écrire maintenant dans le style que j'avais alors. Et puis je ne suis pas bien sûr de vouloir reprendre ce récit de "jeunesse"...

Aors j'ai décidé de tout brader en dernière démarque.

Récupérer ce que j'avais écrit pour le 39ème, zapper le fait que Claire devait se rebeller et en arriver à la situation finale du début de l'épilogue... Une sorte de service de l'écrivain minimum.

Donc voilà le 39ème remanié qui sera le chapitre final du week-end et chaque jour à suivre, un des 4 chapitres de l'épilogue.

Bonne lecture.

CHAPITRE 39 - Søndag

Après la cérémonie du marquage, Elke tint parole et invita Claire à partager sa nuit. Il était plus de minuit et la Danoise avait tenu à ce que le chihuahua les accompagna dans la chambre pour son « édification » de soumis.

Il découvrit la chaise de contrainte où il allait y passer sanglé sa première nuit de soumis définitif. Elle était installée dans le placard face à un miroir sans teint qui lui laissait voir ce qui se passait dans la chambre, sans incommoder de sa présence les femmes qui s’y tenaient. Elke appelait ce dispositif  la « chaise du cocu » et un carcan autour de sa tête empêchait le petit mari qui s’y trouvait contraint, de détourner la tête et d’échapper justement à ce qui se passait dans la chambre. L’homme y était empalé sur un plug de métal qui bientôt se révèlerait vibrer fortement aux cris du plaisir de Claire sous les actions de sa Danoise, dans une mélange cruel de plaisir du cul et de défaite des yeux.

Les femmes durent le motiver un peu pour l’y installer avant de refermer le miroir. 

Claire se retrouvait face à Elke, maintenant intimidée. D’autant qu’elle était restée quasi-nue en Amazone alors que la Danoise avait passé un déshabillé de soie blanche. Mais elle ne pouvait pas se masquer que l’humidité dans sa chatte était extrême, une humidité très tendue aussi.

- Finis de te mettre nue et mets-toi à genoux s’il te plait Claire !

Le corps de Claire se crispa un instant avant de se conformer, troublé et dans l’attente. Les derniers oripeaux d’Amazone chutèrent là et elle se retrouva à genoux, tremblante. Elle attendait pendant qu’Elke vaquait dans la pièce, les yeux perdus dans le tapis persan…

Finalement la main danoise vint lui dégager la nuque. C’était un premier contact si électrique que Claire releva les yeux de surprise. Elke la dominait avec un collier blanc à strass dans sa main. Elle tenait une badine noire aussi. Cela fit presque se rebeller, mouvement reflexe vite contenu d’une main ferme sur son épaule.

- Tu m’as promis que tu serais « mienne » cette nuit. Tu ne peux que de douter que cela ferait naître des envies chez une Dame comme moi… 

Claire hésita. Elle savait qu’elle devrait en passer par là, tout en espérant follement l’éviter. En tout pas aussi rapidement, pas dès le début. Elle devait être folle d’être fascinée par cette vieille sorcière et pourtant sa chatte humide ne se mentait pas, elle. La chaleur avait envahi son visage qui devait être maintenant rouge pivoine pour le bonheur des yeux de la Danoise. Claire prit une profonde inspiration et baissa les yeux. Le collier fût serré, dans la foulée, autour de son cou. Sa présence faisait une impression étrange, comme si elle était maintenant une autre, le même sentiment que quand elle avait été offerte passive au pieu de Lucas, mais beaucoup plus puissante en émotions. 

Elle se laissa diriger à se mettre en chienne, à quatre pattes sur le sol. La laisse était tenue courte, lui forçant à lever la tête. La laisse la promenait de long en large dans la pièce en une sorte de parade de victoire, autant destinée à matérialiser l’emprise de l’une sur l’autre, qu’à démontrer au mari sur sa chaise de « cocu » sa défaite totale. Et Pierre, comme un idiot, bandait à éclater sa cage à cette vision démoniaque de sa femme en chienne, avec un sentiment net de jalousie que ce ne fut pas lui qui tenait la laisse.

Elke les arrêta et lui fit présenter son entrejambe indécemment écartée, en hauteur, les épaules collées au sol et la joue contre le tapis. Jamais Claire ne s’était jamais sentie aussi impudiquement exposée. Elle en tremblait alors que sa « Maîtresse » - elle ne voyait pas comment appeler autrement une femme qui la tenait en laisse – la laissait languir… Le temps de sentir le souffle de l’air sur ses muqueuses exposées. Le temps de sentir l’humiliation arriver peu à peu. Il suffisait qu’elle se relève et dise tout simplement « non merci, finalement je ne veux pas finalement ». Mais non, elle n’en avait pas la volonté : elle se voyait pétrifiée là à attendre le bon vouloir de la Maîtresse danoise...

Après une longue attente, Claire sursauta quand l’embout de la badine toucha ses grosses lèvres, exactement à l’endroit où elles s’ouvraient. C’était d’une telle charge érotique ! La badine se faisait tentation et elle ne put s’empêcher de se trémousser pour rechercher un contact plus franc et profond, que l’expérimentée Danoise lui refusait. La badine glissait, détaillait, se faisait intense tentation, sans jamais s’aventurer plus en avant. Claire était frustrée de ne pas la sentir plus loin, et par réflexe cherchait à gagner quelques centimètres de pénétration mais la badine s’ajustait à chaque fois pour le lui refuser…

Enfin après un long moment d’attente, l’embout s’initia entre les lèvres, les décollant pour progresser. Claire poussa un long grognement de satisfaction qui résonna dans le cul du chihuahua. Le manche coulissa, effleura le clitoris tendu, sous les gémissements de Claire qui ondulait du bassin pour mieux se prendre la badine. Son plaisir montait de plus de plus, laissant entrevoir la charge de cavalerie de l’orgasme, qui s’approchait bannière au vent avant d’être brutalement stoppée dans le vide par l’arrêt de toute stimulation ! La badine venait de se retirer vicieusement, la privant de la jouissance…

Claire était terriblement déçue et ressentait une frustration. A la place, elle sentit le pied nu de la Danoise se poser sur son épaule pour la coller douloureusement au sol de son poids. Et la badine se fit piqûres sur ses fesses exposées… Claire serra les dents mais n’arriva pas de s’empêcher de crier les yeux humides… 5 coups secs le temps de laisser refroidir les choses avant que la badine revint fourailler entre les lèvres, tentatrice à invoquer l’orgasme qui fût de nouveau contrecarré à la dernière minutes… avant un nouveau refroidissement des chairs d’une nouvelle volée de coups… et ainsi de suite.

A ce traitement, Claire n’en pouvait plus, pas plus que son chihuahua dans le placard. Elle était frustrée en permanence de sa délivrance ! Et était prise d’une tension érotique sans fin qu’elle n’arrivait pas à décharger ! 

Quand elle fut à point, Elke la releva à genoux et ouvrit son peignoir devant ses yeux, sur son sexe aux muqueuses rougeâtres. L’odeur aillée envahit plus que les narines de Claire ; elle lui prit totalement l’esprit. La Danoise la poussa de sa main dans les cheveux à venir enfin communier, lui facilitant l’accès en soulevant une jambe sur le lit.

Le nez dans les effluves, Claire ferma instinctivement les yeux, entrouvrit la bouche et sortit docilement la langue, qu’elle enfonça dans l’antre épicé. L’odeur se fit goût, sirupeux et légèrement amer, qui se mêlait à la salive et prenait possession de tous les sens. Claire prodiguait la caresse si intensément imaginée de toute son âme, quasi en apnée, les narines enfoncées dans le bas ventre mollissant de la Maîtresse mature, sans jamais arrêter de sucer, d’aspirer et de boire à la source les flots ininterrompus de sève relâchée.

La caresse fût bientôt plus prise qu’offerte. Les hanches ondulaient et se frottaient sans gêne contre le visage,  la langue à s’évertuer à suivre le mouvement, bien plaquée par la main ferme dans les cheveux. Elke ne se gênait pas pour émettre des rauques de satisfaction de plus en plus fort alors que le plaisir montait. Au moment crucial, les cuisses se firent crispations en enfermant cette tête, cette langue au cœur de la fournaise… pour le feu d’artifice hurlé en Danois !

Quand Claire fut finalement libérée de la pression, elle était complètement essoufflée, la bouche et la langue endolories, le visage totalement recouvert du jus de son amante, et restait encore abasourdie de la puissance de ressenti de cette étreinte intime si spécialement engageante. Quelque chose d’incomparable et d’indescriptible ! Complètement possédée, elle levait des yeux amoureux vers sa Maîtresse, pleins de reconnaissance… que ne manqua pas Pierre anéanti sur sa « chaise de cocu ».

- Ta bouche et ta langue méritaient tous ces efforts pour te dompter… 

Les Maîtresses ont la capacité de reprendre immédiatement leur esprit et Elke en était indubitablement une. Elle attrapa la laisse de Claire au plus court pour la faire se relever, lui prit la nuque pour l’attirer à elle, jusqu’à faire joindre leurs lèvres. Claire se laissait faire docilement, résistait mollement à la langue qui entrouvrait ses dents, pour finir de la posséder. Elke lui enserrait le corps. Sa main descendait lentement de la pointe des tétons qu’ils faisaient indécemment pointer, le long du pli de l’aine, jusqu’à arriver au cœur en feu de Claire qui ouvrit les cuisses pour mieux accueillir l’indécente caresse qui finissait de lui faire perdre pied…

Elke les fit alors basculer sur le lit, toujours corps contre corps, lèvres contre lèvres, pour une affolante farandole de chair, de doigts qui traînaient, qui s’enfonçaient, de pointes qui se dressaient, de pistil pressé, de double antres visités au plus profond, arrachant à son amante le corps tendu et offert, tant de gémissements de plaisir, ne réclamant plus que jamais l’indécente caresse ne cesse. Dans le mouvement, un double gode apparut comme par magie entre les cuisses de la Danoise et s’enfila naturellement dans la vulve de Claire, pour une possession sein contre sein.

La caresse initiale se mua alors en un affolant pistonnage profond, indécemment profond, peau contre peau. Claire voulait résister, garder un reste de dignité mais en vain : le pieu décima toutes ses dernières résistances. Elle se retrouvait en chatte lubrique à feuler dans la nuit son immense plaisir de chatte possédée. Jamais qu’on lui laisse la possibilité de retomber sur ses pattes, de coups de reins en coups de reins dévastateurs. Elle explosa une fois, deux fois, sans jamais que l’engin tentateur ne s’arrêta, ni ne l’épargna…

Sa Maîtresse savait si bien se retenir elle ! Cela rajoutait de l’humiliation au plaisir. Elle fût alors choquée de d’être soudainement retournée pour présenter ses fesses à la sodomie du gode. C’était un tel choc ! Jamais dans ces divagations mouillées, elle n’avait envisagé qu’une femme puisse désirer prendre cela d’elle, comme Lucas l’avait pris avec la complicité de la Danoise il y a tout juste une journée. Elle comprenait trop tard que cet orifice non naturel était l’objectif des dominants, sûrs de leur bon droit supérieur. Quelle oie blanche elle restait, alors que tout recommençait…

Claire essaya de se rebeller quand la tête du gode appuya contre l’anus, mais elle restait bloquée sous le poids de sa Maîtresse danoise qui lui avait attrapé les poignets. Facilité par le traître graissage de sa propre cyprine, le gode l’ouvrit sans difficulté mais non sans douleur. Elle détestait cette horreur de sensation d’écartèlement non naturel qui résonnait dans son esprit comme une défaite ! Il progressa millimètre par millimètres dans son cul récalcitrant en repoussant les chairs internes. Elle ne sut pas retenir ses larmes non de douleur mais d’humiliation. Son plaisir avait disparu : Claire ressentait cela comme un viol, une prise de possession totale de sa personne.

Le gode avait atteint sa pénétration maximale et ne progressait plus, coincé sous le poids d’Elke qui bientôt bascula son corps en avant pour venir chuchoter à l’oreille de sa conquête, sans se préoccuper des tensions que son mouvement créait dans les entrailles de son enculée.

- De part ma longue expérience de domptage de femelles rétives, je sais que vous détestez toutes cela, d’être conquises de cette manière. C’est pour cela que je vous l’impose dès le début, pour son côté humiliant. Certaines hurlent, certaines pleurent, mais toutes y passent jusqu’à la garde ! Et tu sais quoi : contrairement à un homme qui finira fatalement par éjaculer plus ou moins rapidement, la sodomie par ta Maîtresse n’a pas de fin prématurée, juste celle de son plaisir. Alors tu vas geindre, pleurer, peut-être même implorer… En vain, car tout cela ne fait que renforcer mon excitation… Allez hue, pour la chevauchée de la Diablesse, ma pouliche !

Et la Maîtresse Danoise tint sa sadique promesse. Le gode bafoua son conduit sans précaution à un point que Claire n’aurait jamais cru envisageable. Elle gémit, cria, hurla au début, tant qu’elle en avait la force, puis finalement se tût pour ne plus que pleurer doucement interrompu de ci et de là d’un oh de surprise désagréable quand le gode variait son angle de travail. C’était peut être le signe qu’attendait sa Maîtresse, car dès qu’elle l’a senti mâtée, elle ne se gêna pas à laisse monter lentement le plaisir qu’elle prenait à lui imposer cela… Une lente progression vers un orgasme puissant et violent du corps et de l’esprit qui arriva alors que Claire n’en pouvait plus, n’en espérait plus…

Elle se désembrocha immédiatement après et retomba satisfaite sur le lit.

- Viens me nettoyer soumise !

Claire découvrait le gode souillé de son cul et ne put s’empêcher d’avoir honte de l’état de propreté de son cul. Elle accordait comme toutes les autres femmes une attention particulière à son hygiène et là… Elle détourna la tête d’une honte mon maîtrisée… C’était une nouvelle épreuve de déchéance particulièrement adaptée. Maîtresse Elke vint la rechercher pour la mettre face à la salissure et guida dans son nettoyage une Claire cramoisie…

La Danoise s’endormit finalement après avoir fait mettre Claire, qui ne savait plus où elle en était, sur le tapis au pied de son lit. Ni Claire, ni son chihuahua n’arrivèrent pas avant de longues heures, à la suivre dans les bras de Morphée…

Claire se réveilla alors que le soleil était déjà haut dans le ciel sur le lit de son amante, là où elle s’était finalement rendormie après une nouvelle utilisation torride de sa langue par Elke au petit matin. Mais cela ne l’empêchait d’avoir les muscles endoloris et le cul douloureux de la nuit et de la baise de conquête de la veille.

Elle était seule dans la couche et clignait des yeux le temps de mieux s’adapter à la lumière. L’armoire du « cocu » était vide aussi de son chihuahua, mais un mot l’attendait disant qu’Elke l’attendait aux écuries, si elle le « voulait ». Pour l’instant, Claire se sentait sale et voulait avant tout prendre une bonne douche chaude dans la salle de bain accolée…

En s’essuyant, elle eut l’illumination que tout se décidait là en cet instant. Trois petits choix qui auraient tant d’influence sur son avenir. Elke l’attendait : devait-elle la rejoindre ? Elle avait enlevé le collier de strass pour se laver, devait-elle le remettre ? Elle était arrivée quasi nue dans la chambre, devait-elle s’habiller ou non ? Le tout avec la conscience que finalement la Danoise lui laissait le choix et qu’elle ne pourrait jamais dire qu’elle y avait été forcée.

La vie est faîte de tels petits choix successifs qui dessinent au final une toile pour chacun. Si elle avait totalement fait faire sa raison, elle serait rentrée se réfugier dans sa propre chambre. Si elle avait suivi ses passions de la nuit, elle aurait tout choisi pour plaire à son amante. Comme souvent dans sa vie, elle opta pour le chemin du milieu. Elle remit fièrement le collier mais le dissimula ainsi que son corps nu sous un peignoir trouvé dans la salle de bain. Elle décida aussi de rejoindre Elke dans une intention de « pour voir »…

Heureusement, Claire ne croisa pas personne. Elle était suffisamment rouge et embêtée comme cela, pour soutenir en plus le regard des autres… Elle fit le tour pour rentrer par la grande porte de l’écurie, pour cette heure libre de chevaux mis au près. Cela avait quelque chose de solennel spécialement aujourd’hui d’y pénétrer par là !

Elle ne voyait pas Elke mais l’entendait…

- Alors Zépharin que décides-tu ? Je te branle maintenant ou tu retournes pour une semaine en cage ?

- Mais c’est que cela va faire mal Madame !

- C’est ta leçon du jour, quand tu obéis aux Dames, chaque plaisir peut-être douloureux…

Claire s’approcha du box où Elke était. Zépharin y était attaché aux barres métalliques, sa robe remontée sur la poitrine et fixée par des pinces à linge et sa culotte de fille baissée aux chevilles. Il ne pouvait s’empêcher de bander alors qu’un seau d’orties fraiches le menaçait.

Elke vit Claire arriver dans le dos de Zépharin et lui fit sourire. Elle lui fit signe de ne pas dévoiler immédiatement et revint amusée au cas du garçon.

- Alors, mon petit gaminou, tu as choisi : la branlette aux orties que je te ferai ou 7 jours de plus dans la cage à ne pas pouvoir bander ?

- Je ne sais pas, Madame…

- Ben, on n’a qu’à demander à Madame Claire qui vient d’arriver !

Claire se déplaça dans le champ de vision de Zépharin qui ne savait plus où disparaître, tellement il était écarlate. Elle s’amusa à lui répondre…

- On n’a qu’à faire les deux : la branlette aux orties et retour directement en cage pour sept jours. Tu en penses quoi, Zépharin ?

- Mais ce n’est pas juste…

- La vie est rarement juste avec les petits gaminoux… mon garçon. Je te regarderai avec plaisir juter en grimaçant avant que l’on laisse reposer ton zizi pour une semaine supplémentaire…

Aussitôt dit, aussitôt fait. Zépharin essaya bien de se tortiller pour échapper au gant avec une première poignée d’orties, en vain. La main finit à commencer à le branler vigoureusement. C’était délicieux de le voir grimacer aux premières piqures, mais son érection ne faiblissait pas, loin de là. Avec la vigueur de la jeunesse, les traites sont rapides. En moins de 1 minute, Zépharin avait giclé son petit jus retenu depuis une semaine et encore parce que sa branleuse danoise avait fait attention qu’il ne partit pas plus rapidement en arrêtant son mouvement !

Il reçut une dose supplémentaire d’orties avant de se retrouver de nouveau encagé.

- A nous ! Le temps que je le remise…

Zépharin est emmené dans le cachot ce qui fit réagir Claire…

- Tu ne l’emmènes pas plus loin ?

- Loin de tes futurs cris ? Non, je pense qu’entendre a un côté éducatif sur la psyché des petits mâles. Et puis, tu n’as rien à craindre qu’il se branle en pensant à toi... Il peut plus, le petit ! Mais cela me rappelle que c’est à nous…

Claire n’était plus sûre d’avoir pris la décision quand le « à poil ! » fut dit… Elle obéit quand même rouge d’humiliation et toute tremblante…

- Donne tes mains…

Qui furent attachées par une corde avant que le bout, passé au dessus d’une poutre, les lui fasse monter bien haut à présenter ses fesses. Claire tourna la tête pour être saisi de voir sa Maîtresse prendre le fouet qui l’attendait. Elle ne pu s’empêcher de frissonner à sa vue.

- Bon nous allons mettre les choses au clair. Je t’avais dit que je te prendrai d’abord ta dignité de femme libre et je vais le faire, et avec plus d’enthousiasme que tu as cru me résister ! A partir de ce moment là, tu es ma tæveling et tu m’appelleras respectueusement Herskerinde.

Et le fouet siffla immédiatement…

 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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