Fiction

Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 08:01

CHAPITRE 23 - Indgangen til et nyt liv

 

Claire se réveilla en pleine forme. Il devait être quelque chose comme neuf heures, une journée déjà ensoleillée, la première journée de sa nouvelle vie avec Pierre, son dorénavant mari soumis à la maison. Cela allait être un voyage merveilleux dans le monde D/S… Son entrejambe était fort chaude et humide et réclamait un apaisement. Pourtant Claire décida courageusement de l’ignorer. Pourquoi ? se demanda-t-elle. Sans doute pour se garder pleine de désir pour la femme qu’elle désirait. Cette folle pensée la fit rougir tout en apportant un redoublement d’excitation dans son bas ventre.

Claire préféra aller prendre une douche, plus froide que d’habitude pour refroidir un peu ses ardeurs. Elle prit son temps pour déjeuner sereinement. Après tout, son chihuahua pouvait bien attendre encore un peu… Elle lava son bol et les cuillères et rangea le tout dans le placard de la cuisine à côté de la gamelle de son soumis, avant de passer dans la chambre pour s’habiller. Elle réfléchit un moment pour choisir sa tenue, la face toujours légèrement rougissante car elle avait conscience qu’elle ne le faisait non pas pour exciter son Pierre mais pour plaire à Elke. Son choix s’arrêta sur une robe assez courte et décolletée d’un ton très pâle, presque virginal. Elle décida pour la première fois de sa vie de ne pas mettre de culotte.

Elle n’était pas tout à fait prête à partir. Avant, elle saisit étrangement le bloc et le stylo sur le bord de la cheminée, et commença à écrire sur la table de la cuisine. Elle raturait sans cesse, corrigeait des phrases et en recommençait d’autres. Quand elle fût satisfaite de son texte, Claire le recopia en grosse lettre sur une feuille vierge, qu’elle plia à la fin pour la glisser dans son décolleté, sa robe n’ayant aucune poche.  Elle prit ensuite le gode ceinture pendu au râtelier du salon. Elle y reconnu la cravache noire dont elle s’était servie à leur arrivée sur son chihuahua. C’était si loin maintenant : il s’était passé tellement de choses en deux jours. Elle avait maintenant tant de de nouvelles aspirations…  Certaines même dont elle ne serait pas cru capable. Mais maintenant il fallait qu’elle s’occupe de son Pierre… Pierre ! Elle passa sa main un dernière fois sur le bois noir et lisse de la cravache en pensant avec amusement que son chihuahua n’avait pas finir d’en ressentir les piqures ! Elle la lâcha enfin pour récupérer une serviette dans la salle de bain.

Il était ainsi plus de dix heures lorsqu’elle quitta leur logement. Claire redescendit gaiement le chemin vers le lavoir. Les souffles d’air lui léchaient son intimité nue sous la jupe et elle adorait la sensation. Elle n’avait jamais été aussi sereine et confiante…

Elle arriva vite en vue du « fessoir » sous la levée de terre. A l’intérieur, l’ambiance était tout à fait différente, aussi lumineuse que les ouvertures l’autorisaient, avec une enivrante odeur de la cire froide partout, vestige de la séance nocturne. Le soleil traversait la demi-lune du fond et venait souligner le corps de son soumis toujours étroitement attaché à son banc. Claire ne put s’empêcher de frissonner en découvrant son pitoyable état : de nombreuses balafres sur la peau, certaines avec du sang séché, des bleues partout. Bigre, pensa-t-elle, je n’y suis pas allé de main morte hier ! Mais Claire n’avait aucun  regret : elle avait fait ce qu’elle devait faire !

Pierre était réveillé. Avait-il au moins dormi ?

- Bonjour, chihuahua ! dit-elle d’un ton enjoué.

Son homme essaya de relever la tête pour la chercher, mais là où elle était,  il ne pouvait y arriver. Elle vint alors se placer devant lui. Il avait une affreuse tête, les cheveux complétement ébouriffés, les cernes sur les yeux et surtout il puait terriblement l’urine et la sueur rancie. Elle n’en tint pas compte pour aller l’embrasser. Un profond baiser  qu’il accepta avec grâce, où les langues s’unirent follement en une langoureuse dance dans la bouche. Pierre en fût plus que soulagé : après tout cette noirceur sa Maîtresse l’aimait encore ! Claire lâcha finalement ses lèvres, pour l’interroger sur le bilan de sa nuit.

Son chihuahua n’avait pas réussi à dormir, mais ça elle le savait déjà. Il avait eu très mal et la douleur avait mis longtemps à se calmer. Il n’avait pas besoin de lui dire : elle se doutait que cela n’avait pas été une partie de plaisir pour lui. Il avait souffert de crampes dans la nuit. Elle appréciait tout particulièrement son ton humble, ses vouvoiements et les Maîtresses qu’il rajoutait docilement – presque naturellement - à chaque réponse. Elle vérifia alors son niveau de soumission. Là aussi ses réponses la rassurèrent pleinement. Elle obtint facilement que son chihuahua la remercie pour la correction de la nuit, lui re-promette complète obéissance, demande même à être sévèrement dressé, qu’il le méritait, etc… La leçon semblait efficace. C’était un chihuahua très soumis qu’elle retrouvait ce matin ! Elle mit fin à son interrogatoire et changea de sujet.

- J’ai envie de ton cul, là maintenant. Me l’offres-tu ?

Pierre fut surpris de la forme de la question. Mais il déjoua le piège dans sa réponse.

- Mon corps comme mon âme sont à vous, Maitresse. Si tel est votre bon plaisir, je me dois de vous obéir, Maîtresse.

Ce genre de déclaration, de la part son soumis, la rendait fière. Oh comme tout allait être différent maintenant !

- Ok, c’est que nous allons faire. Mais tu vas avoir un devoir à faire pendant que je m’occuperai de toi.

Elle récupéra la feuille de papier contre sa poitrine, la déplia et la posa sur le sol devant les yeux de son - désormais - soumis, avant de lui relever la tête en tirant sur ses cheveux, pour lui dire dans l’oreille.

- Je veux, chihuahua, que tu apprennes ce texte par cœur. Tu devras le réciter devant une dame tout à l’heure et tu n’as pas intérêt à me faire honte en te trompant ou il t’en cuira, crois-moi. Appliques toi bien à tout apprendre comme il faut !

Le chihuahua avait compris le message : il s’activait déjà à apprendre le texte. Claire le laissa pour passer le gode ceinture et se positionner entre ses cuisses. Elle n’avait pas beaucoup d’espace mais comme elle était fine, cela devrait aller. Elle avait aussi bien fait de prendre un gode assez long où sinon elle n’aurait pas réussi à la pénétrer suffisamment. Devant Pierre marmonnait sans cesse son texte. Elle eut un instant la volonté de lui ordonner le silence mais le laissa faire finalement. Et elle présenta la tête de gode devant l’anus pour l’intromission. Mais rien à faire : la porte crispée ne voulait pas s’ouvrir ce matin. Claire pensa sadiquement à le violer de force, mais un coup d’œil à l’état de son dos qui avait déjà tant souffert, restreignit son envie. Alors agacée, elle lui donna une claque agacée sur la fesse, avant de partir à la recherche de quoi faciliter la pénétration. Elle finit par trouver sur une étagère une burette d’huile mécanique. Parfait ! Elle en fit couler quelques filets sur son gode, en insistant surtout sur l’extrémité, précautionneusement, en prenant garde de ne pas se salir, puis revint se poster entre ses jambes. Une dernière noisette à l’entrée de l’étroit trou et il était prêt à la saillie. Claire posa la burette au creux des reins du chihuahua et le pénétra enfin profondément sans avoir eu à beaucoup forcer. Elle nota cependant avec satisfaction que sa poussée perturba son soumis dans son apprentissage. Il émit même un léger grognement. Et les voilà partis, pour ce genre de relation sexuelle intime, qu’une Maîtresse adore faire à son soumis. De lents mouvements de va et vient. Parfois même des sorties temporaires pour l’entendre chuinter à chaque retour. Lui continuait tant bien que mal à apprendre sa récitation. Elle prenait plaisir à besogner son homme ficelé sur le banc. 

Une oreille attentive à ses paroles, elle continua à lui travailler le cul jusqu’à soit sûre qu’il connaisse parfaitement son texte. Puis elle se retira doucement en tenant le pan de sa robe pour ne pas la salir. Elle avait bien fait car le conduit était manifestement loin d’être propre : des traces marrons étaient restées accrochées au plug en divers endroits. Elle fit d’autant plus attention en l’enlevant.

- Chihuahua !

Pierre s’interrompit et leva les yeux de la feuille. Sa Maîtresse lui montrait le gode souillé.

- Ton cul n’est pas propre !

Il rougit immédiatement jusqu’aux oreilles.

- Je… je suis désolé Maîtresse.

- Comme je pense que nous allons pratiquer souvent ce genre d’accouplement dans notre nouvelle vie à la maison, en tout cas bien plus souvent qu’avant, cela va être l’occasion de fixer la nouvelle règle : si cul pas propre, chihuahua devra nettoyer sa saleté à chaque fois ! 

Son soumis regardait interdit le gode. Il était attaché. Comment pouvait-il aller le laver, vu qu’il n’était pas libre de ses mouvements ?

- Tu ne comprends pas, toutou idiot. Tu le nettoies avec ta langue et ta bouche. Je veux qu’il ressorte nickel !

L’homme lui lança immédiatement un vif regard apeuré, qui l’amusa beaucoup. Ah que les hommes sont lents à comprendre… mais cela ne l’empêcha de présenter le gode souillé devant ses lèvres. Avec un dégout évident, il fut bien obligé de le prendre dans sa bouche et de s’activer pour lui enlever les souillures ! Sa Maîtresse le dirigeait en contrôlant de temps à temps l’avancement du nettoyage, si bien que le gode fût rapidement et efficacement nettoyé.

- Bon voilà une chose faite ! 

Elle posa le gode ceinture sur le sol à proximité du banc de bois.

- Tu viendras le reprendre tout à l’heure et tu le ramèneras sur le râtelier du salon. Mais maintenant récite-moi ton texte pour voir si tu as bien appris pendant que je m’occupais de ton cul…

Il fit une ou deux erreurs qui lui valurent une gifle et de tout recommencer depuis le début. Mais globalement il savait son texte, ce brave toutou soumis. Il était temps de quitter cet endroit. Claire défit une à une les lanières qui l’immobilisaient sur le banc pour le libérer.

- Il est temps d’aller te montrer un peu…mais avant il faut te laver. Tu pues trop ! Allez dehors à quatre pattes !

Claire la regarda avec amusement s’extraire difficilement de sa position sur le banc. Il semblait tout courbaturé, mais il réussit enfin à se positionner à quatre pattes à ses pieds. Elle récupéra son collier et sa cage de chasteté, la clé restée sur le cadenas et prit la serviette qu’elle avait amenée, avant de quitter le « fessoir » en le devançant. Dehors le soleil était déjà chaud, Claire l’apprécia mais le chihuahua semblait contrarié par quelque chose. 

- Maîtresse... je peux vous demander une autorisation ?

- Oui, mon chihuahua ?

- J’ai besoin… Maîtresse… d’aller aux toilettes... maintenant !

Sa face était rouge de honte à demander cela. Claire rigola, puis plus sérieuse.

- C’est bien, même très bien, de demander à ta Maîtresse, cela, mon chihuahua. Cela va être l’occasion de fixer la première règle de notre nouvelle vie de couple. Elle est simple : tu n’as pas le droit d’aller aux toilettes pour pisser ou déféquer sans mon autorisation ! Et voilà comment on va l’appliquer… Quand nous serons en privé, tu me le demanderas humblement avant en précisant si c’est pour un pipi ou un caca. Je veux que tu utilises ces mots enfantins. Avec les enfants tu annonceras que tu te rends aux toilettes. Si je te demande de faire autre chose avant, c’est que l’autorisation t’est refusée. Et au boulot tu m’enverras ta demande par SMS, de la même façon que tu me le demanderas oralement en privé. Bien sûr tant que tu n’auras pas reçu le feu vert par SMS, il te sera interdit de t’y rendre. Et peut-être que je ne te répondrai pas tout de suite… Tu as compris le principe ?

- Oui, Maîtresse.

- Ah autre chose, cette règle comme les autres règles qui gouverneront ta vie de soumis, je veux que tu l’écrives à la main sur un cahier que tu achèteras dès lundi et que tu me feras viser. Cela sera en quelque sorte notre règlement intérieur de couple D/S.

- Oui, je le ferai dès lundi, Maîtresse.

- Bon, j’écoute ta demande, maintenant. Que veux-tu de moi ?

Le visage de Pierre était cramoisi maintenant mais il parvint à dire.

- Maîtresse… pipi… et… caca… s’il vous plait Maîtresse.

Oh que cette règle était délicieuse pour Claire. Elle décida de le torturer un peu…

- Tu ne peux pas attendre ?

- Non, non, j’ai la vessie pleine et la… la…

- Crotte !

- La… crotte… qui est au bord.

- Peuh ! Allez va faire tes besoins à côté de l’arbre là-bas ! Je ne veux pas que ta merde de soumis incommode, ceux qui passeront pas ce chemin.

Pierre se dépêcha vers l’endroit désigné et s’accroupit au-dessus du tapis de feuilles mortes.

- Non pas comme ça ! Cette position t’est interdite ! Tu es un toutou soumis, un toutou soumis font leurs besoins en chien dans la nature, là plutôt cela serait en chienne…

Le chihuahua n’eut pas d’autre choix que de se conformer à la demande. Mais un humain n’est pas un canidé. Il n’a pas la souplesse du chien. Il opta donc pour une position où il posa ses genoux largement écartés sur le sol, relevant les fesses, les bras tendus et les mains à plat sur le sol. Une sorte de position au garrot pour un soumis. Et il procéda… à sa grande honte.

Une fois fini, sa Maîtresse l’obligea à venir renifler son « œuvre », le nez à quelques centimètres au-dessus. Cela lui semblait la chose que ferait un chien en une telle occasion et que donc son toutou soumis devait apprendre à faire… Puis elle les emmena vers l’étang où elle choisit une partie du plan d’eau où le fond s’enfonçait rapidement de façon à pouvoir lui parler pendant qu’il se nettoierait. Elle l’envoya donc à l’eau après l’avoir lui précisé de bien se nettoyer la raie des fesses qui ne devait pas être très propre. Elle profita de ce moment pour lui fixer des nouvelles règles à la maison.

- Pour les prochains mois, tu aménageras le bas du placard de la chambre. C’est là que je veux que tu dormes dorénavant sur un matelas accroché par le collier au mur. Dans la journée, tu enlèveras le matelas pour que les enfants ne se doutent de rien et tu referas ton « lit » chaque soir... J’ai l’intention de discipliner ton sommeil. Couché tous les soirs à 10h00 et levé tous les matins à 6h. Je sais que tu n’es pas du matin, mais cela te fera le plus grand bien. Cela te laissera du temps pour les tâches ménagères le matin et le soir. Car maintenir la maison en ordre et propre et gérer les lessives, seront dorénavant tes devoirs. J’ai l’intention de ne plus faire aucune tâche ménagère. Pour te réveiller tu achèteras un de ces réveils pour sourd qui marche avec une forte lumière. Dans la chambre, je veux avoir à portée de main tous nos instruments bien rangés. Et bien sûr il ne faut pas que les enfants les trouvent. Je te demande de me proposer rapidement une solution… Tu seras bien sûr puni très fréquemment. Les fessées et autres fouettées auront lieu le lundi à midi pendant que les enfants sont à l’école. Je te demande de te débrouiller avec ton travail pour être libre de 11h30 à 14h30.  Ce repas sera jeuné pour toi. Je veux aussi que tu crées un cabinet de discipline sous l’escalier, dans le premier placard celui qui est le moins grand. Tu l’équiperas d’un paillasson à la mesure que tu changeras régulièrement pour que ses propriétés piquantes restent intactes. Comme tu es bricoleur, tu te débrouilleras que tu puisses t’y enfermer tout seul mais ne pas en ressortir tant que je ne t’aurais pas ouvert… Ah oui autre chose, nous rendrons ta carte bleue sur le compte commun à la banque. Je mettrai le carnet de chèque sous clé. Je me suis renseigné la semaine dernière à la banque, je vais prendre pour toi une carte de paiement à plafond limité. C’est le seul argent auquel tu auras accès. Deux cents euros par mois, maximum. Et tu me devras justifier une à une toute tes dépenses à la fin du mois. Pour les courses, je commanderai sur internet, les payerai et tu iras les chercher après ton travail. Là aussi cela sera ton job.

Claire avait encore beaucoup de nouvelles règles à lui expliquer, mais le temps passait vite. Elle lui en parlerait plus tard. Maintenant il était temps d’aller voir Elke avec son trophée… Elle lui ordonna de sortir de l’eau et lui donna la serviette pour se sécher, après avoir vérifié qu’il ne puait plus. Une fois sec, elle lui remit alors cage et collier. La clé finit autour de son cou.

Elle l’emmena alors sur le chemin de la bâtisse du domaine. Le chihuahua suivait tant bien que mal sa Maîtresse qui était obligée de lui faire sentir son impatience à coup de tensions sur la laisse. Elle regretta de ne rencontrer personne, tant elle aurait voulu exhiber son trophée. Ils arrivèrent dans la maison. Claire laissa aller son instinct pour trouver la porte de la chambre de la Maîtresse  des lieux qu’elle ne connaissait pas mais avait vu hier depuis l’extérieur. Elle frappa d’autorité. La voix rauque de la danoise se fit entendre à l’intérieur de la pièce.

- J’avais dit de ne pas me déranger !

- Elke, c’est moi Claire !

- Ah c’est toi… Attends un moment, j’arrive.

Claire saisit très bien qu’Elke disait à quelqu’un ou quelqu’une de l’attendre sagement et qu’elle reviendrait vite et en eut un frisson de jalousie. La porte s’ouvrit enfin sur la danoise en déshabillé pourpre, largement ouvert sur sa poitrine, les cheveux emmêlés et la mine fatiguée. Elle ne pouvait manquer le chien chihuahua, le dos et les fesses striés de balafres ensanglantées et la chevelure réduite à quelques touffes  survivantes... Elke éclata de rire.

- Hi, hi. Eh bien tu ne l’as pas raté, Claire ! 

- Elke, Pierre a quelque chose à t’annoncer, dit Claire avec un immense sourire de satisfaction.

- Ah bon ? Je t’écoute  Chihuahua

Pierre releva les yeux vers la Maîtresse du Domaine, avala sa salive avant de se lancer avec peine dans sa récitation.

- Maîtresse Elke, Maîtresse Claire a dû me fouetter hier soir parce que mon comportement n’était pas acceptable. Je n’aurais pas dû prendre du plaisir à me faire sodomiser et sucer le zizi de votre soumis. Mon comportement hier n’était pas convenable. Je reconnais que la colère de ma juste Maîtresse était légitime et que je suis un soumis désobéissant et pleurnichard, qui doit être totalement repris en main par ma Maîtresse. Je demande à ma Maîtresse de m’aider à devenir un soumis plus plaisant et j’espère que vous pourrez lui apporter toute l’aide dont elle pourrait avoir besoin. J’ai décidé de lui obéir totalement maintenant et je demande à être durement puni de mes fautes. Je désire être la propriété totale de Maîtresse Claire jusqu’à la fin de mes jours et je prends comme un grand honneur qu’elle ait décidé de me marquer au fer.

- Que voilà de bonnes résolutions, j’espère que tu les tiendras ou sinon…

Claire conclut.

- Sinon je t’enverrai en stage de recyclage chez Maîtresse Elke. J’ai vu ses méthodes de punition hier et je t’assure qu’avec cela tu fileras vite droit ! Ah, Ah !

Joseph apparut alors comme par ma magie dans le couloir, habillé impeccablement dans sa tenue de domestique.

- Tu en as mis du temps à venir !

- J’étais en train de faire le ménage dans la cave,  Maîtresse.

- Oui, oui qu’importe… Maîtresse Claire a eu hier une sérieuse conversation avec son chihuahua et regarde dans quel état elle nous a mis son soumis.

- Euh… assez catastrophique Maîtresse.

- C’est le mot ! Claire une question, les poils survivants on les lui laisse ou pas ?

- Non, je le veux comme un nouveau-né !

- Alors Joseph tu vas l’emmener pour soigner ses vilaines traces de sang et finir de le débarrasser de tous ces poils, puisque telle est la volonté de sa Maîtresse. Il ne faudrait pas qu’il fasse honte à sa Maîtresse pour sa cérémonie de marquage. Vu le travail de ravalement à réaliser, fais toi aider de Thomas. Mais il garde sa cage, car  je ne veux pas que tu es des mauvaises idées comme hier…

- Bien Maîtresse, ce cela sera fait selon vos désirs.

Et sur ceux Joseph saisit l’extrémité de la laisse et d’un coup de pied dans le derrière, mis le chihuahua en branle. Elles les regardèrent disparaitre dans l’escalier.

- Voilà c’est fait, comme tu m’as demandé hier !

- Tu regrettes ?

- Non, c’était… excitant.

Elke ne répondit pas, au grand dam de Claire. Elle avait espérait que… Alors elle décida de s’enfuir.

 - Je te laisse Elke. A tout à l’heure…

- Non reste ! J’ai une surprise pour toi dans la chambre…

Le cœur de Claire battit la chamade. Enfn ! Elle allait obtenir ce qu’elle voulait. Elle entra avec  la danoise dans la chambre. Le grand lit était complétement défait et il régnait une lancinante odeur de sexe dans la pièce. Sophie ! Claire n’avait pas oublié que Sophie avait été retenue la vieille comme courtisane et elle en conçut de la jalousie. Cela allait être la consécration attendue, la consommation avec Elke, enfin. Et elle en frémissait d’impatience… quand elle découvrit de l’autre côté du lit une scène étonnante: un jeune garçon tout nu et dodu, agenouillé sur le tapis, les mains immobilisées dans le dos par des menottes. Zépharin ! Qui pleurait à chaudes larmes.

- Mais… !?!

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 19:12

CHAPITRE 22 - Overgivelse af en underdanig mand

 

Ils étaient arrivés. Le « fessoir » se dressait face à eux, inquiétant, découpant sa silhouette trapue dans le ciel nocturne, en contre-bas barrage de l’étang. Visuellement une construction ancienne, tout en pierre jusqu’au toit de lauzes. Avec une entrée massive de pierres taillées cintrée sur le haut.

La porte de l’enfer ! pensa le chihuahua

- Stop ! Tu m’attends là !

Claire disparut dans la construction. Rapidement une lueur vacillante apparut dans l’embrasure de l’entrée de plus en plus soutenue au fur et à mesure que des bougeoirs étaient allumés à l’intérieur.

L’enfer et son feu dans les yeux de Pierre qui tremblait. Il était sans contrainte. Pourquoi il ne s’échappait-il pas ? Il avait été profondément meurtri dans l’âme que Claire refuse de la croire et réagisse en femme bafouée. Mais qu’importe le piège – car il savait qu’ils avaient été piégés - n’avait-elle pas raison finalement ? N’avait-il pas été le complice silencieux de son tourment ? De cette bite qui lui avait forcé l’anus puis la bouche ? Bien sûr tout cela l’avait ramené brutalement des années en arrière, dans les toilettes du gymnase,  face au pénis turgescent et odorant, que ce grand garçon lui enfonçait de force dans la bouche, le tenant fermement par la nuque.  Claire avait raison. Il aurait pu se révolter, le mordre, le dénoncer. Il avait haï ces mercredi, avait essayé de ne plus venir au club mais ses parents avaient été inflexibles. Le garçon l’attendait avec jubilation à chaque fois. Quand le cours finissait, il le bloquait physiquement dans le vestiaire le temps que les autres vident les lieux et soient récupéré par leurs parents. Lui s’il était amené par sa mère, rentrait seul à la maison. Alors cela laissait du temps à l‘autre. Il l’amenait dans les toilettes handicapées alors que le cours suivant avait déjà commencé. Il lui enlevait slip et kimono pour le mettre tout nu, se moquait de son petit zizi d’enfant avant de le faire mettre à genoux pour jouir de sa bouche jusqu’au dénouement. Le goût infâme de son sperme jaillissait inévitablement au fond de sa gorge. La première fois, il avait essayé de recracher, mais il s’était pris une gifle. Alors il avalait avec dégout le breuvage amer sous les ricanements de l’autre qui n’acceptait de le laisser qu’une fois ce devoir fait. Il rentrait alors chez lui en pleurant si humilié, si fragile… Et pourtant rien n’était simple… Le soir venu, sous la couette, tout changeait. Il se masturbait se repassant le film de l’agression. Oui peut-être que Claire avait raison en le traitant de « PD refoulé » ! Ou non, car c’est finalement l’humiliation qui l’avait excité le plus, se devait-il de reconnaître pour la première fois de sa vie d’adulte. 

Il y avait, aussi, autre chose dans ce qu’il vivait actuellement. Oh combien de fois, il avait rêvé de cette scène, où une Maîtresse en colère s’en prenait à son soumis. Et c’était cela qu’il venait de vivre. Cependant la réalité était beaucoup plus difficile à supporter ou à assumer que le fantasme. Et la suite promettait d’être terrible. Elle lui avait fait déjà  mal tout à l’heure, mais déjà en s’en rappelant il sentait son pénis bandouiller dans la cage. C’est une nouvelle étape qu’ils venaient de franchir ensemble, presque à leur insu. Jamais leurs jeux ne les avaient amenés à un tel écart de statut entre eux. Et il découvrait qu’il aimait être traité ainsi par sa femme. Il était si fier de Claire, sa Claire, qui venait d’aller au-delà de ce qu’il aurait pu imaginer ! Il se sentait complétement rempli ce soir de son amour absolu pour Elle. Et puis il avait conscience d’une autre chose honteuse au fond de lui-même. Elle lui épargnait tout choix. C’était si reposant de se laisser guider sans avoir de questions existentielles à se poser. Elle décidait, il se laissait faire par faiblesse et lâcheté. La vie devenait beaucoup plus simple. Et en plus il préférait cela à sa grande honte !

Pierre leva les yeux vers la bouche de l’enfer qui brillait maintenant d’une lueur qu’il trouvait fascinante. Il savait que cela allait être un moment terrible, mais il était prêt. Il était rasséréné. Il était calme. C’était devenu une évidence : il ferait maintenant avec docilité ce qu’elle voudrait de lui. Elle était complètement devenue sa Maîtresse!

Claire ressortit une chandelle à la main. Son visage concentré était magnifique sous les reflets de la flamme. Pierre l’admira plus amoureux que jamais. Elle posa la bougie sur une souche d’arbre.

- Debout, Pierre et vient ici !

Bien qu’elle l’eu appelé de son prénom, il n’y avait aucun doute : c’était bien la Maîtresse qui parlait. Il obéit. A son étonnement elle lui détacha son collier, puis retirant la clé de son cou, elle lui enleva sa cage libérant une demi-érection. 

- Je te veux Pierre encore un homme libre quand tu rentreras dedans. Et tu en ressortiras bien plus tard, crois-moi, en toutou parfaitement dressé et obéissant. Plus d’atermoiements, il est temps de passer à l’étape suivante. D’ailleurs tu n’as plus le choix, car JE l’ai décidé pour nous deux. Branles-toi, maintenant !

Il leva les yeux sans comprendre. Que lui avait-elle demandé ? N’était pas là pour se faire punir durement ? Claire lui jeta un regard noir plein de reproches avant de lui ré-intimer l’ordre d’un coup de menton.

- Branles-toi j’ai dit ! Immédiatement !

La voix était pressante. Il porta sa main sur son sexe et commença quelques mouvements sans conviction.

- Plus vite, on ne va pas y passer la nuit !

Il accéléra la cadence et se concentra sur les sensations. Il sentit bientôt la boule se former au creux de son ventre,  prémices d’une jouissance à venir. Il était intrigué par cette opportunité offerte : il aurait cru que Claire aller le frustrer au contraire encore plus, vu le mécontentement qu’elle avait exprimé tout à l’heure. Mais il n’en restait pas moins homme et profitait de l’aubaine. Claire qui le regardait patiemment et attentivement faire, répondit à sa question.

- Tu ne demandes pourquoi tu as le droit de jouir après tout ce que tu as fait ? Pas pour te récompenser tu t’en doutes. C’est pour la suite ! Je vais te fouetter intensément, te torturer au-delà de toute pitié, au-delà de ta volonté ou de ce que tu te crois capable de supporter. Nous allons te faire franchir d’un coup un tas de limites et je veux quand dans le futur tu sois terrorisé à la pensée de subir une nouvelle fois une telle punition. Je veux de la peur, des larmes, des cris, des demandes de pitié dont je me foutrais. Je veux une reddition totale de ton âme. Je veux te mettre à ma botte, que ta vie ne dépende plus que de bon vouloir. Je te veux complétement et définitivement à moi ! Et pour cela je ne veux qu’à aucun moment tu tires du plaisir de ce qui va t’arriver, alors s’il faut te vider avant…

Pierre avait brusquement arrêté de se masturber. Une peur primale se lisait dans ses yeux ! Il ne reconnaissait plus sa Claire. Elle rit malicieusement.

- Que les hommes sont douillets. On leur parle des petits tourments à venir, et les voilà qu’ils se décomposent à l’avance ! Garde tes craintes pour tout à l’heure quand tu seras attaché sur le cheval de bois. Et encore une fois, il va falloir que je fasse tout moi-même !

Elle vint se coller dans son dos, une main sur le sexe, l’autre lui pinçant durement entre les ongles de ses doigts, le téton droit. Il essaya de résister au procédé : en vain. L’adrénaline de le douleur dans le téton ravivait son excitation. Son gland devint luisant près à exploser et bientôt il commença à haleter : il était mûr. Claire, qui connaissait très bien son homme, le laissa monter jusqu’à la dernière seconde avant d’arrêter subitement toute action.  Ce qui se traduisit par une éjaculation lente et sans force : elle venait de lui voler son orgasme à son grand désarroi. Il avait une mine déconfite à croquer.

- Ah, ah. Tu ne pensais pas finir ainsi. Et si. Il n’y a pas que toi qui vas mater internet. Moi aussi ! Cela s’appelle un orgasme ruiné ! Tu as intérêt à t’habituer car j’aime beaucoup ta tête là. Et j’ai aussi lu pas mal de chose sur comment traire un mâle par la prostate sans plaisir. J’ai très envie d’essayer. Alors crois-moi tu vas vite connaître des tas de façons de te vider sans plaisir !

Elle prit un instant pour contempler sa face inénarrable, avant de reprendre plus grave.

- Trêve d’amusement. Il est temps de te dresser. Allez ouste chihuahua : à l’intérieur au galop !

Elle accompagna son ordre d’une claque bruyante sur ses fesses, qui ne faisait que confirmer au chihuahua qu’il ferait mieux d’obéir. Il rentra en se pressant. A l’intérieur, on aurait dit une église orthodoxe ; des flammes partout dont les lueurs chatoyantes mettaient en valeur le banc de bois au milieu de la pièce. Des pièces de bois patinées qui avaient dû accueillir la peur et la souffrance de nombreux hommes avant lui. Une sorte de cheval que le soumis en faute devait monter, le ventre collé, les jambes fléchies et écartées n’offrant aucune protection à l’entrejambe, les bras immobilisés le long des montants et la tête pendante dans le vide en repentance : l’autel sacrificatoire dédié au culte de la Maîtresse femme. Et c’est ce cheval de bois que le chihuahua reçut bientôt l’ordre de chevaucher ! Il fût prestement attaché étroitement dessus, par les jambes, par la taille, par les bras, ne pouvant bientôt plus remuer quoi que ce soit, offert aux volontés de La Maîtresse. Il avait peur maintenant. Sur les murs de chaque côté, des râteliers d’instruments de punition massive, cinglant et efficaces, laissaient toute liberté de choix à la Dame. Pourtant ils ne furent pas utilisés pour le premier contact, mais plutôt la main nue de Claire qui claqua en rythme les globes des fesses pour montrer sa désapprobation, cette main de sa Maîtresse que l’on adore et que l’on redoute à la fois… Cette main-là, frappa  mécaniquement à gauche et à droite, longtemps…

Claire ne s’arrêta que lorsque sa main lui fit mal. Elle avait besoin de cela, pour qu’elle ait mal après-coup elle aussi. Pas pour l’effet que cela faisait sur son chihuahua qui avait réussi à contenir à peu près ses cris. Qu4importe, pensa-t-elle, cela viendra vite. Malgré tout l’amour qu’elle lui portait, c’était une raclée mémorable qu’elle voulait lui donner, pour qu’il s’en souvienne, pour qu’il la craigne, pour qu’il se rende à elle corps et âmes.

Elle prit son temps pour choisir son instrument du destin dans les râteliers. Son choix s’arrêta sur un fouet tout noir fait d’un unique brin tressé, pas trop lourd, très souple aussi. Le choix était un peu osé car elle ne s’était pas montré à son avantage, lorsque que Elke lui avait transmis le fouet tout à l’heure pour Joseph. Mais il s’agit d’un très long fouet. Celui-là était beaucoup plus court. Cela lui semblait l’instrument parfait pour ce qu’elle avait à faire. Elle le posa un instant à cheval sur les reins du chihuahua. Sa peau tressaillit au contact. Elle contourna son soumis pour venir lui saisir la tête entre ses deux mains, les yeux dans les yeux, pour le forcer à la regarder.

- Ecoute-moi mon amour. Écoute-moi bien ! Ce que je vais te faire ne m’est pas facile. Je ne me suis jamais marié pour battre mon mari. Et pourtant c’est ce que je vais te faire. Consciencieusement, jusqu’à tu n’en puisses plus, jusqu’à je n’en puisse plus. C’est une véritable raclée que je vais te donner, par que cela est nécessaire pour nous…

Il  essaya de parler mais elle étouffa ses mots en collant ses lèvres aux siennes pour un long baiser qu’il partagea avec elle.

- Je t’aime, mon amour, mais c’est parce que je t’aime que je vais être cruelle avec toi. Tu en as besoin.

Elle fit une pause, inspira une bouffée d’air puis reprit.

- Voilà donc ce qui va se passer. Je vais te battre durement, longuement, jusqu’à tu cries pitié. Et alors je vais te battre encore. Qu’importent tes cris, qu’importent tes demandes de grâces. Je te battrai jusqu’à ce que tu sois devenu  mon bon toutou soumis, qui obéira sans se poser des questions, définitivement. Et sache que cela ne fait pas plaisir, mais qu’il n’est pas possible de faire autrement.

Et ce qui avait été dit, fût longuement fait. Consciencieusement, sur toutes les parties du corps attaché exposées.  Parfois des coups isolés, parfois des grappes de coups donnés en série au bout desquelles elle laissait quelques temps au soumis pour haleter bruyamment en reprenant son souffle. Certaines cinglées s’égaraient sous l’entrejambe visant à dessein les parties intimes. Ceux-là arrachaient des hurlements plus désespérés qu’ailleurs. L’orgueil qu’avait voulu mettre le chihuahua à résister et à se taire ne dura pas longtemps à ce rythme. Le corps essayait de se débattre ce qu’empêchaient les liens. La tête se relevait saisit de stupeur à l’arrivée d’un coup plus vicieux que les autres, avant de retomber lourdement sur les attaques suivantes. Elle l’entendit supplier plusieurs fois qu’elle arrêta, ne serait-ce que pour un instant. Elle n’y répondait que par des cinglées redoublées frappant de toute part le corps. Aucune pitié : elle voulait sa reddition totale. Alors elle frappait, elle cinglait sans cesse. Les sanglots finirent par arriver, authentiques et désordonnés. Elle aimait sentir ces pleurs, les pleurs de la délivrance. Enfin ! 

Elle continua quelque temps à le frapper encore mais plus modérément au rythme des sanglots qui grossissaient. Puis enfin satisfaite, elle lâcha le fouet. Elle était en sueur. Le corps de son chihuahua depuis le cou jusqu’aux cuisses était zébré sous toute la surface exposée. La peau avait éclatée à certains endroits, laissant même perler quelque sang parfois, à d‘autres endroits elle avait pris une couleur violette. Le chihuahua continuait à pleurer toutes les larmes de son corps silencieusement…

Il était tant de porter l’estocade ! Claire s’agenouilla derrière son soumis. D’une main, elle lui saisit le paquet qu’elle ramena de force en arrière avant, de son autre main,  lui enfoncer durement un ongle dans un des testicules. Sanglots redoublés. 

- Ecoute-moi bien maintenant, soumis.

Les pleurs se calmèrent un peu…

- Vas-tu complétement m’obéir enfin ? 

Le chihuahua baragouina dans un sanglot un oui inaudible. Elle enfonça plus profondément son ongle. Il couina.

- Plus fort je n’entends rien ! Acceptes-tu de devenir un bon toutou obéissant ? Acceptes-tu que je te punisse chaque jour pour tes fautes ou pour mon seul bon plaisir ? Acceptes-tu que je gouverne entièrement ta vie, que je t’indique comment t’habiller, comment te comporter en toute occasion ? Acceptes-tu que mon désir et bien être passe avant tout que tu n’es plus que les plaisirs que je déciderai de te laisser, les jouissances et vidanges que je t’autoriserai ? Acceptes-tu de devenir ma pute soumise, qui, si tel est mon bon plaisir, je livrerai à l’abattage sur un parking de routier ?

Là il réussit à prononcer un ou..ui plus net mais pas encore assez pour sa Maîtresse.

- Plus fort ! Tout cela manque de conviction ! Acceptes-tu de ne plus avoir aucun droit, juste des devoirs, d’effectuer toutes les tâches ménagères que je t’ordonnerai ? Acceptes-tu de n’avoir plus aucun loisir ? Que toute ta vie se résume à la volonté et à l’autorisation de ta Maîtresse ? Quand tu peux sortir, quitter une pièce, t’habiller, aller aux toilettes, te vider, acheter dans un magasin, écouter ta musique, aller sur internet ? Que toute ta vie soit dédiée au confort de la famille ?

Le chihuahua cria nettement cette fois.

- Oui je le veux et je l’accepte Maîtresse Claire !

- Si je te demande d’aller te promener tout nu dans le rue, tu le feras ?

- Oui je le ferais, Maîtresse !

- Si je te demande de porter un soutien-gorge devant ton patron, tu l’accepteras sans rechigner ?

- Oui je l’accepterais, Maîtresse !

- Si je te prive d’orgasme pendant des mois, tu attendras sagement ta libération sans te plaindre ?

- Oui j’attendrai, Maîtresse !

- Comprends-tu que c’est un choix sans retour, que je n’aurai de cesse de te dresser jusqu’à ce que tu sois me convienne, que cela sera douloureux, que cela sera pénible, que tu regretteras à un moment ou un autre ton ancienne vie mais que cela sera définitif, que je tu punirai durement à la moindre plainte ou mauvaise humeur, que je te veux entièrement à moi et que pour moi, que je te veux à mes pieds , tout le temps et à toute heure, que parfois je t’empêcherai de dormir et d’autres fois je t’enverrai au lit tôt pour me débarrasser de ta présence, que je te tromperai avec des hommes et des femmes et que tu m’attendra en désespoir mon retour à la maison, que je te prêterai à d’autres Maîtresses ou Maîtres pour repousser sans-cesse tes limites et tabous ?

Pierre avait cessé de pleurer et c’est d’une voix calme et posée qu’il répondit.

- Oui je comprends… et je… l’accepte… Claire. Tout ce que tu veux…

Claire satisfaite lui lâcha les couilles et vint devant-lui.

- Tu as oublié le Maîtresse, mais on verra pour ton impudence une autre fois. Quelque chose me dit que j’aurai suffisamment l’occasion de te punir pour ton mauvais comportement. Mais sache que tout cela n’est pas paroles en l’air et que je te ferais payer chaque écart, chaque mécontentement. Mais je te connais, alors je vais être obligé de prendre une assurance qui te coûte pour te rappeler ton engagement pris ce jour et éviter que ta tête de linotte ait changé d’avis demain !

- Qu… elle, quelle assurance, Maîtresse ? Vous me faites peur !

- Une garantie suffisante pour que tu te rappelles les jours à venir, quels engagements tu as pris et à qui tu appartiens désormais !

Elle le laissa un instant, le temps de récupérer des ciseaux de jardinier sur une étagère sur le mur.

- Ne bouge surtout pas. Je pourrais te blesser… 

Il ne comprenait pas où elle voulait en venir, jusqu’au moment où Claire prit dans ses doigts une mèche de ses cheveux – ces cheveux bouclés qui faisaient toute sa fierté depuis son adolescence et lui donnaient, d’après lui, tout son charme – et la présenta devant la tenaille des ciseaux. Et là il comprit l’intention !

- Non, non, s’il te plait Claire pas mes cheveux ! Tout mais pas ça !

- Et si, mon petit chihuahua !  Quand j’ai dit que j’allais vraiment te dresser, j’étais sérieuse. Pour faire naître un nouveau Pierre, il faut commencer par effacer l’ancien !

- Mais… mais comment on va expliquer cela aux enfants ?

- Tu vas simplement dire la vérité, que maman te préfère ainsi et que tu as été content de lui faire plaisir. D’ailleurs tu as intérêt à t’y habituer vite, car ce n’est qu’un début. Je te veux pendant ton dressage complètement sans poil nulle part, comme un nouveau-né ! Et peut-être une fois que ton obéissance trouvera grâce à mes yeux je t‘autoriserai à en récupérer quelques-uns de ci de là… Mais rien n’est sûr…

- Mais tu…

De sa main libre, elle lui balança la gifle bien sentie d’une Maîtresse contrariée.

- Tu vas te taire à la fin. Je décide, tu obéis silencieusement. Rien d’autre à jacter !

Claire referma alors les ciseaux sur la mèche qui eut du mal à se détacher. Les ciseaux de jardinages étaient loin d’être l’instrument idéal, mais à force de tirer et cisailler, elle réussit à enlever la première touche de cheveux.  Elle la brandit en trophée devant les yeux de son chihuahua, qui humilié baissa la tête.

Faire tomber une à une toutes les boucles lui prit un certain temps vu l’inefficacité des ciseaux. Mais peu à peu la tête de Pierre se clairsemait. Il buvait son humiliation en silence en pleurnichant de nouveau discrètement. A la fin il ne restait plus que des racines désordonnées d’une chevelure dévastée. Elle posa les ciseaux avant de lui donner un tendre bisou sur le crane. Il sentit nettement ses lèvres sur sa peau nue et n’en fut que plus humilié…

Claire qui se tenait devant lui, regardait le résultat avec satisfaction

- Voilà, il ne restera plus qu’à faire la finition au rasoir

Claire sentit toute son excitation en bas qui était montée contrariée par une vessie engorgée. Sur une impulsion, elle fit descendre la culotte sous sa jupe avant de l’enlever et choir par terre. Elle releva la pan de son vêtement pour chevaucher la tête de son soumis. Elle se laissa alors aller… Fouetté, maté, tondu, Pierre se trouva bientôt marqué de l’odeur âpre de sa Maîtresse ! Elle s’essuya de sa culotte.

Cela la calma un peu. Avec la baisse de l’adrénaline, elle sentit toute la fatigue de la longue journée, lui tomber dessus comme un voile. Il était temps d’aller dormir… Elle commença à passer de bougeoir en bougeoir pour éteindre les flammes. La lumière baissait progressivement dans le « fessoir ». Le chihuahua s’étonna…

- Claire, tu… vous ne me libèrez pas ?

- Non je te laisse comme cela pour le reste de la nuit. Là aussi le changement arrive ! Je te trouve trop douillet comme soumis, et il est temps de t’endurcir un peu. Je veux repousser rapidement tes limites. Cette nuit en contrainte devrait te laisser tout le temps pour penser  au sens de l’engagement que tu viens de prendre et ce que tu dois changer pour plaire à ta Maîtresse. Je te souhaite donc une bonne nuit de réflexion.

Claire souffla la dernière flamme et sortit.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Mardi 11 septembre 2 11 /09 /Sep 19:39

CHAPITRE 21 - Når alting ændrer

Le domaine était très calme. Juste le bruissement du vent dans les branches. Baigné dans la lueur d’une pleine lune.

Claire entra dans l’écurie.

Un cheval curieux vint passer sa tête dans l’encolure de son box. Elle le regarda un instant avant de silencieusement glisser jusqu’au cachot de son Pierre. Elle n’avait pas remarqué lors de son premier passage les lucarnes au plafond qui laissaient passer un peu de la lumière lunaire du dehors.

Elle devina derrière les barreaux la forme du corps de son chihuahua couché en boule sur la paille. Des traits sombres sur le dos et les fesses. Sans doute l’œuvre d’Elke… La peau sombre et sale. Le cou toujours attaché à quelques centimètres au-dessus du sol. Ce corps ronflait doucement : il dormait. Elle frissonna de compassion pour son amour meurtri. Il était temps d’arrêter cette folie ! Sa folie en fait…

Elle trouva l’interrupteur et une vive lumière artificielle envahit l’espace. Effectivement il était dans un état pitoyable. Pierre s’ébroua de surprise, essaya malencontreusement de se relever avant de se rappeler le collier autour de son cou. Aïe pour lui ! Ces yeux cherchaient à s’adapter à la lumière. Claire se déplaça dans son champ de vision restreint.

- Bonjour Pierre

- Claire, tu….

- Attends, tu dois avoir faim. Mange d’abord. Je t’ai apporté ce que j’ai trouvé dans la cuisine. On parlera ensuite !

Elle le détacha. Il se releva avec difficulté, s’assit sur le banc du fond et commença à manger. Silencieusement. Elle resta debout et le regarda manger. Pierre n’osait pas relever les yeux. Elle aurait presque dit qu’il rougissait même. Claire avait l’esprit complètement vidé, incapable d’imaginer la suite. La lassitude mais aussi de la tristesse d’avoir tout fait foirer. Elle détaillait machinalement chaque bleu et meurtrissure sur la peau. Elle vérifia sans raison qu’il portait sa cage et se surprit en être satisfaite.

Pierre finit au bout d’un long moment et posa son assiette sur le côté. Il restait hébété les yeux dans le vague tourné vers la paille sur le sol. Claire savait qu’il devait parler là, maintenant, tout de suite, mais n’arrivait pas à se décider à commencer. Bigre que cette journée était longue et bouleversante.

Elle se rappela la gêne de Pierre la première fois qu’il s’était déshabillé devant elle. Là aussi il avait fixé le sol à ne plus finir. Pourquoi se rappelait-elle cela à ce moment ? C’était… incongru… Qu’avait-elle fait pour le décoincer ? Ah oui, elle l’avait caressé un moment, tendrement et amoureusement, avant de le faire basculer et d’emboucher son sexe… Elle vit dans un éclair son Pierre faire la même chose sur cet affreux Joseph et en grimaça de dégoût. Il n’avait pas le droit de…

- Claire, je…

Pierre venait de parler. Il avait dit son prénom. Elle s’y raccrocha comme à une bouée après un naufrage.

- …Oui…

- Je… Je ne… Je ne voulais pas…

Les mots lui arrivaient difficilement.

- Je… ne voulais pas… ça…  

- Qu’est-ce que tu ne voulais pas ?

- Tout… cela… J’ai…

Son visage était cramoisi maintenant.

- Pierre regarde-moi, s’il te plait !

Il leva lentement avec effort les yeux. Ils étaient embués de larmes. Claire s’en sentait terriblement coupable. Elle alla le prendre dans ses bras, le câliner, le caresser, le rassurer. Il se lova dans ses bras et se mit à complètement pleurer. Le cœur de Claire était au bord de l’abime. Elle n’avait jamais voulu tant de noirceur et s’en voulait beaucoup. Il était plus que temps d’arrêter cette folie ! Elle le fit doucement se lever pour qu’il se fonde complètement à elle, corps contre corps, la tête pleurant sur son épaule. Elle n’avait que son amour à lui offrir face à la noirceur.

- Claire, c’était… horrible… quand il m’a forcé l’a…

Elle le laissait parler dans ses sanglots. Ils devaient évacuer tout cela pour reprendre leur vie d’avant et oublier cet endroit.

- J’ai… j’ai eu très mal… Claire.

Elle ne cessait pas de le caresser, maintenant que tout ce mal avait déferlé. Elle n’avait plus que son amour à lui offrir. Elle s’en sentait si coupable… Elle en pleurait presque elle-aussi.

- Oui Pierre, je sais. Je n’aurais jamais dû nous amener ici. C’est ma faute ! Partons, partons dès cette nuit… Je l’expliquerai à Elke… plus tard.

Mais Pierre ne semblait pas l’avoir entendu.

- Et quand j’ai senti… sa bite gonflée… se répandre au fond de ma bouche…cela…

Claire grimaça de nouveau. Pourquoi parlait-il de cela maintenant ? ça elle n’était pas sûre de pouvoir le dépasser, lui pardonner. On pouvait être sodomisé de force. Elle l’imaginait très bien. Mais être contraint de sucer un autre homme était inconcevable ! Et jusqu’au bout en plus ! Pourquoi ne l’a-t-il pas mordu ? Pourquoi-a-t-il seulement ouvert sa bouche à l’intrus ?

- cela… cela m’a rappelé… ce grand garçon du club dans les toilettes qui…

Claire le repoussa de surprise et lui prit la tête entre ses mains pour le fixer durement !

- Attends, quel garçon du club ? Tu ne m’en as jamais parlé !

- Si ce garçon du club de judo que je suçais le mercredi dans les toilettes. J’avais 13ans…

Claire n’aima tout de suite pas cela. Vraiment pas ! Son Pierre ? Sucer un autre garçon ? Elle cria.

- Combien de fois Pierre ?

- Tout… un trimestre… il a déménagé ensuite…

- Toi ?

- Un cauchemar… Il me coinçait dans les toilettes après le cours... Je devais tout avaler ou sinon…

Claire ne savait pas si c’était le dégout ou la colère naissante qui l’emportait. Son Pierre suçait d’autres hommes et elle n’en avait jamais rien su ! Il le lui avait même caché ! L’étau de ses mains sur sa tête  s’accentua.

- Claire… je n’avais pas le choix… 

- Mais si on a toujours le choix dans la vie ! Tu aurais pu en parler à tes parents ou à tes moniteurs. A n’importe qui en fait !

- Non… il me menaçait de me faire mal si je ne…

Claire était maintenant très en colère.

- Ah la bonne heure. Et Joseph lui aussi te menaçait ?

- Oui, il a pris une photo de moi enchainé à quatre pattes avec mon téléphone portable et il menacé de l’envoyer à mes contacts si je ne me laissais pas faire.

- Mais qu’est-ce que tu me racontes ?

- Je voulais résister, mais il avait le doigt sur la touche envoi si je ne me laissais pas faire. Il t’a même envoyé un SMS sur ton téléphone en guise de dernier avertissement, si je résistais encore..

- Menteur !

Claire vu rouge devant le culot mensonger de son Pierre. Et sans réfléchir, elle lui envoya un coup de genou brutal dans l’entrejambe, visant sciemment les couilles sous la cage. Au contact, il s’effondra par terre dans un long cri, avant de mettre en reflexe de protection ses mains sur son entrejambe. Cela n’empêcha nullement Claire de continuer à la frapper sur tout le corps de la pointe de son escarpin et de le sermonner violemment.

- Je ne te savais pas menteur à ce point. Joseph a pris ton téléphone… A la bonne heure, ce n’est pas possible, il était dans mon sac quand on est sorti avec Elke ! Menteur ! Je n’ai jamais reçu de SMS sur mon téléphone ! C’est minable comme mensonge ! Ce que je crois c’est que t’es une tapette refoulée qui adore se faire prendre et sucer des bites ! Tout le reste n’est que mensonge, mensonge et mensonge ! Tu vas le payer cher. Et en plus depuis douze que nous sommes ensemble tu n’as jamais eu le courage de me l’avouer. Tu parles le peu d’intérêt que tu prends quand nous faisons l’amour. Ce n’est pas un problème physique, c’est que tu préfères te faire prendre le cul par un bourrin d’homme. Et ce mensonge-là tu vas aussi me le payer ! Et sur le champ ! Dire que je me suis marié à un menteur ! Que vais-je dire aux enfants ? Votre papa est parti se faire sauter chez un autre Monsieur ? Non cela je ne le veux pas que tu leur infliges ! Je veux pour eux un père digne. Normal. Pas un obsédé de la queue ! Alors heureusement, que la nature fait bien les choses. Elle m’offre une voix de sortie. Tu seras donc mon soumis quoi qu’il arrive ! Que tu le veuilles ou pas ! Et s’il faut régulièrement te livrer à un bande de Maîtres pour te saillir à la chaîne pour répondre à tes pulsions, pas de problème ! Je trouverai cela, tant que tu m’obéis au doigt et l’œil pour le reste !

Pierre essaya de se révolter et de se relever. Mais un nouveau coup bien senti sur les couilles, le ramena à sa situation initiale. 

- Par terre sale PD refoulé !

Il était maintenant en colère lui aussi. Il se rebella dans le verbe :

- Pauvre conne, tu n’as rien compris. Moi aimer se faire prendre par des hommes ? Du pur délire de folle. J’y ai été forcé ! Tu ne peux pas comprendre cela dans ta pauvre cervelle. Et toi ? Tu faisais quoi pendant ce temps-là ? Madame se faisait sauter par le premier venu ! Tu crois que je n’ai pas reconnu très cris au téléphone. Et là manifestement personne ne t’y forçait. Conne et infidèle ! Tu…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase car la main de Claire venait de lui prendre les couilles et les broyait méticuleusement. Ses mots furent étouffés dans ses cris. Elle se pencha sur son oreille pour lui chuchoter.

- Bon maintenant que je peux parler au calme. Oui je me suis fait sauter par un autre aujourd’hui. Lucas qu’il s’appelle et lui il est très bien monté pas comme toi. Et tu sais je l’ai sucé avant qu’il me la mette au cul et j’ai adore me faire prendre comme cela par un vrai homme. Elke m’a aussi draguée aujourd’hui et elle a fini par m’embrasser et là aussi j’ai adoré cela. Sans doute plus que la bite de Lucas. Alors il va falloir que tu t’habitues car cela ne fait que commencer. Tu te sens pousser tes cornes de cocu ? Ton machisme est offensé ? Qu’importe tu auras le temps de le voir plus près, car à partir de maintenant je te veux complètement soumis à ma botte. Obéissant totalement. Plus aucune liberté. Je vais décider quand tu te lèves, quand tu chies, quand tu as le droit de parler. Tout !

Claire avait ponctué chacune de ses phrases d’une forte pression sur les couilles. Quand elle le lâcha, il pleurnichait sous la douleur persistante. Elle le quitta un instant le temps de se saisir dans l’écurie d’un fouet de dressage. Le premier coup lui arriva en sifflant sur le haut des épaules, suivi d’une dizaine d’autres aussi vicieux. Le chihuahua hurlait de terreur et de douleur. Elle attacha enfin l’attache d’une longe à son collier avant de fortement tirer sur cette laisse improvisée.

- Allez ouste le chihuahua dehors. Il est temps que tu comprennes une fois pour toute ta place. Je t’emmène à l’endroit où les Maîtresses punissent les soumis menteurs et mal-dressés comme toi ! Et crois-moi tu as beaucoup, beaucoup, de choses à te faire pardonner !

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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