CHAPITRE 24 - Lille gris...
Claire ne pouvait détacher son regard du Zépharin en jeune porcelet prêt à être consommé. Ses joues toute rouges de honte manifeste contrastaient avec la pâleur de la peau. Et il portait un étrange ruban mauve autour de son cou.
- Un tendre cadeau de Joseph, pour se faire pardonner. Surpris au petit matin en train d’espionner dans un buisson, la main sur le zizi à l’air et se faisant des choses que la décence m’interdit de dire !
- Parce que tu es pudique toi ?
- Moi ?
Les deux femmes partirent ensemble d’un grand éclat de rire. Claire imaginait la scène du - pas si innocent que cela - garçonnet en train de se masturber devant la maison. Il avait dû être si effrayé quand Joseph lui avait mis la patte dessus. Elle sentit que sa chatte se mouillait à l’imagination de cette scène charmante. Elke s’approcha du garçon et le força d’un doigt sous le menton à relever la tête vers elle.
- Bon reprenons mon petit poucet. Je t’avais bien dit de venir me voir mercredi prochain. Et nous sommes quel jour, mon gaminou ?
Entre deux pleurs, Zépharin réussit à dire : Sam… Samedi…. Madame
- Donc tu m’as désobéi. Je t’avais dit mercredi et tu es venu aujourd’hui chez moi. En cachette de plus ! C’est du propre !
Les pleurs redoublèrent.
- Pardon, pardon, Madame ! Je ne le referais plus. Laissez-moi m’en allez ! S’il vous plait Madame.
- Tu veux déjà nous quitter alors que nous venons juste de commencer. Je crains que cela ne soit pas possible mon petiot.
Elke le prit par les cheveux pour le forcer à relever le torse et dégager l’entrejambe. De sa pantoufle, elle vient lui titiller le sexe.
- Mais c’est tout rikiki ce zizi ! Tout recroquevillé de peur… Ah, ah, ah. C’est cela ton problème. Comment veux-tu que les filles s’intéressent à une si petite chose si tu n’arrives pas à la faire dresser ? C’est à mourir de rire ! Je me demande d’ailleurs comment tu peux arriver à la traire pour faire sortir ton jus de garçonnet. Bon mon mari t’a surpris dans un buisson devant la maison, en train de t’astiquer. Qu’est-ce qui te donnait des envies comme cela ? Parle !
- Non Madame ne me forcez pas… j’ai trop honte !
- Ah la bonne heure, ce n’est quand même pas moi qui suis allé indûment chez des gens pour les espionner. Allez racontes vite, ou je serais obligé de te motiver à coup de martinet.
- Cétait…. Vous Madame. Vous étiez … devant la porte de… la… maison. Vous… fumiez une… cigarette.
- Et … mon gaminou ?
- Vous aviez le même vêtement que maintenant…
- Ah oui mon déshabillé et …
- Il était ouvert et vous étiez toute n..nue Madame.
- Ah tu matais mes seins. Et qu’est-ce qu’il avait d’autre ?
- Une… une autre femme… toute nue… elle… agenouillée...
Elke chuchota dans l’oreille de Claire : Zépharin parle de Sophie qui n’était pas encore partie. Le visage de Claire blémit de jalousie et d’envie envers l’autre femme.
- et que faisait donc l’autre dame, mon chou ?
- elle… elle… avait la tête … entre vos… cuisses… et elle… vous… donn-niez du plaisir, Madame.
La figure du garçon était devenue violacée.
- Ah, tu as compris ce qu’elle faisait ? Tu n’es pas si bête finalement mon garçon, mais la bonne expression est que Sophie me broutait le minou, comme j’aime bien que mes conquêtes féminine le fasse quand je fume ma première cigarette du matin… Pas la peine de me raconter la suite, Joseph me l’a dit. Comment il t’a trouvé le zizigounet tout rouge dans la main… comment il t’a déshabillé de force et mit à mariner le temps que je sois disponible… Mais dis-moi toi aussi aimerais-tu donner du plaisir à une femme aussi de la même façon, par exemple à ma copine-là qui avait l’air de bien te plaire, au café hier.
- Oh oui Madame ! Mais… mais vous vous moquez de moi ?
- Non, je suis sérieuse. Et après si tu as bien travaillé, bien sucé, Madame Claire te rendra la pareille. Hein Claire ?
Celle-ci répondit un petit oui à la danoise. La situation l’excitait indéniablement et comment refuser de s’amuser un peu avec un petit puceau. Elke lui faisait un beau cadeau. Les filles regardaient dans l’entrejambe du garçon : le pénis était maintenant tout dressé, un petit modèle qui aurait du mal à satisfaire une femme. De toute façon, cela n’avait pas d’importance car Elke était sûre qu’il était de cette graine de futur soumis aux femmes et somme toute elle lui rendait service en lui apprenant tôt à devenir une langue de velours.
- Bon nous sommes tous d’accord et c’est ce que nous ferons après la fessée ?
- Quelle… quelle fessée… Madame ?
Elke constata avec amusement que le petit étendard, un moment si fier, était vite repassé en berne.
- Celle que je t’avais promise hier au café après tes cochonneries dans la culotte de Claire. Là en plus tu as aggravé ton cas en pénétrant en voleur sur ma propriété. Normalement cela aurait dû être le martinet voire même le fouet pour toi vu ton insolence. Mais comme tu es encore inexpérimenté, je me contenterais de te chauffer les fesses à la main. Allez en place !
La danoise installa une chaise au centre de la chambre. Zépharin était repartit à pleurnicher de plus belle. Elle lui rattacha les menottes sur le devant, avant d’une main ferme sur l’échine le faire se courber pour l’installer sur ses genoux. Elle l’immobilisa contre sa poitrine en passant son pied au-dessus des cuisses pour bloquer ses jambes. Tout cela laissait le popotin laiteux à porter de main.
- Allons-y !
Et sans attendre, elle fessa les globes du garçon, alternativement un côté puis l’autre, en décalant à chaque fois la zone de contact. Le garçon gigotait comme il pouvait à chaque tape, mais ne parvenait à échapper à l’étreinte de sa fesseuse. Il criait de tous ses poumons. A ce rythme le derrière prit rapidement une teinte rosacée. La danoise fit une pause pour masser les chairs meurtries avant de réattaquer par une seconde série bien dosée qui approfondie le carmin des fesses. La punition dura encore un peu entrecoupée de pauses. A un moment, elle le réinstalla de l’autre côté de façon à utiliser son autre main. Et cela reprit de plus belle jusqu’à ce qu’Elke juge le résultat satisfaisant. Zépharin ne s’arrêtait pas de sangloter. Elle le poussa en dehors de ses genoux après lui avoir libéré les mains.
- Bon voilà une bonne chose de faite ! La prochaine fois, mon chou, cela sera le martinet… Mais trêve de souffrance, passons maintenant à des choses plus agréables. Claire installe-toi sur le lit s’il te plait. Et toi relève-toi !
Elke aveugla la vue du Zépharin avec un foulard noir (« tu es encore jeune pour regarder l’œil des femmes en face») pendant que Claire s’assit sur le lit le dos soutenue par les oreillers. Puis la danoise aida le garçon à s’installer sur le lit face au temple féminin.
- Tu sens mon garçon cette odeur de femme excitée à qui tu vas donner beaucoup de plaisir maintenant ? Allez descend s'y les lèvres et use de ta langue. Tu as vraiment de la chance Claire est une excellente initiatrice.
Elle passa sa main rapidement entre ses cuisses, et fut satisfaite de sentir sa virilité.. Elle les laissa alors se découvrir ensemble, suceur et sucée. Claire lui caressait tendrement les cheveux pendant qu’elle le dirigeait de sa douce voix : là, pas là, appuie ta langue un peu plus, oui continue comme cela c’est bon, tu sais tu seras un amant doué,… Elle se sentait bien et, même maladroite, la langue du garçon commençait à lui faire de l’effet. Quand Zépharin eut trouvé le bon rythme, elle se relâcha tout à son plaisir naissant. Il était doué le gamin.
A l’écart, Elke fouillait dans l’armoire. Elle en sortit un gode tout mauve avec une forme très ronde, presque enflé qu’elle fit disparaitre complétement dans sa fente. Puis elle se saisit d’un gode ceinture avec un sexe factice de taille moyenne mais ne le passa pas. Elle semblait dubitative, le gode dans sa main. Elle eut comme un remord car elle le démonta finalement pour le remplacer par un gode d’une taille plus importante, assez proche du sexe que Lucas avait montré la vieille. Claire comprit les intentions perverses de la danoise et elle laissa échapper un Oh de surprise. Elke tourna sa tête vers la source du bruit et lui fit chut d’un doigt sur la bouche. Elle revint sur le lit, lubrifia un doigt et elle commença à masser les bords de la rondelle du garçon. Zépharin se cabra instinctivement er chercha et se relever mais Claire le ramena face à sa chatte, tout en lui flattant l’encolure.
- Mais… qu’est-ce que vous faites, Madame ?
- Ne t’inquiète pas, je vais te donner beaucoup de plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela, tu sais. Laisse-toi aller et détends toi, mon garçon !
Les caresses du doigt se firent plus pressantes, décrivant des cercles autour de l’étroit passage, venant flirter avec la résistance de l’anneau et ouvrant petit à petit une amorce de passage. Le garçon se laissa aller à quelques soupirs. Le doigt se fit alors plus inquisiteur et alla masser les parois du passage de plus en plus profondément. Il finit par rentrer totalement dans la chaleur du conduit. Zépharin poussa un petit cri. Le puceau très crispé au début se détendait peu à peu sous l’action bienfaisante du massage intime. Elke retira son doigt quand elle le sentit suffisamment ouvert pour ne pas le déchirer mais pas trop ouvert pour qui la sente passer. Elle se tenait maintenant là derrière son cul, le gode à quelques millimètres de l’ouverture entre-ouverte, près à planter la banderille. Elle chercha le regard de Claire qui comprit que la consommation était imminente. Oh que cela allait être intéressant… Elle en redoubla de mouille.
Les yeux d’Elke étaient figés dans ceux de Claire. Un signe de tête donna le signal. Claire posa ses mains sur la tête du garçon et la pressa contre sa chatte. Au même moment, Elke attrapa le garçon par les hanches et commença sa perforation. La résistance fut vite vaincue. Le petit hurlait mais ses cris étaient étouffés dans l’intimité de Claire qui en ressentait malicieusement les vibrations. Cela excitait encore plus les deux femmes. Dans un dernier cri étouffé, le gode buta enfin au fond.
Les femmes se regardèrent. Leurs yeux brillaient ensemble irrésistiblement aimantés. Le temps s’arrêta un instant pour profiter du moment de complicité présent. Puis tout se débrida. Elke se branlait avec le cul du jeune homme. Claire ondulait du bassin pour se frotter la chatte sur son visage. Toute deux montaient vers un plaisir certain et sonore sans jamais arrêter de se regarder intensément. Tout cela finit en un double feu d’artifice de jouissance assouvie !
Les femmes étaient épuisées. Zépharin pleurait de nouveau. Elke fut la première à reprendre ses esprits. Elle s’adressa au garçon.
- Et bien mon chou, te voilà dépucelé ! Certes ce n’était pas comme cela tu imaginais perdre ta virginité, mais, crois nous, tu nous as complétement satisfait.
Il sanglota de plus fort. Son zizi était devenu tout petit.
- Vous êtes trop méchantes !
- Mais non, ce n’est pas parce que ta pudeur a été outragée que nous sommes vilaines. D’ailleurs pour nous pardonner Claire va te sucer ton chose, comme promis. Tu as de la chance ! Mais les femmes n’aiment que l’on les trouble quand elles font cela. Relève toi que je te rattache les mains dans le dos.
Zépharin obéit et se retrouva sur le dos.
- Fais voir si tu en as envie…
Elke faisait coulisser sa main sur son pénis. Il ne voyait rien, le bandeau toujours sur ses yeux. Le jeune homme appréciait. Ses pleurs se calmèrent et afficha bientôt une belle érection.
- Je te laisse Claire. A toi de jouer. Je crois deux minutes…
- Non cela ne tient pas très longtemps à cet âge-là je parie qu’il sera mûr bien avant. Disons une minute.
- Tenu ! A toi l’honneur…
Claire s’installa entre les jambes du garçon et se pencha sur sa virilité. Elle l’emboucha, le suçota un peu avant de faire le tour du gland du bout de sa langue. Premiers palpitements du pénis. 20 secondes. Elle garda le gland en bouche tout en venant flatter la hampe. Il haletait. 35 secondes. Elle introduit au plus profond de gorge la colonne turgescente et commença à aller et venir rapidement. Zépharin se mit à respirer de plus en plus fort. 45 secondes. Son corps se raidit. Il était plus que mûr et explosa à la 53ème seconde. Claire recueillit le tout en bouche et s’apprêtait à tout recracher dans la salle de bain, quand elle sentit la main d’Elke sur son épaule. Elle leva les yeux. La danoise avait ses lèvres en offrande. Elle l’embrassa avec bonheur partageant le jeune sperme avec son amante. Avidement. Claire en était si heureuse ! Elles se séparèrent à la fin presque à regret. La danoise marmonna.
- Zépharin voudrais-tu connaître la douceur des lèvres d’une femme ?
- Oh oui Madame !
Elke l’embrassa. Il fut surpris quand il sentit le goût du sperme. Il essaya de recracher mais déjà la danoise lui maintenait fermement la bouche fermée. Il lutta avant finalement de tout avaler.
- C’est bien mon gaminou. Il faudra que tu apprennes à avaler en bon petit soumis toutes tes cochonneries. Alors tu reviens me voir mercredi ? Nous continuerons ton éducation sexuelle…
- Oui… oui… je viendrais vous voir mercredi, sans faute ! Mais laissez-moi partir maintenant….
Ses joues rougissaient. Elke pensa : il ment. Elle alla chercher la boîte à garçon pas sage. Dedans il y a avait quantité de pièces, anneaux et tubes. Elle mit quelque temps à trouver les bonnes dimensions, mais à la fin tout tenait parfaitement. Elle finit par verrouiller le tout avec un cadenas. Clic-clac. Zépharin portait maintenant sa première cage de chasteté. Elle le libéra et lui enleva son bandeau. Il regarda affolé son entrejambe verrouillée.
- Mais… mais que m’avez-vous fait ?
- J’ai juste pris une garantie pour que tu reviennes mercredi. Je t'attends à dix heures précises. Tu enlèveras tous tes vêtements en arrivant comme un bon garçon obéissant : je te veux complètement nu dans mon domaine. Quelques conseils d’amie mon chou, évite d’avoir des mauvaises pensées, cela fait mal dans la cage, fais pipi assis et surtout reviens me voir pour que je te l’enlève. Dix heures précises, rappelle-toi. Ne soit pas en retard ! Allez ouste, je t’ai trop vu ! Tu trouveras tes vêtements accrochés à la grille.
Elle lui donna une claque sur le cul pour le motiver. Il s’enfuit, dévala l’escalier et tomba nez à nez avec une Noémie intriguée par ce jeune satyre encagé surgissant tout nu. Il redoubla sa course…
- Quel soumis dans l’âme ce Zépharin. Un vrai amusement. Et tu sais quoi Claire ?
- Quoi ?
- Quand il arrivera à la grille… Joseph a remplacé tous ses vêtements masculins par une vieille tenue de sa nièce. Aucun pantalon, juste une robe sans culotte. J’en mouille d’avance. C’est dommage que je ne puisse assister à cela.
- Tu crois qu’il reviendra te voir mercredi prochain ?
- Il sera bien obligé rien que pour espérer que je lui enlève la cage et que je lui prenne son pucelage ! Mais maintenant, passe dans le boudoir d’à côté, j’ai deux ou trois chose à t’expliquer sur le déroulement du marquage de ton chihuahua cette nuit. Depuis le temps que j’en organise, il y a un certain cérémonial qui s’est mis en place. Je t’y rejoins dans cinq minutes…
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