Fiction

Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 22:00

CHAPITRE 26 - Tre kvinder

« Ouf ! ». 

Claire était fatiguée et vidée. Toute seule, sans soumis, sans jeune puceau à dépuceler et sans danoise diabolique. Elle avait besoin tant besoin de répit tant il lui semblait avoir vécu des expériences si prenantes en peu de temps. Trop ! C’était trop ! Elle finissait l’esprit vide et ankylosé, incapable d’aligner deux pensées de suite. Il fallait qu’elle réfléchisse à tout qu’elle avait entendu ou subi, mais là pas le courage. La séquence avec Elke dans le boudoir lui avait laissé comme un arrière-goût amer. Oui elle devinait que son autre moi avait désiré cette intimité avec la tentante Elke. Elle l’avait eu un peu, mais Claire n’arrivait pas à déterminer si elle devait en être contente ou pas. Elke empruntait toujours des chemins si extrêmes. Son face à face avec la chatte lui avait apporté un trouble bizarre. Etait-ce de l’envie ? Etait-ce de la déception ? Lui en voulait-elle de la noirceur qu’elle avait montrée ? Que les gens étaient compliqués finalement… même son Pierre. Et en plus la journée était loin d’être finie. Là pour l’instant, elle voulait ne rien entreprendre, juste se détendre, sans aucun excitation sexuelle supplémentaire. Elle avait le contrat en main, mais elle n’avait aucune envie de s’interroger : elle verrait bien plus tard. Oui, plus tard ! Elle avait maintenant envie d’un bon bain chaud pour se calmerr et reprendre des forces avant la suite de la journée. Mais pas baignoire dans leur logement … Ah oui le sauna !

Claire descendit vers l’étang, atteignant le sauna via la passerelle flottante, mais le carré réservé aux serviettes était vide ! Et merde ! La remontée vers leur chambre lui faisait peine. Elle se demanda si une douche pourrait faire l’affaire, mais se convainquit que décidemment non.  Elle avait froid. Et elle voulait avoir tellement chaud. Alors Claire se décida avec peine d’aller rechercher une serviette dans leur logement. Elle se mit en marche…

Le chemin lui paraissait défiler si lentement, sans fin, qu’elle le découpait en petits objectifs. Rejoindre cet arbre. Aller jusqu’à ce caillou. Surtout ne pas s’arrêter et continuer à traîner ses savates. Les jambes lourdes. L’esprit embrumé. Bigre que ce chemin semblait long. Et elle n’avait jamais remarqué qu’il montait autant. Pourquoi Elke ne leur avait pas attribué un autre logement plus proche ?

Comme par magie, un chien sortit des fourrées, un labrador au beau pelage.  Claire en fût étonnée car à sa connaissance il n’y avait pas de chiens au domaine. « A part les soumis, mais eux sont d’une autre espèce, bien moins dressée ». Elle sourit à sa pensée.  Le labrador se planta devant elle en remuant sa queue, sans être menaçant. Il attendait quelque chose… Une caresse peut-être ? Elle tendit la main et commença à lui caresser la tête. L’animal appréciait. Elle continua en le gratouillant sous le museau. Le chien manifestement y prenait un plaisir basique. Quand elle s’arrêtait, il lui donnait des petits coups de tête pour venir quémander une nouvelle caresse. Cette apparition surprenante avait  pour effet  d’apaiser son cœur serré. Claire se laissait aller à prodiguer les caresses…

- oh, tu es simple dans tes envies ! On sait ce que tu veux, toi !

Elle continuait ses caresses qui maintenant se prolongeaient sur le dos et les flancs. Le labrador appréciait mais moins bien que quand elle s’occupait de son cou. Elle se sentait maintenant plus détendue grâce au chien. Soudain, le chien se dégagea et se mit à humer l’air. Claire étonnée ne comprenait pas ce qui le faisait agir ainsi. Le labrador était maintenant figé, à l’affut de quelque chose. Et d’un coup il détala et s’enfonça dans le bois à droite du chemin.

- Attends !

Claire le suivit pour voir, toute curieuse, ce qu’il avait senti. Bientôt elle le perdit de vue. Elle avança quelques pas encore sous les arbres, mais rien à faire : elle ne le distinguait nulle part. Elle se sentit idiote de se trouver là marchant avec difficulté sur la tapis de feuilles mortes – encore une conséquence de sa maudite curiosité insatiable - et décida qu’il est temps de revenir sur le chemin… Des bruits précipités… Des aboiements au loin qui se rapprochaient … Claire se figea inquiète. A temps pour voir débouler un chevreuil poursuivi des aboiements du labrador. Il était passé à moins de trois mètres de sa position. Le temps d’un battement de cœur, Le temps d’avoir primitivement peur de cette bête surgissant du néant. Et bientôt il disparut aussi rapidement qu’il était apparu, laissant le cœur de Claire en chamade. Il était plus que temps de revenir sur le chemin si rassurant…

Claire y revenait aussi vite qu’elle pouvait, inquiète,  les oreilles aux aguets…  De nouveaux bruits… Elle s’arrêta brusquement … Non des voix…. Venant du chemin !

- Mais qu’est-ce que tu as, petite conne, aujourd’hui ? Tu  es grognonne depuis ce matin ! Pourtant ce n’est pas la période de tes ragnagnas… c’était la semaine dernière…

De là où Claire se tenait, elles ne pouvaient pas voir qui c’était. Elle s’avança un peu et elle vit alors Noémie qui trainait à suite sa soumise. Il était clair que Nikka y mettait de la mauvaise volonté car la laisse était tendue entre son cou et la main de la Maîtresse qui finit par s’arrêter au bout de quelques pas manifestement agacée. Claire s’arrêta aussi hors de leur vue.

- Merde, mais qu’est-ce que tu as aujourd’hui ? Dis-le ou je te punis sur le champ !

Nikka murmura très bas quelques mots que Claire n’arriva pas à saisir, mais qui firent visuellement réagir fortement Noémie.

- Ah la petite mademoiselle a la chatouille qui la gratouille et elle rêve que sa Maîtresse s’en occupe…

Claire entendit Noémie soupirer.

- Ah les petites chiennes en chaleur et leurs envies…  Après tout… pourquoi pas ! Si cela peut te faire te tenir calme un moment…

Suite sans doute inattendue pour Nikka qui releva alors son regard plein d’espoir. Claire se sentait gênée de surprendre leur intimité. Noémie sourit à sa soumise avant de faire tomber sa décision.

- C’est à quoi nous nous occuperons après t’avoir apprise comment il n’est pas bien d’agacer ainsi sa Maîtresse. Allez trouve-nous une branche bien flexible que je puisse me détendre avant de te baiser !

Après que sa Maîtresse lui ait détaché sa laisse, Claire vit Nikka commencer à chercher dans le sous-bois, vers sa position. Cela devenait  intéressant… Claire s’accroupit silencieusement derrière un buisson à une quinzaine de mètres de la soumise en quête Toujours cette même curiosité qui lui avait déjà tant coûtée. Nikka allait d’un arbre à l’autre pendant ce temps, perdue...

- … petite gourde… j’oublie parfois que tu une fille de la ville… va couper une tige du noisetier là-bas…tu ne sais pas reconnaitre un noisetier… bon l’arbre à ta droite… non pas celui-là… l’autre à côté petite idiote… 

Claire regarda Nikka s’approcher de l’arbuste désigné et s’échiner pour en détacher une des fines branches. Après beaucoup d’efforts, elle réussit à en couper une et s’apprêtait à retourner vers sa Maîtresse la tige à la main.

- Non ! Avec les dents, en petite chienne bien soumise. Pourquoi dois-je toujours te le rappeler ?

Il semblait à Claire que Nikka avait légèrement rougie face à la remarque, mais elle se remit à terre immédiatement et saisit la branche avec sa bouche dans un dégout visible. Elle trottina vers sa Maîtresse.

- Bonne fifille. Assise maintenant, Nikka !

La soumise posa ses genoux à terre en gardant les mains au sol. Claire remarqua que la position des cuisses légèrement écartées laissait apercevoir indécemment les lèvres d’un abricot superbe et si appétissant. « Merde qu’est-ce qui t’arrive, Claire ? Tu ne vas maintenant mouiller pour chaque femme que tu vois ? » Et pourtant si, lui répondait son corps gagné par l’étrange tension qui précédait l’excitation entre les jambes. Pendant ce temps, Noémie faisait siffler dans l’air la baguette de noisetier pour en tester la souplesse. Visiblement satisfaite, elle ordonna à sa soumise de se mettre en place sur un rocher affleurant à quelque distance. Claire ne pouvait pas nier qu’elle commençait à mouiller maintenant à la perspective d’assister à la punition. Elle fut surprise de la position que prit Nikka sur la pierre : sur le dos, ses mains ayant saisi ses genoux pour écarter dans une position indécente ses cuisses. Elle la voyait de profil ; aussi elle fut frustrée de ne pas mieux voir ce que renfermait l’entrejambe. Elle imaginait un sexe juvénile aux formes douces et glabres. Mais la position prise n’était pas très pratique, pensa-t-elle, pour fouetter un soumis avant de se raviser et sans doute de rougir jusqu’aux oreilles de sa naïveté. C’était une soumise femelle et non mâle ! Noémie n’allait quand même pas la fouetter là… c’était si fragile… comment pouvait-on supporter des coups à cet endroit ? Et pourtant pas de doute c’est bien ce qui allait se passer ! Sous ses yeux ! Fascinant…

- Alors, Nikka, combien de coups mérites-tu pour ta mauvaise humeur ?

Classique question piège, se-dit Claire.

- S.. six, Madame ?

Et voilà, elle va se faire avoir. Il ne fallait surtout pas donner une réponse chiffrée. Erreur de jeunesse, sans doute… ou’l’apport d’un beau dressage.

- Tu en auras donc le double plus deux de plus chaque fois que je te surprendrai à refermer tes cuisses…

Comme je l’avais dit… Claire regardait Noémie se régler par rapport à sa cible, quelques allers et retours de test, épargnant encore la fille, tout en commençant à faire monter l’appréhension de la suite à venir. Claire ne pourrait pas voir les réactions sur les fragiles muqueuses cachées de là où elle se trouvait par la faute de la cuisse relevée.  Elle en fût déçue. Comment pouvait-on infliger cela à une femme que l’on aime ? Noémie n’a pas imaginé cette perversion toute seule, il doit y avoir Elke derrière. Alors toutes les femmes soumises à Elke, y pass… Claire préféra ne pas terminer sa pensée qui commençait à lui déplaire un peu… La punition avait commencé : la tige de noisetier arrivait  cette fois au contact des fragiles chairs. En connaisseuse, Claire constata que Noémie maîtrisait la force des coups pour ne pas trop abîmer les muqueuses. Sans doute pour ne pas mettre en péril aussi la suite. Parfaitement bien dosé même car Claire voyait quand même  Nikka essayer de garder la maîtrise de son corps en serrant les dents pour se présenter face au coup suivant. Noémie les donnait lentement, le temps de laisser redouter chacun. C’est ce qu’elle aurait fait aussi si elle avait été à la place de la fouetteuse. Nikka était sans nul doute plus courageuse que son chihuahua car elle tint jusqu’au sixième coup avant de ne plus arriver à garder les cuisses ouvertes. Claire de demanda si ce dernier coup qui semblait plus violent, n’avait pas été donné à dessin pour obtenir cette réaction… Mais le résultat fut là. Nikka venait de gagner deux coups supplémentaires.  A partir de là, la fouettée devint plus difficile pour la soumise, ne parvenant pas toujours à garder les cuisses ouvertes et accumulant en conséquence les coups de pénalités. Nikka arrivait de moins en moins à se contrôler.  La punition se termina enfin. Claire avait compté treize coups au final. Dommage qu’elle n’ait pas son chihuahua sous la main, elle se serait elle-aussi bien « détendue » avec lui.  La punie remercia, avec la difficulté de la soumise qui venait d’être efficacement punie, sa Maîtresse.

- Mer…ci… Ma..dame...

- C’était plaisant… et cela m’a suffisamment détendu pour que je m’amuse avec toi, maintenant. Allez mets-toi en position le temps que je m’équipe.

- Vous… vous n’allez pas utiliser les doigts, Madame ?

- Et pourquoi pas ma langue tant que tu y es. J’ai dit que j’allais te baiser, pas te donner du plaisir… Il manquerait plus que cela…

Claire vit alors Noémie sortir du sac qu’elle portait, un gode-ceinture violet quasiment le même modèle qu’elle avait découvert ce matin dans le boudoir. Elle ne doutait pas une seule seconde qu’il devait s’y trouver là dans le sac en permanence pour parer à toutes éventualités. Humm cela serait amusant d’imposer cela aussi à son chihuahua. « Tu n’es pas sage ? Allez hop sous une porte-cochère que je t’apprenne un peu le respect par le fondement ». A penser à cette charmante scène, elle en mouilla davantage. Mais elle l’oublia vite pour se concentrer sur l’action à venir. Elle n’avait jamais vu de visu des femmes faire l’amour entre elles. Et c’était le moment de satisfaire sa curiosité à ce sujet. Comment faisaient-elles ? Etait-ce si différent ? Nikka avait nonchalamment étendu ses jambes et bras en offrande sur le rocher. Claire reconnaissait qu’elle était à croquer ainsi. Mais elle fut sans doute aussi déçue que Nikka quand Noémie décida que sa soumise n’avait pas été assez sage pour mériter cela et qu’elle la positionna pour une classique prise en levrette. Même avec les limitations de son soumis mâle, elle arrivait toujours à trouver une position plus excitante ! Quand il fut confirmé que Nikka serait prise ainsi, Claire décida boudeuse qu’elle n’en verrait pas plus et se décida à partir.

Et là la catastrophe ! Pour se relever, Claire posa son pied sur une veille branche qui se cassa en un bruit de craquement d’enfer. Noémie tourna immédiatement la tête sur le côté, tout en gardant le gode enfilé dans sa soumise. Et ce qu’elle vit était une Claire prise sur le fait, rouge de honte, à moitié effondrée sur le tapis de feuilles mortes. Et pourtant elle ne lui fit aucun reproche.

- Eh… Claire. Cela va ? Tu ne t’es pas fait mal ?

Claire très mal à l’aise répondit que non, tout en se relevant prestement, pressée de s’enfuir. Encore une conséquence de sa maudite curiosité ! Le corps de Nikka, qui venait de saisir l’incongruité de la situation, se tortilla pour s’échapper elle-aussi à sa manière à la vue de l’intruse, mais, dès qu’elle le remarqua, une claque sur les fesses de sa Maîtresse mit immédiatement fin à ce début de révolte.

- Toi pas bouger ! Attends Claire, reste, s’il te plait ! J’ai besoin de toi… pour dresser Nikka… Elle a du mal à se laisser baiser partout et devant tout public.  Soit disant qu’elle ne s’aime pas quand elle crie sous la jouissance. Son dressage a besoin d’être amélioré sur ce point.

Claire avait commencé à s’éloigner.

- Non, Claire, reste, s’il te plait !

Claire qui avait été prise sur le fait  se dit qu’après-tout elle le devait bien à Noémie puisqu’elle les avait espionnées à leur insu. Encore un reste qu’elle maudissait de la morale judéo-chrétienne que sa mère lui avait inculquée. Alors elle s’arrêta et s’approcha à son âme défendante du couple de lesbiennes. Noémie lui demanda de se placer sur le rocher au-dessus de la tête de Nikka, pour bien lui « foutre la honte qu’elle commencera à gazouiller sous son plaisir montant ». 

Une fois Claire confortablement installé sur le rocher, Noémie reprit ses coups de boutoir dans la chatte donnés au gode. Chaque assaut se transmettait dans une vibration à l’ensemble du corps. Nikka baissait la tête en serrant les dents pour étouffer ces déjà gémissements. Cela rappelait bizarrement à Claire un autre assaut donné, la veille, par la puissante queue de Lucas. Elle aussi avait d’abord baissé pavillon. La femme subissant la loi du mâle ou plutôt de sa Maîtresse ici. Etait-ce de ces pratiques qu’Elke faisait subir à ses soumises ? Qu’importe, tout cela commençait à l’amuser... Elle voulait à son tour contempler la déchéance d’une autre les yeux dans les yeux. Elle lui saisit les cheveux pour la forcer à la regarder. Mais Nikka garda les yeux fermés. Cela agaça Maîtresse Claire qui de mécontentement la souffleta sèchement. Nikka ouvrit les yeux plus par surprise que par obéissance, mais elle lut immédiatement dans le regard exigent de Claire qu’elle n’avait pas intérêt à oser les refermer. Elle en oublia en même temps de se retenir, et bientôt ses cris déferlèrent dans la forêt, surprenant au loin un groupe d’oiseaux qui s’envola en urgence. Noémie savait décidemment bien y faire pour faire geindre sa soumise.  Le plaisir montait chez la soumise indéniablement. Et Claire admira la machiavelité de Maîtresse Noémie qui interdit à sa soumise de partir en orgasme. Evidemment c’était une cause perdue. Le doux visage de Nikka se tordait déjà sous les vagues de plaisir. Claire en fut presque jalouse. Etait-ce si différent de faire l’amour entre femmes ? Elle enviait cette fille qui prenait son pied avec une autre femme, là devant ses yeux et en était intérieurement troublée. La fin semblait si proche maintenant. Bien sûr Nikka n’éviterait pas l’orgasme interdit. Cette jeune femme en jouissance faisait envie à Claire. Elle aussi voulait inexorablement partager sa jouissance, comme Elke l’avait fait hier. Claire se déplaça pour pouvoir lui saisir les lèvres alors que la vague de l’orgasme déferlait. Mais une chose inouïe se passa : Nikka refusa le baisé et tourna la tête pour vivre seule – en égoïste – sa jouissance !

Les trois femmes reprenaient leur souffle. Claire était fâchée par la dérobade finale de la soumise. Elle lui en voulait même, Alors quand Noémie releva que Nikka s’était laissée aller à un orgasme pourtant interdit, Claire pris immédiatement la parole :

- Tu n’as qu’à la prendre par le cul maintenant ta jouvencelle, pour voir si elle continue à gazouiller !

- Excellente idée, Claire. Elle déteste cela !

Nikka lui jeta un regard de reproche: Claire avait tapé juste. Déjà le gode encore luisant de mouille se présentait impérieux contre la rondelle crispée.

- Non s’il vous plait Madame, il n’y a pas de gel…

Claire répondit à la place de sa Maîtresse.

- Eh alors de quoi te plains-tu ? Mon soumis se fait bien fourrer à sec, et pas plus tard que hier ! Toi, petite gouine, tu as tellement déjà mouillé dessus, que le gode devrait rentrer contre une lettre à la poste dans le conduit. Arrête tes jérémiades et laisse-toi prendre comme une chienne soumise par ta Maîtresse !

Noémie, ravie de la réplique, lui lança un large sourire complice auquel Claire répondit. Nikka, quant à elle, lui lançait des regards noirs, qui loin de faire peur à Maîtresse Claire, relancèrent son excitation dans le bas ventre. Déjà Maîtresse Noémie poussait pour le perforer le cul. Avec grandes difficultés, car l’orifice ne voulait pas s’ouvrir. Et même des volées de claques sur les fesses n’eurent pas raison de la résistance du trou de la soumise. Noémie lutta un temps, mais fut finalement se résoudre à abandonner…

- Quand je te dis qu’elle est mal dressée ! Elle ne perd rien à attendre… d’ailleurs je te laisse le choix de la punition…

L’idée plut immédiatement à Claire. Deux images lui revinrent à ce moment en tête. Celle de Lucas en train de lui perforer violemment son cul et celle de Nikka vomissant au lieu de sucer son Pierre. Alors elle annonça la sentence…

- Je crois qu’il ne faut pas rester sur un échec… Sans doute, Noémie, étais-tu trop fatiguée après l’assaut du devant. Donc je te propose de réessayer au déjeuner, avec du gel cette fois, rassure-toi petite Nikka. Mais je crois que la porte est tellement serrée qu’il faudra employer les grands moyens pour la défoncer. Un beau bélier d’homme, puissant et sans appel, qui lui devrait savoir anéantir les défenses de cette petite effrontée ! Bien sûr il faudra sans doute bien l’attacher avant cette petite pimbêche…

Noémie rigola à l’évocation de cette punition. Nikka non. Elle avait même la tête boudeuse. Claire la fixait intensément dans les yeux. La soumise finit par les baisser : la petite lesbienne effrontée était bien matée cette fois !

bldolmen 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Lundi 8 octobre 1 08 /10 /Oct 13:02

CHAPITRE 25 - Filosofien i boudoir

Le boudoir d’Elke était une petite pièce capitonnée que les persiennes encore fermées éclairaient d’une douce lumière filtrante. en face de l’entrée, le mur  accueillait une profonde banquette de velours mauve dont les montants remontaient haut en une voluptueuse courbe de chaque côté. Elle faisait face à une cheminée dont Claire sentait encore les cendres tièdes. La pièce comportait aussi un fauteuil au haut dossier, un secrétaire au rabat ouvert et dans un coin un intriguant prie-Dieu en noyer foncé qui semblait fort ancien. Le dernier mur cachait un placard avec ses lourdes portes de chêne jusqu’au plafond. Des tentures murales et un tapis persan finissaient de donner de la chaleur à la pièce. Claire s’y sentait bien. Elle nota cependant avec un pincement aux lèvres, la présence incongrue au pied du sofa d’un gode-ceinture violet hâtivement abandonné, aux formes  galbées et douce, très féminines, loin du modèle que venait d’utiliser Elke sur le cul de Zépharin. Soudain mal à l’aise, Claire en détourna vite le regard pour s’intéresser aux tableaux et photos encadrées esthétiquement accrochés au mur. Tous célébraient érotiquement la Femme, non à la façon fantasmée des hommes, mais à la manière plus douce des femmes. Ce boudoir était définitivement très féminin.

Le bruit étouffé d’une chasse d’eau se fit entendre et Elke la rejoint dans le boudoir. Elle avait passé un peignoir blanc.

- Alors Claire, comment trouves-tu mon boudoir ?

- Sympa ! J’aime…

Claire fut interrompu par la sonnerie du téléphone portable de la danoise dans la poche du peignoir. Elke regarda le nom de l’appelant et répondit.

- Gutentag, Gunther… Merci de me rappeler…Comment vas-tu ?...  Non je n’ai toujours rien reçu... Tu as vérifié de ton côté…

Elke se baissa tout en continuant à discuter avec son interlocuteur pour ramasser le gode ceinture au pied du sofa.

- Non… je n’ai pas regardé mes mails ce matin… ah tu m’as envoyé hier soir le numéro du colis… attends je descends voir….

La danoise le combiné à son oreille murmura à Claire qu’elle était désolée et qu’elle devait la laisser un instant.

- Pas de problème ! Prends ton temps…

Elke quitta la pièce le gode-ceinture à la main et sortit de la chambre.  Claire bailla. La nuit avait été trop courte et la fatigue revenait avec l’excitation qui redescendait. Elle s’assit sur le canapé qui lui tendait les bras et ferma ses paupières quelques instants. Pas un bruit : l’absence d’Elke s’éternisait. Claire finit par se relever  A la place, elle continua de laisser aller la curiosité féminine, naturelle chez elle. Elle ouvrit au hasard l’un des tiroirs du secrétaire. Des stylos, des enveloppes et du papier. Rien d’extraordinaire. Mais le second tiroir était entièrement occupé par un livre de cuir finement relié avec en lettres dorées « Slavinden Register » sur la couverture. Claire était intriguée. Bien que sa maman lui ait toujours dit que la curiosité était un vilain défaut, elle prit le risque de le sortir après s’être instinctivement assurée à l’oreille que l’eau coulait toujours dans la salle de bain. Fébrile, elle le posa sur le bureau et l’ouvrit précautionneusement. En fait il ne s’agissait pas d’un livre à proprement parler, mais une plutôt d’une reliure de feuilles parcheminées écrites d’une main élégante et régulière. Un système de fixation permettait de rajouter à convenance des feuilles.

Ce n’était pas écrit en français mais dans une langue du nord de l’Europe vu les Ø barrés. Sans du doute du danois, pensa Claire. Elle essaya de lire malgré-tout mais dut reconnaitre rapidement que si elle croyait reconnaitre parfois certains mots, elle n’arrivait pas à saisir le sens de ce qui était écrit. Mais globalement cela lui faisait penser à une sorte de contrat. Elle découvrit d’ailleurs sans surprise au bout de trois pages une signature et une date. Slavinden ? Esclave ? Alors ce serait des contrats de soumission exigées par Elke de ses soumis et soumises ? Cette pensée lui fit froid dans le dos. Elle tremblait. Elle passa vite en revue les « contrats » et trouva bientôt le nom et la signature de Sophie en date de 1994 et celle de Sophie datée 1997. Claire compta alors les « contrats » dans le livre : il y en avait sept mais seuls six étaient datés et signés, le septième lui était encore en blanc. Cette danoise était une insatiable Maîtresse !

- Je vois que tu t’es permise sans mon autorisation d’ouvrir mon registre d’esclaves !

Claire sursauta. Elke était revenue. Elle ne l’avait pas entendu arriver absorbée dans sa découverte.

- Je…

Claire ne termina pas sa phrase, baissant les yeux à la place et rougissant terriblement en gamine prise en faute.

- Ce n’est pas convenable de fouiller dans mes affaires. C’est même insolent !

- Je… Je suis désolé, Elke. Je n’aurais pas dû…

- Mais tu l’as stupidement fait ! Petite fille trop curieuse… Il faudra que nous corrigions rapidement ça. Bon maintenant que tu as vu presque tout autant te le dire : le dernier contrat c’est celui que je réserve.

- Quel contrat ? Pour moi ? Mais… mais je ne suis soumise ! Je ne le veux pas l’être !

- Pas encore, Claire, pas encore. Mais bientôt tu me supplieras pour être ma soumise…

- Ça jamais de la vie !

- Mais si, crois-moi sur paroles. Cela n’a pas été réellement une surprise pour toi de trouver ces contrats. Tu savais déjà que j’étais la Maîtresse de Noémie et de Sophie. On te l’a dit hier à ma demande. Tu aurais pu partir, t’enfuir à toutes jambes avec ton Pierre. Mais tu ne l’as pas fait… T’es-tu demandé pourquoi ?

- Non.. répondit une Claire boudeuse.

- Parce qu’au fond de toi-même, l’idée ne t’est pas aussi repoussante que cela. Regarde depuis que tu es là, comme les choses ont  profondément changées pour toi. Tu croyais parfaitement te connaitre, savoir ce qui était bon ou pas pour toi.  Tu n’avais jamais envisagé tromper ton Pierre. Et pourtant regarde comme tu as adoré, sans remord,  te faire défoncer la rondelle comme une putain en chaleur par un parfait inconnu. Tu ne voyais qu’en l’amour physique avec ton homme.  Et te voilà te pâmer devant une femme que tu t’es prises à désirer follement jusqu’à te désespérer de ne pas découvrir enfin le goût de ma chatte. Et tout cela en quelques jours, non tout juste une journée.  Adieu tes certitudes passées, adieu tes interdits que tu croyais inébranlables. Ici tu te découvres autre et tu te laisses complétement aller en bonne salope que tu te retrouves aimer être à ton grand étonnement. Alors comment peux-tu être si sûre de ne pas aimer être soumise ? Ainsi va la Nature depuis toujours, l’homme – et la femme – ne sont jamais satisfaits et veulent toujours quelque chose de plus.

Claire se taisait boudeuse alors Elke continua.

- Et si tu crois que la vie de Maîtresse de ton mari suffira à combler le vide en toi. Tu viens juste d’obtenir la reddition de ton homme à ton autorité, que déjà tu imagines les vices que tu vas lui infliger. Pourquoi d’ailleurs ne les lui infliges-tu pas immédiatement, ici plutôt que de courir après l’affection d’une autre femme ? Parce que ton cadeau déjà ouvert, tu te précipites sur un autre ? Tu seras une Maîtresse jamais satisfaite ma chérie. Tu te dis que tu auras toute la liberté de s’amuser avec lui dès que vous serez seuls. Mais libre, tu ne le seras pas souvent. Vous avez des enfants et vos boulots. Si tu imagines un seul instant que tu le feras vivre en permanence nu à la maison, que tu l’attacheras toutes les nuits ou que tu le feras ramper en vermisseau  pour passer d’une pièce à l’autre, tu es dans l’erreur. A chaque fois, un petit grain de sable viendra perturber ton beau mécanisme, ne serait-ce qu’un enfant malade ou la simple fatigue due aux embouteillages pour rentrer le soir. La vie de femme dominante à plein temps, que tu imagines, n’existera finalement pas.  Il faudrait pour cela de pas avoir de famille et être libérée de toute contrainte pécuniaire pour ne pas avoir besoin de travailler. Ce que j’ai moi et qui me laisse tant de temps pour m’amuser par exemple des désirs d’un jeune puceau. Et fatalement tu deviendras peu à peu déçue de ne pas pouvoir  être toi-même. Tu  chercheras à remplir ton vide en devenant plus dure et plus sadique envers ton mari.. Mais là aussi cela te laissera comme un goût amer. Tu auras beau t’échiner à lui tanner le cul à coups de fouet, à lui briser les couilles. Tout cela ne t’apaisera qu’un temps car la nature a fait que l’homme ne se contente jamais de ce qu’il a et aspire toujours avoir plus. Et cet élan est exacerbé quand il s’agit de domination et soumission.

Toujours aucune réaction de Claire

- Ce que je te propose moi, c’est le seul espace de liberté où tu retrouveras les sentiments primitifs perdus des premières fois avec ton chihuahua. Parce que tu auras l’esprit libre et déchargé de tout choix. Parce que tu ne sauras pas ce que tu endureras avant de le vivre. C’est le cadeau que je t’offre. Je te martyriserai, je te livrerai à des vrais hommes et tu deviendras complètement droguée de la souffrance et de l’humiliation que je te donnerai. Ton désir de mon corps se sublimera en une vénération et, tous tes sens exacerbés, tu ne désireras plus autre chose que venir docilement de goinfrer dans l’entrejambe de l’odeur de ta Maîtresse, avant de subir les assauts de son gode. Tu te verras même quémander sans cesse la caresse du fouet de ta Maîtresse, pour goûter de cette douleur si troublante dont tu ne sauras plus de passer. Tout cela sera ta vie si rêvée. Mais je te préviens tu ne seras pas unique, mais une soumise parmi d’autres dans mon harem. Tu me détesteras quand je te jetterai pour une autre et que je te renverrai dans ta pâle vie avec ton mari soumis. Ses fesses cuiront de ta déception d’avoir été rejetée. Et tu attendras avec impatience la prochaine fois que je t’appellerai à mes pieds. Heureusement d’ailleurs car resterais-tu en permanence sous mon joug, que je te détruirais immanquablement ! Là ton autre vie en famille te protègera.

- Oui mais non…

- Mais tu y as déjà pensé ma chérie. Tu t’es souvent imaginée à la place de ton chihuahua. Et cela t’excitait le bouton. Moi c’est ce que je t’offre, pas en rêves, en vrai ! Au fond de toi-même, ne te mens pas, tu savais en venant ici que tu mettais dans la gueule du loup. Que tout cela aurait fatalement un prix et ce prix je viens de le fixer. Ce n’est pas ton corps que je veux, mais ton âme. Et tu as déjà compris que ton chihuahua fusse-t-il le mari le plus soumis et obéissant du monde, cela finira fatalement à ne pas te suffire. Tu es de cette graine de femmes qui une fois ouverte la boite à pandore se laisse aller à tous leurs penchants si longtemps refoulé. Regardes comme tu offres déjà ton corps si naturellement à la volonté des autres. Je veux ton âme. Et je l’aurai. Crois-moi, je ne me suis jamais trompée dans mes choix féminins et aucune ne m’a résisté. Toi tu as l’âme d’une grande soumise, et c’est un honneur que je te fais. Je l’ai sentie dès nos premières discussions par internet. Ton côté dominant, c’est pour la façade, ton mari et les hommes en général. C’est ton côté soumis moi qui m’intéresse chez toi. Je te veux à mes pieds et tu n’as pas encore compris que c’est ce que tu désirais toi aussi, finalement. Mais tout finira par arriver. Ce domaine permet l’éclosion de tous les désirs... Tu n’es pas bête. Pourtant quand tu as senti la toile du domaine se refermer se refermer peu à peu sur toi, tu n’as pas cherché à te révolter. Sache que seules les femmes qui m’excitent de soumettre viennent se faire attraper au domaine. Je choisis toujours des femmes aux sentiments dominants envers les hommes, car cela correspond à ma nature et leur chasse n’en plus qu’excitante. Elles savent exactement aux outrages auxquels elles s’exposent en se rendant à ma volonté, parce qu’elles le font déjà subir à leurs soumis à la maison. Leurs redditions n’en est que plus savoureuse…Et toi tu es de cette graine-là qui aime prendre du plaisir à être bafouée.

- Non, non, tu te trompes, je ne suis pas comme cela…

- Disons plutôt que tu n’as pas encore pris totalement conscience de ta nature réelle. Mais tu y viens peu à peu comme les autres y sont venues en leur temps. Elles aussi niaient en avoir besoin. Et pourtant tu verrais, elles accourent maintenant au moindre de mes claquements de doigts. Je leur laisse leur pâle soumis à la maison en amuse-gueule pour leurs longues soirées d’hiver où elles dépérissent de l’absence de leur Maîtresse. Mais trêve d’arguments, si la graine est déjà en terre et que bientôt j’en récupérai les fruits, les mots restent limités. Mieux vaut en avoir un aperçu ici, immédiatement, de ce que j’avance.

Elke défit alors la ceinture de son peignoir laissant les pans s’ouvrir. Elle invita Claire alors par une pression des mains sur les épaules, à s’agenouiller devant-elle. Le corps de Claire se crispa avant de mollement laisser le mouvement se faire. Une fois la mise à genoux effectuée, Elke lui prit la tête pour la positionner à quelques centimètres de son sexe. Claire le voyait devant ses yeux pour la première fois. Une chatte profonde aux élégantes muqueuses contrastées et luisantes, avec en arrière-plan une odeur légèrement aillée. 

La Maîtresse danoise  ne perdit pas son temps et reprit sa leçon.

-  Tu sens Claire les effluves qui se dégagent ? Tu sens comment elles te troublent, à quel point tu désires y gouter, jusqu’où elles te font chavirer ? Alors imagines toi que tu sois ma soumise, Cela deviendrait ton graal, celui pour lequel tu accepteras toutes les compromissions pour avoir  l’honneur d’y poser tes lèvres un instant. Tu te retrouveras à le désirer, à le vénérer. Il te rendra folle. Voudrais-tu le goûter ?

Claire essaya d’y tendre la langue. Mais Elke la maintient hors de portée de ces deux mains sur la tête.

- Tss, Tss. Erreur, le contact ne t’est pas encore autorisé. Tu n’en as pas encore payé le prix. Et tu sais que celui-ci sera bien plus élevé que ce tu t’imagines actuellement capable de payer.  Je te torturai, je t’emmènerai au-delà des tes limites. Tu souffriras tant et tu finiras complètement déboussolée. Mais au bout du tunnel, il y aura le saint calice de ta Maîtresse, et après avoir bien souffert, après avoir été bien humiliée, tu le retrouveras finalement en récompense de tes efforts, agenouillée entre ces jambes. Imagines la joie et la délivrance ! Le veux-tu,  le peux-tu ?

Elle força Claire à la regarder les yeux dans les yeux. D’un côté un regard dur manifestement excité. De l’autre un regard un peu perdu. Claire en profita pour repositionner ses genoux.

- ça on verra une fois que tu te seras rendue. Mais je trouve que tu commences à remuer du croupion. Tu ressens enfin l’incongruité de la situation. Toi à genoux et moi debout. Tes genoux commencent à te démanger. Pas vrai ? Pourtant tout ce que tu désires est là entre mes cuisses. Je sais, Petite coquine, que tu voudrais  y glisser ta langue et ton nez. Et pourtant tu n’arrives pas à dépasser l’inconfort de ta position. Manque d’entraînement ou manque de motivation ? Faut-il que je te dresse ou que je t’autorise à venir gouter mon miel une fois ? Je t’avoue de ne pas avoir encore décidée comment je t’attraperai… C’est toute l’excitation de la chasse. Pour celle que tu connais, cela a été à chaque fois différent. Noémie était jeune, en manque d’amour et si innocente. Je lui ai pris tous ses pucelages sans aucune difficulté. Elle était si naïve que c’était si facile pour moi. Alors pour corser, je l’ai façonnée à détester les hommes, à ne voir que l’amour entre femmes, avant, une fois mûre à point, la livrer à un libertin de mes connaissances à Paris.  T’a-t-elle dit qui le prenait pas le cul tous les jours à son retour de l’université ou qu’elle devait garder sa bite dans sa bouche toute la soirée ? Souvent il la réveillait en pleine nuit pour la fouetter avant de l’enculer à nouveau. Noémie détestait cela pourtant elle subissait tout parce que je le voulais.  Et Sophie. Ah Sophie ! Elle est très France convenable et déteste faire l’amour à une femme. Et pourtant je l’ai dressée à le faire plus que convenablement à coups de cravache. Et, crois-moi,  sa mine dégoûtée quand je lui ordonne de venir me brouter, m’excite au plus haut point ! Toi c’est différent : tu désires les femmes et adore te faire enfiler par des grosses queues.  Je crois qu’avec toi, il faudra, quand tu seras sous ma coupe, te punir par là ou tu auras pêché. Je me vois bien t’imposer des séances d’abattage. Des hommes gros, des hommes vieux, des tordus. Rien dont tu pourras tirer de l’excitation de salope, et qui te ramènera à la situation d’être une chose qui obéit. Ma chose.

- Tu es complètement folle !

- Non je suis simplement réaliste. Je t’ai démasquée. Tu es une salope soumise dans l’âme. Et tu ne l’as pas  encore totalement compris. Mais bientôt si et tu viendras me supplier de la vivre…

Claire se releva doucement sans en être empêchée, les yeux montrant un peu de déception et de frustration. La danoise referma ostensiblement la ceinture de son peignoir.

 - Oui ce n’est pas encore décanté mais c’est cela ton avenir. Allez prends ton contrat. Lis quels seront tes futurs devoirs et obligations de femelle soumise. Lis quel sera ton sort. Sache qu’aucune des conditions écrites n’est négociable. Et qu’aussi j’ai mis de l’attention à l’écrire spécialement pour toi. Et quand tu seras prête, tu viendras à moi. Pour le reste, je m’en fous. Tu peux complètement  mettre ton mari  à ta botte, l’émasculer même. La seule chose que je n’accepterai pas c’est que tu oublies à qui ton âme appartient. Je te le rappellerai durement de temps en temps.  Mais le reste du temps tu pourras faire ce que tu veux. L’avantage d’avoir un harem de soumises comme moi, est que cela prend peu de temps à chacune. C’est un peu comme être polygame. Chacune doit m’honorer à tour de rôle et à toutes, je demande une fidélité et une obéissance absolue.

Elke lui mit le contrat dans les mains. Claire pensive gardait le silence.

- Le contrat est en danois mais j’ai un dictionnaire quelque part… Voilà… Ah oui, j’oubliais de te dire une chose, Claire. Quand tu viendras te rendre à moi, la première chose que je te prendrai c’est ta dignité. Je te ramènerai sous le fouet  à ta juste place car je n’ai vraiment pas aimé ta curiosité insolente de petite fille mal élevée ! Avant de te livrer à un groupe de mâle en rut qui te violeront. Mais arrêtons de parler de cela. Là il faut que l’on s’organise pour la cérémonie de marquage de ton chihuahua.

Claire préféra se taire. Cela commença par le choix dans le placard de la robe qu’elle porterait pour la soirée. Les tenues qu’Elke lui sortit tenaient plus de la robe de cérémonie que du fétichisme SM. Point de noir, point de chaînes, juste des matières blanches ou crème avec des longues jupes évasées et une mise en valeur de la poitrine féminine. Très marital en fait. Claire avait l’esprit encore anesthésié par le discours la danoise. Elle se laissait habillée comme une poupée comme si finalement elle ne se sentait pas concernée. C’est Elke qui décida de tout et Claire se retrouva dans une superbe robe de soie blanche, exhibant sans concession ses seins et tombant sur les mollets. Ce n’était pas le type de robe qu’elle aurait naturellement mis, mais elle devait reconnaître qu’elle ferait « bander » n’importe quel mâle dedans, à commencer par le sien. 

- Je te prête mon boudoir pour venir t’habiller quand cela sera l’heure. Voilà les bas qui vont avec et bien sûr elle doit se porter sans culotte. Ne l’oublie pas !

La Maîtresse du Domaine compléta la préparation en lui expliquant rapidement les grandes lignes du déroulement de la cérémonie. Claire écouta à peine. Son soumis serait mis au « frais » au cachot après le déjeuner. Elle ne le retrouverait qu’après le banquet prévu au dîner. Le marquage qui aurait lieu à minuit se ferait dans un endroit spécial du domaine vers lequel ils partiraient en procession avec son chihuahua au  milieu.

- Bon voilà, tu sais le principal. Réfléchis bien à ce que je t’ai dit, ma petite Claire. Mais là je te demanderais de me laisser. La séance avec Zépharin et notre discussion, m’ont bien émoustillée et là j’ai besoin de me défouler. A tout à l’heure au déjeuner.

Claire quitta le boudoir sans discussion. Elle traversait la chambre alors qu’Elke appelait depuis son téléphone.

- Allo George ?... Je veux ta queue dans dix minutes chez moi… Non, je m’en contrefous que tu sois en réunion à la mairie… Viens immédiatement et ne soit pas en retard comme la dernière fois où tu tâteras de mon fouet… Dépêche-toi, il ne te reste que neuf minutes !

Claire sortit de la chambre et referma doucement la porte derrière elle.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 27 septembre 4 27 /09 /Sep 20:21

CHAPITRE 24 - Lille gris...


Claire ne pouvait détacher son regard du Zépharin en jeune porcelet prêt à être consommé. Ses joues toute rouges de honte manifeste contrastaient avec la pâleur de la peau. Et il portait un étrange ruban mauve autour de son cou.

- Un tendre cadeau de Joseph, pour se faire pardonner. Surpris au petit matin en train d’espionner dans un buisson, la main sur le zizi à l’air et se faisant des choses que la décence m’interdit de dire !

- Parce que tu es pudique toi ?

- Moi ?

Les deux femmes partirent ensemble d’un grand éclat de rire. Claire imaginait la scène du - pas si innocent que cela - garçonnet en train de se masturber devant la maison. Il avait dû être si effrayé quand Joseph lui avait mis la patte dessus. Elle sentit que sa chatte se mouillait à l’imagination de cette scène charmante. Elke s’approcha du garçon et le força d’un doigt sous le menton à relever la tête vers elle.

- Bon reprenons mon petit poucet. Je t’avais bien dit de venir me voir mercredi prochain. Et nous sommes quel jour, mon gaminou ?

Entre deux pleurs, Zépharin réussit à dire : Sam… Samedi…. Madame

- Donc tu m’as désobéi. Je t’avais dit mercredi et tu es venu aujourd’hui chez moi. En cachette de plus ! C’est du propre !

Les pleurs redoublèrent.

- Pardon, pardon, Madame ! Je ne le referais plus. Laissez-moi m’en allez ! S’il vous plait Madame.

- Tu veux déjà nous quitter alors que nous venons juste de commencer. Je crains que cela ne soit pas possible mon petiot.

Elke le prit par les cheveux pour le forcer à relever le torse et dégager l’entrejambe. De sa pantoufle, elle vient lui titiller le sexe.

- Mais c’est tout rikiki ce zizi ! Tout recroquevillé de peur… Ah, ah, ah. C’est cela ton problème. Comment veux-tu que les filles s’intéressent à une si petite chose si tu n’arrives pas à la faire dresser ? C’est à mourir de rire ! Je me demande d’ailleurs comment tu peux arriver à la traire pour faire sortir ton jus de garçonnet. Bon mon mari t’a surpris dans un buisson devant la maison, en train de t’astiquer. Qu’est-ce qui te donnait des envies comme cela ? Parle !

- Non Madame ne me forcez pas… j’ai trop honte !

- Ah la bonne heure, ce n’est quand même pas moi qui suis allé indûment chez des gens pour les espionner. Allez racontes vite, ou je serais obligé de te motiver à coup de martinet.

- Cétait…. Vous Madame. Vous étiez … devant la porte de… la… maison. Vous… fumiez une… cigarette.

- Et … mon gaminou ?

- Vous aviez le même vêtement que maintenant…

- Ah oui mon déshabillé et …

- Il était ouvert et vous étiez toute n..nue Madame.

- Ah tu matais mes seins. Et qu’est-ce qu’il avait d’autre ?

- Une… une autre femme… toute nue… elle… agenouillée...

Elke chuchota dans l’oreille de Claire : Zépharin parle de Sophie qui n’était pas encore partie. Le visage de Claire blémit de jalousie et d’envie envers l’autre femme. 

- et que faisait donc l’autre dame, mon chou ?

- elle… elle… avait la tête … entre vos… cuisses… et elle… vous… donn-niez du plaisir, Madame.

La figure du garçon était devenue violacée. 

- Ah, tu as compris ce qu’elle faisait ? Tu n’es pas si bête finalement mon garçon, mais la bonne expression est que Sophie me broutait le minou, comme j’aime bien que mes conquêtes féminine le fasse quand je fume ma première cigarette du matin… Pas la peine de me raconter la suite, Joseph me l’a dit. Comment il t’a trouvé le zizigounet tout rouge dans la main… comment il t’a déshabillé de force et mit à mariner le temps que je sois disponible… Mais dis-moi toi aussi aimerais-tu donner du plaisir à une femme aussi de la même façon, par exemple à ma copine-là qui avait l’air de bien te plaire, au café hier.

- Oh oui Madame ! Mais… mais vous vous moquez de moi ?

- Non, je suis sérieuse. Et après si tu as bien travaillé, bien sucé, Madame Claire te rendra la pareille. Hein Claire ?

Celle-ci répondit un petit oui à la danoise. La situation l’excitait indéniablement et comment refuser de s’amuser un peu avec un petit puceau. Elke lui faisait un beau cadeau. Les filles regardaient dans l’entrejambe du garçon : le pénis était maintenant tout dressé, un petit modèle qui aurait du mal à satisfaire une femme. De toute façon, cela n’avait pas d’importance car Elke était sûre qu’il était de cette graine de futur soumis aux femmes et somme toute elle lui rendait service en lui apprenant tôt à devenir une langue de velours.

- Bon nous sommes tous d’accord et c’est ce que nous ferons après la fessée ?

- Quelle… quelle fessée… Madame ?

Elke constata avec amusement que le petit étendard, un moment si fier, était vite repassé en berne.

- Celle que je t’avais promise hier au café après tes cochonneries dans la culotte de Claire. Là en plus tu as aggravé ton cas en pénétrant en voleur sur ma propriété. Normalement cela aurait dû être le martinet voire même le fouet pour toi vu ton insolence. Mais comme tu es encore inexpérimenté, je me contenterais de te chauffer les fesses à la main. Allez en place !

La danoise installa une chaise au centre de la chambre. Zépharin était repartit à pleurnicher de plus belle. Elle lui rattacha les menottes sur le devant, avant d’une main ferme sur l’échine le faire se courber pour l’installer sur ses genoux. Elle l’immobilisa contre sa poitrine en passant son pied au-dessus des cuisses pour bloquer ses jambes. Tout cela laissait le popotin laiteux à porter de main.

- Allons-y !

Et sans attendre, elle fessa les globes du garçon, alternativement un côté puis l’autre, en décalant à chaque fois la zone de contact. Le garçon gigotait comme il pouvait à chaque tape, mais ne parvenait à échapper à l’étreinte de sa fesseuse. Il criait de tous ses poumons. A ce rythme le derrière prit rapidement une teinte rosacée. La danoise fit une pause pour masser les chairs meurtries avant de réattaquer par  une seconde série bien dosée qui approfondie le carmin des fesses. La punition dura encore un peu entrecoupée de pauses. A un moment, elle le réinstalla de l’autre côté de façon à utiliser son autre main. Et cela reprit de plus belle jusqu’à ce qu’Elke juge le résultat satisfaisant. Zépharin ne s’arrêtait pas de sangloter. Elle le poussa en dehors de ses genoux après lui avoir libéré les mains.

- Bon voilà une bonne chose de faite ! La prochaine fois, mon chou, cela sera le martinet… Mais trêve de souffrance, passons maintenant à des choses plus agréables. Claire installe-toi sur le lit s’il te plait. Et toi relève-toi !

Elke aveugla la vue du Zépharin avec un foulard noir (« tu es encore jeune pour regarder l’œil des femmes en face»)  pendant que Claire s’assit sur le lit le dos soutenue par les oreillers. Puis la danoise aida le garçon à s’installer sur le lit face au temple féminin.

- Tu sens mon garçon cette odeur de femme excitée à qui tu vas donner beaucoup de plaisir maintenant ? Allez descend s'y les lèvres et use de ta langue. Tu as vraiment de la chance Claire est une excellente initiatrice.

Elle passa sa main rapidement entre ses cuisses, et fut satisfaite de sentir sa virilité.. Elle les  laissa alors se découvrir ensemble, suceur et sucée. Claire lui caressait tendrement les cheveux pendant qu’elle le dirigeait de sa douce voix : là, pas là, appuie ta langue un peu plus, oui continue comme cela c’est bon, tu sais tu seras un amant doué,… Elle se sentait bien et, même maladroite,  la langue du garçon commençait à lui faire de l’effet. Quand Zépharin eut trouvé le bon rythme, elle se relâcha tout à son plaisir naissant. Il était doué le gamin.

A l’écart, Elke fouillait dans l’armoire. Elle en sortit un gode tout mauve avec une forme très ronde, presque enflé qu’elle fit disparaitre complétement dans sa fente. Puis elle se saisit d’un gode ceinture avec un sexe factice de taille moyenne mais ne le passa pas. Elle semblait dubitative, le gode dans sa main. Elle eut comme un remord car elle le démonta finalement pour le remplacer par un gode d’une taille plus importante, assez proche du sexe que Lucas avait montré la vieille. Claire comprit les intentions perverses de la danoise et elle laissa échapper un Oh de surprise. Elke tourna sa tête vers la source du bruit et lui fit chut d’un doigt sur la bouche. Elle revint sur le lit, lubrifia un doigt et elle commença à masser les bords de la rondelle du garçon. Zépharin se cabra instinctivement er chercha et se relever mais Claire le ramena face à sa chatte, tout en lui flattant l’encolure.

- Mais… qu’est-ce que vous faites, Madame ?

- Ne t’inquiète pas, je vais te donner beaucoup de plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela, tu sais. Laisse-toi aller et détends toi, mon garçon !

Les caresses du doigt se firent plus pressantes, décrivant des cercles autour de l’étroit passage, venant flirter avec la résistance de l’anneau et ouvrant petit à petit une amorce de passage. Le garçon se laissa aller à quelques soupirs. Le doigt se fit alors plus inquisiteur et alla masser les parois du passage de plus en plus profondément. Il finit par rentrer totalement dans la chaleur du conduit. Zépharin poussa un petit cri. Le puceau  très crispé au début se détendait peu à peu sous l’action bienfaisante du massage intime. Elke retira son doigt quand elle le sentit suffisamment ouvert pour ne pas le déchirer mais pas trop ouvert pour qui la sente passer. Elle se tenait maintenant là derrière son cul, le gode à quelques millimètres de l’ouverture entre-ouverte, près à planter la banderille. Elle chercha le regard de Claire qui comprit que la consommation était imminente. Oh que cela allait être intéressant… Elle en redoubla de mouille. 

Les yeux d’Elke étaient figés dans ceux de Claire. Un signe de tête donna le signal. Claire posa ses mains sur la tête du garçon et la pressa contre sa chatte. Au même moment, Elke attrapa le garçon par les hanches et commença sa perforation. La résistance fut vite vaincue. Le petit hurlait mais ses cris étaient étouffés dans l’intimité de Claire qui en ressentait malicieusement les vibrations. Cela excitait encore plus les deux femmes. Dans un dernier cri étouffé, le gode buta enfin au fond.

Les femmes se regardèrent. Leurs yeux brillaient ensemble irrésistiblement aimantés. Le temps s’arrêta un instant pour profiter du moment de complicité présent. Puis tout se débrida. Elke se branlait avec le cul du jeune homme. Claire ondulait du bassin pour se frotter la chatte sur son visage. Toute deux montaient vers un plaisir certain et sonore sans jamais arrêter de se regarder intensément. Tout cela finit en un double feu d’artifice de jouissance assouvie !

Les femmes étaient épuisées. Zépharin pleurait de nouveau. Elke fut la première à reprendre ses esprits. Elle s’adressa au garçon.

- Et bien mon chou, te voilà dépucelé ! Certes ce n’était pas comme cela tu imaginais perdre ta virginité, mais, crois nous, tu nous as complétement satisfait.

Il sanglota de plus fort. Son zizi était devenu tout petit.

- Vous êtes trop méchantes !

- Mais non, ce n’est pas parce que ta pudeur a été outragée que nous sommes vilaines. D’ailleurs pour nous pardonner Claire va te sucer ton chose, comme promis. Tu as de la chance ! Mais les femmes n’aiment que l’on les trouble quand elles font cela. Relève toi que je te rattache les mains dans le dos.

Zépharin obéit et se retrouva sur le dos.

- Fais voir si tu en as envie…

Elke faisait coulisser sa main sur son pénis. Il ne voyait  rien, le bandeau toujours sur ses yeux. Le jeune homme appréciait. Ses pleurs se calmèrent et afficha bientôt une belle érection.

- Je te laisse Claire. A toi de jouer. Je crois deux minutes…

- Non cela ne tient pas très  longtemps à cet âge-là  je parie qu’il sera mûr bien avant. Disons une minute.

- Tenu ! A toi l’honneur…

Claire s’installa entre les jambes du garçon et se pencha sur sa virilité. Elle l’emboucha, le suçota un peu avant de faire le tour du gland du bout de sa langue. Premiers palpitements du pénis. 20 secondes. Elle garda le gland en bouche tout en venant flatter la hampe. Il haletait. 35 secondes. Elle introduit au plus profond de gorge la colonne turgescente et commença à aller et venir rapidement. Zépharin se mit à respirer de plus en plus fort. 45 secondes. Son corps se raidit. Il était plus que mûr et explosa à la 53ème seconde. Claire recueillit le tout en bouche et s’apprêtait à tout recracher dans la salle de bain, quand elle sentit la main d’Elke sur son épaule. Elle leva les yeux. La danoise avait ses lèvres en offrande.  Elle l’embrassa avec bonheur partageant le jeune sperme avec son amante. Avidement. Claire en était si heureuse ! Elles se séparèrent à la fin presque à regret. La danoise marmonna.

- Zépharin voudrais-tu connaître la douceur des lèvres d’une femme ?

- Oh oui Madame !

Elke l’embrassa. Il fut surpris quand il sentit le goût du sperme. Il essaya de recracher mais déjà la danoise lui maintenait fermement la bouche fermée. Il lutta avant finalement de tout avaler.

- C’est bien mon gaminou. Il faudra que tu apprennes à avaler en bon petit soumis toutes tes cochonneries. Alors tu reviens me voir mercredi ? Nous continuerons ton éducation sexuelle…

- Oui… oui… je viendrais vous voir mercredi, sans faute ! Mais laissez-moi partir maintenant….

Ses joues rougissaient. Elke pensa : il ment. Elle alla chercher la boîte à garçon pas sage. Dedans il y a avait quantité de pièces, anneaux et tubes. Elle mit quelque temps à trouver les bonnes dimensions, mais à la fin tout tenait parfaitement. Elle finit par verrouiller le tout avec un cadenas.  Clic-clac. Zépharin portait maintenant sa première cage de chasteté. Elle le libéra et lui enleva son bandeau. Il regarda affolé son entrejambe verrouillée.

- Mais… mais que m’avez-vous fait ?

- J’ai juste pris une garantie pour que tu reviennes mercredi. Je t'attends à dix heures précises. Tu enlèveras tous tes vêtements en arrivant comme un bon garçon obéissant : je te veux complètement nu dans mon domaine. Quelques conseils d’amie  mon chou, évite d’avoir des mauvaises pensées, cela fait mal dans la cage, fais pipi assis et surtout reviens me voir pour que je te l’enlève. Dix heures précises, rappelle-toi. Ne soit pas en retard ! Allez ouste, je t’ai trop vu ! Tu trouveras tes vêtements accrochés à la grille.

Elle lui donna une claque sur le cul pour le motiver. Il s’enfuit, dévala l’escalier et tomba nez à nez avec une Noémie intriguée par ce jeune satyre encagé surgissant tout nu. Il redoubla sa course…

- Quel soumis dans l’âme ce Zépharin. Un vrai amusement. Et tu sais quoi Claire ?

- Quoi ?

- Quand il arrivera à la grille… Joseph a remplacé tous ses vêtements masculins par une vieille tenue de sa nièce.  Aucun pantalon, juste une robe sans culotte. J’en mouille d’avance. C’est dommage que je ne puisse assister à cela.

- Tu crois qu’il reviendra te voir mercredi prochain ?

- Il sera bien obligé rien que pour espérer que je lui enlève la cage et que je lui prenne son pucelage !  Mais maintenant, passe dans le boudoir d’à côté, j’ai deux ou trois chose à t’expliquer sur le déroulement du marquage de ton chihuahua cette nuit. Depuis le temps que j’en organise, il y a un certain cérémonial qui s’est mis en place. Je t’y rejoins dans cinq minutes…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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