Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 23:00

CHAPITRE 27 - Diskussion blandt mænd og en kvinde monolog

L’odeur de la cire chaude emplissait complétement la pièce du sous-sol. Pierre, alias le chihuahua, était allongé complètement nu à part sa petite cage de sexe sur la banquette centrale à hauteur de travail. Il y était attaché par les chevilles et les poignets, et maintenu par une sangle au niveau de la taille. Il faisait chaud dans la pièce. Autour du corps, s’affairaient activement deux hommes : Joseph, qui s’était débarrassé de tous ses vêtements sous le tablier, à l’exclusion évidemment de son imposante ceinture de chasteté métallique et Thomas qui s’était seulement mis  torse nu sous le tablier gris. La forme qui se distinguait discrètement sous le jean au niveau de son entrejambe indiquait son statut. En fait deux hommes soumis et encagés qui s’occupaient d’un troisième lui aussi encagé…

- Allez serre les dents, j’enlève une nouvelle bande…

Joseph tira d’un coup sec sur la longue bande de cire au niveau de la poitrine du chihuahua entrainant avec elle quantité de poils qui s’arrachaient un à un au fur et à mesure que la cire se décollait. Le chihuahua grimaça de douleur les larmes aux yeux.

- Putain ! C’est fait trop mal ! Pourquoi vous me faîtes-cela ?

- Tu le sais bien. les Dames l’ont décidé et il faut toujours obéir à nos Maîtresses de femmes. C’est la première règle d’un homme soumis, quoi qu’il lui en coûte. Et tu viens de promettre à Maîtresse Claire que tu serais dorénavant un gentil petit soumis obéissant ? Non ?

- Oui mais aie, aii..iie. Tu fais chier ! Aie ! Arrête ! Aie ! Mais arrête donc ! Je ne veux pas ! 

- Mais tu n’as pas le choix, mon ami. Ta Maîtresse le souhaite. Alors garde ton souffle pour des choses qui font vraiment mal… Hier en particulier au vu des résultats tu as du particulièrement déguster.

Le torse du chihuahua était poilu. La bande résistait : Joseph dut prendre appui d’une main sur la poitrine pour finir par arracher, dans un cri, la fin de la cire. Le chihuahua en pleurait presque maintenant…

- Allez une de plus. On continue… L’heure avance vite. Thomas peux-tu t’occuper de l’entrejambe autour de la cage pendant que je finis le haut… non pas à la cire… à la pince uniquement… puisque l’on n’a pas la clé de la cage…

Thomas s’y attaqua immédiatement, faisant bouger la coque sur le sexe de part et d’autre pour vérifier la présence de poils ayant repoussé depuis que le chihuahua s’était rasé avant de mettre la cage. Le contact d’une main étrangère mâle, sur son intimité, fit sursauter violemment l’homme attaché, du moins du peu que lui permettait la sangle autour de sa taille. Non pas encore cela… pas ça…

- Lâche moi, s’il te plait Thomas ou….

Joseph lui répondit immédiatement par une gifle de mise en garde !

- Il se tait le chihuahua ! Quand on est si poilu, il n’y a pas de temps pour les jérémiades de soumis mal dressé…

Il se tût donc. Il sentait la pince œuvrer à enlever un à un les poils naissants et finalement c’était moins douloureux que la cire. L’accalmie permettait eu deux assistants de rattraper un peu leur retard. Bientôt Thomas s’attaqua à la peau des couilles. Il les manipulait avec précaution pour chasser le poil interdit. Cela faisait un étrange effet au chihuahua qui se traduisit bientôt - avec horreur ! - par une érection dans la cage. Non pas ça ! Mais Thomas l’avait déjà remarqué…

- Tu as vu Joseph, il bande dans sa petite cage, le chihuahua, dès que l’on s’occupe de ses petites choses !

Joseph s’interrompit pour venir constater de visu. Pierre, le chihuahua, en était devenu rouge de honte !

- T’inquiète pas, cela nous fait le même effet à tous. Les dispositifs de chasteté nous privent de tellement de sensations, que le moindre contact est mis à profit par le corps… et tu n’y peux rien ! En tout cas joli petit saucisson boudiné dans son emballage !

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Claire se ressourçait enfin avec plaisir dans la chaleur du sauna, complètement étendue et détendue sur la banquette de bois, les yeux fermés. Elle l’avait bien gagné celui-là ! Elle se sentait excellemment bien à l’abri dans sa bulle. La brûlante atmosphère affolait les sens, mouillait le minou et tendait le petit bouton. Sa main se laissa aller à une caresse intime. Oh que cette chaleur est excitante. Mais n’est-ce que cela petite Claire ? Que ça je te jure ! Le petit corps affriolant de la jeune Nikka n’y est pour rien ? Celui qui te faisait tant baver tout à l’heure… Oh tu fais chier ! Et Claire se sentit rougir légèrement tandis que, boudeuse, elle accentuait en réponse sa caresse d’un doigt dans le conduit humide et d’un autre titillant le clitoris dressé. Elle se laissait aller aux brumes de plaisir virevoltantes qui soulevaient avec légèreté l’ensemble de son corps fatigué vers des sommets si jouissifs. Claire criait maintenant sans retenue son plaisir, seule au monde. Elle se laissait, avec avidité, balayer par les déferlantes successives de volupté qui l’emportaient vers des contrées si magnifiques. Elle atteint finalement un fabuleux plaisir ultime qui se termina bouche ouverte et yeux hébété dans un long cri silencieux. Elle était anéantie ; elle était heureuse…

Claire s’accorda quelques instants de répit, encore suspendue entre ciel et terre, avant de se décider, presque à regret, d'aller se rafraichir les idées - et autres choses - dans l’eau froide de l’étang. Elle se laissa d’abord doucement flotter sur la surface moirée et si lisse en l’absence de tout vent ce matin. Puis alors que le froid la gagnait peu à peu, elle s’encouragea à faire quelques brasses dans l’eau revigorante. Elle adorait sentir l’eau fraiche glisser le long des lèvres de sa chatte. Trop sans doute, car loin de refroidir ses ardeurs, la nage dans l’étang la maintenait dans une douce excitation.

- Tu es vraiment une petite fille en chaleur incorrigible, Claire.!

Elle venait de prononcer ces mots tout haut, rien que pour elle. Après-tout pourquoi se priver ? Claire revint à l’échelle du ponton, sortit de l’eau et replongea toute mouillée dans la chaleur du sauna.

- Allez ma fille, il est plus que temps d’organiser ta vie avec ton mari soumis à la maison !

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Au cœur du sous-sol de la bâtisse, le chihuahua avait été basculé sur le ventre, toujours entravé. Les deux épilateurs s’occupaient ensemble du sillon fessier. Thomas maintenait les fesses indécemment écartées tandis que Joseph arrachait un à un les poils, avant du bout du doigt venir contrôler la douceur de la peau. Le doigt inspectait actuellement attentivement les replis de la couronne de l’anus. S’ils avaient pu voir la tête du chihuahua, ils auraient constaté qu’elle était devenue pivoine tant il est sensible et humiliant d’être touché là et en plus par un autre homme, qui la veille même a fait, de vous, sa chose.  Cela ramena le chihuahua au viol pénétrant subit, à la honte trouble qu’il avait vécu quand le gland dur l’avait forcé. Il décida de demander ce qu’il avait ressassé toute sa nuit blanche attaché à son banc de fouettée…

- Comment… comment pouvais-tu savoir hier quand tu m’as so… sodomisé ?

Joseph s’interrompit.

- Savoir quoi ?

- Que j’avais déjà eu une… une expérience…humiliante… avec un… garçon…

Joseph le regarda interloqué un instant avant de finir par éclater de rire.

- Parce que tu es un peu PD toi ? Tu entends cela, Thomas. Le chihuahua a apprécié que la grosse queue de Joseph vienne lui fracturer le cul ! Inattendu ! Et tu ne l’avais jamais dit à Claire ?... Oui tu ne l’avais jamais dit, je le sais… je comprends mieux pourquoi ton cul a fini en charpie hier soir !

Puis plus sérieux.

- Je ne pense pas qu’Elke le savait quand elle m’a ordonné de te violer hier. Mais je lui ferai part de tes… goûts et préférences. Je suis sûr qu’elle saura en tirer profit… En fait cela me rappelle cet autre soumis… qu’elle a finalement mis à l’abattage pour lui rendre les choses moins acceptables. Elle devrait faire de même de toi à mon avis…

- L’ab… battage, c’est… quoi ?

- Des kilomètres de grosses queues qui vont défiler dans ton cul, jusqu’à tu en sois dégoûté !

- Mais je… je ne veux pas. Je n’avais jamais été pris de… cette façon par… un homme et cela fait si mal…

- Ah finalement tu es un PD refoulé dont j’aurais été le premier à prendre la virginité anale, en live, pas avec un gode ceinture. Mais je vais te décevoir, moi je ne suis pas du tout homo, moi. Tu n’as été qu’une occasion de me vider les burnes et c’est suffisamment rare pour que je ne fasse pas la fine bouche. Alors tu aurais pu être une poupée gonflable, une chèvre ou un morceau de viande, j’en avais rien à foutre ou plutôt si  tant je pouvais fourrer et prendre un plaisir naturel si rare ! Et en plus crois-moi, hier j’ai payé au comptant la jouissance prise et je me retrouve contraint au Punisher pour un mois. Tu entends un mois complet, à avoir atrocement mal dès que mon machin s’éveille et à quémander le simple droit de vider mes intestins.

- Pourquoi l’as-tu fait si cela devait finir si mal ?

- Parce que Maîtresse Elke me l’a demandé. Cela fait partie de ton dressage… De toute façon, ej le faisais ou je ne le faisais pas, je me serais retrouvé puni de la même manière pour une chose ou l’autre. Maîtresse est de nature punisseuse actuellement. Alors quitte à être puni, j’ai préféré de loin partir dans ton petit cul, ça au moins Elle ne pouvait pas me le retirer.

- Tu as dit que cela faisait partie de mon dressage ?

- Oui, c’est la façon à Maîtresse Elke de commencer à vous dresser… tous les deux… toi et Claire. Sauf que toi tu auras au final un statut inférieur à ta Maîtresse. Cela commence toujours de la même manière. Elke se débrouille pour que la femme se fasse baiser avec volupté par un vrai homme bien membré pour la détacher un peu de toi et qu’elle devienne moins préoccupée de ton sort.  Tu as entendu comme moi comment ta Claire prenait son pied hier, sans toi et ton ridicule zizi, en se faisant enculer. Comment elle a aimé se faire trousser par le premier venu et comment elle s’est rendue à sa queue puissante qui lui trouait le cul. Comment elle a joui ses lèvres collés contre celles de ma Maîtresse qui l’avait draguée ouvertement tout la journée. Sa langue dansant avec avidité avec celle de son amante du jour. Non ça tu ne l’as pas entendu, mais crois mois, c’est ce qui se passait alors. C’est ce qui passe toujours. Pendant ce temps je m’occupais à t’avilir de-profundis pour détruire ta dignité aux yeux de ta Maîtresse. C’est le mécanisme implacable qui va te transformer peu à peu en bon toutou soumis ! Thomas peut-en parler…

- Et oui moi aussi ! Joseph m’a aussi violé au tout début comme toi dans le cachot. Cela faisait partie de ma capitulation vers la soumission. Mais contrairement à toi, peut-être, je n’ai jamais aimé l’amour entre mâles. Tout comme ma Maîtresse Sophie déteste faire l’amour avec  une autre femme. Je crois qu’elle a beaucoup plus résisté que ta Claire aux avances lesbiennes d‘ Elke. Et pourtant pas le choix, on s’y plie tous les deux : cela fait partie du Domaine. Lors de mon dernier séjour seul cet été, elle avait invité un Maître black de ses connaissances. Maître Iba. J’étais comment dire de la chair fraîche pour lui… J’ai passé la semaine le cou attaché par une chaîne de moins d’un mètre à sa ceinture. Impossible de s’éloigner ou d’avoir un semblant d’intimité. Je devais le suivre partout : au lit, sous la douche et même aux toilettes. Maître Iba me prenait le cul violemment plusieurs fois par jour, partout, dans la chambre, à la piscine, sur la table du repas. Sans gêne. Devant n’importe qui. Le reste du temps, il me faisait garder son sexe au chaud dans ma bouche. J’ai essayé d’abord de résister mais ses raclées étaient terribles. Alors j’ai fait ce qu’il voulait de moi : une tapette, un vide couille ! Et je garde encore aujourd’hui le souvenir du goût amer de son sperme épais jaillissant au fond de ma gorge. Voilà ce qui pourrait t’arriver ici. Voilà ce qui t’arrivera ici.

- Mais ce Domaine est un enfer…

- Détrompe-toi.  Si, sur le moment, j’ai été jusqu’à détester l’odeur corporelle forte de Maître Iba et que j’en suis revenu le trou du cul en choux fleur, j’ai au final adoré être traité ainsi comme une lope et j’en garde après-coup un excitant souvenir. Je suis même reconnaissant à Maîtresse Elke de m’avoir offert en pâture à Maître Iba. 

- Je ne comprends pas. La domination de ta femme ne te suffit pas ?

- J’adore ma femme et Maîtresse. J’aime qu’elle porte la culotte à la maison et de ne pas avoir à décider pour la famille. C’est si reposant et si tranquillisant. La vie me semble un doux fleuve tranquille sous sa direction. Je suis heureux ainsi. Mais sa domination sur moi, si elle est exigeante, est plus feutrée. Ses punitions sont psychologiques, rarement physiques, comme me supprimer un loisir pour un temps ou m’envoyer au coin. Elle déteste me fesser ou me fouetter. Ce n’est définitivement pas une Maîtresse impitoyable, juste une femme dont la conception personnelle de l’équilibre de la vie familiale la porte au sommet de la pyramide. J’adore être mené, doucement mais fermement, par son autorité dans une routine si apaisante. Mais elle n’est pas sadique et ne le sera jamais. Elle refuse tout avilissement de l’homme qu’elle a décidé d’aimer pour toute sa vie. La D/S qu’elle a institué à la maison doit pour elle rester élégante.  Elle est, en ce sens, bien loin de Maîtresse Elke et de ses durs amis. Sans doute assez différente aussi de ta Claire. Alors, consciente de ses limites, elle a, quelque part, délégué les actions désagréables à Maîtresse Elke. Et ce dès qu’il a s’agit de me dresser initialement.  Maîtresse Elke n’a pas les scrupules d’une femme amoureuse, crois-moi. Quand tu tombes sous sa coupe, même temporairement, tu apprends vite qu’il vaut mieux lui obéir. Elle est inventive, perverse et déterminée. Elle agit comme un catalyseur qui accélère ta mise en soumission. Elle te dresse un temps avant de te rendre à ta Maîtresse.

- Tu regrettes ?

- Non, jamais. Je crois que c’est au final mieux de vivre en couple D/S. D’abord par rapport à nos couples d’amis vanilles, dont beaucoup ont fini par divorcer, chez nous il n’y pas de dispute et aucun enjeu de pouvoir. La place de chacun est claire. Et de toute façon toute mauvaise humeur de ma part est immédiatement traitée dans le cadre de la D/S. Le port permanent de la cage règle aussi le problème des besoins sexuels déséquilibrés.  Aucun risque que je regarde ailleurs ou que je refugie dans une auto-sexualité égoïste. Ma sexualité de toute façon ne peut physiquement pas se vivre en dehors de sa permission. Et là aussi je trouve cela très reposant pour un homme. Je l’aime comme au premier jour. Je suis très fier d’elle et de là où elle m’a emmené au bout de ces années. Et puis ce n’est un tyran, elle m’a permis de garder quelques-uns de mes loisirs d’avant, pour mon équilibre.

- Non, je voulais dire tu regrettes que ta propre Maîtresse ne soit pas aussi impitoyable que Maîtresse Elke ?

- Si elle était comme cela, je pense que nous n’aurions pas duré dans le temps.  Et puis Maîtresse Elke est volcanique. Cela ne me semble pas compatible avec une calme vie de famille avec des enfants, des parents et des amis. S’il y a des couples qui vivent comme cela, c’est au détriment de toute famille. Ils font une croix dessus pour vivre à fond leur engagement. Et je ne suis pas sûr que cela dure plus qu’une série d’années ainsi.

- Alors quand tu viens seul au domaine…

- Maîtresse Sophie appelle cela mes reprises de dressage. Je pense qu’elle y voit deux avantages. Le premier est que je rentre souvent plus soumis. Et le second, même si elle ne me l’a jamais dit, est, je pense, qu’elle m’offre un défouloir annuel de soumissions dures, ce qu’elle sait qu’elle ne me fera jamais. Ma femme fait le point avec Elke sur mon comportement avant mon arrivée.  J’attends toujours avec impatience ma semaine estivale même si je sais que je vais prendre beaucoup. Disons que cela fait partie de l’équilibre de notre couple D/S, ce qui nous fait durer.

- Et quand vous venez en week-end au domaine ?

- C’est plus cool. On essaye de venir deux ou trois fois par an, par amitié pour Elke pour ce qu’elle nous a permis et parce que cela nous permet de rencontrer des gens différents qui comprennent notre mode de vie. Maîtresse Elke essaye toujours de se libérer pour s’occuper de nous seul à seul, jamais les deux ensemble. Nous sommes arrivés un jour avant vous, et Maîtresse Elke m’a gardé avec elle après le premier diner. Elle m’a emmené en laisse à ses pieds faire une longue balade digestive au clair de lune dans le parc pour que je lui raconte mes pensées du moment avant qu’elle finisse par me ramener tard au pied de la maison où elle m’a enchainé pour la nuit dans la niche de son ancien chien.

- Non quand même pas dans la niche du chien !

- Et si ! avec Maîtresse Elke, il faut s’attendre à tout. Une fois elle m’a attaché pieds et mains avant de me pousser dans la piscine, retenu simplement par une corde enroulée autour du torse. Le droit de vie et de mort sur le soumis. Sans doute une des plus grandes peurs de ma vie ! Mais aussi une des plus grandes leçons de soumission que j’ai reçues !

- Tu as dit que Sophie n’aimait pas les femmes. Comment peut-elle supporter ?

- Là cela reste un mystère pour moi, après toutes ces années. Elke l’a demandé la nuit dernière, ce qui m’a valu de passer la nuit seul enfermé dans la cage de la chambre.  Sophie ne me parle jamais de ses rencontres avec Elke. Au fil des années, j’ai fini par me convaincre qu’elle vivait cela comme les pénitentes du dix-septième siècle en Espagne, que c’était sa façon à elle d’expier, par son corps, son caractère dominant. Sophie mène finalement une vie très frustre et je vois là la seule folie sensuelle qu’elle ne sait jamais autorisée. En tout cas, Elke semble apprécier sa compagnie ou ses services car elle la retient pour une nuit ou plus chaque fois que nous venons au Domaine !

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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