Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 22:00

CHAPITRE 26 - Tre kvinder

« Ouf ! ». 

Claire était fatiguée et vidée. Toute seule, sans soumis, sans jeune puceau à dépuceler et sans danoise diabolique. Elle avait besoin tant besoin de répit tant il lui semblait avoir vécu des expériences si prenantes en peu de temps. Trop ! C’était trop ! Elle finissait l’esprit vide et ankylosé, incapable d’aligner deux pensées de suite. Il fallait qu’elle réfléchisse à tout qu’elle avait entendu ou subi, mais là pas le courage. La séquence avec Elke dans le boudoir lui avait laissé comme un arrière-goût amer. Oui elle devinait que son autre moi avait désiré cette intimité avec la tentante Elke. Elle l’avait eu un peu, mais Claire n’arrivait pas à déterminer si elle devait en être contente ou pas. Elke empruntait toujours des chemins si extrêmes. Son face à face avec la chatte lui avait apporté un trouble bizarre. Etait-ce de l’envie ? Etait-ce de la déception ? Lui en voulait-elle de la noirceur qu’elle avait montrée ? Que les gens étaient compliqués finalement… même son Pierre. Et en plus la journée était loin d’être finie. Là pour l’instant, elle voulait ne rien entreprendre, juste se détendre, sans aucun excitation sexuelle supplémentaire. Elle avait le contrat en main, mais elle n’avait aucune envie de s’interroger : elle verrait bien plus tard. Oui, plus tard ! Elle avait maintenant envie d’un bon bain chaud pour se calmerr et reprendre des forces avant la suite de la journée. Mais pas baignoire dans leur logement … Ah oui le sauna !

Claire descendit vers l’étang, atteignant le sauna via la passerelle flottante, mais le carré réservé aux serviettes était vide ! Et merde ! La remontée vers leur chambre lui faisait peine. Elle se demanda si une douche pourrait faire l’affaire, mais se convainquit que décidemment non.  Elle avait froid. Et elle voulait avoir tellement chaud. Alors Claire se décida avec peine d’aller rechercher une serviette dans leur logement. Elle se mit en marche…

Le chemin lui paraissait défiler si lentement, sans fin, qu’elle le découpait en petits objectifs. Rejoindre cet arbre. Aller jusqu’à ce caillou. Surtout ne pas s’arrêter et continuer à traîner ses savates. Les jambes lourdes. L’esprit embrumé. Bigre que ce chemin semblait long. Et elle n’avait jamais remarqué qu’il montait autant. Pourquoi Elke ne leur avait pas attribué un autre logement plus proche ?

Comme par magie, un chien sortit des fourrées, un labrador au beau pelage.  Claire en fût étonnée car à sa connaissance il n’y avait pas de chiens au domaine. « A part les soumis, mais eux sont d’une autre espèce, bien moins dressée ». Elle sourit à sa pensée.  Le labrador se planta devant elle en remuant sa queue, sans être menaçant. Il attendait quelque chose… Une caresse peut-être ? Elle tendit la main et commença à lui caresser la tête. L’animal appréciait. Elle continua en le gratouillant sous le museau. Le chien manifestement y prenait un plaisir basique. Quand elle s’arrêtait, il lui donnait des petits coups de tête pour venir quémander une nouvelle caresse. Cette apparition surprenante avait  pour effet  d’apaiser son cœur serré. Claire se laissait aller à prodiguer les caresses…

- oh, tu es simple dans tes envies ! On sait ce que tu veux, toi !

Elle continuait ses caresses qui maintenant se prolongeaient sur le dos et les flancs. Le labrador appréciait mais moins bien que quand elle s’occupait de son cou. Elle se sentait maintenant plus détendue grâce au chien. Soudain, le chien se dégagea et se mit à humer l’air. Claire étonnée ne comprenait pas ce qui le faisait agir ainsi. Le labrador était maintenant figé, à l’affut de quelque chose. Et d’un coup il détala et s’enfonça dans le bois à droite du chemin.

- Attends !

Claire le suivit pour voir, toute curieuse, ce qu’il avait senti. Bientôt elle le perdit de vue. Elle avança quelques pas encore sous les arbres, mais rien à faire : elle ne le distinguait nulle part. Elle se sentit idiote de se trouver là marchant avec difficulté sur la tapis de feuilles mortes – encore une conséquence de sa maudite curiosité insatiable - et décida qu’il est temps de revenir sur le chemin… Des bruits précipités… Des aboiements au loin qui se rapprochaient … Claire se figea inquiète. A temps pour voir débouler un chevreuil poursuivi des aboiements du labrador. Il était passé à moins de trois mètres de sa position. Le temps d’un battement de cœur, Le temps d’avoir primitivement peur de cette bête surgissant du néant. Et bientôt il disparut aussi rapidement qu’il était apparu, laissant le cœur de Claire en chamade. Il était plus que temps de revenir sur le chemin si rassurant…

Claire y revenait aussi vite qu’elle pouvait, inquiète,  les oreilles aux aguets…  De nouveaux bruits… Elle s’arrêta brusquement … Non des voix…. Venant du chemin !

- Mais qu’est-ce que tu as, petite conne, aujourd’hui ? Tu  es grognonne depuis ce matin ! Pourtant ce n’est pas la période de tes ragnagnas… c’était la semaine dernière…

De là où Claire se tenait, elles ne pouvaient pas voir qui c’était. Elle s’avança un peu et elle vit alors Noémie qui trainait à suite sa soumise. Il était clair que Nikka y mettait de la mauvaise volonté car la laisse était tendue entre son cou et la main de la Maîtresse qui finit par s’arrêter au bout de quelques pas manifestement agacée. Claire s’arrêta aussi hors de leur vue.

- Merde, mais qu’est-ce que tu as aujourd’hui ? Dis-le ou je te punis sur le champ !

Nikka murmura très bas quelques mots que Claire n’arriva pas à saisir, mais qui firent visuellement réagir fortement Noémie.

- Ah la petite mademoiselle a la chatouille qui la gratouille et elle rêve que sa Maîtresse s’en occupe…

Claire entendit Noémie soupirer.

- Ah les petites chiennes en chaleur et leurs envies…  Après tout… pourquoi pas ! Si cela peut te faire te tenir calme un moment…

Suite sans doute inattendue pour Nikka qui releva alors son regard plein d’espoir. Claire se sentait gênée de surprendre leur intimité. Noémie sourit à sa soumise avant de faire tomber sa décision.

- C’est à quoi nous nous occuperons après t’avoir apprise comment il n’est pas bien d’agacer ainsi sa Maîtresse. Allez trouve-nous une branche bien flexible que je puisse me détendre avant de te baiser !

Après que sa Maîtresse lui ait détaché sa laisse, Claire vit Nikka commencer à chercher dans le sous-bois, vers sa position. Cela devenait  intéressant… Claire s’accroupit silencieusement derrière un buisson à une quinzaine de mètres de la soumise en quête Toujours cette même curiosité qui lui avait déjà tant coûtée. Nikka allait d’un arbre à l’autre pendant ce temps, perdue...

- … petite gourde… j’oublie parfois que tu une fille de la ville… va couper une tige du noisetier là-bas…tu ne sais pas reconnaitre un noisetier… bon l’arbre à ta droite… non pas celui-là… l’autre à côté petite idiote… 

Claire regarda Nikka s’approcher de l’arbuste désigné et s’échiner pour en détacher une des fines branches. Après beaucoup d’efforts, elle réussit à en couper une et s’apprêtait à retourner vers sa Maîtresse la tige à la main.

- Non ! Avec les dents, en petite chienne bien soumise. Pourquoi dois-je toujours te le rappeler ?

Il semblait à Claire que Nikka avait légèrement rougie face à la remarque, mais elle se remit à terre immédiatement et saisit la branche avec sa bouche dans un dégout visible. Elle trottina vers sa Maîtresse.

- Bonne fifille. Assise maintenant, Nikka !

La soumise posa ses genoux à terre en gardant les mains au sol. Claire remarqua que la position des cuisses légèrement écartées laissait apercevoir indécemment les lèvres d’un abricot superbe et si appétissant. « Merde qu’est-ce qui t’arrive, Claire ? Tu ne vas maintenant mouiller pour chaque femme que tu vois ? » Et pourtant si, lui répondait son corps gagné par l’étrange tension qui précédait l’excitation entre les jambes. Pendant ce temps, Noémie faisait siffler dans l’air la baguette de noisetier pour en tester la souplesse. Visiblement satisfaite, elle ordonna à sa soumise de se mettre en place sur un rocher affleurant à quelque distance. Claire ne pouvait pas nier qu’elle commençait à mouiller maintenant à la perspective d’assister à la punition. Elle fut surprise de la position que prit Nikka sur la pierre : sur le dos, ses mains ayant saisi ses genoux pour écarter dans une position indécente ses cuisses. Elle la voyait de profil ; aussi elle fut frustrée de ne pas mieux voir ce que renfermait l’entrejambe. Elle imaginait un sexe juvénile aux formes douces et glabres. Mais la position prise n’était pas très pratique, pensa-t-elle, pour fouetter un soumis avant de se raviser et sans doute de rougir jusqu’aux oreilles de sa naïveté. C’était une soumise femelle et non mâle ! Noémie n’allait quand même pas la fouetter là… c’était si fragile… comment pouvait-on supporter des coups à cet endroit ? Et pourtant pas de doute c’est bien ce qui allait se passer ! Sous ses yeux ! Fascinant…

- Alors, Nikka, combien de coups mérites-tu pour ta mauvaise humeur ?

Classique question piège, se-dit Claire.

- S.. six, Madame ?

Et voilà, elle va se faire avoir. Il ne fallait surtout pas donner une réponse chiffrée. Erreur de jeunesse, sans doute… ou’l’apport d’un beau dressage.

- Tu en auras donc le double plus deux de plus chaque fois que je te surprendrai à refermer tes cuisses…

Comme je l’avais dit… Claire regardait Noémie se régler par rapport à sa cible, quelques allers et retours de test, épargnant encore la fille, tout en commençant à faire monter l’appréhension de la suite à venir. Claire ne pourrait pas voir les réactions sur les fragiles muqueuses cachées de là où elle se trouvait par la faute de la cuisse relevée.  Elle en fût déçue. Comment pouvait-on infliger cela à une femme que l’on aime ? Noémie n’a pas imaginé cette perversion toute seule, il doit y avoir Elke derrière. Alors toutes les femmes soumises à Elke, y pass… Claire préféra ne pas terminer sa pensée qui commençait à lui déplaire un peu… La punition avait commencé : la tige de noisetier arrivait  cette fois au contact des fragiles chairs. En connaisseuse, Claire constata que Noémie maîtrisait la force des coups pour ne pas trop abîmer les muqueuses. Sans doute pour ne pas mettre en péril aussi la suite. Parfaitement bien dosé même car Claire voyait quand même  Nikka essayer de garder la maîtrise de son corps en serrant les dents pour se présenter face au coup suivant. Noémie les donnait lentement, le temps de laisser redouter chacun. C’est ce qu’elle aurait fait aussi si elle avait été à la place de la fouetteuse. Nikka était sans nul doute plus courageuse que son chihuahua car elle tint jusqu’au sixième coup avant de ne plus arriver à garder les cuisses ouvertes. Claire de demanda si ce dernier coup qui semblait plus violent, n’avait pas été donné à dessin pour obtenir cette réaction… Mais le résultat fut là. Nikka venait de gagner deux coups supplémentaires.  A partir de là, la fouettée devint plus difficile pour la soumise, ne parvenant pas toujours à garder les cuisses ouvertes et accumulant en conséquence les coups de pénalités. Nikka arrivait de moins en moins à se contrôler.  La punition se termina enfin. Claire avait compté treize coups au final. Dommage qu’elle n’ait pas son chihuahua sous la main, elle se serait elle-aussi bien « détendue » avec lui.  La punie remercia, avec la difficulté de la soumise qui venait d’être efficacement punie, sa Maîtresse.

- Mer…ci… Ma..dame...

- C’était plaisant… et cela m’a suffisamment détendu pour que je m’amuse avec toi, maintenant. Allez mets-toi en position le temps que je m’équipe.

- Vous… vous n’allez pas utiliser les doigts, Madame ?

- Et pourquoi pas ma langue tant que tu y es. J’ai dit que j’allais te baiser, pas te donner du plaisir… Il manquerait plus que cela…

Claire vit alors Noémie sortir du sac qu’elle portait, un gode-ceinture violet quasiment le même modèle qu’elle avait découvert ce matin dans le boudoir. Elle ne doutait pas une seule seconde qu’il devait s’y trouver là dans le sac en permanence pour parer à toutes éventualités. Humm cela serait amusant d’imposer cela aussi à son chihuahua. « Tu n’es pas sage ? Allez hop sous une porte-cochère que je t’apprenne un peu le respect par le fondement ». A penser à cette charmante scène, elle en mouilla davantage. Mais elle l’oublia vite pour se concentrer sur l’action à venir. Elle n’avait jamais vu de visu des femmes faire l’amour entre elles. Et c’était le moment de satisfaire sa curiosité à ce sujet. Comment faisaient-elles ? Etait-ce si différent ? Nikka avait nonchalamment étendu ses jambes et bras en offrande sur le rocher. Claire reconnaissait qu’elle était à croquer ainsi. Mais elle fut sans doute aussi déçue que Nikka quand Noémie décida que sa soumise n’avait pas été assez sage pour mériter cela et qu’elle la positionna pour une classique prise en levrette. Même avec les limitations de son soumis mâle, elle arrivait toujours à trouver une position plus excitante ! Quand il fut confirmé que Nikka serait prise ainsi, Claire décida boudeuse qu’elle n’en verrait pas plus et se décida à partir.

Et là la catastrophe ! Pour se relever, Claire posa son pied sur une veille branche qui se cassa en un bruit de craquement d’enfer. Noémie tourna immédiatement la tête sur le côté, tout en gardant le gode enfilé dans sa soumise. Et ce qu’elle vit était une Claire prise sur le fait, rouge de honte, à moitié effondrée sur le tapis de feuilles mortes. Et pourtant elle ne lui fit aucun reproche.

- Eh… Claire. Cela va ? Tu ne t’es pas fait mal ?

Claire très mal à l’aise répondit que non, tout en se relevant prestement, pressée de s’enfuir. Encore une conséquence de sa maudite curiosité ! Le corps de Nikka, qui venait de saisir l’incongruité de la situation, se tortilla pour s’échapper elle-aussi à sa manière à la vue de l’intruse, mais, dès qu’elle le remarqua, une claque sur les fesses de sa Maîtresse mit immédiatement fin à ce début de révolte.

- Toi pas bouger ! Attends Claire, reste, s’il te plait ! J’ai besoin de toi… pour dresser Nikka… Elle a du mal à se laisser baiser partout et devant tout public.  Soit disant qu’elle ne s’aime pas quand elle crie sous la jouissance. Son dressage a besoin d’être amélioré sur ce point.

Claire avait commencé à s’éloigner.

- Non, Claire, reste, s’il te plait !

Claire qui avait été prise sur le fait  se dit qu’après-tout elle le devait bien à Noémie puisqu’elle les avait espionnées à leur insu. Encore un reste qu’elle maudissait de la morale judéo-chrétienne que sa mère lui avait inculquée. Alors elle s’arrêta et s’approcha à son âme défendante du couple de lesbiennes. Noémie lui demanda de se placer sur le rocher au-dessus de la tête de Nikka, pour bien lui « foutre la honte qu’elle commencera à gazouiller sous son plaisir montant ». 

Une fois Claire confortablement installé sur le rocher, Noémie reprit ses coups de boutoir dans la chatte donnés au gode. Chaque assaut se transmettait dans une vibration à l’ensemble du corps. Nikka baissait la tête en serrant les dents pour étouffer ces déjà gémissements. Cela rappelait bizarrement à Claire un autre assaut donné, la veille, par la puissante queue de Lucas. Elle aussi avait d’abord baissé pavillon. La femme subissant la loi du mâle ou plutôt de sa Maîtresse ici. Etait-ce de ces pratiques qu’Elke faisait subir à ses soumises ? Qu’importe, tout cela commençait à l’amuser... Elle voulait à son tour contempler la déchéance d’une autre les yeux dans les yeux. Elle lui saisit les cheveux pour la forcer à la regarder. Mais Nikka garda les yeux fermés. Cela agaça Maîtresse Claire qui de mécontentement la souffleta sèchement. Nikka ouvrit les yeux plus par surprise que par obéissance, mais elle lut immédiatement dans le regard exigent de Claire qu’elle n’avait pas intérêt à oser les refermer. Elle en oublia en même temps de se retenir, et bientôt ses cris déferlèrent dans la forêt, surprenant au loin un groupe d’oiseaux qui s’envola en urgence. Noémie savait décidemment bien y faire pour faire geindre sa soumise.  Le plaisir montait chez la soumise indéniablement. Et Claire admira la machiavelité de Maîtresse Noémie qui interdit à sa soumise de partir en orgasme. Evidemment c’était une cause perdue. Le doux visage de Nikka se tordait déjà sous les vagues de plaisir. Claire en fut presque jalouse. Etait-ce si différent de faire l’amour entre femmes ? Elle enviait cette fille qui prenait son pied avec une autre femme, là devant ses yeux et en était intérieurement troublée. La fin semblait si proche maintenant. Bien sûr Nikka n’éviterait pas l’orgasme interdit. Cette jeune femme en jouissance faisait envie à Claire. Elle aussi voulait inexorablement partager sa jouissance, comme Elke l’avait fait hier. Claire se déplaça pour pouvoir lui saisir les lèvres alors que la vague de l’orgasme déferlait. Mais une chose inouïe se passa : Nikka refusa le baisé et tourna la tête pour vivre seule – en égoïste – sa jouissance !

Les trois femmes reprenaient leur souffle. Claire était fâchée par la dérobade finale de la soumise. Elle lui en voulait même, Alors quand Noémie releva que Nikka s’était laissée aller à un orgasme pourtant interdit, Claire pris immédiatement la parole :

- Tu n’as qu’à la prendre par le cul maintenant ta jouvencelle, pour voir si elle continue à gazouiller !

- Excellente idée, Claire. Elle déteste cela !

Nikka lui jeta un regard de reproche: Claire avait tapé juste. Déjà le gode encore luisant de mouille se présentait impérieux contre la rondelle crispée.

- Non s’il vous plait Madame, il n’y a pas de gel…

Claire répondit à la place de sa Maîtresse.

- Eh alors de quoi te plains-tu ? Mon soumis se fait bien fourrer à sec, et pas plus tard que hier ! Toi, petite gouine, tu as tellement déjà mouillé dessus, que le gode devrait rentrer contre une lettre à la poste dans le conduit. Arrête tes jérémiades et laisse-toi prendre comme une chienne soumise par ta Maîtresse !

Noémie, ravie de la réplique, lui lança un large sourire complice auquel Claire répondit. Nikka, quant à elle, lui lançait des regards noirs, qui loin de faire peur à Maîtresse Claire, relancèrent son excitation dans le bas ventre. Déjà Maîtresse Noémie poussait pour le perforer le cul. Avec grandes difficultés, car l’orifice ne voulait pas s’ouvrir. Et même des volées de claques sur les fesses n’eurent pas raison de la résistance du trou de la soumise. Noémie lutta un temps, mais fut finalement se résoudre à abandonner…

- Quand je te dis qu’elle est mal dressée ! Elle ne perd rien à attendre… d’ailleurs je te laisse le choix de la punition…

L’idée plut immédiatement à Claire. Deux images lui revinrent à ce moment en tête. Celle de Lucas en train de lui perforer violemment son cul et celle de Nikka vomissant au lieu de sucer son Pierre. Alors elle annonça la sentence…

- Je crois qu’il ne faut pas rester sur un échec… Sans doute, Noémie, étais-tu trop fatiguée après l’assaut du devant. Donc je te propose de réessayer au déjeuner, avec du gel cette fois, rassure-toi petite Nikka. Mais je crois que la porte est tellement serrée qu’il faudra employer les grands moyens pour la défoncer. Un beau bélier d’homme, puissant et sans appel, qui lui devrait savoir anéantir les défenses de cette petite effrontée ! Bien sûr il faudra sans doute bien l’attacher avant cette petite pimbêche…

Noémie rigola à l’évocation de cette punition. Nikka non. Elle avait même la tête boudeuse. Claire la fixait intensément dans les yeux. La soumise finit par les baisser : la petite lesbienne effrontée était bien matée cette fois !

bldolmen 

Précédent Début Suivant
Par dyonisos - Publié dans : Fiction
Ecrire un commentaire - Voir les 12 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés