Fiction

Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 20:14

CHAPITRE 32 - Tre røve i sol

Le repas terminé, le soleil chauffait le jardin et les esprits. Sophie avait dû se déshabiller, la honte aux joues, devant l’assemblée réunie, Maîtresses et soumis, comme une gamine prise en faute. Maîtresse Elke n’aurait laissé à personne d’autre le soin de l’attacher par la taille et les mains au banc de jardin malgré les protestations de la future punie. Noémie installa sa Nikka à côté qu’elle ficela aussi serrée. Au final, deux culs chauffaient serrés et inquiets au soleil en attendant d’être transpercés d’ici peu de temps, quand Elke réapparut avec le gode du « bon » calibre promis. La danoise se pencha sur une Sophie empêchée et décrocha la chaine autour du cou pour récupérer la clé de la cage de Thomas. Elle le libéra en jetant au loin les pièces de la cage. Le zizi sortait du tombeau et s’éveillait de son long sommeil. Le fluide vital l’irriguait de nouveau après tant de sécheresse. Les chairs se gonflaient et laissaient apparaître, au grand jour, ce que Claire catégorisa comme un très beau sexe circoncis à la pointe polie.

Déjà luisait dans les yeux de  l’ancien encagé, l’avidité à mettre fin à ses cinq mois de disette sexuelle. Il n’avait rien contre sa consœur de soumission Nikka, mais il allait lui en mettre plein le cul pour son seul plaisir. Son tomahawk était déjà en alerte, tendu et vibrant, attendant l’autorisation d’Elke, comme toujours en ce Domaine, pour percuter sa cible.

Mais cela serait retardé un peu. Noémie intervint pour signaler qu’il y avait le chihuahua qui y échappait.

- Elle a raison, c’est pas normal que tu restes planqué… Allez ouste donne ton cul à Maîtresse Noémie ! Immédiatement !

Claire venait de condamner son chihuahua qui leva les yeux de surprise, puis les rabaissa après avoir compris qu’il venait d’être sacrifié à l’autel des déesses. Mais il se déplaça pour mettre son cul en place au bout du banc, à côté des deux autres. Noémie l’empêcha.

- Stop ! Au pied le chihuahua ! Toi c‘est pas pareil. Tourne toi que je te ficelle les mains dans le dos…

Etonné, il se laissa faire. Une cordelette serrée lui immobilisa les mains dans son dos. Maîtresse Noémie pris une chaise et l’installa derrière Elke et Thomas, en vue directe des culs en attente. « Aux premières loges ! Toi, le chihuahua, tu te mets devant moi et tu attends que je sois prête… ».  Noémie sortit un gode de son sac qu’elle boucla sur le bas de sa cuisse.

- Et oui, tu n’es pas si con… Et tu as très bien compris que c’est toi qui va venir t’enculer tout seul sur le gode… comme une pute en manque. Nous les lesbiennes, on aime bien prendre nos copines ainsi. Mais cela peut aussi bien marcher avec un homme, bien que chez vous le choix d’orifice soit plus limité.

Elle avait insisté sur le mot pute. Le chihuahua avait la mine défaite et l’appréhension dans le regard.

- Et pas perds pas ton temps à demander du lubrifiant ! Ta Maîtresse m’a dit que tu te faisais enculer à sec maintenant…Tourne toi vers moi et mets-toi en position au-dessus de mon pal… Ton cul vers moi…

- Bon c’est fini… nous on a deux culs lubrifiés eux, qui commencent à s’impatienter.

Elke s’impatientait elle aussi. Maîtresse Noémie passa la main entre les jambes du chihuahua et le prit par les couilles sous la cage pour finir de le positionner à la verticale du gode dressé.

- Non, j’ai la situation bien en main. Ne vous gênez surtout pas ! Mesdames les Anglaises, tirez les premières !

Thomas ne se le fit pas dire deux fois. Il s’ajusta et dans le même mouvement perfora sans précaution la petite lesbienne jusqu’à la garde dans un hurlement accompagné d’un long cri de détresse qui alerta les oiseaux dans les arbres qui s’envolèrent au loin. La détresse de Nikka se transforma bientôt en protestations puis en supplications. Mais Thomas n’y fit aucune attention, tout à sa volupté naissante alors qu’il commençait à coulisser en cadence dans le cul étroit. Point de salut et point de négociation possible cette fois pour la soumise, jadis ce matin si réticente à donner son petit trou. Elle était prise et bien enculée, sans pouvoir se révolter et l’empêcher.

D’une manière inhabituelle au Domaine, les Maîtresses avaient laissé la prédominance à un soumis.

- Allez à toi, petite effrontée. On va voir si tu prends le gode aussi bien que Nikka prend le phallus.

Maîtresse Elke prit son temps pour punir « sa » soumise, avec il est vrai un gode hors nature, en prenant possession centimètre par centimètre du corps à vif. Sophie serrait les dents sans parvenir à étouffer les plaintes de douleur et les pleurs d’humiliation. Jamais elle ne s’était sentie si rabaissée aux yeux du monde, et «  putain qu’est-ce que le gode faisait mal ! ».

Le chihuahua se retrouva bon dernier à se trouver oblitéré du cul. Et si l’assemblée l’entendit lui aussi bruitament hurler, ce n’est parce que le gode le possédait mais parce que Maîtresse Noémie lui broyait les couilles en les tirant pour le forcer à s’empaler sur le gode qu’il refusait de prendre. «  Ton cul ou tes couilles, il est temps de choisir ton destin chihuahua… ». Et ce fut les deux car d’un dernier tiraillement vicieux sur les orphelines meurtries, Maîtresse Noémie obtint que son soumis d’un jour descendit enfin sur le gode, dans une longue plainte de détresse bestiale.

- Tu vois quand on te motive un peu… allez au travail petit bonhomme. On joue au manège. On monte et on descend en cadence…

Le chihuahua eut quelques difficultés au début accompagnée de grimaces, que la pression sur les couilles eut virent vite fait de lui faire dépasser. Peu à peu les chairs se détendaient, rendant le mouvement de va et viens plus facile. Trop peut-être… A sa grande honte, son sexe encagé se mit à baver sur la main de la Maîtresse. Noémie lui fit remarquer comment il était « un bon petit PD qui coule dès que l’on s’occupe de son petit trou d’amour ». Il en était tout rouge d’effort et d’humiliation.

Toutes inconsciemment se synchronisaient sur le rythme lent de Thomas qui avait décidé de profiter jusqu’au bout de sa bonne aubaine. Nikka se prenaient des séries de profonds coups de rein dans le cul qui la dévastaient. Elke,  pleine de reproches, travaillait avec sadisme le cul de sa soumise, enculage et déculage, et ainsi de suite. Nikka guidait par les couilles du chihuahua, les montées et descentes sur le gode.

Thomas se retint longtemps. Il beuglait son plaisir comme il n’avait jamais osé le faire avec sa Maîtresse. D’ailleurs, il avait une vue sur le cul de Sophie qui s’en prenait, disons, plein le cul et haletait sous les assauts du gros gode vicieux de la danoise. Alors que la pression montait, il donna des tapes possessives de mâles sur les fesses de Nikka, tout en accélérant encore  les percussions, maintenant avide de se répandre enfin après tant de rétention dans le mielleux du conduit.

Le mâle qui jouit d’une femelle ressemble à un grand cerf guidé par ses bas instincts, bramant à tout vent sa jouissance. Thomas ne manqua pas de s’inscrire dans cette règle millénaire, sous les sourires moqueurs des Maîtresses présentes. Il se finit dans un dernier coup de rein arqué sur le corps de sa femelle dans un long brame. Nikka ne put s’empêcher d’être surprise par sa toute première giclée de mâle qui partit loin au fond de ses entrailles. Elle se mit à pleurer doucement d’émotion plus que de déchéance pendant que son enculeur se retirait…

Maîtresse Noémie ordonna au chihuahua de se déficher le cul du gode et le rendit à sa vraie Maîtresse. Thomas restait interdit devant le cul qu’il venait de souiller, ne sachant pas que faire maintenant qu’il reprenait ses esprits. C’est alors que l’assemblée constata qu’Elke n’avait pas cessé, elle, de besogner sa soumise. Elle demanda alors à Thomas de passer derrière le banc pour « se nettoyer la bite dans la bouche de sa femme ». Il y eut comme une hésitation qu’interrompit Elke d’un coup de plug plus profond et marqué, montrant son impatience. Sophie finit par emboucher l’engin sorti du cul d’une autre qu’elle nettoya avec dégout.

- Fais-voir si c’est tout propre ?

La danoise avait interrompu le mouvement du gode en fond de cul. Elle se pencha sur le dos de la soumise pour mieux voir l’état de propreté, arrachant au passage un cri alors que l’engin distendait les muqueuses.

- Humm. Pas mal… Bon Thomas je te propose de nous partager ta Sophie maintenant. Toi dans sa bouche et moi dans son cul. Une double pénétration rend une femme tout de suis plus modeste et moins rebelle. 

- Je ne sais pas si… Maîtresse Elke.

- Mais t’es con comme mâle toi. Je t’offre de partir dans la bouche de ta femme qui te contraint depuis des mois et tu fais la fine bouche, si j’ose dire.

- Mais…

- Ah oui. Le après ! Bien faut savoir prendre des risques dans la vie mon petit homme. Et quoi que tu payes ensuite, elle ne t’enlèvera pas que ce tu lui auras pris aujourd’hui sa bouche. Allez, un peu de courage.

Dans le Domaine de Maîtresse Elke, rien n’était jamais gratuit. Et chaque plaisir pris par un soumis se payait à un moment ou à un autre. Thomas croisa le regard de sa Maîtresse, flamboyant de menace. De toute façon, ses crimes étaient déjà établis et la liste était déjà longue. Anéantissement de mois de chasteté. Humiliation publique de sa Maîtresse. Il était aussi quelque part à l’origine de sa punition. Il savait déjà qu’il allait durement et longuement l’expier. Alors rajouter la prise de sa bouche en plus ? Oui pourquoi pas après tout… Thomas se concentra sur les lèvres de sa Maîtresse de femme. Son vit renaissait devant les pupilles de Sophie incrédules d’avoir perdu autant de maîtrise de son soumis en si peu de temps. Il se présenta devant l’orifice disponible, les yeux excités. Sophie déclina en tournant la tête de côté. Il la remit en position et cette fois gardant la tête bien immobilisée entre ses mains, envoya son gland circoncis carmin buter contre les lèvres humides. Quelques claques danoises bien senties sur les fesses de Sophie, finirent de faire abdiquer cette bouche. Le phallus pénétra la moiteur pour bien s’y installer. Sophie déglutit et chercha sa respiration par le nez. L’homme commença de lents mouvements, la main possessive sur la nuque de sa femme pendant qu’Elke reprenait le rythme emballé de son plug dans le cul. Prise des deux côtés ! Thomas ne cherchait pas à se retenir. Sa respiration s’accélérait et il donnait des petits coups de reins pour faire aller et venir son sexe turgescent dans la gorge accueillante. Sophie, les lèvres distendues par le mandrin savait ce qu’il allait venir inéluctablement et rapidement. Un dernier afflux de sang, une dernière tétanisation dans les reins, et tout le monde sut que l’affront avait été consommé au fond de la gorge, salué d’un gémissement étouffé de la receveuse de l’hommage gluant express.

Thomas se retira pendant qu’Elke s’enlevait elle aussi. La verge ramollissante entraîna avec elle des filaments de sperme qui retombèrent sur le menton et finir d’outrager sa femme. Sophie chercha à reprendre son souffle, à se débarrasser de la souillure à force de toussotements et de raclages de gorge. En vain ! Elle était bien marquée du goût intime de son mâle à son désespoir. Son visage était complètement défait, des larmes d’humiliation coulaient. Jamais, elle ne lui avait accordé cette faveur qui la répugnait. Et là malgré tout ce qu’elle pourrait faire, malgré toute la sauvagerie qu’elle mettrait à se venger sur lui, Sophie savait qu’il y avait des marques qui ne s’effaceraient jamais. Elle avait eu une fois le goût du sperme abject de son homme soumis dans sa bouche, elle le garderait toute sa vie comme marque d’infamie.

- Thomas, je crois qu’il est temps que tu te ré-encages maintenant. Joseph va t’aider à en chercher les pièces dans l’herbe.

Après quelques recherches, la cage fut remontée et de nouveau bien accrochée au sexe de Thomas. Elke referma le verrou alors que Noémie finissait de détacher les deux sacrifiées sur un signe discret de la Maîtresse du Domaine.

- Voilà, tout est bien sous clé.

Dit Elke en donnant un petit coup vicieux sur les couilles qui dépassaient obtenant un rictus du mâle encagé à nouveau.

- J’espère que tu en as bien profité, car quelque chose me dit que tu n’es pas prêt d’en ressortir avant un bon moment. Ah, ah, ah !

Elke remit le pendentif avec la clé à Sophie qui le prit les yeux en colère et qui attacha la laisse au collier de son soumis avant d’un coup de pied vicieux le faire chuter par terre. Déjà la laisse le tirait comme un ordre impérieux à la suivre sa Maîtresse sur le champ. L’attelage s’arrêta néanmoins quelques mètres plus loin, le temps pour Sophie de boire un grand verre d’eau, avant de le recracher de mépris sur son soumis, plusieurs fois pour enlever la souillure. La laisse se tendit de nouveau impatiente et elle l’extirpa du cercle des mauvaises influences, non sans annoncer de vive voix qu’il allait payer sur le champ sa fanfaronnade sur le banc du fessoir. « Il est temps que tu grandisses un peu. J’ai été trop tolérante avec toi, mais crois-moi cela va changer ».

- Bigre, que voilà une Maîtresse en colère, je crois qu’aucun soumis ne souhaiterait honnêtement être à sa place dans l’heure qui va suivre.

Il fallait croire que la diabolique Elke ne s’arrêtait jamais de jouer de la comédie humaine. Claire se demanda qu’est-ce qui l’attirait chez cette femme et le drôle de mode de vie qu’elle proposait. La scène lui avait été agréable à la chatte. Son chihuahua faisant des simagrées pour coulisser sur le plug. La petite effrontée qui en avait pris plein le cul, douce vengeance de son refus du matin. Mais surtout elle l’avait regardé avec attention agir sur une des soumises de son harem, le gode pénétrer et ressortir, la soumise grimacer sous l’intrus. Tout cela ne la laissait pas indifférente. Ah un moment même elle avait fermé les yeux et s’était imaginée à la place de Sophie, soumise à la loi de sa Maîtresse. Elle en avait eu la culotte inondée. La fascination du mal absolu, mais si tentant… Mais là à froid, après avoir vu les dégâts qu’Elke avait causé en jouant de la faiblesse de l’homme, et ce pour son simple amusement royal, son vagin s’était complètement asséché face à la réalité des choses, beaucoup moins BDSMoromantiques. Cette femme était dangereuse. Elle détruisait tout ce qu’elle touchait et plus que jamais, elle devait s’en tenir éloignée et profiter du simple plaisir campagnard de s’amuser avec son mari soumis, loin des fastes dégénérées de la cour de la Danoise. Elle se promit de s’en tenir dorénavant à cette précaution.

Elke néanmoins réussit à la faire sortir de ses pensées et à attirer son attention. Il était question de son chihuahua. Joseph répondait.

- Non Maîtresse, nous n’avons pas eu le temps de terminer la préparation du chihuahua pour la cérémonie du marquage. J’ai eu peur que le retard vous importune…

- Tu as bien fait, bjørneunge. De toute façon l’après-midi ne fait que commencer et tu as largement le temps de la finir. Il est où le chihuahua ? … Ah il est là. Il se cache derrière les jupes de sa Maîtresse. C’est qu’il serait un jeune chiot peureux ? T’inquiète pas tata Elke et tonton Joseph, vont bien s’occuper de toi. Comme cela, ta Maîtresse pourra se reposer cet après-midi, débarrassée de ta présence. Allez, chihuahua, viens voir tata, IMMEDIATEMENT !

Le chihuahua obéit avec crainte et vint se placer au pied de la danoise.

- Allez fait le beau, le toutou et donne les papattes.

Elke s’assit sur la chaise laissé par Noémie devant le chihuahua ridiculeusement redressé sur ses genoux. Elle lui tordit un bras puis l’autre pour les ramener dans le dos, où est attacha solidement les mains ensemble avec une corde amenée par Joseph juste au moment où elle en avait besoin.

- Il se tourne le chihuahua pour monter son ventre à « mémère ». Claire peux-tu me confier sa clé ?

Claire enleva la clé de son cou, attentive au manège impliquant son chihuahua. La cage fut enlevée avec habitude. Joseph toujours impeccable débarrassa Elke sur le champ.

- Allez, fait voir comment tu bandouilles de la nouille.

L’assemblée restante toujours avide de nouveauté s’était regroupée autour de la danoise et du soumis. Elke astiqua un peu le chihuahua pour voir la chose se dresser. Pas assez à son goût, elle remit quelques coups de paluches.

- C’est tout ? Cela ne devient pas plus gros ou long ? Avec ça, ne t’étonnes pas que Madame aille voir ailleurs des vrais mâles… Tout juste bon à rester bien rikiki dans sa cage. Allez stop, suffit ! Tu ne crois pas que je vais te laisser cracher ton petit jus de garçonnet. Attends tu vas voir, Elke a un remède très efficace pour faire débander les jeunes chiots comme toi !

Et c’était vrai. Un écrasement des couilles bien fait faisait certes crier le chien, mais lui enlevait toute fierté mal placée rapidement. Elke tâtait le paquet en faisant rouler les petites choses entre ses doigts.

- Une fois propre, tu me le bagueras,  bjørneunge, en taille 4, cela devrait être suffisant.

- Comme vous le voulez, Maîtresse…

Le chihuahua termina sa préparation avec une cordelette attachée derrière le paquet, en guise de laisse. Le temps de lécher maladroitement les escarpins de Claire pour lui fêter au-revoir à la mode toutou et il était relevé par Joseph, qu’il suivit bientôt aussi rapidement qu’il put pour éviter qui lui arracha les couilles.

Ils descendirent par l’étroit escalier au sous-sol, traversèrent la salle où Joseph avait été si puni hier, pour atteindre une petite pièce très médicale tout de blanc carrelé du sol au plafond. Au centre une large table en inox équipée de deux étriers gynécologiques. Joseph sangla  le chihuahua sur le dos, les jambes relevées. Il amena alors au-dessus du corps un bras fixé au plafond d’où pendaient de menaçants flexibles.

- C’est… c’est quoi tu me fais un peu peur !

- Une machine automatique à laver le cul des soumis, une invention de notre cher ami allemand. Et t’inquiètes pas, ce n’est pas aussi méchant que cela en a l’air. J’ai recommencé à l’utiliser ce matin et pendant votre repas. Et j’y serai branché trois fois par jour pendant le mois à venir, à cause de toi. Allez détends-toi le plus dur c’est la mise en place de l’adaptateur pour les soumis comme toi qui n’en sont pas équipés en permanence. Respire un bon coup, cela va faire un peu mal.

Pierre voulut protester, mais déjà on lui mettait en forçant la canule. Il la sentit passer mais commença à paniquer un peu quand il comprit que la canule allait profond, très profond.

 - T’inquiète pas. Cela pas fait pour te blesser. J’ai la même en permanence dans mon cul depuis hier. Toi je t’enlèverai à la fin de la séquence, petit chanceux.

Joseph raccorda la canule aux flexibles. Immédiatement le chihuahua eut la sensation désagréable de baudruches qui se gonflaient dans et à l’extérieur de son cul.

- Bon étanchéité établie. Je lance la séquence. Disons deux prélavages, trois lavages et deux rinçages, cela devait te laisser le cul tout propre. 

Et aussitôt le chihuahua sentit l’eau tiède s’écouler dans son rectum…

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Trois quarts d’heure plus tard, Joseph vint détacher un chihuahua complétement exténué par le lavement. Il avait eu des moments de fortes douleurs dans le ventre, des moments de soulagement alors que le flux était finalement refoulé, suivi des moments de détresse alors que le lavage suivant recommençait. Joseph vérifia le résultat du dernier rinçage prélevé pendant la phase de reflux.

- Parfait un cul tout propre ! Ta Maîtresse va être contente… Allez hop je me dépêche de te mettre au frais au cachot pour ce soir, car j’ai la fête à préparer. Ta fête à toi, le chihuahua.

Il les emmena à l’autre bout du sous-sol dans une pièce fermée d’une lourde porte de bois. Aucun meuble, aucune lumière extérieure, des murs en pierres humides et un solide poteau au centre la pièce. Une atmosphère si  froide.

- Tu vas attendre là le reste de l’après-midi que je vienne te chercher pour le banquet en ton honneur ce soir. Maîtresse Elke tient beaucoup à ce que les soumis y méditent, une sorte de Cabinet de Réflexion dans le rite d’Initiation d’un soumis avant leur marquage à vif. Tu vas t’y sentir frêle et fragile, abandonné, c’est le but. Allez donnes- moi tes poignets, que je te passe les bracelets de fer… oui aucune ouverture visible… seule ta Maîtresse saura bientôt comment te les enlever, si elle décide de tes enlever.

Une fois les mains immobilisées  dans le dos, Joseph procéda au baguage proprement dit. C’était le quatrième qu’il réalisait, quatre soumis destinés à être marqués au fer comme le sera le chihuahua ce soir. Déjà un monde. La bague était une sorte d’anneau de couilles qui aurait été écrasée d’un côté par la patte d’un éléphant, résultant en une sorte d’ovale très arrondi en deux parties articulées. Il prit une taille 4, serré parfaitement comme l’avait vu le coup d’œil exercé de Maîtresse Elke. Faisant fi des cris de supplication, il bagua avec la dextérité de l’expérience acquise les couilles du soumis en force. La bague étirait de façon indécente la peau de scrotum entre le pénis et les testicules qui venaient s’écraser douloureusement contre le bord inférieur de la pièce de métal. Avec cette mâchoire, il n’y avait que douleur lancinante sans aucun répit pour le porteur. C’était une contrainte qui prenait l’esprit totalement.

Joseph compléta le harnachement du chihuahua avec le même type de bracelets aux chevilles qu’aux poignets. Il referma aussi autour de son cou, un collier de même tenue. Toutes les pièces avaient un anneau soudé permettant la mise en place de solides attaches…

Quand Joseph laissa finalement Pierre dans la noirceur du Cabinet de Réflexion, il portait une lourde chaine depuis son cou jusqu’à ses pieds en passant par la bague de couilles. Une seconde chaîne partait de ses mains immobilisées dans son dos, passait serrée dans son entrejambe pour s’accrocher au prendre au passage le second anneau de la bague, avant de finir accrochée par un mousqueton à un solide crochet fixé sur le poteau central. Pas plus de dix centimètres de jeu entre les couilles baguées et le poteau. Le chihuahua ne pouvait ni s’assoir, ni marcher pour soulager ses jambes, juste attendre et attendre encore une libération qui semblerait ne jamais venir, les muscles endoloris et les boules en feu…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Lundi 5 août 1 05 /08 /Août 08:00

CHAPITRE 31 - Deflowering

« Devine qui vient me sucer ? » était un grand classique du Domaine. Les Maîtresses s’installaient sur des chaises autour d’une table ronde recouverte d’une nappe blanche touchant presque le sol. Elles s’y asseyaient le bassin légèrement avancée et le bas dévêtu. En vis à vis de chaque chaise se trouvait un soumis ou une soumise, les yeux bandés, prêt à sucer son partenaire de jeu.  Bien sûr les places étaient choisies au hasard par ordre d’aînesse pour les Maîtresses. Aucune ne savait a priori qui elle avait en face. Les sucées devaient garder les mains bien à plat sur la table pour ne pas être tentées d’aller reconnaître au toucher leur suceur attribué et les suceurs ne pouvaient qu’utiliser leur langue. Pour eux toute vue ou tout toucher étaient prohibés.

Sinon le principe était le suivant :

- les suceurs gagnaient d’autant plus de point qu’ils obtenaient un orgasme rapide de leur partenaire de jeu. De 1 à 4 points par exemple pour un jeu à 4 couples.

- au contraire, plus les Maîtresses sucées résistaient, plus elles gagnaient de points. Jusqu’à 8 points, puisque pour les Maîtresses, les points étaient doublés comme l'étiquette le voulait.

Les résultats étaient prononcés en additionnant le score de la Maîtresse et de son soumis habituel, auquel un bonus de 2 points était rajouté à la fin si la Maîtresse avait deviné qui l’avait sucée. Il y avait aussi un malus de 2 points dans le cas où suceur/sucé se révélait être un couple habituel, destiné à annuler le fait qu’il était bien plus pratique de découvrir son suceur dans ce cas. Et de temps en temps un bonus du débutant, comme ce jour-là, pour Claire et son chihuahua qui découvraient le jeu. Elle gagna d’office 4 points (deux pour chacun) pour son couple D/S.

Le couple perdant était celui qui avait le moins de points à l’issue du jeu. Le soumis ou la soumise prenait alors le gage décidé en début de jeu.

Dehors Joseph prit les choses en charge et organisa les soumis et soumises, après leur avoir bandé les yeux, sous la longue nappe blanche, chacun devant une chaise encore vide. Il s’installa finalement devant la dernière chaise vide, et mit en place son propre bandeau.

Les Maîtresses revinrent bientôt chattes à l’air. Le chihuahua ne les voyait pas mais les entendait discuter. Par ordre d’aînesse, elles s’installèrent une à une à la place de leur choix. Elke la première et Noémie en dernier.

- Chut les soumis. Interdiction formelle de parler ou de faire du bruit. Et vous attendrez mon top avant de commencer. Bon maintenant fixons le gage, si vous le voulez bien, Mesdames. Je propose un enjeu exceptionnel : la Maîtresse perdante cèdera son soumis ou sa soumise, à notre ami forgeron Lucas qui va arriver, pour la nuit à venir. Pour celles qui ne le savent pas encore, notre ami aime autant les femmes que les hommes, surtout soumis aux caprices de se queue, et je pense qu’il sera ravi de l’aubaine. Mesdames, sommes-nous d’accord ?

Les femmes furent surprises de la nature du gage proposé, très « Elkesque ». Trop peut être. La Danoise sentit la réticence ambiante.

- Que vous êtes compliquées : vous voulez dominer votre moitié, l’humilier, mais dès qu’il s’agit de partager, il n’y a plus personne ! Pourtant je vous l’ai toujours dit, la domination n’est que meilleure si vous vous détachez un peu de votre sujet. Je ne vous demande pas de le foutre dehors, mais juste de le prêter un temps à un ou une autre, sans votre présence. Alors Mesdames, on retient ce gage ou vous avez une meilleure idée ?

Les Maîtresses étaient encore un peu réticentes. Elke dut insister.

- Sophie ?

- Oui, Maîtresse ?

La danoise s’agaça de la lascivité de la réponse. Elle ne perdait rien pour attendre cette pimbèche !

- Alors j’attends… confiras-tu ton Thomas pour la nuit à Lucas, si vous perdez ?

- Il l’enculera ?

- Non ils regarderont Histoires Naturelles à la télé, l’épisode sur la chasse au loir. Mais qu’est-ce que tu peux être gourde quand tu t’y mets ! Il est temps que je te remette les idées en place par le fondement. Bien sûr que ton Thomas sera sodomisé profond et il sucera avec dévotion l’énorme bite de Lucas, avant de tout avaler comme un bon soumis ! Alors ?

- Ok... si nous perdons, Thomas… ira passer la nuit avec la bite de Lucas…

- Claire ?

- Je… Je ne sais pas… Si nous perdons… C’est quand même une soirée spéciale pour nous.

- Cela sera après le marquage et puis qui vainc sans péril, triomphe sans gloire. C’est juste pour une courte nuit. Tu as toute la vie pour t’amuser avec ton chihuahua après. Et puis n’oublie pas que c’est très peu probable, vous avez les points de la chance des débutants…

- Ouais… alors ok pour nous ! Mais faudrait pas que mon chihuahua prenne goût à se prendre des pines au cul !

Rire général !

- Noémie ?

- Avec joie, Elke. Cela mettra les boules à ma Nikka ! D’ailleurs, Nikka, je vais tout faire pour perdre ! Tu entends cela ? Tu m’énerves en ce moment…

- Bon Mesdames, tout est réglé. Vos mains bien à plat sur la nappe et les soumis vous commencerez à la fin du compte à rebours. 10… 9… 8… 7… 6… 5… 4… 3… 2… 1… partez !

4 paires d’yeux s’épiaient autour de la table alors que dessous cela s’affairait, guettant le moindre début de signe de faiblesse de leurs rivales, dans un duel à quatre à OK Corral. La première à réagir fut l’inexpérimentée Maîtresse Claire avec un « oh » suivi d’un « oh oui ».

Claire avait le feu dans son entrejambe avant même d’être touchée. Elle adorait terriblement l’idée de ce cunni impudique à la vue de toutes. Et l’inconnu de ce qu'il y avait sous la table la mettait dans un état d’excitation extrême. Quand cela fut parti, elle fut surprise par un souffle tendre et léger, qui vint lécher ses lèvres tendues avant de s’évanouir à l’entrée de sa vulve. Quelque chose de nouveau, de terriblement érotique, que ne lui jamais fait son chihuahua. Le souffle jouait de son attente. Elle voulait que ces lèvres inconnues s’approchent enfin et viennent éteindre à la source son incendie. Tout de suite par pitié ! La tête finit par s’enfoncer très lentement dans les cuisses, frôlant les chairs délicatement. Claire ouvrit les jambes en invitation. La tête s’arrêta mais pas le mouvement qui se prolongea d’une langue douce et humide s’immisçant dans l’entrée de la fleur rougeoyante. Une langue précise et habile, douce et exigeante, caressant ses muqueuses soyeuses dans un rêve. Quelque chose qui connaissait instinctivement les secrets de sa fleur. Totalement différent de tout ce qu’elle avait déjà connu,. Une fille ? Oh oui, Nikka. Enfin ! Claire perdit ses sens, jamais autant humide et désirant tant jouir de cette bouche, de ces lèvres de rêve. La langue remonta pour débusquer le pistil de la fleur brûlante. Le premier contact électrique fit se cabrer Claire sur sa chaise. Son petit chose était assailli de toute part. La langue pècheresse arriva à s’immiscer sous la membrane protectrice. Claire faillit défaillir. Le souffle chaud rejouait un air d’amour qui résonnait à la folie au profond de sa fleur. Elle était totalement prise par le baiser d’amour de cette bouche qui la menait sur le chemin de la jouissance totale. Sous les assauts, Claire ne tint plus et commença à onduler du bassin sur son fauteuil. Elle serrait les cuisses autour de sa suceuse pour l'absorber au plus profond. La tête luttait pour ne pas se faire désarçonner. Claire criait, sans aucune retenue, seule au monde, la puissante jouissance qui l’envahissait…

Le chihuahua reconnaissait au milieu des brouhahas de soupirs, sans aucun doute possible, la voix excitée de sa propre Maîtresse. Il en concevait une pointe de jalousie. Il n’aimait pas ce jeu où chacune échangeait sa propriété avec allégresse pour la seule satisfaction des bas instincts de leurs chatounes excitées. Lui était à la peine la tête plantée dans l’entrejambe que le sort lui avait désigné. C’était plein de trop. Trop de jus de femme qui n’arrêtait pas de couler. Il en avait plein la bouche et le nez. Trop d’odeurs aussi, fortes, lancinantes, désagréables avec un goût de plus en plus prononcé d’ail au fur et à mesure que la femme libérait sa cyprine. Sa descente personnelle dans une cave humide et renfermée. 

Son expérience personnelle était très limitée en termes de femmes. Trois au total qui l’avaient amené dans leur lit, plus que dans le sien. Et seulement deux qu’il avait sucées. Il n’avait pas eu le temps ou le courage d’en arriver là avec la première, à dix-sept ans, qui l’avait dépucelé le temps d’un camp d’été. Un beau souvenir. Il était resté avec la deuxième, Béatrice, une année pendant ses études. Elle l’avait ouvertement chassé pendant des mois. Ses copains se moquaient d’elle car, dans l’échelle masculine, elle était vue comme particulièrement moche. Toutes ses tentatives alternatives de conquête d’une copine, échouaient lamentablement dans un bel ensemble de râteaux. Un vrai Jardiland à cette époque. Il ne restait plus que cette fille-là qui le suivait partout. Alors un soir particulièrement éméché, il craqua et sortit avec. Cette fille s’est révélée avoir le feu au corps avec un besoin de se faire baiser en permanence, le matin, pendant la pause de midi et à chaque coucher. Bien sûr il en avait profité à fond. Quel jeune homme envahi d’hormones sexuelles n’en aurait pas profité ? Ils passaient du bon temps ensemble, même en dehors du lit, mais il n’arrivait pas à s’en sentir réellement amoureux. La fille avait un petit côté dominant. Sa position favorite était de le monter en amazone. Elle ne lui laissait que rarement l’initiative. Elle continuait à pratiquer l’équitation à un bon niveau quand elle rentrait chez elle pendant les vacances. Elle avait toujours aimé les chevaux qu'elle adorait diriger. Il y avait aussi ce qu’elle appelait la cavalcade. Cela commençait comme un 69, têtes bêches, elle toujours dessus. Elle le suçait, pendant qu’il lui rendait la pareille du mieux qu’il pouvait, parfois jusqu’à l’éjaculation qu’elle recueillait dans sa bouche et avalait sans aucune gêne, mais souvent son plaisir qui montait, mettait fin à la caresse sur son pénis. La suite était toujours la même. Elle relevait son buste en s’appuyant des mains sur ses hanches et la cavalcade commençait. Elle se mettait à onduler du bassin et se branlait la chatte sans gêne contre le visage de son amant un long moment pour jouir de plusieurs orgasmes à la suite. S’il n’avait pas encore joui, elle le finissait après à la main. Cette forme particulière de coït lui laissait un sentiment mitigé mais au moins il se vidait la queue avec elle. Leur relation prit fin quand elle partit passer une année d‘étude en Autriche. Il voulut la suivre mais son dossier ne fut finalement pas retenu. Elle partit quand même. Il la retrouva un week-end à l’automne à Vienne. Son temps était passé et il avait été remplacé par un bel Autrichien, qu’elle finit par épouser à la fin de ses études..

Pierre entama alors une traversée du désert sexuel pendant plusieurs années. Rien de rien, juste la veuve poignet. Il commença à travailler dans une société d’assurance. Autour de lui, ces amis se mariaient les uns après les autres, mais lui restait désespérément célibataire. Il rencontra Sa Claire dans une soirée d’anniversaire. Elle lui plut tout de suite. Il la revit quelques autres soirées, jusqu’à ce soir où elle lui proposa de s’éclipser pour aller chez lui. Bien sûr la bite déjà tendue, il accepta l’aubaine. Sa nuit fut néanmoins piteuse, en panne d’érection. Il en était humilié dans son être. Claire en était désolée pour lui. Ils parlèrent longtemps cette nuit-là dans le lit et au petit matin, elle lui demanda de la faire enfin jouir avec sa bouche, avec un immense orgasme à la clé. Il tomba instinctivement amoureux de cette femme. Pierre passa ses premières nuits avec sa future femme, la bite molle et la tête entre ses cuisses, jusqu’à tout rentra dans l’ordre, et qu’il put enfin la prendre en amant. Il ne la quitta plus. Le mariage suivit, puis les enfants. Huit ans, déjà !.

Oui, le chihuahua qu’il était devenu, n’aimait ce jeu échangiste. Il avait l’impression de la tromper et d’être trompé. Leur cunnilingus originel était sacré à ses yeux. Et l’idée de le donner à une autre, ne lui plaisait pas, vraiment pas. Il n’avait aucune idée de qui il devait sucer. Peut être une chatte fatiguée ? Elke ? De toutes façon, qui qu’elle soit, la femme qu’il suçait avec peu d’envie, s’agaça du peu d’entrain de son suceur. Toutes les autres Maîtresses semblaient avoir eu maintenant leur dû, mais pas elle. Elle fit alors ce que Béatrice lui faisait : elle se servit de sa bouche, de son nez pour se branler la minette. Il réussit à sortir sa langue pour l’aider dans sa tâche, comme il le faisait pour Béatrice, et peu à peu elle obtint quasi toute seule son orgasme longtemps après les autres…

Les couples suceurs/sucées furent dévoilés.

Claire avec Nikka comme elle l’avait deviné et finalement annoncé. Ils furent les premiers à en terminer.

Le chihuahua suçait la chatte mature d’Elke, qui le devina. Ils finirent bon derniers.

Noémie tint, comme promis, le moins longtemps possible sous les coups de langue de Thomas, mais n’arriva pas à jouir la plus vite, battue par une Claire météorique. Elle refusa de révéler le nom de son suceur qu’elle avait très bien reconnu, fidèle à son plan de punir sa petite lesbienne effrontée.

Et donc le bjørneunge et Sophie était ensemble comme Sophie l’avait reconnu.

Résultat des courses :

 
Maîtresse Soumis Qui me suce ? Bonus débutants Total
#1 Elke/ bjørneunge 8 2 2 0

12

#2 Sophie/Thomas 6 3 2 0 11
#3 Claire/chihuahua 2 1 2 4 9
#4 Noémie/Nikka 4 4 0 0 8

Le chihuahua ne dut d’avoir son cul sauf, que grâce au bonus des débutants et surtout grâce à Noémie qui avit refusé de reconnaitre son partenaire, espérant que cela fasse perdre sa Nikka. Cela fut tout juste, mais cela passa à un point près.

- Bon, c’est clair. Noémie et Nikka vous avez bizarrement perdus. Nikka sera confiée pour la nuit aux bons soins de la bite de Lucas.

- Il arrive quand Lucas ?

Noémie venait de poser la question.

- En fin d’après-midi… Pourquoi ?

- Bon, je vais lui confier Nikka dès son arrivée. Il aura plus de temps pour s’en amuser avant de me le rendre plus sage j’espère, demain matin.

- « Rouge vif », Maîtresse !

Nikka venait de sortir, en panique, son safe-code ! Moment passionnant pour la partie de l’assemblée qui avait compris ce qu’il venait de se passer… Tous attendirent la réaction de Noémie.

- « Et passe ! ». Je te le refuse. Il n’entre dans aucune des conditions où il peut s’appliquer. Je ne suis pas en train de punir physiquement. Non, nous en avons déjà discuté. Tu es jeune et tu aimes uniquement les femmes. Il est donc important, que comme je l’ai subi à ton âge, que tu comprennes que ta soumission entraîne des contraintes, comme celle de subir les basses envies des Mâles que tu détestes. J’espère que tu retiendras la leçon que j’ai choisie de te donner; ma petite idiote ! Tu en as besoin pour progresser dans ta soumission. Et d’ailleurs, je vais en avoir un avant-goût quand Thomas te transpercera le cul sous mes yeux…

Elke prit la parole.

- Nous attendons toutes ce moment, Noémie. Mais cela attendra après le dessert, car j’ai une de ces faims maintenant.  La jouissance ouvre l’appétit. Suivez-moi les filles en cuisine pour ramener les couverts et les assiettes, ainsi que le buffet que nous as préparé ce matin mon bon bjørneunge, pendant qu’il s’occupera d’emmener ses confrères et consœurs au pipi-spot libérer leur vessie ou leur rectum. D’ailleurs Nikka, tu devrais en profiter pour t’assurer que ton cul aura suffisamment de place pour offrir de l’espace au sexe de Thomas. S’il ressort avec des traces de pneu, crois-moi, Nikka, je te les ferais nettoyer une à une avec la langue. D’ailleurs, cela vaut pour toi aussi, Sophie… Jusqu’à tout soit nickel-chrome.

Tout fut fait comme annoncé. Les Maîtresses dégustèrent l’excellent buffet préparé le matin par bjørneunge. Les soumis et soumises mangèrent dans leur gamelle les restes de la veille. Les femmes finirent par le café gourmand avec glace, servi impeccablement par Joseph. Noémie en profita pour glisser quelques mots en privé à l’oreille de Claire…

- Qu’est-ce que tu as joui vite, sous la langue de Nikka, comme si ta vie en dépendait. Alors c’est ça, tu te découvres aimer le sexe avec les femmes ?

- Non pas du tout, j’ai été surprise c’est tout. Pour sucer, les femmes semblent s’y connaitre mieux. C’est naturel et logique. Mais moi les femmes, c’est pas mon truc !

- Arrête de te mentir. Elke nous a raconté hier dans la cave comment elle t’a draguée et comment elle t’embrassait pendant que Lucas te sodomisait. Et puis je t’ai observé, ce matin, pendant que j’amusais avec Nikka. Tu avais les pupilles excitées. Non tu aimes l’amour féminin.

Claire rougissait…

- Tu ne dragues quand même pas, là ?

- Si j’aurais envie de faire minette à minette avec toi, oui. Mais bon pour l’instant tu n’es pas passée entre les mains d’Elke et il n’est pas question je lui vole ta virginité !

- Mais je ne suis pas vierge !

- En femme, si. Et crois tu lui offriras avec dévotion bientôt ton pucelage. Et tu lui suceras la chatte avec amour !

- T’es folle !

- Pas plus que cela. Juste réaliste… Je sais quand une femme a des envies homosexuelles, crois-moi !

- Humm…

- Allez, je te laisse y réfléchir. Je sais que pour les hétéros, c’est toujours dur de se l’avouer… Mais je voulais discuter avec toi, en aparté, pour te rendre un service en consœur.

- Quel service ? Tu ne me proposes pas de baiser avec toi ?

- Non, car tu es chasse gardée d’Elke. Quand elle t’aura déniaisée et que tu seras plus libre, oui pourquoi pas… Mais pour le moment, je voudrais que tu me prêtes ton soumis pour que je l’encule… avec les deux autres.

- Le gode ceinture, même à sec, il connait déjà !

- Non, tu n’y es pas. Je te propose de prendre le cul de ton chihuahua mais à la sauce lesbienne. Je suis sûre que tu aimeras. Contente-toi de lui ordonner de se rendre à mes bons services, quand ce sera l’heure des saillies…

        bldomainecunni

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 1 août 4 01 /08 /Août 08:00

CHAPITRE 30 - Det er bedre at adlyde!

Maîtresse Claire n’avait cependant pas oublié le refus d'obéissance de son soumis. Il allait la payer mais à sa manière.

Quelques jours plus tard, un banal colis fut livré par la Poste. Claire l’ouvrit en famille devant des enfants curieux et un papa inquiet. Il avait raison d’être inquiet car elle l’intérieur il y avait un pyjama intégral pour leur fils de cinq ans, avec des girafes et des lions brodés dessus,… et le même en extra-large pour le père. Il en fut surpris. Cela ressemblait tellement à une histoire récupérée sur le net, qu’il utilisait pour se branler. Comment pouvait-elle le savoir ? Le surveillait-elle sur l'ordinateur ?. Mais là c’était une réalité qui ne lui plaisait au final pas tant que ça...

- Claire tu ne comptes quand même pas que je mette cela pour dormir ?

- Si, j’en cherchais un pour notre loulou depuis quelques temps. Tu sais qu’il bouge tellement la nuit qu’il se découvre la nuit et prend froid l’hiver. Alors quand j’ai trouvé ce modèle sur internet, j’ai vu aussi qu’il existait pour les papas, alors j’ai décidé d’en prendre un pour le père et le fils. Vous serez mignon tous les deux ainsi.

Le petit était enthousiaste de porter le même pyjama que son papa. Sa grande sœur était carrément pliée en deux, le regard étincelant. Et la maman avait le sourire des grands jours. Le soir venu après avoir couché et embrassé les enfants, Pierre se retrouva avec Claire dans la chambre. Le petit avait insisté pour passer immédiatement son nouveau pyjama fermé si rigolo. Le père lui redoutait de devoir passer le sien. Claire l’y encouragea.

- Allez mon amour, il est temps de passer ta jolie grenouillère pour la nuit… je suis sûr que tu vas être si mignon dedans… comme l’est notre loulou.

Pierre ne s’était jamais senti aussi humilié de sa vie d’adulte. Il savait que Claire y tenait, que l’idée venait de lui quelque part et que donc il n’avait pas d’autres choix qu’obéir. Il se mit nu pour passer l’humiliante tenue de nuit, le cœur serré. Dans un soupir, il se résigna et chercha à ouvrir la fermeture-éclair ventrale. En vain ! Il leva des yeux plein d’interrogation vers sa Maîtresse…

- Ah oui, j’ai oublié de te dire mon amour, la tienne de papa soumis est quelque peu différente de celle de notre loulou. Le zip sur le devant est factice. Chez toi, elle se referme par l’arrière d’une manière que tu ne puisses pas l’enlever sans mon aide ou autorisation. Je l'ai fait modifiée par une couturière peu curieuse. Cela me paraissait plus D/S ainsi.

Maîtresse Claire aima l’expression choquée du visage de son mari chihuahua, très contente de sa (mauvaise) surprise.

- Mais… mais si j’ai besoin d’aller aux toilettes, comment ? Comment je pourrais ?

- Attend ne panique pas. Chaque problème à sa solution. J’y ai déjà pensé…

Et elle sortit du placard un paquet de couche pour adulte. Le visage de son mari était devenu cramoisi ! Oh qu’elle était contente de son effet !

- Allez ne perdons pas de temps à discuter. De toute façon, cela ne changera rien pour ce que j’ai décidé pour toi. Il faut que tu m'obéisses sans pose de question. Tu te rappelle ? Allez ouste sur le lit que je t’ajuste ta couche mon gros bébé, puis dans ta jolie grenouillère et hop au lit pour un bon gros dodo réparateur.

Ce qu’il fut fait après que Maîtresse lui  ait donné une fessée de mise au point,  la première depuis sa rébellion. Il mit longtemps à s’endormir cette nuit-là, et pas qu'à cause de sa cage, maugréant contre la réalité si perturbante par rapport à ses fantasmes. C’était clairement une punition et là il s’était eu lui-même : cela ne pouvait pas être pire. En fait si ! Il se réveilla assez tard après avoir eu beaucoup de mal à s’endormir dans la nuit. Le lit était vide, Claire déjà levée. C’était un jour férié, il n’était pas pressé. Pierre se dirigea vers la salle de bain, pour le pipi matinal et pour libérer le pression dans la cage. Et merde ! Il avait oublié sa maudite grenouillère ! Il partit à la recherche de sa femme. La maison était vide, à l’exclusion de leur fils en train de regarder des dessins animés. Il finit par trouver sur la table de la cuisine, un mot laissé à son attention : « Mon amour, je suis partie tôt à un vide grenier. Je pense rentrer vers midi. Pense à préparer le repas. Je t’aime. ». 

« La saligote ! », l'injure familière lui échappa des lèvres. Ce n’était pas du jeu ! Elle ne pouvait pas lui faire cela. Et sa vessie pleine lançait l’alerte. Il ne pouvais pas faire dégonfler le pénis dans sla cage. Il envoya une main pour essayer de trouver le bout de la fermeture dans son dos. Il sentait une bosse, mais rien que ces doigts puissent accrocher. Pierre alla dans la salle de bain essayant de voir le système de fermeture dans son dos derrière dans le miroir, sans grand succès. Puis il eut l’idée de prendre une photo avec son téléphone du haut de son dos. Avec fébrilité, il regarda le résultat. La vraie fermeture était camouflée sous un retour de tissus. En haut son extrémité disparaissait au niveau du col derrière une épaisse bande de tissus, qui se terminait par ce qui était une serrure discrète. En gros plan, il voyait nettement le trou pour la clé, qu’il n’avait pas ! Ses espoirs s’envolèrent et l’accablement le gagna. A quoi bon lutter face à une telle détermination de Maîtresse Claire ? Il se sentit plus que jamais soumis, et instantanément cessa de lutter et fit pipi dans sa couche debout dans la cuisine, ressentant au fond de son être l’humiliation extrême de ce moment voulu par sa Maîtresse, pendant que l’urine chaude coulait en dehors et alourdissait peu à peu sa couche. La honte totale !

Quand Claire finit par rentrer, elle retrouva son mari passablement bougon de la situation où « Elle » l’avait mise à dessein. Elle ne dit rien et préféra attendre la fin de la bouderie. Le soir elle lui posa la question s’il préférait tout arrêter ? Normalement il aurait répondu instinctivement oui. Mais là il savait que Maîtresse Claire le testait, alors il resta silencieux avec grande difficulté et remords de sa liberté d'homme libre perdue.

A partir de ce moment cage de chasteté, grenouillère et couche pour la nuit fut le lot quotidien du chihuahua pour quelques semaines, entrecoupées de fessées et de mise au coin le soir pendant qu’elle regardait la télé. Il s’habituait à ce rythme qui l’envoyait loin dans sa tête, même s’il aurait souhaité des activités D/S moins répétitives. Les enfants partirent pendant les vacances scolaires chez les grands parents, ce qui offrit l'occasion à sa Maîtresse de durcir son régime : grenouillère en permanence dès qu’il était à la maison avec la couche. Dure fessée tous les soirs. Mise au coin à toute heure et en tout endroit dans la maison. Le summum de la séquence fut atteint lors d’un week-end mémorable enchâssé dans sa grenouillère, où plus que jamais il sentit l’emprise de sa soumission à sa Maîtresse, forcé d’utiliser ses couches d’une manière qu’il n’aurait jamais cru devoir endurer dans sa vie d’adulte, devant attendre la disponibilité de sa Maîtresse pour avoir le droit de se changer, ressentant l’humiliation totale au fond de son être et adorant finalement tout cela… 

Il descendait dans la noirceur et aimait cette sensation de déchéance. Il était en extase devant sa Maîtresse et en voulait encore plus. Pourtant au retour des enfants, Claire décida de tout arrêter, d’un coup sans rien lui expliquer. Il en fut tout chamboulé les deux premiers jours, puis apprécia de pouvoir agir en homme libre pendant un temps, avant de se mettre à maugréer contre ce rien qui s’opposait à ce tout qu’il venait de vivre. La vie raisonnable lui semblait trop terne, et il errait dans la maison, allant mater dès le soir venu des vidéos de Maîtresses implacables martyrisant leurs soumis. Sa soumission à Maîtresse Claire lui manquait. Cela dura jusqu’au séjour au domaine.

Jusqu’à présent leurs jeux étaient restés dans les limites de la maison. Ce séjour au Domaine était en fait un peu son coming-out de soumis, la première fois qu’il était montré dans son état de mari dominé aux yeux des autres. Il en retirait des sentiments mitigés. Se montrer dans un état d’infériorité n’était pas finalement si simple. Certaines choses lui avaient été faciles, sans doute aidés par la folle excitation du moment, comme être promené en permanence en toutou au pied de sa Maîtresse ou même se faire épiler nu par deux gars. Il se découvrait un côté assez exhibitionniste. D’autres, au contraire l’avait meurtri dans son âme, comme l’usage que Joseph avait fait de ses orifices dans l’écurie, le ramenant à un passé douloureux. La douleur ou la contrainte physique lui servaient d’échappatoire à ressentir l’humiliation. Mais là il savait d’avance que la douleur d’une fessée est plus que supportable et que, d’aucune façon, il ne pourrait se voir autrement qu’en petit garçon en train de se faire fesser le cul par une adulte, d’autant que Claire  lui avait annoncé n’avoir rien à lui reprocher. Une sorte d’humiliation gratuite en quelque sorte, pour le bon plaisir de sa Maîtresse et de ses collègues, qu’il redoutait…

Le chihuahua attendait donc, le rouge aux joues, le début de la sérénade du fessé. Après avoir flatté rituellement le globe des fesses, sa Maîtresse commença les séries de claques en cadence qui rebondissaient sur le globe fessier, en lui donnant rapidement des bonnes couleurs et déclenchant une gigue des jambes chez le fessé, qui comme prévu fut abondamment commentée par l’assemblée féminine. La honte totale ! Comme prévu et redouté…

- Oh le vilain petit garçon qui se fait fesser par sa maman…

- C’est vraiment ridicule ces jambes qui remuent en tous sens…

- Va-s’y frappe plus fort, Claire ! Il ne le sait pas, mais il l’a bien mérité !

Pierre se sentait si humilié au sein de cette assemblée de femmes redoutables. Et il attendait avec impatience la fin de la fessée, même si cela signifiait que Maîtresse Claire allait l’envoyer au coin terminer de boire son humiliation. 

La fessée pris en effet fin mais pas d’ordre d’aller au coin. A la place, Claire le maintint couché sur ses genoux et lui enfonça un doigt profond dans l’anus, qui le surprit et l'humilia. Il essaya de se relever d’instinct mais une tapette sur la tête lui intima l’ordre de rester calme.

- Ah que cela fait du bien de fesser son mari soumis. J’en ai la chatte toute bouleversée.

Les femmes rigolèrent de bon cœur. Elke répondit collectivement : 

- Oui Claire c’est toujours un spectacle rafraichissant cette danse des jambes. Ah vraiment que les hommes sont trop douillets ! Fesse ton mari chaque matin, si tu ne sais pas pourquoi, lui le sait !

Cela déclencha de nouveau un rire général. Noémie reprit :

- oh ce repas commence dans la meilleure ambiance. Allez j’y vais aussi de notre participation. Ce matin, Claire a promis à ma petite soumise récalcitrante une vraie queue d’homme dans son cul en punition. Cela serait peut-être le moment de la consommer tant que c’est chaud ?

Nika boudait manifestement. Ce qui amusa beaucoup l’assemblée. 

- Bon le sort de Nikka est réglé, mais il nous manque quand même une queue de mâle pour le cul de Nikka. Joseph est puni et je ne vois pas le petit machin du chihuahua s’occuper de cela. Alors Sophie pourrions-nous t’emprunter ton Thomas ? 

- Je ne crois pas...

- Comment cela tu ne crois pas ?

- Je garde Thomas complètement chaste depuis 5 mois avec deux ou trois milking pour tenir dans la durée. Je veux l’amener à une chasteté de 6 mois ou plus. Et là tu lui offres pour le simple amusement de la galerie, une jolie et jeune femelle, quasi vierge du cul que tu lui demandes d’enculer par jeu. Le plaisir d’un instant contre une construction de plusieurs mois. Je sais évidemment que Thomas profitera de l’aubaine – quel homme résisterait dans ce cas  ? - avant de la regretter amèrement après coup. Alors, Elke,  je te demande de renoncer à cette idée. Tu n’as qu’à prendre à la place ton fidèle bjørneunge. Lui sait t’obéir et prendre des culs presque vierges à ta demande, pour ton bon plaisir…

L’échange avait mis en tension l’assemblée, surtout la dernière phrase. Sophie était toute rouge de sa tirade de défi à l’autorité de la Danoise. Elke prit du temps à répondre à l'insolente, en scrutant l’un après l’autre ses invitées, cherchant ses alliées et essaynt de deviner si certaines étaient prêtes à suivre Sophie dans sa petite rébellion. Puis elle répondit avec un calme très froid :

- Tu aurais donc des scrupules à prêter ton soumis à nos caprices ? Que voilà une chose étonnante, qui pour une femme, pas plus tard que cette nuit suçait avec dévotion ma chatte et se faisait prendre les trous au gode ceinture. Que voilà aussi une chose étonnante pour une épouse qui laisse chaque été partir son mari seul chez une autre tout en feignant de croire qu’il ne s’agit pas de rencontres sexuelles « partagées ». Et pourtant crois-moi le superbe phallus de ton mari, je me le suis pris souvent par plaisir que cela soit dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon cul. Je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi tu n’en profites pas plus, plutôt que de te faire sucer à ne plus finir ou jouer au rabbit ? Aurais-tu un problème de ce côté ?

La Danoise fit une pause pour regarder intensément l’insolente Sophie, désormais mal à l’aise.

- Non tu nous fais une crise de jalousie mal placée. Ton soumis Thomas n’existerait pas sans moi, sans le façonnage que je lui ai imposé pour que tu puisses te parer de sa soumission, comme une femme du monde exhibe un collier de diamants obscène. Rien chez Thomas n’est ta création. Tu imites au mieux que tu peux, les vraies dominantes mais tu n’en es pas complètement une au final. Jamais ton Thomas n’est un soumis plus heureux que quand il passe sous ma férule l’été. Alors si j’ai envie de le regarder prendre son pied au fond du cul d’une jeune fille sexy et bien foutue – certes encore uniquement lesbienne, personne n’est parfait – , je le récompense alors que toi tu le détruis à petits feux avec des comportements de femme du monde frigide trop sage. Et il n’y aurait pas une belle dose d’amour pour ta terne personne, que je n'ai jamais totalemrnt comprise, il aurait rejoint depuis longtemps mon sérail d’esclaves à son grand profit !

Elke se rapprocha pour prendre la tête de Sophie entre ses mains pour lui montrer de près son regard courroucé et impatient. Elle continua.

- Sache que si j’ai continué à accueillir Thomas chaque été, à vous recevoir dans mon Domaine, c’est pour ses dispositions intrinsèques de soumis et non pour tes qualités de dominantes. Je croyais au début qu’il ne tiendrait pas cinq ans avec toi, mais il a résisté et te voue une admiration que je ne comprends pas. Moi ce que je vois depuis la proche bordure, c’est que tu as un problème avec les hommes que tu veux leur faire payer. Tu as haï tellement ton père pour le faire payer à tous les autres hommes ? Il te violait chaque soir en loucédé de ta mère qui fermait les yeux ?

Le regard de Sophie était flamboyant de colère.

- Tu le sais bien !! Non il ne m’a jamais aimé. Il préférait mes frères ! J’en pleurais de rage le soir ! Et mon Thomas, lui, l’a très bien compris…

-Enfin, après toutes ses années, voilà la clé secrète de Madame Sophie, révélée au grand jour. Un père injuste que l’a considérait comme moindre que ses fils. C’est évidemment plus que méprisable, et je l’aurais en face moi, je lui broierais les couilles dans ma main, rien que pour lui apprendre le respect dû aux femmes.  Voilà donc la réponse de l’énigme de l’amour que Thomas te porte. Cet être si respectueux des femmes est là pour te consoler du machisme de ton enfance. C’est la mission sur terre qu’il s’est donné avant de monter au paradis des soumis. Voilà aussi la racine de ton comportement avec moi. Cette soumission latente à une femme, cet acquiescement des pratiques purement lesbiennes et cette gêne quand je me mets à singer le Mâle. Y’a qu’à voir comment tu grimaces et serres les dents quand je te prends le cul au gode ! Un vrai sketch ! 

Sophie se taisait les larmes aux yeux.

- Mais Sophie ton enfance de méprisée ne te donnes pas le droit de castrer ton homme pour mieux effacer le père. Je suis sûre qu’il avait quantité d’amantes. Ton fidèle Thomas a droit aussi à son bien-être. Il n’est pour rien dans ton histoire familiale. Alors je repose ma question, vas-tu laisser la belle queue de ton Thomas prendre enfin du plaisir ? 

Sophie hésita en lutte intériere, avant de finalement se résoudre, l’esprit libéré.

- Oui, il peut prendre du plaisir. Il le mérite tant !

- Oui, qui ?

La question désarçonna Sophie. La machiavélique danoise soufflait le chaud et le froid.

- Oui, oui… Maîtresse.

- Tu n’as été honnête ni avec moi, ni avec Thomas. Cela mérite une punition. Quelle devrait être ta punition d’après toi, petite idiote ?

Sophie réfléchit à toute vitesse avant d’avoir l’intuition de ce que voulait sa Maîtresse Danoise.

- Avoir mon cul enculé, Maîtresse ?

- Oui brave chatte tu as trouvé. J’aurais aimé que cela soit la belle queue de Thomas qui aurait pu enfin profiter de ce que tu lui refuses depuis des années… Mais il est pris ailleurs, alors je vais m’en occuper moi-même.  Je te prendrai pendant que Thomas assaillira le cul de Nikka. Cela devrait qu’augmenter son ardeur et au final son plaisir. Et vu comme tu as été insolente, cachottière et injuste, je te réserve un gode de bon calibre que tu sentiras passer. As-tu compris, petite idote ?

Un frisson parcouru l’assemblée. Cette humiliation publique d’une Maîtresse par la Dominante alpha, était rarissime. D’habitude la domination des Maîtresses par Elke se faisait en chambre, loin des yeux indiscrets. Sophie serrait les dents d’appréhension mais finit sous le lourd regard par baiser en soumission la main de la Maîtresse des lieux.

- Comme… comme vous le voulez, Maîtresse.

- Ok voilà chose réglée : cela sera donc la queue de Thomas, un bon morceau de choix pour le cul de Nikka. Et une queue d’âne – un autre morceau de choix - pour le petit trou de notre Sophie révoltée. Mais tout cela sera pour le dessert. Car pour l’instant, je ne sais pas pour vous, mais je nous sens toutes tendues. Il faut absolument détendre l’atmosphère et je vous propose de jouer en apéritif à « Devine qui vient me sucer ? » avec nos soumis.

La proposition emporta l’enthousiasme général des Maîtresses, heureuses d’oublier la tension, y compris Claire qui avait bien compris le principe final mais ne connaissait pas encore en détail les règles du jeu.

- Allez rentrons nous préparer pour laisser le temps à nos soumis de se mettre en place.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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