CHAPITRE 32 - Tre røve i sol
Le repas terminé, le soleil chauffait le jardin et les esprits. Sophie avait dû se déshabiller, la honte aux joues, devant l’assemblée réunie, Maîtresses et soumis, comme une gamine prise en faute. Maîtresse Elke n’aurait laissé à personne d’autre le soin de l’attacher par la taille et les mains au banc de jardin malgré les protestations de la future punie. Noémie installa sa Nikka à côté qu’elle ficela aussi serrée. Au final, deux culs chauffaient serrés et inquiets au soleil en attendant d’être transpercés d’ici peu de temps, quand Elke réapparut avec le gode du « bon » calibre promis. La danoise se pencha sur une Sophie empêchée et décrocha la chaine autour du cou pour récupérer la clé de la cage de Thomas. Elle le libéra en jetant au loin les pièces de la cage. Le zizi sortait du tombeau et s’éveillait de son long sommeil. Le fluide vital l’irriguait de nouveau après tant de sécheresse. Les chairs se gonflaient et laissaient apparaître, au grand jour, ce que Claire catégorisa comme un très beau sexe circoncis à la pointe polie.
Déjà luisait dans les yeux de l’ancien encagé, l’avidité à mettre fin à ses cinq mois de disette sexuelle. Il n’avait rien contre sa consœur de soumission Nikka, mais il allait lui en mettre plein le cul pour son seul plaisir. Son tomahawk était déjà en alerte, tendu et vibrant, attendant l’autorisation d’Elke, comme toujours en ce Domaine, pour percuter sa cible.
Mais cela serait retardé un peu. Noémie intervint pour signaler qu’il y avait le chihuahua qui y échappait.
- Elle a raison, c’est pas normal que tu restes planqué… Allez ouste donne ton cul à Maîtresse Noémie ! Immédiatement !
Claire venait de condamner son chihuahua qui leva les yeux de surprise, puis les rabaissa après avoir compris qu’il venait d’être sacrifié à l’autel des déesses. Mais il se déplaça pour mettre son cul en place au bout du banc, à côté des deux autres. Noémie l’empêcha.
- Stop ! Au pied le chihuahua ! Toi c‘est pas pareil. Tourne toi que je te ficelle les mains dans le dos…
Etonné, il se laissa faire. Une cordelette serrée lui immobilisa les mains dans son dos. Maîtresse Noémie pris une chaise et l’installa derrière Elke et Thomas, en vue directe des culs en attente. « Aux premières loges ! Toi, le chihuahua, tu te mets devant moi et tu attends que je sois prête… ». Noémie sortit un gode de son sac qu’elle boucla sur le bas de sa cuisse.
- Et oui, tu n’es pas si con… Et tu as très bien compris que c’est toi qui va venir t’enculer tout seul sur le gode… comme une pute en manque. Nous les lesbiennes, on aime bien prendre nos copines ainsi. Mais cela peut aussi bien marcher avec un homme, bien que chez vous le choix d’orifice soit plus limité.
Elle avait insisté sur le mot pute. Le chihuahua avait la mine défaite et l’appréhension dans le regard.
- Et pas perds pas ton temps à demander du lubrifiant ! Ta Maîtresse m’a dit que tu te faisais enculer à sec maintenant…Tourne toi vers moi et mets-toi en position au-dessus de mon pal… Ton cul vers moi…
- Bon c’est fini… nous on a deux culs lubrifiés eux, qui commencent à s’impatienter.
Elke s’impatientait elle aussi. Maîtresse Noémie passa la main entre les jambes du chihuahua et le prit par les couilles sous la cage pour finir de le positionner à la verticale du gode dressé.
- Non, j’ai la situation bien en main. Ne vous gênez surtout pas ! Mesdames les Anglaises, tirez les premières !
Thomas ne se le fit pas dire deux fois. Il s’ajusta et dans le même mouvement perfora sans précaution la petite lesbienne jusqu’à la garde dans un hurlement accompagné d’un long cri de détresse qui alerta les oiseaux dans les arbres qui s’envolèrent au loin. La détresse de Nikka se transforma bientôt en protestations puis en supplications. Mais Thomas n’y fit aucune attention, tout à sa volupté naissante alors qu’il commençait à coulisser en cadence dans le cul étroit. Point de salut et point de négociation possible cette fois pour la soumise, jadis ce matin si réticente à donner son petit trou. Elle était prise et bien enculée, sans pouvoir se révolter et l’empêcher.
D’une manière inhabituelle au Domaine, les Maîtresses avaient laissé la prédominance à un soumis.
- Allez à toi, petite effrontée. On va voir si tu prends le gode aussi bien que Nikka prend le phallus.
Maîtresse Elke prit son temps pour punir « sa » soumise, avec il est vrai un gode hors nature, en prenant possession centimètre par centimètre du corps à vif. Sophie serrait les dents sans parvenir à étouffer les plaintes de douleur et les pleurs d’humiliation. Jamais elle ne s’était sentie si rabaissée aux yeux du monde, et « putain qu’est-ce que le gode faisait mal ! ».
Le chihuahua se retrouva bon dernier à se trouver oblitéré du cul. Et si l’assemblée l’entendit lui aussi bruitament hurler, ce n’est parce que le gode le possédait mais parce que Maîtresse Noémie lui broyait les couilles en les tirant pour le forcer à s’empaler sur le gode qu’il refusait de prendre. « Ton cul ou tes couilles, il est temps de choisir ton destin chihuahua… ». Et ce fut les deux car d’un dernier tiraillement vicieux sur les orphelines meurtries, Maîtresse Noémie obtint que son soumis d’un jour descendit enfin sur le gode, dans une longue plainte de détresse bestiale.
- Tu vois quand on te motive un peu… allez au travail petit bonhomme. On joue au manège. On monte et on descend en cadence…
Le chihuahua eut quelques difficultés au début accompagnée de grimaces, que la pression sur les couilles eut virent vite fait de lui faire dépasser. Peu à peu les chairs se détendaient, rendant le mouvement de va et viens plus facile. Trop peut-être… A sa grande honte, son sexe encagé se mit à baver sur la main de la Maîtresse. Noémie lui fit remarquer comment il était « un bon petit PD qui coule dès que l’on s’occupe de son petit trou d’amour ». Il en était tout rouge d’effort et d’humiliation.
Toutes inconsciemment se synchronisaient sur le rythme lent de Thomas qui avait décidé de profiter jusqu’au bout de sa bonne aubaine. Nikka se prenaient des séries de profonds coups de rein dans le cul qui la dévastaient. Elke, pleine de reproches, travaillait avec sadisme le cul de sa soumise, enculage et déculage, et ainsi de suite. Nikka guidait par les couilles du chihuahua, les montées et descentes sur le gode.
Thomas se retint longtemps. Il beuglait son plaisir comme il n’avait jamais osé le faire avec sa Maîtresse. D’ailleurs, il avait une vue sur le cul de Sophie qui s’en prenait, disons, plein le cul et haletait sous les assauts du gros gode vicieux de la danoise. Alors que la pression montait, il donna des tapes possessives de mâles sur les fesses de Nikka, tout en accélérant encore les percussions, maintenant avide de se répandre enfin après tant de rétention dans le mielleux du conduit.
Le mâle qui jouit d’une femelle ressemble à un grand cerf guidé par ses bas instincts, bramant à tout vent sa jouissance. Thomas ne manqua pas de s’inscrire dans cette règle millénaire, sous les sourires moqueurs des Maîtresses présentes. Il se finit dans un dernier coup de rein arqué sur le corps de sa femelle dans un long brame. Nikka ne put s’empêcher d’être surprise par sa toute première giclée de mâle qui partit loin au fond de ses entrailles. Elle se mit à pleurer doucement d’émotion plus que de déchéance pendant que son enculeur se retirait…
Maîtresse Noémie ordonna au chihuahua de se déficher le cul du gode et le rendit à sa vraie Maîtresse. Thomas restait interdit devant le cul qu’il venait de souiller, ne sachant pas que faire maintenant qu’il reprenait ses esprits. C’est alors que l’assemblée constata qu’Elke n’avait pas cessé, elle, de besogner sa soumise. Elle demanda alors à Thomas de passer derrière le banc pour « se nettoyer la bite dans la bouche de sa femme ». Il y eut comme une hésitation qu’interrompit Elke d’un coup de plug plus profond et marqué, montrant son impatience. Sophie finit par emboucher l’engin sorti du cul d’une autre qu’elle nettoya avec dégout.
- Fais-voir si c’est tout propre ?
La danoise avait interrompu le mouvement du gode en fond de cul. Elle se pencha sur le dos de la soumise pour mieux voir l’état de propreté, arrachant au passage un cri alors que l’engin distendait les muqueuses.
- Humm. Pas mal… Bon Thomas je te propose de nous partager ta Sophie maintenant. Toi dans sa bouche et moi dans son cul. Une double pénétration rend une femme tout de suis plus modeste et moins rebelle.
- Je ne sais pas si… Maîtresse Elke.
- Mais t’es con comme mâle toi. Je t’offre de partir dans la bouche de ta femme qui te contraint depuis des mois et tu fais la fine bouche, si j’ose dire.
- Mais…
- Ah oui. Le après ! Bien faut savoir prendre des risques dans la vie mon petit homme. Et quoi que tu payes ensuite, elle ne t’enlèvera pas que ce tu lui auras pris aujourd’hui sa bouche. Allez, un peu de courage.
Dans le Domaine de Maîtresse Elke, rien n’était jamais gratuit. Et chaque plaisir pris par un soumis se payait à un moment ou à un autre. Thomas croisa le regard de sa Maîtresse, flamboyant de menace. De toute façon, ses crimes étaient déjà établis et la liste était déjà longue. Anéantissement de mois de chasteté. Humiliation publique de sa Maîtresse. Il était aussi quelque part à l’origine de sa punition. Il savait déjà qu’il allait durement et longuement l’expier. Alors rajouter la prise de sa bouche en plus ? Oui pourquoi pas après tout… Thomas se concentra sur les lèvres de sa Maîtresse de femme. Son vit renaissait devant les pupilles de Sophie incrédules d’avoir perdu autant de maîtrise de son soumis en si peu de temps. Il se présenta devant l’orifice disponible, les yeux excités. Sophie déclina en tournant la tête de côté. Il la remit en position et cette fois gardant la tête bien immobilisée entre ses mains, envoya son gland circoncis carmin buter contre les lèvres humides. Quelques claques danoises bien senties sur les fesses de Sophie, finirent de faire abdiquer cette bouche. Le phallus pénétra la moiteur pour bien s’y installer. Sophie déglutit et chercha sa respiration par le nez. L’homme commença de lents mouvements, la main possessive sur la nuque de sa femme pendant qu’Elke reprenait le rythme emballé de son plug dans le cul. Prise des deux côtés ! Thomas ne cherchait pas à se retenir. Sa respiration s’accélérait et il donnait des petits coups de reins pour faire aller et venir son sexe turgescent dans la gorge accueillante. Sophie, les lèvres distendues par le mandrin savait ce qu’il allait venir inéluctablement et rapidement. Un dernier afflux de sang, une dernière tétanisation dans les reins, et tout le monde sut que l’affront avait été consommé au fond de la gorge, salué d’un gémissement étouffé de la receveuse de l’hommage gluant express.
Thomas se retira pendant qu’Elke s’enlevait elle aussi. La verge ramollissante entraîna avec elle des filaments de sperme qui retombèrent sur le menton et finir d’outrager sa femme. Sophie chercha à reprendre son souffle, à se débarrasser de la souillure à force de toussotements et de raclages de gorge. En vain ! Elle était bien marquée du goût intime de son mâle à son désespoir. Son visage était complètement défait, des larmes d’humiliation coulaient. Jamais, elle ne lui avait accordé cette faveur qui la répugnait. Et là malgré tout ce qu’elle pourrait faire, malgré toute la sauvagerie qu’elle mettrait à se venger sur lui, Sophie savait qu’il y avait des marques qui ne s’effaceraient jamais. Elle avait eu une fois le goût du sperme abject de son homme soumis dans sa bouche, elle le garderait toute sa vie comme marque d’infamie.
- Thomas, je crois qu’il est temps que tu te ré-encages maintenant. Joseph va t’aider à en chercher les pièces dans l’herbe.
Après quelques recherches, la cage fut remontée et de nouveau bien accrochée au sexe de Thomas. Elke referma le verrou alors que Noémie finissait de détacher les deux sacrifiées sur un signe discret de la Maîtresse du Domaine.
- Voilà, tout est bien sous clé.
Dit Elke en donnant un petit coup vicieux sur les couilles qui dépassaient obtenant un rictus du mâle encagé à nouveau.
- J’espère que tu en as bien profité, car quelque chose me dit que tu n’es pas prêt d’en ressortir avant un bon moment. Ah, ah, ah !
Elke remit le pendentif avec la clé à Sophie qui le prit les yeux en colère et qui attacha la laisse au collier de son soumis avant d’un coup de pied vicieux le faire chuter par terre. Déjà la laisse le tirait comme un ordre impérieux à la suivre sa Maîtresse sur le champ. L’attelage s’arrêta néanmoins quelques mètres plus loin, le temps pour Sophie de boire un grand verre d’eau, avant de le recracher de mépris sur son soumis, plusieurs fois pour enlever la souillure. La laisse se tendit de nouveau impatiente et elle l’extirpa du cercle des mauvaises influences, non sans annoncer de vive voix qu’il allait payer sur le champ sa fanfaronnade sur le banc du fessoir. « Il est temps que tu grandisses un peu. J’ai été trop tolérante avec toi, mais crois-moi cela va changer ».
- Bigre, que voilà une Maîtresse en colère, je crois qu’aucun soumis ne souhaiterait honnêtement être à sa place dans l’heure qui va suivre.
Il fallait croire que la diabolique Elke ne s’arrêtait jamais de jouer de la comédie humaine. Claire se demanda qu’est-ce qui l’attirait chez cette femme et le drôle de mode de vie qu’elle proposait. La scène lui avait été agréable à la chatte. Son chihuahua faisant des simagrées pour coulisser sur le plug. La petite effrontée qui en avait pris plein le cul, douce vengeance de son refus du matin. Mais surtout elle l’avait regardé avec attention agir sur une des soumises de son harem, le gode pénétrer et ressortir, la soumise grimacer sous l’intrus. Tout cela ne la laissait pas indifférente. Ah un moment même elle avait fermé les yeux et s’était imaginée à la place de Sophie, soumise à la loi de sa Maîtresse. Elle en avait eu la culotte inondée. La fascination du mal absolu, mais si tentant… Mais là à froid, après avoir vu les dégâts qu’Elke avait causé en jouant de la faiblesse de l’homme, et ce pour son simple amusement royal, son vagin s’était complètement asséché face à la réalité des choses, beaucoup moins BDSMoromantiques. Cette femme était dangereuse. Elle détruisait tout ce qu’elle touchait et plus que jamais, elle devait s’en tenir éloignée et profiter du simple plaisir campagnard de s’amuser avec son mari soumis, loin des fastes dégénérées de la cour de la Danoise. Elle se promit de s’en tenir dorénavant à cette précaution.
Elke néanmoins réussit à la faire sortir de ses pensées et à attirer son attention. Il était question de son chihuahua. Joseph répondait.
- Non Maîtresse, nous n’avons pas eu le temps de terminer la préparation du chihuahua pour la cérémonie du marquage. J’ai eu peur que le retard vous importune…
- Tu as bien fait, bjørneunge. De toute façon l’après-midi ne fait que commencer et tu as largement le temps de la finir. Il est où le chihuahua ? … Ah il est là. Il se cache derrière les jupes de sa Maîtresse. C’est qu’il serait un jeune chiot peureux ? T’inquiète pas tata Elke et tonton Joseph, vont bien s’occuper de toi. Comme cela, ta Maîtresse pourra se reposer cet après-midi, débarrassée de ta présence. Allez, chihuahua, viens voir tata, IMMEDIATEMENT !
Le chihuahua obéit avec crainte et vint se placer au pied de la danoise.
- Allez fait le beau, le toutou et donne les papattes.
Elke s’assit sur la chaise laissé par Noémie devant le chihuahua ridiculeusement redressé sur ses genoux. Elle lui tordit un bras puis l’autre pour les ramener dans le dos, où est attacha solidement les mains ensemble avec une corde amenée par Joseph juste au moment où elle en avait besoin.
- Il se tourne le chihuahua pour monter son ventre à « mémère ». Claire peux-tu me confier sa clé ?
Claire enleva la clé de son cou, attentive au manège impliquant son chihuahua. La cage fut enlevée avec habitude. Joseph toujours impeccable débarrassa Elke sur le champ.
- Allez, fait voir comment tu bandouilles de la nouille.
L’assemblée restante toujours avide de nouveauté s’était regroupée autour de la danoise et du soumis. Elke astiqua un peu le chihuahua pour voir la chose se dresser. Pas assez à son goût, elle remit quelques coups de paluches.
- C’est tout ? Cela ne devient pas plus gros ou long ? Avec ça, ne t’étonnes pas que Madame aille voir ailleurs des vrais mâles… Tout juste bon à rester bien rikiki dans sa cage. Allez stop, suffit ! Tu ne crois pas que je vais te laisser cracher ton petit jus de garçonnet. Attends tu vas voir, Elke a un remède très efficace pour faire débander les jeunes chiots comme toi !
Et c’était vrai. Un écrasement des couilles bien fait faisait certes crier le chien, mais lui enlevait toute fierté mal placée rapidement. Elke tâtait le paquet en faisant rouler les petites choses entre ses doigts.
- Une fois propre, tu me le bagueras, bjørneunge, en taille 4, cela devrait être suffisant.
- Comme vous le voulez, Maîtresse…
Le chihuahua termina sa préparation avec une cordelette attachée derrière le paquet, en guise de laisse. Le temps de lécher maladroitement les escarpins de Claire pour lui fêter au-revoir à la mode toutou et il était relevé par Joseph, qu’il suivit bientôt aussi rapidement qu’il put pour éviter qui lui arracha les couilles.
Ils descendirent par l’étroit escalier au sous-sol, traversèrent la salle où Joseph avait été si puni hier, pour atteindre une petite pièce très médicale tout de blanc carrelé du sol au plafond. Au centre une large table en inox équipée de deux étriers gynécologiques. Joseph sangla le chihuahua sur le dos, les jambes relevées. Il amena alors au-dessus du corps un bras fixé au plafond d’où pendaient de menaçants flexibles.
- C’est… c’est quoi tu me fais un peu peur !
- Une machine automatique à laver le cul des soumis, une invention de notre cher ami allemand. Et t’inquiètes pas, ce n’est pas aussi méchant que cela en a l’air. J’ai recommencé à l’utiliser ce matin et pendant votre repas. Et j’y serai branché trois fois par jour pendant le mois à venir, à cause de toi. Allez détends-toi le plus dur c’est la mise en place de l’adaptateur pour les soumis comme toi qui n’en sont pas équipés en permanence. Respire un bon coup, cela va faire un peu mal.
Pierre voulut protester, mais déjà on lui mettait en forçant la canule. Il la sentit passer mais commença à paniquer un peu quand il comprit que la canule allait profond, très profond.
- T’inquiète pas. Cela pas fait pour te blesser. J’ai la même en permanence dans mon cul depuis hier. Toi je t’enlèverai à la fin de la séquence, petit chanceux.
Joseph raccorda la canule aux flexibles. Immédiatement le chihuahua eut la sensation désagréable de baudruches qui se gonflaient dans et à l’extérieur de son cul.
- Bon étanchéité établie. Je lance la séquence. Disons deux prélavages, trois lavages et deux rinçages, cela devait te laisser le cul tout propre.
Et aussitôt le chihuahua sentit l’eau tiède s’écouler dans son rectum…
Trois quarts d’heure plus tard, Joseph vint détacher un chihuahua complétement exténué par le lavement. Il avait eu des moments de fortes douleurs dans le ventre, des moments de soulagement alors que le flux était finalement refoulé, suivi des moments de détresse alors que le lavage suivant recommençait. Joseph vérifia le résultat du dernier rinçage prélevé pendant la phase de reflux.
- Parfait un cul tout propre ! Ta Maîtresse va être contente… Allez hop je me dépêche de te mettre au frais au cachot pour ce soir, car j’ai la fête à préparer. Ta fête à toi, le chihuahua.
Il les emmena à l’autre bout du sous-sol dans une pièce fermée d’une lourde porte de bois. Aucun meuble, aucune lumière extérieure, des murs en pierres humides et un solide poteau au centre la pièce. Une atmosphère si froide.
- Tu vas attendre là le reste de l’après-midi que je vienne te chercher pour le banquet en ton honneur ce soir. Maîtresse Elke tient beaucoup à ce que les soumis y méditent, une sorte de Cabinet de Réflexion dans le rite d’Initiation d’un soumis avant leur marquage à vif. Tu vas t’y sentir frêle et fragile, abandonné, c’est le but. Allez donnes- moi tes poignets, que je te passe les bracelets de fer… oui aucune ouverture visible… seule ta Maîtresse saura bientôt comment te les enlever, si elle décide de tes enlever.
Une fois les mains immobilisées dans le dos, Joseph procéda au baguage proprement dit. C’était le quatrième qu’il réalisait, quatre soumis destinés à être marqués au fer comme le sera le chihuahua ce soir. Déjà un monde. La bague était une sorte d’anneau de couilles qui aurait été écrasée d’un côté par la patte d’un éléphant, résultant en une sorte d’ovale très arrondi en deux parties articulées. Il prit une taille 4, serré parfaitement comme l’avait vu le coup d’œil exercé de Maîtresse Elke. Faisant fi des cris de supplication, il bagua avec la dextérité de l’expérience acquise les couilles du soumis en force. La bague étirait de façon indécente la peau de scrotum entre le pénis et les testicules qui venaient s’écraser douloureusement contre le bord inférieur de la pièce de métal. Avec cette mâchoire, il n’y avait que douleur lancinante sans aucun répit pour le porteur. C’était une contrainte qui prenait l’esprit totalement.
Joseph compléta le harnachement du chihuahua avec le même type de bracelets aux chevilles qu’aux poignets. Il referma aussi autour de son cou, un collier de même tenue. Toutes les pièces avaient un anneau soudé permettant la mise en place de solides attaches…
Quand Joseph laissa finalement Pierre dans la noirceur du Cabinet de Réflexion, il portait une lourde chaine depuis son cou jusqu’à ses pieds en passant par la bague de couilles. Une seconde chaîne partait de ses mains immobilisées dans son dos, passait serrée dans son entrejambe pour s’accrocher au prendre au passage le second anneau de la bague, avant de finir accrochée par un mousqueton à un solide crochet fixé sur le poteau central. Pas plus de dix centimètres de jeu entre les couilles baguées et le poteau. Le chihuahua ne pouvait ni s’assoir, ni marcher pour soulager ses jambes, juste attendre et attendre encore une libération qui semblerait ne jamais venir, les muscles endoloris et les boules en feu…
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