Jeudi 1 août 4 01 /08 /Août 08:00

CHAPITRE 30 - Det er bedre at adlyde!

Maîtresse Claire n’avait cependant pas oublié le refus d'obéissance de son soumis. Il allait la payer mais à sa manière.

Quelques jours plus tard, un banal colis fut livré par la Poste. Claire l’ouvrit en famille devant des enfants curieux et un papa inquiet. Il avait raison d’être inquiet car elle l’intérieur il y avait un pyjama intégral pour leur fils de cinq ans, avec des girafes et des lions brodés dessus,… et le même en extra-large pour le père. Il en fut surpris. Cela ressemblait tellement à une histoire récupérée sur le net, qu’il utilisait pour se branler. Comment pouvait-elle le savoir ? Le surveillait-elle sur l'ordinateur ?. Mais là c’était une réalité qui ne lui plaisait au final pas tant que ça...

- Claire tu ne comptes quand même pas que je mette cela pour dormir ?

- Si, j’en cherchais un pour notre loulou depuis quelques temps. Tu sais qu’il bouge tellement la nuit qu’il se découvre la nuit et prend froid l’hiver. Alors quand j’ai trouvé ce modèle sur internet, j’ai vu aussi qu’il existait pour les papas, alors j’ai décidé d’en prendre un pour le père et le fils. Vous serez mignon tous les deux ainsi.

Le petit était enthousiaste de porter le même pyjama que son papa. Sa grande sœur était carrément pliée en deux, le regard étincelant. Et la maman avait le sourire des grands jours. Le soir venu après avoir couché et embrassé les enfants, Pierre se retrouva avec Claire dans la chambre. Le petit avait insisté pour passer immédiatement son nouveau pyjama fermé si rigolo. Le père lui redoutait de devoir passer le sien. Claire l’y encouragea.

- Allez mon amour, il est temps de passer ta jolie grenouillère pour la nuit… je suis sûr que tu vas être si mignon dedans… comme l’est notre loulou.

Pierre ne s’était jamais senti aussi humilié de sa vie d’adulte. Il savait que Claire y tenait, que l’idée venait de lui quelque part et que donc il n’avait pas d’autres choix qu’obéir. Il se mit nu pour passer l’humiliante tenue de nuit, le cœur serré. Dans un soupir, il se résigna et chercha à ouvrir la fermeture-éclair ventrale. En vain ! Il leva des yeux plein d’interrogation vers sa Maîtresse…

- Ah oui, j’ai oublié de te dire mon amour, la tienne de papa soumis est quelque peu différente de celle de notre loulou. Le zip sur le devant est factice. Chez toi, elle se referme par l’arrière d’une manière que tu ne puisses pas l’enlever sans mon aide ou autorisation. Je l'ai fait modifiée par une couturière peu curieuse. Cela me paraissait plus D/S ainsi.

Maîtresse Claire aima l’expression choquée du visage de son mari chihuahua, très contente de sa (mauvaise) surprise.

- Mais… mais si j’ai besoin d’aller aux toilettes, comment ? Comment je pourrais ?

- Attend ne panique pas. Chaque problème à sa solution. J’y ai déjà pensé…

Et elle sortit du placard un paquet de couche pour adulte. Le visage de son mari était devenu cramoisi ! Oh qu’elle était contente de son effet !

- Allez ne perdons pas de temps à discuter. De toute façon, cela ne changera rien pour ce que j’ai décidé pour toi. Il faut que tu m'obéisses sans pose de question. Tu te rappelle ? Allez ouste sur le lit que je t’ajuste ta couche mon gros bébé, puis dans ta jolie grenouillère et hop au lit pour un bon gros dodo réparateur.

Ce qu’il fut fait après que Maîtresse lui  ait donné une fessée de mise au point,  la première depuis sa rébellion. Il mit longtemps à s’endormir cette nuit-là, et pas qu'à cause de sa cage, maugréant contre la réalité si perturbante par rapport à ses fantasmes. C’était clairement une punition et là il s’était eu lui-même : cela ne pouvait pas être pire. En fait si ! Il se réveilla assez tard après avoir eu beaucoup de mal à s’endormir dans la nuit. Le lit était vide, Claire déjà levée. C’était un jour férié, il n’était pas pressé. Pierre se dirigea vers la salle de bain, pour le pipi matinal et pour libérer le pression dans la cage. Et merde ! Il avait oublié sa maudite grenouillère ! Il partit à la recherche de sa femme. La maison était vide, à l’exclusion de leur fils en train de regarder des dessins animés. Il finit par trouver sur la table de la cuisine, un mot laissé à son attention : « Mon amour, je suis partie tôt à un vide grenier. Je pense rentrer vers midi. Pense à préparer le repas. Je t’aime. ». 

« La saligote ! », l'injure familière lui échappa des lèvres. Ce n’était pas du jeu ! Elle ne pouvait pas lui faire cela. Et sa vessie pleine lançait l’alerte. Il ne pouvais pas faire dégonfler le pénis dans sla cage. Il envoya une main pour essayer de trouver le bout de la fermeture dans son dos. Il sentait une bosse, mais rien que ces doigts puissent accrocher. Pierre alla dans la salle de bain essayant de voir le système de fermeture dans son dos derrière dans le miroir, sans grand succès. Puis il eut l’idée de prendre une photo avec son téléphone du haut de son dos. Avec fébrilité, il regarda le résultat. La vraie fermeture était camouflée sous un retour de tissus. En haut son extrémité disparaissait au niveau du col derrière une épaisse bande de tissus, qui se terminait par ce qui était une serrure discrète. En gros plan, il voyait nettement le trou pour la clé, qu’il n’avait pas ! Ses espoirs s’envolèrent et l’accablement le gagna. A quoi bon lutter face à une telle détermination de Maîtresse Claire ? Il se sentit plus que jamais soumis, et instantanément cessa de lutter et fit pipi dans sa couche debout dans la cuisine, ressentant au fond de son être l’humiliation extrême de ce moment voulu par sa Maîtresse, pendant que l’urine chaude coulait en dehors et alourdissait peu à peu sa couche. La honte totale !

Quand Claire finit par rentrer, elle retrouva son mari passablement bougon de la situation où « Elle » l’avait mise à dessein. Elle ne dit rien et préféra attendre la fin de la bouderie. Le soir elle lui posa la question s’il préférait tout arrêter ? Normalement il aurait répondu instinctivement oui. Mais là il savait que Maîtresse Claire le testait, alors il resta silencieux avec grande difficulté et remords de sa liberté d'homme libre perdue.

A partir de ce moment cage de chasteté, grenouillère et couche pour la nuit fut le lot quotidien du chihuahua pour quelques semaines, entrecoupées de fessées et de mise au coin le soir pendant qu’elle regardait la télé. Il s’habituait à ce rythme qui l’envoyait loin dans sa tête, même s’il aurait souhaité des activités D/S moins répétitives. Les enfants partirent pendant les vacances scolaires chez les grands parents, ce qui offrit l'occasion à sa Maîtresse de durcir son régime : grenouillère en permanence dès qu’il était à la maison avec la couche. Dure fessée tous les soirs. Mise au coin à toute heure et en tout endroit dans la maison. Le summum de la séquence fut atteint lors d’un week-end mémorable enchâssé dans sa grenouillère, où plus que jamais il sentit l’emprise de sa soumission à sa Maîtresse, forcé d’utiliser ses couches d’une manière qu’il n’aurait jamais cru devoir endurer dans sa vie d’adulte, devant attendre la disponibilité de sa Maîtresse pour avoir le droit de se changer, ressentant l’humiliation totale au fond de son être et adorant finalement tout cela… 

Il descendait dans la noirceur et aimait cette sensation de déchéance. Il était en extase devant sa Maîtresse et en voulait encore plus. Pourtant au retour des enfants, Claire décida de tout arrêter, d’un coup sans rien lui expliquer. Il en fut tout chamboulé les deux premiers jours, puis apprécia de pouvoir agir en homme libre pendant un temps, avant de se mettre à maugréer contre ce rien qui s’opposait à ce tout qu’il venait de vivre. La vie raisonnable lui semblait trop terne, et il errait dans la maison, allant mater dès le soir venu des vidéos de Maîtresses implacables martyrisant leurs soumis. Sa soumission à Maîtresse Claire lui manquait. Cela dura jusqu’au séjour au domaine.

Jusqu’à présent leurs jeux étaient restés dans les limites de la maison. Ce séjour au Domaine était en fait un peu son coming-out de soumis, la première fois qu’il était montré dans son état de mari dominé aux yeux des autres. Il en retirait des sentiments mitigés. Se montrer dans un état d’infériorité n’était pas finalement si simple. Certaines choses lui avaient été faciles, sans doute aidés par la folle excitation du moment, comme être promené en permanence en toutou au pied de sa Maîtresse ou même se faire épiler nu par deux gars. Il se découvrait un côté assez exhibitionniste. D’autres, au contraire l’avait meurtri dans son âme, comme l’usage que Joseph avait fait de ses orifices dans l’écurie, le ramenant à un passé douloureux. La douleur ou la contrainte physique lui servaient d’échappatoire à ressentir l’humiliation. Mais là il savait d’avance que la douleur d’une fessée est plus que supportable et que, d’aucune façon, il ne pourrait se voir autrement qu’en petit garçon en train de se faire fesser le cul par une adulte, d’autant que Claire  lui avait annoncé n’avoir rien à lui reprocher. Une sorte d’humiliation gratuite en quelque sorte, pour le bon plaisir de sa Maîtresse et de ses collègues, qu’il redoutait…

Le chihuahua attendait donc, le rouge aux joues, le début de la sérénade du fessé. Après avoir flatté rituellement le globe des fesses, sa Maîtresse commença les séries de claques en cadence qui rebondissaient sur le globe fessier, en lui donnant rapidement des bonnes couleurs et déclenchant une gigue des jambes chez le fessé, qui comme prévu fut abondamment commentée par l’assemblée féminine. La honte totale ! Comme prévu et redouté…

- Oh le vilain petit garçon qui se fait fesser par sa maman…

- C’est vraiment ridicule ces jambes qui remuent en tous sens…

- Va-s’y frappe plus fort, Claire ! Il ne le sait pas, mais il l’a bien mérité !

Pierre se sentait si humilié au sein de cette assemblée de femmes redoutables. Et il attendait avec impatience la fin de la fessée, même si cela signifiait que Maîtresse Claire allait l’envoyer au coin terminer de boire son humiliation. 

La fessée pris en effet fin mais pas d’ordre d’aller au coin. A la place, Claire le maintint couché sur ses genoux et lui enfonça un doigt profond dans l’anus, qui le surprit et l'humilia. Il essaya de se relever d’instinct mais une tapette sur la tête lui intima l’ordre de rester calme.

- Ah que cela fait du bien de fesser son mari soumis. J’en ai la chatte toute bouleversée.

Les femmes rigolèrent de bon cœur. Elke répondit collectivement : 

- Oui Claire c’est toujours un spectacle rafraichissant cette danse des jambes. Ah vraiment que les hommes sont trop douillets ! Fesse ton mari chaque matin, si tu ne sais pas pourquoi, lui le sait !

Cela déclencha de nouveau un rire général. Noémie reprit :

- oh ce repas commence dans la meilleure ambiance. Allez j’y vais aussi de notre participation. Ce matin, Claire a promis à ma petite soumise récalcitrante une vraie queue d’homme dans son cul en punition. Cela serait peut-être le moment de la consommer tant que c’est chaud ?

Nika boudait manifestement. Ce qui amusa beaucoup l’assemblée. 

- Bon le sort de Nikka est réglé, mais il nous manque quand même une queue de mâle pour le cul de Nikka. Joseph est puni et je ne vois pas le petit machin du chihuahua s’occuper de cela. Alors Sophie pourrions-nous t’emprunter ton Thomas ? 

- Je ne crois pas...

- Comment cela tu ne crois pas ?

- Je garde Thomas complètement chaste depuis 5 mois avec deux ou trois milking pour tenir dans la durée. Je veux l’amener à une chasteté de 6 mois ou plus. Et là tu lui offres pour le simple amusement de la galerie, une jolie et jeune femelle, quasi vierge du cul que tu lui demandes d’enculer par jeu. Le plaisir d’un instant contre une construction de plusieurs mois. Je sais évidemment que Thomas profitera de l’aubaine – quel homme résisterait dans ce cas  ? - avant de la regretter amèrement après coup. Alors, Elke,  je te demande de renoncer à cette idée. Tu n’as qu’à prendre à la place ton fidèle bjørneunge. Lui sait t’obéir et prendre des culs presque vierges à ta demande, pour ton bon plaisir…

L’échange avait mis en tension l’assemblée, surtout la dernière phrase. Sophie était toute rouge de sa tirade de défi à l’autorité de la Danoise. Elke prit du temps à répondre à l'insolente, en scrutant l’un après l’autre ses invitées, cherchant ses alliées et essaynt de deviner si certaines étaient prêtes à suivre Sophie dans sa petite rébellion. Puis elle répondit avec un calme très froid :

- Tu aurais donc des scrupules à prêter ton soumis à nos caprices ? Que voilà une chose étonnante, qui pour une femme, pas plus tard que cette nuit suçait avec dévotion ma chatte et se faisait prendre les trous au gode ceinture. Que voilà aussi une chose étonnante pour une épouse qui laisse chaque été partir son mari seul chez une autre tout en feignant de croire qu’il ne s’agit pas de rencontres sexuelles « partagées ». Et pourtant crois-moi le superbe phallus de ton mari, je me le suis pris souvent par plaisir que cela soit dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon cul. Je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi tu n’en profites pas plus, plutôt que de te faire sucer à ne plus finir ou jouer au rabbit ? Aurais-tu un problème de ce côté ?

La Danoise fit une pause pour regarder intensément l’insolente Sophie, désormais mal à l’aise.

- Non tu nous fais une crise de jalousie mal placée. Ton soumis Thomas n’existerait pas sans moi, sans le façonnage que je lui ai imposé pour que tu puisses te parer de sa soumission, comme une femme du monde exhibe un collier de diamants obscène. Rien chez Thomas n’est ta création. Tu imites au mieux que tu peux, les vraies dominantes mais tu n’en es pas complètement une au final. Jamais ton Thomas n’est un soumis plus heureux que quand il passe sous ma férule l’été. Alors si j’ai envie de le regarder prendre son pied au fond du cul d’une jeune fille sexy et bien foutue – certes encore uniquement lesbienne, personne n’est parfait – , je le récompense alors que toi tu le détruis à petits feux avec des comportements de femme du monde frigide trop sage. Et il n’y aurait pas une belle dose d’amour pour ta terne personne, que je n'ai jamais totalemrnt comprise, il aurait rejoint depuis longtemps mon sérail d’esclaves à son grand profit !

Elke se rapprocha pour prendre la tête de Sophie entre ses mains pour lui montrer de près son regard courroucé et impatient. Elle continua.

- Sache que si j’ai continué à accueillir Thomas chaque été, à vous recevoir dans mon Domaine, c’est pour ses dispositions intrinsèques de soumis et non pour tes qualités de dominantes. Je croyais au début qu’il ne tiendrait pas cinq ans avec toi, mais il a résisté et te voue une admiration que je ne comprends pas. Moi ce que je vois depuis la proche bordure, c’est que tu as un problème avec les hommes que tu veux leur faire payer. Tu as haï tellement ton père pour le faire payer à tous les autres hommes ? Il te violait chaque soir en loucédé de ta mère qui fermait les yeux ?

Le regard de Sophie était flamboyant de colère.

- Tu le sais bien !! Non il ne m’a jamais aimé. Il préférait mes frères ! J’en pleurais de rage le soir ! Et mon Thomas, lui, l’a très bien compris…

-Enfin, après toutes ses années, voilà la clé secrète de Madame Sophie, révélée au grand jour. Un père injuste que l’a considérait comme moindre que ses fils. C’est évidemment plus que méprisable, et je l’aurais en face moi, je lui broierais les couilles dans ma main, rien que pour lui apprendre le respect dû aux femmes.  Voilà donc la réponse de l’énigme de l’amour que Thomas te porte. Cet être si respectueux des femmes est là pour te consoler du machisme de ton enfance. C’est la mission sur terre qu’il s’est donné avant de monter au paradis des soumis. Voilà aussi la racine de ton comportement avec moi. Cette soumission latente à une femme, cet acquiescement des pratiques purement lesbiennes et cette gêne quand je me mets à singer le Mâle. Y’a qu’à voir comment tu grimaces et serres les dents quand je te prends le cul au gode ! Un vrai sketch ! 

Sophie se taisait les larmes aux yeux.

- Mais Sophie ton enfance de méprisée ne te donnes pas le droit de castrer ton homme pour mieux effacer le père. Je suis sûre qu’il avait quantité d’amantes. Ton fidèle Thomas a droit aussi à son bien-être. Il n’est pour rien dans ton histoire familiale. Alors je repose ma question, vas-tu laisser la belle queue de ton Thomas prendre enfin du plaisir ? 

Sophie hésita en lutte intériere, avant de finalement se résoudre, l’esprit libéré.

- Oui, il peut prendre du plaisir. Il le mérite tant !

- Oui, qui ?

La question désarçonna Sophie. La machiavélique danoise soufflait le chaud et le froid.

- Oui, oui… Maîtresse.

- Tu n’as été honnête ni avec moi, ni avec Thomas. Cela mérite une punition. Quelle devrait être ta punition d’après toi, petite idiote ?

Sophie réfléchit à toute vitesse avant d’avoir l’intuition de ce que voulait sa Maîtresse Danoise.

- Avoir mon cul enculé, Maîtresse ?

- Oui brave chatte tu as trouvé. J’aurais aimé que cela soit la belle queue de Thomas qui aurait pu enfin profiter de ce que tu lui refuses depuis des années… Mais il est pris ailleurs, alors je vais m’en occuper moi-même.  Je te prendrai pendant que Thomas assaillira le cul de Nikka. Cela devrait qu’augmenter son ardeur et au final son plaisir. Et vu comme tu as été insolente, cachottière et injuste, je te réserve un gode de bon calibre que tu sentiras passer. As-tu compris, petite idote ?

Un frisson parcouru l’assemblée. Cette humiliation publique d’une Maîtresse par la Dominante alpha, était rarissime. D’habitude la domination des Maîtresses par Elke se faisait en chambre, loin des yeux indiscrets. Sophie serrait les dents d’appréhension mais finit sous le lourd regard par baiser en soumission la main de la Maîtresse des lieux.

- Comme… comme vous le voulez, Maîtresse.

- Ok voilà chose réglée : cela sera donc la queue de Thomas, un bon morceau de choix pour le cul de Nikka. Et une queue d’âne – un autre morceau de choix - pour le petit trou de notre Sophie révoltée. Mais tout cela sera pour le dessert. Car pour l’instant, je ne sais pas pour vous, mais je nous sens toutes tendues. Il faut absolument détendre l’atmosphère et je vous propose de jouer en apéritif à « Devine qui vient me sucer ? » avec nos soumis.

La proposition emporta l’enthousiasme général des Maîtresses, heureuses d’oublier la tension, y compris Claire qui avait bien compris le principe final mais ne connaissait pas encore en détail les règles du jeu.

- Allez rentrons nous préparer pour laisser le temps à nos soumis de se mettre en place.

      blbadboy

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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