Mardi 25 octobre 2 25 /10 /Oct 21:44

J’obtiens sans problème de la réceptionniste la clé de notre logement, le 704, après avoir reçu toutes les informations utiles. C’est la fin de saison, le dernier week-end avant la fermeture, et le centre de vacances est presque déserté…

C’est notre anniversaire de mariage, à quelques jours près. Le treizième exactement. J’ai réservé ce week-end en promotion, après m’être assuré que les grands-parents pouvaient prendre les enfants, ravis d’y aller finalement avec les 2 enfants de nos meilleurs amis, Emilie et François. C’est une concession que nous avons dû leur faire, pour que nos pages envahissants acceptent de « disparaitre » de notre vue, le temps du week-end… 

Impossible de prendre une seule voiture à 8, ni à 6 d’ailleurs. Notre week-end en amoureux, s’est donc transformé en week-end avec Emilie et François, qui heureusement ont pris leur propre logement. C’est cela la vie de parents : savoir faire des concessions pour arriver à faire quelque chose…

D’ailleurs les voilà, avec Claire, attablés à la terrasse sans autre client du bar du club. J’ai laissé élégamment Emilie récupérer leur clé en premier et je suis donc le dernier. Ils ont sortis des voitures nos bagages et m’ont commandé une pression. Il fait encore chaud pour une fin de septembre et je savoure avec plaisir ma première gorgée de bière.

La table est étonnamment silencieuse. Je n’ai jamais été un grand bavard, mais Claire parle pour 2, surtout quand elle est avec sa meilleure copine qu’elle connaît depuis l’enfance. D’ailleurs les 3 sont des amis d’enfance et c’est moi qui suis le petit intrus. C’est peut-être le calme des lieux qui invite à la méditation avec ces petits chalets repartis dans un sous-bois. Mais je me trompe, car Emilie finit par prendre la parole.

- Il faudrait quand même mettre Pierre au courant de notre petit arrangement… Qu’en pensez-vous ?

Je relève la tête intrigué. Leurs 3 paires d’yeux me fixent étrangement. Et j’attends un long moment avant d’être éclairé.

- Tu sais, mon nounours, quand tu t’es déplacé à Rotterdam, il y a 15 jours, et que tu n’as pu rentrer que le samedi matin ?

- Oui, cela m’a fait chier de ne pas pouvoir prendre le dernier train du vendredi soir.

- …. Comme je te l’ai dit, je suis allée passer la soirée du vendredi soir chez François et Mimi, avec les enfants. Ils ont voulu rester dormir avec leurs copains, et moi aussi je me suis aussi laissé convaincre, vu que nous avions pas mal bu et que je ne me voyais pas faire la route toute seule…

- Oui, tu me l’as dit…

Claire continue d’une voix étrangement troublée.

- Oui mais ce que je ne t’ai pas raconté, c’est qu’une fois les enfants endormis, nous avons joué à une boîte de jeu que l’on a offerte : Action ou Vérité… Quoi que je pense que le cousin de François qui a fait ce cadeau, n’a sans doute pas regardé le descriptif au dos. Et comme on avait un peu trop bu…

Là Claire commence à m’inquiéter. Elle a capable de tout quand elle boit.

- Qu’est ce…

- Ce n’est pas notre faute. Aucun de nous 3 ne savait à l’avance que les questions seraient si sexuellement inquisitrices et que les règles sont particulièrement machiavéliques. Mais le temps de s’en apercevoir, nous étions trop avancés et sans doute – excuse-moi mon nounours – bien trop excités pour arrêter !

Je commence à comprendre et tire ostensiblement la gueule, craignant que les dégâts soient pires que ceux que je pourrais imaginer… Je comprends pourquoi François et Emilie laisse courageusement parler ma seule Claire. Jusqu’où est-ce allé ? Je crains la réponse…

- Le jeu se déroule en plusieurs phases, normalement entre 2 couples. Il y a un paquet de cartes, que l’on tire plusieurs fois au hasard. Il y a une progression aussi dans les cartes…

Là Emilie intervient nerveusement. 

- Claire, on va pas tout raconter cela serait trop long, va directement à la fin !

- Bref, j’ai perdu. Note couple, Pierre, a perdu…

- Et ?

- Nous avons récolté le gage final : être à disposition sexuelle de l’autre couple !

Claire a dit cela très vite, comme si elle craignait ma réaction. Je les regarde incrédule, n’arrivant pas à croire ce que je viens d’entendre.

- Vous me faîtes marcher, là ?

Emile se contente de me tendre son smartphone ouvert sur la galerie de photos. Les images que j’y découvre ne me laissent aucun doute. Il y a là Emilie le cul écartelé par le phallus de François, et ici surtout, la bite de celui que je croyais mon ami, dans la bouche de ma Claire, couronnée d’une auréole de résidus de sperme blanc à la commissure des lèvres, qui ne laisse aucun doute que c’est allé beaucoup plus loin entre eux que j’aurais imaginé dans mes pires cauchemars ! Sans moi…

- Pierrot, tu n’étais pas là alors il me semble honnête et logique, de te demander ton avis. Si tu refuses, nous en resterons tous là et nous partirons passer le week-end ailleurs pour vous laisser vous réconcilier en paix. Si tu acceptes, Emile aura tous les droits sexuels sur toi pour le week-end et Claire sera à la disposition totale de mes envies de mâle. Pour que cela soit clair, je sais que ta femme a toujours refusé que tu l’encules. Moi je l’enculerai de droit. Elle ne veut pas avaler le sperme. Elle le bouffera parce qu’elle n’aura pas le choix. Voilà la logique du gage : un week-end complètement « open » pour les vainqueurs. Je ne sais pas ce que Mimi fera de toi et je n’ai pas voulu le savoir. Mais toi, tu as le droit de refuser ou d’accepter maintenant. Après…

Claire a fait une mimique en apprenant pour la sodomie et le sperme. Cela me rassure un peu : elle n’est pas plus en maîtrise que moi. Alors que décider ? Je sais que si elle m’a demandé de mettre, à ma grande joie, notre sac à « malices » dans le coffre de la voiture avant de partir, c’est qu’Emilie est au courant de nos petits jeux et va s’en amuser. Rien que d’y penser me fait tressaillir du bout du zizi. Mais ce qui me décide finalement, c’est la main d’Emilie qui vient, non innocemment, « traîner » sur la couture, me causant une belle bosse immédiate. 

- J’accepte, pour ce week-end…

- Bon puisque tout est ok, nous pouvons partir chacun de notre côté. On vous laisse le 704 et on va au 632… J’ai hâte de rajouter 3 trous à mon 18 trous habituels du week-end !

François est habituellement plus policé. Mais là je crois que l’excitation le fait dérailler un peu, tout comme moi qui reste totalement excité à briser un tabou en mariage ! Je les vois prendre leurs bagages et s’éloigner dans l’allée… Il ne reste plus qu’à me retourner vers celle à qui je dois « obéissance » pour le week-end… Elle les regarde comme moi et commente.

- C’est fou comme ces deux se recherchent depuis tant d’années. Déjà quand nous étions enfants. Avant que je sorte finalement avec François, ils ont eu une aventure d’ados. Ils se sont même dépucelés ensemble.

Je la regarde, ébahi !

- Tu ne le savais pas ?

- Claire m’a raconté une fois son dépucelage ados, mais pas que c’était François qui…

- A sa décharge, ce n’est pas très facile de désigner le bon ami que son mari connait, comme son dépuceleur… Les deux-là se cherchent sexuellement depuis des années. Même s’ils ont conscience que le sexe ne fait pas un couple, et qu’intelligemment, ils ne se sont pas mariés.

- Tu n’as pas peur qu’ils se remettent ensemble ?

- Aucune chance qu’ils se supportent au quotidien, en dehors du lit. C’est un peu leur malheur à tous les 2. Ils s’entendent sexuellement à 100% mais dans la vie courante, leurs caractères ne s’emboitent pas, tout simplement. Mais ne te leurre pas, la sodomie, ils veulent, aussi l’un que l’autre, la re-tester entre eux. Ils se sont définitivement séparés après une tentative malheureuse. Là ils ont la chance historique d’effacer le passé et crois-moi, ta Claire devrait crier bientôt son plaisir doux/épicé, d’ailleurs ils doivent être en train de déjà le faire. Pour l’avalage le sperme, je crois que c’est un fantasme absolu d’homme. Je l’ai toujours refusé à François, alors il en profite.

- Et nous deux dans tout cela ?

- Le sexe avec François cela toujours été très viril. C’est jouissif pour moi de me sentir prise en puissance par sa belle bite. Mais bon les préliminaires ce n’est pas trop son truc. Dis-toi Pierre, que tu m’apparais d’un exotisme torride avec ton petit sexe qui ne tient pas longtemps, au point que tu préfères l’avoir coincé dans une boite. Désolé mais Claire a pas mal parlé l’autre soir, et tu sais quand elle a bu… Et je sais donc pour tes enclins à la soumission aux femmes…

Je ne peux m’empêcher de rougir. Et encore plus, quand Emilie passe sa main sous la table et commence à tirer sur ma braguette. Instinctivement, j’essaye d’y porter mes mains en précaution mais elle me les retient, pour me les faire poser à plat sur la table. « Laisse-moi faire… De toutes manières, il faudra bien en passer par là, à un moment ou un autre. Je n’ai pas envie que nous ennuyons pendant qu’ils baisent follement… ».

Je suis aux abois, surpris d’en arriver si vite dans le vif du sujet. Je jette des coups d’œil inquiets autour de nous. A 2 tables de nous, un groupe de retraités de retour de randonnée est en train de s’installer. S’ils nous voyaient ? Cela n’arrête pas Emilie qui finit d’extirper mon sexe du pantalon. J’ai honte mais pas une seconde, je n’envisage de lui demander d’arrêter. 

Mon bonhomme fait grise mine au départ, mais quand sa main commence à doucement le flatter, il a vite fait de retrouver un peu de forme. Je sais que je ne suis pas bien gros. Ne va-t-elle pas être trop déçue ? Si elle le pense, rien ne l’indique dans ses gestes qui n’arrêtent pas d’explorer. Emilie finit par coucher sa tête sur mon épaule. Nous passerions presque pour le couple d’amoureux…

- Tu sais que ta peau est douce. Et puis ce n’est pas aussi petit que Claire avait l’air de dire. Tu es certes moins long, mais un peu plus gros, et ton gland se dégage beaucoup plus, comme une prune. C’est simplement… différent de François.

A ma stupéfaction, Emilie semble vouloir ressentir la différence jusqu’au bout et m’offrir cette caresse inouïe, des mains d’une femme autre que la mienne. Ses doigts coulissent autour de ma hampe. Je soupire autant de surprise que de plaisir. Je ferme à demi les yeux et goute à la sensation, en me mordant les lèvres pour ne pas alerter la table d’à-côté. Je sens mon petit fusil s’huiler immédiatement avant de s’armer rapidement, avide d’en arriver à l’épanchement. Je ne sais pas comment je vais réagir après… mais là, tout ce que je veux en cet instant est que cette main délicieuse me trait jusqu’au bout !

Elle n’en aura pas l’occasion ! La barman revient nous demander si nous revoulons quelque chose ! Je sursaute à son intrusion! Emilie lâche doucement mon sexe et s’enlève calmement de mon épaule. Mon zizi se recroquevil de peur, mais je n’ose pas me rhabiller. Cela me laisse une impression de vide soudain. J’en reste mal à l’aise, pendant que la barman nous conseille pour le programme de notre week-end… 

Finalement quand elle nous laisse, Emilie rit doucement de la situation.

- Tu es mignon à croquer dans ton mélange de grimaces apeurée et de petit mâle frustré de sa jouissance. Cela vous fait toujours cela, quand vous devez vous la garder sur l’oreille ? 

Emilie se penche alors vers mon oreille, pour me murmurer d’une voix avec une pointe d’excitation.

- D’ailleurs cela me donne une idée. Je ne pensais pas te la donner si vite, mais après tout pourquoi pas tout de suite.

Elle se recule un peu pour m’exhiber un drôle de sourire, le genre que les filles me montraient quand elles devenaient chipies avec moi. Là cela vient d’un petit paquet qu’Emilie sort de son sac. Le scotch a déjà été soigneusement ouvert, ce qui me laisse librement jeter un coup d’œil au contenu. Et je blêmis à découvrir, protégé dans son papier bulle, la cage de chasteté en métal chinoise que je lorgnais !

Je regarde Emilie avec grand étonnement. Comment pouvait-elle savoir ? Pour le fait que j’aime porter de temps en temps une cage de chasteté, Claire a dû lui dire, mais pour…

- … pour la cage de métal ? C’est un cadeau de Claire. Elle voulait t’en faire amoureusement la surprise, vu que tu en as marre de la mauvaise qualité de ta cage actuelle en plastique, maintes-fois recollée à la super-glue. Elle a pensé que pour cet anniversaire de mariage, cela serait le cadeau idéal, même si je suis désolé que finalement l’anniversaire soit perturbé. Il parait qu’avec, tu deviens un homme bien plus attentionné, et surtout un excellent suceur de chatte ! Par contre, moi, je ne vois comment ton brave petit soldate, va pouvoir rentrer dans une prison si petite…

Je deviens cramoisi alors que la barman revient avec nos boissons. Emilie reprend une fois la barman repartie.

- Tu ne l’essayes pas ?

Cela m’affole. Je regarde avec inquiétude la table des retraités. Elle ne veut quand même pas que… ?!

- Mais non, je vais encore préserver un peu ta pudeur. Pas ici évidemment… Tu pourrais aller la passer aux toilettes en petit soumis obéissant à sa Maîtresse…

Nous y voilà ! Le jeu a commencé ! Emilie a pris le même ton que Claire quand elle joue la Maîtresse dans nos jeux BDSM. Cela doit être l’accent de toute femme quand elle s’investit à prendre le pouvoir sur le sexe masculin. A froid il me semblerait sur-joué, mais là il me fait sentir subitement si petit, si fragile, que j’en balbutie ma réponse…

- Dans… dans les toilettes ?

- Oui dans les toilettes… En prison, le zizi !

Emilie a haussé la voix sur la dernière partie de la phrase, suffisamment pour que la table de retraités l’entende et que certains nous regardent. J’ai beau me dire que ce genre de propos, exclus de leur contexte, est incompréhensible aux non-initiés, j’en ai honte et je préfère disparaitre rapidement à l’intérieur. Je grimace cependant quand je découvre la barman est à son poste s’activer à laver ses verres…

Je m’enferme dans les toilettes et baisse mon pantalon. La cage n’est pas facile avec son anneau de métal « d’homme » qui ne s’ouvre pas. Je dois lutter un moment avant de trouver comment passer les couilles puis le pénis. Je suis terriblement ému, à devoir passer la cage pour une autre femme. L’esprit est embrumé n’arrivant pas à se déterminer si c’est une bonne chose… Je finis par emboiter la cage dans l’anneau, en refermant immédiatement le cadenas. Il ne faudrait pas que je flanche au dernier moment… 

Me voilà de nouveau encagé ! C’est comme si je contemplais un autre, avec cette cage tout juste plus grande qu’un zizi de garçonnet. Cette pensée me fait délicieusement rougir… Je remonte mon pantalon et sort avec courage des toilettes. La barman est toujours là, mais là j’ai l’impression qu’elle ne regarde plus que la nouvelle bosse dans mon pantalon. Et si elle pensait que je bandais indécemment pour ou devant elle ? Je me dépêche de traverser devant le bar.

Je retrouve Emilie sur la terrasse. Elle attend que je m’assois pour venir discrètement vérifier que j’ai bien obéi en portant sa main à mon entrejambe…

- ça va, pas trop serré ?

- non, pas pour l’instant…

- La clé ?

J’ai oublié de la rendre et cela me fait quelque chose de lui donner la clé de mon joujou intime. Mais bon, elle ne pourrait pas mieux faire pour nous mettre dans l’ambiance D/S. Nous restons silencieux le temps de finir nos bières, puis il est l’heure d’aller rejoindre notre logement pour le week-end.

Je prends l’initiative d’emmener la valise d’Emilie en plus de mon sac, et nous voilà à suivre les chemins du centre, selon les pancartes.

- Pourquoi as-tu accepté cet échange de partenaire ? 

- Question intéressante. D’abord par curiosité : ton univers de fantasmes est quand même décoiffant pour n’importe quelle femme qui le découvre. Mais il y aussi le côté chipie autorisée. C’est marrant de pouvoir jouer au Ken, avec un grand garçon. En tout cas l’idée m’excite depuis que je sais que j’allais t’avoir à disposition…

Emilie s’arrête d’avancer pour se tourner vers moi.

- J’espère que tu ne seras pas déçu. J’ai essayé de me préparer au mieux. J’ai parlé avec Claire de tes goûts et attentes en la « matière ». J’ai lu aussi ce qui te faisait fantasmer. D’ailleurs ce n’était pas trop compliqué à savoir vu le nombre de liens que tu conserves sur ton ordinateur. Y’a qu’à les suivre… Donc tu vois que j’ai essayé d’être le moins une oie blanche pour ton D/S préféré, même si cela demande d’ingurgiter pas mal de techniques. Mais c’est fou ce qu’une femme peut faire avec un homme, quand elle fait fi des limites de la chambre et du convenable. Là c’est un aspect qui me fascine beaucoup. Avoir le devoir d’être une peste pour le plaisir du mec en face, c’est génial !

Je la regarde avec une terrible inquiétude qui monte au ventre…

- Ce n’est pas cela le mécanisme qui anime l’homme soumis ? Jouir de se sentir humilié, nié, bafoué ? Ne pas aimer sur le moment et s’en exciter après au souvenir ?

- Oui, mais…

- Je sais : il y a les limites. Je crois avoir bien compris cette notion. Claire m’a dit que vous n’arriviez pas à franchir certaines, questions d’éducation et de morale personnelle. Je me suis demandée ce que moi je ferais. Alors l’autre soir, j’ai listé tout ce que j’avais retenu de tes fantasmes pour ne retenir que ceux que je croyais faisable et qui m’exciterait à faire. Tu sais quel métier je fais, et je crois avoir la capacité de t’en faire passer certaines… mais pour cela il te faudra aller plus loin que tu imagines d’aller pour l’instant… 

Elle est totalement sérieuse là. Ce n’est plus une posture, mais la Mimi la tête bien ancrée sur les épaules que j’ai toujours connue. Cela me fait un peu redescendre le zizi en cage… mais je retrouve toute ma lucidité.

- Comme quoi par exemple ?

- Cela ne serait pas marrant si je te le disais à l’avance. Tu perdrais le piment humiliant de la surprise… Alors fais comme je suis prête à faire : ne te pose pas de question et profite à fond du moment de parenthèses offerts par nos conjoints. Tu te sens prêt à me laisser mener le jeu ? 

Emilie a tout compris de la logique D/S. Je prends une large inspiration troublée et répond un « oui » peu rassuré…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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