Maîtresse s’est faite heureusement plus douce en redescendant de son orgasme. Elle est venue me
serrer dans ses bras et je serais resté éternellement ainsi au fond des bois, mais il est temps de rentrer vers la civilisation.
Elle décide que je ne suis pas en état de suivre le cheval et veut donc que je monte dessus. Cela me
rend très mal à l’aise mais je n’ose protester. Je finis sur la selle les mains ficelées au pommeau pendant qu’elle s’installe derrière moi. Qui nous rencontrerait aurait cette image folle d’un
soumis nu qui vient de recevoir sa raclée et de son élégante Maîtresse, sur un percheron rustique. Elle s’appelait comment cette Comtesse ou Duchesse anglaise qui avait été montrée nue sur son
cheval à travers la ville ?
Dès que Jules se met à avancer, je dois m’agripper au pommeau pour ne pas basculer et tomber. Le
retour est d’abord silencieux. J’ai été frappé par la violence de ce que je viens de subir et il me faut du temps pour redescendre moi aussi. Maîtresse doit le savoir en gardant le silence… Mais
à un moment, elle décide qu’il est temps de parler.
- Tu sais. Je crois que c’est un des orgasmes des plus puissants qu’un homme ne m’ait jamais donné et
en plus sans sa queue ! J’avais décidé que je te violerais la bouche juste après de t’avoir fouetté. Alors je l’ai fait à contrecœur… Mais j’étais mal à l’aise. Cela ne me semblait pas correct de
t’utiliser de cette façon… surtout après ce que je t’avais fait subir… merci donc de m’avoir apaisé l’âme de ta langue pour que j’obtienne ce magnifique orgasme !
Je sais que les paroles de Maîtresses sont rares alors j’apprécie cette confession. Je suis aussi
très fier que Maîtresse ait obtenu tant de plaisirs de ma langue et mes lèvres, même contraintes.
- C’est finalement un aphrodisiaque puissant que de pouvoir obtenir ce que l’on veut d’un homme sans
lui demander son avis, sachant d’avance qu’il consent à tout… Et clairement cela m’excite au-delà du convenable. Je crois même que cela nous excite tous les 4 : pouvoir faire tout ce que l’on
désire avec chacun, avec la bénédiction des autres ! Et dans la durée, pas avec une rencontre sur l’oreiller d’un soir… Toi, cela ne te plait pas au fond, même si je viens de te faire tant
douiller ? Tu as aimé ?
- Oui, beaucoup… énormément… c’est bizarre… cela fait mal… mais tellement fort et jouissif… merci,
Madame.
J’ai rajouté Madame, comme si c’était naturel de parler ainsi à une femme qui vient de me kidnapper
toute forme de plaisir normal. Comment pourrais-je apprécier maintenant mes petits plaisirs, alors que Maîtresse m’en offre de grands, extrêmes et torridement excitants ?
- Je m’en doutais. Tes yeux de bête prise dans mon filet, parlent pour toi ! Et pas
qu’eux…
Je sursaute quand elle prend mon sexe dans sa main. Bien sûr, je bande depuis qu’elle se confie. En
fait pas tout à fait, je bandouillais déjà à me rappeler les émotions brutes de la fouettée. L’éternel paradoxe d’un soumis : ne pas aimer sur le moment, avant après coup d’adorer se morfondre
dans le souvenir des sensations vécues. Au point de vouloir immédiatement y retourner et que cela recommence…
Je frémis de tout mon corps quand sa main commence à coulisser lentement sur mon pénis. Je me sens nu
sans ma cage et cela me semble un peu tabou de ne plus l’avoir. Mais à ma petite surprise, elle ne me l’a pas immédiatement remise après la punition. Pourquoi cette clémence ?
- Oui, nous sommes bien à nous acoquiner à 4. Cela faisait longtemps que je m’étais pas sexuellement
autant amusée et oui même avec la belle queue de François… même si j’étais dubitative que cela puisse me passionner au-delà d’un week-end. Mais j’avais tort ! S’occuper d’un soumis a quelque
chose de fascinant… surtout s’il s’agit d’un petit garçon de tout juste 38 ans !
Maîtresse est malicieuse, mais je m’en fous tant sa main me fait du bien là où elle est. Je soupire
d’aise… en me laissant aller à l’intime caresse…
- Nous arrivons la semaine prochaine au bout de la période de 2 mois que nous avions convenue avec
Claire et François, vu la satisfaction de chacun obtenue lord du premier week-end de test. Nous en tirerons les conséquences vendredi prochain. Vous êtes invités chez nous, si tu ne le savais pas
déjà…
Non je ne le savais pas…
- Là nous nous accorderions tous les 3 plutôt d’accord sur une période plus longue, disons 6 mois,
pour approfondir les découvertes mutuelles. Cela te concerne toi-aussi. Ces 6 mois pourraient être l’occasion rêvée de t’essayer à une soumission plus présente ?
Sa main se fige et arrête de me masturber. Je me surprends à me confier en retour sans
réticence.
- Je ne sais pas, Emilie, ce que je veux au fond de moi. C’est clair que je n’ai jamais réussi à
trouver ce plaisir entier au lit dont tout le monde dit jouir, sans recourir à ces pratiques borderlines. C’est comme si j’avais besoin d’intellectualiser ma sexualité pour partir… de recourir à
ces ressentis de soumission comme roue de secours. Là c’est un demi-succès. Mais pour le reste, je ne sais pas si j’aurais besoin ou même envie, d’aller plus loin en D/S… moins faire semblant et
plus le vivre réellement… ce genre de relations ne cesse de me fasciner… mais j’ai peur de finalement de pas aimer, ne pas être heureux ainsi… que je regrette rapidement…
Ma voix est devenue très blanche en confiant cela.
- C’est pour cela que ces 6 mois seraient pas mal pour voir. Suffisant pour faire un travail sur toi
et avec la garantie d’un terme possible à la fin de la période. Une occasion unique !
- Vous croyez ? Tu crois ?
- Oui, pourquoi ne pas profiter de la situation ? Si aucun de nous 4 n’a vu venir que cela irait si
loin, je ne crois pas en trouver un ou une qui regrette ce qui s’est passé ces 2 derniers mois entre nous… la vie réserve parfois de belles surprises. Mais nous ne voudrions pas avec Claire que
cela finisse par de nouvelles relations exclusives à 2… Etre à 4 ouvre beaucoup de possibilités à explorer ! Nous avons imaginé que, vendredi prochain, nous nous pourrions nous mettre
mutuellement au défi de réaliser certaines choses pendant ces 6 mois… une sorte de wish list érotique…
Sa main recommence à coulisser sur mon sexe, sans que je comprenne quelle est la pensée qui a
déclenché ce redémarrage… Encore un mystère féminin…
- Si tu veux essayer d’inscrire tes penchants dans la vie réelle, et de vivre réellement ton envie de
soumission. C’est le moment : y’a juste qu’à demander ! Tout est possible…
Je suis ramené à faire face à mon hésitation profonde. L’offre est tentante mais me fait toujours
aussi peur ! Et si je regrettais ?... Et la main qui me branle, me mets émotionnellement à découvert. Je n’ai qu’à le demander dans un instant de non-lucidité…. Et pourtant j’hésite encore et
encore...
- Cela se passerait comment ?
- Pour devenir soumis en vrai ?
- Oui.
- Ces 2 derniers mois, j’ai beaucoup lu sur la Domination et la Soumission. Parce que tu as attiré ma
curiosité dessus… Ce que je comprends c’est qu’il y a forcément une période de dressage à passer, pour apprendre au soumis à dépendre de plus en plus de ses Maîtres et à obéir sans faille. C’est
l’étape clé de tous les témoignages et je ne vois pas comment nous pourrions l’éviter… ne diffère que le rythme où les choses se mettent en place…
- Et là cela serait quoi le rythme ?
- J’y ai réfléchi. Vu que nous ne sommes pas mariés ensemble, que nous avons chacun nos familles avec
leurs contraintes, cela limite pas mal les interactions quotidiennes. Il faut aussi prendre en compte que tu n’es pas une oie blanche en pratiques BDSM et que donc nous pouvons mettre la barre
relativement haute dès le départ… Alors je crois que nous pourrions y aller à fond dès le début… je verrais bien une sorte de coup d’Etat portant sur tous les domaines clés à la fois… directement
! Un peu comme cette femme qui a un jour découvert le besoin de soumission de son mari, et l’a enfermé dans une cage jusqu’à ce qu’il cède et reconnaisse sans faille son autorité… quelque chose
d’aussi brusque que cela… Tu en penses quoi toi ?
- Je n’ai jamais réfléchi en ce sens… clairement cela fait peur, mais je crois que si je m’y
décidais, cela serait comme cela qu’il faudrait faire avec moi…
- Et pourtant, cela me passionnerait pas mal de dresser un petit mâle avec un tel beau cul ! Si tu
voulais de moi comme éleveuse de soumis…
J’entends son excitation dans sa voix. C’est clair, elle y pense !
- Je ne… ne sais pas trop. C’est vrai que tu es une Maîtresse sympa, mais m’apparaîtras-tu aussi
sympa après quelques semaines de dur dressage ? Et Claire, elle devient quoi dans ce schéma ?
- Claire ? Ta co-dominante de plein droit… sans hiérarchie aucune entre nous 2. Nous avons parlé
quand nous nous sommes vues. Elle est d’accord pour nous suivre et prête même à certaines concessions qu’elle ne pensait pas faire. Tu as déjà entendu tout à l’heure comment elle envisageait tes
punitions futures. Sans doute beaucoup de ma main au début, mais je la sens prête à porter elle aussi une part de la culotte. Ne reste plus qu’à nous coordonner et répartir nos domaines de
Domination…
Je n’ai pas encore dit oui que déjà elles organisent le Yalta de partage de ma personne ! Le piège
devient net et je ne vois pas comment m’en sortir. Et je ne suis même pas sûr que cela soit un piège malveillant. Je décide de chercher à gagner du temps…
- Ok, ok… je vais y réfléchir…
- Et pourquoi tu ne déciderais pas dès maintenant ?
Je suis saisi par cette insistance, qui devrait me faire paniquer si sa main ne m’apaisait pas en
même temps. Je dois reconnaître que toute cette discussion m’a particulièrement excité et je me laisse aller à la douce caresse. D’ailleurs ce n’est pas du jeu, me demander de me déterminer tout
en étant travaillé par là et de cette façon. Emilie ne lâche pas le morceau et me relance encore en m’embrassant follement dans le cou…
- Alors ??
Le cerveau et le sexe en ébullition, je me surprends à facilement céder.
- Oui…
- Oui, quoi ?
- Oui, je veux essayer d’approfondir ma soumission…
- Pour 6 mois sans possibilité de se renier !
- Oui pour 6 mois… irrévocables…
Je n’ai pas le temps de regretter car la main augmente immédiatement sa cadence. Je me sens soulagé
maintenant que j’ai acquiescé et me laisse aller dans les limbes du plaisir masculin. La boule qui se forme dans le bas ventre. La tension dans la tige qui progresse jusqu’à éclater cette fois
dans un merveilleux orgasme que je crie d’une voix rauque dans la forêt, au point que Maîtresse doive reprendre le contrôle du percheron surpris.
Je me sens complètement vidé de la queue et de l’esprit, mais je suis bien. Le cheval finit par nous
ramener en silence à ma voiture, au bout de la forêt. Emilie me détache et m’aide à en descendre.
- Tu en as mis une de ces doses. Pauvre Jules qui en a plein les poils… Nous te nettoierons à
l’écurie. Bon je ne traîne pas, la nuit va arriver vite. Tiens ta clé de voiture…
Qui finit sur la terre à mes pieds… Je suis de nouveau mal-à-l’aise, nu dans la campagne, devant
Maîtresse montée sur son cheval. Qu’ai-je dit ?
- … et s’il te prenait idée de changer d’idée, sache que c’est trop tard. Ton accord est enregistré
et je viens de l’envoyer aux autres.
Effectivement son téléphone a archivé mes paroles ! Je suis coincé !
- Profites-bien de ta dernière semaine de liberté, en particulier en jouant avec ton zizi. Car après,
je ne te cache pas que les possibilités d’éjaculation seront rares… voire peut-être inexistantes.
Et sur ces mots définitifs, elle s’éloigne sur son cheval en traversant de nouveau le bois… Il me
faut quelques minutes pour sortir de ma torpeur, me rhabiller et monter en voiture pour rentrer à la maison. Le retour est très délicat avec les fraiches blessures du fouet…
De l’extérieur, je redeviens un papa convenable qui s’occupe des devoirs de ses enfants et de
préparer le repas du soir, en entendant le retour de leur mère, qui sur le moment se fait baiser par son amant… Mais je bous de l’intérieur, me sens si vulnérable et regrette mon moment de
faiblesse dans les bois. Comment ai-je pu accepter cela sur l’excitation de ma bite ?!
Claire finit par rentrer et nous mangeons en famille. Je sais qu’elle sait mais elle ne me parle pas
de mon après-midi, de ma décision et pourtant j’en aurais besoin. J’ai hâte que les enfants soient couchés pour pouvoir m’épancher sur mon épaule…
La marmaille finit par s’endormir et je vais enfin pouvoir librement discuter.
- Non pas là. Montons dans notre chambre…
Claire me regarde me déshabiller et détaille les marques dans mon dos et sur mes
fesses.
- Et bien, elle ne t’a pas raté ! C’est violacé et il y a même des caillots de sang par endroit… Cela
te fait mal ?
Mon regard lui en dit plus que tous les mots et avant que je puisse lui poser la
question…
- Tu as bien fait d’accepter d’être mis en dressage… Tu sauras enfin si c’est cela que tu recherches
depuis tant d’années… Et puis nous le serons quelque part en même temps. François me demande lui aussi que je lui accorde quelques droits sur ma personne, façon salope sexuelle bonne à tirer en
tout lieu et tout endroit. Et je pense que je ne peux pas avoir moins de courage que toi à essayer… même si cela me fait peur… et en même temps Emilie voudrait que je m’implique plus dans ton
futur dressage… il va bien falloir que je m’y mette moi-aussi avec enthousiasme.
Je suis surpris de cette double inclinaison. Est-on jamais sûr de connaître à fond la personne que
l’on a épousée ?
- Tiens d’ailleurs, je me suis déjà armée. J’avais une demi-heure de libre, avant de rejoindre
François dans l’hôtel de la zone commerciale. Drôle de chose que d’acheter quelque chose pour punir son mari à maison. J’ai pas mal hésité, pour finalement choisir cela au feeling.
Et ça, c’est un paddle de bois qui me fait déjà frémir !!! Comment a-t-elle pu avoir l’idée d’acheter
un instrument aussi dévastateur de culs ?
- Mais bon, ce n’est pas pour cette semaine. On va le ranger sagement en attendant… Pour l’instant,
j’ai envie de profiter de ta petite queue tant qu’elle n’est pas retournée dans sa boîte de conserve. Il parait que tu as bien giclé sur le cheval cette après-midi…
On ne peut rien lui cacher. Cela fait plus de 7 semaines que je n’ai pas pu la pénétrer. Je me sens
intimidé au moment d’y retourner, comme pour une première fois avec une fille. Et incapable de prendre l’initiative : je me mets d’office sur le dos pour une baise en amazone, même si je douille
dans cette position. Claire me surprend à me prendre la queue dans sa bouche immédiatement. Je me sens gêné, mal à l’aise. Pour la première fois, cela ne me parait pas convenable que ma femme me
suce, comme si c’était totalement indécent de faire cela… Et pourtant je bande à mort !
Je suis soulagé quand elle enlève sa bouche pour s’empaler en amazone sur mon sexe dressé. Humm
j’avais oublié comme il est bon d’être dans l’humidité chaude de la matrice d’une femme. Claire commence à coulisser lentement et langoureusement, pendant que je lui masse les seins. Puis elle
s’excite de plus en plus, à monter et descendre. Je suis aux anges de voir son orgasme monter avec ma queue ! Elle gémit de plus en plus fort en s’astiquant la chatte sur ma bite, avant de
vouloir prendre son plaisir de grands mouvements de haut en bas. Sauf que bientôt, mon sexe s’échappe arrivée en haut. Elle le remet impatiemment en chatte et reprend son mouvement oscillatoire.
Il s’échappe de nouveau de sa vulve quand elle prend de l’ampleur, et je comprends : Claire n’est plus habituée à mon petit sexe ! Le pénis de François lui ne doit pas s’échapper en
haut…
Cela me fait l’effet d’une douche froide et je débande immédiatement, coupant court au plaisir
montant chez ma femme. Elle me regarde avec étonnement.
- Qu’est-ce qu’il se passe, mon Amour ?
Je ne peux que m’humilier à m’auto-flageller.
- Je l’ai trop petite. Cela se voit bien que je n’ai pas ce qu’il faut pour te remplir ! Elle
s’échappe à chaque fois…
- Oh ? Je suis désolé mon nounours. Je ne m’en rends pas compte. Je n’ai plus l’habitude. On change
de position ?
- Non, pas envie maintenant…
Et c’est vrai, tellement je me sens humilié. J’en regrette même de ne pas avoir le zizi en cage. Au
moins dans ce cas, la comparaison est moins humiliante.
- Tu nous fais un caca nerveux de petit mari humilié. Pas bien cela. Alors que moi je me faisais une
fête de me prendre ta petite queue travailleuse.
Claire me caresse le sexe dans sa main. En vain ! Car elle n’arrive pas à faire renaître l’érection…
Cela semble la contrarier. « Que tu peux être un homme compliqué… » Je serais prêt à me tourner défait, mais Claire n’a pas abandonné la partie. Elle bascule sa tête sur ma poitrine et me prend
par surprise un téton entre ses dents. Je frémis de douleur… Mais cela me fait un effet incroyable à l’entrejambe : je renais entre ses doigts et elle me branle en cadence ! Je ne veux pas rester
seul… ma main part sous corps à la recherche de sa chatte qui accueille avec plaisir mes doigts farfouilleurs. Nous nous donnons du plaisir comme 2 adolescents, jusqu’à ce que j’explose dans sa
main pour la 3ème fois de la journée !
Le lendemain, je pense toute la journée à ma panne de la veille et prie pour qu’il n’en soit pas de
même le soir. Je ne renonce pas à jouir en Elle ! C’est vendredi soir, et il faut plus longtemps que d’habitude pour coucher les gamins et surtout qu’ils acceptent de dormir. Je dois faire en
détour par leurs chambres pour saisir physiquement les tablettes et autres Game Boy.
Claire, elle, a filé directement dans notre chambre et quand je la rejoins, je suis surpris de la
voir équipé de son propre gode ceinture !
- Jusqu’à présent, je ne m’y sentais pas prête. Trop dégradant pour l’homme que j’aime. Mais avec
tout ce qui se passe depuis plusieurs semaines après tout, pourquoi pas ? Je sais qu’Emilie te prend déjà avec le sien et je ne savais pas trop quelle taille choisir. Quand j’ai déjeuné avec
elle, l’autre jour, nous avons pesé le pour et le contre, dans la situation ou nous nous sommes mis tous les 4. Finalement, j’ai décidé de ne pas prendre aussi gros que celui d’Emilie quand je
suis allé l’acheter cette après-midi. J’ai pensé qu’il serait bien qu’il existe aussi une différence de taille, comme entre François et toi. Donc au final, j’ai pris un gode à l’exacte taille de
ton pénis. Comme cela je réserve le gros à Emilie et je pense que cela saura comme s’auto-enculer : proche de taille de bite 12.5cm en longueur et 3,7 cm en largeur, comme nous avons mesuré pour
t’acheter la nouvelle cage… J’avais même trouvé un kit de moulage pour cloner ta petite queue. Cela aurait été amusant de te prendre avec. Mais j’ai renoncé finalement, vu que pour cela il
faudrait que tu arrives à rester dur le temps de la prise…
Ceci ne peut que me démontrer comment une femme peut-être dangereuse, surtout quand elle a été
frustrée.
- Alors en place en levrette que je m’occupe à faire couiner ma nouvelle petite femme ! Il y a du
lubrifiant dans ton tiroir… celui que tu utilises les rares fois où j’accepte que tu me sodomises.
Je me suis toujours demandé ce que cela faisait de se faire prendre au gode ceinture par sa propre
femme, après tant d’année de sexe normal. Car l’impact psychologique m’apparait ce soir bien différent de quand Emilie me prend avec son gode. Là le symbolisme de la dégradation sexuelle est
beaucoup plus présent !
Je sursaute quand ses mains me prennent à la taille, comme pourrait le faire un homme, comme j’ai dû
déjà le faire à Claire. Elle ajuste la pointe sur mon œillet et s’introduit. Contrairement au grand gode d’Emilie, je n’ai aucune difficulté à l’avaler. Et la sensation est totalement différente
à me titiller l’intérieur du cul, à me faire rapidement couler du zizi tout dur et effectivement couiner de plaisir. Claire donne des petits coups de reins affolants. J’adore !
- Alors cela te plait ?
Sa main part à la recherche de mon sexe totalement dressé depuis la première seconde.
- On dirait… Une vraie pucelle en chaleur… avec son petit clito qui pointe d’envie… elle est bonne la
petite queue qui baise mon oie à demi blanche ?... qui va couiner de la chattoune ?...
Et ainsi de suite… Elle n’arrête pas de déverser des propos humiliants et rabaissant. Et plus elle en
dit, plus j’ai envie d’en entendre. Je resterais bien toute la nuit à me faire baiser ainsi et de quelle manière !
Mais au bout de quelques minutes, Claire fatigue et je sais qu’elle va bientôt arrêter à mon grand
déplaisir.
- Attends, j’ai une idée. Que je prenne mon plaisir moi-aussi…
Elle détache la ceinture mais laisse le gode ancré dans mon cul, avant de me faire m’allonger sur le
dos. Le lit presse contre le plug que je sens bien dans mon cul et Claire me monte à cru. Cette fois, elle fait bien attention de ne pas se relever trop haut, privilégiant bientôt à la place une
bascule d’avant en arrière du bassin. Nous montons ensemble vers l’orgasme qui est pour moi fabuleux et remplit de la satisfaction extrême de partir au chaud en elle. Enfin ! De nouveau ! Après
tant de semaines d’oubli…
Je serais prêt à passer une dernière semaine de folie au lit avec Claire, avant que je ne puisse
plus, même en la partageant avec François, mais la Vie me joue un de ses tours cruels. Je me sens mal le matin suivant avec la fièvre qui monte à 38,7°C. Claire croit que j’ai pris froid lors de
ma balade, nu dans les bois. Sans doute, mais c’est injuste ! Je passe mon dimanche dans le lit, à moitié mort et Claire vient régulièrement me doper à l’aspirine pour éviter que je sombre
totalement…
Le lundi, je ne suis pas en état d’aller au travail. Je me traîne jusqu’au docteur pour obtenir des
antibiotique et un arrêt de 2 jours, avant de revenir me mettre au chaud sous la couette. Je suis vidé sans force et somnole une grosse partie de la journée.
Le mardi, je ne vais qu’un peu mieux, me réveille tard après une nuit en sueur avant de me traîner
pour manger sans faim à la cuisine. Je retourne après dans mon lit et somnole par phases, à demi-comatique.
Je suis réveillé par la sensation d’une présence dans la chambre. Mes yeux ont du mal à s’habituer à
la lumière, mais je découvre une forme qui m’observe en blouse blanche ? Oui Emilie avec son véritable vêtement de travail de l’hôpital qu’elle porte manifestement totale nue dessous. Le
décolleté largement ouvert sur ses seins nus est un ravissement!
- Bonjour cela va mieux ?
- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Bien tu vois : je viens m’occuper, en sortant de mon travail, de mon petit malade… qui prend froid
à se promener non suffisamment couvert dans les bois…
Son sourire désarme comme à son habitude toute velléité de ne pas la suivre. Je me laisse lâchement
sangler dans le lit, le buste et les bras sagement immobilisés sous la couette. Impossible de bouger ! Avant que Maîtresse replie soigneusement les draps pour dévoiler tout le bas de mon corps de
la taille aux chevilles.
- Bon, nous allons commencer à prendre la température de notre malade.
Sa voix a quelque chose d’amusement, comme si elle cachait une petite taquinerie à
suivre.
- Le thermomètre est sur la commode.
- C’est un modèle frontal moins fiable. Non, nous n’utiliserons pas cela. Rien ne vaut le bon vieux
thermomètre à mercure pour les grands garçons !
Et je sais immédiatement que Maîtresse va aller au bout de son idée quand elle me relève haut les
jambes tenues dans sa main, pendant que l’autre fait glisser mes fesses hors du pyjama. L’image mentale est forte et je ne peux m’empêcher de me crisper de l’anus devant l’innocent embout du
thermomètre, qui n’a cependant aucun mal à me pénétrer. C’est beaucoup moins gros que le gode qu’utilise Emilie pour m’enculer, cela ne fait pas mal mais le symbole est totalement là. Surtout que
Maîtresse maintient le thermomètre dans une position telle que je ne peux ignorer qu’il est dans mon cul, jusqu’à m’en faire rougir.
Il y reste sans doute plus longtemps que nécessaire, le temps de prendre suffisamment
d’ascendant.
- 37.9°C, c’est mieux. Tu as bien pris tes médicaments à midi ?
- Oui, Madame.
Le Madame facilement rajouté me prouve que je suis bien passé en mode soumis dans ma tête, si j’avais
besoin d’une preuve.
Elle ne répond pas préférant me soulever les fesses pour glisser à la place un oreiller recouvert
d’une serviette récupérée dans la salle de bain attenante. Je ne peux m’empêcher de m’inquiéter, et encore plus quand mes jambes sont immobilisées en arrière d’une cordelette attachée à la tête
du lit ! Je me retrouve l’entrejambe complètement à sa merci et en plus dans la position que Maîtresse me met pour me baiser le fondement. Et bien sûr tout cela me fait déjà bander…
Mais je me trompe - au moins pour l’instant – car elle revient de la salle de bain avec un gant et
une bassine d’eau chaude. Elle a pris aussi mon rasoir et de la crème à raser.
- Nous allons donc faire la toilette intime de notre malade… et le raser aussi : il faut qu’il soit
bien net pour retourner dans sa cage… cela a repoussé depuis 2 mois.
C’est fou comme dans le monde de la soumission, on peut craindre tout. Je sursaute à sentir le gant
humide sur mon sexe. Ce n’est pourtant que de l’eau et du savon… Je tends désespérément la tête pour voir au-dessus des couvertures repliées, y arrive presque avant que Maîtresse le découvre et
ajoute un oreiller pour me couper définitivement la vue.
- Non, tu n’as pas besoin de voir… on va travailler ton ressenti aujourd’hui…
La toilette se continue sur mon gland, autour de la couronne puis s’attaque aux « zones de sueur » à
la base de mes couilles. A ces gestes, je ne peux rien faire d’autres que bander à mort. Le gant de déplace pour « me mettre au propre le sillon » entre les fesses, jusqu’à finir à pénétrer à
moitié pour « nettoyer soigneusement les replis de l’œillet ». Maîtresse fait avant de commenter. Elle rajoute même des précisions sur l’état de saleté découvert, « peu reluisant autour du petit
trou, comme souvent chez les petits garçons ». De quoi mortifier encore plus un soumis pris sous le charme de sa Maîtresse.
Le rasage suit de près. Là il ne me faut pas penser à ces lames aiguisées qui glissent sur ma hampe
et la fragile peau de mes couilles. Combien de fois je me suis blessé en me rasant le visage le matin ? Je m’aperçois que je fais de longues apnées quand la lame agit au contact, prêt à hurler à
la moindre coupure. Et encore plus quand je comprends que Maîtresse a aussi l’intention de dépoiler le sillon de cul pour la première fois de ma vie ! Je sens la lame et craint tellement qu’elle
dérape…
Mais il n’y a aucun accident. Heureusement ! Une fois la mousse enlevée à la serviette, l’air arrive
maintenant sans gêne sur les zones dégagées et renforce la honte qui est montée de me retrouver de nouveau à nu, surtout entre les fesses qui me fait un effet si étrange.
Je suis gratifié d’une tapette sur le sexe dressé.
- Cela sera quand même mieux de ne plus avoir de poils qui gênent pour s’occuper à vif de ton petit
trou…
Tous les mots de Maîtresse peuvent avoir un sens. Je frémis et bloque là sur le « à vif ». A vif quoi
? Je la vois récupérer dans le sac qu’elle a amené des flacons et instruments. Tout cela ne me dit rien de bon dans la position offerte que je suis. Elle passe une paire de gants bleus,
chirurgicaux ! Que va-t-elle me faire ?
Pour l’instant je grimace à sentir de l’alcool me désinfecter le sexe, surtout le gland. Associé à la
peur qui monte, cela me fait cette fois nettement débander. Maîtresse réapparait avec une tige de métal menaçante !
- Tu sais ce que s’est ?
- Non…
- Une ancienne sonde vésicale que l’on utilisait il y a 30 ans. Maintenant, elles sont faites en
plastique et le service uro était prêt à jeter les anciennes en inox médical. Je me suis arrangée avec mon collègue pour les récupérer…
La tige qui fait 25cm de long et peut-être 1 cm de diamètre, ne me rassure pas.
- Cela sert à quoi une sonde vésicale ?
- Tu vas voir… ou plutôt sentir…
Maîtresse disparait de ma vue et bientôt me saisit le haut du sexe entre ses doigts pour le
lubrifier. Je ne comprends qu’au dernier moment, quand la tige froide se présente sur mon méat.
- Non pas ça ! S’il te plait…
- Et si ! Te l’imposer m’excite… serre les dents le temps que je vaincs la résistance de l’entrée.
Mais ne t’inquiète pas, l’urètre est très élastique et s’adaptera vite à l’envahisseur.
Et aussitôt Maîtresse se met à l’œuvre. Je crie quand la sonde s’introduit et écarte durement les
chairs du méat. Mais passé ce premier seuil, la tige s’enfonce sans obstacle dans mon sexe. C’est une sensation bizarre complètement exotique, dont la seule comparaison que je pourrais trouver
est celle de la boule de sperme qui progresse dans l’urètre juste avant d’éjaculer. Sauf que là la sensation n’est pas brève et s’installe dans la durée, jusqu’à troubler le cerveau qui ne sait
pas quoi en passer. Le système réflexe lui reconnait une sensation connue et ouvre les vannes de plaisir. Je me sens bientôt humide d’excitation.
Maîtresse fait aller et venir doucement la tige, déclenchant une sensation de bien-être sexuel, et
s’enfonce peu à peu de plus en plus loin. A ce traitement, je gémis bientôt la pucelle bien baisée. Et cela ne s’arrête jamais… En fait si, à un moment je sens la tige butter contre quelque chose
bien enfouie au cœur de mon corps.
- Voilà j’ai atteint la vessie,. Tu sens la position de mes doigts presque au contact du
gland.
- Oui.
- Et bien cela te donne l’idée de la longueur que tu as avalée. Un bon 20 cm ! Et encore tu ne bandes
pas. Les hommes ne le savent généralement pas, mais ce qu’il appelle leur pénis, n’est que la partie immergée de l’iceberg. Leur sexe se prolonge à l’intérieur et pas qu’un peu. Cela relativise
de beaucoup la fierté qu’ils peuvent avoir sur la longueur. Toi par exemple, cela te fait un sexe réel de 25 cm si tu bandes. Etonnant non ?
Je ne le savais pas, mais quelque part cela remonte un peu le niveau de fierté que je peux avoir sur
mon petit zizi. Pour l’instant, je me laisse aller aux sensations excitantes de la tige qui me « baise » - je ne vois pas ce que je pourrais dire d’autre - le sexe. Au bout de quelques minutes,
je regrette cependant que Maîtresse arrête. Je garde la tige en moi, couchée contre la cuisse, mais je n’ai plus droit aux petits mouvements si excitants.
- J’ai envie de t’essayer aussi autre chose avec toi, aujourd’hui, tu vas voir. Laisse-toi faire et
détend toi…
Je n’ai pas le temps de m’interroger que déjà un premier doigt se pose sur ma rondelle. Il doit me
forcer l'entrée tellement je suis serré. Je me fais même disputer par Maîtresse d’être aussi étroit aujourd’hui. Le doigt continue sa poussée, oblique et vient se poser en pression dans la partie
inférieure de l’ampoule du rectum. Je comprends qu’elle vise d’abord un organe particulier. Elle masse virilement maintenant cette zone qui me tire des grimaces sans générer aucune réaction sur
mon sexe. Maîtresse abandonne et se déchaîne un long moment dans mon cul en le travaillant au cœur de ses exigeants doigts, écartant l’orifice, se déployant à l’intérieur, roulant en permanence,
un seul, plusieurs. Au gré de son désir et de son excitation que je ressens très importante. Je serre les dents, mais rien n’y fait Maîtresse me tire des cris étouffées quand elle veut et le
temps qu’elle veut.
Dans mon échelle personnel de contraintes de soumis, j’apprends à mes dépends à classifier les doigts
de Maîtresse en moi comme beaucoup plus dangereux qu’un gode. Elle me dit son désir de me faire avaler sa main « en entier » et confirme sa volonté physiquement de ses doigts en m’écartelant à
l’extrême. J’ai déjà très mal et je plaide ma cause en urgence. Je ne le supporterais pas dans l’état de porte resserré où je suis encore. Elle insiste et accentue son action derrière. Je crie
autant que je peux ! Non je ne veux pas être fisté ! Pas aujourd’hui ! Pas maintenant !
Mais Maîtresse n’abandonne pas et continue à travailler, à pousser, à bousculer. Je prends maintenant
ces 5 doigts, mais elle n’arrive pas à me faire ouvrir suffisamment pour faire rentrer sa main en entier. Elle m’engueule presque ! Comme si c’était ma faute… Tourne dans un
sens
, tourne dans l’autre, cherchant à résoudre le casse-tête anal. C’est violent, cela fait mal ! Je
n’ai qu’un désir : que cela s’arrête, enfin ! Mais mon désir est sans-cesse trompé…
Finalement les doigts arrêtent de bouger mais reste bien fichés dans mon rectum. J’attends avec
angoisse mon sort. Emilie me laisse mariner un moment avant de prendre la parole.
- Qu’est-ce-que tu es serré mon Pierrot… je crois que tu as raison ma main n’arrivera pas à rentrer
aujourd’hui… mais nous avons 6 mois pour nous dépasser et te la faire accepter… pour l’instant je vais te donner un peu de motivation…
Que veut-elle dire par là ? Je le sais vite et cela me prend totalement au dépourvu. Maîtresse enlève
doucement la tige de métal laissée dans mon urètre avant de me gober de sa bouche ! Jusqu’à engloutir mes couilles ! C’est hallucinant… Et je renais immédiatement en phénix du pénis au point même
qu’Emilie doive reculer sa prise pour ne pas être étouffée par mon bâton maintenant bien viril, du moins à ma petite échelle…
Juste le temps de se dire, « cela sent le lubrifiant, tant pis » qu’elle me renfourne au chaud le
zizi et commence à descendre et monter pour me sucer avec dévotion. J’avais oublié sa main dans mon cul : elle se rappelle à moi en commençant à me baiser en force la rondelle. Je suis assailli
de toute part et me doute que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme d’enfer. Ma machinerie de plaisir s’affole face à tant de sollicitations mais tient bon encore une à deux minutes, avant
de céder et d’exploser en un des plus violents orgasmes de queue ! Je suis alors estomaqué de voir Emilie me boire jusqu’à la lie avec gourmandise et tout avaler. La pipe du siècle ! Fabuleuse
!
Plus tard, Maîtresse revient de la salle de bain où elle s’est rincée la bouche et les mains. Elle
récupère sa sonde vésicale qui « resservira » et me laisse me débrouiller avec les sangles après les avoir déverrouillées.
- Je t’attends en avance vendredi pour le début de la mise en place de ta période de dressage. Claire
est au courant… En attendant pense à bien te branler car après tu n’en auras pas l’occasion… mais ça tu as du déjà l’intégrer…
dyonisos
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