Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 08:56

19 février

Quelle soirée hier !

La journée avait parfaitement commencé avec la fierté au réveil d’avoir offert tant de plaisir la veille à Claire avec le gode noir. Cela a beau être à la base une humiliation et une négation de mon sexe, j’étais quand même quelque part aux manettes et j’ai adoré l’idée de pouvoir la remplir enfin complètement avec « mon » sexe !

Donc j’ai passée la journée très heureux de notre évolution. Je me suis demandé si c’était la même chose pour Hervé avec Emilie ? Je n’ai pas eu de nouvelles depuis que je l’ai laissé à la gare à Lyon. J’ai essayé de l’appeler. J’ai envoyé des SMS. Aucune réponse… Je tente une nouvelle fois à l’heure de midi, toujours en vain.

Par contre Claire me demande par un SMS reçu en début d’après midi, de passer à la Poste récupérer un paquet avant de rentrer. Notre Poste fermant à 18h, je ne dois donc pas traîner ce soir au travail... 

J’arrive à la maison peu avant 18 heures. Comme tous les jours actuellement, j’enlève mes vêtements avant de les ranger soigneusement, ce qui sera remis le lendemain, dans la penderie de l’entrée et mettre le reste au linge sale. Je boucle mon collier de soumis qui m’attend autour d’une patère avant de me diriger à la cuisine.

Une note m’attend sur la table de la cuisine accompagnée d’une recette imprimée. C’est l’écriture de Claire. Personne n’écrit plus aujourd’hui à la main et Claire pas plus qu’une autre. Par contre, sa version Maîtresse adore laisser des consignes manuscrites à l’encre noire à son petit mari soumis !


« J’espère que tu n’as pas oublié de passer à la Poste… Tu laisses le colis sur la table, je m’en occuperai à mon retour…

Tu prépares une blanquette de veau pour ce soir. Je t’ai choisi la recette la plus facile, à faire au Kooker. Fais attention : ne la rate pas comme celle de la dernière fois !

Tu mettras le nouveau tablier que je t’ai acheté pour que j’aie la joie de mater des charmantes petites fesses encadrées à mon retour. Tu le trouveras suspendu au crochet dans l’arrière cuisine.

Maîtresse Claire 

PS : tu mets aussi immédiatement ton rosebud dans ton petit trou d’Amour, et tu sors notre gode noir avec mon porte gode, que tu sois bien disponible du cul quand je rentrerai. Car je pense que ce soir, je serais d’humeur à faire l’Amour à mon petit mari dès mon arrivée … »


L’écriture de Claire est nette et décidée. Tout comme sa façon de m’annoncer à l’avance comment elle va me traiter, déclenchant toujours le même mélange d’appréhension en haut et de veule excitation en bas qui fait tant baver du zizi…

Je regarde avec interrogation le paquet que j’ai posé sur la table. Sa taille ne me donne aucun indice. Je le soupèse. Assez léger en fait.  Cela ne m’en apprend guère plus comme l’expéditeur : une société KTC à Ris-Orangis inconnue. Alors bonne ou mauvaise surprise, je ne sais pas. Et même pas si c’est lié à nos activités D/S… Et pourtant cela ne peut pas être un hasard si cela  je devais aller impérativement le chercher à la Poste avant de rentrer… Frustrant tout cela !

Je me concentre sur la préparation des accessoires. Le gode et le porte ceinture que je pose sur la table à côté du paquet. Je n’oublie pas la télécommande. Très humiliant de devoir préparer ses propres instruments de contraintes. Je me graisse dans la salle de bain la rondelle d’un index honteux ainsi que le rosebud, très attentivement et avec de la crème grasse si je ne veux pas devenir « sec » au bout d’une heure… Je me regarde dans la glace au-dessus du lavabo. L’idée de faire tout cela pour que Claire puisse immédiatement m’enfiler à mon retour m’est dérangeante, humiliante même. Je n’aime pas en fait me voir dans le miroir être tombé si bas, à me contorsionner pour faire avaler le plug dans mon derrière… Je grimace quand il passe l’anneau…

Je m’attends au pire pour mon nouveau tablier et j’ai raison : une femme stylisée qui prend au gode un homme en levrette avec le slogan « MA FEMME PORTE LA CULOTTE A LA MAISON ». C’est de circonstance et un rappel de ce qu’il m’est promis. J’ai beau m’y attendre, j’ai toujours autant de mal à m’accepter dans cette vision résumée de notre couple actuellement… Sensation que le plug dans mon cul rend encore plus présente en ce moment.

Je m’attèle au découpage des oignons, des carottes. Il faut normalement 35 minutes pour préparer cette recette – c’est ce que dit l’auteur – mais je mets au final 2 fois plus de temps à tout préparer et lancer, avant de pouvoir relâcher un peu de pression alors que la recette cuit. J’ai goûté pour vérifier que tout était bien poivré et salé avant de fermer le couvercle. Cela me parait bien… mais cela ira-t-il à Claire ?

Je suis en train de faire la vaisselle dans l’évier quand Claire rentre. Il est 19h30 et elle arrive manifestement plus tard que désiré. Je veux m’essuyer les mains pour aller la saluer.

- Non continue la vaisselle, on n’est pas en avance. Nos invités arrivent pour 20h00…

- Quels invités ?

Ne sachant pas si elle parle d’hommes ou de femmes…

- Tu verras bien…

Je crains immédiatement le pire quand on a un petit mari nu et soumis à la maison... Je me fige et Claire le voit…

- Mais non, soit rassuré, ta petite vertu sera épargnée. Mais tu ne resteras pas avec nous… heureusement car tu pourrais me faire honte… ah au fait, ne cherche pas à joindre ton copain Hervé. J’ai eu Emilie et il est trop occupé en ce moment… d’ailleurs il ne peut pas te répondre… Emilie lui a confisqué son smartphone et mis un code parental sur l’ordinateur…

Je n’arrive pas à me contrôler et éviter de faire une tête d’ahuri qui fait doucement sourire Claire.

- … tu ne croyais quand même pas qu’Emilie allait en rester là ? Un petit tour en cage et puis terminé : on revient à la vie de pacha d’avant ?

En fait si… quel idiot, je peux être !

- Non quelque part Emilie est beaucoup plus déterminée que je peux l’être vis-à-vis de sa moitié. Et le fait que ton copain ait si longtemps résisté, n’a en rien fait baisser sa motivation. Elle est rentrée avec enthousiasme dans la période de débourrage de mari… 

Claire me perd.

- Dé… bourrage ?

- Tu n’es quand même pas aussi inculte que cela ? Le débourrage est le fait de faire accepter à un jeune cheval les contraintes et le cavalier,  et de l’habituer à obéir aux ordres du cavalier. Tu comprends mieux là ? Il y a deux méthodes : la méthode douce qui joue sur le temps – c’est un peu ce que j’ai fait - et la méthode dure, plus rapide mais plus violente… c’est vu ce qu’elle me raconte et montre, celle qu’elle a choisi de faire… mais bon, je vois que tu es allé chercher ton colis… c’est bien… nous avons juste le temps…

Je veux me retourner.

- Non tu gardes tes mains sur le bord de l’évier !

J’obéis mais ne peux m’empêcher de me contorsionner pour voir ce que Claire peut trafiquer… elle ouvre le colis avec précaution et regarde dedans…  mais elle n’en sort rien. Ou pas encore ? Non elle s’équipe à la place de son gode-ceinture à disposition. Claire est rapidement derrière moi, à tirer sur le rosebud qui lui barre l’accès. Il résiste mais cède finalement sa position, avant de finir dans l’eau du bac à vaisselle sous mes yeux. Une main se pose sur ma nuque pour me forcer à me courber au-dessus de l’évier. Je m’agite un peu. Claire me chuchote dans l’oreille…

- Calme, même si tu ne le veux pas, tu te la prendras ce soir… mais je préférerais de loin que tu la désires… que tu me désires… Réclame-moi !

Ses mots me touchent dans ma faiblesse. Oui  j’ai envie de sentir SA queue en moi qui me fascine et me fait peur en même temps. Je murmure que je la désire, là tout de suite, au fond de moi… 

Claire s’insinue immédiatement et cela rentre comme dans du beurre. Je gémis en petite salope de la longueur qui m’envahit et commence à aller et venir.

- Et bien je vois que l’on s’est bien excité et élargi sur son rosebud à attendre sa Maîtresse ! Mais il ne faudrait pas que la queue dans le cul te devienne trop facile… petit cochon trop excité de se faire mettre par sa femme !

Aussitôt la queue se dilate dans mon cul en largeur et en longueur. Elle devient beaucoup moins confortable, plus exigeante et m’arrache une grimace douloureuse. 

- Et comme cela ? Cela t’excite toujours autant de te la prendre ? Tu sens sa puissance ? Tu sens comme elle te baise en puissance ? Ce n’est pas gémissements de pucelle en chaleur que j’ai envie ce soir, mais des émois effarouchés d’un petit mari soumis en train de se prendre la queue de sa femme !

Claire entreprend de me défoncer le cul en grande profondeur. Les mouvements du gode dans mes entrailles sont dévastateurs. Je geins sous les coups de buttoir, non de plaisir, mais parce que je n’ai pas d’autre choix que d’exprimé ma détresse de petit mâle durement enculé par sa Maîtresse de femme ! Cela porte autant dans l’esprit que sur le corps. 

Heureusement Maîtresse Claire est pressée ce soir, et met fin à mes petits tourments au bout de quelques minutes qui m’ont paru une éternité. Je suis essoufflé et complètement dans un état de profonde soumission à la volonté de Claire.

- Pas le temps de t’envoyer ta dose en fond ce soir. Désolé pour le quick fuck… c’est dommage car cela m’excite de plus en plus de défoncer ta rondelle… j’en suis toute « émue » dans l’entrejambe… dépêche toi de finir la vaisselle, avant que nos invités arrivent… Tu nous as mis à la bourre à faire ton puceau excité. Je m’occupe de mettre la table…

Je n’ose me relever. Comment peut-on recevoir des invitées alors que je suis nu avec un collier ? Et c’est qui que Claire a invité sans m’en parler ? Des femmes ? Des hommes ? Je ne crois pas qu’elle accepterait que je pose la question et en plus elle n’est plus là, à dresser la table dans la salle à manger. Mais tout cela me fait monter une boule au ventre… Et si elle comptait m’exhiber comme son trophée de chasse ? Avec Claire, je crois maintenant tout possible…

Je viens juste de finir de laver le dernier saladier et de le ranger quand la sonnette de la porte se fait retentir. Panique totale à bord avec l’idée première de me cacher immédiatement sous le lit de notre chambre ! Mais pas la possibilité : Claire revient en se pressant…

- Tu as oublié ton rosebud au bord de l’évier ! Tourne-toi que je le range…

Mon cul sert de « rangement » et elle ne prend aucune précaution pour me le re-enfiler en force. Elle me prend le poignet et me conduit dans le réduit sous l’escalier, en passant devant la table qu’elle a dressée. Je note au passage qu’il y a 4 assiettes avant de me retrouver  dans le réduit. La sonnette re-sonne une seconde fois.

- Dépêche-toi de rentrer ! Je déteste faire attendre mes invités…

Je me retrouve nu et apeuré dans le noir du placard. Claire n’a même pas pris le temps de m’enlever le tablier. La porte qui me sépare du reste du monde n’est pas fermée et j’ai une telle trouille primale au ventre que quelqu’un l’ouvre et me découvre !

Les 3 invités sont arrivés quasi en même temps. 3 femmes ! J’espérais pouvoir m’échapper pendant qu’elles prendraient l’apéritif au salon mais Claire a vite déçu mon espérance en décrétant qu’elles le prendraient directement à table, à 2 m de mon refuge précaire ! Impossible maintenant de sortir sans apparaître comme un éléphant rose et nu au milieu du couloir…

Pas du tout rassuré, je suis aux aguets de tout bruit qui se rapprocherait trop de mon précaire placard… Je reconnais une voix, celle d’une collègue de travail de Claire, mais les 2 autres me sont inconnues. Mais toutes travaillent au même endroit : leur sujet de prédilection est le comportement et la tenue des petits mâles de leur entreprise. Et il n’y a pas à dire, cela envoie sans aucune retenue tout le début du repas que j’entends très arrosé.

Claire en tire la conclusion quand elle amène le désert…

- C’est  une superbe idée que nous avons eu de se retrouver au dehors. On peut se lâcher totalement !

- Que cela fait du bien de se défouler entre filles…. Merci à toi Claire… Au fait, tu as fait quoi pour te débarrasser de ton mari ce soir ?

Claire répond du tac au tac.

- Oh, je l’ai enfermé nu dans un placard…

Elle ne vient pas de dire cela ! Gros moment d’angoisse et petite stupeur chez les invitées qui se transforme vite en grand éclat de rire…

- … c’est vrai que cela serait plus facile de s’en débarrasser comme cela… pour ne plus les avoir entre les pattes… ils sont mignons nos ours mais prennent parfois maladroitement un peu trop de place…

- Alors tu en as fait quoi ?

- Je m’en suis débarrassée pour qu’il ne vienne pas nous gêner, c’est le principal non ? Et le pauvre n’a rien vu venir…

- Tu fais ta secrète ? Tu ne veux rien dire ?

La foutue curiosité féminine !  Je prie surtout pour qu’elle n’avoue que je me trouve là à 2 mètres de leur table… Mais celle que j’ai identifiée comme la plus timide, prend la parole pour une révélation.

- ça y est, Marc me l’a mise au cul le week-end dernier…

C’est le brouhaha général !

- Toi, Aurore, qui ne jurait que jamais, au grand jamais, tu l’accepterais ! Que c’était trop dégradant…

- Vous pouvez bien rigoler… mais c’est fait ! Je ne suis plus vierge de ce côté !

- Alors raconte…

- Il m’a d’abord baisée longtemps, comme jamais… en levrette… c’est quand j'ai joui qu'il s'est retiré et qu'il m'a mis la queue entre les fesses... d’habitude je dis non… mais là je l’ai laissé faire… pour voir… pour savoir…

- Attention, c’est du lourd les filles ! 

- J’avais peur. J’avais le cœur qui battait et je me suis rétractée un peu. Il a hésité un peu mais il s’est quand même enfoncé doucement. Et là… oh mon Dieu !

- Laisse ton Dieu, là où il est. Tu veux dire que tu as senti passer son gros zob ?

- Oh il n’est pas si gros que cela ! C’est que je lui reproche d’habitude… mais pour ce côté, il est déjà bien trop large à mon goût !

- Oh tu sais, on s’habitue à tout. C’est pour cela que j’ai pris un amant bien monté qui, comme par hasard adore me la mettre au cul !

- Laisse la queue de ton amant où elle est. Aurore n’a pas fini de nous raconter. Alors c’était comment ta première au cul ?

- Cela me fait un peu de mal de vous dire cela mais c’était bon ! C’était super bon même… j’étais dilatée, épanouie alors qu’il me ramonait le cul… c’est bizarre ce mélange de douleur, de plaisir et de honte… mais globalement j’ai adoré… oh je ne le ferais pas tous les soirs, mais une fois de temps en temps … surtout que…

Aurore se tait. Je suis aussi avide que les filles de la table de connaître la suite ! J’ai l’impression d’être devenu un voyeur caché.

- … surtout que j’ai eu mal à la rondelle pendant 3 jours !

- C’est mignon de te voir rougir, Aurore. Mais cela prouve surtout qu’il t’a bien baisé ! Tu as eu un big orgasme ?

Une toute petite voix répond.

- Oui mais cela fait quand même mal de se faire prendre par là et de cette manière…

- Oh tu t’y habitueras…

- Non Aurore a raison. Ce n’est pas parce que l’on leur offre nos culs qu’ils doivent les dévaster à chaque passage ! Surtout qu’ils peuvent très bien y aller plus doucement… Ils mériteraient qu’on leur rendre la pareille !

Claire répond…

- Tu as tout à fait raison Laetitia, vive le gode ceinture conjugal ! J’y pense d’ailleurs…

- Quoi ?

Répondent en cœur les filles et moi je me retiens de hurler !

- Cela ne vous a fait jamais envie d’avoir une queue et de voir ce que cela faisait de leur prendre leur petite vertu ?

Je suis accablé et tremble devant l’échafaud. Je suis sûr que dans quelques instants elle va ouvrir le placard pour me sodomiser devant les copines, voir même leur prêter mon cul pour essayer le gode ceinture à leur tour ! Comme la soirée est partie, cela ne peut pas être autrement !

- Je comprends que tu en es envie, te connaissant. Mais ton mari, il en penserait quoi ?

- Oh lui on s’en fout de quoi il en penserait quand je lui prendrais la petite rondelle ! Mais je crois qu’il aimerait… vu comme il a déjà un petit côté si pervers. Et puis cela devrait lui implanter quelques neurones féminins et si cela peut lui faire plus m’aider à la maison…

La conversation dérive rapidement sur nos travers à nous les hommes et sur le fait que nous « n’en foutons pas une ! ».  Je suis heureux que mon trou du cul ne soit plus au centre de leur discussion, mais cela fait quand même peur de les entendre parler avec véhémence de la paresse de leurs hommes, d’autant qu’il y a pas mal de vrai dans ce qu’elles décrivent… 

Finalement l’heure du départ arrive et Aurore veut s’échapper la première…

- Oui c’est ça ! Tu as la cramouille toute mouillée et tu veux retrouver la bonne petite queue de ton Marc !

- Mais non !

- Mais si ! On te connait quand tu es excitée. Tu as ton petit sourire aux Anges. Comme quoi, tu peux aller à la messe tout les dimanches, tu restes une bonne grosse salope qui aime se prendre de la queue !

- Tu ne peux pas dire cela : je ne suis pas comme cela !

- Mais si tu l’es. Tu es mouillée là ?

Un petit oui troublé répond.

- Et bien, tu es comme les autres. Allez va retrouver la queue de ton mari qu’il te défonce bien dans le lit conjugal. Mais comme tu as essayé de nous mentir, tu récupères un gage. Ce soir, cela ton cul que tu lui offriras !

- Vous êtes chiantes les filles… mais oui, je vais lui offrir mon cul pour la seconde fois, rien que pour vous démontrer une fois pour toute que je ne suis pas la Saint Nitouche de l’Eglise que vous croyez que je suis !

La seconde collègue ne tarde pas elle aussi à s’éclipser, mais sans gage. Il ne reste plus que Claire avec la collègue que je connais, celle qui a manifestement un amant. Et elle ne veut pas partir, la foutue fille !

-Tu m’offres un digestif Claire ?

- Oh toi tu as quelque chose qui te tracasse …

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 09:04

17 février

Le retour au travail le lundi est difficile. Je vis depuis 5 jours tellement à fond dans ma soumission avec Julie puis Claire, que d’être nouveau libre de mes mouvements est finalement déstabilisant. 

Mes testicules sont douloureux ce matin et un bleu marque celui de gauche, conséquence du traitement de hier. Mais finalement le paradoxe du soumis l’emporte et je suis fier que ma Claire ait osé et de cette manière. J’en suis presque à regretter que je n’ai pas eu assez de courage pour l’inciter à continuer…

Le retour à la maison est calme, trop calme même. Je me mets nu avec mon collier et attend le retour de Claire en rangeant et nettoyant de ci et de là. Quand elle arrive enfin, je vois tout <de suite qu’elle a sa tête des mauvaises journées. Elle se met immédiatement devant la télévision. J’essaye d’être le plus gentil possible, prépare un plateau repas et vient le partager avec elle devant la télé.

La série qui passe ne m’intéresse pas du tout. Je commence à bouillir un peu intérieurement que rien de D/S ne se passe et à un moment j’en ai marre : je me lève pour aller sur l’ordinateur.

- Tu vas où ?

- Sur l’ordinateur … et je ne veux pas te déranger dans ta série.

Je sais cela fait un peu fayot, mais bon si j’arrive à m’échapper…

- Tu m’as demandé l’autorisation ?

- Euh… non… je n’y ai…

- Donc pas de demande, pas d’autorisation. Tu vas te mettre à regarder le mur à côté de la télévision que j’ai le plaisir de voir tes petites fesses craquantes…

J’en suis un peu sur le cul. Mis au coin à mon âge ? D’ailleurs Claire précise son désir : « non pas debout, à genoux, les mains sur la tête ! ».

Putain que le temps est long quand on n’a rien à faire. La série parle à mes côtés sans que je puisse suivre quoi que ce soit. Bientôt cela tiraille dans les muscles des jambes et du bas du dos, et j’ai du mal à tenir la position.

Finalement à la fin du premier épisode, une demi-heure plus tard peut-être, je suis libéré.

- Pense la prochaine fois à demander. Cela sera tout pour ce soir. Au lit maintenant le petit Pierre, pas de lecture et lumière éteinte. Tu as de telles valises sous les yeux qu’un sommeil réparateur te fera le plus grand bien… et que je puisse regarder le deuxième épisode au calme…

Et voilà pour couronner le tout, me voilà envoyé d’office au lit à 21h50 ! Ben voyons…

Cela a été l’unique activité D/S du lundi que je n’ai pas trop apprécié …

Très différent a été hier le mardi. D’abord elle m’a interdit de mettre un caleçon le matin et j’ai apprécié la nouveauté.

D’abord, Claire m’a envoyé dans l’après-midi un SMS. Je dois passer au magasin de lingerie Plaisir des Yeux récupérer son « cadeau de Saint Valentin » qu’elle s’est fait, puis récupérer les courses commandées à 19h précises au drive de l’hypermarché.

Le trajet vers le magasin de lingerie me morfond de nouveau. Je suis un mari nul pour oublier de lui fêter sa Valentin, mais cela m’arrive aussi pour son anniversaire et sa Fête… 

Je n’aime pas les magasins de lingerie, beaucoup trop féminin à mon goût. Je ne m’y suis jamais senti à l’aise. La patronne et sa vendeuse, heureusement aucune cliente. J’annonce venir récupérer ce que m’a femme a réservé.

- Ah oui. Elle a passé vendredi denier.  Je lui ai mis de côté…

Le paquet est déjà emballé et je suis un peu frustré de ne pas savoir quelle ensemble de dentelle elle a pris. Car si je n’aime pas aller dans les magasins de lingerie, j’aime beaucoup quand Claire la porte.

J’ai déjà sorti ma carte bleue prêt à payer et m’enfuir de cette atmosphère.

- Non attendez, votre femme vous a demandé de choisir…

Choisir quoi ? Vu que le paquet est déjà prêt…

- Qu’est-ce que tu en penses Suzy ? la taille doit être bonne ?

- Oui cela ira parfaitement.

La patronne étale sur le comptoir 2 culottes en dentelle transparente, style grand-mère. L’une mauve et l’autre rose. Je ne vois vraiment pas Claire porter cela…

- Alors vous en pensez-quoi, Monsieur ?

Je ne sais que dire. Je ne vois pas comment Claire ait pu vouloir acheter ce genre de culotte…

- Oh cela ne me plait pas… je ne vois pas ma femme porter cela… peut-être quand elle est indisposée, mais quand même ce n’est pas son genre…

La patronne et la vendeuse échange un sourire complice que je ne comprends pas et elles ne cessent de me sourire.

- En fait je pense, Monsieur, que vous faîte une méprise. Votre femme les a choisis pour vous… mais elle hésitait pour la couleur.

Cela a été dit le plus doucement possible mais pour moi l’Enfer vient de s’ouvrir au milieu du magasin. Je deviens cramoisi immédiatement, le regard fixé sur « mes » culottes. Comment Claire peut-elle me faire cela ?

- Ne soyez pas gêné. Si vous aviez combien d’hommes aime porter de la lingerie féminine et vienne l’acheter chez nous en catimini…

Cela tangue de plus en plus. J’ai envie de crier : je ne suis pas ce genre d’homme ! J’ai hâte de sortir de ce piège…

- Bon, je prends les deux.

- Votre femme a demandé que vous les essayiez d’abord… pour avoir notre avis de professionnel…

- Non je ne veux pas !

- Soyez raisonnable. Votre femme était si enthousiaste de vous trouver une jolie culotte… cela serait dommage de la contrarier.

Je crois surtout qu’elles ne veulent pas rater leur vente. La vendeuse m’ouvre le rideau de la cabine d’essayage en guise de lourde invitation… J’hésite mais c’est plus fort que moi, l’humiliation prend le dessus et je rentre dans la cabine pour passer les culottes. Je pense garder mon slip dessous pour essayer de cacher le peu de fierté que Claire m’a laissé, quand je m’aperçois et me rappelle, qu’elle me l’a tout simplement confisqué ce matin. A escient ! Malédictions…

Les grandes humiliations se vivent dans les limbes de l’esprit. Je passe la première culotte mauve. Avec la dentelle, on voit tout et surtout ma cage de zizi. Bien sûr, la patronne et la vendeuse viennent passer une tête pour voir « comment cela me va ». Je suis pivoine n’osant plus rien dire… Mais les 2 femmes parlent pour 2.

- Ne vous inquiétez pas. Votre femme nous a déjà parlé de votre cage de chasteté… ne soyez pas gêné… nous avons déjà vu le « loup » et vous n’êtes pas le premier homme qui en porte une qui vient ici … toujours des maris si doux et attentionnés, que je me demande si je ne devrais pas faire de même avec le mien… cela ne lui ferait que du plus grand bien !

Il est « décidé » que la mauve me va parfaitement ainsi que la rose. «Votre femme a bien choisi… » Je suis pressé de payer et de sortir de ce maudit magasin de Femmes liguées contre les Hommes. Mais Claire m’a laissé un mot : où elle me demande/ordonne d’acheter les 2 culottes et surtout de revenir à la maison avec la culotte rose sur moi !

Je respire enfin quand je quitte le magasin. Il me reste 10 minutes pour rejoindre la zone commerciale et récupérer les courses au drive. 

Il est 19h25 quand j’arrive enfin à la maison. La voiture de Claire est déjà là. 

- Bonsoir mon chéri. Tu ranges immédiatement les courses et tu reviens me voir dans le salon avec la tapette de bois.

Aie ! J’appréhende déjà la suite…

Les courses rangées, je file récupérer la tapette de bois dans la commode de Claire sous les pulls. Et je reviens un peu penaud me présenter devant Maîtresse Claire assise sur le canapé. Elle récupère la tapette de mes mains.

- Tu as aimé ta visite au magasin de lingerie ? La patronne et sa vendeuse sont délicieuses et pleines de bons conseils…

Je fais un peu la moue…

- Mais si tu es là devant moi, Pierre, c’est pour régler un vieux compte, d’ailleurs depuis le début de notre mariage. Tu as encore oublié ma Saint Valentin et j’en ai marre de devoir me faire mes propres cadeaux. Jusqu’à présent c’était un peu goujat de ta part mais gratuit. Et bien maintenant on va mettre un prix à ton oubli… Au travers de mes genoux !

C’est émotionnellement très fort devoir s’exécuter comme un vulgaire garçon désobéissant. Totalement troublant quand Claire déboutonne mon pantalon et le fait glisser jusqu’à mes chevilles et encore plus quand la culotte rose (qui me va « très bien ») est baissé sous la joue des fesses.

- Tu es un grand garçon maintenant qui doit être puni comme un grand. Donc tu mérites 50 coups de tapette que tu compteras à voix haute un à un. Et j’espère que l’an prochain, tu n’oublieras pas la Saint Valentin pour la première fois.

C’est définitivement humiliant d’être puni ainsi et Claire ne cherche même pas à contrôler la force de ces coups. Je bouge et crie rapidement, et plusieurs fois, elle doit reprendre sa prise sur le haut de mon corps.

A la fin de la série, je suis envoyé les fesses rouges et brûlantes, méditez les conséquences de mon « oubli » au coin à côté de la télévision… le temps nécessaire pour que la position soit difficile à tenir et  je me repente humblement…

- C’est bien mon petit mari soumis… allez direction la chambre ! Ton petit cul rouge, qui se trémousse tant, a fini de m’exciter et de me donner une folle envie de ta queue…

- Mais tu n’as pas la clé… elle est dans les mains d’Emilie !

- En es-tu si sûr ? Tout ce que tu as vu c’est effectivement la clé de ta cage accrochée dans une boîte et bloquée par 2 cadenas. Et si tout cela était une supercherie ? Que la boîte soit à la maison, ou même qu’elle n’ait existé que le temps de la photo ? Tu as vu les clés bouger qui prouve que c’est en direct ?

Je fais une tête d’ahuri et de dindon de la farce. Un vrai ravi provençal… Et effectivement si tout cela était vrai ?

-  C’est une possibilité… Même si Emilie a réellement  la clé de ton zizi chez elle, as-tu aussi pensé que je pouvais toujours avoir accès à la clé de secours ? Que la combinaison du coffret où elle est, n’a jamais été changée ? Tout est possible et tu n’as aucune certitude si tu réfléchis  2 secondes à ta situation.

Je chavire devant effectivement tant de choses inconnues, sans aucune incertitude que ce qu’il parait être, le soit réellement.

- Je crois que je t’avais demandé de rejoindre la chambre pour satisfaire mon désir actuel de me prendre ta queue. Mais si tu préfères passer ton tour, pas de problème. J’ai un rabbit…

Sa voix est légèrement plus froide. Je me dépêche de rejoindre notre chambre, me déshabille et attend Claire sous la couette, la bite en feu qui a compris qu’elle va avoir une autorisation de sortie. Finalement Claire aura été moins résistante que moi pour le sexe…

Claire me rejoint quelques minutes plus tard après s’être déshabillé dans la salle de bain… Je suis si excité de la perspective d’enfin jouir après 1 mois et demi de chasteté intégrale. Claire cherche quelque chose dans la commode, le trouve avant de me le jeter sur le lit…

- Tiens mets-çà !

Je suis surpris par la tournure des événements. Je regarde ce qu’il semble être un harnais de cuir. Je le fait tourner dans mes mains pour comprendre son utilisation : un harnais porte gode ! Non pas ça ! Je suis pris et donc instantanément humilié et anéanti.

- Et oui mon chéri, il a plusieurs possibilités pour qu’un mari encagé donne du plaisir à sa femme… ce soir j’ai envie de quelques choses de plus « consistant » que ta langue…

Je me retrouve vite avec le Black Eagle entre les jambes. Le faux pénis prend appui sur le pubis au dessus de la cage et, somme toute, ne parait pas trop bizarre dans cette position. L'impression est cependant très bizarre comme si ce n'est pas moi avec ce gros phallus. Il y a un tel écart de taille avec mon propre zizi, que Claire ne manque pas de commenter, que c’est déstabilisant en plus d’être terriblement humiliant. Je crois que nulle femme ne peut résister longtemps à la tentation de se prendre un sexe puissant. 

- On zappe les préliminaires, je suis déjà bien excitée.  Couche-toi sur le dos, je veux me le prendre en amazone pour pouvoir contrôler la profondeur de pénétration vu la bête !

Claire essaye de m'enjamber pour se l'introduire en amazone mais la longueur de l'engin et sa flexibilité réduite lui pose trop de problème. Elle n'arrive pas à se soulever suffisamment haut pour se l'enfiler au creux de sa matrice. Elle essaye de nombreuses fois sans succès entraînant une (petite) frustration.

Elle ne revient donc à un choix de positions plus classique, celle de la levrette. Je ne dois pas bouché. Sa main guide la tête du gode qui s’introduit et disparait cm par cm. La première sensation que Claire raconte est un effet d'envahissement et puis la longueur du sexe permet de jouer avec son col de l'utérus ce que ni mon asticot, ni les bites de ses amants d’avant, n’ont réussi à toucher.

- Et encore là, je l’ai laissé à sa taille minimum en longueur. Humm en diamètre c’est un peu juste… 44 mm ok parfait… je suis bien ancré… vas-y bouge doucement… d’avant en arrière…

Je commence de lents va et vient. Autant il est difficile pour une femme d’apprendre à manier un gode ceinture (au début Claire était même très maladroite), autant pour un homme ainsi équipé les mouvements sont contrôlés immédiatement. C'est si proche du réel et les coups de reins sont quasi similaires. La seule chose est que ce n'est pas ma queue qui, elle, mouille en permanence son envie tout en essayant de remplir au maximum le faible volume disponible de la cage. Elle ne comprend pas pourquoi elle n’a pas les sensations qu’elle devrait avoir dans cette situation… La seule sensation physique étant la pression dans la cage et le frottement du drap sur le bout du gland qui dépasse de la cage. 

Mais si la frustration est bien là, il me reste le plaisir que c'est bien moi qui donne un intense plaisir à la femme que vous vénère. Claire adore sentir les fausses couilles cogner sur l'entrée de son vagin. Et cerise sur le gâteau, la cage vient titiller l'entrée de son anus pour tout son plaisir.

Claire veut se le prendre au « naturel » et n’utilise pas les gadgets du gode pour cette première fois. Elle veut «  de la bonne grosse bite qui fait tant de bien à la chattoune ! Pas des cure-dents comme le tien !  « 

- Allez vas-y remue-toi, que le gode, un vrai mâle lui, me baise profond comme une salope ! Tu n’es plus bon qu’à cela : un rabbit humain dont la petite queue qui m’est inutile mérite d’être enfermée à vie ! Allez du nerf ! Je veux des coups de bites ! Du ramonage à faire fumer mes muqueuses ! Je veux jouir !!! …. Oui ! Oui ! Ouiii !….

L’orgasme s’annonce encore plus dévastateur que tout ceux qu’elle me sert depuis 1 mois et demi, et que je vois passer frustré en cage. Claire n’est habituellement pas ordurière pendant l’Amour .J’en suis tout retourné et excité. Mon définitivement petit pénis ne cesse de crier son envie empêchée pendant qu’elle monte en gammes… Il voudrait tant être de la fête… J’ai mal aux couilles tellement il est devenu dur et  veut s’échapper. Je m’épuise à pistonner de plus en plus fort…  Il est temps que cela en finisse pour ma santé mentale et physique… Faîtes mon Dieu qu’elle jouisse enfin et vite du big O !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 08:01

16 février

- Joyeuse Saint Valentin mon amour !

C’était dimanche matin de cette semaine tellement folle que je n’arrive pas à rattraper mon retard dans mes comptes rendus à Emilie.

Dimanche 14 février. Comment ai-je pu oublier ? Sans doute comme d’habitude, je fais toujours beaucoup moins attention aux dates que Claire.  

Pour l’instant c’est une Claire totalement craquante qui m’apparait au lit dans la douce lumière du matin d’hiver. Et d’ailleurs mon sexe ne tarde pas à réagir à cette beauté, d’autant que sa main vient me titiller l’entrejambe.

- Joyeuse Saint Valentin, ma chérie !

Je me penche pour l’embrasser et mêler nos langues langoureusement. Je suis heureux de l’Amour.  Quel chance j’ai de vivre à ses côtés !

- Je suis désolé, tu n’auras pas ta traditionnelle petite pipe amoureuse du matin pour ta Saint-Valentin cette année… dommage, cela me faisait bien envie de la sucer amoureusement…

Il y a des petites remarques  qui vous font durement regretter les impossibilités physiques. Ma bite crie sa frustration entre les barreaux !

- … mais après tout il était peut-être temps de changer…

Sa main me quitte l’entrejambe pour soulever le haut de la couette. C’est une invitation claire à un « Pierre broute la moi ! ». Après tout, pourquoi pas ? Ma Claire le mérite tant…

Je me faufile sous la couette pour poser mes lèvres sur la moiteur déjà bien installée entre ses cuisses. J’ai plaisir à y poser ma langue, à me perdre dans ses odeurs épicées de la nuit, à la boire à la source et entendre son plaisir monter et monter encore jusqu’à la joie partagée de lui procurer l’orgasme infini et dévastateur qu’elle crie au monde entier…

Nous mettons quelque temps à reprendre nos sens et esprits et descendre prendre notre petit déjeuner. Je garde le sexe bandouillant qui bave. Je suis heureux de notre vie en ce matin à l’écart du monde. Je m’occupe amoureusement de tout préparer avant de nous mettre autour de la table de la cuisine.

Claire se lève pour revenir avec un paquet cadeau. Je suis gêné. J’ai toujours d’habitude beaucoup de mal à me rappeler de lui acheter un cadeau, mais cette année  la mise en cage d’Hervé m’a pris toute mon attention, et je n’ai pas anticipé. Je suis à l’aguet vu qu’elle a toujours beaucoup plus tenu au symbole de la Fête des Amoureux que moi et vu ma situation, mon oubli pourrait me coûter plus cher que les autres années.

- Tu n’as rien prévu comme chaque année ? Non ? Cela ne m’étonne pas… même si à la longue, c’est frustrant… mais on verra cela plus tard… allez déballe mon cadeau… moi au moins j’y ai pensé…

J’ouvre mon paquet avec appréhension. Et cela me met sur le cul : un DVD BDSM d’une Maîtresse allemande et en allemand !

- Oui, tu n’arrêtes pas de mater ce genre de vidéo sur internet dès que j’ai le dos tourné et j’avais envie de partager avec toi pour une fois. Mais cela sera pour plus tard, car ce matin j’ai prévu que nous allions à Ujkua ensemble pour profiter que nous n’ayons pas nos éternels pleurnichards que c’est trop long … Allez viens avec moi à la douche, Pierre !

La douche est très coquine, trop sans doute en mon état de dureté contrée. Je lui fais les cheveux, le corps et elle me rend la pareil comme tout couple qui s’aime et a du temps de complicité amoureuse devant soi. C’est très érotique et mon sexe ne cesse de déborder par les trous de la cage.

- Humm… c’est embêtant cela. Comment allons-nous faire pour finir de te nettoyer ?

Je crois que la question n’est que de principe et que Claire a déjà imaginé la solution… car un jet d’eau froide vient me viser dans l’entrejambe. Evidemment au maintien de ce traitement, toute fierté finit par disparaître. Et elle peut me laver le sexe, jusqu’au gland qui est savonné de son petit doigt entre les barreaux et m’apporte tant de frissons…

La visite à Ujkua est irréelle. Je me sens intimidé à ne pas comprendre l’urgence d’y aller. Je ne crois pas à une visite non-intéressée. Bon  dans ce magasin norvégien, c’est toujours la même chose : parcourir et parcourir encore des kilomètres d’allées entre les chambres, les salons, les cuisines aux noms nordiques incompréhensibles  dans l’espoir clair que le chaland consomme et consomme encore. Moi je vois très bien leur stratégie et la plupart du temps cela m’énerve et je trouve la visite aussi longue que les enfants. Mais cette fois, Claire ne s’arrête que là où elle semble vouloir aller. Au rayon des sièges, où elle prend le numéro d’une chaise en bois au haut dossier. Et au rayon divers, elle cherche un temps avec intensité ce qui s’avère être au final des sangles d’attache de colis. Elle en prend plusieurs d’ailleurs avec enthousiasme. Qu’est-ce qu’elle prépare ?

Nous en profitons pour manger sur place des boulettes norvégiennes avant de retourner à la maison, nos achats dans le coffre. Drôle de Saint Valentin !  Et je ne peux m’empêcher de m’inquiéter sur le chemin de retour alors que je conduis, de la façon dont je vais être bouffé…

Arrivé à la maison, Claire me fait mettre nu, avant de me demander de monter la chaise. Elle se fout que je doive courir jusqu’au garage indépendant à la vue potentielle des voisins, pour récupérer les outils… Sous sa stricte supervision, la chaise est bel et bien montée devant notre télévision.

J’y finis attaché sanglé du chevilles a cou, sous la vue de Claire installée dans mon fauteuil de cuir. Le DVD se lance…

C’est le genre de vidéo BDSM typique, de celles qui font fantasmer les mâles en mal de soumission. La Maîtresse allemande est jolie et divinement dominante.  Le soumis en prend plein la gueule… face sitting, coups de ceinture y compris sur le sexe,  cire et ballbusting… j’oublie, immobilisé sur ma chaise, Claire qui garde le silence et je reste excité dans ma cage à la vue d’un tel traitement…

Finalement le générique de fin défile et me laisse sur ma faim de sexe. Je me serais bien astiqué en délivrance. Claire se lève et me laisse seul… un moment.

Elle revient finalement avec un sac de course de supermarché qui a l’air bien plein. Elle le pose sur le canapé et revient vers moi.

- C’est une des procédures que conseille Zutto de faire avec son mari apprenti soumis. Nous allons donc re-regarder ensemble la vidéo et j’ai la mission de tout refaire avec toi ! Humm, je pense que cela va-être un moment passionnant…

Là je commence à paniquer, me demandant quel pourra être le pire ? Le ballbusting peut-être qui n’a jamais fait partie de mes fantasmes ? La cire oui mais je ne connais pas son effet. J’appréhende tant…

La vidéo qui recommence me fait l’impression d’une marche vers l’échafaud. Je suis beaucoup plus conscient de la cruauté de la Maîtresse Allemande que Claire a décidé d’imiter. Je sais que la vidéo commence par une séance d’hommage. Claire met en pause avant de me libérer de ma chaise. Me voilà devoir faire la même chose : ramper sur le sol jusqu’à ma Maîtresse… comment ai-je pu être excité de voir le pauvre homme le faire ?

Claire passe sa paire de talons moins hauts que ceux de la vidéo, que je dois lécher en même temps que le soumis le fait. C’est pas du tout mon truc le fétichisme des chaussures et mon excitation est proche de zéro. Mais le pire est que je sais à l’avance tout ce que je vais subir à la suite : La Domina va marcher sur le corps nu de son soumis !

- Tu crois que c’est vraiment possible ? Je dois être quand même un peu plus lourde qu’elle… mais bon une mission est une mission… et n’oublie pas de regarder la télévision, cela fait partie de la pédagogie de l’exercice…

La Maîtresse allemande monte entièrement de ses hauts talons sur le corps nu de l’homme en jubilant. Claire n’ose pas le faire et garde un pied à terre. Heureusement car la pression d’un seul talon sur la fine peau de mon dos est aigüe et encore elle n’y a pas transféré tout son poids. Je grimace sous la souffrance. Comment peut faire le gars pour supporter cela ?

Par contre, je n’échappe pas à la pointe du talon contre mon petit trou. La Domina finit par violer ainsi son soumis. Claire ne réussit pas à entrer mais ne m’épargne pas la pression à me faire serrer les dents face à la douleur comme le gars de la vidéo. 

Je suis heureux quand la scène finit enfin… La vidéo est mise en pause pour la préparation du face-sitting, qui suit immédiatement après. Cela se passe sur une banquette de simili cuir. Claire se contentera de notre canapé de tissus. Elle me fait installer couché en travers pour avoir la place de me chevaucher le visage et enlève culotte et pantalon. J’ai une délicieuse vision aux premières loges de l’intimité de Claire qui réveille violemment mon sexe dans la cage. Je relève la tête pour essayer de goûter à mon Paradis. Mais Claire ne l’entend pas ainsi, et de sa main me fait me tenir tranquille pendant que la vidéo reprend.

- Attends Pierre, j’ai un détail qui m’interpelle. Là dans cette position, il ne peut pas lui sucer la chatte. C’est physiquement impossible…

Je regarde avec intérêt la vidéo. 

- Effectivement, je ne vois pas comment le gars peut faire pour lui brouter la chatte… c’est que donc il la lèche ailleurs…

- Tu as raison. Il lui lèche la rondelle. Et je me demande si c’est aussi jouissif que ce que montre la femme…

Et merde ! Pourquoi j’ai dit cela. Je ne pouvais pas me taire…

- … et ne fait pas semblant, Pierre.

C’est les derniers mots que j’entends quand ses cuisses se referment sur moi. Effectivement dans cette position, il n’y a que cela d’accessible. C’est une grande première, pour moi, pour nous. L’odeur légèrement acre me chatouille les narines. J’hésite d’autant à y poser ma langue. Mais ce qui me décide finalement, c’est le sentiment d’intense soumission… J’essaye d’oublier où je me suis posé. Je me sens plus à l’aise et ose même titiller de la pointe de la langue l’oculus au milieu qui se détend et réagit en s’ouvrant comme une fleur. Claire soupire et apprécie la caresse. Et moi je me laisse aller au plaisir de la prodiguer à ma Maîtresse… Etonnant découverte un peu taboue, ce qui en renforce le sentiment de soumission ou domination pour chacun.

- Merci mon chéri, c’est délicieusement bon d’être sucée là. Mais bon on va faire comme dans la vidéo, et je vais faire comme si je n’étais pas contente de tes services.  Allez en place sur le tapis ! 

Claire prend la ceinture de cuir dans le sac. Je sais que je vais prendre grave par procuration de la vidéo. Les coups sont coordonnés avec les splashs de la Maîtresse allemande. Elle frappe au même endroit où l’homme est frappé et même si je crois qu’elle n’applique pas la même force, je hurle vite autant que le pauvre soumis de la vidéo ! 

Le summum des cinglées est atteint quand la Maîtresse retourne son esclave pour lui frapper directement le sexe. Claire fait de même avec moi, mais au lieu de viser la hampe se contente de me donner des petits coups secs sur les couilles. Nous hurlons en cœur l’homme de la vidéo et moi, notre détresse d’esclaves battus et restons prostrés une fois qu’elles nous laissent.

- Ouah ! Cela défoule bien de battre son homme comme cela !

La Domina prend à ce moment un bougeoir allumé sur la commode pour faire couler la cire sur le sexe à demi-bandé. Par contre chez nous, aucune bougie à proximité. La vidéo est donc de nouveau mise en pause. Claire en profite pour boire avant de maugréer qu’elle a oublié de prendre le bougeoir de la « grand-mère ». Elle rapporte aussi au passage un vieux drap qui est étalé sur le tapis devant le canapé.

- Couche-toi dessus, sur les fesses…

J’hésite à obéir cette fois mais cède quand même. Les sangles sont récupérées pour m’immobiliser strictement le corps 

- Désolé, mais dans le film c’est fait dans l’action. Alors que nous hachons pas mal, le temps de tout préparer. Faudrait pas que tu échappes au dernier moment...

« Notre » bougie est enfin allumée sur son bougeoir. Je regarde avec grande appréhension n’ayant aucune idée du niveau - forcément de douleur – que cela suscite chez celui qui reçoit la chaleur de la cire. Même si l’idée dans le principe m’excite, la réaliser me fait baliser. La vue d’une Claire surplombant mon corps nu sans défense est si intimidante et j’en tremble, le regard fixé sur la flamme menaçante.

- Là aussi c’est une grande première. Dommage que tu sois en cage… cela serait sans doute plus esthétique sans…

Je me rebelle un peu, heureux au fond de moi-même de gagner un peu de sursis…

- C’est quand même toi qui m’y a mis et qui a donné la clé à Emilie ! Pourquoi ?!

J’ai gagné son attention.

- Parce que j’en avais marre d’avoir un mari « pacha » à la maison, parce que tu ne cesses de me demander de la domination, et parce qu’une amie est venue chercher mon aide et que cela suppose que tu sois gardé longtemps en cage…

- Quelle aide a-t-elle demandée ? La mise en asservissement de son mari ? Ou quoi d’autre ?  Je veux savoir !

- NON ! Tu ne veux rien et ne peux rien ! Je t’en ai déjà trop dit… Laisse Emilie là où elle est et commence à serrer les dents car tu commences à m’énerver là !

Je regarde avec une terrible inquiétude, la bougie se pencher et la goutte de cire me vise sur la cuisse. C’est intolérable cette sensation de brûlure à l’endroit où elle tombe. Heureusement, la cire refroidit vite et la douleur s’atténue rapidement. Mais bientôt une autre goutte et une autre brûlure fugace resurgit sur une autre partie de peau exposée. La cire a tout du Supplice Chinois sans fin. C’est sa force et puissance démoniaque. Impossible d’avoir une pensée claire, de se détacher de la vue de cette cire qui coule et torture doucement… Je comprends maintenant la nécessité de mon immobilisation. Je me tortille en vers dans tous les sens pour essayer d’échapper aux gouttes brûlantes.

Le scénario du film est de momifier le sexe de l’esclave avant de dégager le tout par des coups de pied dans les parties. Le genre de scènes qui me font terriblement bander habituellement mais là mon sexe est recroquevillé dans sa coquille.

Claire s’attaque donc à construire avec application une deuxième gangue de cire autour de mon sexe. C’est une horreur de souffrance surtout sur la fragile peau des couilles. Je hurle, crie, me débat. Mais Claire tient sa barre et a manifestement décidé de faire fi de ses propres appréhensions pour rejouer la vidéo en intégralité. 

- Tu vois, là c’est manifestement monté et coupé. Impossible de recouvrir un sexe complet dans les 8 minutes qui y sont consacrées dans le film !

Mais la persévérance de Claire est là. Je finis la cage et les couilles complètement recouverts de cire blanche solidifiée pour passer au « final » de la vidéo et donc au mien. Le ballbusting ! Je n’ai vraiment pas envie de découvrir son effet. Mais Claire, elle, veut finaliser son exercice de perfection de sa Domination… Aucune marge de négociation possible !

Le soumis est immobilisé en X par la Domina au portique du donjon. Nous n’avons évidemment par ce genre d’équipement. Claire utilise la structure de la chaise en bois pour me forcer à garder les cuisses ouvertes, et m’attache des sangles aux chevilles et aux genoux. Le haut du corps est  immobilisé contre le dossier, les mains dans le dos. La position est acrobatique mais efficace : aucune chance d’échapper à son pied ! 

Je tremble de nouveau et demande pitié.

- Désolé Pierre, j’ai pris l’engagement envers moi-même que je referais la vidéo jusqu’au bout, quoi qu’il m’en coûte. Frapper un homme par-là est loin de m’exciter a-priori, mais je crois qu’il faut l’avoir partagé au moins une fois avant de  l’éliminer…

- Tu parles d’un partage !

- C’est que ces procédures ne sont finalement pas ce que les soumis croient qu’elles sont. Point de manuel infaillible de mise en soumission du mari. Leur but réel en fait est d’entraîner la femme à devenir une salope sadique pour le mari, pour qu’il la craigne dans la réalité au-delà du fantasme D/S qu’il peut avoir.

- S’il te plait…

- Non il faut le faire. Aller jusqu’au bout… Mais je veux bien te masquer la vue. Comme cela tu ne verras pas quand mon pied partira et cela me sera plus facile pour continuer de ne pas voir ta réaction sur ton visage…

Je suis atterré, le moral au plus bas. Claire me laisse un instant seul pour récupérer ma cagoule de soumis en cuir qui finit sur ma tête. Pas sûr que cela m’aide à mieux supporter la peur viscérale qui me prend aux entrailles.

La vidéo est de nouveau mise en lecture avec le son augmenté. C’est la longue tirade en allemand de la Domina qui rabroue son esclave. C’est vraiment une langue faite pour le BDSM. Chaque phrase claque comme un ordre…

La tirade finit et le silence se fait dans la vidéo et la pièce. Je sais comment cela se passe : la Maîtresse compte les coups un à un, un moment d’attente et son pied part vers l’entrejambe de l’homme…

« Ein ! »

Ma tension monte d’un cran. Je suis crispé de tout mon corps. Je sens au dernier moment le souffle sur ma peau exposée du pied qui arrive, frappe et me fait hurler de détresse infinie en duo avec l’esclave de la vidéo. J’en ai le souffle coupé. Cela vacille de tout part et je manque de tomber avec ma chaise de douleur.

- Non ! Arrête ! Cela fait trop mal !

Je chancèle et me mets à pleurer. Je ne mérite pas cette torture d’un autre temps. Je dis à Claire combien cela fait mal, combien cela m’est insupportable d’être frappé là, que je ne suis pas maso à ce point… Je la sens hésiter…

« Zwei ! »

Les secondes les plus terribles de ma vie à attendre de me faire détruire les couilles ! Je hurle par avance. Rien n’arrive, mais va forcément arriver…

« Drei ! »

Claire m’enlève la cagoule et grimace à découvrir ma tête de supplicié… Elle me prend immédiatement dans ses bras pour me réconforter…

- Oh je suis désolée mon Amour. Je ne pensais pas que cela serait si terrible… Même pour moi où je ne prends aucun plaisir à ta frapper de mon pied là… je n’ai pas de haine à assouvir envers le genre masculin… je suis si désolée…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 09:25

15 février

En fait quand je suis rentré samedi soir, Claire et les enfants n’étaient pas là, tout simplement parce qu’elle les avait amenés chez ses parents à 3 heures de route de la maison. C’est les vacances. Mais j’ai un doute si je le savais, si Claire me l’avait dit ou si cela s’est décidé à la dernière minute pendant mon absence au ski. De toute façon, Claire comme toute femme use et abuse du fait que les hommes n’écoutent pas toujours, pour faire comme si elle me l’avait dit, même si parfois je crois que ce n’est pas le cas… Mais dans le doute de son écoute, l’homme s’abstient…

Le résultat, qui lui est clairement annoncé, est que Claire a une semaine sans contrainte familiale pour s’occuper de son « petit mari ». Et cela a commencé dès son retour une demi-heure après moi ! Elle avait manifestement des désirs sombres en tête, qui ne m’ont pas immédiatement enthousiasmé, le séjour au ski avec Julie m’ayant déjà bien épuisé émotionnellement…

Mais ce que Maîtresse veut, elle l’obtient. Elle m’a donc mis nu dès son arrivée. Et cela sera mon obligation de toute cette semaine sans les enfants : me déshabiller et mettre mon collier dès mon retour du travail. Cela ne va pas être une semaine de tout repos…

Pour l’instant le collier était en place et Claire avait manifestement l’intention de me le faire garder. Je découvre à cette occasion que nous « possédons » dorénavant à la maison une laisse conjugale pour petit mari en destination de soumission, qui finit en prise sur mon collier.

Claire inspecte alors minutieusement l’état de sa « propriété » partagée avec Emilie entre les barreaux, la taquine avec jubilation jusqu’à la faire pleurer sa frustration. Je me retrouve alors à marcher à 4 pattes, en chien.

- Non pas en chien… en chienne plutôt… et une chienne cela se fait enfiler… allez Zézette direction le lit de la chambre !

Je suis perturbé par la pression de ses envies dès mon retour. Notre chambre est à l’étage et Claire a une façon instinctive de me tenir serré en laisse. La négociation de l’escalier est une chose délicate… 

Sur le lit, un plateau m’attend déjà avec le gode qui est destiné à me prendre le cul, rangé à côté du porte gode, d’une télécommande et d’un tube de lubrifiant. C’est un nouveau modèle qui ne sort pas de notre boîte à malice qui commence à bien être remplie depuis des années. Un gode au diamètre exigeant en limite de ce que je sais pouvoir avaler en serrant les dents. Mais si sa forme est classique avec une paire de fausses couilles à la base, il a un quelque chose d’inquiétant dans sa matière mauve, nervurée en nid d’abeille. Et la télécommande est incongrue, avec ses boutons et son petit afficheur.

- Tu aimes le look de notre nouveau joujou. Je l’avais repéré depuis longtemps et Audrey, ta vendeuse préférée au sex-shop, me l’a obtenu à prix revendeur. La merveille est arrivée mercredi et je l’ai récupéré au magasin jeudi matin…

La « merveille » ne m’inspire pas du tout confiance, mais vraiment pas. Je ne crois pas du tout au simple gode « innocent ».

- Allez on essaye, mon amour ?

Je marmonne un oui peu convaincu. Claire me fait installer en levrette, enlève sa culotte et passe le harnachement que vient bloquer son jean. Il ne dépasse plus que la tête de verrouillage en métal, sur laquelle vient bientôt se coincer le gode. Je frémis de ces préparatifs : pour l’instant, j’ai le cul complètement fermé et crispé. Elle se positionne, après nous avoir bien huilés tous les 2, le gode mâle et mon petit trou femelle, et se présente.

Son gode a quelque chose de reprise en main ferme après mes « escapades » entre les mains d’une autre. Pour la première fois, il m’est enfoncé d’autorité faisant fi de la résistance que je peux montrer. Et même si tout a été bien lubrifié, je le sens passé en apnée. Il me force plutôt que je l’accepte.

Il finit par complètement m’empaler. Je frémis au contact des fausses couilles et de la peau chaude de Claire. Je reprends mon souffle en essayant d’accepter la taille de son invasion, comme à chaque fois. Mais là c’est différent : le gode grandit encore dans mes entrailles et pousse sa pénétration. C’est impossible ! Tout comme cette étrange boule de pression qui monte dans mon rectum. C’est quoi ce plug de damnation ?

Je fais le savoir vite. Claire se détache de son missile et me le laisse planté dans le cul : il ne bouge pas d’un millimètre ! Et son visage apparait devant moi alors que je garde le cul pris. Je ne comprends plus rien…

- Surpris ? 

Je ne peux qu’avouer mon désarroi… Je ne comprends de moins en moins… Le gode me semble bien ancré, comme une ventouse. Même si je le voulais, je suis dans l’incapacité de l’expulser.

- Oui…

- C’est quoi ce machin ?

- Un gode très doué. Le modèle s’appelle The Back Eagle Il a vraiment beaucoup de possibilités. Le japonais qui a inventé cela est un vrai génie !

Claire est enthousiaste. Pas besoin de la relancer, je vais tous savoir. Mais pas sûr que cela me rassure plus après…

- C’est entre autre le premier « gode ceinture à géométrie variable radiocommandé ». C’est excitant de la voir se transformer. Je me suis follement amusée à tester jeudi soi.

Je la regarde étonné, comme si je n’arrivais pas à comprendre ce qu’elle me dit…

- Ah les hommes et leur manque de confiance envers les femmes dès qu’il s’agit de technique… ne bouge pas, le mode d’emploi est resté sur ma table de chevet… voilà c’est là… « l’appareil possède trois circuits fluide powerisés par une pompe membrane de haute capacité…  Le diamètre peut être programmé entre 38 et 63 mm par pas de 1 mm… la longueur peut être programmée entre 180 et 245mm par pas de 5 mm ». Là je t’ai programmé 200 mm sur la télécommande. « dispositif anti-retrait : un ballon en tête de plug pouvant atteindre 70 mm ». En fait le ballon permet de détacher le gode de son support en empêchant le porteur de l’expulser. C’est ce que je viens de te faire…

Je suis sidéré : comment un gars peut être aussi sadique pour concevoir un tel accessoire ? Je tire ostensiblement la gueule… Mal m’en prend, car je reçois immédiatement la réponse de la bergère au berger.

- Ce ne te plait pas ? Pas de problème… C’est quoi ton record en écartement de rondelle ? 4.2cm ? Et bien nous allons te faire immédiatement battre ton record…

Je sens cette fois la lente vibration de la « pompe à membrane » qui agit malicieusement, alors que mon anus s’écartèle sans répit. Cela fait mal. C’est trop. J’ai le souffle coupé et cherche désespérément ma respiration alors qu’une larme me coule aux yeux ! Mes mains partent extirper en urgence vitale l’intrus mais n’y arrivent pas…

- Impressionnant, non ? Je suis capable de te casser le cul, mm par mm, quand je veux. Là, mon chéri, tu viens de battre ton record de 4 mm : 46 mm !

- S’il te plait, Claire, c’est trop dur… diminue le diamètre…

- Non. Cela ne fait que commencer. Il faut que tu me racontes tout de ce que tu as vécu avec Julie au ski…

J’ai beau lui avoir envoyé les copies de mes Comptes Rendus à Emilie, elle a beau être à l’origine de la mainmise de Julie, Claire est une femme et reste une femme : elle veut s’assurer que je n’ai passé sous silence aucun détail et surtout veut mes ressentis pour chaque moment. Un véritable interrogatoire en règle. Et j’ai déjà compris que toute omission me coûtera de la souffrance supplémentaire…

Finalement, Claire se lasse de m’interroger…  J’ai tout avoue et je suis épuisé émotionnellement… j’ai surtout hâte d’être débarrassé du truc qui me dilate trop le cul… J’ai été le plus honnête possible et Claire semble satisfaite de ma confession intime...

Mais Claire n’entends pas me libérer : elle annonce vouloir éteindre la tension de la soirée d’un orgasme libérateur. Et cela, elle le veut de mon cul !

- Il est temps de se ré-arrimer à ta lune… Non c’est pas moi qui bouge, mais toi. 

C’est une nouvelle humiliation de devoir se mouvoir sous les ordres de Madame dans des bzzz que s’amuse Claire à faire de sa bouche. « En haut… bzzz… à gauche… bzzz…en bas… en gauche… bzzz…à droite… plus lentement maintenant… bzzz… allez nous y sommes presque… bzzz… voilà, parfait… ne bouge plus… bzzz… La Terre, Eagle est posé ! »

Le gode est un peu dégonflé en diamètre me redonnant du confort de prise. Le ballon d’ancrage disparait. Et Claire est libre de le faire coulisser lentement sur toute sa longueur dans mon séant maintenant bien ouvert. C’est un massage d’un type particulier mais si agréable. Je ne peux m’empêcher de frissonner mon plaisir et de gémir doucement.

- Je ne comprends pas pourquoi tu as mis si longtemps à perdre ta virginité anale, mon chéri ? Tu aimes cela. Tu es fait pour cela, indéniablement, et je le sais depuis longtemps, depuis exactement la pipe que je t’ai offerte dans l’hôtel de Périgueux et que mon petit doigt est venu traîner sur ton petit trou…

Je me crispe légèrement. Non, je ne suis pas ce genre d’homme… Mais c’est comme si Claire lisait dans mes pensées en direct et y répondait…

- Je me suis toujours même demandée pourquoi tu n’as jamais essayé avec un homme, un vrai, avec une queue bélier bien bandée et des grosses couilles pendantes ! Trop de honte à oser le quémander ? à assumer à prendre du plaisir à te faire enfourner profond ?  Te voilà réconcilié avec toi-même. Je suis sûr que ton zizi ne cesse de baver dans sa cage maintenant… Ah les hommes et leur sexualité si compliquée… 

Elle accélère un peu le rythme de ses va et vient, m’arrachant de nouveaux gémissements plus bruyants…

- Tu vois… C’est net : tu deviens une chienne en chaleur qui aime avaler de la queue ! Comme beaucoup de choses chez toi, l’humiliation est le plus puissant des moteurs  aphrodisiaques… et là tu y es en plein, alors que ma queue vise le centre de ta cible ! Cela me fait toute chose dans mon bas ventre, d’enfin baiser mon petit mari ! Dis-moi combien tu aimes ma queue…

Sur cette dernière question, le gode gagne en diamètre. Je me sens tellement empli et aspire ce plaisir si définitivement trouble d’être pris par là et de cette manière. Claire a raison : la honte ouvre tant de mes portes et me fait devenir autre...

- Oui, j’adore votre queue, Madame !

Je suis passé au vouvoiement sans y faire gaffe.

- Et bien tu vas la quémander, la supplier qu’elle te défonce à fond jusqu’à tu sois  obligé de ta s’assoir sur un coussin pendant une semaine…

Sa voix est excitée et me trouble. Je murmure presque…

- S’il vous plaît, Maîtresse, baisez moi avec votre queue… au plus profond. Je le mérite…

- Plus fort ! Et ce n’est pas une question de mériter ma queue – ça c’est à moi d’en décider – cette queue à la base tu la veux pour toi, pour ton plaisir trouble de sale petit pervers, qui prend plus de plaisir à se faire enfiler qu’enfiler sa femme ! Tu n’es qu’une chienne en chaleur ! Tu es enculé par ta femme et tu adores cela ! Ose le dire !

Sa queue grossit encore et me marteau-pilonne le cul, faisant fi de toutes mes dernières résistances…

- Oui, Maîtresse…

- Non, oui Claire !

- Oui Claire, je suis une chienne en chaleur ! J’adore que ta queue conjugale me défonce le cul ! Je la veux au plus profond ! Dure et honteuse ! C’est ton droit. Ne m’épargne pas… Joui en me faisant jouir de mon cul !

La queue commence une samba dans mon rectum. C’est physiquement impossible mais je m’en fous. C’est si bon de sentir pris par là et de cette manière. Je gémis continuellement mon plaisir amplifié parce que Claire a elle aussi le souffle court de la vague qui arrive… Je ne me suis jamais senti autant en phase avec mon Amour !

- Tu la sens, la puissance de ma queue ? Comment elle te dévaste avec tant de plaisir partagé ? Tu deviens de plus en plus tous les jours mon petit mari enculé, qui aime tant se faire enfiler la bite…  qu’à se faire défoncer sans pitié par sa femme… Tu imagines quand tout le monde le saura ? Que le sérieux petit Pierre, n’est qu’une tapette, qui n’aime rien de plus au monde que de se faire défoncer la rondelle au lit ? Tes collègues ! Tes amis ! Tout finit par se savoir !

La queue de Claire est démoniaquement bonne. Je trémousse du trouffignon pour l’avaler encore et encore plus loin… le zizi humide qui ne cesse de pleurer… la tension dans le ventre qui attend avidement la délivrance… et l’orgasme de Claire monte bruyamment derrière… oui moi aussi, je veux jouir ! Enfin jouir ! De n’importe quelle manière ! Mais partir et jouir ! J’y suis presque mais l’orgasme puissant de ma partenaire me vole la politesse au dernier moment… Claire a toujours été bruyante dans la jouissance… une dernière profonde pénétration, et sa queue se crispe comme tout son corps… un instant hors le temps… avant qu’il s’effondre anéanti par le plaisir sur mon dos…

Le gode suit le mouvement et vient durement presser contre mon boyau interne. Cela m’arrache un cri qui est aussi un cri de vive frustration. Putain, j’y étais presque… mais il reste plus que le vide… de l’absence d’achèvement… qui tétanise l’esprit et désespère tant…

Claire se remet de son orgasme.

- Tu as joui, toi aussi ?

Je ne peux que faire non de la tête, très lentement. La main de Claire vient me consoler d’une caresse dans les cheveux.

- Oh, mon Amour, je suis tellement désolé… alors que tu m’as donné un tel orgasme…

Il s’en suit un long moment de silence, nos corps collés ensemble et sa douce main apaisant qui me masse doucement. Finalement Claire y met fin et se remet à genoux derrière moi. J’apprécie la disparation de la pression interne du gode.

- Mais que tu restes un peu frustré n’est pas si mal, vu comment tu es gentil et attentionné dans cet état… fais attention… je vais me retirer…

Elle le fait heureusement tout en douceur, avant de finir de se relever et de faire le tour du lit. Son sexe pendouille après l’amour entre la braguette de son jean. Je relève un peu la tête pour le contempler.

- Je crois qu’il est temps de remercier avec dévotion le sexe qui vient de t’emplir…

J’envie la capacité de Claire de passer en un instant de la femme aimante à la Maîtresse D/S. Moi cela m’est plus dur, comme là où je comprends immédiatement que les « remerciements » sont à donner de ma bouche. Il m’a enculé sans préservatif et sa couleur noire ne permet de ne rien distinguer. J’hésite à franchir ce nouveau pas. Mais Claire entend que j’y conforme. Sa main me prend au menton alors que le gland factice se présente devant mes lèvres…

- Allez Pierre, c’est à toi maintenant, suce ma bite en bon petit soumis, pour remercier ta Maîtresse…

Sa voix a quelque chose d’hypnotisant, et docilement sans que je puisse rien y faire, j’ouvre mes lèvres. Le gode s’y enfonce y amenant ce goût amer et corsé que je reconnais, la trouille au ventre de rencontrer un endroit au goût plus prononcé. Mais heureusement, je n’en trouve pas. J’avale pour la première fois de ma vie de la bite. Et Claire en éducatrice décidée me fait passer d’un coup plusieurs étapes ma main en prise sur mes cheveux. Elle me baise la bouche sans violence de sa queue plutôt que je lui offre la caresse demandée. C’est très dominant et mon esprit s’en accommode d’y être acculé dans l’humiliation. Une quinzaine de doux mouvements avant de recueillir la surprise de ma vie : la fausse bite éjacule dans ma bouche !

J’ai un mouvement instinctif de recul, désembouchant en urgence et essayant de recracher sur le sol le maximum de la liqueur reçue. C’est répugnant. Je ne peux qu’imagine que c’est là le sperme des amants que Claire a forcément derrière mon dos…

- … humm que j’aime ta surprise, mon chéri. C’est un des points forts de ce merveilleux gode… Imagine quand il éjaculera dans ton cul… j’ai hésité tout à l’heure, le doigt crispé au-dessus du bouton… mais non la découverte est mieux comme cela…

Je la regarde effaré.

- Et oui tu sais maintenant comment cela fait quand de l’imposer aux Dames… et ce n’est qu’un juste partage… et retour des choses.

J’ose la question.

- C’est quoi ?

- A la base du lait concentré pour la matière et du blanc d’œuf pour la viscosité, avec quelques aromes de saveur pour se rapprocher au mieux de l’original. J’ai gouté et effectivement c’est assez proche en goût et en saveur…

Comment elle le sait, vu qu’elle a toujours refusé de recevoir mon sperme sans sa bouche ? Ah moins que cela soit celui de quelqu’un d’autre… avant moi ? à mon insu ? C’est le genre de petites remarques qui déstabilisent complètement.

-… servi tiède à 35°C par le gode comme en vrai. Tu sais qu’à ces températures, le blanc d’œuf ne coagule pas ?

Toujours à mes pensées de l’autre, je la regarde inexpressif… Pas de quoi couper la parole à une femme.

- … mais pour toi, spécialement, cela sera un peu tes dragées surprises de Bertie Crochue…

Qu’est-ce qu’elle me raconte là ? Que vient faire Harry Potter ici ?

- Je ne tiens plus. Je te montre. Suis-moi !

De toute façon, elle a pris la laisse du collier et je ne peux que la suivre. Heureusement elle ne m’impose pas la marche canine. Nous traversons la maison pour nous retrouver dans le glacial garage. Claire se dirige vers le congélateur où elle récupère une boîte en plastique fermée par un cadenas.

- Le cadenas, c’est pour être sûre que tu ne tricheras pas, vu le temps que j’ai passé à te préparer cette surprise…

La boîte s’ouvre. L’intérieur ressemble à une boîte à vis, comme je peux avoir dans mon atelier, avec une trentaine de compartiments tous remplis sauf un de « sachets » avec une étiquette plastique attachée à chacun. Claire en prend un, choisi avec soin, au vu de son étiquette et me le met devant mes yeux…

Je blêmis totalement quand je m’aperçois de près en guise de sachet, il s’agit en fait d’extrémité de préservatifs remplis d’une petite boule translucide blanche… Non ! Pas cela ! Claire doit être définitivement folle… Je sens son regard me transpercer de part en part et elle sourit bizarrement. J’ai finalement un mouvement de recul instinctif et le goût se rappelle en bouche… J’ai de nouveau la nausée…

- Je vois que tu as enfin compris. C’est parti au départ de l’agacement de voir toujours la capote traîner après l’amour sur ta table de chevet…

Claire ne peut plus prendre la pilule pour raison médicale et nous utilisons des préservatifs depuis 2 ans et demi, quand le risque de grossesse est trop important…

- Je me suis dit que cela valait bien une leçon en retour. Alors un jour, je l’ai gardé au congélateur pour la renvoyer à l’envoyeur, en surprise, pendant un de nos jeux D/S. Je l’avais faîte pour une, pourquoi pas le faire pour les autres ? C’est ainsi que ma collection de sperme a commencé…

Cette femme est folle !

- Il m’a fallu du temps pour rassembler tout cela. Pour rationaliser cette drôle de collection. Nous allons voir si c’est si facile d’avaler comme tu me le dis à chaque fois, ou de se le prendre en fond d’entrailles comme tu as osé une fois. Je me suis toujours promis que je te rendrai un jour la monnaie de ta pièce… et l’heure est arrivée.

J’en tremble ! 

- Impressionnant, non ? Mais non, je ne vais pas gâcher en une seule fois ce qu’il m’a fallu une année totale pour récupérer. Tiens celui-là, le n°14, c’est ta levrette de Pâques l’an dernier… un très bon souvenir et un bon cru que tu sauras apprécier le moment voulu… je connais l’origine de chaque numéro : quand, comment et qui…

Je suis estomaqué. Je regarde en détresse les 29 préservatifs remplis… Combien de fois ai-je baisé l’an dernier ? Cela n’était pas notre meilleure année de sexe. Ai-je joui 29 ou 30 fois dans une capote ? Cela me parait beaucoup, trop, et un terrible doute me submerge… Le sol tremble sous moi et je suis pris d’un vertige devant le machiavélisme du piège…

- Oui, il m’a fallu du temps pour collecter cela… et une patience infinie… alors chaque que je partirai en toi, tu de demanderas si j’y ai mis la surprise… et si c’est de ta propre production… et on verra si c’est si facile que cela d’avaler comme tu le disais ! Crois-moi je ne suis pas prête d’être lassée de jouer à ce jeu…

Vaincu, je regarde le sol par terre…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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