Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 18:00

3 février

Je dors très mal depuis ma mise en demeure de dimanche par ma seconde KH Emilie. J’ai bien compris ce que Claire a voulu me dire, mais je ne vois pas comment l’appliquer… Au boulot, je n’arrive plus à me concentrer sur mon travail. Je traîne à la place à la machine à café, où on l’apprend toujours des choses …

Et c’est à la machine à café que j’ai entrevu pour la première fois la solution à mon problème, sous la forme d’une collègue dont le mari a le poignet blessé et cherche à trouver un remplaçant pour sa réservation d’hôtel au ski, pour la fin de semaine prochaine. Cela m’a donné l’idée, connaissant la passion ancienne pour le ski d’Hervé « sacrifiée » depuis qu’il vit avec Emilie. Bref j’ai récupéré la réservation avec une idée derrière la tête…

Le soir à la maison, une fois les sols terminés d’être lavés, j’en ai parlé avec Claire dans notre « nouveau » salon de discussion, à savoir moi la tête en ses jambes. Les cunnilingus se sont bien allongés depuis le début de l’année, avec 2 phases : une phase de préliminaire pour détendre les chairs, et une phase de plaisir jusqu’à l’orgasme. Je reste au contact de son humidité souvent plus de 3/4 heures, maintenant. Pendant les « préliminaires », j’ai le droit de parler mais surtout de répondre à Madame à condition de garder mes doigts dans le « pot ». Pendant la phase active, c’est uniquement « tais-toi et suce » d’une manière très dirigée.

Donc pendant les préliminaires…

- Tu crois donc que cela va marcher et qu’Hervé va mordre à l’hameçon ?

- Oui, il regrette tellement qu’Emilie ne soit pas ski. La neige lui manque. Il me l’a encore redit cette fin d’année…

- Au point de se laisser enferme le zizi ?

- C’est le point délicat, mais je crois que oui… De toute façon, il faut que cela marche car je ne vois pas d’autre solution pour le moment. Une incitation trop frontale est vouée à l’échec assuré !

- Tu as sans doute raison, c’est tentable. Mais il te faut la complicité d’Emilie. Tu l’as prévenue ?

- Non, il fallait que je m’assure avant de ton accord…

- C’est bien de demander la permission avant, mon chéri. T’inquiète pas, je lui enverrai un sms demain matin… du moins après que nous nous soyons mis d’accord, toi et moi

- Com… comment cela ?

- Finalement même si je peux être solidaire dans notre couple, le non encagement de ton copain, c’est finalement ton problème avec Emilie. Je comprends bien que tu as peut-être une chance de renverser le jeu de quille… mais moi qu’est-ce que cela me rapporte ? Qui s’occupera de la maison quand tu seras à la neige ? C’est pourtant dorénavant ton boulot…

Vu de cette manière, je ne vois pas ce que je peux répondre… Je tire un peu la gueule. Putain, en soumission rien n’est facile !

- Allez ne fais pas cette tête. Je veux bien, te laisser allez t’amuser à la neige avec ton copain, mais je veux le même niveau de contrainte que tu envisages à froid pour lui… il faut que cela te coûte à toi aussi… et que je sois sûre que tu n’iras pas batifoler dans mon dos…

- Mais je ne peux pas faire plus : je suis déjà encagé serré depuis plus d’un mois !

- Qu’est-ce que tu peux avoir l’esprit obtus… Non je veux quelque chose qui ait une grande valeur symbolique et me rassure que tu resteras bien sage… une sorte de marque de propriété, peut être…

Qu’est-ce qu’elle me veut là ? Je réfléchis à grande vitesse…

- Je ne vais quand même pas attacher une plaque avec ton nom à la cage…

- Oui très bien ! C’est ça l’idée, une plaque à toutou pour mon petit chéri… que tout le monde sache qu’il appartient à sa « Madame »… j’aime beaucoup…

Et l’arrivée de forte humidité dans sa chatte qui coule sur mes doigts, me le confirme. Face à une femme aussi intuitive, il y a des jours où je ferais mieux de fermer ma bouche avant de parler à mon encontre… d’ailleurs l’humidité et l’idée font leur chemin…

- Oui c … une plaque à toutou… attachée à un beau collier de chien autour de ton cou… quand tu seras loin de mes yeux.

J’apprends à craindre de plus en plus son inventivité en mode Maîtresse… Cela coule maintenant tellement en vagin, que je n’ai aucune illusion que l’idée évoquée va être approuvée si je ne réagis pas tout le temps... si je n’essaye pas de détourner immédiatement le désir de Claire…

- Cela serait effectivement très symbolique… mais ne vais-je pas heurter les gens avec mon collier de chien autour du cou ?

- Tu crois ? Tu sais que je ne souhaite pas choquer les personnes extérieures avec notre sexualité atypique. Mais je ne pense pas que cela sera si voyant que cela. C’est après tout l’hiver avec les cols roulés et les gros pulls capables de tout masquer à l’extérieur… C’est même la saison idéale pour porter un collier en public… si l’on y réfléchit bien.

Cela ne tourne pas vraiment en ma faveur…

- Et Hervé, il le verra. Qu’est-ce que je pourrai dire ?

- Tu as de l’humour mon chéri… tu t’inquiètes de la réaction de ton copain… dont tu auras piégé le fier zizi dans une cage étroite ? Eh bien, vous parlerez de vos malheurs causés par vos femmes, au coin du feu…

Qu’est-ce que je peux dire…

- Oui cela sera ma condition… un beau collier autour de ton cou… avec une plaque « propriété de Claire B.… » avant ton départ… Tu iras dans une animalerie demain acheter ton premier collier. Je le veux en cuir. Un vrai collier de chien en mal de dressage. Prends la laisse avec, cela pourra être utile. Et après la plaque… pas de biais, je la veux la plus explicite possible… ou sinon tu restes à la maison laver les sols… 

Claire fait peur à l’esprit en Maîtresse excitée, mais ce traitre de zizi se délecte de la déchéance annoncée. J’ai la vision de mon corps nu promené nu à quatre pattes en laisse par Claire, qui me vaut une violente érection entre les barreaux. Foutu traitre ! Je dois être fou à m’exciter de ces déchéances… 

- Ah oui, comme je ne veux aucune tricherie loin de mes yeux, je te cadenasserai le collier… comme cela aucune tentation de l’enlever… cela sera plus sûr…

C’est une cascade qui coule maintenant en chatte et qui finit de m’accabler…

- Allez, je suis brûlante maintenant : fais-moi jouir, mon petit mari soumis d’Amour !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Lundi 15 février 1 15 /02 /Fév 18:00

31 janvier

Je « fête » mon premier mois en cage. Un mois ! Inimaginable et une Terra Incognita pour moi qui n’avait jamais eu plus de 13 jours de chasteté consécutifs ! Un mois où la frustration est devenue extrême. La moindre vision féminine et chaque pensée trouble m’excitent désespérément dans ma cage. En vain !

Et dire que certains croient que la cage de chasteté vient brider les élans masculins. Au contraire, c’est une hypersexualisation et je n’ai jamais eu autant conscience d’avoir une bite, depuis que mes 2 KH me l’ont retirée. 

Je crois que je serais maintenant prêt à tout pour sortir de cette maudite cage. Avec en plus, mon compteur de libération qui s’est encore rallongé à 33 jours, « une fois que j’aurais convaincu Hervé de se laisser enfermer ». Donc même si j’arrivais à le persuader là tout de suite, je ne sortirais pas avant le 4 mars, après 9 semaines en cage. C’est effarant et sans espoir.

D’autant qu’avec toutes les tâches et les devoirs à faire, je ne sais plus où donner de la tête. J’ai fait d’immense progrès d’organisation en un mois, plus que pendant les années d’avant. Mais je n’arrive simplement pas à tout faire pour satisfaire mes 2 KH. J’en laisse passer et Claire me les facture comptant avec la tapette de bois. Si bien que j’en suis arrivé face à la surveillance permanente de Claire à la maison de délaisser un peu Emilie et ses exigences…

Claire a prévu de « fêter » aussi cet anniversaire de cage. Je me retrouve, les chères têtes blondes couchées, nu et en chien sur le lit. Elle m’offre alors un « cadeau » qui me fait immédiatement serrer les dents : un gode encore plus gros que le plus gros que j’ai pris jusqu’à présent dans mon fondement, reproduction d’un vrai phallus noir, avec les veines incrustées dans le latex et une paire de grosses couilles à la base. Le symbole est très clair chez Claire : elle est devenue celle qui porte la ceinture dans le couple. Et là elle va prendre à la hussarde sa chienne favorite…

Je ne mentirais pas en disant que j’avale sans problème l’engin. Il me dilate à l’extrême pour rentrer, et même en ayant été préparé des doigts de Madame, et me fait tant crier que Claire décide à l’encontre de son désir, de me bâillonner d’une écharpe prise dans la commode.

Mais je le prends bel et bien « jusqu’aux couilles ». Cela fait bizarre dans les limbes des pleurs et de douleur de sentir leurs contacts inhabituels. Je trouve cela si humiliant, et si symbolique de ce que notre couple est devenu… de ce que je sui devenu…

Pour une fois, Claire prend son temps et serait presque câline. Car une fois le sexe rentré, elle me laisse le temps de m’habituer à la taille inhabituelle de l’engin. « Attentivement empalé » serait le terme le plus conforme à mes pensées du moment…

Je dois me méfier de cette douceur apparente : il est tellement facile de tomber de tomber de Charybde en Scylla dans ma situation. Et le danger vient d’un appel sur le smartphone de Claire, qu’elle prend et me fait écouter au haut-parleur.

- Ah salut, ma mimi. Pile à l’heure…

J’ai un mouvement recul et veut me désengager du gode. Mais Claire ne l’entends pas ainsi : elle me le presse au fond et me gratifie d’une tapette sur les fesses d’avertissement…

- Il est embroché par ton nouveau joujou ?

- Oui, et je suis même un peu déçue. Il l’a pris sans trop grande difficulté… C’est fou comment ces petits trous de garçons peuvent être souples… Mais j’aime beaucoup l’idée d’avoir des couilles comme eux. Tiens regarde !

Regarde quoi ? Emilie est au téléphone ! 

- Humm sympa… Tu me le passes pour que je lui souhaite moi aussi un bon anniversaire de cage ?

- Oui… mais il ne pourra pas parler. Il braillait déjà tant que j’ai du le bâillonner…

Je comprends le « regarde » maintenant. Emilie est en visio-call, là devant mes yeux, sur l’écran du téléphone posé sur le lit entre mes bras.

- Bonjour Pierre. Joyeux anniversaire ! Tu vois que « tes » femmes ne t’ont pas oublié dans ta petite cage… Et que nous allons fêter cela tous les 3 ensembles… Je me suis débarrassé d’Hervé pour la soirée… envoyé aller voir Expendable 8… je suis toute à toi… et déjà si excitée…

La caméra du smartphone bascule pour me montrer en gros plan la chatte de ma seconde KH, effectivement bien luisante à l’image. Des chairs boursouflues, un peu grasses. Une toison désordonnée. Rien qui ne pourrait me faire fantasmer d’habitude, mais là dans l’état de sécheresse où je suis, un rien m’excite. Je finis de bander douloureusement à fond dans mes barreaux.

Les doigts d’Emilie descendent dans la béance humide et commencent sans honte à se donner du plaisir. C’est le moment où Claire commence à me ramoner en concert le fondement, de grands coups de gode à couilles…

Scène irréelle où je mate la chatte d’Emilie en train de geindre sans retenue son plaisir, pendant que la queue de Claire me baise ! A ces stimuli, je ne sais plus où donner du cerveau. J’encaisse le mélange épicé du gode dans mon cul et de l’excitation de voir Emilie se branler… Et je coule, je coule sans cesse du zizi, comme cela ne m’est jamais arrivé… jusqu’à ressentir des spasmes étonnants et plaisants au fond de moi… qui durent si plaisamment… je me sens pute à chercher le coulissement du gode dans mes entrailles… je suis ailleurs… et si bien… pendant qu’Emilie hurle ses orgasmes successifs…

Malheureusement tout à une fin. Et j’en ressors avec un sentiment de béance dans mon cul, une fois la « queue » partie… Je suis essoufflé et épuisé, mais si heureux de la tournure de cette soirée d’anniversaire…

Je devrais quand même me méfier, car les plaisirs pris et l’excitation retombée, je retrouve une Emilie redevenu maîtresse d’elle-même et exigeante. 

- Claire, tu m’entends. Tu veux bien lui attacher les mains et sortir ta tapette. J’ai un compte à solder avec ton Pierre…

Amusé, Claire s’exécute. Et je me retrouve les mains attachées aux montants du lit et la tapette froide reposant au creux de mes reins. Je sais que je vais déguster mais je ne sais pas encore pour quelle faute.

Emilie se « charge » de me l’expliquer…

- Si Claire reconnait que tu as fais des progrès notables à la maison, et moi de mon côté, dans tes devoirs et rédactions, il y a une chose qui m’indispose. Un mois, et tu n’as fait aucun effort pour me livrer le zizi d’Hervé en cage. Pas un appel, pas un mail, rien, nada, que dalle ! Et c’est inacceptable ! Tu nous prends pour des connes….

Aie ! Nous y voilà.

- Claire, je pense que 30 coups seraient un bon rappel à l’ordre pour commencer et punir sa couardise ! Et je m’enthousiasme à y assister à distance…

Je ne sais pas ce qu’il lie mes KH au fond. Mais les 30 coups, je les prends immédiatement et sévèrement, la douleur étouffée dans mon bâillon. Même par procuration, ils sont secs, pleins de reproches et très efficaces… Je finis la série – la plus grande que j’ai reçu – en gros pleurs et les fesses en vive douleur… le chaud et le froid servi le même soir…

Maîtresse Emilie reprend :

- C’est simple : tu as 10 jours pour qu’Hervé soit le zizi enfermé ou je te colle un malus de 6 mois d’un coup ! 

Et sur ce, Emilie me raccroche au nez.

Je suis perdu. Comment vais-je pouvoir faire ? Forcer l’inconcevable ? Au point même, que Claire doit me venir en aide… face à ma détresse.

- Allez vient-là mon chou, dans mes bras… pas trop mal à ton cucul ?

Je pleure à chaudes larmes contre son épaule. Claire devient philosophe pour deux.

- C’est dangereux de frustrer une fille comme Emilie. Je crois qu’elle est simplement jalouse que tu sois devenu si attentionné avec moi. Mais je ne peux pas te laisser seul, où alors je ne pourrais pas jouir de ta queue avant des mois, fusse-t-elle petite c’est néanmoins ta queue, qui me va bien… Pourquoi tu n’essayes pas de parler à ton copain ?

- Parce que je l’ai déjà fait plusieurs fois et qu’il refuse absolument ce type de sexualité. Je crois que cela lui fait peur, et qu’il a peur de perdre sa virilité de mâle…

- Oui, pas facile dans ces conditions… alors je crois qu’il faudrait que cela soit comme pour toi, que l’acceptation de la cage vienne de lui… sinon c’est impossible.

- Oui, mais comment faire ?

- Je ne sais pas… peut être… il faudrait que la cage devienne la meilleure alternative… pour qu’il puisse faire quelque chose qu’il lui fait envie… un moindre mal en fait…

- Je crois que tu as raison. C’est la seule solution réaliste mais je ne vois pas comment je pourrais le persuader de se laisser volontairement enfermer le zizi par son Emilie…

- Oh Paris ne s’est pas fait en un jour. Tu trouveras, je suis sûre, un stratagème… mais pour l’instant ce que j’ai envie c’est de ta langue en moi… après tout moi je n’ai pas joui ce soir…

Et je lui offre, fort du réconfort apporté, la meilleure langue amoureuse que je peux faire contre ses muqueuses et son petit bouton, longtemps dans la nuit…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 18:00

25 janvier

Dans tout cela, entre les corvées de Claire, les comptes-rendus à Emilie et les sodomies de ce week-end (une chaque jour !), j’en aurais presque oublié de satisfaire ma deuxième KH, qui vient de rappeler à moi sous forme d’un courrier reçu à la maison ce lundi.

Il comporte la correction de mon premier devoir maison, envoyé par mail, il y a 10 jours. Emilie se donne manifestement beaucoup plus de jours pour corriger ma prose qu’elle m’en autorise pour rendre mon devoir maison…

D’ailleurs le sujet du second devoir est arrivé dans la même enveloppe, à rendre pour ce vendredi. Le thème « lister par ordre d’importance tes 20 plus grandes fautes ou bêtises faites ces 10 dernières années qui auraient mérités d’être punies par votre femme. Justifier de la punition qui aurait du t’être attribuée pour chacune ». Claire qui, comme à son habitude, lit au dessus de mon épaule, est pliée en deux. Moi beaucoup moins…

- Et bien je sens que l’on va en apprendre des belles et des pas mures… j’ai hâte de lire ton travail !

Je me renfrogne mais pour longtemps car Claire me tend la correction de mon devoir maison sur la « vilaine pratique de la masturbation chez les garçons ». Vu son sourire un peu ironique, je m’attends au pire. Mais ce n’est pas de ma faute, je n’ai jamais aimé les rédactions et encore mois les thèse-antithèse-synthèse…

« Note générale : 7/20

Tu pouvais certainement bien mieux faire sur un sujet que tu dois connaitre sur le bout des doigts. De nombreuses parties sont des copier/coller d’internet, ce qui est inadmissible. Et il manque la justification et la description complète de l’expérience personnelle ! 

- 2 points pour la grammaire déplorable

Donc au final + 13 jours de cage… »

Qui se rajoutent au déjà 10 jours que j’ai « gagné » avec mes comptes-rendus, cela fait donc 23 jours en plus ! Je suis désespéré et je ne sais même pas comment je vais m’y prendre pour persuader Hervé de se laisser enfermer dans une foutue cage…

Et je ne suis pas au bout de mes peines. Claire décide de « m’aider ».

- Je vais devoir te motiver un peu ou sinon tu vas rester chaste jusqu’au 31 décembre prochain à ce rythme. Donc ce soir après le coucher des gamins, première fessée de ton popotin !

Je passe le reste de la soirée à craindre la punition annoncée. 

A 10h30, Claire m’envoie d’aller l’attendre « nu » en « chien » dans la salle de bain de notre chambre ! Je mentirais si je disais que cela ne m’excite pas immédiatement et définitivement dans ma cage.

Il ne fait pas chaud dans la salle de bain. Je n’ose démarrer le sèche serviette. Mon contact avec le carrelage froid et dur n’aide en rien à me réchauffer. Et j’ai la peau de poule, sans doute à cause du froid relatif, mais aussi à cause de l’appréhension qui monte de minutes en minutes…

Etrange alchimie de l’excitation du corps et l’appréhension de l’esprit.

J’ai l’impression d’attendre son arrivée une éternité. Mais finalement Claire arrive déjà en pyjama exhibant la tapette de bois.

- Allez à nous ! 

Coincé ! 

- Bon allez, nous allons prendre le temps de bien de te motiver… cul en l’air et tête au sol… immédiatement !

C’est devenu une Claire si directive qui m’impressionne et me fait peur. Je prends la position demandée. Claire m’aveugle de son foulard (« c’est mieux que tu te concentre sur tes sensations de puni »). Je n’en mène pas large et encore moins quand à ma surprise totale, elle m’attache les mains dans le dos de ce que je crois être une ceinture de peignoir !

C’est terrifiant d’entendre et de ne pas voir. L’esprit s’imagine tant de choses… et doute de tout et d’abord de soi-même.

Finalement, elle annonce :

- Voilà nous sommes prêts à punir notre délinquant !

La suite vient sous la forme du contact dur et froid contre mes fesses de la tapette.

- Tu vas vite faire connaissance avec ton petit copain, la tapette de bois ? 13 coups, comme tes points manquants, à compter à voix haute ! 

Mais comment a-t-elle pu apprendre ces us et coutumes ? Je ne l’ai jamais vu traîner sur des sites de ce type ?! Le contact avec le bois de la tapette me fascine autant qu’il m’impressionne. C’est comme dans les vidéos qui me font tant bander sur internet… Cela fait un déclic dans mon pauvre cerveau sans doute dérangé : je bande à fond dans ma cage. Etre puni par une femme fait partie de mes fantasmes. Je sens la boule de pré-sperme qui convulse déjà dans l’urètre et progresse vers la sortie…

- Mais on dirait que tu coules ! Cela t’exciterait ? Tu as tord : c’est une punition et cela va faire mal…

Le premier coup que je reçois sur la fesse gauche est une horreur. Putain qu’est-ce que cela fait mal ! Je passe un instant en apnée avant de crier/hurler ma douleur de ma bouche. Ma vive réaction a l’air d’impressionner Claire qui s’interrompt, avant de reprendre ses esprits.

- Tu as oublié de compter mon amour…

- U…un

Le second coup sur l’autre fesse est encore plus terrible. Je pense cette fois à la compter pendant que je hurle ma détresse. Et les coups se suivent immanquablement un à un et ils me semblent de plus en plus forts. Sauf si c’est moi qui les supporte de moins en moins bien. C’est très loin de mon fantasme ! Etre « battu » par sa femme, est une horreur terriblement douloureuse. Je n’en suis qu’au 6ème et que j’ai déjà les pleurs qui me montent aux yeux. Claire est comme à son habitude : déterminée. Et je n’ai aucune illusion que les 13 coups me seront servis jusqu’à leur terme ! Je sais maintenant : je ne suis nullement masochiste. Loin de mes rêveries, les coups ne sont que ce qu’ils doivent être, une punition douloureuse et difficile à tolérer ! Et une mise en garde, qui s’enfonce loin dans mon esprit…

Je suis plus mort que vivant à la fin du 13ème. J’ai perdu toute tenue. J’ai trémoussé de mon cul pour chercher à échapper au battoir. J’ai demandé pitié à partir du 8ème, mais rien n’a arrêté Claire qui est allé au bout de son idée…

- Et bien je suis impressionnée, il laisse de belles marques rouges très esthétiques. Cela me plait beaucoup…

Si l’esthétisme a maintenant à voir avec ma souffrance !

- Fais voir ton zizi ? … et bien c’est redevenu tout rikiki ! Tu n’as manifestement plus été excité, après mes premiers coups… et bien, c’est bon à savoir tout cela. Nous avons maintenant un réel moyen de te punir de ton manque de motivation et de progrès. Ton petit copain va devenir mon premier allié… vraiment une très bonne découverte…

Je crois que cette soirée est à marquer d’une pierre blanche. Pas mal de choses changeront après. La punition physique est rentrée par la petite porte dans mon esprit comme naturelle, aussi crainte que fascinante de soumission confuse.

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 18:00

24 janvier

Bon désolé, j’ai été très long hier. Mais il s’est passé tellement de choses en une après-midi que je ne savais pas comment plus résumer.

Une fois la porte de notre maison refermée, Claire est devenue une autre, une version très motivée à ne pas se faire voler son « dépucelage ». Elle m’a demandé – ordonné – plutôt de me « dessaper » totalement, et d’aller l’attendre dans notre chambre ! Je mentirais si je disais que cela ne m’a pas excité dans ma cage.

Claire a mis du temps pour me rejoindre dans la chambre. Je ne savais pas quelle position prendre. J’ai choisi d’attendre à 4 pattes sur le lit, légèrement honteux et très conscient de ce que j’attendais… Je crois que je m’étais fait finalement à l’idée, ce que prouvait le filet qui coulait maintenant de la cage et trahissait mon excitation.

Quand ma femme est enfin arrivée : quel choc ! Son corps aux formes sublimes, nu à part son soutien gorge rouge qu’elle avait gardé à mon grand plaisir et surtout ce gode ceinture attaché à sa taille. C’est comme dans les meilleures vidéos du web sauf que là c’est à la maison ! Je me suis senti d’autant plus définitivement amoureux de ma belle. 

J’étais prêt mentalement et physiquement à me faire « sodomiser » par Claire. J’avais même hâte de franchir enfin cette étape pour en être fier. Je reconnais que pour cela comme d’autre chose, j’avais besoin d’un bon coup de pied au derrière pour avancer… Et c’est celui là que Claire me donnait depuis 3 semaines.

Mais un changement, un détail, peut faire perdre toute l’assurance acquise en quelques secondes…

- Non pas comme cela mon amour. Je ne veux pas te baiser mais te faire l’amour comme pour une première fois. Couches-toi sur le dos avec une pile de coussins sous les fesses…

Je n’ai rien compris au départ du pourquoi de cette demande bizarre. J’ai obéi comme un pantin, prenant la position demandée avant de comprendre ce que Claire avait en tête. Cela m’a fait rougir immédiatement de la tête au pied, tellement je trouvais cela impudique !

Claire voulait effectivement me faire l’amour en amazone, et me dépuceler, corps contre corps et yeux dans les yeux.

Je n’avais jamais imaginé cette possibilité. C’est là de la fierté mal placée d’un homme fut-il en voie de soumission par sa femme. La prise au gode ceinture, c’est forcément en levrette, la Maîtresse « travaillant » derrière, comme sur toutes ces vidéos d’internet, pas comme cela !

Je suis devenu nerveux en découvrant la vanité de mon attente. Si les Maîtresse SM font cela à leur soumis c’est pour justement garder une distance par rapport à l’intimité de l’acte. Là c’est le contraire que voulait Claire : abolir toute distance entre nous. Cela me mettait mal à l’aise.

Finalement ma femme est montée sur le lit. J’ai frissonné à sentir le matelas réagir sous son poids.

- Bascule tes pieds vers tes épaules, mon chéri, et tiens tes chevilles…

Encore une fois j’ai obéi dans le trouble. C’était une position d’offrande dérangeante et encore plus quand le rosebud a été retiré. Je me sentais fragile, un peu intimidé aussi, l’anus offert. C’est une sensation troublante de se sentir graisser le conduit, jusqu’à ces doigts qui rentrent profonds en moi… Finalement remplacé par la tête du gode qui appuie sur la rondelle… 

A ma totale stupeur, Claire n’a pris aucune précaution et a écartelé les chairs en puissance et sans arrêt d’adaptation, jusqu’à que je prenne la totalité de la longueur en moi. C’était atroce cette ouverture en deux. J’ai hurlé sous le viol de l’engin, mais Claire était déjà partie ailleurs, l’œil révulsé de plaisir. 

Elle a commencé par me « ramoner » à grands coups de godes. Putain qu’est-ce que cela faisait mal ! Je serrais les dents mais n’évitais pas les grognes à chaque va et vient. Claire était déchaînée et criait son plaisir montant. Le gode ressortissait maintenant totalement à chaque fois et re-perforait l’anus en puissance. Je beuglais ma souffrance, mais Claire semblait boire à ma douleur. 

Son plaisir orgasme arrivait complètement décalé avec mon ressenti douloureux. Je la voyais incrédule exploser sous mes yeux, sous une dernière pénétration profonde. Un orgasme bruyant, puissant, crispé que je ne pense jamais avoir réussi à lui donner ! J’étais défait sur tant de points !

Finalement elle s’effondra contre moi, peau contre peau. Le gode se braqua jusqu’à trouver une position inconfortable contre les muqueuses du rectum.

J’étais saisi. Je sentais son odeur, si forte en amour. Je l’écoutais redescendre peu à peu et reprendre son souffle. C’était Elle, mon amour. Je me foutais si mon anus palpitait encore de douleur, si c’est cela qu’elle voulait. Claire reprit finalement ses esprits…

- Oh c’était fabuleux mon chéri. Merci à toi. Je t’aime…

Elle vint me prendre les lèvres. Qu’importe ce qu’elle m’avait fait, tant j’étais fier de lui avoir « donner » quelque part ce plaisir ultime…

- Je suis désolé si je t’ai fait mal… je n’aurais pas du mettre ce second gode dans ma chatte… j’étais déjà si excitée quand je me suis présentée…

En fait si, elle m’avait fait très mal. J’en ressentais encore la douleur dans l’anus et les muqueuses. Mais je préférais de loin cela, passer par la case tourment, qui me facilitait l’acceptation de la sensation de ce gode en moi.

- Ainsi, tu es enfin devenu ma petite tapette d’Amour.

Et elle continua à m’embrasser fougueusement pour mon plus grand plaisir. Je coulais de bonheur contre elle. Elle recommença à bouger doucement le gode en moi tout en m’embrassant. J’avais moins mal. Les sensations de l’intrus qui coulissait en moi restaient dérangeantes pour l’esprit, mais devenaient pas déplaisantes pour le corps. Claire jouait de l’angle de son gode, m’écartant les muqueuses à droite ou à gauche. Je ne détestais pas cela. Je commençais à apprécier même. C’était si étrange.

Elle me prit les jambes sur ses épaules pour une chevauchée plus virile, avec de grands allers-retours de gode. Je ne sentais plus aucune nouvelle douleur, juste un plaisir du cul si différent que je découvrais, avec le goût doux-amer de l’humiliation de la manière dont elle me l’offrait. C’est troublant d’esprit d’être touché par là, mais finalement ce n’était pas désagréable ! Elle se joua de mes empêchements, sa main à titiller mon pénis encagé. J’en bavais d’impuissance, mais finalement si bon, comme une longue excitation qui restait sur le plateau sans avoir jamais de fin… Elle jouit de nouveau…

Je regrettais presque quand Claire se retira finalement…

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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