Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 18:00

13 février

Mademoiselle Julie retrouve le lendemain 2 garçons exténués physiquement et moralement par leur acoquinage forcé de la nuit. Nous sommes tellement contents qu'elle libère l'attache entre nos cages, que nous n'avons nulle intention de lui rétorquer ou reprocher quoi que soit. Nous faisons au contraire profil bas, et moi le premier, me rappelant la sèche fessée de la veille.

Cela marche, car Julie nous laisse libres ce matin et nous rend même déjà nos combinaisons de skis, notre unique protection anti-nudité en ces temps difficiles. Cela a un petit air de liberté de pouvoir prendre notre petit-déjeuner presque normalement avec les autres clients de l'hôtel, surtout après une telle nuit. Nos combinaisons de ski semblent adéquates à cette heure et personne ne nous regarde de travers. Tout serait pour le mieux, si Julie n'était pas revenue me glisser à l'oreille, pendant son service, qu'elle m'attend aujourd'hui à 16h précises dans la chambre... comme hier !

Ce genre de convocation que je sais non innocente suffit à m'envoyer ailleurs toute la journée et mon ski s'en ressent, à me gameller sans cesse sur les pistes. Je ne cesse de regarder ma montre et l'angoisse monte peu à peu au ventre, malgré les tentatives d'Hervé pour me distraire. Même les vues des jolies skieuses, n'arrivent plus à me détourner de la crainte que mon retour dans la chambre sous le joug de Julie m’inspire. Et à force de le craindre, je m'y retrouve finalement à l'heure. Mademoiselle est déjà à m’attendre, dans sa tenue de service.

- Bon Pierrot, tu connais la procédure maintenant...

La honte au visage et les jambes flageolantes, j'obéis et m'installe nu dans la baignoire. Mais aujourd'hui c'est différent, car je suis immédiatement attaché du collier à la robinetterie. Cela ne promet rien de bon…

- Tiens j'ai une devinette pour toi : tu sais ce qui pue à la fois des pieds, du cul et de la chatte ?

Je connais la réponse à ce classique mais cette façon de commencer me déstabilise...

- Un collant roulé en boule, Mademoiselle ?

- Mais c'est que tu n'es pas idiot. Oui c'est cela, tu as tout à fait raison.

Elle enlève justement son collant noir : elle ne va quand même pas ?!?

- Tu vas être heureux : je n'ai pas mis de culotte exprès ce matin pour toi, et l'idée du pourquoi m'a bien fait mouiller ainsi que les courants d'air sous la jupe.  Tu devrais aimer… Allez Pierrot, tout cela est pour toi : ouvre la bouche...

Je m'y refuse, mais sa main trouve rapidement mes couilles pour m'y forcer. Je déteste immédiatement le contact du nylon synthétique contre ma langue et mon palais. Le goût est indéfinissable mais fort, vraiment pas agréable. Mon écharpe finit de me condamner au silence humiliant du soumis. 

Et mon humiliation ne fait que commencer, car ma rondelle est de nouveau huilée pour le passage de la canule. Julie commente la progression de petites tapes sur mon fessier. De nouveau l'eau chaude qui envahit mes entrailles par à-coups douloureux et bouscule tout reste de pudeur que je pourrais avoir. L'eau me travaille le corps et l'esprit, et m'amène bientôt à point, dans un état de soumission. Je quémande de nouveau ma libération, qui m'est un temps refusée, pour le plaisir de mon bourreau de chambre. 

Finalement la canule m'est retirée, et Julie me laisse seul comme la veille, sauf qu'elle finit par revenir n'en ayant pas manifestement fini avec moi. Même nettoyé à jets d'eau, je me sens sale et terriblement honteux. 

Julie me pose alors une nouvelle devinette :

- Quel est le plus long nerf du corps humain, Pierrot ?

Je connais aussi la réponse, mais là je n'ai nullement envie de répondre à mon détriment. Peine perdue, car Julie répond à ma place.

- Le nerf du poil du cul, car quand on arrache le poil, cela tire une larme aux yeux ! On vérifie ?

Julie est "armée" d'une pince à épiler, qui aujourd'hui me parait représenter la pire arme menaçante que l'on puisse imaginer. Je sursaute quand sa main écarte de ses doigts mes fesses et dévoile le sillon sans défense. Un poil est choisi au hasard, et la pince le saisit, le tord et l'arrache. Le collant étouffe mon cri dans ma bouche. Et ce n'est que la première victime, car Mademoiselle Julie m'informe de sa volonté de m'épiler complètement la raie culière ! Cela prend une heure de torture, de cris, de larmes au coin de l'œil, avant qu'elle soit enfin satisfaite du résultat qu'elle contrôle d'un doigt qui glisse dans mon sillon. J'ai cessé de compter depuis longtemps, mais cela ne m'étonnerait pas qu'elle ait arraché - à vif ! - plus de 50 poils.

- Et bien, c'est bien plus joli, tout lisse sans poil. Cela donne nettement plus envie...

Plus envie à quoi ? Julie répond à voix haute à mon questionnement silencieux.

- ... de te prendre le cul avec ma main. Là c'est la vraie demande de ton exigeante Dame. Disons que le dépoilage est un supplément gratuit que je t'ai offert, mais c'est toujours aussi rigolo de constater comment vous pouvez être douillets les garçons ! Je n'ai jamais essayé la main dans le cul d'un mec. J'avoue que je suis assez intriguée de l'effet que cela peut faire... parait même que tu as quelques entraînements en la matière...

Là c'est trop là pour moi ! Je me rebelle et me retourne comme je peux dans la baignoire pour interdire tout accès à mes fesses. Julie me regarde un brin agacée.

- Allez remets toit sagement en position ou je ne pourrais pas pratiquer...

Je fais non de la tête, effrayé. Julie soupire et ouvre l’eau froide au-dessus de mon corps.

L’eau d’abord tiède devient rapidement glaciale. Cela rapidement intenable. Je dois choisir et choisi lâchement au bout de quelques dizaines de seconde de me remettre en position pour ne plus subir cette eau qui me pétrifie corps et esprit. Me voilà de nouveau sage à 4 pattes dans la baignoire, à offrir tremblant l’accès à mes fesses.

Mon anus est amplement graissé d'un tube de vaseline "acheté cette après-midi à la pharmacie de Val Thorens spécialement à mon intention". Un premier doigt me pénètre et force la crispation qui barre l'entrée. Julie a trouvé sa position sur un tabouret au bord de la baignoire, une main au travail dans mon rectum  et l'autre en prise sur mes couilles. Le doigt maintenant coulisse librement en moi. Un second le rejoint bientôt et son entrée me tire une grimace. 

Je dois me détendre quelque peu et  à mon insu, car trois doigt me "travaillent" maintenant. Julie m'excite de son autre main sur mon sexe. Je suis étiré entre le confort d'être caressé au sexe et le déconfort des doigts qui envahissent mon cul. Ceux-là d'ailleurs ne cessent de tourner et de rechercher à m'ouvrir encore plus. Maintenant je prends les 5 doigts rassemblés en tête perforatrice. C'est irréel que j'arrive à prendre cela. La main qui m'envahit ne cesse de me travailler et de gagner millimètre par millimètre. C'est impossible qu'elle arrive à tout rentrer : cela ne passera jamais ! Et je ne le veux pas ! 

- Allez détend toi, je veux finir par la rentrer entière…

Julie a trouvé un nouvel angle de détente et me branle la bite par l'intérieur. C'est comme le gode ceinture : un mélange de plaisir et de douleur, qui rend l'esprit incapable de se rebeller. Je suis entre le paradis et l'enfer, voulant à la fois que tout s'arrête et que tout continue. Je suis incrédule à sentir ma rondelle s'écarteler de plus en plus... Mais la peur d’avoir définitivement mal quand la main passera l’emporte maintenant…

- Allez on y est presque... Respire...

La main force terriblement pour finir me pénétrer dans son intégralité. En douleur ! Elle n’y arrive pas ! Julie s’agace sur mon manque de souplesse. Je hurle le cochon écorché à vif dans mon bâillon. A La pression augmente encore contre la rondelle : elle veut la faire céder à tout prix et m’envahir définitivement !

C'est à ce moment-là qu'Hervé rentre de sa journée de ski. Il m'appelle : je ne peux pas répondre. Il ouvre fatalement la porte de salle de bain et nous trouve, la main de Julie plantée dans mon cul ! Il se dépêche de refermer la porte en bafouillant un "excusez-moi"... auquel répond Julie :

- Tu déshabilles et tu m'attends sur le lit pendant que j'en finis avec ton copain...

Elle continue quelques instants à essayer de faire rentrer sa main entière, étirant à l’extrême limite l’élasticité de ma rondelle. Mais quand cela ne veut pas, cela ne veut pas ! Par dépit, Julie enlève sans précaution ses doigts de mon cul qui ressortent en un gros "ploc". Elle m’abandonne le cul béant à ma baignoire.

Un autre désir vient de l’emporter. Les gémissements qui montent bientôt de l'action de la langue du copain, ne me laisse aucun doute sur sa nature. Moi j’ai le cul en souffrance qui essaye de se refermer pendant qu’on a l’air de s’amuser follement sur le lit. Cela discute même pas mal entre léchouilles, mais je n'arrive pas à saisir leur sujet de conversation. Pas le choix d’attendre consigné dans la baignoire qu'ils aient finis leur "affaire". Et là c’est de nouveau si frustrant d’être exclu de la fête !

Finalement, Julie revient me libérer une heure plus tard. Elle a changé de tenue : plus de costume de service. Elle me regarde me savonner de la tête aux pieds, toujours aussi sexuellement troublant pour moi.  Je me sèche alors qu’elle ramène une pile d’affaires, prélevés dans nos valises. 

- Il est temps de vous préparer. C’est mon soir de congé et nous sortons ce soir. Mais avant il faut que je joue au « Ken » avec vous.

Je ne comprends pas sa dernière remarque, jusqu’à ce qu’elle récupère l’écharpe ayant servi à me bâillonner pour me priver de la vue. Je suis habillé plutôt qu’elle m’habille d’un T-shirt à manches longues et col camionneur et  d’un pull puis caleçon et  pantalon. Et une fois prêt, je suis envoyé attendre dans la chambre et Hervé prend ma place dans la salle de bain. 

Il en ressort 10 minutes plus tard, douché et aussi impeccablement habillé par Julie.

- Je retrouve tous les vendredi soir le même groupe de copains et copines chez Patou. Ils sont saisonniers comme moi et on ne se cache rien. Je pense qu’ils vont adorer rencontrer 2 garçons comme vous. Mais avant, il reste une dernière petite perversité qu’a prévu vos chères épouses. 

C’est soirée « suppo » ce soir. Ils sont arrivés au courrier aujourd’hui. Vos femmes ont pensé à tout. Remerciez-les-en à votre retour…

En guise de suppo, cela devrait être un plug de bonne taille qui me ferme le petit trou. Mais par rapport à sa main, c'est taille mini : elle me l'enfile sans aucun problème. Je suis gratifié d’une bonne tapette sur les fesses avant que caleçon et pantalon recouvrent le tout.

Par contre, pour Hervé, c’est beaucoup plus délicat. Il essaye même de négocier mais sans succès. Je ne sais pas où il en est, avec Emilie, côté dépucelage du petit trou, mais sans doute pas très loin vu la grimace qu’il fait quand elle lui force la rondelle pour l’avalage !

Le temps de mettre nos parkas et nous devrions être prêts à sortir, sauf que pour moi le programme est différent.  Elle m’ordonne de passer ma combinaison de ski sur mes vêtements et me donne une paire de moonboots sorties de, je ne sais, où. Là encore, je n’aime pas ce genre de détail qui me différencie du sort d’Hervé…

Nous quittons la chambre et empruntons l’escalier de service désert à cette heure. Juste avant de sortir, Julie demande de l’attendre un instant. Elle revient finalement et nous nous retrouvons dehors. Je ne comprends toujours pas pourquoi je dois être en combinaison, jusqu’au moment où elle sort une laisse de chien de sa poche.

- C’est au Saint Bernard du patron et je l’ai emprunté pour la soirée.

Je comprends malheureusement trop vite son intention quand elle ouvre mon col pour accrocher le crochet à l’anneau de mon collier !

- Ce n’est pas idée de ta Claire. Mais la mienne… Cela devrait être terriblement amusant.

Je le regarde incrédule…

- Et bien en chien ! Tu portes un collier de chien ? Tu es donc un chien. Et les chiens, cela se promène en laisse et à 4 pattes !

Pas question d’obéir, cette fois là ! Pas à l’extérieur à la vue de tous ! Sans avoir eu le temps de réagir, elle me fait un croche-patte et je tombe lourdement sur le sol.

- J’ai dit à terre le chien !

Hervé ne s’offusque en rien de la demande, et semble autant s’amuser que Julie de la tournure de ma situation. Je promets de lui réserver un petit de ma chienne dès que j’en aurais l’occasion. Je ne me sens pas dans la capacité de passer outre et de me relever. D’autant que comme à chaque fois, l’humiliation m’émoustille le cerveau.

Ma progression à 4 pattes est difficile dans la neige et surtout avec le plug qui ne demande qu’à s’échapper de la béance. Nous croisons à ma grande honte quelques personnes qui me regardent très intriguées et me font détourner la tête. J’espère que le restaurant n’est pas trop loin.

Mais avant, Julie nous arrête devant le distributeur du Crédit Agricole. Elle a dans sa poche ma carte bancaire.

- Donne-moi ton code.

Je ne comprends pas…

- Oui mes services ne sont pas gratuits et c’est toi qui régale finalement…

Je pense que Claire a donné son accord avant. Je donne mon code. Je n’ai aucune idée, combien Julie me prélève pour ses « services » mais la machine fait sortir une épaisse liasse de billets aussitôt mise dans son sac…

Encore un petit calvaire à me faire promener en laisse. Je me fais même chambrer pas un groupe de jeunes au loin qui demande si le « toutou de Madame est bien sage » et nous rentrons à l’arrière de ce qui doit être le restaurant. Ce qui me libère de ma contrainte de chien et de ma combinaison de ski. J’enlève mes moonboots pour rester en chaussettes, le genre de détail qui finalement m’agace et me ramène à ma nouvelle condition.

Mais le pire vient quand je me rappelle de la présence du collier enchaîné à mon cou. Le pull est à col rond et ne cache rien. Seul le col camionneur de mon T-shirt m’apporte un semblant de dissimulation, qui si elle peut faire illusion à distance, ne peut rien faire pour moi en face en face. Je me sens terriblement gêné et un début de nouvelle panique commence à monter… Mais je n’ai pas le temps de m’y laisser aller car le rideau s’ouvre sur la salle du restaurant !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 18:00

12 février

Glisser sur les pistes est jouissif avec une neige géniale. J’y prends un grand plaisir, une fois que la crainte d’avoir froid s’est dissipée. Non les couilles sont bien au chaud, bien relaxé comme en plein été, et je skie détendu de la bite. Il reste cependant cette impression d’être vulnérable totalement nu sous la combinaison, de se sentir différent des autres skieurs sous emprise. Quelque chose qui finalement ravit mon côté soumis. Et oui j’oubliais aussi, ces interminables queues devant les toilettes pour pisser la bière et le vin chaud que nous buvons sans trop de modération avec Hervé. Je ne l’ai pas vu venir cette contrainte là. Et nous voilà au même régime que les skieuses à attendre bêtement en ligne devant les toilettes occupées.

En cette journée, Hervé semble aussi à l’aise que moi dans sa cage au chaud. Par contre, je crois qu’il ne doit pas cesser de bandouiller dedans vu comme il me parle avec enthousiasme de Julie, qui lui a fait une grosse impression manifestement très sexuelle. Je crois qu’il joue avec le feu, car je vais devoir le raconter dans mes comptes-rendus à Emilie, mais il a passé toute sa matinée à essayer de savoir qui pouvait être cette jeune femme, à fureter sur internet depuis son Smartphone à chaque remontée de télésiège.

Et à ma grande surprise, ses efforts sont récompensés quand il trouve finalement l’annonce d’une escort qui travaille sur Val Thorens. Les photos de présentation en lingerie sont partielles, mais je suis aussi prêt à croire à sa suite, qu’il s’agit là de « notre » Julie. Hervé est d’un tel enthousiasme à découvrir cela ! Cela expliquerait comment les femmes ont pu la contacter. Mais quelle coïncidence incroyable qu’elle travaille justement dans l’hôtel om nous sommes descendus !

Nous déjeunons en altitude à midi, à la cime Caron, et nous repartons sous le soleil hivernal explorer une nouvelle partie de la station. Cependant au fur et à mesure que l’après-midi se déroule, et que l’heure limite arrive, la tension réapparait, non pas sexuelle, mais émotionnelle alors que nous allons repasser sous la coupe de Julie. Pas facile d’être des maris surveillés et contraints même en vacances…

Mais je n’ai pas la possibilité de profiter intégralement de mes heures de liberté au ski. A 4h, le téléphone d’Hervé sonne, il répond, écoute un instant avant de se tourner vers moi :

- Mademoiselle Julie veut que tu rentres à l’hôtel immédiatement. Toi seul. Vas-y vite, je m’occuperai des courses pour ce soir…

Je ne sais pas ce qui l’emporte : l’extrême humiliation de se voir intimer cet ordre par l’intermédiaire d’un ami ou l’inquiétude où cette exigence me met immédiatement ? Que me veut-elle ? Pourquoi tout seul ? Que va-t-elle me faire ?

Je me dépêche de pousser sur les bâtons et de revenir au plus vite à l’hôtel. Mademoiselle Julie m’attend effectivement dans la chambre.

- Alors cette première journée de ski ?

Je suis déstabilisé par la question. Je m’attendais plus à un ordre cinglant et immédiat.

- Très bien. La neige est bonne et le domaine fantastique.

- Je suis d’accord. C’est pour cela que je travaille par ici… et aussi pour autre chose… allez mon Pierrot, il est temps je crois d’enlever ta combinaison. Tu as du pas mal transpiré dedans toute la journée.

En un instant, je bascule de la conversation amicale à la soumission. J’obéis légèrement tremblant. C’est extrêmement humiliant de se retrouver nu devant une quasi inconnue, qui en plus d’une main tentatrice vient effleurer la cage.

- Humm vraiment mignon les zizis en cage. Si un jour je me marie, cela fera partie du contrat de mariage… allez, Pierrot, direction la salle de bain…

Pourquoi faire ? Cela ne sent pas bon…

- Rentre dans la baignoire, s’il te plait. Non pas comme cela, à quatre pattes… Tu sais que j’ai eu ta femme au téléphone ? Elle a bien rigolé quand je lui ai parlé de ton cul pas propre, et elle m’a demandé de te le « laver » donc. Je le fais déjà pour recevoir dans mon cul les clients alors pourquoi pas te l’imposer ? Nous allons donc laver ton cul à grandes eaux ! Tu vas voir, c’est super agréable…

Je suis sûr que non, ou sinon Claire ne lui aurait pas demandé, à moins que cela soit elle qui ait sadiquement proposée l’idée. Tout est possible. Mais pour l’instant je sais ce qu’il va m’arriver. Je n’en ai jamais subi, ni pendant mon enfance, ni lors d’un séjour à l’hôpital. Je crispe les fesses.

Comment dire ? C’est très médical au début. Cette canule qui pénètre comme un gode. Cette eau chaude qui au départ surprend et est, même, presque agréable. L’humiliation est dès le départ au contraire très présente, surtout des mains d’une fille plus jeune que moi.

Ensuite, c’est une épreuve à endurer, alors que l’eau pénètre de plus en plus fort et loin. Des moments douloureux avec les larmes aux yeux avec des spasmes aigus, que je ne crois ne pas être capable de tenir, puis quelque chose cède en moi, et la pression se réduit tandis que je sens le liquide m’envahir de plus en plus. Le combat avec mon corps m’épuise, et je sais que je n’ai aucune chance d’en sortir gagnant. Ce qui est rentré, devra ressortir à un moment. C’est la physique des choses.

Je découvre finalement la perversité de ce lavage. Alors que j’ai le ventre lourd et les spasmes qui remuent tout, il ne m’est autorisé de me libérer, pas encore. Le cul bouché par la canule bien en place, aucune échappatoire. Je risque un goût d’œil vers mon bourreau du jour, le même sourire espiègle de petite fille contente du mauvais coup fait à un garçon.

Le temps s’éternise. Je n’ai maintenant qu’une pensée : qu’elle m’enlève le « bouchon » et que je puisse me soulager. Mais rien ne bouge dans la salle de bain. Ce n’est peut-être pas la bonne méthode. Le « jeu » implique peut-être que je doive l’humilier à quémander la fin de mon traitement, surtout si Claire est aussi à la manœuvre à distance.

Les mots me pèsent à sortir de ma bouche, mais je n’ai pas le choix.

- Mademoiselle, s’il vous plait, c’est trop dur maintenant. Laissez-moi me… soulager. S’il vous plait…

Je regarde son visage pendant mon humiliante demande. Il a maintenant un quelque chose de triste, mais l’autorisation ne vient pas. Peut-être n’ai-ce pas assez ?

- Pitié, Mademoiselle ! Pitié, Julie ! Libérez-moi.

Je prends des risques à l’appeler par son prénom. Je ne crois pas qu’elle soit une authentique Dominante. Son regard devient encore plus triste.

- Désolé, Pierre, mais ce n’est pas ce qu’exactement ce que ta Claire a prévu pour toi, pas avant que…. Elle est dangereuse comme femme, pleine d’idées pour t’humilier. Mais ça tu le sais déjà. Je me suis demandé si je le ferais. Tu me semble être un garçon sympa qui ne mérite pas tout ce qui t’arrive, mais bon si tu restes... Mais moi je suis devenu une sorte de pute qui offre ses services pour de l’argent. Pas le choix. En 3 mois, je gagne le droit de quoi vivre le reste de l’année pour Paul qui a 2 ans. Maman me le garde l’hiver. Je ne l’ai jamais dit à son père biologique qui m’a largué. Il ne mérite pas de savoir.

Face à ce désarroi, j’oublie que je suis nu à quatre pattes dans la douche, le cul pris par un lavement en cours. Je ne sais que dire…

- Oui, je suis devenue une pute qui vend son corps pour de l’argent. Et si là c’est un peu différent… j’en reste une, qui doit se plier à ce que son client – ou sa cliente dans ton cas - veut d’elle. Oui moi aussi je me lave le cul en prévision du client qui va me sodomiser. Oui je sais que ce n’est pas agréable et comment cela peut être humiliant… mais là je vais faire ce que ma cliente veut… même si cela ne m’emballe pas… vraiment pas.

Que va-t-elle faire ? J’ai rapidement la réponse sous la forme d’une chaînette cadenassée qui accroche l’anneau de mon collier à la robinetterie de la baignoire ! Je reste incrédule que Claire ait exigé cela. Trop noir à mon goût. Julie ne dit plus un mot, mets le pommeau de douche en service et m’enlève la canule avant de me laisser. Je me retiens jusqu’à ce qu’elle est refermée la porte avant «d’œuvrer » dans une odeur infâme. Je n’ai jamais été aussi humilié…

Elle ne revient qu’un long moment plus tard, quand j’ai fini de me vider complètement. Et sans un mot supplémentaire, se met à me laver comme on laverait son chien, du museau aux pattes, en me savonnant à grandes eaux. Ses mains sont douces et tentatrices, comme si elle voulait rattraper sa mauvaise action sur ordre. Elle insiste longuement sur mon pénis encagé et je ne peux restreindre une érection en cage. Mes couilles sont délicieusement massées en même temps. Je passe de la noirceur à la frustration totale en quelques minutes… Elle me rince finalement et me laisse m’égoutter dans la baignoire. Mais elle ne me libère pas.

Cinq minutes plus tard, Hervé revient à son tour. Julie referme soigneusement la porte de la salle de bain après avoir monté le chauffage et éteint la lumière. Ils échangent quelques mots et Julie doit récupérer sa combinaison avant de quitter. Nous restons seuls.

Je n’arrive pas à me décider à appeler Hervé à la rescousse. Trop humiliant. Mais je n’en ai pas l’occasion car il vient pisser dans la salle de bain. Quand la lumière se rallume, c’est le choc à me découvrir enchaîné dans la baignoire. Je baisse la tête, honteux. Je ne raconte pas ce que Claire vient de m’imposer à distance. Il est gêné mais son amitié l’emporte. Il regarde ce qu’il peut faire, découvre le cadenas, part chercher si une clé a été laissée, en vain. Il revient finalement.

- Désolé, Julie n’a pas laissé de clé. Je ne peux pas t’aider.

Je me force à répondre.

- Ce n’est pas trop grave. Mais tu ne pourras pas te doucher…

Ma remarque lui décroche un petit rire nerveux un peu forcé.

- Je peux pisser ?

- Vas-y… au point où j’en suis…

Le début de la soirée est solidaire. Hervé nous prépare des sandwichs et me demande s’il peut venir me tenir compagnie. J’hésite mais après tout pourquoi pas, au point où j’en suis, même si manger dans une baignoire est acrobatique. L’attente de ma libération sera moins longue. Julie nous a dit ce matin qu’elle reviendrait à la fin de son service. Faisans fi de la situation, nous essayons de discuter comme 2 amis, comme si tout était normal, moi à 4 pattes dans la baignoire et lui assis sur la cuvette des toilettes. Nous parlons aussi de Julie et de sa situation.

Elle revient, à la fin de son service, peu après 22h. J’ai hâte d’être libéré mais je comprends vite que ma libération va être différée, car elle commence un allumage en règle de mon copain. Elle sait qu’il est plus troublé par sa présence que moi. D’ailleurs comme ce matin, il bande rapidement entre ses barreaux dès qu’elle nous rejoint, et d’autant plus, quand elle commande à lui caresser le corps, lentement en évitant soigneusement son sexe. Mais elle prend le temps de lui affoler les tétons jusqu’à ce qu’ils saillent de plaisir. Je suis un jaloux de ne pas participer à la fête et ma bite s’indigne violement en cage. Je n’arrive pas à la quitter des yeux, courbant mon cou pour ne rien rater.

Il y a une telle tension sexuelle dans la salle de bain, qui monte encore d’un cran quand elle demande à Hervé :

- Déshabille-moi…

De quoi définitivement affoler 2 garçons en manque. Nos bites coulent alors que la chanceux Hervé enlève un à un les vêtements. Julie a un corps magnifique, aux courbes parfaites. Ses seins en particulier sont d’une telle beauté divine, et sa fleur qui se dévoile enfin finit de nous faire perdre nos sens. Je suis à l’agonie quand elle colle son corps nu contre le sien, à finir d’apoplexier son sexe en cage. Il coule et je coule sans cesse. Mon envie est là, terrible, à laquelle ne répond que le vide de l’absence de contact. Je fixe ses mains qui s’occupent de l’autre, définitivement jaloux. Je mate les courbes du corps. Hervé respire très fort maintenant et là…

- Allez, viens. J’ai envie de ta langue maintenant…

Hervé ne se le fait pas dire deux fois. Il la suit sur le lit que je ne peux voir depuis ma position. Je suis si jaloux. Je l’aurais sucé avec une telle envie, au lieu d’être consigné dans ma baignoire. C’est pas juste. Heureusement la porte de la salle de bain est restée ouverte…

- Je suis désolé… c’est l’émotion…

- C’est pas grave. Tu sais que cela arrive à beaucoup d’homme. Et de toute façon, je n’ai pas besoin de ta queue mais de ta langue… allez montre moi comment tu es doué… Emilie me dit que c’est très bien…

Parce qu’Emilie a autorisé cela ? Je n’ai pas le temps d’y réfléchir plus, car le souffle de « notre » Julie devient rauque et bientôt les gémissements arrivent. Je n’ai aucun doute que ce n’est pas simulé, que c’est bien la langue d’Hervé qui obtient cela, et que je voudrais tellement être à sa place. La vague de plaisir monte bruyamment chez notre Mademoiselle, et me rend à l’agonie. Un orgasme, puis un autre, et encore un autre. Putain, il ne peut pas arrêter ?

Cela se calme finalement.

- Merci. Tu as une langue très douce et douée…

Je suis finalement libéré de ma baignoire avant le départ de Julie. Elle me laisse quelques minutes pour m’étirer avant de nous mettre d’autorité au lit, face à face, sur le côté. La chaînette est récupérée pour attacher ensemble les anneaux de nos cadenas, ne laissant pas plus de 30 cm de liberté entre nos sexes encagés.

- Bonne nuit les garçons. Soyez sages…

Notre nuit est difficile et sans aucune pudeur possible. Et Hervé me réveille douloureusement à chaque fois qu’il essaye de se retourner sur le lit…

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 18:00

11 février

Nous sommes arrivés hier soir à l’hôtel de Val Thorens, Hervé et moi, sous la double garantie d’un zizi encagé pour lui et d’un collier serré autour de mon cou. Je pense qu’aucun de nous n’était complètement à l’aise pendant le trajet entre Lyon et Val Thorens. Nous avons sans doute notre pudeur, et nous n’en avons pas discuté.

A l’hôtel, la réceptionniste a semblé bizarre quand nous avons réclamé notre chambre, voire même un peu complice. Je n’ai compris que quand je suis arrivé dans la chambre isolée sous le toit : un seul grand lit ! J’aurais dû penser à le demander à ma collègue, qui a sans doute imaginé que j’y partirais avec Madame… Nous avons voulu changer de chambre, mais l’hôtel est complet.

Et en plus, nous nous sommes rapidement aperçus que nos femmes se sont amusées à « revoir » nos sacs en nous supprimant les pyjamas que nous avions pris. Elles s’entendent pour nous compliquer la tâche… et comment pouvaient-elles savoir pour le grand lit ? Même moi je l’ignorais… 

Nous sommes donc descendus au bar de l’hôtel nous noyer dans un peu de vapeur d’alcool en appréhendant le moment où nous devrons nous coucher dans le même lit. Mais cela a bien fini par devoir arriver. Nous sommes finalement très pudiques comme hommes, même entre bons amis. Je crois que je n’ai jamais été aussi gêné de ma vie. Nous avons préféré rester habillés et nous coucher sur le dessus du lit, dos à dos, le plus éloigné possible.

Mais les cages ont leur vie propre que l’encagé ne peut pas ignorer. Je suis habitué à me faire réveiller par la cage, mais pour lui c’est une complète nouveauté, un peu paniquante. Ses réveils en sursaut m’ont réveillé en cascade, plusieurs fois pendant la nuit. Je lui ai conseillé d’aller pisser pour attendrir la bête. Il se maudissait de s’être laissé enfermé « stupidement ». Et il est si rouge quand il ne peut pas faire autre chose que de requérir mon aide d’habitué de la cage face aux réactions étonnantes de son sexe encagé. Je me sens si responsable de son état et j’essaye de l’aider sans heurter sa pudeur bafouée en ce début de cage. Je lui ai donc avoué pour mon collier autour du cou et que pour moi aussi pouvoir partir au ski me coûtait cher…

A ma totale surprise, l’intervention de nos femmes ne s’est pas limitée à modifier le contenu de nos valises : elles nous ont embauché une baby-sitter qui est rentrée à l’improviste au petit matin dans notre chambre.

- Allez debout les garçons. C’est l’heure de se lever !

Elle nous a surpris dans notre sommeil et j’ai cru que c’était une erreur de chambre. Une femme assez jolie, peut-être 27 ou 28 ans, en uniforme de serveuse poussant un chariot avec le petit déjeuner. Elle avait un sourire espiègle aux lèvres.

- Bon je ne vais pas y aller par 4 chemins. Je m’appelle Julie mais vos femmes ont insisté pour que vous m’appeliez Mademoiselle. Je suis chargée par elles de vous surveiller de près, pendant votre séjour au ski. Je n’ai jamais été contre un extra, mais j’avoue que c’est la première fois que l’on me demande ce genre de services…

Je suis sur le cul ! Comment ont-elles pu la trouver en si peu de temps ?

- J’ai reçu des consignes précises et la première est de vérifier que vos zizis restent bien enfermés. J’avoue que je n’ai jamais entendu parler de femmes qui imposent cela à leur mari. Et que cela m’intrigue beaucoup… Alors les garçons, on se dépêche de tout me montrer car je prends mon service à 7h…

Nous la regardons hébétés n’osant pas comprendre ce qu’elle veut…

- Vous ne m’avez pas entendu ? On se dépêche de montrer à Julie vos zizis dans les cages !

Nous ne réagissons toujours pas.

- Bon ça, elles l’avaient prévus que vous ferez un peu de manière. Mais elles m’ont dit comment briser la « glace »… Qui est Pierre ?

Je réponds timidement que c’est moi.

- Alors Pierrot tu vas montrer l’exemple à ton copain. Que m’a dit ta femme Claire hier soir de te dire ? Ah oui, si tu ne m’obéis pas, tu en prendras pour 6 mois de plus de zizi enfermé. Elle n’avait pas l’air de plaisanter, alors si j’étais toi, je me dépêcherais d’obéir !

Elles ont vraiment tout prévu. Je n’ai pas d’autre choix, que de m’humilier et de me conformer. Je me lève en automate et me positionne devant cette Mademoiselle qui ne semble pas le moins impressionnée par la situation, contrairement à moi. Je déboutonne la mort dans l’âme et la honte aux joues mon pantalon.

- Non pas comme cela. Elles ont dit que les vérifications devaient se faire complètement à poil. Alors tu te désapes totalement. Je dois aussi vérifier la présence de ton collier de chien…

Je baisse la tête mais obéis, définitivement humilié. Julie s’est installée au bord du lit et m’invite à me présenter. C’est l’horreur dans ma tête. Il n’y a rien de sexuel dans cela, que l’extrême sentiment de l’humiliation. La découverte de mon sexe encagé l’enthousiaste et finit de me morfondre...

- Putain c’est fou et vraiment génial ! Cela à l’air si inoffensif en prison. Elles ont raison : impossible de bander dans ce machin ! Et tu la portes 24h sur 24 depuis le 1er janvier sans avoir la possibilité de te branler ? Trop cool ! C’est ça : littéralement « tenu par les couilles », le mec. Excuse-moi mais il faut que je la prenne en photo avec mon téléphone car les copines ne me croiront pas…

Mon humiliation est immortalisée immédiatement. Je la vois maintenant dans un état second, sortir une paire de gants blancs en latex de la poche de son uniforme, qui bientôt viennent m’ausculter. Rien n’y échappe et je sais que c’est la volonté de nos femmes que Julie applique. La tenue de ma cage est sérieusement contrôlée, du cadenas jusqu’à l’accrochage derrière les couilles qui est douloureusement éprouvé. Idem pour mon collier. Je n’ai jamais été aussi petit dans les barreaux. Mais le pire est quand son doigt vient contrôler la propreté de mon petit trou. Je sursaute vivement quand je sens qu’elle veut me toucher par là, dans un quasi viol de mon intimité. Mais je n’y échappe pas. Le doigt ganté me fouille en profondeur avant d’être ressorti et exhibé - un peu souillé à ma grande honte - sous mes yeux…

- Humm pas très propre tout cela. C’est souvent ce que je reproche aux garçons. D’habitude je ne peux pas y faire grand-chose, mais là, c’est différent et très cool. Je peux sévir, avec la complète autorisation de vos Dames. Tant que je vous chaperonnerai, cela sera contrôle matin et soir. Et donc mon petit Pierrot, tu viens de récupérer une punition de ma part. J’avoue que l’idée de fesser un grand garçon, m’enthousiaste terriblement !

Mais j’y échappe pour l’instant. C’est au tour d’Hervé d’être inspecté. Il est très troublé, rouge comme une pivoine, son corps nu à côté du mien, mais il m’étonne à ne pas se révolter. Il se laisse docilement manipuler entre les doigts de la contrôleuse exhibant même une belle érection involontaire contenue entre les barreaux.

- Et bien toi, tu es un petit pervers ! Quoi que ton Emilie m’a prévenu… en plus mieux monté que le copain… dommage que tu sois aussi éjaculateur précoce !

Hervé ne sait plus où se mettre, les yeux au bord des larmes, mais son sexe en cage ne désenfle pas, bien au contraire ! Il a droit lui aussi à une inspection arrière en profondeur mais il s’en sort mieux que moi, sans aucune trace à se faire reprocher.

- Bon il est quelle heure ? 6h40… ok il ne faut pas que je perde du temps… Pierrot, sur mes genoux ! Pour prendre ta fessée. D’ailleurs c’est cool cette idée de punir les hommes quand ils ne sont pas sages ou propres.

Je sais que je ne vais pas me dérober. Pourtant je ne connais cette femme que depuis une demi-heure, elle m’a déjà mis un doigt dans le cul et là elle veut me fesser ! Et tout cela parce que Claire a décidé seule dans son coin qu’elle donnerait ce droit à une femme qu’elle n’a jamais rencontré et parce qu’elle est justement une femme. Elle l’a connu comment d’ailleurs ? Non je suis faible et je ne vais pas me dérober. Je suis même intellectuellement excité de devoir subir cela, me faire fesser le cul par une femme inconnue, le rouge de la honte aux joues.

De toute façon aucune dérobade ne serait possible, car je suis tiré par l’oreille jusqu’à être couché sur ses genoux. Et là sa main me fesse lourdement. Elle ne retient nullement ses coups. Qu’est-ce que cela peut faire mal ! Je serre d’abord les dents en vaine fierté masculine, mais bientôt je danse des jambes sans pudeur, cherchant à échapper au battoir. Cela ne me vaut qu’une étreinte resserrée sur le haut de mon corps et un redoublement des frappes sur mes fesses. A ce rythme, je me retrouve au bord des larmes. « Mademoiselle » ne s’arrête qu’une fois qu’elle juge mon cul suffisamment rouge …

Mais ce n’est pas fini pour moi, car elle m’envoie au « coin » avec une jubilation qu’elle ne cherche plus à cacher, comme si je venais de payer là cash pour tous les hommes qui l’ont emmerdée dans sa vie.

- Bon je vous explique le topo. Vos Dames ne veulent pas vous laisser batifoler librement ! Et m’ont demandé de vous consigner dans la chambre… Alors plus de vêtement. Je vous laisse votre combinaison de ski et une paire de chaussette. Le reste, je le prends avec moi. J’ai négocié le ski la journée pour vous. Mais attention, retour au bercail à 18h max. Je viendrais reprendre vos combis juste avec le début de mon service du soir. Et pensez à vous acheter des sandwichs avant votre retour parce qu’après, il faudra aller les chercher à poil ! Je reviendrai m’amuser avec vous à la fin de mon service. Ne vous inquiétez pas…

Son départ crée un vide dans la pièce, me laissant en face à face avec Hervé aussi nu et sur le choc que moi. Cela pourrait être un grand moment de solitude, mais face à l’adversité, il n’y a pas grand-chose à faire. Et qu’importe si je ne peux rater son sexe qui rechigne à se dégonfler et pleure sa frustration par le bout. Sur le moment, je suis au-delà de ça et m’installe à la table pour prendre mon petit déjeuner...

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 18:00

9 février

C’est la journée des grandes manœuvres. Le jour J ! L’heure H ! De la blitzkried... Je suis fébrile en me levant et mal-à-l’aise de préparer une trahison pour Hervé. 

Je lance les escarmouches en envoyant un premier SMS le plus neutre possible, mais suffisamment tentateur.

Pierrot, Ma. 9 9h01, a écrit:

Salut,

J’ai une collègue qui ne peut plus aller au ski. Elle avait réservé pour les 3 jours de cette fin de semaine dans un hôtel à Val Thorens. Cela te dirait que nous allions skier entre hommes ? Il est tombé plein de neige fraîche… T’as vu les webcams ?

http://1.bp.blogspot.com/_qkJbywrn64w/RaM6ncFCaWI/AAAAAAAAAAk/JaYGALT3LKk/s200/200522512551642683.jpg

Je reçois sa réponse enthousiaste quelques minutes après. L’hameçon est accroché même s’il doit « vérifier avec Emilie si c’est possible » au niveau organisation de la famille. Je relance une demi-heure plus tard d’un : «Alors ? Il faut que je confirme que nous récupérons la réservation au plus tôt… ou on la perd…»

Finalement à 11h30, sa réponse arrive (mais je le sais à l’avance vu que j’ai reçu un SMS d’Emilie en parallèle…). « ca y’est. J’ai eu Emilie à son boulot, elle a dit pas de problème !!! Nous allons skier ! T’y crois mon pote ! »

Ma réponse immédiate ( « Alors je confirme à ma collègue… Ok cela va être génial - On décolle demain matin. Je te récupère au train à Lyon ? - N’oublie tes KPOT » ) ne coûte rien, si ce n’est d’attiser le feu de son envie… en attendant que le château de carte s’écroule, car je sais à l’avance qu’il va s’écrouler…

Et il s’écroule à 13H47 exactement. Je ne suis pas fier de trahir un pote ainsi, mais à la guerre comme à la guerre… 

« Merde !!!! Et re-merde !!! Grosse KATA ! Emilie veut plus me laisser partir seul au ski. A regardé à midi le site de l’hôtel. Trop de jeunes filles à son goût. Toujours cette même histoire d’anglaise avec qui je suis sorti il y a 15 ans, quand nous nous étions séparé un temps. Elle va me le ressortir jusqu’à la mort. Donc maintenant niet !!! Fai chier grave !!!!!!!!! » 

C’est là qu’il faut faire attention, ne pas perdre la prise ferrée de haute lutte.

« Mince. C’est dommage que tu ne puisses pas me suivre… »

Et rien d’autres car je sais que des puissantes forces sont en manœuvres dans l’ombre. D’ailleurs j’en ai un premier résultat une heure plus tard.

« Emilie a eu Claire. Pas jalouse ta Claire car il parait que tu as donné une garantie. C’est quoi ? »

Faire simple.

« Je partirais au ski le sexe encagé dans ma cage de chasteté ».

« Tu rigoles là ? »

« Non 100% sérieux. Il n’y avait que cela à faire si je voulais pouvoir partir sans Claire. Et puis cela ne m’importe pas plus que cela. C’est un peu notre style de vie maintenant. Et comme je n’y vais pas pour lever des donzelles… mais pour le plaisir de skier… c’est un compromis que je trouve très honnête… apte à rassurer Claire »

Voilà c’est à moitié dit. Car la vraie garantie que j’ai dû donner c’est le port du collier. Je reste alors silencieux mais à l’aguet de mon téléphone. Alea jacta est, en espérant que cela suffise. Une demie heure de réflexion et les défenses d’Hervé commence à se fissurer.

« Cela fait mal de porter une cage ? »

« Les érections hachent un peu les nuits, et cela tire un peu le matin. Mais le reste du temps tu l’oublies… »

Nouveau temps de réflexion d’un futur encagé, j’en suis quasi sûr maintenant.

« Bon j’ai eu Emilie. Elle est ravie que je lui donne la même garantie que tu as donné à Claire et veut bien me laisser partir skier, avec une cage de chasteté. C’est un peu hard comme concession mais tant pis. Je n’allais pas te laisser profiter de la poudreuse tout seul, mon ami ! Tu pourras me conseiller à distance quand je passerai au sex shop ce soir ? »

Et c’est ainsi que l’homme décide volontairement de perdre sa virilité. Et je gagne par là une partie du droit de pouvoir retrouver un jour la mienne. Emilie m’appelle d’ailleurs pour me féliciter de la basse manœuvre

La fin de la journée est bizarre. Je gère à distance l’achat de la cage d’Hervé (une CB6000S pour être sûr qu’Emilie trouve anneau à sa taille), pendant que je choisis collier à mon cou dans le Jardiland de la ZAC. Bien sûr dans ce cas, vous avez toujours une vendeuse dans vos pattes, fort serviable et trop empressée. J’invente une histoire embarrassée et bafouée du gros chien de mes parents que l’on garde et dont le collier vient de caser. La vendeuse ne semble pas y croire une seconde et me regarde d’un œil soupçonneux. Mais finalement j’aime cette humiliation que m’impose Maîtresse Claire et je coule et mouille pendant que je me fais laminer par l’incompréhension de la vendeuse…

Que ne ferait-on pas pour les beaux yeux de nos Dames ?

dyonisos


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