Jeudi 24 mars 4 24 /03 /Mars 07:40

21 février

C’est le dimanche matin ensoleillé d’une douce lumière d’hiver. Il fait bon dans la maison mais je tremble quand même légèrement… nu avec mes seules cage et collier, agenouillé devant ma beauté de femme envoutante pour tout cœur de mari soumis. Je n’aime pas ce terme, mais je me dois de reconnaître que c’est ce que je deviens au fil des semaines depuis ma mise sous clé. Et finalement j’aime bien l’excitation permanente que cela me procure…

Le matin a commencé par une terrible étreinte de ma langue, de mes lèvres sur son sexe humide d’excitation, à notre réveil. C’est, je crois, le cunnilingus le plus amoureux et abouti, que je ne lui ai jamais offert. J’ai surmonté les vagues de son corps accompagnant la montée du plaisir, pour lui offrir le magnifique orgasme qu’elle mérite définitivement ! C’est aussi un effet de la cage finalement, de prendre plus de plaisir à en offrir qu’à en prendre soi-même…

Dans  2 heures, mes beaux-parents ramènent nos chères têtes blondes, qu’ils ont emmenées au zoo hier comme ils leur avaient promis. Dans 2 heures,  je redeviendrai un père et un homme banal d’apparence, sauf un petit détail caché sous le pantalon…

Mais pour l’instant, je suis encore le soumis sous contrôle permanent de ma Maîtresse de femme, forcé à s’adapter au désir de sa Dominante, et contraint. Claire ne me prend pas en traitre : je sais ce qu’elle désire… Elle me l’a dit hier soir lors de l’impromptu repas en amoureux au restaurant dont elle m’a fait la surprise.

- Demain matin sera le Grand Jour, mon Amour : je te ferais perdre définitivement ton pucelage de bouche ! J’espère que tu te comporteras en homme courageux dont je pourrai être fier !

Pas besoin de me faire un dessin. Je sais quel type de pucelage, Claire a décidé de m’enlever. Je vais la laisser le faire, pour la « récompenser » aussi quelque part de l’énergie qu’elle me consacre. Et sans doute aussi par curiosité malsaine, pour savoir enfin ce que cela fait de recevoir dans sa bouche et de boire à la source l’humiliation qui ne peut qu’aller avec. Mais cela m’inquiète… Je crains ne pas être à la hauteur.

Je découvre que Maîtresse Claire tient aux symboles. Elle est habillée d'un bustier brodé très vintage, d’une  robe portefeuille noire dévoilant une magnifique lingerie à porte-jarretelle ; je suis nu. Elle est assise en majesté dans « mon » fauteuil de cuir ; je suis agenouillé à ses pieds. Elle porte sa plus belle paire de talons de cérémonie ; je suis comme tous ces jours-ci pieds nus. Et mes mains sont entravées dans mon dos par une paire de menottes. Oui, Claire croit aux symboles de l’homme nu et vulnérable au pied de la belle Maîtresse qui va lui violer  sa petite bouche.

- Bon à nous, mon petit Pierre…

Sur une table guéridon à portée de sa main, m’attendent le gode noir et sa télécommande que je regarde aujourd’hui avec un peu avec inquiétude. Il est accompagné du harnais équipé d’un petit gode interne et il y aussi son téléphone et un écrin à bijou recouvert de cuir noir. Elle l’attrape…

- Un écrin à bijou pour abriter les perles de tes bijoux de famille…

Je suis loin d’être autant enthousiaste que Julia Roberts dans Pretty Woman, quand je découvre le contenu de l’écrin : 3 petits sacs remplis de leurs paillettes encore congelées, avec leur étiquette de numéro de « cru ». Ils m’impressionnent…

- Tout… tout ça ?

- Tu ne voudrais quand même pas être avare avec toi-même ? Non ? Bon alors qu’avons-nous ? N°23 : notre dernier anniversaire de mariage – magnifique levrette que tu m’as offerte – et je vois que tu as été bien généreux…

Le sac est défait avec précaution et le glaçon de sperme est inséré dans un conduit à l’arrière du testicule factice de gauche. Le réservoir à sperme dans les couilles, cela ne pouvait être symboliquement que cela…

- Il finira d’y être décongelé avant d’être expulsé en pression au moment où… il le devra. N°6 : la sodomie que je t’ai offerte pour ton anniversaire. Tu avais bien aimé partir dans mon cul à ce que je me rappelle. Peut-être cela lui a donné un petit goût épicé… Tu verras bien…

Le glaçon va rejoindre l’autre dans le gode. Je ne suis plus du tout sûr de vouloir accepter cela… Même si c’est mon sperme, cela reste un peu répugnant … Je fais la moue que ne rate pas Claire. C’est comme si elle l’attendait même…

- Cela n’est pas si facile de se contraindre à recevoir son sperme dans sa bouche ?

- Euh… non… pas facile.

Je me méfie car cette conversation peut vite dériver…

- Pourtant tu me le demandes tout le temps… combien de fois ai-je accepté de t’accueillir dans ma bouche ?

Question piège !

- Tu devrais le savoir, vu combien chacune des 5 fois m’ont coûtée. Et encore plus, celle où je suis allé plus loin par curiosité amoureuse et je t’ai avalé… et encore j’étais libre… mais là toi tu es aux ordres… et crois-moi tu n’as pas le choix… de force ou de gré, tu m’accueilleras dans ta bouche… je préfèrerais de gré pour cette nouvelle humiliation très pédagogique… j’en suis déjà toute mouillée… et donc le n°29, le dernier sperme que tu as giclé avant de te retrouver en cage… tu sais maintenant pourquoi  j’ai tenu absolument à te branler dans une capote !

Je me souviens. Et comprends le machiavélisme de cette dernière éjaculation. Cela a commencé par une baise classique donc avec capote – Claire ne pouvant prendre la pilule – avant qu’elle décrète que cela ne lui faisait rien ce soir-là. Elle m’a terminé en me branlant dans le préservatif…

- Je vais t’aider… pour te faciliter…

La jupe portefeuille s’écarte pour laisser le passage au gode noir à couilles. Je le vois avec envie s’insinuer et s’enfoncer là où je n’en ai plus le droit. Plusieurs fois. De plus en plus luisant à chaque descente. Je pince les lèvres d’envie. Depuis quelques jours, quelque chose change en moi. Je ne suis plus aussi serein de la bite et un languissant besoin de partir, de faire baisser la pression, monte de plus en plus. Ce gode qui rentre et sort de sa chatte baveuse d’excitation est une petite torture, surtout que j’ai droit aux gémissements sans gêne de ma femme sur les bienfaits d’un gros machin en elle. Mon zizi proteste en bavant, me rendant aussi humide que le sexe de Claire…

Heureusement mon tourment sexuel prend fin au bout de quelques minutes. Le gode est retiré trainant derrière lui un filet de mouille. Claire se contorsionne pour passer le harnais, le petite gode bien au chaud dans sa vulve, avant de remettre sagement en place les pans de sa jupe. Le gode noir menace maintenant mes lèvres qui en tremblent un peu…

- Pour tout te dire, j’ai mis un gode vibrant dans ma chatte, synchronisé sur les efforts que tu feras sur le gode devant, qu’analyse cette petite merveille de technologie. Alors ne t’épargne aucun effort. Si je ne jouis pas, si tu refuses d’accueillir en bouche mon plaisir et d’avaler en petit mari obéissant, la sanction sera lourde : 2 mois de cage supplémentaires que je t’imposerai quelle que soit la décision d’Emilie à ton sujet. Tu as compris ?

- Oui, Maîtresse !

J’ai compris que je suis bel et bien coincé et que je n’aurai d’autre choix que de lui donner satisfaction et de recycler en bouche mon sperme. Mais de toute façon, j’ai déjà décidé de le faire. Etrangement Claire envoie un SMS à ce moment-là…

Je me penche avec courage vers son sexe dressé. Je le prends timidement dans ma bouche. Le contact est un peu artificiel, un peu froid  mais il a l’odeur intime de Claire. Cela m’aide à basculer, à me dire que ce n’est plus un gode factice mais le pénis de ma Maîtresse... qu’il me faut honorer avec dévotion. Un coup d’œil vers Claire m’indique qu’elle me regarde et que pour l’instant, elle me laisse procéder. C’est finalement beaucoup moins facile que de se le faire enfoncer en force.

Je happe timidement le gland, enroule mes lèvres autour, comme j’aime qu’elle me le fasse. Je le couvre de ma langue et de salive. Je ne sais pas quelle taille elle a choisie mais il me parait si gros aujourd’hui. Je doute de pouvoir arriver à l’avaler dans sa totalité… Mon trouble doit être visible. Claire vient m’encourager de sa main, à accepter « son » phallus plus profondément.

J’enfonce la hampe aussi loin que je peux, la mâchoire écartelée par ce beau morceau. Cela me demande un effort de respiration par le nez, très inhabituel. Mais le jus de Claire contre ma langue, contre mon palais est une merveille d’encouragement. Le gland butte contre mon palais. Cela me semble suffisant, mais pas pour Claire. Elle m’incite de sa main à le prendre encore plus profond alors que sa bite envahit déjà complètement ma bouche distendue.

Je m’enhardis à ouvrir encore plus grand la bouche et d’avaler de toutes mes forces la colonne noire, jusqu’à – à ma grande surprise – parvenir au bout, le nez contre le pubis odorant de Claire qui est une telle récompense. J’évacue rapidement un début de nausée contre ma glotte, en me retirant doucement, à presque ressortir. Puis je repars à l’assaut des profondeurs très fier de moi… Je suis récompensé d’un premier geignement de ma belle Maîtresse.

Je fais cela quelques fois, en me rythmant sur ses gémissements. J’ai trouvé le bon rythme. Claire relâche sa main et me laisse faire à descendre et remonter le long de hampe. Elle se laisse aller aux vibrations que mes succès lui procurent.

C’est à ce moment que son téléphone beuze sur vibrateur. Claire m’arrête à moitié empalé sur la bite et décroche.

- Oui bonjour ma mimi… oui c’est parti chez nous… et c’est très bon… il est divinement doué comme suceur de queue… un vrai petit PD.   et chez vous ? Ok… il est à 4 pattes sur la table du salon… et tu es prête à le traire… attend je lui explique ce qu’il va se passer…

Ce qu’elle fait. Hervé a été gardé sous clé depuis notre retour du ski pour son « dressage ». Comme Emilie est satisfaite de ses progrès, elle lui accorde au bout de 8 jours d’enfermement une traite intermédiaire. Le veinard ! Mais je ne comprends pas en quoi cela me concerne…

- Oh tout simplement parce que c’est son éjaculation a lui qui déterminera mon éjaculation dans ta bouche, via le téléphone d’Emilie, relié au mien et par Bluetooth à la télécommande du gode !

Comment des humaines peuvent inventer de tels mécanismes. L’humiliation de l’un déterminée par le plaisir d’un autre… Je me rembrunis un peu.

Claire m’a remis au rythme de suçage de sa main. J’ai perdu ce plaisir à sucer « son » pénis, qui redevient un ridicule phallus de plastique qui m’écarte la mâchoire. Et en plus soumis à la roulette russe ! Je ne sais pas si je vais tout prendre à ce mouvement ou à l’autre. Heureusement que cela procure du plaisir à Claire car sinon cela serait totalement ridicule...

Hervé à l’autre bout, tient étrangement bien et à ce jeu, c’est Claire qui va jouir la première entre les massages que je lui procure et l’écoute attentive du plaisir monter chez notre copain. Sa main se fait plus câline d’encouragement et me redonne un peu de confiance. D’ailleurs c’est le seul but utile : la faire jouir, en pompant à fond le manche de plastique. Je l’entends se troubler et bientôt gémir son plaisir.  Hervé joint en concert dans le téléphone de ses râles. J’aime moins : on dirait un pourceau. Claire y est presque, quelques pompages encore et je vais arriver à la faire exploser… j’entends Hervé crier son plaisir montant… je la sens se crisper… sa main me scelle les lèvres contre son pubis… et elle explose de plaisir au moment même où Hervé jouit en bruits et que la soupape du gode noire se libère… 

J’ai senti la pression dans le gode qui a augmenté légèrement. Il a aussi grossi en diamètre, mais le temps de comprendre ce que cela annonçait, le flot de sperme – mon sperme – en pression me surprend à s’insinuer contre ma langue, mon palais, le fond de ma gorge… Il y a tellement qu’il s’échappe et coule le long de mon menton. 

J’essaye de déglutir mais n’y arrive pas la bouche pleine. Je ne veux pas décevoir Claire… Je me recule un instant pour avaler un bon coup avant de venir aspirer les dernières gouttes restées au bout du gode. Je suis fier d’avoir surmonté cette épreuve !  Le goût dans ma bouche est celui du sperme – je ne suis pas aussi introverti que cela, même si j’en suis pas fan – mais avec quelque chose de plus faisandé que mon sperme frais. Le plus désagréable  est cette sensation pâteuse, collante qui me tapisse l’intérieur de la bouche, mais finalement pas si insurmontable que cela… Mais c’est de moi, de ma production. Qu’en sera-t-il le jour que je crois possible où cela sera celui d’un autre ? Sera-ce-t-il aussi facilement acceptable ?

En tout cas, Claire est radieuse : j’ai obéi ; je ne suis pas défilé. Elle vient soigneusement racler sur mon visage les filets de sperme échappés qu’elle me donne à sucer sur son doigt, avant de m’embrasser goulûment et de partager avec le moi le reste de son éjaculation. C’est primitif et cela devrait être apaisant d’être en contact, comme un gros câlin. Mais non : je n’ai pas aimé me faire voler ma pipe par un stupide mécanisme D/S et je boude !

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:42

20 février

Du fond de mon placard, j’entends Claire ouvrir le bar et servir 2 verres... La soirée commence à être un peu longue dans le noir et le chauffage a du passer en mode nuit : j’ai frisonne maintenant dans mon réduit.

- A la tienne, Martine !

- Merci Claire. Tout à l’heure, pour le gode ceinture tu as un peu menti ? Tu l’as déjà testé sur ton Pierre ?

Aie ! Elle ne va pas quand même le dire !

- Oui j’en ai acheté un le mois dernier et je l’ai immédiatement essayé sur son cul … 

C’est un choc d’humiliation totale et infini d’entendre Claire avouer voir même revendiquer le fait qu’elle porte la culotte (et le phallus !) dorénavant à la maison. C’est la panique aussi dans ma tête ! Maintenant qu’une le sait tout le monde va la savoir. Quand on détient un scoop comme cela, cela diffuse à la vitesse d’une fusée. Comment vais-je pouvoir survivre ? Pouvoir continuer à me regarder dans la glace ?

- ma conclusion est que j’adore. C’est follement excitant de lui prendre le cul, de sentir la puissance d’avoir envie une bite ! J’ai tellement aimé que j’en ai racheté aussitôt un autre qui peut grossir ou vibrer selon mes envies. D’ailleurs Pierre venait de se le prendre quand que vous êtes arrivées… J’en ai encore la chatte humide…

- Yeah. Et lui qu’est-ce que cela lui fait ?  

- Il est compliqué dans sa tête. Mais je crois qu’il aime bien être humilié de devoir prendre « ma » queue. Après je crois que cela dépend de la taille… Quand « je » ne suis pas trop gros… il prend un pied de femelle et se mets à couiner sous mes va et viens… Après avec une taille plus importante, c’est plus difficile… C’est plus proche d’une épreuve de m’accueillir et il crie, pleure même parfois, quand j’y vais trop fort…

Et là aussi elle y a va trop fort verbalement et mes larmes coulent dans mon réduit. Cela doit s’entendre car les 2 femmes ont arrêtées de parler. Et Claire se doit d’agir dans l’urgence… Mais pas ce que j’attendais : elle met en route un  disque de jazz sur la chaîne hifi pour masquer mes chouinements  au lieu de venir me réconforter dans ses bras ! Cela finit de me désespérer au haut point alors que je comprends qu’elle resserre un cliquet supplémentaire autour de ma soumission… Je ne reconnais plus ma Claire !

- Il a le zizi en cage quand tu lui prends le cul ?

- Oui. Et de toute façon, elle est devenue permanente depuis le début de l’année… c’est devient peu à peu un des fondements que je veux pour le futur de notre couple…

Je suis mortifié encore et encore. Comment peut-elle dire à la terre toute entière ce qu’elle me fait subir ? Comment peut-elle aussi clairement revendiquer unilatéralement  de prendre l’ascendant dans notre couple ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ?

- Tu veux dire quoi par permanente ?

- Il reste enfermé 24/24 tout simplement. Je me suis organisée pour qu’il ne puisse pas en sortir avant des semaines. 

- Des semaines ? Tu lui fais prendre parfois l’air ?

- Non, pas de sortie : Il reste enfermé derrière ses barreaux. Il est libre de couler quand je lui baise le cul, mais pour l’instant il n’a pas encore éjaculé dans cette situation. Mais pour le pénis, c’est pas touche depuis le 31 décembre ! Et cela donne déjà le ton de cette année où son zizi verra rarement le jour…

- Quoi aucune éjaculation depuis tout ce temps ? C’est physiquement pas possible…

- C’est ce qu’ils veulent nous faire croire nos petits mâles. Mais moi j’ai la preuve sous mes yeux qu’au bout de 8 semaines de non crachat de zizi, il est encore là et ne s’est pas desséché ! Je suis allez voir sur internet, et il y a des femmes dominantes qui se limitent à un crachat tous les 6 mois depuis des années…

Tous les 6 mois !!! Misère ! Le noir du réduit chancelle autour de mon corps nu… je suis si là et accablé…

- Mais arrêtons de parler de moi. Tu voulais me parler de quelque chose… Allez dis-moi tout ! 

- On ne peut rien te cacher… C’est Paul et Zacharie… je n’arrive plus à les faire cohabiter… ils deviennent jaloux l’un de l’autre… pourtant je les aime autant l’un que l’autre…

- Ce n’est pas nouveau cela. Je sais que toi, tu penses que tout doit couler de source naturellement. Mais si tu t’éloignes un instant pour regarder de l’extérieur votre situation, ce n’est pas si évident. Tu es mariée depuis plus de 30 ans à Paul qui t’aime et que tu aimes. Oui je sais le sexe avec lui cela n’a jamais été cela… du moins pas comme tu l’aurais voulu. Tu es donc allé voir « ailleurs » assez tôt, avant de fixer sur Zacharie qui t’enfile 2 fois par semaine la chatte et le cul depuis, combien de temps maintenant, 3 ans ?

- Non, on vient de fêter nos 4 ans…

- Et encore heureusement que tes enfants sont grands et vivent leur vie ailleurs maintenant… bon là qu’est ce qu’il ne va plus ?

- La femme de Zacharie vient de lui demander le divorce ! Il est d’accord et dans 3 semaines, tout sera signé…

- Aie, pas bon cela ! En matière infidèle, les conjoints et les enfants ont toujours été la meilleure garantie que le cloisonnement des amours tienne… Donc là, Zacharie en veut plus comme par hasard ? Et Paul redoute que tu le laisses tomber ?

- Oui, au fond c’est cela…

- Et toi qu’est-ce que tu veux ?

- Mais rien. Que cela reste comme nous étions avant. Cela marchait si bien… Là je ne sais plus comment faire avec mes 2 hommes… avec les engueulades en plus… Je connais Paul depuis l’enfance. C’est une amitié qui s’est transformée en amour. Il a été un père formidable pour nos 3 enfants. C’est un merveilleux compagnon de vie mais côté intellectuel. Mais côté sexe ce n’était plus cela. Je sais bien que ce n’est pas de sa faute, si la nature ne l’a pas bien pourvu et qu’il n’est pas doué à ce servir de son petit robinet… mais moi avec l’âge, je m’aperçois que l’XXL bien dur, y’a pas mieux. D’ailleurs tu devrais t’y mettre vu comment ton Pierre est  si mal monté…

Cela ne peut que m’accabler encore et encore. D’ailleurs une des choses que m’a appris le BDSM à la maison, c’est de reconnaître que j’en avais une petite, si petite qu’elle peut rentrer dans une petite cage. D’ailleurs c’est plus souvent ce type de petites queues qui se retrouvent en cage… Quelque part c’est déstabilisant pour l’ego masculin, mais si maintenant c’est sur la place publique ! J’en pleure d’autant d’humiliation. Rien ne me sera épargné ce soir.

 - Oui sa taille n’est pas son plus grand avantage. Mais comme ton Paul, il ne peut rien et n’est pas responsable. Je l’ai bien trouvé suffisante pour l’épouser à l’époque… C’est vrai aussi qu’avec l’âge, la dureté et la durée de l’érection laisse de plus en plus à désirer. Mais j’en ai fait mon deuil, en nous faisant évoluer vers une sexualité plus variée et cela fait longtemps que je n’ai pas autant mouillé.

La réponse de ma Claire ne me plait qu’à moitié. C’est dur d’entendre que l’on est peu pourvu pour un homme… même si je le sais déjà au fond de moi-même…

- Tu n’as jamais eu envie de te prendre une plus belle queue ?

- Evidemment. Comme je suis sûre que lui aimerait essayer avec un homme, vu comme il jouit déjà du cul avec une queue factice. Il est fait pour se prendre de la queue ! D’ailleurs, j’en étais quasi sûre avant de lui dépuceler le popotin…

Cela me fait l’effet d’un choc ! Moi, j’aurais des tendances homos ?!?  Et j’ai l’impression qu’elle me parle directement là, me forçant à regarder en face une évidence.  Claire a toujours été une accoucheuse de vérité très douée. Son intuition se trompe rarement, surtout me concernant.  J’essaye de mon côté d’avoir un raisonnement rationnel… Oui il est indéniable maintenant que je suis excité d’avoir mon cul baisé. C’est Claire qui tient le gode. Est-ce que c’est parce que ma femme bouscule tous les tabous conjugaux ? Ou est-ce à la base parce que j’aime avoir quelque chose dans cet endroit, que je désirerai bientôt moins factice et plus vivant ? Je rougis sous l’émotion de l’évidence de la réponse qui m’accable… et je sais que, malheureusement, la petite graine qu’elle vient de m’implanter ne va cesser de grandir… Je n’ai jamais su être mesuré dans mes envies… c’était déjà le cas pour la cage… Et je paye tout cash ce soir !

- … donc si un jour je réalise mon fantasme de grosses queues… cela sera en plein partage avec Pierre… que l’amant nous baise tous les 2. Je n’imagine pas de le faire autrement…

- Alors que me conseilles-tu de faire avec Paul et Zacharie ?

- Je suppose que tu ne veux choisir aucun des deux au détriment de l’autre ?

- Non, cela m’est impossible !

- Alors condamnée au ménage à trois ! …. Humm laisse-moi réfléchir… Zacharie a des enfants à ce que je me souviens bien…

- Oui 13, 15 et 17 ans. Leur couple marchait bien au départ. C’est elle qui l’a trompé la première. Pas pour le sexe car là-dessus elle devait être aussi comblée qu’il me comble. Mais c’est plus c’est au niveau complicité intellectuelle que cela s’est étiolé au fil des années. C’est un peu l’inverse à Paul et Moi, très satisfait par la complicité et le sexe qui bloque. Eux c’est le contraire… 

- Pourquoi Zacharie est inintéressant quand il a fini de te mettre sa queue ?

- Non, je ne peux pas dire cela… Il a une vraie personnalité. Mais ce n’est pas la richesse de ce que Paul me donne… c’est vrai aussi que je connais Paul depuis l’enfance… Zacharie a commencé à voir ailleurs une fois qu’il a compris que sa femme n’arrêterait pas. Et ils ont tenus quelques années comme nous, dans cet équilibre. Cependant l’amant de sa femme est maintenant veuf  et il lui a proposé de refaire leur vie ensemble. Elle a accepté après réflexion et Zacharie trouve finalement cela dans l’ordre des choses de l’évolution de leur couple… Ils se séparent bon amis.

- Bon tu as déjà une moitié de réponse. Il est urgent de donner du temps au temps et la présence des enfants nécessite qu’il garde son propre logement. Si la séparation n’est pas conflictuelle, une garde partagée est même probable. Cela t’évitera d’avoir tes 2 hommes dans les pattes en permanence et d’assister au combat de coqs !

- J’étais arrivée à la même conclusion. Mais je fais comment quand ils seront libres tous les 2 ?

- Comme je t’ai dit, tu t’embarques dans un ménage à trois. Un ménage cela nécessite une relation entre ses membres.  Là pour l’instant tu es leur point focal et tout passe par toi. Cela va t’épuiser à la longue… Je crois qu’il faut créer une sorte de relation entre ton Paul et ton Zacharie, sinon c’est le crash assuré… Ils se connaissent bien ?

- Très peu. Ce n’était jusqu’à présent pas nécessaire… Et même c’est gênant à chaque fois, j’ai l’impression d’être une fillette que les parents divorcés se refilent….

- Et bien c’est la première chose qu’il faut faire, je crois : établir une relation de confiance entre eux, pour que tout ne te retombe pas sur les épaules et que tu sentes en confiance dans ton atypique ménage à 3 …

- Je fais comment ?

- Tu les prends tous les 2 dans ton lit… l’autre doit être un choc… qu’ils intègrent qu’ils doivent te partager… mais pas chez toi ! Dans un lieu neutre… lors d’un week-end. Tu fous tes enfants chez tes parents et tu vous lances ! Et vous prenez du plaisir ensemble à trois au pieu…

- Ils ne vont pas vouloir !

- Pour toute leurs vies, non. Mais pour un week-end, ils peuvent bien faire un effort s’ils veulent chacun te garder… il faut qu’ils prennent conscience qu’ils vont devoir te partager ou sinon… 

Je suis estomaqué des idées que peut avoir ma Claire et qui me résonne dans ma situation actuelle comme autant de mises en garde, auxquelles cependant je ne pourrais me soustraire… 

- Je pense que le point crucial, c’est le retour. Cela ne va pas être facile pour chacun de trouver sa place… avec toi…  je suis en live là… mais je me lance… il te faut créer une relation entre eux… entre 2 hommes aux profils très différents… et qu’est-ce qui permet de prendre le contrôle des hommes… leurs queue ! Ou plutôt quand et comment ils peuvent la faire cracher… c’est là que réside la nature des hommes… il faut que tu les rendes interdépendants sur ce sujet…

- Comment ?

- D’une manière différente pour chacun bien sûr. Paul n’est pas très branché sexe. Il n’est pas parti quand tu as eu une relation suivie avec Zacharie… alors je crois qu’il a tout d’une âme soumise… alors tu vas en tirer partie… fini les branlettes décevantes dans ton dos… Tu vas lui sortir le grand jeu : plus d’amour à la papa/maman comme tu cèdes dans tes remords… Mais la bite en cage, les hommages entre tes cuisses, et même le gode ceinture. Il est pire que Pierre dans sa relation à sa sexualité et tu vas en profiter…

J’en prends plein la gueule ce soir… En ricoché, cela me ramène à ma propre situation et me démontre que vraiment rien n’est laissé au hasard. Je suis celui qui a introduit le loup dans le couple, la cage et l’envie de D/S. Pendant des années, j’ai mené la danse mais là j’assiste à une révolution de Palais que je n’ai pas vu venir… que je prends ce soir en pleine face… Claire est devenue indépendante et déterminée dans ses envies de domination… je l’ai tant souhaité et quand cela arrive finalement : cela me perturbe et me fait si peur maintenant de devenir autant dépendant !

- Mais le point clé, est que la cage et donc la possibilité d’éjaculer ne dépendra pas de toi mais de l’amant ! Cela crée une première relation entre Paul et Zacharie.

- Elle est à sens unique…

- Non car Zacharie ne va pas habiter avec vous. Il le faut ! Paul sera chargé d’organiser tes rencontres sur l’oreiller avec lui. Ne faiblis pas  sur ce point ! C’est un contre-pouvoir particulièrement efficace qui assurera la stabilité à 3. Après tu peux tout imaginer : mettre ton Zacharie lui aussi sous cage que tu contrôleras ou établir un revival de votre week-end initiatique au lit tous les mois. Là je ne peux plus t’aider : à toi de voir ce qu’il leur faut à tous les 2 !

- Oh merci Claire. Tu me reboostes tant… Tu es vraiment une amie sage et formidable…

- Un autre Armagnac ?

Je suis libéré de mon placard après le départ de Martine... Je suis gêné et incapable de parler…  Pas besoin de toute façon, Claire parle pour deux.

- Alors mon Amour, cela t’a plu d’espionner les conversations entre filles ? Et dire que vous pensez que nous sommes trop prudes ! Maintenant tu sais ce que nous disons derrière vos dos… et tes oreilles ont du siffler.

En temps normal, je répondrais oui. C’est un fantasme de pouvoir espionner les discussions entre les filles. Mais là cette soirée sonne le glas des mes illusions. Ce n’est pas un jeu sexuel, auquel me fait jouer Claire. Mais une modification radicale des conditions de notre couple, sans qu’elle m’est consulté. Qu’est-ce que j’ai fais pour mériter cela ? Comment est-elle devenue du jour au lendemain une Maîtresse femme déterminée ?

Claire me regarde nu dans mon tablier. Je dois être pitoyable car elle a un temps d’arrêt et fait la moue. Mes yeux restent humides d’avoir été autant bafoués…

- Qu’est que tu peux être compliqué comme homme ! Tu m’emmerdes depuis des années pour que je devienne ta Maîtresse SM et le jour où cela arrive, où je me sens à l’aise dans ce rôle, tu tires la tronche…Non la D/S conjugale ce n’est pas ce que tu veux et quand tu veux ! Non la D/S conjugale ce n’est pas que du plaisir !

Je tire ostensiblement la gueule ! Elle soupire, se colle contre mon dos et ses doigts viennent caresser mon sexe encagé. Je ressens ses doigts comme un viol et je me hais de me laisser exciter entre les barreaux. Car la bête réagit immédiatement aux caresses et gonfle dans son espace réduit, à vouloir en déborder. Les doigts savent comment lui faire rendre grâce et jubilent quand je mets à couler ! Un doigt  vient alors racler le bout de métal de la cage. Elle me sourit à sentir mon « humidité »… Avant de me le donner à sucer… Je suis définitivement humilié !

- Tu vois que tu ne sais plus me résister… ouais tu as bien raison… c’est trop excitant de jouer la petite Maîtresse cruelle avec toi… même pour moi. Je me suis laissé aller plus loin que je l’avais prévu, mais aucun regret ! J’étais bien  humide à plusieurs moments clés, et pas de la langue de mon chéri pour me sécher l’entrejambe !

A ce stade, j’aurais besoin d’y enfoncer avec délice une obéissante langue soumise comme on eut s’accrocher au radeau familier dans la tempête. Je la regarde avec espoir qu’elle me l’ordonne… Mais Claire baille…

- Désolé, trop crevée ce soir …

Mon regard devient très triste alors que mon espoir est cassé…

- Ah les soumis sont complexes et les Maîtresses pas toujours à la hauteur… Bon, je vais m’occuper de toi… avant d’aller me coucher… Range s’il te plait le reste de blanquette… Tu t’occuperas demain de desservir la table… cela peut bien attendre…

Heureux d’avoir de nouveau son attention, je me dépêche de le faire, avant de revenir au pied de ma Maîtresse. Elle m’enlève le tablier, avant de m’ordonner d’aller chercher ma laisse. Je battrais de la queue si je pouvais… Je reviens vite avec « ma » laisse que Claire attache à mon collier.

- A 4 pattes, mon toutou !

Je suis si heureux. Je n’hésite même pas quand Claire ouvre la porte de la cuisine à l’arrière de la maison. Je la suivrais jusqu’au bout de l’enfer, même dans le froid glacial ce soir. Elle a mis son manteau avant de sortir et m’amène jusqu’au premier arbre dans le jardin. Je peux être vu par les voisins, mais je m’en fous ce soir ! J’ai totalement basculé sur une autre planète dont Claire est la Reine !

- Allez fait tes besoins, mon chien à moi ! J’ai froid…

Je lève fièrement ma jambe pour pisser à travers la cage.

- Non pas en chien, tu vas en mettre partout, en chienne…

Je mets un temps à comprendre qu’elle veut que je pisse au garrot. Dommage j’aimais bien l’idée de pisser en mâle canin… La laisse est trop lâche à mon goût… je l’aimerais plus serrée, plus exigeante… et j’ai du mal à ouvrir les vannes…

Claire baille de nouveau alors que nous rentrons dans la maison.

- Allons nous coucher maintenant… la soirée a été suffisamment intense pour nous deux…

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:38

Le corps se relâche enfin, apaisé, comblé, après une dernière tétanisation dans les limbes du plaisir féminin infini. J’ai bien travaillé ou plutôt j’ai bien été dirigé. La version de Madame, quand elle me tient le sexe encagé, est déterminée sur la façon du comment et du quand elle obtient sa félicité. J’ai été frustré de la langue contre son intimité, où je voulais tant m’enivrer de son goût, de son odeur… Non cela sera mes doigts et uniquement eux, m’a-t’Elle annoncé, avant de les commander au combat pour son propre compte…

Sa tête se love dans son nid favori, dans le creux de mon épaule. Sa main traîne sur mon sexe enfermé, petit garçon redevenu bien sage qui sait qu’il n’aura rien. Je suis en phase, heureux pour Elle, heureux pour Nous.

- Tu as envie d’une petite pipe ?

La question me surprend et me déstabilise. Est-ce un piège subtil ? A faire mourir d’étouffement un sexe dans sa cage dorée. Déjà, il trésaille et m’invite à répondre un petit oui, peu rassuré et s’attendant à être bafoué.

Mais non le corps bascule, roule sur lui-même, vers la table de chevet et en revient avec la clé ! La proposition était donc sérieuse ! La couette est réajustée pour finir de me découvrir et abriter de sa chaleur ce corps qui bascule de nouveau jusqu’à ce que je sente entre les barreaux le souffle chaud, affolant, d’une bouche chasseresse... Les doigts titillent délicieusement l’enfermé. Je me concentre à ne pas me laisser à trop grossir pour ne pas gâcher ma chance qui après tout existe peut-être. Elle préfère depuis toujours me cueillir petit pour me faire grossir au chaud…

La clé tourne dans le verrou et j’ai la chance de me voir les barreaux retirés. L’anneau est coulissé, l’attache sur le côté pour ne pas perturber. Le temps se fige un instant dans mon sentiment inquiet de ne pas être sorti de la cage suffisamment propre pour une bouche aussi pure. Peut-être devrais-je aller me la laver en vitesse ? Mais pas la possibilité, les lèvres avalent ce qu’elles sont venues chercher. Que cette chaleur humide est formidable ! Je me laisse aller à un premier soupir…

D’aucuns pourraient trouver l’acte de fellation comme une soumission. Cela peut l’être parfois… Mais là, il s’agit d’une volonté déterminée de possession de moi et de me faire perdre tout contrôle. Sous les suçons, léchages, titillages, entourages, petits mordillements, je ne sais plus immédiatement où donner du gémissement. Je me relâche la tête en arrière et me laisse aller à la volonté de la caresse, vite renforcée d’une main traîtresse qui vient masser avec une telle douceur les couilles meurtries par 10 jours de cage.

La séquence est longue, très longue, décervelante. Elle m’amène aux bords de l’abîme, la tension dans le bas ventre, avec ce désir d’y tomber, enfin. Définitivement. Mais au dernier moment, d’un changement de rythme ou de pression, le bord de précipice recule et je n’arrive pas à basculer. Là j’en suis sûr, cela ne peut pas manquer, je vais partir au bout de ce divin suçon de gland… J’halète mon plaisir arrivant de plus en plus fort, de plus en plus passionné, jusqu’au dernier instant où les dents viennent doucher mon espoir. Je viens d’être repris en laisse…

La bouche juge, après ce pic volé, qu’il est plus sage de me laisser redescendre. Je râle de la voir me priver de sa chaleur et de sentir le froid de la pièce sur la peau excitée de la hampe. Je crains la fin quand Madame m’agace à partir à la chasse au bouton sur mes cuisses. Je déteste cela et encore plus maintenant, je grogne et gagne qu’on laisse mes boutons en paix…

Mais pas question qu’Elle abandonne sa proie. Une étrange phase de massage sexuel commence. Les couilles sont cernées, entourées et rassemblées, ou séparées. J’adore. En symétrie, le sexe qui a perdu un peu de rigidité déçue, est contenu, enroulé sur lui-même et abrité au creux de la main, avant d’être de nouveau branlé en pincettes. Je suis aux Anges et veut l’encourager à ne surtout pas arrêter, d’un doigt à traîner sur sa rondelle. Madame apprécie et cela me vaut de retrouver un peu de la chaleur des lèvres, oh juste un peu, sur le bout pendant que les mains continue de s’occuper… c’est vrai que cela doit être rigolo de jouer avec le zizi d’un garçon… à la peau si fine… et à l’élasticité étonnante…

Je suis bien à me laisser manipuler, à moitié dur, à moitié doux. Une source continue d’excitation bienfaisante qui me fait perdre tout envie d’être autre chose qu’un jouet entre Ses mains… et peu à peu cela bascule de nouveau, la bouche se fait plus présente, les mains plus pressantes. Je monte de nouveau en tension, en gémissements, en râles. Je suis totalement sous le charme… L’abîme de désir s’approche et recule. Je désire tant que de m’y laisser enfin basculer ! 

Une dernière enfournée profonde dans les tréfonds humides. Je suis dur, si excité, avide de partir, étonné aussi qu’Elle veuille me recueillir la source. J’halète de plus en plus fort, prêt à hurler. Voilà j’y suis presque… encore un instant… qui m’est volé. La bouche se retire d’un coup et me laisse aucune autre sensation que le vide de sensations autour de mon sexe.

Je viens de comprendre. Je n’ai été rarement aussi dur et dressé. J’offre, ou plutôt je quémande, le service de mon sexe, dans un nouveau coin au chaud…

- Non, non, pas besoin. Tes doigts m’ont suffisamment comblée.

Je la regarde en chien abattu…

- Ne soit pas déçu, c’est le jeu de la cage après tout. Et à t’attendre gémir, je t’ai donné bien du plaisir…

Elle me donne une pichenette sur le bout du phallus…

- Allez on laisse un peu ramollir cela et retour en cage jusqu’à la prochaine fois.

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:36

Jusqu’à présent le temps était au vanille à la maison depuis plusieurs mois, ou plutôt au couple trop occupé par le reste de la vie en dehors du sexe. J’avais bien reçu une carte de ma Dame, fin janvier, pour mes 45 ans qui me promettait 45 coups de fouets, 45 coups de cannes, 45 jours de cage, 45 jours de chasteté, au choix ou le tout ensemble qui m’avait donné quelques frissons, mais rien n’a suivi ensuite, jusqu’à la semaine dernière, où j’ai posé une récup alors que ma femme était à la maison.
La journée a superbement commencé, puisque j’ai pu dormir tout mon sou pendant que ma femme gérait tout que les enfants prenaient leurs cars pour l’école. Mon café chaud m’attendait même à mon réveil… le rêve du pacha en récup. Il n’y avait que cette petite ombre au tableau….
- Bon je m’en vais mon chéri. Je dois passer au laboratoire et à la banque. Mais garde un œil sur Couple sur ton téléphone…
Couple est une espèce de facebook pour deux, à code PIN, qui permet d’échanger sans que les enfants puissent tomber dessus par « hasard ». C’est chez nous réservé aux échanges sexuels et donc assez hard.
Je suis allez prendre ma douche pour passer à la poste. Les messages sont arrivés pendant que j’y étais et je les ai découverts à l’envers. Des corvées à faire avant son retour, mais surtout le premier message que j’ai découvert à la fin :
"Tu ouvres la caisse noire dans la véranda. Tu mets tout ce que tu y trouves"
Dans ma tête ma Dame m’avait préparé le costume habituel de servante à Madame. J’ai eu aucun mal à trouver la caisse de plastique noire, que j’ai ouverte juste avant de partir à la poste. La grande caisse était quasi vide à l’exception de ce que j’ai pris d’abord pour une ceinture neuve pour enfant. Il y avait encore l’attache pour les rayons dessus.
Déboussolé, je n’ai rien compris de ce que je devais en faire. Je n’ai pas regardé plus en avant, pressé de passer à la poste pour en être débarrassé…
Ce n’est que sur le chemin en voiture que j’ai compris. Je ne suis pas habituellement impressionnable, mais j’ai du devenir pivoine dans la voiture :oops: :oops: . Et j’ai même failli partir au fossé. Ce que je croyais être une bizarre ceinture pour enfant devait être un collier pour petit mari ! Ma Dame me voulait habillé que d’ un unique collier ! De quoi me faire définitivement rougir tout en m’excitant follement…
J’ai un peu tergiversé à mon retour à obéir à son envie. Le moment où je dois me déshabiller totalement me fait toujours basculer dans les méandres de mon esprit tortueux. Le collier était le collier d’une chienne noire, avec des strass paillettes. Mon collier de mes 45 ans comme elle dira plus tard, acheté depuis plusieurs semaines.
Je me suis attelé à batailler à étendre d’une lessive de chaussettes et slips et culottes d’enfants. Celle qui prend 3 fois plus de temps que les lessives de chemises et qui fait vite suer un soumis. Je crois que c’était fait exprès, mais il parait que non…
J’étais en pause dans les toilettes pour une occupation « lourde » matinale quand Madame est rentrée. Bien sûr, elle m’a cherché et appelé. J’ai répondu d’une petite voix que j’étais aux toilettes. 
J'ai hésité à sortir. Quand je suis sorti, j’ai eu droit à l’habituelle prise de pouvoir de ma Dame faite de gifles à vous faire baiser les yeux. Suivi d’instructions très précises de ce qu’elle voulait voir ou ne pas voir disposé sur le lit de la chambre d’amis. En particulier, elle voulait que je passe immédiatement mes couilles dans l’anneau, mais surtout pas la cage…
J’ai décidé de rester silencieux sur le reste, sur nos relations au « vif du sujet ». Cependant il y a certaines choses qui méritent d’être partagées :j’ai reçu, s sur mes fesses et mon dos, 45 coup de divers instruments que j’ai pris pour l’échauffement avant le fouet ou la canne craints. Madame m’a demandé si je voulais qu’elle continue. J’ai répondu oui, vu qu’il n’y avait pas d’autre réponse possible et que je suis fidèle à mes fantasmes. Mais le fouet et la canne ne sont pas arrivés. A la place ma Dame m’a pénétré l’urètre des tiges qu’elle adore .C’est un des plaisirs, limite douleur, qu’elle adore me faire. La boule qui monte et descend dans le conduit, est comme une éjaculation figée. L’esprit et le corps reconnaissent la sensation mais ne comprennent pas pourquoi elle ne’aboutit jamais. J’étais sur les charbons ardents, avide de d’enfin partir. Souvent je pars de sa main à me branler le long de la tige qui pénètre mon sexe. Mais pas cette fois. Je l’ai regardée un peu frustré m’enfermer sous clé, pour une durée que j’ignore…

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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