Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:42

20 février

Du fond de mon placard, j’entends Claire ouvrir le bar et servir 2 verres... La soirée commence à être un peu longue dans le noir et le chauffage a du passer en mode nuit : j’ai frisonne maintenant dans mon réduit.

- A la tienne, Martine !

- Merci Claire. Tout à l’heure, pour le gode ceinture tu as un peu menti ? Tu l’as déjà testé sur ton Pierre ?

Aie ! Elle ne va pas quand même le dire !

- Oui j’en ai acheté un le mois dernier et je l’ai immédiatement essayé sur son cul … 

C’est un choc d’humiliation totale et infini d’entendre Claire avouer voir même revendiquer le fait qu’elle porte la culotte (et le phallus !) dorénavant à la maison. C’est la panique aussi dans ma tête ! Maintenant qu’une le sait tout le monde va la savoir. Quand on détient un scoop comme cela, cela diffuse à la vitesse d’une fusée. Comment vais-je pouvoir survivre ? Pouvoir continuer à me regarder dans la glace ?

- ma conclusion est que j’adore. C’est follement excitant de lui prendre le cul, de sentir la puissance d’avoir envie une bite ! J’ai tellement aimé que j’en ai racheté aussitôt un autre qui peut grossir ou vibrer selon mes envies. D’ailleurs Pierre venait de se le prendre quand que vous êtes arrivées… J’en ai encore la chatte humide…

- Yeah. Et lui qu’est-ce que cela lui fait ?  

- Il est compliqué dans sa tête. Mais je crois qu’il aime bien être humilié de devoir prendre « ma » queue. Après je crois que cela dépend de la taille… Quand « je » ne suis pas trop gros… il prend un pied de femelle et se mets à couiner sous mes va et viens… Après avec une taille plus importante, c’est plus difficile… C’est plus proche d’une épreuve de m’accueillir et il crie, pleure même parfois, quand j’y vais trop fort…

Et là aussi elle y a va trop fort verbalement et mes larmes coulent dans mon réduit. Cela doit s’entendre car les 2 femmes ont arrêtées de parler. Et Claire se doit d’agir dans l’urgence… Mais pas ce que j’attendais : elle met en route un  disque de jazz sur la chaîne hifi pour masquer mes chouinements  au lieu de venir me réconforter dans ses bras ! Cela finit de me désespérer au haut point alors que je comprends qu’elle resserre un cliquet supplémentaire autour de ma soumission… Je ne reconnais plus ma Claire !

- Il a le zizi en cage quand tu lui prends le cul ?

- Oui. Et de toute façon, elle est devenue permanente depuis le début de l’année… c’est devient peu à peu un des fondements que je veux pour le futur de notre couple…

Je suis mortifié encore et encore. Comment peut-elle dire à la terre toute entière ce qu’elle me fait subir ? Comment peut-elle aussi clairement revendiquer unilatéralement  de prendre l’ascendant dans notre couple ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ?

- Tu veux dire quoi par permanente ?

- Il reste enfermé 24/24 tout simplement. Je me suis organisée pour qu’il ne puisse pas en sortir avant des semaines. 

- Des semaines ? Tu lui fais prendre parfois l’air ?

- Non, pas de sortie : Il reste enfermé derrière ses barreaux. Il est libre de couler quand je lui baise le cul, mais pour l’instant il n’a pas encore éjaculé dans cette situation. Mais pour le pénis, c’est pas touche depuis le 31 décembre ! Et cela donne déjà le ton de cette année où son zizi verra rarement le jour…

- Quoi aucune éjaculation depuis tout ce temps ? C’est physiquement pas possible…

- C’est ce qu’ils veulent nous faire croire nos petits mâles. Mais moi j’ai la preuve sous mes yeux qu’au bout de 8 semaines de non crachat de zizi, il est encore là et ne s’est pas desséché ! Je suis allez voir sur internet, et il y a des femmes dominantes qui se limitent à un crachat tous les 6 mois depuis des années…

Tous les 6 mois !!! Misère ! Le noir du réduit chancelle autour de mon corps nu… je suis si là et accablé…

- Mais arrêtons de parler de moi. Tu voulais me parler de quelque chose… Allez dis-moi tout ! 

- On ne peut rien te cacher… C’est Paul et Zacharie… je n’arrive plus à les faire cohabiter… ils deviennent jaloux l’un de l’autre… pourtant je les aime autant l’un que l’autre…

- Ce n’est pas nouveau cela. Je sais que toi, tu penses que tout doit couler de source naturellement. Mais si tu t’éloignes un instant pour regarder de l’extérieur votre situation, ce n’est pas si évident. Tu es mariée depuis plus de 30 ans à Paul qui t’aime et que tu aimes. Oui je sais le sexe avec lui cela n’a jamais été cela… du moins pas comme tu l’aurais voulu. Tu es donc allé voir « ailleurs » assez tôt, avant de fixer sur Zacharie qui t’enfile 2 fois par semaine la chatte et le cul depuis, combien de temps maintenant, 3 ans ?

- Non, on vient de fêter nos 4 ans…

- Et encore heureusement que tes enfants sont grands et vivent leur vie ailleurs maintenant… bon là qu’est ce qu’il ne va plus ?

- La femme de Zacharie vient de lui demander le divorce ! Il est d’accord et dans 3 semaines, tout sera signé…

- Aie, pas bon cela ! En matière infidèle, les conjoints et les enfants ont toujours été la meilleure garantie que le cloisonnement des amours tienne… Donc là, Zacharie en veut plus comme par hasard ? Et Paul redoute que tu le laisses tomber ?

- Oui, au fond c’est cela…

- Et toi qu’est-ce que tu veux ?

- Mais rien. Que cela reste comme nous étions avant. Cela marchait si bien… Là je ne sais plus comment faire avec mes 2 hommes… avec les engueulades en plus… Je connais Paul depuis l’enfance. C’est une amitié qui s’est transformée en amour. Il a été un père formidable pour nos 3 enfants. C’est un merveilleux compagnon de vie mais côté intellectuel. Mais côté sexe ce n’était plus cela. Je sais bien que ce n’est pas de sa faute, si la nature ne l’a pas bien pourvu et qu’il n’est pas doué à ce servir de son petit robinet… mais moi avec l’âge, je m’aperçois que l’XXL bien dur, y’a pas mieux. D’ailleurs tu devrais t’y mettre vu comment ton Pierre est  si mal monté…

Cela ne peut que m’accabler encore et encore. D’ailleurs une des choses que m’a appris le BDSM à la maison, c’est de reconnaître que j’en avais une petite, si petite qu’elle peut rentrer dans une petite cage. D’ailleurs c’est plus souvent ce type de petites queues qui se retrouvent en cage… Quelque part c’est déstabilisant pour l’ego masculin, mais si maintenant c’est sur la place publique ! J’en pleure d’autant d’humiliation. Rien ne me sera épargné ce soir.

 - Oui sa taille n’est pas son plus grand avantage. Mais comme ton Paul, il ne peut rien et n’est pas responsable. Je l’ai bien trouvé suffisante pour l’épouser à l’époque… C’est vrai aussi qu’avec l’âge, la dureté et la durée de l’érection laisse de plus en plus à désirer. Mais j’en ai fait mon deuil, en nous faisant évoluer vers une sexualité plus variée et cela fait longtemps que je n’ai pas autant mouillé.

La réponse de ma Claire ne me plait qu’à moitié. C’est dur d’entendre que l’on est peu pourvu pour un homme… même si je le sais déjà au fond de moi-même…

- Tu n’as jamais eu envie de te prendre une plus belle queue ?

- Evidemment. Comme je suis sûre que lui aimerait essayer avec un homme, vu comme il jouit déjà du cul avec une queue factice. Il est fait pour se prendre de la queue ! D’ailleurs, j’en étais quasi sûre avant de lui dépuceler le popotin…

Cela me fait l’effet d’un choc ! Moi, j’aurais des tendances homos ?!?  Et j’ai l’impression qu’elle me parle directement là, me forçant à regarder en face une évidence.  Claire a toujours été une accoucheuse de vérité très douée. Son intuition se trompe rarement, surtout me concernant.  J’essaye de mon côté d’avoir un raisonnement rationnel… Oui il est indéniable maintenant que je suis excité d’avoir mon cul baisé. C’est Claire qui tient le gode. Est-ce que c’est parce que ma femme bouscule tous les tabous conjugaux ? Ou est-ce à la base parce que j’aime avoir quelque chose dans cet endroit, que je désirerai bientôt moins factice et plus vivant ? Je rougis sous l’émotion de l’évidence de la réponse qui m’accable… et je sais que, malheureusement, la petite graine qu’elle vient de m’implanter ne va cesser de grandir… Je n’ai jamais su être mesuré dans mes envies… c’était déjà le cas pour la cage… Et je paye tout cash ce soir !

- … donc si un jour je réalise mon fantasme de grosses queues… cela sera en plein partage avec Pierre… que l’amant nous baise tous les 2. Je n’imagine pas de le faire autrement…

- Alors que me conseilles-tu de faire avec Paul et Zacharie ?

- Je suppose que tu ne veux choisir aucun des deux au détriment de l’autre ?

- Non, cela m’est impossible !

- Alors condamnée au ménage à trois ! …. Humm laisse-moi réfléchir… Zacharie a des enfants à ce que je me souviens bien…

- Oui 13, 15 et 17 ans. Leur couple marchait bien au départ. C’est elle qui l’a trompé la première. Pas pour le sexe car là-dessus elle devait être aussi comblée qu’il me comble. Mais c’est plus c’est au niveau complicité intellectuelle que cela s’est étiolé au fil des années. C’est un peu l’inverse à Paul et Moi, très satisfait par la complicité et le sexe qui bloque. Eux c’est le contraire… 

- Pourquoi Zacharie est inintéressant quand il a fini de te mettre sa queue ?

- Non, je ne peux pas dire cela… Il a une vraie personnalité. Mais ce n’est pas la richesse de ce que Paul me donne… c’est vrai aussi que je connais Paul depuis l’enfance… Zacharie a commencé à voir ailleurs une fois qu’il a compris que sa femme n’arrêterait pas. Et ils ont tenus quelques années comme nous, dans cet équilibre. Cependant l’amant de sa femme est maintenant veuf  et il lui a proposé de refaire leur vie ensemble. Elle a accepté après réflexion et Zacharie trouve finalement cela dans l’ordre des choses de l’évolution de leur couple… Ils se séparent bon amis.

- Bon tu as déjà une moitié de réponse. Il est urgent de donner du temps au temps et la présence des enfants nécessite qu’il garde son propre logement. Si la séparation n’est pas conflictuelle, une garde partagée est même probable. Cela t’évitera d’avoir tes 2 hommes dans les pattes en permanence et d’assister au combat de coqs !

- J’étais arrivée à la même conclusion. Mais je fais comment quand ils seront libres tous les 2 ?

- Comme je t’ai dit, tu t’embarques dans un ménage à trois. Un ménage cela nécessite une relation entre ses membres.  Là pour l’instant tu es leur point focal et tout passe par toi. Cela va t’épuiser à la longue… Je crois qu’il faut créer une sorte de relation entre ton Paul et ton Zacharie, sinon c’est le crash assuré… Ils se connaissent bien ?

- Très peu. Ce n’était jusqu’à présent pas nécessaire… Et même c’est gênant à chaque fois, j’ai l’impression d’être une fillette que les parents divorcés se refilent….

- Et bien c’est la première chose qu’il faut faire, je crois : établir une relation de confiance entre eux, pour que tout ne te retombe pas sur les épaules et que tu sentes en confiance dans ton atypique ménage à 3 …

- Je fais comment ?

- Tu les prends tous les 2 dans ton lit… l’autre doit être un choc… qu’ils intègrent qu’ils doivent te partager… mais pas chez toi ! Dans un lieu neutre… lors d’un week-end. Tu fous tes enfants chez tes parents et tu vous lances ! Et vous prenez du plaisir ensemble à trois au pieu…

- Ils ne vont pas vouloir !

- Pour toute leurs vies, non. Mais pour un week-end, ils peuvent bien faire un effort s’ils veulent chacun te garder… il faut qu’ils prennent conscience qu’ils vont devoir te partager ou sinon… 

Je suis estomaqué des idées que peut avoir ma Claire et qui me résonne dans ma situation actuelle comme autant de mises en garde, auxquelles cependant je ne pourrais me soustraire… 

- Je pense que le point crucial, c’est le retour. Cela ne va pas être facile pour chacun de trouver sa place… avec toi…  je suis en live là… mais je me lance… il te faut créer une relation entre eux… entre 2 hommes aux profils très différents… et qu’est-ce qui permet de prendre le contrôle des hommes… leurs queue ! Ou plutôt quand et comment ils peuvent la faire cracher… c’est là que réside la nature des hommes… il faut que tu les rendes interdépendants sur ce sujet…

- Comment ?

- D’une manière différente pour chacun bien sûr. Paul n’est pas très branché sexe. Il n’est pas parti quand tu as eu une relation suivie avec Zacharie… alors je crois qu’il a tout d’une âme soumise… alors tu vas en tirer partie… fini les branlettes décevantes dans ton dos… Tu vas lui sortir le grand jeu : plus d’amour à la papa/maman comme tu cèdes dans tes remords… Mais la bite en cage, les hommages entre tes cuisses, et même le gode ceinture. Il est pire que Pierre dans sa relation à sa sexualité et tu vas en profiter…

J’en prends plein la gueule ce soir… En ricoché, cela me ramène à ma propre situation et me démontre que vraiment rien n’est laissé au hasard. Je suis celui qui a introduit le loup dans le couple, la cage et l’envie de D/S. Pendant des années, j’ai mené la danse mais là j’assiste à une révolution de Palais que je n’ai pas vu venir… que je prends ce soir en pleine face… Claire est devenue indépendante et déterminée dans ses envies de domination… je l’ai tant souhaité et quand cela arrive finalement : cela me perturbe et me fait si peur maintenant de devenir autant dépendant !

- Mais le point clé, est que la cage et donc la possibilité d’éjaculer ne dépendra pas de toi mais de l’amant ! Cela crée une première relation entre Paul et Zacharie.

- Elle est à sens unique…

- Non car Zacharie ne va pas habiter avec vous. Il le faut ! Paul sera chargé d’organiser tes rencontres sur l’oreiller avec lui. Ne faiblis pas  sur ce point ! C’est un contre-pouvoir particulièrement efficace qui assurera la stabilité à 3. Après tu peux tout imaginer : mettre ton Zacharie lui aussi sous cage que tu contrôleras ou établir un revival de votre week-end initiatique au lit tous les mois. Là je ne peux plus t’aider : à toi de voir ce qu’il leur faut à tous les 2 !

- Oh merci Claire. Tu me reboostes tant… Tu es vraiment une amie sage et formidable…

- Un autre Armagnac ?

Je suis libéré de mon placard après le départ de Martine... Je suis gêné et incapable de parler…  Pas besoin de toute façon, Claire parle pour deux.

- Alors mon Amour, cela t’a plu d’espionner les conversations entre filles ? Et dire que vous pensez que nous sommes trop prudes ! Maintenant tu sais ce que nous disons derrière vos dos… et tes oreilles ont du siffler.

En temps normal, je répondrais oui. C’est un fantasme de pouvoir espionner les discussions entre les filles. Mais là cette soirée sonne le glas des mes illusions. Ce n’est pas un jeu sexuel, auquel me fait jouer Claire. Mais une modification radicale des conditions de notre couple, sans qu’elle m’est consulté. Qu’est-ce que j’ai fais pour mériter cela ? Comment est-elle devenue du jour au lendemain une Maîtresse femme déterminée ?

Claire me regarde nu dans mon tablier. Je dois être pitoyable car elle a un temps d’arrêt et fait la moue. Mes yeux restent humides d’avoir été autant bafoués…

- Qu’est que tu peux être compliqué comme homme ! Tu m’emmerdes depuis des années pour que je devienne ta Maîtresse SM et le jour où cela arrive, où je me sens à l’aise dans ce rôle, tu tires la tronche…Non la D/S conjugale ce n’est pas ce que tu veux et quand tu veux ! Non la D/S conjugale ce n’est pas que du plaisir !

Je tire ostensiblement la gueule ! Elle soupire, se colle contre mon dos et ses doigts viennent caresser mon sexe encagé. Je ressens ses doigts comme un viol et je me hais de me laisser exciter entre les barreaux. Car la bête réagit immédiatement aux caresses et gonfle dans son espace réduit, à vouloir en déborder. Les doigts savent comment lui faire rendre grâce et jubilent quand je mets à couler ! Un doigt  vient alors racler le bout de métal de la cage. Elle me sourit à sentir mon « humidité »… Avant de me le donner à sucer… Je suis définitivement humilié !

- Tu vois que tu ne sais plus me résister… ouais tu as bien raison… c’est trop excitant de jouer la petite Maîtresse cruelle avec toi… même pour moi. Je me suis laissé aller plus loin que je l’avais prévu, mais aucun regret ! J’étais bien  humide à plusieurs moments clés, et pas de la langue de mon chéri pour me sécher l’entrejambe !

A ce stade, j’aurais besoin d’y enfoncer avec délice une obéissante langue soumise comme on eut s’accrocher au radeau familier dans la tempête. Je la regarde avec espoir qu’elle me l’ordonne… Mais Claire baille…

- Désolé, trop crevée ce soir …

Mon regard devient très triste alors que mon espoir est cassé…

- Ah les soumis sont complexes et les Maîtresses pas toujours à la hauteur… Bon, je vais m’occuper de toi… avant d’aller me coucher… Range s’il te plait le reste de blanquette… Tu t’occuperas demain de desservir la table… cela peut bien attendre…

Heureux d’avoir de nouveau son attention, je me dépêche de le faire, avant de revenir au pied de ma Maîtresse. Elle m’enlève le tablier, avant de m’ordonner d’aller chercher ma laisse. Je battrais de la queue si je pouvais… Je reviens vite avec « ma » laisse que Claire attache à mon collier.

- A 4 pattes, mon toutou !

Je suis si heureux. Je n’hésite même pas quand Claire ouvre la porte de la cuisine à l’arrière de la maison. Je la suivrais jusqu’au bout de l’enfer, même dans le froid glacial ce soir. Elle a mis son manteau avant de sortir et m’amène jusqu’au premier arbre dans le jardin. Je peux être vu par les voisins, mais je m’en fous ce soir ! J’ai totalement basculé sur une autre planète dont Claire est la Reine !

- Allez fait tes besoins, mon chien à moi ! J’ai froid…

Je lève fièrement ma jambe pour pisser à travers la cage.

- Non pas en chien, tu vas en mettre partout, en chienne…

Je mets un temps à comprendre qu’elle veut que je pisse au garrot. Dommage j’aimais bien l’idée de pisser en mâle canin… La laisse est trop lâche à mon goût… je l’aimerais plus serrée, plus exigeante… et j’ai du mal à ouvrir les vannes…

Claire baille de nouveau alors que nous rentrons dans la maison.

- Allons nous coucher maintenant… la soirée a été suffisamment intense pour nous deux…

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:38

Le corps se relâche enfin, apaisé, comblé, après une dernière tétanisation dans les limbes du plaisir féminin infini. J’ai bien travaillé ou plutôt j’ai bien été dirigé. La version de Madame, quand elle me tient le sexe encagé, est déterminée sur la façon du comment et du quand elle obtient sa félicité. J’ai été frustré de la langue contre son intimité, où je voulais tant m’enivrer de son goût, de son odeur… Non cela sera mes doigts et uniquement eux, m’a-t’Elle annoncé, avant de les commander au combat pour son propre compte…

Sa tête se love dans son nid favori, dans le creux de mon épaule. Sa main traîne sur mon sexe enfermé, petit garçon redevenu bien sage qui sait qu’il n’aura rien. Je suis en phase, heureux pour Elle, heureux pour Nous.

- Tu as envie d’une petite pipe ?

La question me surprend et me déstabilise. Est-ce un piège subtil ? A faire mourir d’étouffement un sexe dans sa cage dorée. Déjà, il trésaille et m’invite à répondre un petit oui, peu rassuré et s’attendant à être bafoué.

Mais non le corps bascule, roule sur lui-même, vers la table de chevet et en revient avec la clé ! La proposition était donc sérieuse ! La couette est réajustée pour finir de me découvrir et abriter de sa chaleur ce corps qui bascule de nouveau jusqu’à ce que je sente entre les barreaux le souffle chaud, affolant, d’une bouche chasseresse... Les doigts titillent délicieusement l’enfermé. Je me concentre à ne pas me laisser à trop grossir pour ne pas gâcher ma chance qui après tout existe peut-être. Elle préfère depuis toujours me cueillir petit pour me faire grossir au chaud…

La clé tourne dans le verrou et j’ai la chance de me voir les barreaux retirés. L’anneau est coulissé, l’attache sur le côté pour ne pas perturber. Le temps se fige un instant dans mon sentiment inquiet de ne pas être sorti de la cage suffisamment propre pour une bouche aussi pure. Peut-être devrais-je aller me la laver en vitesse ? Mais pas la possibilité, les lèvres avalent ce qu’elles sont venues chercher. Que cette chaleur humide est formidable ! Je me laisse aller à un premier soupir…

D’aucuns pourraient trouver l’acte de fellation comme une soumission. Cela peut l’être parfois… Mais là, il s’agit d’une volonté déterminée de possession de moi et de me faire perdre tout contrôle. Sous les suçons, léchages, titillages, entourages, petits mordillements, je ne sais plus immédiatement où donner du gémissement. Je me relâche la tête en arrière et me laisse aller à la volonté de la caresse, vite renforcée d’une main traîtresse qui vient masser avec une telle douceur les couilles meurtries par 10 jours de cage.

La séquence est longue, très longue, décervelante. Elle m’amène aux bords de l’abîme, la tension dans le bas ventre, avec ce désir d’y tomber, enfin. Définitivement. Mais au dernier moment, d’un changement de rythme ou de pression, le bord de précipice recule et je n’arrive pas à basculer. Là j’en suis sûr, cela ne peut pas manquer, je vais partir au bout de ce divin suçon de gland… J’halète mon plaisir arrivant de plus en plus fort, de plus en plus passionné, jusqu’au dernier instant où les dents viennent doucher mon espoir. Je viens d’être repris en laisse…

La bouche juge, après ce pic volé, qu’il est plus sage de me laisser redescendre. Je râle de la voir me priver de sa chaleur et de sentir le froid de la pièce sur la peau excitée de la hampe. Je crains la fin quand Madame m’agace à partir à la chasse au bouton sur mes cuisses. Je déteste cela et encore plus maintenant, je grogne et gagne qu’on laisse mes boutons en paix…

Mais pas question qu’Elle abandonne sa proie. Une étrange phase de massage sexuel commence. Les couilles sont cernées, entourées et rassemblées, ou séparées. J’adore. En symétrie, le sexe qui a perdu un peu de rigidité déçue, est contenu, enroulé sur lui-même et abrité au creux de la main, avant d’être de nouveau branlé en pincettes. Je suis aux Anges et veut l’encourager à ne surtout pas arrêter, d’un doigt à traîner sur sa rondelle. Madame apprécie et cela me vaut de retrouver un peu de la chaleur des lèvres, oh juste un peu, sur le bout pendant que les mains continue de s’occuper… c’est vrai que cela doit être rigolo de jouer avec le zizi d’un garçon… à la peau si fine… et à l’élasticité étonnante…

Je suis bien à me laisser manipuler, à moitié dur, à moitié doux. Une source continue d’excitation bienfaisante qui me fait perdre tout envie d’être autre chose qu’un jouet entre Ses mains… et peu à peu cela bascule de nouveau, la bouche se fait plus présente, les mains plus pressantes. Je monte de nouveau en tension, en gémissements, en râles. Je suis totalement sous le charme… L’abîme de désir s’approche et recule. Je désire tant que de m’y laisser enfin basculer ! 

Une dernière enfournée profonde dans les tréfonds humides. Je suis dur, si excité, avide de partir, étonné aussi qu’Elle veuille me recueillir la source. J’halète de plus en plus fort, prêt à hurler. Voilà j’y suis presque… encore un instant… qui m’est volé. La bouche se retire d’un coup et me laisse aucune autre sensation que le vide de sensations autour de mon sexe.

Je viens de comprendre. Je n’ai été rarement aussi dur et dressé. J’offre, ou plutôt je quémande, le service de mon sexe, dans un nouveau coin au chaud…

- Non, non, pas besoin. Tes doigts m’ont suffisamment comblée.

Je la regarde en chien abattu…

- Ne soit pas déçu, c’est le jeu de la cage après tout. Et à t’attendre gémir, je t’ai donné bien du plaisir…

Elle me donne une pichenette sur le bout du phallus…

- Allez on laisse un peu ramollir cela et retour en cage jusqu’à la prochaine fois.

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 12:36

Jusqu’à présent le temps était au vanille à la maison depuis plusieurs mois, ou plutôt au couple trop occupé par le reste de la vie en dehors du sexe. J’avais bien reçu une carte de ma Dame, fin janvier, pour mes 45 ans qui me promettait 45 coups de fouets, 45 coups de cannes, 45 jours de cage, 45 jours de chasteté, au choix ou le tout ensemble qui m’avait donné quelques frissons, mais rien n’a suivi ensuite, jusqu’à la semaine dernière, où j’ai posé une récup alors que ma femme était à la maison.
La journée a superbement commencé, puisque j’ai pu dormir tout mon sou pendant que ma femme gérait tout que les enfants prenaient leurs cars pour l’école. Mon café chaud m’attendait même à mon réveil… le rêve du pacha en récup. Il n’y avait que cette petite ombre au tableau….
- Bon je m’en vais mon chéri. Je dois passer au laboratoire et à la banque. Mais garde un œil sur Couple sur ton téléphone…
Couple est une espèce de facebook pour deux, à code PIN, qui permet d’échanger sans que les enfants puissent tomber dessus par « hasard ». C’est chez nous réservé aux échanges sexuels et donc assez hard.
Je suis allez prendre ma douche pour passer à la poste. Les messages sont arrivés pendant que j’y étais et je les ai découverts à l’envers. Des corvées à faire avant son retour, mais surtout le premier message que j’ai découvert à la fin :
"Tu ouvres la caisse noire dans la véranda. Tu mets tout ce que tu y trouves"
Dans ma tête ma Dame m’avait préparé le costume habituel de servante à Madame. J’ai eu aucun mal à trouver la caisse de plastique noire, que j’ai ouverte juste avant de partir à la poste. La grande caisse était quasi vide à l’exception de ce que j’ai pris d’abord pour une ceinture neuve pour enfant. Il y avait encore l’attache pour les rayons dessus.
Déboussolé, je n’ai rien compris de ce que je devais en faire. Je n’ai pas regardé plus en avant, pressé de passer à la poste pour en être débarrassé…
Ce n’est que sur le chemin en voiture que j’ai compris. Je ne suis pas habituellement impressionnable, mais j’ai du devenir pivoine dans la voiture :oops: :oops: . Et j’ai même failli partir au fossé. Ce que je croyais être une bizarre ceinture pour enfant devait être un collier pour petit mari ! Ma Dame me voulait habillé que d’ un unique collier ! De quoi me faire définitivement rougir tout en m’excitant follement…
J’ai un peu tergiversé à mon retour à obéir à son envie. Le moment où je dois me déshabiller totalement me fait toujours basculer dans les méandres de mon esprit tortueux. Le collier était le collier d’une chienne noire, avec des strass paillettes. Mon collier de mes 45 ans comme elle dira plus tard, acheté depuis plusieurs semaines.
Je me suis attelé à batailler à étendre d’une lessive de chaussettes et slips et culottes d’enfants. Celle qui prend 3 fois plus de temps que les lessives de chemises et qui fait vite suer un soumis. Je crois que c’était fait exprès, mais il parait que non…
J’étais en pause dans les toilettes pour une occupation « lourde » matinale quand Madame est rentrée. Bien sûr, elle m’a cherché et appelé. J’ai répondu d’une petite voix que j’étais aux toilettes. 
J'ai hésité à sortir. Quand je suis sorti, j’ai eu droit à l’habituelle prise de pouvoir de ma Dame faite de gifles à vous faire baiser les yeux. Suivi d’instructions très précises de ce qu’elle voulait voir ou ne pas voir disposé sur le lit de la chambre d’amis. En particulier, elle voulait que je passe immédiatement mes couilles dans l’anneau, mais surtout pas la cage…
J’ai décidé de rester silencieux sur le reste, sur nos relations au « vif du sujet ». Cependant il y a certaines choses qui méritent d’être partagées :j’ai reçu, s sur mes fesses et mon dos, 45 coup de divers instruments que j’ai pris pour l’échauffement avant le fouet ou la canne craints. Madame m’a demandé si je voulais qu’elle continue. J’ai répondu oui, vu qu’il n’y avait pas d’autre réponse possible et que je suis fidèle à mes fantasmes. Mais le fouet et la canne ne sont pas arrivés. A la place ma Dame m’a pénétré l’urètre des tiges qu’elle adore .C’est un des plaisirs, limite douleur, qu’elle adore me faire. La boule qui monte et descend dans le conduit, est comme une éjaculation figée. L’esprit et le corps reconnaissent la sensation mais ne comprennent pas pourquoi elle ne’aboutit jamais. J’étais sur les charbons ardents, avide de d’enfin partir. Souvent je pars de sa main à me branler le long de la tige qui pénètre mon sexe. Mais pas cette fois. Je l’ai regardée un peu frustré m’enfermer sous clé, pour une durée que j’ignore…

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 08:56

19 février

Quelle soirée hier !

La journée avait parfaitement commencé avec la fierté au réveil d’avoir offert tant de plaisir la veille à Claire avec le gode noir. Cela a beau être à la base une humiliation et une négation de mon sexe, j’étais quand même quelque part aux manettes et j’ai adoré l’idée de pouvoir la remplir enfin complètement avec « mon » sexe !

Donc j’ai passée la journée très heureux de notre évolution. Je me suis demandé si c’était la même chose pour Hervé avec Emilie ? Je n’ai pas eu de nouvelles depuis que je l’ai laissé à la gare à Lyon. J’ai essayé de l’appeler. J’ai envoyé des SMS. Aucune réponse… Je tente une nouvelle fois à l’heure de midi, toujours en vain.

Par contre Claire me demande par un SMS reçu en début d’après midi, de passer à la Poste récupérer un paquet avant de rentrer. Notre Poste fermant à 18h, je ne dois donc pas traîner ce soir au travail... 

J’arrive à la maison peu avant 18 heures. Comme tous les jours actuellement, j’enlève mes vêtements avant de les ranger soigneusement, ce qui sera remis le lendemain, dans la penderie de l’entrée et mettre le reste au linge sale. Je boucle mon collier de soumis qui m’attend autour d’une patère avant de me diriger à la cuisine.

Une note m’attend sur la table de la cuisine accompagnée d’une recette imprimée. C’est l’écriture de Claire. Personne n’écrit plus aujourd’hui à la main et Claire pas plus qu’une autre. Par contre, sa version Maîtresse adore laisser des consignes manuscrites à l’encre noire à son petit mari soumis !


« J’espère que tu n’as pas oublié de passer à la Poste… Tu laisses le colis sur la table, je m’en occuperai à mon retour…

Tu prépares une blanquette de veau pour ce soir. Je t’ai choisi la recette la plus facile, à faire au Kooker. Fais attention : ne la rate pas comme celle de la dernière fois !

Tu mettras le nouveau tablier que je t’ai acheté pour que j’aie la joie de mater des charmantes petites fesses encadrées à mon retour. Tu le trouveras suspendu au crochet dans l’arrière cuisine.

Maîtresse Claire 

PS : tu mets aussi immédiatement ton rosebud dans ton petit trou d’Amour, et tu sors notre gode noir avec mon porte gode, que tu sois bien disponible du cul quand je rentrerai. Car je pense que ce soir, je serais d’humeur à faire l’Amour à mon petit mari dès mon arrivée … »


L’écriture de Claire est nette et décidée. Tout comme sa façon de m’annoncer à l’avance comment elle va me traiter, déclenchant toujours le même mélange d’appréhension en haut et de veule excitation en bas qui fait tant baver du zizi…

Je regarde avec interrogation le paquet que j’ai posé sur la table. Sa taille ne me donne aucun indice. Je le soupèse. Assez léger en fait.  Cela ne m’en apprend guère plus comme l’expéditeur : une société KTC à Ris-Orangis inconnue. Alors bonne ou mauvaise surprise, je ne sais pas. Et même pas si c’est lié à nos activités D/S… Et pourtant cela ne peut pas être un hasard si cela  je devais aller impérativement le chercher à la Poste avant de rentrer… Frustrant tout cela !

Je me concentre sur la préparation des accessoires. Le gode et le porte ceinture que je pose sur la table à côté du paquet. Je n’oublie pas la télécommande. Très humiliant de devoir préparer ses propres instruments de contraintes. Je me graisse dans la salle de bain la rondelle d’un index honteux ainsi que le rosebud, très attentivement et avec de la crème grasse si je ne veux pas devenir « sec » au bout d’une heure… Je me regarde dans la glace au-dessus du lavabo. L’idée de faire tout cela pour que Claire puisse immédiatement m’enfiler à mon retour m’est dérangeante, humiliante même. Je n’aime pas en fait me voir dans le miroir être tombé si bas, à me contorsionner pour faire avaler le plug dans mon derrière… Je grimace quand il passe l’anneau…

Je m’attends au pire pour mon nouveau tablier et j’ai raison : une femme stylisée qui prend au gode un homme en levrette avec le slogan « MA FEMME PORTE LA CULOTTE A LA MAISON ». C’est de circonstance et un rappel de ce qu’il m’est promis. J’ai beau m’y attendre, j’ai toujours autant de mal à m’accepter dans cette vision résumée de notre couple actuellement… Sensation que le plug dans mon cul rend encore plus présente en ce moment.

Je m’attèle au découpage des oignons, des carottes. Il faut normalement 35 minutes pour préparer cette recette – c’est ce que dit l’auteur – mais je mets au final 2 fois plus de temps à tout préparer et lancer, avant de pouvoir relâcher un peu de pression alors que la recette cuit. J’ai goûté pour vérifier que tout était bien poivré et salé avant de fermer le couvercle. Cela me parait bien… mais cela ira-t-il à Claire ?

Je suis en train de faire la vaisselle dans l’évier quand Claire rentre. Il est 19h30 et elle arrive manifestement plus tard que désiré. Je veux m’essuyer les mains pour aller la saluer.

- Non continue la vaisselle, on n’est pas en avance. Nos invités arrivent pour 20h00…

- Quels invités ?

Ne sachant pas si elle parle d’hommes ou de femmes…

- Tu verras bien…

Je crains immédiatement le pire quand on a un petit mari nu et soumis à la maison... Je me fige et Claire le voit…

- Mais non, soit rassuré, ta petite vertu sera épargnée. Mais tu ne resteras pas avec nous… heureusement car tu pourrais me faire honte… ah au fait, ne cherche pas à joindre ton copain Hervé. J’ai eu Emilie et il est trop occupé en ce moment… d’ailleurs il ne peut pas te répondre… Emilie lui a confisqué son smartphone et mis un code parental sur l’ordinateur…

Je n’arrive pas à me contrôler et éviter de faire une tête d’ahuri qui fait doucement sourire Claire.

- … tu ne croyais quand même pas qu’Emilie allait en rester là ? Un petit tour en cage et puis terminé : on revient à la vie de pacha d’avant ?

En fait si… quel idiot, je peux être !

- Non quelque part Emilie est beaucoup plus déterminée que je peux l’être vis-à-vis de sa moitié. Et le fait que ton copain ait si longtemps résisté, n’a en rien fait baisser sa motivation. Elle est rentrée avec enthousiasme dans la période de débourrage de mari… 

Claire me perd.

- Dé… bourrage ?

- Tu n’es quand même pas aussi inculte que cela ? Le débourrage est le fait de faire accepter à un jeune cheval les contraintes et le cavalier,  et de l’habituer à obéir aux ordres du cavalier. Tu comprends mieux là ? Il y a deux méthodes : la méthode douce qui joue sur le temps – c’est un peu ce que j’ai fait - et la méthode dure, plus rapide mais plus violente… c’est vu ce qu’elle me raconte et montre, celle qu’elle a choisi de faire… mais bon, je vois que tu es allé chercher ton colis… c’est bien… nous avons juste le temps…

Je veux me retourner.

- Non tu gardes tes mains sur le bord de l’évier !

J’obéis mais ne peux m’empêcher de me contorsionner pour voir ce que Claire peut trafiquer… elle ouvre le colis avec précaution et regarde dedans…  mais elle n’en sort rien. Ou pas encore ? Non elle s’équipe à la place de son gode-ceinture à disposition. Claire est rapidement derrière moi, à tirer sur le rosebud qui lui barre l’accès. Il résiste mais cède finalement sa position, avant de finir dans l’eau du bac à vaisselle sous mes yeux. Une main se pose sur ma nuque pour me forcer à me courber au-dessus de l’évier. Je m’agite un peu. Claire me chuchote dans l’oreille…

- Calme, même si tu ne le veux pas, tu te la prendras ce soir… mais je préférerais de loin que tu la désires… que tu me désires… Réclame-moi !

Ses mots me touchent dans ma faiblesse. Oui  j’ai envie de sentir SA queue en moi qui me fascine et me fait peur en même temps. Je murmure que je la désire, là tout de suite, au fond de moi… 

Claire s’insinue immédiatement et cela rentre comme dans du beurre. Je gémis en petite salope de la longueur qui m’envahit et commence à aller et venir.

- Et bien je vois que l’on s’est bien excité et élargi sur son rosebud à attendre sa Maîtresse ! Mais il ne faudrait pas que la queue dans le cul te devienne trop facile… petit cochon trop excité de se faire mettre par sa femme !

Aussitôt la queue se dilate dans mon cul en largeur et en longueur. Elle devient beaucoup moins confortable, plus exigeante et m’arrache une grimace douloureuse. 

- Et comme cela ? Cela t’excite toujours autant de te la prendre ? Tu sens sa puissance ? Tu sens comme elle te baise en puissance ? Ce n’est pas gémissements de pucelle en chaleur que j’ai envie ce soir, mais des émois effarouchés d’un petit mari soumis en train de se prendre la queue de sa femme !

Claire entreprend de me défoncer le cul en grande profondeur. Les mouvements du gode dans mes entrailles sont dévastateurs. Je geins sous les coups de buttoir, non de plaisir, mais parce que je n’ai pas d’autre choix que d’exprimé ma détresse de petit mâle durement enculé par sa Maîtresse de femme ! Cela porte autant dans l’esprit que sur le corps. 

Heureusement Maîtresse Claire est pressée ce soir, et met fin à mes petits tourments au bout de quelques minutes qui m’ont paru une éternité. Je suis essoufflé et complètement dans un état de profonde soumission à la volonté de Claire.

- Pas le temps de t’envoyer ta dose en fond ce soir. Désolé pour le quick fuck… c’est dommage car cela m’excite de plus en plus de défoncer ta rondelle… j’en suis toute « émue » dans l’entrejambe… dépêche toi de finir la vaisselle, avant que nos invités arrivent… Tu nous as mis à la bourre à faire ton puceau excité. Je m’occupe de mettre la table…

Je n’ose me relever. Comment peut-on recevoir des invitées alors que je suis nu avec un collier ? Et c’est qui que Claire a invité sans m’en parler ? Des femmes ? Des hommes ? Je ne crois pas qu’elle accepterait que je pose la question et en plus elle n’est plus là, à dresser la table dans la salle à manger. Mais tout cela me fait monter une boule au ventre… Et si elle comptait m’exhiber comme son trophée de chasse ? Avec Claire, je crois maintenant tout possible…

Je viens juste de finir de laver le dernier saladier et de le ranger quand la sonnette de la porte se fait retentir. Panique totale à bord avec l’idée première de me cacher immédiatement sous le lit de notre chambre ! Mais pas la possibilité : Claire revient en se pressant…

- Tu as oublié ton rosebud au bord de l’évier ! Tourne-toi que je le range…

Mon cul sert de « rangement » et elle ne prend aucune précaution pour me le re-enfiler en force. Elle me prend le poignet et me conduit dans le réduit sous l’escalier, en passant devant la table qu’elle a dressée. Je note au passage qu’il y a 4 assiettes avant de me retrouver  dans le réduit. La sonnette re-sonne une seconde fois.

- Dépêche-toi de rentrer ! Je déteste faire attendre mes invités…

Je me retrouve nu et apeuré dans le noir du placard. Claire n’a même pas pris le temps de m’enlever le tablier. La porte qui me sépare du reste du monde n’est pas fermée et j’ai une telle trouille primale au ventre que quelqu’un l’ouvre et me découvre !

Les 3 invités sont arrivés quasi en même temps. 3 femmes ! J’espérais pouvoir m’échapper pendant qu’elles prendraient l’apéritif au salon mais Claire a vite déçu mon espérance en décrétant qu’elles le prendraient directement à table, à 2 m de mon refuge précaire ! Impossible maintenant de sortir sans apparaître comme un éléphant rose et nu au milieu du couloir…

Pas du tout rassuré, je suis aux aguets de tout bruit qui se rapprocherait trop de mon précaire placard… Je reconnais une voix, celle d’une collègue de travail de Claire, mais les 2 autres me sont inconnues. Mais toutes travaillent au même endroit : leur sujet de prédilection est le comportement et la tenue des petits mâles de leur entreprise. Et il n’y a pas à dire, cela envoie sans aucune retenue tout le début du repas que j’entends très arrosé.

Claire en tire la conclusion quand elle amène le désert…

- C’est  une superbe idée que nous avons eu de se retrouver au dehors. On peut se lâcher totalement !

- Que cela fait du bien de se défouler entre filles…. Merci à toi Claire… Au fait, tu as fait quoi pour te débarrasser de ton mari ce soir ?

Claire répond du tac au tac.

- Oh, je l’ai enfermé nu dans un placard…

Elle ne vient pas de dire cela ! Gros moment d’angoisse et petite stupeur chez les invitées qui se transforme vite en grand éclat de rire…

- … c’est vrai que cela serait plus facile de s’en débarrasser comme cela… pour ne plus les avoir entre les pattes… ils sont mignons nos ours mais prennent parfois maladroitement un peu trop de place…

- Alors tu en as fait quoi ?

- Je m’en suis débarrassée pour qu’il ne vienne pas nous gêner, c’est le principal non ? Et le pauvre n’a rien vu venir…

- Tu fais ta secrète ? Tu ne veux rien dire ?

La foutue curiosité féminine !  Je prie surtout pour qu’elle n’avoue que je me trouve là à 2 mètres de leur table… Mais celle que j’ai identifiée comme la plus timide, prend la parole pour une révélation.

- ça y est, Marc me l’a mise au cul le week-end dernier…

C’est le brouhaha général !

- Toi, Aurore, qui ne jurait que jamais, au grand jamais, tu l’accepterais ! Que c’était trop dégradant…

- Vous pouvez bien rigoler… mais c’est fait ! Je ne suis plus vierge de ce côté !

- Alors raconte…

- Il m’a d’abord baisée longtemps, comme jamais… en levrette… c’est quand j'ai joui qu'il s'est retiré et qu'il m'a mis la queue entre les fesses... d’habitude je dis non… mais là je l’ai laissé faire… pour voir… pour savoir…

- Attention, c’est du lourd les filles ! 

- J’avais peur. J’avais le cœur qui battait et je me suis rétractée un peu. Il a hésité un peu mais il s’est quand même enfoncé doucement. Et là… oh mon Dieu !

- Laisse ton Dieu, là où il est. Tu veux dire que tu as senti passer son gros zob ?

- Oh il n’est pas si gros que cela ! C’est que je lui reproche d’habitude… mais pour ce côté, il est déjà bien trop large à mon goût !

- Oh tu sais, on s’habitue à tout. C’est pour cela que j’ai pris un amant bien monté qui, comme par hasard adore me la mettre au cul !

- Laisse la queue de ton amant où elle est. Aurore n’a pas fini de nous raconter. Alors c’était comment ta première au cul ?

- Cela me fait un peu de mal de vous dire cela mais c’était bon ! C’était super bon même… j’étais dilatée, épanouie alors qu’il me ramonait le cul… c’est bizarre ce mélange de douleur, de plaisir et de honte… mais globalement j’ai adoré… oh je ne le ferais pas tous les soirs, mais une fois de temps en temps … surtout que…

Aurore se tait. Je suis aussi avide que les filles de la table de connaître la suite ! J’ai l’impression d’être devenu un voyeur caché.

- … surtout que j’ai eu mal à la rondelle pendant 3 jours !

- C’est mignon de te voir rougir, Aurore. Mais cela prouve surtout qu’il t’a bien baisé ! Tu as eu un big orgasme ?

Une toute petite voix répond.

- Oui mais cela fait quand même mal de se faire prendre par là et de cette manière…

- Oh tu t’y habitueras…

- Non Aurore a raison. Ce n’est pas parce que l’on leur offre nos culs qu’ils doivent les dévaster à chaque passage ! Surtout qu’ils peuvent très bien y aller plus doucement… Ils mériteraient qu’on leur rendre la pareille !

Claire répond…

- Tu as tout à fait raison Laetitia, vive le gode ceinture conjugal ! J’y pense d’ailleurs…

- Quoi ?

Répondent en cœur les filles et moi je me retiens de hurler !

- Cela ne vous a fait jamais envie d’avoir une queue et de voir ce que cela faisait de leur prendre leur petite vertu ?

Je suis accablé et tremble devant l’échafaud. Je suis sûr que dans quelques instants elle va ouvrir le placard pour me sodomiser devant les copines, voir même leur prêter mon cul pour essayer le gode ceinture à leur tour ! Comme la soirée est partie, cela ne peut pas être autrement !

- Je comprends que tu en es envie, te connaissant. Mais ton mari, il en penserait quoi ?

- Oh lui on s’en fout de quoi il en penserait quand je lui prendrais la petite rondelle ! Mais je crois qu’il aimerait… vu comme il a déjà un petit côté si pervers. Et puis cela devrait lui implanter quelques neurones féminins et si cela peut lui faire plus m’aider à la maison…

La conversation dérive rapidement sur nos travers à nous les hommes et sur le fait que nous « n’en foutons pas une ! ».  Je suis heureux que mon trou du cul ne soit plus au centre de leur discussion, mais cela fait quand même peur de les entendre parler avec véhémence de la paresse de leurs hommes, d’autant qu’il y a pas mal de vrai dans ce qu’elles décrivent… 

Finalement l’heure du départ arrive et Aurore veut s’échapper la première…

- Oui c’est ça ! Tu as la cramouille toute mouillée et tu veux retrouver la bonne petite queue de ton Marc !

- Mais non !

- Mais si ! On te connait quand tu es excitée. Tu as ton petit sourire aux Anges. Comme quoi, tu peux aller à la messe tout les dimanches, tu restes une bonne grosse salope qui aime se prendre de la queue !

- Tu ne peux pas dire cela : je ne suis pas comme cela !

- Mais si tu l’es. Tu es mouillée là ?

Un petit oui troublé répond.

- Et bien, tu es comme les autres. Allez va retrouver la queue de ton mari qu’il te défonce bien dans le lit conjugal. Mais comme tu as essayé de nous mentir, tu récupères un gage. Ce soir, cela ton cul que tu lui offriras !

- Vous êtes chiantes les filles… mais oui, je vais lui offrir mon cul pour la seconde fois, rien que pour vous démontrer une fois pour toute que je ne suis pas la Saint Nitouche de l’Eglise que vous croyez que je suis !

La seconde collègue ne tarde pas elle aussi à s’éclipser, mais sans gage. Il ne reste plus que Claire avec la collègue que je connais, celle qui a manifestement un amant. Et elle ne veut pas partir, la foutue fille !

-Tu m’offres un digestif Claire ?

- Oh toi tu as quelque chose qui te tracasse …

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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