Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 18:00

13 février

Mademoiselle Julie retrouve le lendemain 2 garçons exténués physiquement et moralement par leur acoquinage forcé de la nuit. Nous sommes tellement contents qu'elle libère l'attache entre nos cages, que nous n'avons nulle intention de lui rétorquer ou reprocher quoi que soit. Nous faisons au contraire profil bas, et moi le premier, me rappelant la sèche fessée de la veille.

Cela marche, car Julie nous laisse libres ce matin et nous rend même déjà nos combinaisons de skis, notre unique protection anti-nudité en ces temps difficiles. Cela a un petit air de liberté de pouvoir prendre notre petit-déjeuner presque normalement avec les autres clients de l'hôtel, surtout après une telle nuit. Nos combinaisons de ski semblent adéquates à cette heure et personne ne nous regarde de travers. Tout serait pour le mieux, si Julie n'était pas revenue me glisser à l'oreille, pendant son service, qu'elle m'attend aujourd'hui à 16h précises dans la chambre... comme hier !

Ce genre de convocation que je sais non innocente suffit à m'envoyer ailleurs toute la journée et mon ski s'en ressent, à me gameller sans cesse sur les pistes. Je ne cesse de regarder ma montre et l'angoisse monte peu à peu au ventre, malgré les tentatives d'Hervé pour me distraire. Même les vues des jolies skieuses, n'arrivent plus à me détourner de la crainte que mon retour dans la chambre sous le joug de Julie m’inspire. Et à force de le craindre, je m'y retrouve finalement à l'heure. Mademoiselle est déjà à m’attendre, dans sa tenue de service.

- Bon Pierrot, tu connais la procédure maintenant...

La honte au visage et les jambes flageolantes, j'obéis et m'installe nu dans la baignoire. Mais aujourd'hui c'est différent, car je suis immédiatement attaché du collier à la robinetterie. Cela ne promet rien de bon…

- Tiens j'ai une devinette pour toi : tu sais ce qui pue à la fois des pieds, du cul et de la chatte ?

Je connais la réponse à ce classique mais cette façon de commencer me déstabilise...

- Un collant roulé en boule, Mademoiselle ?

- Mais c'est que tu n'es pas idiot. Oui c'est cela, tu as tout à fait raison.

Elle enlève justement son collant noir : elle ne va quand même pas ?!?

- Tu vas être heureux : je n'ai pas mis de culotte exprès ce matin pour toi, et l'idée du pourquoi m'a bien fait mouiller ainsi que les courants d'air sous la jupe.  Tu devrais aimer… Allez Pierrot, tout cela est pour toi : ouvre la bouche...

Je m'y refuse, mais sa main trouve rapidement mes couilles pour m'y forcer. Je déteste immédiatement le contact du nylon synthétique contre ma langue et mon palais. Le goût est indéfinissable mais fort, vraiment pas agréable. Mon écharpe finit de me condamner au silence humiliant du soumis. 

Et mon humiliation ne fait que commencer, car ma rondelle est de nouveau huilée pour le passage de la canule. Julie commente la progression de petites tapes sur mon fessier. De nouveau l'eau chaude qui envahit mes entrailles par à-coups douloureux et bouscule tout reste de pudeur que je pourrais avoir. L'eau me travaille le corps et l'esprit, et m'amène bientôt à point, dans un état de soumission. Je quémande de nouveau ma libération, qui m'est un temps refusée, pour le plaisir de mon bourreau de chambre. 

Finalement la canule m'est retirée, et Julie me laisse seul comme la veille, sauf qu'elle finit par revenir n'en ayant pas manifestement fini avec moi. Même nettoyé à jets d'eau, je me sens sale et terriblement honteux. 

Julie me pose alors une nouvelle devinette :

- Quel est le plus long nerf du corps humain, Pierrot ?

Je connais aussi la réponse, mais là je n'ai nullement envie de répondre à mon détriment. Peine perdue, car Julie répond à ma place.

- Le nerf du poil du cul, car quand on arrache le poil, cela tire une larme aux yeux ! On vérifie ?

Julie est "armée" d'une pince à épiler, qui aujourd'hui me parait représenter la pire arme menaçante que l'on puisse imaginer. Je sursaute quand sa main écarte de ses doigts mes fesses et dévoile le sillon sans défense. Un poil est choisi au hasard, et la pince le saisit, le tord et l'arrache. Le collant étouffe mon cri dans ma bouche. Et ce n'est que la première victime, car Mademoiselle Julie m'informe de sa volonté de m'épiler complètement la raie culière ! Cela prend une heure de torture, de cris, de larmes au coin de l'œil, avant qu'elle soit enfin satisfaite du résultat qu'elle contrôle d'un doigt qui glisse dans mon sillon. J'ai cessé de compter depuis longtemps, mais cela ne m'étonnerait pas qu'elle ait arraché - à vif ! - plus de 50 poils.

- Et bien, c'est bien plus joli, tout lisse sans poil. Cela donne nettement plus envie...

Plus envie à quoi ? Julie répond à voix haute à mon questionnement silencieux.

- ... de te prendre le cul avec ma main. Là c'est la vraie demande de ton exigeante Dame. Disons que le dépoilage est un supplément gratuit que je t'ai offert, mais c'est toujours aussi rigolo de constater comment vous pouvez être douillets les garçons ! Je n'ai jamais essayé la main dans le cul d'un mec. J'avoue que je suis assez intriguée de l'effet que cela peut faire... parait même que tu as quelques entraînements en la matière...

Là c'est trop là pour moi ! Je me rebelle et me retourne comme je peux dans la baignoire pour interdire tout accès à mes fesses. Julie me regarde un brin agacée.

- Allez remets toit sagement en position ou je ne pourrais pas pratiquer...

Je fais non de la tête, effrayé. Julie soupire et ouvre l’eau froide au-dessus de mon corps.

L’eau d’abord tiède devient rapidement glaciale. Cela rapidement intenable. Je dois choisir et choisi lâchement au bout de quelques dizaines de seconde de me remettre en position pour ne plus subir cette eau qui me pétrifie corps et esprit. Me voilà de nouveau sage à 4 pattes dans la baignoire, à offrir tremblant l’accès à mes fesses.

Mon anus est amplement graissé d'un tube de vaseline "acheté cette après-midi à la pharmacie de Val Thorens spécialement à mon intention". Un premier doigt me pénètre et force la crispation qui barre l'entrée. Julie a trouvé sa position sur un tabouret au bord de la baignoire, une main au travail dans mon rectum  et l'autre en prise sur mes couilles. Le doigt maintenant coulisse librement en moi. Un second le rejoint bientôt et son entrée me tire une grimace. 

Je dois me détendre quelque peu et  à mon insu, car trois doigt me "travaillent" maintenant. Julie m'excite de son autre main sur mon sexe. Je suis étiré entre le confort d'être caressé au sexe et le déconfort des doigts qui envahissent mon cul. Ceux-là d'ailleurs ne cessent de tourner et de rechercher à m'ouvrir encore plus. Maintenant je prends les 5 doigts rassemblés en tête perforatrice. C'est irréel que j'arrive à prendre cela. La main qui m'envahit ne cesse de me travailler et de gagner millimètre par millimètre. C'est impossible qu'elle arrive à tout rentrer : cela ne passera jamais ! Et je ne le veux pas ! 

- Allez détend toi, je veux finir par la rentrer entière…

Julie a trouvé un nouvel angle de détente et me branle la bite par l'intérieur. C'est comme le gode ceinture : un mélange de plaisir et de douleur, qui rend l'esprit incapable de se rebeller. Je suis entre le paradis et l'enfer, voulant à la fois que tout s'arrête et que tout continue. Je suis incrédule à sentir ma rondelle s'écarteler de plus en plus... Mais la peur d’avoir définitivement mal quand la main passera l’emporte maintenant…

- Allez on y est presque... Respire...

La main force terriblement pour finir me pénétrer dans son intégralité. En douleur ! Elle n’y arrive pas ! Julie s’agace sur mon manque de souplesse. Je hurle le cochon écorché à vif dans mon bâillon. A La pression augmente encore contre la rondelle : elle veut la faire céder à tout prix et m’envahir définitivement !

C'est à ce moment-là qu'Hervé rentre de sa journée de ski. Il m'appelle : je ne peux pas répondre. Il ouvre fatalement la porte de salle de bain et nous trouve, la main de Julie plantée dans mon cul ! Il se dépêche de refermer la porte en bafouillant un "excusez-moi"... auquel répond Julie :

- Tu déshabilles et tu m'attends sur le lit pendant que j'en finis avec ton copain...

Elle continue quelques instants à essayer de faire rentrer sa main entière, étirant à l’extrême limite l’élasticité de ma rondelle. Mais quand cela ne veut pas, cela ne veut pas ! Par dépit, Julie enlève sans précaution ses doigts de mon cul qui ressortent en un gros "ploc". Elle m’abandonne le cul béant à ma baignoire.

Un autre désir vient de l’emporter. Les gémissements qui montent bientôt de l'action de la langue du copain, ne me laisse aucun doute sur sa nature. Moi j’ai le cul en souffrance qui essaye de se refermer pendant qu’on a l’air de s’amuser follement sur le lit. Cela discute même pas mal entre léchouilles, mais je n'arrive pas à saisir leur sujet de conversation. Pas le choix d’attendre consigné dans la baignoire qu'ils aient finis leur "affaire". Et là c’est de nouveau si frustrant d’être exclu de la fête !

Finalement, Julie revient me libérer une heure plus tard. Elle a changé de tenue : plus de costume de service. Elle me regarde me savonner de la tête aux pieds, toujours aussi sexuellement troublant pour moi.  Je me sèche alors qu’elle ramène une pile d’affaires, prélevés dans nos valises. 

- Il est temps de vous préparer. C’est mon soir de congé et nous sortons ce soir. Mais avant il faut que je joue au « Ken » avec vous.

Je ne comprends pas sa dernière remarque, jusqu’à ce qu’elle récupère l’écharpe ayant servi à me bâillonner pour me priver de la vue. Je suis habillé plutôt qu’elle m’habille d’un T-shirt à manches longues et col camionneur et  d’un pull puis caleçon et  pantalon. Et une fois prêt, je suis envoyé attendre dans la chambre et Hervé prend ma place dans la salle de bain. 

Il en ressort 10 minutes plus tard, douché et aussi impeccablement habillé par Julie.

- Je retrouve tous les vendredi soir le même groupe de copains et copines chez Patou. Ils sont saisonniers comme moi et on ne se cache rien. Je pense qu’ils vont adorer rencontrer 2 garçons comme vous. Mais avant, il reste une dernière petite perversité qu’a prévu vos chères épouses. 

C’est soirée « suppo » ce soir. Ils sont arrivés au courrier aujourd’hui. Vos femmes ont pensé à tout. Remerciez-les-en à votre retour…

En guise de suppo, cela devrait être un plug de bonne taille qui me ferme le petit trou. Mais par rapport à sa main, c'est taille mini : elle me l'enfile sans aucun problème. Je suis gratifié d’une bonne tapette sur les fesses avant que caleçon et pantalon recouvrent le tout.

Par contre, pour Hervé, c’est beaucoup plus délicat. Il essaye même de négocier mais sans succès. Je ne sais pas où il en est, avec Emilie, côté dépucelage du petit trou, mais sans doute pas très loin vu la grimace qu’il fait quand elle lui force la rondelle pour l’avalage !

Le temps de mettre nos parkas et nous devrions être prêts à sortir, sauf que pour moi le programme est différent.  Elle m’ordonne de passer ma combinaison de ski sur mes vêtements et me donne une paire de moonboots sorties de, je ne sais, où. Là encore, je n’aime pas ce genre de détail qui me différencie du sort d’Hervé…

Nous quittons la chambre et empruntons l’escalier de service désert à cette heure. Juste avant de sortir, Julie demande de l’attendre un instant. Elle revient finalement et nous nous retrouvons dehors. Je ne comprends toujours pas pourquoi je dois être en combinaison, jusqu’au moment où elle sort une laisse de chien de sa poche.

- C’est au Saint Bernard du patron et je l’ai emprunté pour la soirée.

Je comprends malheureusement trop vite son intention quand elle ouvre mon col pour accrocher le crochet à l’anneau de mon collier !

- Ce n’est pas idée de ta Claire. Mais la mienne… Cela devrait être terriblement amusant.

Je le regarde incrédule…

- Et bien en chien ! Tu portes un collier de chien ? Tu es donc un chien. Et les chiens, cela se promène en laisse et à 4 pattes !

Pas question d’obéir, cette fois là ! Pas à l’extérieur à la vue de tous ! Sans avoir eu le temps de réagir, elle me fait un croche-patte et je tombe lourdement sur le sol.

- J’ai dit à terre le chien !

Hervé ne s’offusque en rien de la demande, et semble autant s’amuser que Julie de la tournure de ma situation. Je promets de lui réserver un petit de ma chienne dès que j’en aurais l’occasion. Je ne me sens pas dans la capacité de passer outre et de me relever. D’autant que comme à chaque fois, l’humiliation m’émoustille le cerveau.

Ma progression à 4 pattes est difficile dans la neige et surtout avec le plug qui ne demande qu’à s’échapper de la béance. Nous croisons à ma grande honte quelques personnes qui me regardent très intriguées et me font détourner la tête. J’espère que le restaurant n’est pas trop loin.

Mais avant, Julie nous arrête devant le distributeur du Crédit Agricole. Elle a dans sa poche ma carte bancaire.

- Donne-moi ton code.

Je ne comprends pas…

- Oui mes services ne sont pas gratuits et c’est toi qui régale finalement…

Je pense que Claire a donné son accord avant. Je donne mon code. Je n’ai aucune idée, combien Julie me prélève pour ses « services » mais la machine fait sortir une épaisse liasse de billets aussitôt mise dans son sac…

Encore un petit calvaire à me faire promener en laisse. Je me fais même chambrer pas un groupe de jeunes au loin qui demande si le « toutou de Madame est bien sage » et nous rentrons à l’arrière de ce qui doit être le restaurant. Ce qui me libère de ma contrainte de chien et de ma combinaison de ski. J’enlève mes moonboots pour rester en chaussettes, le genre de détail qui finalement m’agace et me ramène à ma nouvelle condition.

Mais le pire vient quand je me rappelle de la présence du collier enchaîné à mon cou. Le pull est à col rond et ne cache rien. Seul le col camionneur de mon T-shirt m’apporte un semblant de dissimulation, qui si elle peut faire illusion à distance, ne peut rien faire pour moi en face en face. Je me sens terriblement gêné et un début de nouvelle panique commence à monter… Mais je n’ai pas le temps de m’y laisser aller car le rideau s’ouvre sur la salle du restaurant !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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