Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 18:00

14 février

Je n’ai pas terminé hier mon récit. J’étais en train de l’écrire en guise de compte-rendu pour Emilie (et aussi pour Claire) quand Julie est venue nous rendre nos valises et notre liberté. Pas de ski pour nous samedi comme prévu, malgré le beau temps, elle nous ordonne de rentrer retrouver nos « Maîtresses » au plus vite… Je serais bien passé outre, mais pas question pour Hervé de désobéir maintenant. Il ne me laisse pas le choix et nous quittons la station à 9h30. 

Donc me voilà de retour à la maison. Je suis seul à attendre le retour de Claire et des enfants sans doute partis faire des courses.

Hier soir, le rideau s’est ouvert sur l’arrière salle du restaurant, un espace isolé par rapport aux autres tables des convives, avec une banquette autour d’une table en rond. 3 personnes sont déjà à nous attendre, deux femmes et un homme. Nous nous les saluons et nous asseyons intercalés entre eux, en glissant nos fesses le long de la banquette de velours rouge. Le plug fiché dans mon cul me rappelle sa présence quand je me pose.

Les copain et copines de Julie, entre 25 et 30 ans comme elle, ont l’air très sympa et nous accueillent avec bonne humeur. Julie nous commande une pinte pour l’apéritif avant la raclette prévue ce soir au programme. Les 2 copines s’intéressent naturellement d’où nous venons et à ce que nous faisons. L’homme reste plus taiseux, mais la façon dont il se colle à la femme à ma gauche et lui enserre la main entre ses doigts, m’indique que les deux sont amants et sans doute depuis pas longtemps… 

Personne ne semble s’intéresser à l’épaisseur du collier sous mon col, et c’est tant mieux. Je me détends peu à peu, sans doute aidé par les vapeurs d’alcool, et le plug qui se fait oublier en mon séant. Hervé vit la même détente… A un moment, il a trop chaud et enlève son pull, ce que je n’ai pas osé encore faire. Le motif de son T-Shirt m’apparaît bizarre, un peu trashy chic, avec des lettres effacées à moitié. 

Non je ne peux pas croire à cette fourberie ! Nos femmes ont osé ! KEPT UNDER LOCK AND KEY ! C’est ce qu’il y a marqué sur son T-Shirt. Heureusement que j’ai encore mon propre pull. 

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Je jette un coup d’œil inquiet le plus discrètement possible à mes voisins. Aucun ne semble avoir remarqué ou compris le message du T-Shirt. Ouf ! J’essaye de faire comprendre à Hervé par des roulements d’yeux qu’il doit remettre son pull au plus vite. Il me regarde sans comprendre…

- Tiens salut les jeunes…

Là c’est Patou, la patronne de quasi 60 ans qui vient nous saluer. Et selon le troisième principe de la thermodynamique, qui dit que dans la vie tout devient plus merdique, elle ne rate pas le T-SHIRT d’Hervé.

- Gardé… sous cadenas et… clé ? Cela veut-dire quoi ?

Et en plus elle comprend l’anglais. Sa question attire l’attention de toute la table. Hervé qui vient d’enfin de comprendre le piège, commence à terriblement rougir et je ne suis pas plus à l’aise.

Julie, qui fait forcément partie de la conspiration, réagit plus vite que l’éclair et tend son téléphone à « Patou ».

- Oh tout simplement ça. C’est à prendre au sens littéral…

Patou étudie avec étonnement l’écran du téléphone.

- Tu me fais une blague, Juju ?

- Non je t’assure que non. C’est réel.

- C’est lui, là ? 

- Non, c’est celle de son copain, prise « en live » hier matin… L’ « autre » est sur la photo suivante…

- Mais pour quoi faire ?

- Pour ce que j’en comprends leurs femmes portent la culotte à la maison. Et elle l’applique strictement… comme un mode de vie. Parait que les maris sont plus doux après.

Maintenant toute la tablée est intriguée par l’étrange tournure de la conversation.

- C’est vrai que celui-là est un asticot qui ne doit pas servir à grande chose. Du moins c’est mon avis. L’autre est un serpent plus respectable…

- Oui mais qui, d’après sa femme, crache trop vite son venin pour être utile…

Patou gratifie Julie d’un immense sourire. Les autres sont impatients d’enfin comprendre et le téléphone circule avec intérêt de personne en personne. Cela nous vaut des regards un peu méprisants quand ils découvrent ce que nos femmes nous imposent… Je regarde mes chaussures, les joues rouges de honte.

Le téléphone arrive dans les mains de la femme à ma droite, qui regarde sans gêne la photo de mon sexe encagé avant de fixer avec lourdeur la bosse dans mon pantalon.

- C’est fou, comme truc ! Dis Juju, on peut voir en vrai ?

- Ne te gêne pas. Celui-là il adore être humilié, de toutes les manières. Tu sais cette après-midi, je lui ai presque rentré la main dans son cul.

Cela provoque des oh vifs d’étonnement, pendant que la femme ne perd pas son intention première et se saisit de ma ceinture pour la défaire. Je ne sais que faire, que répondre. Je jette un coup d’œil à Julie qui de son regard ne semble ne pas laisser le choix. La ceinture est ouverte, suivi bientôt des boutons de la braguette de mon pantalon. Sans aucune gêne, elle descend sa main sous mon caleçon à la recherche de ma bite emprisonnée. Elle jubile quand elle la débusque enfin, pendant que je trésailles émotionnellement du trouble de se sentir une main féminine inconnue sur mon intimité. Elle détermine à dégager le tout pour exhiber mon sexe encagé.

Là c’est la quasi-émeute. Je suis devenu une bête de laboratoire et tour le monde regarde mon entrejambe…

- Impressionnant !

- Comment fait-il pour bander

- Il ne peut pas… c’est le but de la contrainte.

- Donc pas de masturbation ?

- Eh, non….

- Il fait comment pour pisser ?

- Comme toi, assis sur la lunette !

- Il la garde tout le temps ?

- C’est le jeu. 24/24 et 7/7. Et lui depuis 5 semaines !

- Quoi il n’a pas éjaculé depuis 45 jours. C’est pas possible !

- Il faut bien croire que oui. Tu en as la preuve devant toi…

- Tu vois mon amour, si tu n’es pas sage, clic-clac l’oiseau…

- Non tu rigoles…

- Vas-t-en savoir….

Et ainsi de suite….

Pour ne pas faire de jaloux, Julie déculotte aussi de la même manière Hervé, qui se crispe au début avant de se laisser faire avec quelques difficultés. Je crains que nous n’ayons pas d’autre choix que de laisser exhiber nos zizis en cage pour le reste de la soirée… à notre honte infinie.

Je bois plus qu’à mon habitude de l’Apremont pour oublier mon mal à l’aise. Le couple à ma gauche roucoule. Ils s’embrassent à ne plus finir et elle ne gêne pas, vu l’ambiance érotique qui a pris possession de la table, à lui caresser sa bite gonflée sous le pantalon. Il bande comme un taureau, prêt à la saillir dès qu’ils se retrouveront dans leur chambre. J’en suis jaloux.

Julie s’occupe trop d’Hervé à mon goût. Sa main disparait sous la table et ne quitte jamais son entrejambe. Les lèvres d’Hervé se crispent régulièrement comme si elle le branlait à travers les barreaux. D’ailleurs c’est ce qu’elle doit faire !

Il ne reste plus sur cette terre que ma voisine de droite et moi. C’est Madame sans gêne qui a parfaitement compris ce qu’on pouvait faire à un homme avec le zizi encagé. Elle a un petit côté pervers, à me presser les couilles, à me griffer de son ongle le gland ou descendre le long de la hampe. Mais ces traitements ont l’effet inverse : je n’ai jamais autant bandé dans ma cage. Je jouis masochistement de ses saloperies et je mets même à couler du bout. Elle est d’abord étonnée mais prend vite du plaisir à récolter ma « mouille » sur son doigt pour me le donner à sucer.

Le couple s’extirpe avant le désert, sans doute pressé de libérer en chambre la tension sexuelle de la soirée. Nous prenons un dessert et la copine sans gêne insiste pour nous raccompagner. Elle découvre mon collier, et le plaisir de promener un homme en laisse dans la neige. Elle me torturerait toute la nuit pour finir de m’avaler tout cru si Julie ne décidait pas sagement qu’il est temps de la laisser. Je ressens la frustration de la copine à se voir retirer son joujou. Une Julie qui colle de plus en plus à Hervé, la main traînant ostensiblement sur la bosse de son sexe. Il n’y en a plus qu’elle pour lui !

Donc retour dans l’hôtel toujours par l’entrée de service vers 23h. Le temps d’étrangement récupérer un balai dans la cuisine et nous retournons dans notre chambre.

- A poil Pierrot !

Cela sonne comme un ordre couperet, auquel je me conforme avec lenteur. Finalement je me retrouve nu.

- Tourne-toi…

Je suis surpris de voir mes mains attachées serrées dans le dos par la ceinture d’un peignoir, avant d’être bâillonné de nouveau de mon écharpe.

- Comme cela, je suis sûre que tu ne toucheras pas et que tu ne nous dérangeras pas. 

Julie ouvre la porte du placard vide. 

- Allez dedans. C’est fini pour toi ce soir !

Je suis poussé à me tasser sous la dernière étagère. Les portes sont refermées et le balai trouve sa destination à empêcher toute ouverture par l’intérieur. Je suis fait et bien fait, mais encore plus intrigué de la suite des événements.

- Hervé va nous préparer un bon bain chaud. J’ai une envie folle d’en partager un avec toi. Je t’y rejoins dans une minute…

Hervé complètement charmé de l’aubaine se dépêche d’aller faire couler l’eau dans la salle de bain. Julie s’éclipse un moment et s’active dans la chambre. Je suis curieux de voir ce qu’elle prépare avec tant d’empressement. Je me tortille en silence pour atteindre le trait de lumière entre les portes mal jointées. J’ai la vue directe sur le lit. Elle pose des cordes aux 4 coins du lit ! 

Une fois terminé, je l’observe virer un à un ses vêtements et finir en tenue d’Eve. Cette fille a définitivement un corps de de rêve. Je bande à fond à la fois devant cette beauté naturelle et de mon impuissance d’encagé actuelle. 

- Ne te gêne pas Pierrot à mater... Oui je sais que tu regardes ! C’est pour cela que j’ai laissé les portes entrebâillées, exprès, pour que tu puisses participer à ta manière.

Le machiavélisme de cette remarque me saisit et je ne peux pas m’empêche de reculer pour disparaitre au fond du placard dans une bruit. Julie regarde dans ma direction et sourit… Et là la plus incroyable arrive : elle retire de sa poche de pantalon une chaînette avec une clé de cage, malheureusement pas la mienne, celle d’Hervé qui finit autour de son cou !

- Allez sois-sage. Je vais m’occuper de finir de chauffer à blanc ton copain. Et nous reviendrons pour le final. Tu as de la chance : tu seras au premier rang !

Elle disparait dans la salle de bain. Cela rigole bien là-dedans. J’en suis jaloux à devoir attendre seul dans mon placard. Cela discute, cela rit, cela doit même s’amuser à s’éclabousser vu les bruits d’eau…

Peut-être une demi-heure plus tard, ils finissent par revenir. Je regarde immédiatement l’entrejambe d’Hervé : ouf, il porte encore sa cage ! Mais cela ne m’apporte pas la détente attendue…

- Couche-toi sur le lit. J’ai envie de toi maintenant…

Hervé ne se le fait pas dire 2 fois. Il semble ailleurs, complètement hypnotisé par la beauté sexuelle de la fille. Il ne proteste pas quand elle lui attache pieds et mains aux cordes du lit. Il a lui aussi le regard fixé sur la clé coincée entre les 2 magnifiques seins de Julie ! Il est jeune en cage, mais il a compris la puissance de l’apparition de la clé. Sa cage est prête à exploser.

Julie s’amuse à finir d’étouffer sa bite entre les barreaux de la pulpe de ses doigts. Il geint sa frustration… et moi aussi en concert. Je vois les formes nues de notre belle le chevaucher et mettre au chaud sa cage. La clé pend contre sa poitrine poilue, en folle tentation. Hervé n’y tiens plus…

- S’il te plaît, Julie…

- Que je te laisse sortir ? Je ne sais pas… serait-ce une bonne idée… pas encore…

Le corps bouge encore jusqu’à positionner la tête du Hervé cuit à point entre ses cuisses. Je sais l’offrande qui est demandée. Hervé aussi. Julie s’assoit sur la langue sortie…

- Fais-moi jouir… pour me mettre d’humeur conciliante…

C’est la plus folle expérience de matage de toute ma vie. Plus fou encore que tout ce que j’ai vu sur internet. Les fesses magnifiques ondulent à la recherche du plaisir pris contre Hervé. Julie n’a aucune pudeur et hurle son plaisir primal de jouir. Là c’est totalement en direct, à deux mètres de mon placard. L’homme lutte pour reprendre son souffle et ne pas finir étouffé. La femme s’en fout et prend son plaisir de cette façon si directive. Mon sexe est cabré dans sa cage et en devient douloureux. Et déjà je sens les portes liquides qui s’ouvrent sur mon plaisir contraint.

La scène est fantastique et dure une éternité. L’orgasme féminin monte en différents gammes, s’éteint presque, avant de rejaillir et d’exploser dans une longue crispation de tous les muscles du corps de la Belle !

Finalement elle s’enlève et laisse Hervé reprendre difficilement son souffle. Mais aucun répit ni pour Hervé, ni pour moi. La clé tourne dans le cadenas. La coque décolle de sa base avant d’être enlevée et révéler le zébulon dans sa splendeur. Je ne crois que je n’ai jamais vu mon ami en totale érection. Et je suis jaloux. Sans aucune comparaison possible en ma faveur. Julie caresse doucement la hampe qui tremble tant d’émotion. Elle le maintient entre ciel et terre, entre plaisir et frustration, au point Hervé de sait plus où donner du gémissements. La scène est follement érotique, si sexuelle…

- Dis Hervé, tu voudrais partir maintenant ?

- Oh oui, Mademoiselle… je n’en peux plus…

Le doigt souligne la couronne du gland luisant… Hervé se pince les lèvres…

- Je ne sais pas. Est-ce une bonne chose ? Tu es un garçon si doux en cage…

- Je le serais encore après !

- Ta femme craint que non… que tu en profites pour redevenir comme avant…

- Mais non. Je serais sage… je promets de retourner en cage… immédiatement… après… mais s’il vous plait laissez-moi jouir !

La main ne cesse de le maintenir à la limite de l’inévitable en n’arrêtant pas de flatter.

- Pourquoi pas… Mais qu’est-ce qui t’empêchera de l’enlever dans le dos de ta femme… non je serais à sa place, je trouverais cela pas suffisant… je crois qu’elle attend plus…

- Tout ce qu’elle veut !

- Je crois qu’elle veut de l’engagement sur la durée… que tu sois fier de porter une cage pour elle… que tu acceptes qu’elle te possède de cette manière…

- Oui tout ce qu’elle veut…

- Cela tombe bien, elle a écrit ce qu’elle veut et je suis chargé de recueillir ton assentiment.

Qui se présente sous la forme d’une unique feuille qu’elle lui met devant les yeux. Hervé lit attentivement. Ses traits se crispent et il débande quelque peu malgré les caresses sur son sexe. Les conditions doivent être exigeantes. J’ai un peu pitié pour lui… 

- Si je signe, vous me laisserez jouir là ?

- Tu verras bien… qui ne risque rien, n’obtient rien…

Hervé prend une grande inspiration, réfléchit et demande un stylo. Il signe le papier de sa main entravée. Julie récupère la feuille qu’elle plie en 4, se rhabille et emporte le papier en dehors de la chambre ! Nous restons terriblement seuls. J’ai encore plus pitié pour lui : il vient de se faire totalement avoir par le gente féminine.

Mais je suis surpris du retour inattendu de notre gardienne 5 minutes plus tard.

- Je devais te laisser ainsi et ne venir te libérer que demain matin après remise en cage. Mais ce n’est pas moi cela. Je trouve cela injuste. Et je n’aime pas l’idée de mentir… alors je vais te donner ce que je t’ai promis… et qu’importe si cela ne fait pas partie de ma commande…

Julie s’agenouille au pied lit et se penche au-dessus de son sexe. En un tour de main le reste de l’anneau de la cage est enlevé, et sa bouche engloutit le sexe dressé. Je suis à l’agonie : pourquoi cela lui arrive à lui et pas à moi ? Julie semble avoir une expertise infinie en suçage. Les lèvres montent, descendent, avalent en grand fond et titillent de toutes parts. C’est fabuleux à regarder et si excitant. A ce traitement, Hervé perd vite tout contrôle. Il est à la merci totale de la bouche qui décide finalement de cueillir son plaisir en fond de palais. Hervé éjacule dans un grand râle roque de plaisir absolu ! La bouche se retire laissant un mince filet de sperme suspendu un instant entre le bord de la lèvre et le gland. C’est une folie érotique et une frustration intense pour moi…

Plus un mot n’est échangé. Julie remonte la cage autour du sexe qui ramollit maintenant. Le cadenas est refermé. Et elle s’en va en emportant la clé avec elle., après avoir retiré le balai qui bloque les portes de mon placard.

Il nous faut un moment pour nous libérer mutuellement, mais nous y arrivons finalement. Nous sommes KO tous les 2 et nous nous couchons ensemble sans pyjama et sans pudeur sous la même couette.

- Tu sais Hervé que je dois tout raconter à Emilie et qu’elle le saura…

- Oui elle me l’a dit. De toute façon ce qui est fait est fait. Et j’étais libre de parler pour refuser. Donc je suis coupable… et Pierre tu sais quoi ?

- Non…

- C’était la plus fabuleuse pipe de ma vie… et rien que cela, cela mérite les semaines où Emilie voudra me laisser mariner en cage...

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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