11 février
Nous sommes arrivés hier soir à l’hôtel de Val Thorens, Hervé et moi, sous la double garantie d’un zizi encagé pour lui et d’un collier serré autour de mon cou. Je pense qu’aucun de nous n’était complètement à l’aise pendant le trajet entre Lyon et Val Thorens. Nous avons sans doute notre pudeur, et nous n’en avons pas discuté.
A l’hôtel, la réceptionniste a semblé bizarre quand nous avons réclamé notre chambre, voire même un peu complice. Je n’ai compris que quand je suis arrivé dans la chambre isolée sous le toit : un seul grand lit ! J’aurais dû penser à le demander à ma collègue, qui a sans doute imaginé que j’y partirais avec Madame… Nous avons voulu changer de chambre, mais l’hôtel est complet.
Et en plus, nous nous sommes rapidement aperçus que nos femmes se sont amusées à « revoir » nos sacs en nous supprimant les pyjamas que nous avions pris. Elles s’entendent pour nous compliquer la tâche… et comment pouvaient-elles savoir pour le grand lit ? Même moi je l’ignorais…
Nous sommes donc descendus au bar de l’hôtel nous noyer dans un peu de vapeur d’alcool en appréhendant le moment où nous devrons nous coucher dans le même lit. Mais cela a bien fini par devoir arriver. Nous sommes finalement très pudiques comme hommes, même entre bons amis. Je crois que je n’ai jamais été aussi gêné de ma vie. Nous avons préféré rester habillés et nous coucher sur le dessus du lit, dos à dos, le plus éloigné possible.
Mais les cages ont leur vie propre que l’encagé ne peut pas ignorer. Je suis habitué à me faire réveiller par la cage, mais pour lui c’est une complète nouveauté, un peu paniquante. Ses réveils en sursaut m’ont réveillé en cascade, plusieurs fois pendant la nuit. Je lui ai conseillé d’aller pisser pour attendrir la bête. Il se maudissait de s’être laissé enfermé « stupidement ». Et il est si rouge quand il ne peut pas faire autre chose que de requérir mon aide d’habitué de la cage face aux réactions étonnantes de son sexe encagé. Je me sens si responsable de son état et j’essaye de l’aider sans heurter sa pudeur bafouée en ce début de cage. Je lui ai donc avoué pour mon collier autour du cou et que pour moi aussi pouvoir partir au ski me coûtait cher…
A ma totale surprise, l’intervention de nos femmes ne s’est pas limitée à modifier le contenu de nos valises : elles nous ont embauché une baby-sitter qui est rentrée à l’improviste au petit matin dans notre chambre.
- Allez debout les garçons. C’est l’heure de se lever !
Elle nous a surpris dans notre sommeil et j’ai cru que c’était une erreur de chambre. Une femme assez jolie, peut-être 27 ou 28 ans, en uniforme de serveuse poussant un chariot avec le petit déjeuner. Elle avait un sourire espiègle aux lèvres.
- Bon je ne vais pas y aller par 4 chemins. Je m’appelle Julie mais vos femmes ont insisté pour que vous m’appeliez Mademoiselle. Je suis chargée par elles de vous surveiller de près, pendant votre séjour au ski. Je n’ai jamais été contre un extra, mais j’avoue que c’est la première fois que l’on me demande ce genre de services…
Je suis sur le cul ! Comment ont-elles pu la trouver en si peu de temps ?
- J’ai reçu des consignes précises et la première est de vérifier que vos zizis restent bien enfermés. J’avoue que je n’ai jamais entendu parler de femmes qui imposent cela à leur mari. Et que cela m’intrigue beaucoup… Alors les garçons, on se dépêche de tout me montrer car je prends mon service à 7h…
Nous la regardons hébétés n’osant pas comprendre ce qu’elle veut…
- Vous ne m’avez pas entendu ? On se dépêche de montrer à Julie vos zizis dans les cages !
Nous ne réagissons toujours pas.
- Bon ça, elles l’avaient prévus que vous ferez un peu de manière. Mais elles m’ont dit comment briser la « glace »… Qui est Pierre ?
Je réponds timidement que c’est moi.
- Alors Pierrot tu vas montrer l’exemple à ton copain. Que m’a dit ta femme Claire hier soir de te dire ? Ah oui, si tu ne m’obéis pas, tu en prendras pour 6 mois de plus de zizi enfermé. Elle n’avait pas l’air de plaisanter, alors si j’étais toi, je me dépêcherais d’obéir !
Elles ont vraiment tout prévu. Je n’ai pas d’autre choix, que de m’humilier et de me conformer. Je me lève en automate et me positionne devant cette Mademoiselle qui ne semble pas le moins impressionnée par la situation, contrairement à moi. Je déboutonne la mort dans l’âme et la honte aux joues mon pantalon.
- Non pas comme cela. Elles ont dit que les vérifications devaient se faire complètement à poil. Alors tu te désapes totalement. Je dois aussi vérifier la présence de ton collier de chien…
Je baisse la tête mais obéis, définitivement humilié. Julie s’est installée au bord du lit et m’invite à me présenter. C’est l’horreur dans ma tête. Il n’y a rien de sexuel dans cela, que l’extrême sentiment de l’humiliation. La découverte de mon sexe encagé l’enthousiaste et finit de me morfondre...
- Putain c’est fou et vraiment génial ! Cela à l’air si inoffensif en prison. Elles ont raison : impossible de bander dans ce machin ! Et tu la portes 24h sur 24 depuis le 1er janvier sans avoir la possibilité de te branler ? Trop cool ! C’est ça : littéralement « tenu par les couilles », le mec. Excuse-moi mais il faut que je la prenne en photo avec mon téléphone car les copines ne me croiront pas…
Mon humiliation est immortalisée immédiatement. Je la vois maintenant dans un état second, sortir une paire de gants blancs en latex de la poche de son uniforme, qui bientôt viennent m’ausculter. Rien n’y échappe et je sais que c’est la volonté de nos femmes que Julie applique. La tenue de ma cage est sérieusement contrôlée, du cadenas jusqu’à l’accrochage derrière les couilles qui est douloureusement éprouvé. Idem pour mon collier. Je n’ai jamais été aussi petit dans les barreaux. Mais le pire est quand son doigt vient contrôler la propreté de mon petit trou. Je sursaute vivement quand je sens qu’elle veut me toucher par là, dans un quasi viol de mon intimité. Mais je n’y échappe pas. Le doigt ganté me fouille en profondeur avant d’être ressorti et exhibé - un peu souillé à ma grande honte - sous mes yeux…
- Humm pas très propre tout cela. C’est souvent ce que je reproche aux garçons. D’habitude je ne peux pas y faire grand-chose, mais là, c’est différent et très cool. Je peux sévir, avec la complète autorisation de vos Dames. Tant que je vous chaperonnerai, cela sera contrôle matin et soir. Et donc mon petit Pierrot, tu viens de récupérer une punition de ma part. J’avoue que l’idée de fesser un grand garçon, m’enthousiaste terriblement !
Mais j’y échappe pour l’instant. C’est au tour d’Hervé d’être inspecté. Il est très troublé, rouge comme une pivoine, son corps nu à côté du mien, mais il m’étonne à ne pas se révolter. Il se laisse docilement manipuler entre les doigts de la contrôleuse exhibant même une belle érection involontaire contenue entre les barreaux.
- Et bien toi, tu es un petit pervers ! Quoi que ton Emilie m’a prévenu… en plus mieux monté que le copain… dommage que tu sois aussi éjaculateur précoce !
Hervé ne sait plus où se mettre, les yeux au bord des larmes, mais son sexe en cage ne désenfle pas, bien au contraire ! Il a droit lui aussi à une inspection arrière en profondeur mais il s’en sort mieux que moi, sans aucune trace à se faire reprocher.
- Bon il est quelle heure ? 6h40… ok il ne faut pas que je perde du temps… Pierrot, sur mes genoux ! Pour prendre ta fessée. D’ailleurs c’est cool cette idée de punir les hommes quand ils ne sont pas sages ou propres.
Je sais que je ne vais pas me dérober. Pourtant je ne connais cette femme que depuis une demi-heure, elle m’a déjà mis un doigt dans le cul et là elle veut me fesser ! Et tout cela parce que Claire a décidé seule dans son coin qu’elle donnerait ce droit à une femme qu’elle n’a jamais rencontré et parce qu’elle est justement une femme. Elle l’a connu comment d’ailleurs ? Non je suis faible et je ne vais pas me dérober. Je suis même intellectuellement excité de devoir subir cela, me faire fesser le cul par une femme inconnue, le rouge de la honte aux joues.
De toute façon aucune dérobade ne serait possible, car je suis tiré par l’oreille jusqu’à être couché sur ses genoux. Et là sa main me fesse lourdement. Elle ne retient nullement ses coups. Qu’est-ce que cela peut faire mal ! Je serre d’abord les dents en vaine fierté masculine, mais bientôt je danse des jambes sans pudeur, cherchant à échapper au battoir. Cela ne me vaut qu’une étreinte resserrée sur le haut de mon corps et un redoublement des frappes sur mes fesses. A ce rythme, je me retrouve au bord des larmes. « Mademoiselle » ne s’arrête qu’une fois qu’elle juge mon cul suffisamment rouge …
Mais ce n’est pas fini pour moi, car elle m’envoie au « coin » avec une jubilation qu’elle ne cherche plus à cacher, comme si je venais de payer là cash pour tous les hommes qui l’ont emmerdée dans sa vie.
- Bon je vous explique le topo. Vos Dames ne veulent pas vous laisser batifoler librement ! Et m’ont demandé de vous consigner dans la chambre… Alors plus de vêtement. Je vous laisse votre combinaison de ski et une paire de chaussette. Le reste, je le prends avec moi. J’ai négocié le ski la journée pour vous. Mais attention, retour au bercail à 18h max. Je viendrais reprendre vos combis juste avec le début de mon service du soir. Et pensez à vous acheter des sandwichs avant votre retour parce qu’après, il faudra aller les chercher à poil ! Je reviendrai m’amuser avec vous à la fin de mon service. Ne vous inquiétez pas…
Son départ crée un vide dans la pièce, me laissant en face à face avec Hervé aussi nu et sur le choc que moi. Cela pourrait être un grand moment de solitude, mais face à l’adversité, il n’y a pas grand-chose à faire. Et qu’importe si je ne peux rater son sexe qui rechigne à se dégonfler et pleure sa frustration par le bout. Sur le moment, je suis au-delà de ça et m’installe à la table pour prendre mon petit déjeuner...
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