31 janvier
Je « fête » mon premier mois en cage. Un mois ! Inimaginable et une Terra Incognita pour moi qui n’avait jamais eu plus de 13 jours de chasteté consécutifs ! Un mois où la frustration est devenue extrême. La moindre vision féminine et chaque pensée trouble m’excitent désespérément dans ma cage. En vain !
Et dire que certains croient que la cage de chasteté vient brider les élans masculins. Au contraire, c’est une hypersexualisation et je n’ai jamais eu autant conscience d’avoir une bite, depuis que mes 2 KH me l’ont retirée.
Je crois que je serais maintenant prêt à tout pour sortir de cette maudite cage. Avec en plus, mon compteur de libération qui s’est encore rallongé à 33 jours, « une fois que j’aurais convaincu Hervé de se laisser enfermer ». Donc même si j’arrivais à le persuader là tout de suite, je ne sortirais pas avant le 4 mars, après 9 semaines en cage. C’est effarant et sans espoir.
D’autant qu’avec toutes les tâches et les devoirs à faire, je ne sais plus où donner de la tête. J’ai fait d’immense progrès d’organisation en un mois, plus que pendant les années d’avant. Mais je n’arrive simplement pas à tout faire pour satisfaire mes 2 KH. J’en laisse passer et Claire me les facture comptant avec la tapette de bois. Si bien que j’en suis arrivé face à la surveillance permanente de Claire à la maison de délaisser un peu Emilie et ses exigences…
Claire a prévu de « fêter » aussi cet anniversaire de cage. Je me retrouve, les chères têtes blondes couchées, nu et en chien sur le lit. Elle m’offre alors un « cadeau » qui me fait immédiatement serrer les dents : un gode encore plus gros que le plus gros que j’ai pris jusqu’à présent dans mon fondement, reproduction d’un vrai phallus noir, avec les veines incrustées dans le latex et une paire de grosses couilles à la base. Le symbole est très clair chez Claire : elle est devenue celle qui porte la ceinture dans le couple. Et là elle va prendre à la hussarde sa chienne favorite…
Je ne mentirais pas en disant que j’avale sans problème l’engin. Il me dilate à l’extrême pour rentrer, et même en ayant été préparé des doigts de Madame, et me fait tant crier que Claire décide à l’encontre de son désir, de me bâillonner d’une écharpe prise dans la commode.
Mais je le prends bel et bien « jusqu’aux couilles ». Cela fait bizarre dans les limbes des pleurs et de douleur de sentir leurs contacts inhabituels. Je trouve cela si humiliant, et si symbolique de ce que notre couple est devenu… de ce que je sui devenu…
Pour une fois, Claire prend son temps et serait presque câline. Car une fois le sexe rentré, elle me laisse le temps de m’habituer à la taille inhabituelle de l’engin. « Attentivement empalé » serait le terme le plus conforme à mes pensées du moment…
Je dois me méfier de cette douceur apparente : il est tellement facile de tomber de tomber de Charybde en Scylla dans ma situation. Et le danger vient d’un appel sur le smartphone de Claire, qu’elle prend et me fait écouter au haut-parleur.
- Ah salut, ma mimi. Pile à l’heure…
J’ai un mouvement recul et veut me désengager du gode. Mais Claire ne l’entends pas ainsi : elle me le presse au fond et me gratifie d’une tapette sur les fesses d’avertissement…
- Il est embroché par ton nouveau joujou ?
- Oui, et je suis même un peu déçue. Il l’a pris sans trop grande difficulté… C’est fou comment ces petits trous de garçons peuvent être souples… Mais j’aime beaucoup l’idée d’avoir des couilles comme eux. Tiens regarde !
Regarde quoi ? Emilie est au téléphone !
- Humm sympa… Tu me le passes pour que je lui souhaite moi aussi un bon anniversaire de cage ?
- Oui… mais il ne pourra pas parler. Il braillait déjà tant que j’ai du le bâillonner…
Je comprends le « regarde » maintenant. Emilie est en visio-call, là devant mes yeux, sur l’écran du téléphone posé sur le lit entre mes bras.
- Bonjour Pierre. Joyeux anniversaire ! Tu vois que « tes » femmes ne t’ont pas oublié dans ta petite cage… Et que nous allons fêter cela tous les 3 ensembles… Je me suis débarrassé d’Hervé pour la soirée… envoyé aller voir Expendable 8… je suis toute à toi… et déjà si excitée…
La caméra du smartphone bascule pour me montrer en gros plan la chatte de ma seconde KH, effectivement bien luisante à l’image. Des chairs boursouflues, un peu grasses. Une toison désordonnée. Rien qui ne pourrait me faire fantasmer d’habitude, mais là dans l’état de sécheresse où je suis, un rien m’excite. Je finis de bander douloureusement à fond dans mes barreaux.
Les doigts d’Emilie descendent dans la béance humide et commencent sans honte à se donner du plaisir. C’est le moment où Claire commence à me ramoner en concert le fondement, de grands coups de gode à couilles…
Scène irréelle où je mate la chatte d’Emilie en train de geindre sans retenue son plaisir, pendant que la queue de Claire me baise ! A ces stimuli, je ne sais plus où donner du cerveau. J’encaisse le mélange épicé du gode dans mon cul et de l’excitation de voir Emilie se branler… Et je coule, je coule sans cesse du zizi, comme cela ne m’est jamais arrivé… jusqu’à ressentir des spasmes étonnants et plaisants au fond de moi… qui durent si plaisamment… je me sens pute à chercher le coulissement du gode dans mes entrailles… je suis ailleurs… et si bien… pendant qu’Emilie hurle ses orgasmes successifs…
Malheureusement tout à une fin. Et j’en ressors avec un sentiment de béance dans mon cul, une fois la « queue » partie… Je suis essoufflé et épuisé, mais si heureux de la tournure de cette soirée d’anniversaire…
Je devrais quand même me méfier, car les plaisirs pris et l’excitation retombée, je retrouve une Emilie redevenu maîtresse d’elle-même et exigeante.
- Claire, tu m’entends. Tu veux bien lui attacher les mains et sortir ta tapette. J’ai un compte à solder avec ton Pierre…
Amusé, Claire s’exécute. Et je me retrouve les mains attachées aux montants du lit et la tapette froide reposant au creux de mes reins. Je sais que je vais déguster mais je ne sais pas encore pour quelle faute.
Emilie se « charge » de me l’expliquer…
- Si Claire reconnait que tu as fais des progrès notables à la maison, et moi de mon côté, dans tes devoirs et rédactions, il y a une chose qui m’indispose. Un mois, et tu n’as fait aucun effort pour me livrer le zizi d’Hervé en cage. Pas un appel, pas un mail, rien, nada, que dalle ! Et c’est inacceptable ! Tu nous prends pour des connes….
Aie ! Nous y voilà.
- Claire, je pense que 30 coups seraient un bon rappel à l’ordre pour commencer et punir sa couardise ! Et je m’enthousiasme à y assister à distance…
Je ne sais pas ce qu’il lie mes KH au fond. Mais les 30 coups, je les prends immédiatement et sévèrement, la douleur étouffée dans mon bâillon. Même par procuration, ils sont secs, pleins de reproches et très efficaces… Je finis la série – la plus grande que j’ai reçu – en gros pleurs et les fesses en vive douleur… le chaud et le froid servi le même soir…
Maîtresse Emilie reprend :
- C’est simple : tu as 10 jours pour qu’Hervé soit le zizi enfermé ou je te colle un malus de 6 mois d’un coup !
Et sur ce, Emilie me raccroche au nez.
Je suis perdu. Comment vais-je pouvoir faire ? Forcer l’inconcevable ? Au point même, que Claire doit me venir en aide… face à ma détresse.
- Allez vient-là mon chou, dans mes bras… pas trop mal à ton cucul ?
Je pleure à chaudes larmes contre son épaule. Claire devient philosophe pour deux.
- C’est dangereux de frustrer une fille comme Emilie. Je crois qu’elle est simplement jalouse que tu sois devenu si attentionné avec moi. Mais je ne peux pas te laisser seul, où alors je ne pourrais pas jouir de ta queue avant des mois, fusse-t-elle petite c’est néanmoins ta queue, qui me va bien… Pourquoi tu n’essayes pas de parler à ton copain ?
- Parce que je l’ai déjà fait plusieurs fois et qu’il refuse absolument ce type de sexualité. Je crois que cela lui fait peur, et qu’il a peur de perdre sa virilité de mâle…
- Oui, pas facile dans ces conditions… alors je crois qu’il faudrait que cela soit comme pour toi, que l’acceptation de la cage vienne de lui… sinon c’est impossible.
- Oui, mais comment faire ?
- Je ne sais pas… peut être… il faudrait que la cage devienne la meilleure alternative… pour qu’il puisse faire quelque chose qu’il lui fait envie… un moindre mal en fait…
- Je crois que tu as raison. C’est la seule solution réaliste mais je ne vois pas comment je pourrais le persuader de se laisser volontairement enfermer le zizi par son Emilie…
- Oh Paris ne s’est pas fait en un jour. Tu trouveras, je suis sûre, un stratagème… mais pour l’instant ce que j’ai envie c’est de ta langue en moi… après tout moi je n’ai pas joui ce soir…
Et je lui offre, fort du réconfort apporté, la meilleure langue amoureuse que je peux faire contre ses muqueuses et son petit bouton, longtemps dans la nuit…
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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