19 février
Quelle soirée hier !
La journée avait parfaitement commencé avec la fierté au réveil d’avoir offert tant de plaisir la veille à Claire avec le gode noir. Cela a beau être à la base une humiliation et une négation de mon sexe, j’étais quand même quelque part aux manettes et j’ai adoré l’idée de pouvoir la remplir enfin complètement avec « mon » sexe !
Donc j’ai passée la journée très heureux de notre évolution. Je me suis demandé si c’était la même chose pour Hervé avec Emilie ? Je n’ai pas eu de nouvelles depuis que je l’ai laissé à la gare à Lyon. J’ai essayé de l’appeler. J’ai envoyé des SMS. Aucune réponse… Je tente une nouvelle fois à l’heure de midi, toujours en vain.
Par contre Claire me demande par un SMS reçu en début d’après midi, de passer à la Poste récupérer un paquet avant de rentrer. Notre Poste fermant à 18h, je ne dois donc pas traîner ce soir au travail...
J’arrive à la maison peu avant 18 heures. Comme tous les jours actuellement, j’enlève mes vêtements avant de les ranger soigneusement, ce qui sera remis le lendemain, dans la penderie de l’entrée et mettre le reste au linge sale. Je boucle mon collier de soumis qui m’attend autour d’une patère avant de me diriger à la cuisine.
Une note m’attend sur la table de la cuisine accompagnée d’une recette imprimée. C’est l’écriture de Claire. Personne n’écrit plus aujourd’hui à la main et Claire pas plus qu’une autre. Par contre, sa version Maîtresse adore laisser des consignes manuscrites à l’encre noire à son petit mari soumis !
« J’espère que tu n’as pas oublié de passer à la Poste… Tu laisses le colis sur la table, je m’en occuperai à mon retour…
Tu prépares une blanquette de veau pour ce soir. Je t’ai choisi la recette la plus facile, à faire au Kooker. Fais attention : ne la rate pas comme celle de la dernière fois !
Tu mettras le nouveau tablier que je t’ai acheté pour que j’aie la joie de mater des charmantes petites fesses encadrées à mon retour. Tu le trouveras suspendu au crochet dans l’arrière cuisine.
Maîtresse Claire
PS : tu mets aussi immédiatement ton rosebud dans ton petit trou d’Amour, et tu sors notre gode noir avec mon porte gode, que tu sois bien disponible du cul quand je rentrerai. Car je pense que ce soir, je serais d’humeur à faire l’Amour à mon petit mari dès mon arrivée … »
L’écriture de Claire est nette et décidée. Tout comme sa façon de m’annoncer à l’avance comment elle va me traiter, déclenchant toujours le même mélange d’appréhension en haut et de veule excitation en bas qui fait tant baver du zizi…
Je regarde avec interrogation le paquet que j’ai posé sur la table. Sa taille ne me donne aucun indice. Je le soupèse. Assez léger en fait. Cela ne m’en apprend guère plus comme l’expéditeur : une société KTC à Ris-Orangis inconnue. Alors bonne ou mauvaise surprise, je ne sais pas. Et même pas si c’est lié à nos activités D/S… Et pourtant cela ne peut pas être un hasard si cela je devais aller impérativement le chercher à la Poste avant de rentrer… Frustrant tout cela !
Je me concentre sur la préparation des accessoires. Le gode et le porte ceinture que je pose sur la table à côté du paquet. Je n’oublie pas la télécommande. Très humiliant de devoir préparer ses propres instruments de contraintes. Je me graisse dans la salle de bain la rondelle d’un index honteux ainsi que le rosebud, très attentivement et avec de la crème grasse si je ne veux pas devenir « sec » au bout d’une heure… Je me regarde dans la glace au-dessus du lavabo. L’idée de faire tout cela pour que Claire puisse immédiatement m’enfiler à mon retour m’est dérangeante, humiliante même. Je n’aime pas en fait me voir dans le miroir être tombé si bas, à me contorsionner pour faire avaler le plug dans mon derrière… Je grimace quand il passe l’anneau…
Je m’attends au pire pour mon nouveau tablier et j’ai raison : une femme stylisée qui prend au gode un homme en levrette avec le slogan « MA FEMME PORTE LA CULOTTE A LA MAISON ». C’est de circonstance et un rappel de ce qu’il m’est promis. J’ai beau m’y attendre, j’ai toujours autant de mal à m’accepter dans cette vision résumée de notre couple actuellement… Sensation que le plug dans mon cul rend encore plus présente en ce moment.
Je m’attèle au découpage des oignons, des carottes. Il faut normalement 35 minutes pour préparer cette recette – c’est ce que dit l’auteur – mais je mets au final 2 fois plus de temps à tout préparer et lancer, avant de pouvoir relâcher un peu de pression alors que la recette cuit. J’ai goûté pour vérifier que tout était bien poivré et salé avant de fermer le couvercle. Cela me parait bien… mais cela ira-t-il à Claire ?
Je suis en train de faire la vaisselle dans l’évier quand Claire rentre. Il est 19h30 et elle arrive manifestement plus tard que désiré. Je veux m’essuyer les mains pour aller la saluer.
- Non continue la vaisselle, on n’est pas en avance. Nos invités arrivent pour 20h00…
- Quels invités ?
Ne sachant pas si elle parle d’hommes ou de femmes…
- Tu verras bien…
Je crains immédiatement le pire quand on a un petit mari nu et soumis à la maison... Je me fige et Claire le voit…
- Mais non, soit rassuré, ta petite vertu sera épargnée. Mais tu ne resteras pas avec nous… heureusement car tu pourrais me faire honte… ah au fait, ne cherche pas à joindre ton copain Hervé. J’ai eu Emilie et il est trop occupé en ce moment… d’ailleurs il ne peut pas te répondre… Emilie lui a confisqué son smartphone et mis un code parental sur l’ordinateur…
Je n’arrive pas à me contrôler et éviter de faire une tête d’ahuri qui fait doucement sourire Claire.
- … tu ne croyais quand même pas qu’Emilie allait en rester là ? Un petit tour en cage et puis terminé : on revient à la vie de pacha d’avant ?
En fait si… quel idiot, je peux être !
- Non quelque part Emilie est beaucoup plus déterminée que je peux l’être vis-à-vis de sa moitié. Et le fait que ton copain ait si longtemps résisté, n’a en rien fait baisser sa motivation. Elle est rentrée avec enthousiasme dans la période de débourrage de mari…
Claire me perd.
- Dé… bourrage ?
- Tu n’es quand même pas aussi inculte que cela ? Le débourrage est le fait de faire accepter à un jeune cheval les contraintes et le cavalier, et de l’habituer à obéir aux ordres du cavalier. Tu comprends mieux là ? Il y a deux méthodes : la méthode douce qui joue sur le temps – c’est un peu ce que j’ai fait - et la méthode dure, plus rapide mais plus violente… c’est vu ce qu’elle me raconte et montre, celle qu’elle a choisi de faire… mais bon, je vois que tu es allé chercher ton colis… c’est bien… nous avons juste le temps…
Je veux me retourner.
- Non tu gardes tes mains sur le bord de l’évier !
J’obéis mais ne peux m’empêcher de me contorsionner pour voir ce que Claire peut trafiquer… elle ouvre le colis avec précaution et regarde dedans… mais elle n’en sort rien. Ou pas encore ? Non elle s’équipe à la place de son gode-ceinture à disposition. Claire est rapidement derrière moi, à tirer sur le rosebud qui lui barre l’accès. Il résiste mais cède finalement sa position, avant de finir dans l’eau du bac à vaisselle sous mes yeux. Une main se pose sur ma nuque pour me forcer à me courber au-dessus de l’évier. Je m’agite un peu. Claire me chuchote dans l’oreille…
- Calme, même si tu ne le veux pas, tu te la prendras ce soir… mais je préférerais de loin que tu la désires… que tu me désires… Réclame-moi !
Ses mots me touchent dans ma faiblesse. Oui j’ai envie de sentir SA queue en moi qui me fascine et me fait peur en même temps. Je murmure que je la désire, là tout de suite, au fond de moi…
Claire s’insinue immédiatement et cela rentre comme dans du beurre. Je gémis en petite salope de la longueur qui m’envahit et commence à aller et venir.
- Et bien je vois que l’on s’est bien excité et élargi sur son rosebud à attendre sa Maîtresse ! Mais il ne faudrait pas que la queue dans le cul te devienne trop facile… petit cochon trop excité de se faire mettre par sa femme !
Aussitôt la queue se dilate dans mon cul en largeur et en longueur. Elle devient beaucoup moins confortable, plus exigeante et m’arrache une grimace douloureuse.
- Et comme cela ? Cela t’excite toujours autant de te la prendre ? Tu sens sa puissance ? Tu sens comme elle te baise en puissance ? Ce n’est pas gémissements de pucelle en chaleur que j’ai envie ce soir, mais des émois effarouchés d’un petit mari soumis en train de se prendre la queue de sa femme !
Claire entreprend de me défoncer le cul en grande profondeur. Les mouvements du gode dans mes entrailles sont dévastateurs. Je geins sous les coups de buttoir, non de plaisir, mais parce que je n’ai pas d’autre choix que d’exprimé ma détresse de petit mâle durement enculé par sa Maîtresse de femme ! Cela porte autant dans l’esprit que sur le corps.
Heureusement Maîtresse Claire est pressée ce soir, et met fin à mes petits tourments au bout de quelques minutes qui m’ont paru une éternité. Je suis essoufflé et complètement dans un état de profonde soumission à la volonté de Claire.
- Pas le temps de t’envoyer ta dose en fond ce soir. Désolé pour le quick fuck… c’est dommage car cela m’excite de plus en plus de défoncer ta rondelle… j’en suis toute « émue » dans l’entrejambe… dépêche toi de finir la vaisselle, avant que nos invités arrivent… Tu nous as mis à la bourre à faire ton puceau excité. Je m’occupe de mettre la table…
Je n’ose me relever. Comment peut-on recevoir des invitées alors que je suis nu avec un collier ? Et c’est qui que Claire a invité sans m’en parler ? Des femmes ? Des hommes ? Je ne crois pas qu’elle accepterait que je pose la question et en plus elle n’est plus là, à dresser la table dans la salle à manger. Mais tout cela me fait monter une boule au ventre… Et si elle comptait m’exhiber comme son trophée de chasse ? Avec Claire, je crois maintenant tout possible…
Je viens juste de finir de laver le dernier saladier et de le ranger quand la sonnette de la porte se fait retentir. Panique totale à bord avec l’idée première de me cacher immédiatement sous le lit de notre chambre ! Mais pas la possibilité : Claire revient en se pressant…
- Tu as oublié ton rosebud au bord de l’évier ! Tourne-toi que je le range…
Mon cul sert de « rangement » et elle ne prend aucune précaution pour me le re-enfiler en force. Elle me prend le poignet et me conduit dans le réduit sous l’escalier, en passant devant la table qu’elle a dressée. Je note au passage qu’il y a 4 assiettes avant de me retrouver dans le réduit. La sonnette re-sonne une seconde fois.
- Dépêche-toi de rentrer ! Je déteste faire attendre mes invités…
Je me retrouve nu et apeuré dans le noir du placard. Claire n’a même pas pris le temps de m’enlever le tablier. La porte qui me sépare du reste du monde n’est pas fermée et j’ai une telle trouille primale au ventre que quelqu’un l’ouvre et me découvre !
Les 3 invités sont arrivés quasi en même temps. 3 femmes ! J’espérais pouvoir m’échapper pendant qu’elles prendraient l’apéritif au salon mais Claire a vite déçu mon espérance en décrétant qu’elles le prendraient directement à table, à 2 m de mon refuge précaire ! Impossible maintenant de sortir sans apparaître comme un éléphant rose et nu au milieu du couloir…
Pas du tout rassuré, je suis aux aguets de tout bruit qui se rapprocherait trop de mon précaire placard… Je reconnais une voix, celle d’une collègue de travail de Claire, mais les 2 autres me sont inconnues. Mais toutes travaillent au même endroit : leur sujet de prédilection est le comportement et la tenue des petits mâles de leur entreprise. Et il n’y a pas à dire, cela envoie sans aucune retenue tout le début du repas que j’entends très arrosé.
Claire en tire la conclusion quand elle amène le désert…
- C’est une superbe idée que nous avons eu de se retrouver au dehors. On peut se lâcher totalement !
- Que cela fait du bien de se défouler entre filles…. Merci à toi Claire… Au fait, tu as fait quoi pour te débarrasser de ton mari ce soir ?
Claire répond du tac au tac.
- Oh, je l’ai enfermé nu dans un placard…
Elle ne vient pas de dire cela ! Gros moment d’angoisse et petite stupeur chez les invitées qui se transforme vite en grand éclat de rire…
- … c’est vrai que cela serait plus facile de s’en débarrasser comme cela… pour ne plus les avoir entre les pattes… ils sont mignons nos ours mais prennent parfois maladroitement un peu trop de place…
- Alors tu en as fait quoi ?
- Je m’en suis débarrassée pour qu’il ne vienne pas nous gêner, c’est le principal non ? Et le pauvre n’a rien vu venir…
- Tu fais ta secrète ? Tu ne veux rien dire ?
La foutue curiosité féminine ! Je prie surtout pour qu’elle n’avoue que je me trouve là à 2 mètres de leur table… Mais celle que j’ai identifiée comme la plus timide, prend la parole pour une révélation.
- ça y est, Marc me l’a mise au cul le week-end dernier…
C’est le brouhaha général !
- Toi, Aurore, qui ne jurait que jamais, au grand jamais, tu l’accepterais ! Que c’était trop dégradant…
- Vous pouvez bien rigoler… mais c’est fait ! Je ne suis plus vierge de ce côté !
- Alors raconte…
- Il m’a d’abord baisée longtemps, comme jamais… en levrette… c’est quand j'ai joui qu'il s'est retiré et qu'il m'a mis la queue entre les fesses... d’habitude je dis non… mais là je l’ai laissé faire… pour voir… pour savoir…
- Attention, c’est du lourd les filles !
- J’avais peur. J’avais le cœur qui battait et je me suis rétractée un peu. Il a hésité un peu mais il s’est quand même enfoncé doucement. Et là… oh mon Dieu !
- Laisse ton Dieu, là où il est. Tu veux dire que tu as senti passer son gros zob ?
- Oh il n’est pas si gros que cela ! C’est que je lui reproche d’habitude… mais pour ce côté, il est déjà bien trop large à mon goût !
- Oh tu sais, on s’habitue à tout. C’est pour cela que j’ai pris un amant bien monté qui, comme par hasard adore me la mettre au cul !
- Laisse la queue de ton amant où elle est. Aurore n’a pas fini de nous raconter. Alors c’était comment ta première au cul ?
- Cela me fait un peu de mal de vous dire cela mais c’était bon ! C’était super bon même… j’étais dilatée, épanouie alors qu’il me ramonait le cul… c’est bizarre ce mélange de douleur, de plaisir et de honte… mais globalement j’ai adoré… oh je ne le ferais pas tous les soirs, mais une fois de temps en temps … surtout que…
Aurore se tait. Je suis aussi avide que les filles de la table de connaître la suite ! J’ai l’impression d’être devenu un voyeur caché.
- … surtout que j’ai eu mal à la rondelle pendant 3 jours !
- C’est mignon de te voir rougir, Aurore. Mais cela prouve surtout qu’il t’a bien baisé ! Tu as eu un big orgasme ?
Une toute petite voix répond.
- Oui mais cela fait quand même mal de se faire prendre par là et de cette manière…
- Oh tu t’y habitueras…
- Non Aurore a raison. Ce n’est pas parce que l’on leur offre nos culs qu’ils doivent les dévaster à chaque passage ! Surtout qu’ils peuvent très bien y aller plus doucement… Ils mériteraient qu’on leur rendre la pareille !
Claire répond…
- Tu as tout à fait raison Laetitia, vive le gode ceinture conjugal ! J’y pense d’ailleurs…
- Quoi ?
Répondent en cœur les filles et moi je me retiens de hurler !
- Cela ne vous a fait jamais envie d’avoir une queue et de voir ce que cela faisait de leur prendre leur petite vertu ?
Je suis accablé et tremble devant l’échafaud. Je suis sûr que dans quelques instants elle va ouvrir le placard pour me sodomiser devant les copines, voir même leur prêter mon cul pour essayer le gode ceinture à leur tour ! Comme la soirée est partie, cela ne peut pas être autrement !
- Je comprends que tu en es envie, te connaissant. Mais ton mari, il en penserait quoi ?
- Oh lui on s’en fout de quoi il en penserait quand je lui prendrais la petite rondelle ! Mais je crois qu’il aimerait… vu comme il a déjà un petit côté si pervers. Et puis cela devrait lui implanter quelques neurones féminins et si cela peut lui faire plus m’aider à la maison…
La conversation dérive rapidement sur nos travers à nous les hommes et sur le fait que nous « n’en foutons pas une ! ». Je suis heureux que mon trou du cul ne soit plus au centre de leur discussion, mais cela fait quand même peur de les entendre parler avec véhémence de la paresse de leurs hommes, d’autant qu’il y a pas mal de vrai dans ce qu’elles décrivent…
Finalement l’heure du départ arrive et Aurore veut s’échapper la première…
- Oui c’est ça ! Tu as la cramouille toute mouillée et tu veux retrouver la bonne petite queue de ton Marc !
- Mais non !
- Mais si ! On te connait quand tu es excitée. Tu as ton petit sourire aux Anges. Comme quoi, tu peux aller à la messe tout les dimanches, tu restes une bonne grosse salope qui aime se prendre de la queue !
- Tu ne peux pas dire cela : je ne suis pas comme cela !
- Mais si tu l’es. Tu es mouillée là ?
Un petit oui troublé répond.
- Et bien, tu es comme les autres. Allez va retrouver la queue de ton mari qu’il te défonce bien dans le lit conjugal. Mais comme tu as essayé de nous mentir, tu récupères un gage. Ce soir, cela ton cul que tu lui offriras !
- Vous êtes chiantes les filles… mais oui, je vais lui offrir mon cul pour la seconde fois, rien que pour vous démontrer une fois pour toute que je ne suis pas la Saint Nitouche de l’Eglise que vous croyez que je suis !
La seconde collègue ne tarde pas elle aussi à s’éclipser, mais sans gage. Il ne reste plus que Claire avec la collègue que je connais, celle qui a manifestement un amant. Et elle ne veut pas partir, la foutue fille !
-Tu m’offres un digestif Claire ?
- Oh toi tu as quelque chose qui te tracasse …
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