Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 09:04

17 février

Le retour au travail le lundi est difficile. Je vis depuis 5 jours tellement à fond dans ma soumission avec Julie puis Claire, que d’être nouveau libre de mes mouvements est finalement déstabilisant. 

Mes testicules sont douloureux ce matin et un bleu marque celui de gauche, conséquence du traitement de hier. Mais finalement le paradoxe du soumis l’emporte et je suis fier que ma Claire ait osé et de cette manière. J’en suis presque à regretter que je n’ai pas eu assez de courage pour l’inciter à continuer…

Le retour à la maison est calme, trop calme même. Je me mets nu avec mon collier et attend le retour de Claire en rangeant et nettoyant de ci et de là. Quand elle arrive enfin, je vois tout <de suite qu’elle a sa tête des mauvaises journées. Elle se met immédiatement devant la télévision. J’essaye d’être le plus gentil possible, prépare un plateau repas et vient le partager avec elle devant la télé.

La série qui passe ne m’intéresse pas du tout. Je commence à bouillir un peu intérieurement que rien de D/S ne se passe et à un moment j’en ai marre : je me lève pour aller sur l’ordinateur.

- Tu vas où ?

- Sur l’ordinateur … et je ne veux pas te déranger dans ta série.

Je sais cela fait un peu fayot, mais bon si j’arrive à m’échapper…

- Tu m’as demandé l’autorisation ?

- Euh… non… je n’y ai…

- Donc pas de demande, pas d’autorisation. Tu vas te mettre à regarder le mur à côté de la télévision que j’ai le plaisir de voir tes petites fesses craquantes…

J’en suis un peu sur le cul. Mis au coin à mon âge ? D’ailleurs Claire précise son désir : « non pas debout, à genoux, les mains sur la tête ! ».

Putain que le temps est long quand on n’a rien à faire. La série parle à mes côtés sans que je puisse suivre quoi que ce soit. Bientôt cela tiraille dans les muscles des jambes et du bas du dos, et j’ai du mal à tenir la position.

Finalement à la fin du premier épisode, une demi-heure plus tard peut-être, je suis libéré.

- Pense la prochaine fois à demander. Cela sera tout pour ce soir. Au lit maintenant le petit Pierre, pas de lecture et lumière éteinte. Tu as de telles valises sous les yeux qu’un sommeil réparateur te fera le plus grand bien… et que je puisse regarder le deuxième épisode au calme…

Et voilà pour couronner le tout, me voilà envoyé d’office au lit à 21h50 ! Ben voyons…

Cela a été l’unique activité D/S du lundi que je n’ai pas trop apprécié …

Très différent a été hier le mardi. D’abord elle m’a interdit de mettre un caleçon le matin et j’ai apprécié la nouveauté.

D’abord, Claire m’a envoyé dans l’après-midi un SMS. Je dois passer au magasin de lingerie Plaisir des Yeux récupérer son « cadeau de Saint Valentin » qu’elle s’est fait, puis récupérer les courses commandées à 19h précises au drive de l’hypermarché.

Le trajet vers le magasin de lingerie me morfond de nouveau. Je suis un mari nul pour oublier de lui fêter sa Valentin, mais cela m’arrive aussi pour son anniversaire et sa Fête… 

Je n’aime pas les magasins de lingerie, beaucoup trop féminin à mon goût. Je ne m’y suis jamais senti à l’aise. La patronne et sa vendeuse, heureusement aucune cliente. J’annonce venir récupérer ce que m’a femme a réservé.

- Ah oui. Elle a passé vendredi denier.  Je lui ai mis de côté…

Le paquet est déjà emballé et je suis un peu frustré de ne pas savoir quelle ensemble de dentelle elle a pris. Car si je n’aime pas aller dans les magasins de lingerie, j’aime beaucoup quand Claire la porte.

J’ai déjà sorti ma carte bleue prêt à payer et m’enfuir de cette atmosphère.

- Non attendez, votre femme vous a demandé de choisir…

Choisir quoi ? Vu que le paquet est déjà prêt…

- Qu’est-ce que tu en penses Suzy ? la taille doit être bonne ?

- Oui cela ira parfaitement.

La patronne étale sur le comptoir 2 culottes en dentelle transparente, style grand-mère. L’une mauve et l’autre rose. Je ne vois vraiment pas Claire porter cela…

- Alors vous en pensez-quoi, Monsieur ?

Je ne sais que dire. Je ne vois pas comment Claire ait pu vouloir acheter ce genre de culotte…

- Oh cela ne me plait pas… je ne vois pas ma femme porter cela… peut-être quand elle est indisposée, mais quand même ce n’est pas son genre…

La patronne et la vendeuse échange un sourire complice que je ne comprends pas et elles ne cessent de me sourire.

- En fait je pense, Monsieur, que vous faîte une méprise. Votre femme les a choisis pour vous… mais elle hésitait pour la couleur.

Cela a été dit le plus doucement possible mais pour moi l’Enfer vient de s’ouvrir au milieu du magasin. Je deviens cramoisi immédiatement, le regard fixé sur « mes » culottes. Comment Claire peut-elle me faire cela ?

- Ne soyez pas gêné. Si vous aviez combien d’hommes aime porter de la lingerie féminine et vienne l’acheter chez nous en catimini…

Cela tangue de plus en plus. J’ai envie de crier : je ne suis pas ce genre d’homme ! J’ai hâte de sortir de ce piège…

- Bon, je prends les deux.

- Votre femme a demandé que vous les essayiez d’abord… pour avoir notre avis de professionnel…

- Non je ne veux pas !

- Soyez raisonnable. Votre femme était si enthousiaste de vous trouver une jolie culotte… cela serait dommage de la contrarier.

Je crois surtout qu’elles ne veulent pas rater leur vente. La vendeuse m’ouvre le rideau de la cabine d’essayage en guise de lourde invitation… J’hésite mais c’est plus fort que moi, l’humiliation prend le dessus et je rentre dans la cabine pour passer les culottes. Je pense garder mon slip dessous pour essayer de cacher le peu de fierté que Claire m’a laissé, quand je m’aperçois et me rappelle, qu’elle me l’a tout simplement confisqué ce matin. A escient ! Malédictions…

Les grandes humiliations se vivent dans les limbes de l’esprit. Je passe la première culotte mauve. Avec la dentelle, on voit tout et surtout ma cage de zizi. Bien sûr, la patronne et la vendeuse viennent passer une tête pour voir « comment cela me va ». Je suis pivoine n’osant plus rien dire… Mais les 2 femmes parlent pour 2.

- Ne vous inquiétez pas. Votre femme nous a déjà parlé de votre cage de chasteté… ne soyez pas gêné… nous avons déjà vu le « loup » et vous n’êtes pas le premier homme qui en porte une qui vient ici … toujours des maris si doux et attentionnés, que je me demande si je ne devrais pas faire de même avec le mien… cela ne lui ferait que du plus grand bien !

Il est « décidé » que la mauve me va parfaitement ainsi que la rose. «Votre femme a bien choisi… » Je suis pressé de payer et de sortir de ce maudit magasin de Femmes liguées contre les Hommes. Mais Claire m’a laissé un mot : où elle me demande/ordonne d’acheter les 2 culottes et surtout de revenir à la maison avec la culotte rose sur moi !

Je respire enfin quand je quitte le magasin. Il me reste 10 minutes pour rejoindre la zone commerciale et récupérer les courses au drive. 

Il est 19h25 quand j’arrive enfin à la maison. La voiture de Claire est déjà là. 

- Bonsoir mon chéri. Tu ranges immédiatement les courses et tu reviens me voir dans le salon avec la tapette de bois.

Aie ! J’appréhende déjà la suite…

Les courses rangées, je file récupérer la tapette de bois dans la commode de Claire sous les pulls. Et je reviens un peu penaud me présenter devant Maîtresse Claire assise sur le canapé. Elle récupère la tapette de mes mains.

- Tu as aimé ta visite au magasin de lingerie ? La patronne et sa vendeuse sont délicieuses et pleines de bons conseils…

Je fais un peu la moue…

- Mais si tu es là devant moi, Pierre, c’est pour régler un vieux compte, d’ailleurs depuis le début de notre mariage. Tu as encore oublié ma Saint Valentin et j’en ai marre de devoir me faire mes propres cadeaux. Jusqu’à présent c’était un peu goujat de ta part mais gratuit. Et bien maintenant on va mettre un prix à ton oubli… Au travers de mes genoux !

C’est émotionnellement très fort devoir s’exécuter comme un vulgaire garçon désobéissant. Totalement troublant quand Claire déboutonne mon pantalon et le fait glisser jusqu’à mes chevilles et encore plus quand la culotte rose (qui me va « très bien ») est baissé sous la joue des fesses.

- Tu es un grand garçon maintenant qui doit être puni comme un grand. Donc tu mérites 50 coups de tapette que tu compteras à voix haute un à un. Et j’espère que l’an prochain, tu n’oublieras pas la Saint Valentin pour la première fois.

C’est définitivement humiliant d’être puni ainsi et Claire ne cherche même pas à contrôler la force de ces coups. Je bouge et crie rapidement, et plusieurs fois, elle doit reprendre sa prise sur le haut de mon corps.

A la fin de la série, je suis envoyé les fesses rouges et brûlantes, méditez les conséquences de mon « oubli » au coin à côté de la télévision… le temps nécessaire pour que la position soit difficile à tenir et  je me repente humblement…

- C’est bien mon petit mari soumis… allez direction la chambre ! Ton petit cul rouge, qui se trémousse tant, a fini de m’exciter et de me donner une folle envie de ta queue…

- Mais tu n’as pas la clé… elle est dans les mains d’Emilie !

- En es-tu si sûr ? Tout ce que tu as vu c’est effectivement la clé de ta cage accrochée dans une boîte et bloquée par 2 cadenas. Et si tout cela était une supercherie ? Que la boîte soit à la maison, ou même qu’elle n’ait existé que le temps de la photo ? Tu as vu les clés bouger qui prouve que c’est en direct ?

Je fais une tête d’ahuri et de dindon de la farce. Un vrai ravi provençal… Et effectivement si tout cela était vrai ?

-  C’est une possibilité… Même si Emilie a réellement  la clé de ton zizi chez elle, as-tu aussi pensé que je pouvais toujours avoir accès à la clé de secours ? Que la combinaison du coffret où elle est, n’a jamais été changée ? Tout est possible et tu n’as aucune certitude si tu réfléchis  2 secondes à ta situation.

Je chavire devant effectivement tant de choses inconnues, sans aucune incertitude que ce qu’il parait être, le soit réellement.

- Je crois que je t’avais demandé de rejoindre la chambre pour satisfaire mon désir actuel de me prendre ta queue. Mais si tu préfères passer ton tour, pas de problème. J’ai un rabbit…

Sa voix est légèrement plus froide. Je me dépêche de rejoindre notre chambre, me déshabille et attend Claire sous la couette, la bite en feu qui a compris qu’elle va avoir une autorisation de sortie. Finalement Claire aura été moins résistante que moi pour le sexe…

Claire me rejoint quelques minutes plus tard après s’être déshabillé dans la salle de bain… Je suis si excité de la perspective d’enfin jouir après 1 mois et demi de chasteté intégrale. Claire cherche quelque chose dans la commode, le trouve avant de me le jeter sur le lit…

- Tiens mets-çà !

Je suis surpris par la tournure des événements. Je regarde ce qu’il semble être un harnais de cuir. Je le fait tourner dans mes mains pour comprendre son utilisation : un harnais porte gode ! Non pas ça ! Je suis pris et donc instantanément humilié et anéanti.

- Et oui mon chéri, il a plusieurs possibilités pour qu’un mari encagé donne du plaisir à sa femme… ce soir j’ai envie de quelques choses de plus « consistant » que ta langue…

Je me retrouve vite avec le Black Eagle entre les jambes. Le faux pénis prend appui sur le pubis au dessus de la cage et, somme toute, ne parait pas trop bizarre dans cette position. L'impression est cependant très bizarre comme si ce n'est pas moi avec ce gros phallus. Il y a un tel écart de taille avec mon propre zizi, que Claire ne manque pas de commenter, que c’est déstabilisant en plus d’être terriblement humiliant. Je crois que nulle femme ne peut résister longtemps à la tentation de se prendre un sexe puissant. 

- On zappe les préliminaires, je suis déjà bien excitée.  Couche-toi sur le dos, je veux me le prendre en amazone pour pouvoir contrôler la profondeur de pénétration vu la bête !

Claire essaye de m'enjamber pour se l'introduire en amazone mais la longueur de l'engin et sa flexibilité réduite lui pose trop de problème. Elle n'arrive pas à se soulever suffisamment haut pour se l'enfiler au creux de sa matrice. Elle essaye de nombreuses fois sans succès entraînant une (petite) frustration.

Elle ne revient donc à un choix de positions plus classique, celle de la levrette. Je ne dois pas bouché. Sa main guide la tête du gode qui s’introduit et disparait cm par cm. La première sensation que Claire raconte est un effet d'envahissement et puis la longueur du sexe permet de jouer avec son col de l'utérus ce que ni mon asticot, ni les bites de ses amants d’avant, n’ont réussi à toucher.

- Et encore là, je l’ai laissé à sa taille minimum en longueur. Humm en diamètre c’est un peu juste… 44 mm ok parfait… je suis bien ancré… vas-y bouge doucement… d’avant en arrière…

Je commence de lents va et vient. Autant il est difficile pour une femme d’apprendre à manier un gode ceinture (au début Claire était même très maladroite), autant pour un homme ainsi équipé les mouvements sont contrôlés immédiatement. C'est si proche du réel et les coups de reins sont quasi similaires. La seule chose est que ce n'est pas ma queue qui, elle, mouille en permanence son envie tout en essayant de remplir au maximum le faible volume disponible de la cage. Elle ne comprend pas pourquoi elle n’a pas les sensations qu’elle devrait avoir dans cette situation… La seule sensation physique étant la pression dans la cage et le frottement du drap sur le bout du gland qui dépasse de la cage. 

Mais si la frustration est bien là, il me reste le plaisir que c'est bien moi qui donne un intense plaisir à la femme que vous vénère. Claire adore sentir les fausses couilles cogner sur l'entrée de son vagin. Et cerise sur le gâteau, la cage vient titiller l'entrée de son anus pour tout son plaisir.

Claire veut se le prendre au « naturel » et n’utilise pas les gadgets du gode pour cette première fois. Elle veut «  de la bonne grosse bite qui fait tant de bien à la chattoune ! Pas des cure-dents comme le tien !  « 

- Allez vas-y remue-toi, que le gode, un vrai mâle lui, me baise profond comme une salope ! Tu n’es plus bon qu’à cela : un rabbit humain dont la petite queue qui m’est inutile mérite d’être enfermée à vie ! Allez du nerf ! Je veux des coups de bites ! Du ramonage à faire fumer mes muqueuses ! Je veux jouir !!! …. Oui ! Oui ! Ouiii !….

L’orgasme s’annonce encore plus dévastateur que tout ceux qu’elle me sert depuis 1 mois et demi, et que je vois passer frustré en cage. Claire n’est habituellement pas ordurière pendant l’Amour .J’en suis tout retourné et excité. Mon définitivement petit pénis ne cesse de crier son envie empêchée pendant qu’elle monte en gammes… Il voudrait tant être de la fête… J’ai mal aux couilles tellement il est devenu dur et  veut s’échapper. Je m’épuise à pistonner de plus en plus fort…  Il est temps que cela en finisse pour ma santé mentale et physique… Faîtes mon Dieu qu’elle jouisse enfin et vite du big O !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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