Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 23:34
BLlavage.jpgLe dimanche pour le bon petit mari soumis que je suis, c'est lavage de ses culottes à la main. 7 culottes toutes propres pour la semaine. Je crois qu'au rythme que c'est parti, je ne suis pas prêt de revoir mes slips avant un bon bout de temps. C'est la femme de ménage qui va finir pas trouver cela bizarre... L'avantage c'est que c'est vraiment pas cher : 7€15 pour 7 culottes roses, à petites fleurs ou mauves.

Pour le reste j'ai été "employé" à ranger de fond en comple une partie de la maison avec déplacement des meubles, et je suis crevé ce soir.

Mais ce qui me motive à reprendre la plume est que j'ai oublié une partie de notre dernière soirée du 26 février et je veux me dépêcher de réparer mon oubli avant que Maîtresse me chope. J'ai donc "oublié" qu'avant l'hommage à Madame, mon cul fut fondamentalement pris, d'abord au gode puis à ma grande surprise au rabbit, ce qui est un grand honneur et une grande première. Ce que je m'aperçois est que le port préalable du rosebud fait que mon anus est tout tendre au moment où ma Maîtresse veut en prendre possession. Finis les refus d'entrée. Là tout est avalé sans aucune difficulté. Pour le rabbit, je n'ai pas compris tout de suite ce que me faisait N. et l'effet est vraiment surprenant les colliers de boules jouent en permance avec l'élasticité de la rondelle qui s'ouvre et se referme au gré du décalage des mouvements des 3 rangs. C'était un massage très érotique auquel je me suis laissé allé mais qui délasse plutôt qu'il excite. Vraiment étonnant !

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Pour finir, nous étions bien motivésde faire dimanche soir une séance alors que les enfants ne sont pas en vacances (rassurez vous pendant qu'ils dorment), pour voir si nous pouvions arriver à en faire quelque chose. Mais j'ai le ventre en vrac alors cela a été partieremise.

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 12:02
Après la séance de la veille, très riche en émotion, nous nous sommes accordés avec N. une soirée d'amoureux avec un repas dans un très bon restaurant. Nous étions biens et détendus. Les mets étaient raffinés et nous sommes en arrivés à parler de notre rencontre début 2000. Nous avions vaguement conscience que notre première nuit devait être dans ces dates là en 2000, mais nous étions pas d'accord sur le jour exact. Nous nous sommes sortis ensemblz lors d'un anniversaire d'une amie commune et nous avons dans notre album de famille gardé le carton d'invitation. Que nous avons ressorti depuis. Cela s'appelait hep toi là bas ! et c''était le .... 26 février 2000 ! C'était donc il y a 10 ans jour pour jour, mais pour cette soirée nous nous en sommes pas souvenus.

Nous vous raconterons un jour notre rencontre. Je me souviens que N. lors de cette fameuse soirée s'est plantée devant moi et m'a demandé si ma proposition était sérieuse. J'ai répondu que oui. Quelle propositon, me diriez vous ? Là il faudra attendre notre histoire... Nous nous sommes éclipsés chez moi peu après minuit et depuis nous nous sommes plus quittés. Ainsi va la vie...

Après ce très bon repas, nous sommes rentrés à la maison un peu grisé mais très bien. Au niveau relations sexuelles, la messe a été rapidement dite car les anglais été arrivés entretemps, au grand déplaisir de N. Alors par dépit, mon amour de Maîtresse m'a montré ses achats de l'après-midi, en particulier un adorable imper noire ras des cuisses, que j'ai imédiatement adoré et trouvé si sexy. Nous nous sommes amusés à faire une séance de photos rien que pour nous 2. Le moment était magique ! Allez je ne suis pas vache, en voici quelques unes pour profiter de la vue merveilleuse que N. m'a offerte.

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Direction la chambre. Là N. par encore totalement Maîtresse a commencé par me prendre en bouche tout en me malaxant les couilles de sa main. C'était divin !

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Rapidement on est passé aus choses sérieuses. Le lit, notre lit, était équipé depuis quelques jours de cordes d'immobilisation. N. m'a fait mettre les menottes en cuir rouge, celles que j'avais achetées il y a longtemps pour elle, et m'a attaché les bras et les jambes aux 4 coins du lit. Avec unde liberté minimale au niveau des mains. Par contre, les jambes pouvaient bouger dans tous les sens. Pour parfaire le tout, elle m'a enfoncé le rosebud dans le cul.

Elle a commencé par le paddle ; à me frapper les fesses. Je m'assume comme maso mais il y a un monde entre rêver d'être fouetté et l'être réellement ! Sur le moment, je vous jure, alors que les coups pleuvent, on ne veut qu'une chose que cela cesse ! Après coup, je vous rassure je suis fier d'avoir supporté les coups; ses coups. En matière de fouettée, il procède comme les douches dorées. Il ne vaut jamais se poser des questions, juste vivre l'instant présent comme un merveilleux acte d'amour et de complicité mutuelle. Ici il ne s'agit pas de dressage conjugual pour améliorer le comprtement du mari soumis, mais juste d'un jeu, paraissant extrême pour certains, entre 2 êtres qui s'adorent. J'ai appris à craindre les coups de N. puissants et précis. Je me rémoussais dans mes liens, cherchant à y échapper. Mais les frappes continuaient à arriver m'arrachant des cris à chaque fois. A un moment elle me dit :

- oh on voit que tu n'y ais plus habitué. Il va falloir reprendre les habitudes !

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Et sur ce, elle a continué a me frapper les fesses. Je désirais cela, et je l'ai eu mais sur le moment je regrettais mes envies. N. claquait mon cul durement, je criais essayant de reprendre mon souffle entre 2 séries.

A un moment, j'étais complétement maté. J'aurais fait sans aucune révolte, tout ce qu'elle m'aurait demandé à ce moment là. Maîtresse a en a profité pour pousser ses avantages en prenant possession de mes couilles et en posant sa botte de cuir sur mon cul. Elle prenait son temps pour prendre les photos, moi je ne souhaitais qu'une chose : que surtout elle ne recommence pas à me battre !

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Ella a ensuite exigé que je rende hommage à son bouton me dirigeant à la cravache si elle trouvait que je n'étais pas assez bon. Il n'y avait aucune réticence possible et si ma langue voisinait avec son tampax, c'était mon problème et pas le sien ! Evacuant la situation, je me suis donc appliqué à sucer comme un bon petit mari soumis, jusqu'elle obtienne l'orgasme recherché.

Elle m'a ensuite trait dans un préservatif qui a rejoint la boite dans le congélateur, puis m'a mis immédiatement en cage.
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Le lendemain matin nous partions rechercher les enfants. C'était un sacré 10ème anniversaire correspondant à ce que est devenue notre sexualité pour notre plus grand plaisir.

Merci N. Je t'aime !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 22:15
J'ai retardé tant que j'ai pu le récit de la suite de la journée de jeudi. Mais maintenant je ne peux plus reculer et je dois vous raconter ce que je considère comme la situation la plus humiliante que j'ai connu depuis que nous jouons au SM. Et là il ne s'agit pas d'une humiliation devant des inconnus mais devant N. la femme que j'aime.

Avant de commencer, je dois préciser qu'il me faut avoir une bonne dose d'amour avant de jouer à un tel jeu, tout pouvant déraper.

Bref sans vous faire plus attendre, le jeu, que d'aucun peut trouver limite, est lié à l'utilisation des lavements dans des situations SM. L'envie de découvrir cet aspect m'est venue en lisant les témoignages d'une Maîtresse conjuguale sur le site US de Sutton qui les utilisent en guise de punition. Mais pour cette première, l'idée était de tester simplement l'impact du traitement.

1_6233.jpgN. avait pris la précaution de me faire enfiler le rosebud pendant la séance à la cire, pour bien m'assouplir la rondelle. Nous nous sommes aperçus que cela facilitait l'intromission ultérieure d'objets contendants. J'avais bricolé une potence de perfusion avec le perroquet des enfants. J'ai sorti tout le matériel commandé chez Mxx : un boc de lavement ainsi qu'un système médical que je qualifierais d'étanchéïté pour éviter les fuites composé de 2 ballons gonflables, qui bientôt prirent la direction de mon rectum.
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Je me mis à 4 pattes et N. brancha le robinet du boc sur l'extrémité de la canule. Elle alla chercher de l'eau tiède qu'elle mit dans le boc. N. faisait tout cela de façon très conscienceuse. Mais quand elle ouvrit, je ne sentis rien. Elle me dit que l'eau ne passait pas à cause de la présence d'air dans le tuyau. Je lui alors répondu que sans doute le circuit avait besoin d'être amorçé. Elle débrancha le robinet pour faire couler un peu d'eau dans la bassine qu'elle avait prise en sécurité, puis remonta l'ensemble. Quand elle réouvrit le robinet, je fus surpris à la vitesse à laquelle le liquide pénétra dans mon rectum, d'autant que l'eau n'était pas tout à fait à la température du corps. Le demi litre qu'elle avait mis ne tarda pas à être avalé.

Elle remplit de nouveau le boc, cette fois à fond. Maintenant le liquide perfusait lentement dans mon corps. Maîtresse surveillait avec sérieux le déroulement de l'opération remettant en place de ci, de là le tuyau pour améliorer l'écoulement. Le liquide descendait regulièrement dans le boc.

Moi je me sentais honteux de prendre ainsi un lavement à 4 pattes. J'avais conscience d'induire aucune excitation chez N. de me traiter ainsi et je commençais à regretter de nous avoir amené vers ce type de jeu.
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Le boc était maintenant de nouveau vide et je vis N. aller à la cuisine rechercher de l'eau, qu'elle remit dans le boc. Puis à ma grande surprise; je l'ai vu enlever son pantalon et sa culotte. Elle positionna le fauteuil de cuir devant ma tête et s'assit dessus. A la vu de ce que j'avais devant mes yeux, je n'avais pas besoin d'explication pour savoir ce que ma Maîtresse attendait de moi. J'avançais ma langue, heureux que N. m'offre un échappatoire plus digne. Bientôt les accoudoirs bloquaient la profondeur de fouille de la langue alors elle mis ses jambes sur mes épaules.

Je me concentrais pour faire du plus doux que je pouvais. Mais pendant ce temps, le liquide continuait son oeuvre. Des fois il rencontrait des obstacles et la pression montait de plus en plus intolérable. Jusqu'à ce que l'obstacle soit vaincu et qie je gagne un répit provisoire. Mes intestins se nouaient et se dénouaient. Terrible sensation. Mais je continuais à m'appliquer de mieux que je pouvais pour ma Maîtresse. Bientôt N. ne s'occupait plus de moi et se laissa aller dans son plaisir qui montait. Le boc était fini, mais N. elle n'avait pas encore fini. Je continuais donc mon oeuvre jusqu'à que N. obtienne enfin la jouïssance qu'elle désirait.

A ce moment en ayant marre d'être à 4 pattes, j'ai commis une première erreur. En profitant du moment de relâchement de ma Maîtresse, j'ai osé me relever. Instantanément, la masse d'eau a basculé rendant la pression dans le rectum intolérable. N. ne serait pas parvenue à me raisonner, je n'avais qu'une idée en tête : me soulager pour faire cesser cette torture.

Je partis donc de plus vite que je pouvais vers les toilettes, avec la drole de canule fichée dans mon cul. N. qui avait maintenant récupéré me suivait derrière, éclatée de rire par ma drôle de démarche. Allez plus vite mon petit soumis et j'ai envie de voir cela ! Elle n'avait pas besoin de me le dire, j'allais aussi vite que je pouvais mais la masse d'eau à chaque pas se balançait rendant ma démarche très risquée.

J'ai enfin réussi à atteindre la cuvette des WC. Je m'y suis assis, pressé d'être libéré. La porte était restée ouverte et Maîtresse me regardait curieuse. Et là j'ai fait une deuxième erreur : j'ai d'abord dégonflé les poires. J'ai mis la main sous les fesses pour récupérer la canule au vol puis j'ai poussé. Ce fut un carnage : cela gicla partout sur le sol, sur les murs !

N. était sidérée: oh c'est vraiment dégueulasse !. Et sur ces mots, elle partit me laissant litérallement dans la merde.

J'étais atterré et tellement honteux !

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Dimanche 7 mars 7 07 /03 /Mars 06:30
blhumbler5.jpgJe me concentre d’abord à démarrer le feu. Je me déplace à 4 pattes en faisant très attention à ne pas trop tirer sur mes pauvres couilles. Je sens aussi bien en place le rosebud dans mon cul. Ce n’est pas facile de démarrer un feu à 4 pattes mais avec patience j’arrive peu à peu à mes fins. J’ai un peu froid et il me tarde de sentir la chaleur des flammes…

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Puis je me lance dans une séance photo pour m’occuper en usant du retardateur de prise. De nombreuses fois, car je ne suis jamais comme il faut dans le cadre. Cela m’occupe un temps. Je me demande quelle heure il peut être. Là je triche car l’heure est sur le décodeur sat. Mazette que 15 minutes de passées : cela va être long ! Je regrette presque aussitôt de disposer d’un moyen d’avoir l’heure car cela diminue un peu le trouble de l’attente. Je me souviens de l’été dernier où Maîtresse m’avait attaché sur le lit de notre petit bout pour la nuit. Il ne fait que 1m40 blhumbler2.jpgalors la nuit est un peu compliquée. Je n’avais aucune idée de l’heure quand je me réveillais, seul le jour filtrant à travers le volet m’a indiqué que le temps avancait. Mais c’était un dimanche et Maîtresse a fait la grasse matinée. Donc je n’est pas arrêté d’attendre. Super souvenir !
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Mais là avec l’heure sur le décodeur, je constate avec mon grand déplaisir que le temps n’avance vraiment pas. Et là en plus, je sais où est N. alors j’ai une vague idée de combien de temps va durer mon attente… Je m’occupe une peu du feu. 3 minutes. Je prend une photo de mon rosebud. 2 minutes. Cela va être long.

blhumbler4.jpgLes couilles commencent à faire mal. Le temps n’avance pas. J’ai froid. Je finis pas me caler à faible distance de la cheminée, par rassembler mes membres autour de mon corps et posblhumbler3.jpger mon front sur le sol en béton. Et là mon esprit à commencer à divaguer dans des fantaisies SM. J’étais bien en état second de soumission. Je pensais à plein de choses sur nos expériences et sur mes envies…  J’étais bien flottant dans un espace de soumission, excité et troublé… je m’imaginais dans de tas de positions contraignantes...et excitantes.

A un moment je sors de mes pensées et je regarde de nouveau l’heure : 45 minutes ont passées et je ne m’en suis pas aperçu. Je me demande même si je ne me suis pas endormi la tête sur le sol. Je pense qu’à ce moment là, je suis clairement parti dans le sub space sans douleur.

Encore quelques minutes à attendre et j ‘entends la voiture de ma femme.

Un très bon souvenir !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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