Samedi 27 mars 6 27 /03 /Mars 12:01

Vendredi alors que nous roulions vers mes beaux-parents, nous nous sommes arrêtés à un moment sur une aire d'autoroute. J'étais en train de fumer tranquillement dehors pendant que N. et les enfants goutaient à l'intérieur. Dehos j'ai remarqué un car qui s'était arrêté bourré d'adolescents et d'adolescentes. Cela m'a ramené à mon passé...


Et cet été là j'étais parti en camp en Norvège en car. J'avais 17 ans et des poussières. J'étais encore puceau. L'ambiance dans le camp était très électrique, presque érotique. La nuit ne tombait jamais ;  nous ne couchions qu'à 5 ou 6 heures du matin entraîné par les monos qui n'arrêtaient pas.

Des couples commençaient à se former de ci de là, mais pas pour moi. Je ne voulais pas être en reste. J'avais eu la possibilité d'embrasser pour la toute première fois une fille 2 ans auparavant lors du mariage d'une cousine. Mais j'avais bloqué au dernier moment. à mon grand regret maintenant.


Bref je me suis retrouvé dans ce camp en Norvège avec la tostesrone bien à fond étant toujours puceau. A la vue des couples qui se formaient, j'avais envie moi aussi d'avoir ma part. J'étais intéressé par une dénommée Fleur mais elle ne semblait pas vraiment apprécier ma présence. Si je me souviens bien, je crois que je suis allé à un moment la voir, pour me prendre un rateau. J'étais déboussolé. C'est à ce moment que je me suis aperçu qu'une fille me suivait en permanence. J'avais été vraiment trop con pour m'en apercevoir. Claire qu'elle s'appelait et elle venait de fêter ses 15 ans. L'occasion faisant le larron, elle a commencé à m'interesser beaucoup peut être par dépit.

Nous itinérions de fjord en fjord. Et un soir nous sommes retrouvé dans un fjord à côté de Bergen. Je ne sais plus comment cela c'est passé mais j'avais proposé d'aller se promener avec des filles, mais seule Claire a voulu me suivre. Nous nous sommes retrouvés à un moment sur un banc au bord de la plage et je me suis décidé à ce moment là de l'embrasser. Ma langue glissait à l'intérieur de sa bouche. C'était la première fois et c'était fabuleux. Je pense qu'a posteriori Claire était vraiment douée pour cela. Je me souviens qu'elle m'a dit que sa mère était la maîtresse d'un député. Tout en programme qui était annonceur d'un terreau très fertile.J'ai continué à l'embrasser longtemps tout en lui parlant du flux er reflux de JJ. Rousseaux (j'osais vraiment tout à l'époque). Tout un programme !


Plus tard nous nous sommes retrouvés dans un passage souterrain sous une route. J'ai eu envie de voir ses seins. J'ai passé les mains dans son dos mais je ne suis pas arrivé à trouver l'attache de son soutien-gorge, pour cause c'était une brassière ! Cela m'a dépité et je tirais véritablement la gueule.

Le lendemain, la journée a commencé par la venue d’une ambassade de ses copines, qui me dirent comment je comptais pour elle et qu’elles me botteraient si je n’était pas sérieurs. Puis à un moment de la journée, elle m'a interpellé à l'écart du groupe en me disant que si je voulais voir ses seins, de la suivre immédiatement Nous sommes partis nous promener dans la campagne et là pour la première fois, elle m'a montré sa poitrine. C'était magnifique. J'étais aux anges. Plus tard nous sommes revenus dans le camping et nous avons trouvé un endroit isolé entre les tentes. Nous étions allongés dans l'herbe et pour faire tomber la pression, j'ai commencé à jouer avec mon sexe, jusqu'à me branler carrément sans ni qu'elle m'arrête ni qu'elle participe. Le vieux que je suis devenu juge le jeune comme étant vraiment trop con pour ne pas s'occuper de la fille. Mais à l'époque sans doute que je ne sentais pas les choses comme cela/ Je suis partis et je me souviens de lui avoir proposé de gouter mon sperme. Elle m'a répondu très gentiment non merci.


Au moment de se coucher vers 6h, il y a eu un petit problème (que j'ai pensé plus tard comme prémédité). Elle dormait dans une tente de 3, mais sa tente était déjà pleine quand nous y sommes allés. Je lui ai proposé de venir dormir dans la tente des garçons, où nous étions habituellement 6. Nous avons réussi à rentrer à 7, et elle s'est endormie dans mes bras.


Au milieu de la matinée, quand nous nous sommes réveillés, tout le monde était déjà parti et nous étions seuls dans la tente. J'en ai profité pour m'occuper d'elle. Je lui ai fait enlever le haut de son pyjama et ses seins pointaient complétement libres. Nous discutions, c'était très agréable pendant que ma main se rapprochait peu à peu de ses cuisses. A un moment, j'ai atteint l'élastisque de sa culotte, là elle a commencé à dire : Non. Vous savez ce Non, qui chez les jeunes filles veut dire Oui. J'ai continué à progresser dans sa culotte, descendant 1/2 centimètre par 1/2 centimètre. Elle disait toujours non mais cela ne m'arrêtait pas. Peu à peu j'approchais de sa chatte que je sentais humide. Mon doigt déjà parcourait les grosses lèvres en restant en retrait.  Ses Non se faisaient de plus en plus sourd comme pour m"encourager. Sa respiration se troublait peu à peu. J'osais enfin m'introduite au sein de l'antre, accueilli pas un soupir involontaire de contentement. J'étais dans la place, et la petite demoiselle prenait son pied, le premier. Elle soupirait d'aise avec les attaques de mes doigts. Je ne connaissais rien de son anatomie et faisait tout au feeling encouragé par ses soupirs. Les Non avaient disparu depuis un moment. Ses cris ont nettement atteint un maximum puis le calme est peu à peu revenu. J'ai enlevé ma main et ai dégagé mon sexe bien bandé de mon pantalon, que j'avais gardé.


Claire ne savait que faire et hésitait. Visiblement un conflit se déroulait dans sa tête, dont j'attendais la conclusion. Mais j'avais envie folle de sentir son doux contact sur mon intimité. Je l'encourageais donc : vas y saisis le, il n'y a que le premier pas qui compte. Elle se décide enfin et tente une première caresse sur la bête. Délicieuse fille. Je lui indique comment me branler en faisant coulisser sa main sur la ma tige. Elle m'écoute et peu à peu sa main commence à me branler. Elle semble avoir maintenant dompté ses peurs, pour vouloir me donner du plaisir. C'est délicieux et frais, mais le rythme ne me permettra pas d'atteindre l'orgasme. Je met ma main au dessus de la sienne, l'enserrant pour imposer le bon rythme. Et avec nos 2 mains, nous continuons la caresse doucement puis fermement. Jusqu’à ce que le sperme parte. J’étais aux anges. Je lui libère la main, qu’elle enlève presque à regret.

Le jour d’après nous avions bougé. Nous étions dans une auberge de jeunesse sur le chemin de retour vers Oslo. Je me souviens avoir dit au chef mono, qui avait un problème de place, de ne pas s’inquiéter que Claire et moi nous dormirions ensemble. Il ne m’a rien répondu, me gratifiant d’un magnifique sourire plein de sous-entendus. Nous voilà dans un lit, un vrai lit. Plus haut, un couple fait déjà l’amour. Cela me donne des envies et je glisse ma main sous la couverture. Horreur : elle a gardé sa culotte et refuse de l’enlever. Elle ne veut plus pourtant elle est dans le même lit. Alors que fait un jeune adolescent les hormones à fleur de peau qui veut arriver à ses fins. Il flatte et fascine tel le serpent Kaa jusqu’à la petite demoiselle cède et abaisse les barrières de sa dernière dignité.  C’est caricatural je sais, c’est tout sauf honnête, a posteriori c’est un abus de l’homme qui mériterait une sanction de la part de ma Maîtresse mais dans l’instant c’est ainsi que j’ai fait.

Claire n’y a pas perdu parce qu’une fois l’accès libéré, je suis parti à la découverte de son temple du désir masculin, en prenant une lampe de poche et en me faufilant sous les draps. J’avais pour la première fois, devant mes yeux, la vision complète du sexe d’une jeune fille avec ses rougeurs, ses protubérances et ce côté brillant que prend toute femme sous le coup de l’émotion en face de l’Homme. Cela m’a tout de suite plu à ravir. Ce soir là, j’ai profité de mon avantage pour jouer avec ces chairs sublimes, parfois sur le bouton, parfois au fond de l’antre, osant même goûter son odeur de la langue. J’étais dans une bulle sous la couette, je ne l’entendais plus, ne réagissant plus qu’à ses mouvements. C’était parfait.

Après un long moment en tête à tête avec l’origine de son monde, je suis remonté ma tête à sa hauteur. Je l’embrasse profondément, nos langues jouant une sarabande à 2. Et voilà que Claire me dit : je veux bien mais j’ai peur d’avoir mal. Malheurs à moi, les étés précédents, j’avais toujours des préservatifs sur moi qui pour cause ne me servaient pas, restant puceau. Mais là je n’avais rien prévu. Comme si lors de ce camp en Norvège, il ne pouvait rien se passer de bon pour moi. Qui plus est, je n’avais aucune idée où cela s’achetait en Norvège. J’ai eu la tentation d’y aller un moment sans filet, d’autant que Claire ne semblait pas s’en préoccuper. Mais là 17 ans d’éducation ont ressurgi et j’ai banni cette idée. Claire, j’en aurais vraiment envie mais je n’ai pas de capote et je n’ai pas envie que tu tombes enceinte. Et là la délicieuse Claire semblait soulager que sa date d’exécution était remise à plus tard.  J’étais moi aussi soulagé qu’elle le prenne si bien.

Après un moment de silence, elle a repris enfin la parole. Viens j’ai envie de prendre une douche. Nous descendons au rez de chaussée. Je pense que je n’ai jamais vu une douche si grande, d’abord avec une antichambre pour se dévêtir avec 2 bancs de chaque côté, puis une immense douche de carrelage blanc. Je me souviens du trouble fortement sexuel quand nous nous déshabillons mutuellement. Je me souviens de la beauté fascinante de claire que je voyais pour la première fois entièrement dans sa plus simple tenue. J’étais amoureux de ce corps, j’étais amoureux de cette fille. Elle finit par mon caleçon, libérant mon vigoureux vit. L’ambiance était électrique. Nous allons sous la douche qui à notre grand malheur se révèle plus que glacée. Qu’importe nous nous encastrons l’un dans l’autre, l’un en face de l’autre. Nos mains traînent sur tous nos corps. Caressant, frôlant, inspirant des soupirs. Un moment hors du temps.

La suite du voyage a été une longue attente. Nous retournions en France sans arrêt me permettant de résoudre mon problème de capotes. Nous voyagions tout le jour, et dormions dans le car la nuit. Claire voyageait à côté de moi, mais après l’intense trouble sexuel des derniers jours, tout m’était trop calme.

En Allemagne, nous nous sommes arrêtés une après-midi pour que le chauffeur dorme un peu. J’étais avec les copains, un peu loin de Claire. A un moment, je l’ai retrouvé et là je lui ai demandé crânement de prendre l’initiative, que j’en avais marre de tout initier… Un peu plus tard au cœur de la nuit, nous roulions vers le France. Certains dormaient dans le car, d’autres jouaient aux cartes ou parlait, Claire et moi nous discutions. Nous avions mis mon duvet sur nos genoux pour ne pas avoir froid. A un moment, Claire se tut et me fit chut avant de passer sous le duvet. Je l’a senti déboutonné mon pantalon, baisser mon slip et sans aucune hésitation prendre en bouche mon sexe. Au milieu du car, se moquant de qui aurait pu voir. Je reste persuadé maintenant qu’elle ne l’avait jamais fait, et je suis impressionné encore de son initiative. Quel culot ! Douée que je vous ait dit. Claire me suçait au milieu du monde et seule sa bouche comptait à ce moment qui était d’une douceur jamais plus égalée (désolé ma chérie), un vrai bonheur. Jusqu’à éclater dans sa bouche.

Le reste n’a été qu’une descente, le climax était passé.

Première temps, nous arrivons à Besançon. J’arrive à acheter des préservatifs dans une pharmacie bien française sans cependant que cela échappe à Claire, malgré la discrétion que j’y met. Le soir, Claire est devenue une forteresse. Soutien-gorge, culottes et pyjamas bien fermé. Impossible de bouger le rocher. La demoiselle est devenu rocher, nous nous engueulons avant que de bonnes âmes nous réconcilie. Mais il ne passera plus rien à part de s’endormir ensemble.

Deuxième temps, un mois plus tard dans un camp de vacance dans la Montagne. J’arrive mais Claire ne réagit pas.
C’est normal je pense car je ne lui ai pas écrit. Repas. Le soir au coucher, je tente ma chance. Je me fais rabrouer, pauvre idiot, et elle sort ostensiblement avec un autre gars du camp. Défait  je n’insiste pas. Je me rends compte que cela a été une histoire sexuelle avant d'être une histoire d'ampiur… L’été est bien fini. Merci Claire pour ces moments magiques.

dyonisos
 

Par dyonisos
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Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 23:34
BLlavage.jpgLe dimanche pour le bon petit mari soumis que je suis, c'est lavage de ses culottes à la main. 7 culottes toutes propres pour la semaine. Je crois qu'au rythme que c'est parti, je ne suis pas prêt de revoir mes slips avant un bon bout de temps. C'est la femme de ménage qui va finir pas trouver cela bizarre... L'avantage c'est que c'est vraiment pas cher : 7€15 pour 7 culottes roses, à petites fleurs ou mauves.

Pour le reste j'ai été "employé" à ranger de fond en comple une partie de la maison avec déplacement des meubles, et je suis crevé ce soir.

Mais ce qui me motive à reprendre la plume est que j'ai oublié une partie de notre dernière soirée du 26 février et je veux me dépêcher de réparer mon oubli avant que Maîtresse me chope. J'ai donc "oublié" qu'avant l'hommage à Madame, mon cul fut fondamentalement pris, d'abord au gode puis à ma grande surprise au rabbit, ce qui est un grand honneur et une grande première. Ce que je m'aperçois est que le port préalable du rosebud fait que mon anus est tout tendre au moment où ma Maîtresse veut en prendre possession. Finis les refus d'entrée. Là tout est avalé sans aucune difficulté. Pour le rabbit, je n'ai pas compris tout de suite ce que me faisait N. et l'effet est vraiment surprenant les colliers de boules jouent en permance avec l'élasticité de la rondelle qui s'ouvre et se referme au gré du décalage des mouvements des 3 rangs. C'était un massage très érotique auquel je me suis laissé allé mais qui délasse plutôt qu'il excite. Vraiment étonnant !

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Pour finir, nous étions bien motivésde faire dimanche soir une séance alors que les enfants ne sont pas en vacances (rassurez vous pendant qu'ils dorment), pour voir si nous pouvions arriver à en faire quelque chose. Mais j'ai le ventre en vrac alors cela a été partieremise.

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 12:02
Après la séance de la veille, très riche en émotion, nous nous sommes accordés avec N. une soirée d'amoureux avec un repas dans un très bon restaurant. Nous étions biens et détendus. Les mets étaient raffinés et nous sommes en arrivés à parler de notre rencontre début 2000. Nous avions vaguement conscience que notre première nuit devait être dans ces dates là en 2000, mais nous étions pas d'accord sur le jour exact. Nous nous sommes sortis ensemblz lors d'un anniversaire d'une amie commune et nous avons dans notre album de famille gardé le carton d'invitation. Que nous avons ressorti depuis. Cela s'appelait hep toi là bas ! et c''était le .... 26 février 2000 ! C'était donc il y a 10 ans jour pour jour, mais pour cette soirée nous nous en sommes pas souvenus.

Nous vous raconterons un jour notre rencontre. Je me souviens que N. lors de cette fameuse soirée s'est plantée devant moi et m'a demandé si ma proposition était sérieuse. J'ai répondu que oui. Quelle propositon, me diriez vous ? Là il faudra attendre notre histoire... Nous nous sommes éclipsés chez moi peu après minuit et depuis nous nous sommes plus quittés. Ainsi va la vie...

Après ce très bon repas, nous sommes rentrés à la maison un peu grisé mais très bien. Au niveau relations sexuelles, la messe a été rapidement dite car les anglais été arrivés entretemps, au grand déplaisir de N. Alors par dépit, mon amour de Maîtresse m'a montré ses achats de l'après-midi, en particulier un adorable imper noire ras des cuisses, que j'ai imédiatement adoré et trouvé si sexy. Nous nous sommes amusés à faire une séance de photos rien que pour nous 2. Le moment était magique ! Allez je ne suis pas vache, en voici quelques unes pour profiter de la vue merveilleuse que N. m'a offerte.

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Direction la chambre. Là N. par encore totalement Maîtresse a commencé par me prendre en bouche tout en me malaxant les couilles de sa main. C'était divin !

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Rapidement on est passé aus choses sérieuses. Le lit, notre lit, était équipé depuis quelques jours de cordes d'immobilisation. N. m'a fait mettre les menottes en cuir rouge, celles que j'avais achetées il y a longtemps pour elle, et m'a attaché les bras et les jambes aux 4 coins du lit. Avec unde liberté minimale au niveau des mains. Par contre, les jambes pouvaient bouger dans tous les sens. Pour parfaire le tout, elle m'a enfoncé le rosebud dans le cul.

Elle a commencé par le paddle ; à me frapper les fesses. Je m'assume comme maso mais il y a un monde entre rêver d'être fouetté et l'être réellement ! Sur le moment, je vous jure, alors que les coups pleuvent, on ne veut qu'une chose que cela cesse ! Après coup, je vous rassure je suis fier d'avoir supporté les coups; ses coups. En matière de fouettée, il procède comme les douches dorées. Il ne vaut jamais se poser des questions, juste vivre l'instant présent comme un merveilleux acte d'amour et de complicité mutuelle. Ici il ne s'agit pas de dressage conjugual pour améliorer le comprtement du mari soumis, mais juste d'un jeu, paraissant extrême pour certains, entre 2 êtres qui s'adorent. J'ai appris à craindre les coups de N. puissants et précis. Je me rémoussais dans mes liens, cherchant à y échapper. Mais les frappes continuaient à arriver m'arrachant des cris à chaque fois. A un moment elle me dit :

- oh on voit que tu n'y ais plus habitué. Il va falloir reprendre les habitudes !

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Et sur ce, elle a continué a me frapper les fesses. Je désirais cela, et je l'ai eu mais sur le moment je regrettais mes envies. N. claquait mon cul durement, je criais essayant de reprendre mon souffle entre 2 séries.

A un moment, j'étais complétement maté. J'aurais fait sans aucune révolte, tout ce qu'elle m'aurait demandé à ce moment là. Maîtresse a en a profité pour pousser ses avantages en prenant possession de mes couilles et en posant sa botte de cuir sur mon cul. Elle prenait son temps pour prendre les photos, moi je ne souhaitais qu'une chose : que surtout elle ne recommence pas à me battre !

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Ella a ensuite exigé que je rende hommage à son bouton me dirigeant à la cravache si elle trouvait que je n'étais pas assez bon. Il n'y avait aucune réticence possible et si ma langue voisinait avec son tampax, c'était mon problème et pas le sien ! Evacuant la situation, je me suis donc appliqué à sucer comme un bon petit mari soumis, jusqu'elle obtienne l'orgasme recherché.

Elle m'a ensuite trait dans un préservatif qui a rejoint la boite dans le congélateur, puis m'a mis immédiatement en cage.
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Le lendemain matin nous partions rechercher les enfants. C'était un sacré 10ème anniversaire correspondant à ce que est devenue notre sexualité pour notre plus grand plaisir.

Merci N. Je t'aime !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 22:15
J'ai retardé tant que j'ai pu le récit de la suite de la journée de jeudi. Mais maintenant je ne peux plus reculer et je dois vous raconter ce que je considère comme la situation la plus humiliante que j'ai connu depuis que nous jouons au SM. Et là il ne s'agit pas d'une humiliation devant des inconnus mais devant N. la femme que j'aime.

Avant de commencer, je dois préciser qu'il me faut avoir une bonne dose d'amour avant de jouer à un tel jeu, tout pouvant déraper.

Bref sans vous faire plus attendre, le jeu, que d'aucun peut trouver limite, est lié à l'utilisation des lavements dans des situations SM. L'envie de découvrir cet aspect m'est venue en lisant les témoignages d'une Maîtresse conjuguale sur le site US de Sutton qui les utilisent en guise de punition. Mais pour cette première, l'idée était de tester simplement l'impact du traitement.

1_6233.jpgN. avait pris la précaution de me faire enfiler le rosebud pendant la séance à la cire, pour bien m'assouplir la rondelle. Nous nous sommes aperçus que cela facilitait l'intromission ultérieure d'objets contendants. J'avais bricolé une potence de perfusion avec le perroquet des enfants. J'ai sorti tout le matériel commandé chez Mxx : un boc de lavement ainsi qu'un système médical que je qualifierais d'étanchéïté pour éviter les fuites composé de 2 ballons gonflables, qui bientôt prirent la direction de mon rectum.
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Je me mis à 4 pattes et N. brancha le robinet du boc sur l'extrémité de la canule. Elle alla chercher de l'eau tiède qu'elle mit dans le boc. N. faisait tout cela de façon très conscienceuse. Mais quand elle ouvrit, je ne sentis rien. Elle me dit que l'eau ne passait pas à cause de la présence d'air dans le tuyau. Je lui alors répondu que sans doute le circuit avait besoin d'être amorçé. Elle débrancha le robinet pour faire couler un peu d'eau dans la bassine qu'elle avait prise en sécurité, puis remonta l'ensemble. Quand elle réouvrit le robinet, je fus surpris à la vitesse à laquelle le liquide pénétra dans mon rectum, d'autant que l'eau n'était pas tout à fait à la température du corps. Le demi litre qu'elle avait mis ne tarda pas à être avalé.

Elle remplit de nouveau le boc, cette fois à fond. Maintenant le liquide perfusait lentement dans mon corps. Maîtresse surveillait avec sérieux le déroulement de l'opération remettant en place de ci, de là le tuyau pour améliorer l'écoulement. Le liquide descendait regulièrement dans le boc.

Moi je me sentais honteux de prendre ainsi un lavement à 4 pattes. J'avais conscience d'induire aucune excitation chez N. de me traiter ainsi et je commençais à regretter de nous avoir amené vers ce type de jeu.
bllavement2
Le boc était maintenant de nouveau vide et je vis N. aller à la cuisine rechercher de l'eau, qu'elle remit dans le boc. Puis à ma grande surprise; je l'ai vu enlever son pantalon et sa culotte. Elle positionna le fauteuil de cuir devant ma tête et s'assit dessus. A la vu de ce que j'avais devant mes yeux, je n'avais pas besoin d'explication pour savoir ce que ma Maîtresse attendait de moi. J'avançais ma langue, heureux que N. m'offre un échappatoire plus digne. Bientôt les accoudoirs bloquaient la profondeur de fouille de la langue alors elle mis ses jambes sur mes épaules.

Je me concentrais pour faire du plus doux que je pouvais. Mais pendant ce temps, le liquide continuait son oeuvre. Des fois il rencontrait des obstacles et la pression montait de plus en plus intolérable. Jusqu'à ce que l'obstacle soit vaincu et qie je gagne un répit provisoire. Mes intestins se nouaient et se dénouaient. Terrible sensation. Mais je continuais à m'appliquer de mieux que je pouvais pour ma Maîtresse. Bientôt N. ne s'occupait plus de moi et se laissa aller dans son plaisir qui montait. Le boc était fini, mais N. elle n'avait pas encore fini. Je continuais donc mon oeuvre jusqu'à que N. obtienne enfin la jouïssance qu'elle désirait.

A ce moment en ayant marre d'être à 4 pattes, j'ai commis une première erreur. En profitant du moment de relâchement de ma Maîtresse, j'ai osé me relever. Instantanément, la masse d'eau a basculé rendant la pression dans le rectum intolérable. N. ne serait pas parvenue à me raisonner, je n'avais qu'une idée en tête : me soulager pour faire cesser cette torture.

Je partis donc de plus vite que je pouvais vers les toilettes, avec la drole de canule fichée dans mon cul. N. qui avait maintenant récupéré me suivait derrière, éclatée de rire par ma drôle de démarche. Allez plus vite mon petit soumis et j'ai envie de voir cela ! Elle n'avait pas besoin de me le dire, j'allais aussi vite que je pouvais mais la masse d'eau à chaque pas se balançait rendant ma démarche très risquée.

J'ai enfin réussi à atteindre la cuvette des WC. Je m'y suis assis, pressé d'être libéré. La porte était restée ouverte et Maîtresse me regardait curieuse. Et là j'ai fait une deuxième erreur : j'ai d'abord dégonflé les poires. J'ai mis la main sous les fesses pour récupérer la canule au vol puis j'ai poussé. Ce fut un carnage : cela gicla partout sur le sol, sur les murs !

N. était sidérée: oh c'est vraiment dégueulasse !. Et sur ces mots, elle partit me laissant litérallement dans la merde.

J'étais atterré et tellement honteux !

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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