L'heure arrivant où je devais aller cherche les enfants à la sortie de l'école, j'ai rangé tous nos accessoires SM. Une fois cela terminé, je me suis présenté devant ma Maîtresse qui m'a dir que j'avais été un bon soumis et que j'avais droit à une récompense. Je suis monté à 4 pattes sur le lit...

Sacrée journée !
Merci Maîtresse.

JE VOUS AIME

dyonisos

POST SCRIPTUM

Un de désagréments de cette traite à 10 jours (pour moi le maxi des hormones) c'est que les couilles se sont remis à fabriquer du sperme en grande quantité et qu'elles sont devenues énormes au point de toujours lutter avec les anneaux. Elles sont broyées toute la journée, ce qui rend le port de la cage beaucoup plus difficile. J'ai de nouveau l'impression d'avoir un plâtre à la bite. Heureusement que ma Maîtresse me laisse quelques heures de répit par jour. Mais au travail pas le choix je pars en cage et la clé est à la maison.

Mercredi soir j'ai eu droit à une traite exceptionnelle. C'est la première fois que je demandais à N. de pouvoir me soulager. Ce n'est pas mon genre, mais j'avais trop mal aux couilles. Ma supplique l'a beaucoup amusé et d'abord elle a posé ses conditions : il n'est pas question que tu te touches, c'est moi qui te trait ! Sa voix était déterminée, et  j'ai donc sagement attendu comme un bon tout qu'elle veuille bien me traire. Et j'ai attendu longtemps, elle a même failli m'oublier au coucher mais je lui ai rappelé doucement. Elle s'occupait de moi et un peu de sperme est sorti : tout ça pour ça. Finalement elle m'a laissé sans la cage la nuit, et cela m'a permis de repartir sur un bon pied.

Merci Maîtresse

Après un repas somme toute vanille, nous voilà repartis. En fait seulement moi à qui Maîtresse m'avait assigner de :
1. ranger la cuisine
2. laver les 80m² de sol
3. étendre les lessives.

J'étais de nouveau tout nu avec mon collier, mes bracelets de chevilles et de poignets, mon collier et ma cage de bite que N. m'avait remise avant le repas. Elle part ostensiblement s'allonger sur le canapé pendant que je commence mon labeur.

D'abord faire le ménage c'est toujours creuvant. Et dans cette situation, dangereux. J'ai fermé quelques volets mais dans certains endroits les voisins peuvent me voir depuis leur étage. Je me dépêche d'y passer mais je dois bien y laver le sol. Mais le pire est que N. a décidé du pire affront, elle regarde sur la télé les derniers épisodes de notre série préférée que nous regardons toujours ENSEMBLE et ce sans SANS MOI. C'est un véritable attentat visant à me faire chier et effectivement cela m'a bien fait chier que ma Maîtresse se le permette.

C'était peu passionnant de laver les sols et comme je suis perfectionniste j'ai voulu passer la serpillière là où personne ne la passait jamais (bien que je vous assure que N. depuis que je la connais n'a jamais lavé un sol : c'était moi ou les femmes de ménage). Mais j'aimais bien que N. me traite de cette façon là,très déséquilibrée, en esclave domestique.

A un moment je me suis fait rabroué car j'avais mal étendu la lessive. Et là aussi j'ai adoré.

Je suais. Mes fesses et mon petit zizi en cage me faisaient mal. Le venin des orties continuait à se diffuser entrainant des sortes de spasmes et picotements sous la peau (en fait l'effet n'a disparu que le soir).

Bien quand j'ai eu enfin fini, j'ai remis ma laisse. En fait depuis quelques mois nous utilisons plus des laisses bien trop courtes et peu pratiques, j'ai acheté une fois une magnifique longe de 3m de cheval verte et mauve, et cela convient parfaitement : elle peut me diriger à distance tout en matant (car je pense qu'elle le fait) mon dos et mes fesses se dandinant au grè de mes mouvements à 4 pattes.

N. était au téléphone, je me suis positionné au sol devant elle tout nu, la laisse entre les dents. J'avais trop envie de me soulager. Maîtresse m'a regardé très interessée. Quand elle a raccroché, elle a pris le bout de la laisse puis l'a fait claquer sur mon dos, pour dire d'avancer. C'était l'heure de la promenade....

dyonisos