Les vacances tiennent leurs promesses vanilles . C’est si agréable de se retrouver tous les 2 pour des moments de pure
complicité au lit. Je t’aime. D.
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Les vacances tiennent leurs promesses vanilles . C’est si agréable de se retrouver tous les 2 pour des moments de pure
complicité au lit. Je t’aime. D.
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Oh mon dieu que son dos est divin. Ses cheveux ont gardé le fol désordonné obtenu quand elle m'a longtemps monté à cru cette
nuit avant de finir par s'endormir dans mes bras complètement bercées par les phéromones de son amant. |
Un saucisson, m'avait promis mon petit soumis. Et t'embrocher au plus profond du rectum, comme j'aime cela mon Amour. Tout pour moi, y compris le « farfouillage » de ton antre du bout de mon petit vit, n'est que préliminaires avant de passer au vrai objectif de l'offensive amoureuse : ton fabuleux œillet plissé qui s'ouvrait avec envie sous la pression de mon pouce éclaireur. En cette merveilleuse après-midi avec le soleil filtrant des persiennes, tout allait à merveille. L'heure crapuleuse de la sieste est décidemment notre moment d'accouplement de prédilection. Je t'ai consciencieusement ficelée pour te laisser reposer, frustrée, tendue dans l'attente. Je sais ce que les cordes t'apportent d'intensité aux niveaux physique et psychique. Je me souviens encore avec délectation de tes joues rouges et honteuses dans le magasin, quand je t'ai emmené notre premier été en acheter. Une envie d'essayer et un saut dans l'inconnu... Je me rappelle ce studio de Port Camargue, où insouciants nous pratiquions nos jeux amoureux. L'heure était la même mais la chaleur beaucoup plus intense. Le chat regardait les passants sur le balcon aller vers la plage, éternelle source d'intérêt. Je t'ai ficelé maladroitement les seins, avant de te prendre puissamment, en passant à côté de l'intense bataille qui se déroulait dans ta tête. Ce plaisir tu me l'as avoué quelques semaines plus tard, comme s'il n'était pas convenable de s'être laissée surprendre ainsi. Tu étais là en position de prière/offrande affalée sur les oreillers. Je te laissais mariner frustrée et impatiente pour t'entendre quémander. Tu dis que tu étais restée dominante juste parce que tu avais choisi le terrain de bataille. Que nenni. La Maîtresse était loin à ce moment là, et il n'y avait qu'une ardente épouse, magnifiquement parée de ses cordes rouges, qui appelait de tous ses vœux la saillie de son Mâle. Je te l'ai furtivement rappelé à ton dépourvu en te donnant un coup de paddle sur la fesse droite. Tu as hâtivement protesté. Rétorsions semble ton mot favori en ce moment. Je me suis positionné derrière ta croupe dégageant un peu les cordes pour libérer l'entrée. Ton dos était magnifique avec son quadrillage de lignes rouges. Je me suis présenté et d'un profond coup de rein, j'ai pris possession de ce qui est mien. Je te soupçonne de préférer cette position bestiale, non pour l'étroitesse de ton antre, mais pour l'abandon qu'elle t'emmène de femelle se faisant saillir par le Mâle. Tu étais la vache assumée, j'étais devenu le taureau. J'ai commencé le pilonnage. Variant les angles d'attaques et les profondeurs des percées successives. La Maîtresse n'existait plus, mais la femelle était là, toute ardente de désir. Je te conduisais par tes cordes vers les espaces sauvages du plaisir. Ta symphonie était sublime avec des petits cris entrecoupés de oh, ah, oui. Et je me délectais de tenir la place sentant ton antre céder peu à peu sous les coups de buttoirs, jusqu'à laisser sans défense le col du fond. Tu étais maintenant complètement assaillie. La victoire était totale avec son sentiment de plénitude. Je fouillais tous les coins de mon domaine reconquis. J'y étais tellement bien que je faillis me faire surprendre au détour du col et connaître le sort du vaincu. Je calmais un temps mon ardeur et commençais le préparatif de la conquête du vrai objectif. Tu l'appelais d'ailleurs de tes vœux, trahie comme toujours par la veule excitation qui avait complètement ravagée ton antre, où bientôt plus rien n'aurait de tenue. Tu as quémandé mon doigt pour entrouvrir la seconde porte. Un peu de salive et mon pouce est immédiatement aspiré. Je joue avec l'élasticité de l'anneau, il est souple déjà en train d'accepter le pilon qui va le perforer dans quelques instants. Je me retire de la dévastation du bas, il n'y a rien de plus en espérer. J'enlève cette maudite capote, et me prépare à saillir à cru son cul. Je sais que cette dernière attaque va être sans retour pour N. Je m'ajuste sur l'œillet et j'ébranle les dernières défenses de ma prude amante... D. Un saucisson, m'avait promis mon petit soumis. Un saucisson que j'enculerai, avait-il aussitôt ajouté. Promesse tenue. Rapidement mon con trop large ne m'apportait plus aucune satisfaction. Mon désir de jouir jusqu'à plus soif reprenait le dessus. Avide, mon trou du cul palpitait d'impatience. Ma rondelle dilatée avec son pouce expert réclamait son du. J'entendis le bruit sec du préservatif retiré à la hâte qui se déchire. Promesse merveilleuse d'une suite encore plus bestiale. Je crains toujours cette première intrusion dans mon fondement. La tension est extrême entre mon impatience et cette peur de souffrir, de sentir une fissure, même petite, une infime brûlure naître à l'entrée de mon anus. Douleur et plaisir sont cousines, et l'une renforce l'intensité de l'autre. Premier assaut. Je frémis, sursaute, encaisse le coup de buttoir. Douleur d'abord, le second assaut arrive aussitôt, puis le troisième, les suivants, pas le temps de compter, de réfléchir ; mon esprit perd le contrôle ; je ne suis plus qu'un corps, une parcelle de corps exactement réduite à sa zone uro-génitale qui palpite à nouveau, se dilate jusqu'à absorber ce bâton jusqu'à sa garde. Une jouissance animale, primale s'empare de tout mon être ; je crie, je gémis, je pince les lèvres pour contrôler a minima, je n'y parviens pas, une vague me submerge, j'accompagne de coups de reins le mouvement, j'avale goulûment le bâton de chair. La jouissance est là, incontrôlable, je suis le jouet de mon homme, je subis et j'aime cette perte absolue de tout contrôle. Les cordes se tendent sous mes mouvements, le clito est à nouveau sollicité. Je mouille, je mouille de plus en plus, à tel point que mon con redevient avide et gourmand. Je quémande un gode pour obtenir l'acmé, la reddition absolue celle de la double pénétration. Avec au bout l'orgasme que je désire tant depuis des semaines. Il ne l'a pas préparé. Il avait uniquement sorti le paddle, qu'il a essayé sur ma fesse droite sans que cela me fasse véritablement réagir, et lui promettre des rétorsions en retour. Je sens sa bite grossir en moi. Il éjacule bien au fond. Il adore partir en moi. La giclée de sperme cela est très esthétique à l'écran ou en photo, mais le plaisir est tellement moindre, pour l'un(e) et l'autre. J'aime sentir cette chaleur en moi s'écouler doucement entre mes fesses et mes cuisses. Risque minime, mais risque quand même d'une nouvelle grossesse qui m'est désormais interdite par la médecine. Il est repus, épuisé de cet assaut violent et rapide. Je suis insatisfaite, il y a eu jouissance, plaisir(s), excitation, mais pas ce moment ultime de l'orgasme. Il a compris, il attrape le magnifique gode de black, avec des énormes couilles qu'il m'a offert. Un clin d'œil à ma vie de célibataire, quand j'étais très attirée par les hommes de couleur. Il le fait entrer dans mon con avec rapidité, il le bascule d'avant en arrière. Insuffisant, je lui demande d'inverser la position des couilles, en sens contraire des lois de la nature. Les couilles viennent buter contre mon clito. Il continue à faire pénétrer et sortir l'engin avec dextérité. Je gémis, je sens la lente progression du plaisir. Je suis pas à pas dans ma tête la courbe exponentielle du degré de plaisir. Enfin, je palpite, du con, du cul ; le palier, l'acmé et la descente rapide, enfin repue et comblée. Il se lève pour se doucher et remonte amoureusement le drap sur mon corps épuisé. J'aime ce moment d'abandon total, de détente maximale qui suit l'acte sexuel abouti, et je plonge enfin dans un sommeil calme et réparateur. N. Et comme, mon Amour, tu es descendue de ton Olympe (dans tous les sens du terme, propre et figuré), je prend possession du mot de la fin. Je sais que ta nature dominante n'aime pas trop cela maintenant. Mais la femme que je vois défaite sur le lit n'a plus le statut d'une Maîtresse, mais celui d'une petite fille qui vient de subir la loi du Mâle. Tu te verrais. C'est un ravage : ton con baille complètement les muqueuses luisantes et la liqueur coulant obscènement maintenant au dehors de ta matrice. Et le vil affront que je viens de faire subir à ton cul vient compléter ta défaite. Tu as été prise comme un légionnaire prend une fille de joie. Et en plus tu as aimé intensément cela. Mon triomphe n'aurait pas été complet s'il n'avait pas été enluminé de ma semence de Mâle jaillissant profondément au fond de tes boyaux. Cela tient du rituel païen. Je me réjouis d'avance de la honte que tu éprouveras à aller sur les toilettes en urgence "rendre" l'offrande de ton Mâle qui aura fait son œuvre de lavement entretemps. Cette vision viendra rappeler mon triomphe. Merci de ton offrande. Je t'aime. D. |
J'avais envie de revenir un jour sur mon coming out SM qui est en fait une double découverte.
18 ans, parti seul loin des parents (enfin libre !) et 2 trouvailles très troublantes. D'abord le Justine de Sade trouvé dans un bac aux Galeries Lafayette. Un choc ! Et une excitation
sans fin. Avoir exposé ainsi toutes les délires sexuels sado-masochistes. Je me souviens d'avoir acheté un premier collier de (gros) chien pour voir comment cela faisait. L'amour vache
des pinces à linges sur les tétons date de cette même période.
En parallèle j'ai osé acheter, sans doute tout honteux,
mon premier magazine SM, ma première excursion dans ce monde trouble. Bien sûr à l'époque internet n'existait pas et l'ordinateur de base était un PC 386. La préhistoire quoi, et les enfants
ne cessent de nous interroger N. et moi sur ce qui existait à l'époque. Tu parles pour eux c'est le siècle dernier ! LOL. Bref les magazines que l'on vendait en haut des étagères était la chose
la plus osée à laquelle je pouvais accéder. Et parmi ceux-là je trouvais un soir vers minuit un magazine tout noir appelé DOMINA qui se vendait sous blister. Dans mon souvenir, cela valait très
cher style 99F. Mais peut être que je me trompe.
Je suis rentré dans un état de fébrilité dans ma chambre et j'ai déchiré le blister. 2ème choc. Des femmes magnifiquement vétues de cuir et des hommes recouverts de latex de la tête au pied. Tout
un nouveau monde de fétichisme mais ce que je préferais c'est les mots qui racontaient des expériences vécues. J'ai toujours préféré les mots aux photos car cela laisse l'imaginaire complètement
libre. Mais je dois dire que même les photos étaient fascinantes, très travaillées, loin de l'étal de boucher de newlook ou penthouse. Et les femmes étaient beaucoup plus habillées que dans ces
magazines pour hommes. J'avais l'impression de faire quelque chose de complètement interdit, mais parce que cela l'était, cela avait un super goût de liberté. La vie vanille avait quelque chose
de désespérant, j'étais tombé follement amoureux d'une fille de ma classe à qui j'avais envoyé un parfum acheté cher dans une jolie boite cadeau. Je lui ai remis à son arrêt de bus la boîte avec
une lettre de déclaration d'amour. J'ai reçu ce soir là un coup de fil silencieux qui a duré une demi minute. J'espèrais que cela soit elle. Je suis encore sûr que c'était elle. Mais le
lendemain, elle m'a posé mon paquet ostensiblement sur la table en début de cours. De rage le parfum a fini dans les eaux du fleuve.
Alors je me suis baigné à fond dans le monde BDSM en devenant un acheteur assidu de la revue noire, qui bientôt a pris le nom de Démonia, avec une baisse du prix. Cela m'a joué des tours quelques
années plus tard où mon cothurne a trouvé à l'école les fameuses revues noires sous mon matelas et les a montré un certain nombre de connaissances communes. Heureusement personne ne m'en a parlé
sur le moment ; je ne sais pas comment j'aurais réagi. Ce qui m'intéressait dans le magazine surtout, c'était l'embryon de catalogue qui prenait à chaque sortie de plus en plus de place en
fin de magazine. D'abord beaucoup de vidéo et d'objet de sex shop bas de gamme, puis peu à peu de plus en plus d'objet de cuir et d'accessoire de dressage. Pour ceux qui ne le savent pas la
boutique Démonia a commencé par un magazine.
2 ans plus tard, au début des années 90; quand j'ai passé les concours, le magazine Démonia (si je m'en souviens bien c'était un bimestriel) montrait pour la première fois une cage de
chasteté pour mec en acier chirurgical et swiss made pour la modique somme de 3700F et des poussières. Elle était composée de 4 anneaux reliés entre eux par des câbles d'acier avec un système à
cadenas pour attacher le tout derrière les couilles. Du moins je le supposais car il n'y avait jamais de photos en situation. Cet appareil me fascinait et j'imaginais une femme qui me
l'imposait. Je suis allé dans un magasin de bricolage et j'ai bricolé ma propre cage avec des colliers de fixation de tuyauteries de plomberies et quelques vis. C'est officiellement mon
premier bricolage SM qui a duré quelques jours avant que je jette le tout (désolé par de photo).
Je n'ai pas retrouvé les photos de cette cage, mais plus tard au milieu des années 90, Démonia a fait fabriquer une des premières cages "modernes" dont j'ai retrouvé la photo par hasard (c'était
quand même il y a 15 ans).
Plus tard dans mes périodes de célibat, j'ai continué à acheter des revues de textes SM (qui me font bien rigoler maintenant que j'ai pratiqué et en plus c'était toujours les mêmes, une dose de
soumis, une dose de femmes implacables, des similis viols et une scène de femmes entre elles pour terminer la pièce montée) et surtout ces merveilleuses BéDé SM sur lesquelles je ne cessait pas
de me branler. D'ailleurs au début de notre relation, N. les a trouvé sous mon lit (elle fouillait tout comme toutes les femmes), et le soir, elle était dans un tel état d'excitation quand je
suis rentré qu'elle m'a au sens propre violé immédiatement. J'aurais du voir qu'elle merveilleuse dominante elle ferait à ce moment là, mais je n'ai pas vu. Même maintenant pendant ma vanillitude
j'aime bien reprendre les quelques numéros que j'ai conservé.
Le plus marrant dans cette histoire est que l'éditeur de Domina/Démonia, de BéDé SM et de quasiment toutes les revues pornos vendues depuis 25 ans en France, le propriétaire historique de
Démonia, qui à commencé en 1986 par des 36 15 DOMINA, est devenu une société plus que respectable qui fait 14 M€ de CA, côtée en bourse et qui s'est développée dans la vente de logiciel
de gestion pour les PME PMI. Comme quoi le BDSM mène à tout...
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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