Maîtresse utilise les orties comme un martinet en me fouettant à une bon rythme les fesses. Au début la caresse des feuilles est agréable, mais bien vite je ressens les piqures à chaque redescente,
suivies bientôt par la douloureuse sensation de progression du venin des orties sous ma peau. Je geins de plus en plus dans mon baillon et commence à me tortillonner dans tous les sens à la
grande joie de N. Elle adore tant me voir
physiquement enduré sous SON action, que souvent elle préfère que je n'ai pas de baillon pour entendre mes cris. Elle n'arrête pas de fouetter mes fesses et bientôt vise l'entrejambe. Derrière
tout s'échauffe et chaque nouvelle piqure crée un supplément de douleur.
Puis elle passe devant en s'attaquant à mon
service 3 pièces toujours dressé. Je crains de vraiment dérouillé et au final c'est pas pire que derrière. A un moment je regarde ma pauvre bite, elle est devenue toute rouge (Maîtresse me dira
après qu'elle a voulu épargner mes couilles).
Et on recommence derrière et devant, N. savourant mes cris étouffés et mes tentatives de lui échapper malgré les liens. Elle aime tellement cela de me tenir en son pouvoir. J'ai vraiment une
Maîtresse merveilleuse pour qui est enclin à se soumettre. Un vrai joyau qui conscencieusement fait son oeuvre sans se poser de questions tout en (je le sais) s'excitant fortement.
Elle s'arrête de temps en temps pour prendre des photos du résultat de son oeuvre, pour me montrer après coup comment elle m'a travaillé au corps.Puis reprend de plus belle, avide d'entendre la
symphonie et de voir la sarabande de son soumis auxquelles elle est devenue accro.
Cela finit par se terminer. Et là elle me demande tout de go, avec le culot de la Maîtresse, pourquoi on n'en planterait pas au fond du jardin ? Oups ! Danger ! Je lui oppose le risque
pour les enfants, qu'elle semble accepter. Et puis j'ai rajouté qu'il y en avait sur les chemins tout autour de nous.; Elle semble y avoir renoncé pour l'instant.
Plus tard, elle m'a dit qu'elle adorait son nouveau joujou !
Tellement que la séance c'est terminé par un hommage obligatoire à Ma Maîtresse qui avait posé son antre au desuus de la bouche en 69, le premier 69 de ma vie où j'ai rien eu ! Mais Maîtresse,
elle, a adoré ! Et m'en a redemandé 2 fois...
dyonisos