Mardi 6 juillet
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12:20
Oh mon dieu que son dos est divin. Ses cheveux ont gardé le fol désordonné obtenu quand elle m'a longtemps monté à cru cette
nuit avant de finir par s'endormir dans mes bras complètement bercées par les phéromones de son amant.
Elle me fait envie ainsi. Je soulève délicatement le drap blanc pour vérifier la folle hypothèse. Elle ne
porte toujours rien. Je suis la courbe de son dos qui finit par s'arrondir sur ses magnifiques fesses. Que
j'aime cet aspect de ma femme. Je me repais de cette vision tandis qu'elle s'éveille. Elle m'a sentie. Elle se retourne lascivement et me sourit, de ce sourire qui remplit de
joie l'amant.
Sans dire un mot, je tourne lentement autour du lit, finit par y grimper et étendre peu à peu ma tête vers son entrejambe. Pendant
ce temps, elle accompagne mon intention en donnant des petits coups de pieds dans le drap pour s'en débarrasser.
Puis elle écarte lentement les jambes. Elle m'invite à venir communier dans son temple. Je rapproche mon visage. Je sens maintenant ses odeurs à elle, odeurs fraîches mélées d'odeurs plus anciennes, témoins de la folle chevauchée d'hier soir. Le source me fait envie et je
m'y plonge complètement.
Le contact de ma barbe est accueilli d'un petit soupir de contentement. Je commence à chercher le petit
renflement centre de son temple. Je fouille avec ma langue les bords à la recherche du petit chose, à l'aveugle.
Puis en cercles de plus en plus serrés, je continue mon approche pour enfin le débusquer. Nouveau soupir. Je vérifie par petits coups léger qu'il n'a pas changé, qu'il est
bien toujours le même, celui auquel je suis habitué à adresser ma prière. Je ne suis pas complètement bien placé. Je réajuste
ma position en écartant mon corps du sien pour m'ouvrir un champ d'investigation plus large. Voilà c'est
bien.
Le majeur descend plus bas pour trouver la moelleur de l'antre. C'est déjà si mouillé. Le doigt joue un
moment à l'entrée en soulignant la couronne, avant de s'enfoncer dans le coeur obscur.
J'entend au loin sa respiration qui se saccade au grés des mouvements de mon doigt. La prise de la place
forte a commencé. Je continue toujours à masser doucereusement du bout de la langue le petit chose, pendant que
ma dernière main libre joue avec le rebond de ses seins. Je n'ose pas pour l'instant commencer à écraser leurs bouts entre mes doigts, c'est trop tôt cela viendra plus tard.
Je sens son corps qui est bien relâché maintenant offrant un large accès à la corolle. Il est temps, je me
dis, d'augmenter la pression sur ses défenses. Je pouce mon doigt le plus loin possible au fond de la matrice
avant de commencer à lui manger son bouton avec mes lèvres et mes dents. Les poils de la barbe grattent contre ses grandes lèvres pendent que je mordille au cœur. Je
l'attrape un moment avant de le laisser s'échapper. Et je recommence. Les petits cris ont commencé la haut. L'antre s'inonde.
Cela dure un moment avant de laisser la tension redescendre peu à peu. Il est temps de faire tomber un nouveau
bastion.
Je retire mon doigt de son antre et sans aucune attente, je l'enfile au cœur de son œillet. Je sens une
résistance. Je tourne légèrement le bout pour contourner la difficulté tout en maintenant la pression. Le doigt
est bientôt complétement dedans. Plus haut, je remplace le doigt parti par mon pouce. Oh la Demoiselle s'est traîtreusement resserrée. Qu'importe je connais la parade. Le
pouce commence à tester la résistance de l'entrée pendant que le majeur de l'autre côté explore l'espace disponible.
Gémissements. Je conforte ma percée en attaquant son clitoris à pleines dents de nouveau. Sa respiration
commence à se rythmer. Peu à peu le pouce rentre dans la chambre interdite.
Mais une chose me chagrine. Elle ne se rend pas encore totalement et ça, c'est inacceptable. Je veux son
anéantissement complet. Je lance donc l'assaut final. Mes doigts de chaque côté de la paroi se referment en
tenailles et commence à la masser à l'intérieur. Elle se raidit soudainement, surprise de l'attaque. J'ai failli être désarçonné, ne récupérant la maîtrise de la situation
qu'au dernier instant. Ayant repris fermement le contrôle de ma monture, je force peu à peu mes avantages avec mes armes, ma
langue, mes doigts, ma main. Elle devient de plus en plus sonore. Son bassin commence à me jouer la danse de
Saint Guy. L'attaque se déroule au milieu d'un tremblement de terre, mais la victoire est à ce prix. Je bat la cadence avec mes doigts loin enfoncés. Je l'amène de plus en plus haut.
Premier pic et première tension dans les muscles. Si elle croit s'en sortir à si bon compte. Je calme un temps les mouvements avant de relancer la folle machine de plus belle. Un oh de
surprise m'accueille mon nouvel assaut. J'ai de plus en plus de mal à tenir la position, mais je tiens. 2ème pic puissant tout en tension accompagné d'une long sifflement entre ses dents.
Elle croit en avoir fini mais je ne suis pas d'accord. Je ne lui laisse aucun répit et l'amène sans ralentir vers le troisième pic, le plus énorme de tous qui semble durer si longtemps.
Ses membres sont tétanisés et elle émet une longue plainte d'animal atteint. Je redescend peu à peu le rythme pour la faire atterrir doucement dans le monde réel.
A mon amour.
D.
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Par dyonisos
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Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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