Samedi 10 juillet 2010 6 10 /07 /Juil /2010 01:27

Les vacances tiennent leurs promesses vanilles . C’est si agréable de se retrouver tous les 2 pour des moments de pure complicité au lit.

Première escarmouche au petit matin. Je me réveille. Le soleil qui se lève inonde la chambre d’une chaude clarté. Mon épée est fièrement dressée. Esseulée, sans cible. Un coup d’œil sur le lit. N. dort en chien de fusil, sa croupe tendue vers moi. Elle me fait envie immédiatement. Je me positionne pour viser entre ses lunes, et envoie un doigt en éclaireur. Elle mouille déjà à ma surprise, alors qu’elle dort. Je me suis souvent demandé si son antre n’était pas un objet quantique, quand il est impossible de vérifier un état, sans que l’appareil de mesure modifie immédiatement cet état. Peut être que je me trompe , et que simplement elle rêve. Je m’immisce entre ses cuisses et je suis bien. Je ne saurais dire où je suis arrivé, entre les lèvres ou déjà dans sa matrice. Quoi qu’il en soit, je me branle doucement à sa moiteur. Longtemps dans un demi-sommeil. Je suis bien. Je crois même que je me suis endormi un moment ainsi. J’entend toujours sa respiration de sommeil. Je continue un peu sans partir. Juste pour le plaisir de rester au chaud. Et à un moment, je m’écarte finalement.

Pourquoi t’arrêtes-tu ? c’était bien. Sa voix me surprend. Depuis quand est-elle réveillée ?  Elle se met sur le dos pour m’adresser son sourire matinal. J’ai maintenant complètement envie d’elle. D’une main légère je la repousse pour lui faire reprendre la position d’origine. Elle soulève légèrement sa jambe en guise d’invitation  et lentement nous  nous encastrons en chien de fusil pour un accouplement lent et profond, loin de l’agitation de certains des jours précédents.  Son plaisir monte, léger sans jamais tourner au gros orage, comme le bien être apporté par un massage intérieur ...

Je viens de me retirer et je repose sur le dos regardant la lumière matinale jouer sur le plafond. Je bande toujours et sans y penser je commence à me caresser le pénis sans grand entrain cependant, juste pour le plaisir. N. sent les vibrations. Elle se retourne sur le ventre et vient saisir entre ses dents mon téton droit.  Alors que les ongles de sa main viennent se planter dans le téton gauche. C’est sa façon à elle, très intime, de venir participer à mon plaisir à venir.  Je sens maintenant nettement la pression sur mes tétons. J’ai totalement confiance en elle. Alors avec sa complicité je me laisse aller à mon plaisir…

Seconde escarmouche à l’heure du gouter. Les enfants sont dans leurs clubs. Nous sommes libres. Je la regarde se déshabiller. Comme je la trouve belle ! Elle s’étends lascivement sur le lit les bras et les jambes écartés.  Je sors les cordes et attache les quatre aux pieds du lit. Elle est désormais mienne. Je lui enlève ses lunettes pour l’emmener dans le monde du plaisir. Je lui ai préparé une surprise. Elle ne le sait pas. Je prend mon rosebud et je lui introduit au cœur de son œillet. Elle est surprise par le contact froid du métal et est troublée ne sachant pas ce qu’il lui arrive. Elle me demande qu’est-ce que c’est cet objet qui frappe à la porte. Je lui dis la vérité. Rassurée, elle s’ouvre petit à petit jusqu’à avaler le plug. Je m’occupe alors de sa chatte et de son bouton avec ma main. Elle mouille abondamment. Elle se fond dans mes caresses intimes un moment mais elle veut plus.

Maintenant nous sommes têtes bêches. Elle a mon vit (un de ses mots) dans sa bouche et moi je m’occupe de ses trous à l’aide du rosebud et du gode noir qu’elle m’a demandé.  Elle est à point et le plaisir monte incontestablement. Son bassin me commence sa danse perso de Saint Guy alors que je joue alternativement de la pression sur les gode et plug, et sur son bouton au passage. Elle est tellement bien et heureuse, que ses trous se détendent complétement. Je sauve à 2 reprises le rosebud d’un avalement complet. Elle éclate.

Je viens de retirer le rosebud. La voie arrière est complètement ouverte. Je m’y enfonce immédiatement d’un coup. Elle veut sentir mes couilles à l’entrée de son cul. Elle est sur le dos, le cul rehaussé par des oreillers, les jambes sur mes épaules. La position découvre totalement la chatte. Sans doute notre position d’enculade préférée. Je pilonne sans cesse.  Un vrai ravissement .  Notre plaisir monte. N. a pris la corde noire qui lui attachait les mains comme bâillon dans sa bouche. Je suis en alerte rouge. J’essaye comme je peux d’éviter l’inévitable, pour son plaisir. Je résiste un temps mais c’est trop bon, et je finis par me laisser surprendre. Redescente. Dommage que tu n’es pas tenu quelques secondes de plus , j’allais jouir du cul. Aucune animosité dans son propos. Je suis désolé, mais je ne pouvais faire plus. Je sors le rabbit pour la finir…

Je t’aime.

D.

 

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Par dyonisos - Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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