Dimanche 21 mars 2010
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Après la séance de la veille, très riche en émotion, nous nous sommes accordés avec N. une soirée d'amoureux avec un repas dans un très bon restaurant. Nous étions biens et détendus. Les mets
étaient raffinés et nous sommes en arrivés à parler de notre rencontre début 2000. Nous avions vaguement conscience que notre première nuit devait être dans ces dates là en 2000, mais nous
étions pas d'accord sur le jour exact. Nous nous sommes sortis ensemblz lors d'un anniversaire d'une amie commune et nous avons dans notre album de famille gardé le carton d'invitation. Que nous
avons ressorti depuis. Cela s'appelait
hep toi là bas ! et c''était le .... 26 février 2000 ! C'était donc il y a 10 ans jour pour jour, mais pour cette soirée nous nous en sommes pas
souvenus.
Nous vous raconterons un jour notre rencontre. Je me souviens que N. lors de cette fameuse soirée s'est plantée devant moi et m'a demandé si ma proposition était sérieuse. J'ai répondu que oui.
Quelle propositon, me diriez vous ? Là il faudra attendre notre histoire... Nous nous sommes éclipsés chez moi peu après minuit et depuis nous nous sommes plus quittés. Ainsi va la vie...
Après ce très bon repas, nous sommes rentrés à la maison un peu grisé mais très bien. Au niveau relations sexuelles, la messe a été rapidement dite car
les anglais été arrivés
entretemps, au grand déplaisir de N. Alors par dépit, mon amour de Maîtresse m'a montré ses achats de l'après-midi, en particulier un adorable imper noire ras des cuisses, que j'ai
imédiatement adoré et trouvé si sexy. Nous nous sommes amusés à faire une séance de photos rien que pour nous 2. Le moment était magique ! Allez je ne suis pas vache, en voici quelques unes pour
profiter de la vue merveilleuse que N. m'a offerte.
Direction la chambre. Là N. par encore totalement Maîtresse a commencé par me prendre en bouche tout en me malaxant les couilles de sa main. C'était divin !
Rapidement on est passé aus choses sérieuses. Le lit, notre lit, était équipé depuis quelques jours de cordes d'immobilisation. N. m'a fait mettre les menottes en cuir rouge, celles que j'avais
achetées il y a longtemps pour elle, et m'a attaché les bras et les jambes aux 4 coins du lit. Avec unde liberté minimale au niveau des mains. Par contre, les jambes pouvaient bouger dans tous les
sens. Pour parfaire le tout, elle m'a enfoncé le rosebud dans le cul.
Elle a commencé par le paddle ; à me frapper les fesses. Je m'assume comme maso mais il y a un monde entre rêver d'être fouetté et l'être réellement ! Sur le moment, je vous jure, alors que
les coups pleuvent, on ne veut qu'une chose que cela cesse ! Après coup, je vous rassure je suis fier d'avoir supporté les coups; ses coups. En matière de fouettée, il procède comme les
douches dorées. Il ne vaut jamais se poser des questions, juste vivre l'instant présent comme un merveilleux acte d'amour et de complicité mutuelle. Ici il ne s'agit pas de dressage conjugual pour
améliorer le comprtement du mari soumis, mais juste d'un jeu, paraissant extrême pour certains, entre 2 êtres qui s'adorent. J'ai appris à craindre les coups de N. puissants et précis. Je me
rémoussais dans mes liens, cherchant à y échapper. Mais les frappes continuaient à arriver m'arrachant des cris à chaque fois. A un moment elle me dit :
- oh on voit que tu n'y ais plus habitué. Il va falloir reprendre les habitudes !
Et sur ce, elle a continué a me frapper les fesses. Je désirais cela, et je l'ai eu mais sur le moment je regrettais mes envies.
N. claquait mon cul durement, je criais essayant de reprendre mon souffle entre 2 séries.
A un moment, j'étais complétement maté. J'aurais fait sans aucune révolte, tout ce qu'elle m'aurait demandé à ce moment là. Maîtresse a en a profité pour pousser ses avantages en prenant possession
de mes couilles et en posant sa botte de cuir sur mon cul. Elle prenait son temps pour prendre les photos, moi je ne souhaitais qu'une chose : que surtout elle ne recommence pas à me battre !
Ella a ensuite exigé que je rende hommage à son bouton me dirigeant à la cravache si elle trouvait que je n'étais pas assez bon. Il n'y avait aucune réticence possible et si ma langue
voisinait avec son tampax, c'était mon problème et pas le sien ! Evacuant la situation, je me suis donc appliqué à sucer comme un bon petit mari soumis, jusqu'elle obtienne l'orgasme recherché.
Elle m'a ensuite trait dans un préservatif qui a rejoint la boite dans le congélateur, puis m'a mis immédiatement en cage.
Le lendemain matin nous partions rechercher les enfants. C'était un sacré 10ème anniversaire correspondant à ce que est devenue notre sexualité pour notre plus grand plaisir.
Merci N. Je t'aime !
dyonisos