Mercredi 10 mars 2010
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J'ai retardé tant que j'ai pu le récit de la suite de la journée de jeudi. Mais maintenant je ne peux plus reculer et je dois vous raconter ce que je considère comme la situation la plus humiliante
que j'ai connu depuis que nous jouons au SM. Et là il ne s'agit pas d'une humiliation devant des inconnus mais devant N. la femme que j'aime.
Avant de commencer, je dois préciser qu'il me faut avoir une bonne dose d'amour avant de jouer à un tel jeu, tout pouvant déraper.
Bref sans vous faire plus attendre, le jeu, que d'aucun peut trouver limite, est lié à l'utilisation des lavements dans des situations SM. L'envie de découvrir cet aspect m'est venue en lisant les
témoignages d'une Maîtresse conjuguale sur le site US de Sutton qui les utilisent en guise de punition. Mais pour cette première, l'idée était de tester simplement l'impact du traitement.
N. avait pris la précaution de me faire enfiler le
rosebud pendant la séance à la cire, pour bien m'assouplir la rondelle. Nous nous sommes aperçus que cela facilitait l'intromission ultérieure d'objets contendants. J'avais bricolé une potence de
perfusion avec le perroquet des enfants. J'ai sorti tout le matériel commandé chez Mxx : un boc de lavement ainsi qu'un système médical que je qualifierais d'étanchéïté pour éviter les
fuites composé de 2 ballons gonflables, qui bientôt prirent la direction de mon rectum.
Je me mis à 4 pattes et N. brancha le robinet du boc sur l'extrémité de la canule. Elle alla chercher de l'eau tiède qu'elle mit dans le boc. N. faisait tout cela de façon très conscienceuse. Mais
quand elle ouvrit, je ne sentis rien. Elle me dit que l'eau ne passait pas à cause de la présence d'air dans le tuyau. Je lui alors répondu que sans doute le circuit avait besoin d'être
amorçé. Elle débrancha le robinet pour faire couler un peu d'eau dans la bassine qu'elle avait prise en sécurité, puis remonta l'ensemble. Quand elle réouvrit le robinet, je fus surpris à la
vitesse à laquelle le liquide pénétra dans mon rectum, d'autant que l'eau n'était pas tout à fait à la température du corps. Le demi litre qu'elle avait mis ne tarda pas à être avalé.
Elle remplit de nouveau le boc, cette fois à fond. Maintenant le liquide perfusait lentement dans mon corps. Maîtresse surveillait avec sérieux le déroulement de l'opération remettant en place de
ci, de là le tuyau pour améliorer l'écoulement. Le liquide descendait regulièrement dans le boc.
Moi je me sentais honteux de prendre ainsi un lavement à 4 pattes. J'avais conscience d'induire aucune excitation chez N. de me traiter ainsi et je commençais à regretter de nous avoir
amené vers ce type de jeu.
Le boc était maintenant de nouveau vide et je vis N. aller à la cuisine rechercher de l'eau, qu'elle remit dans le boc. Puis à ma grande surprise; je l'ai vu enlever son pantalon et sa
culotte. Elle positionna le fauteuil de cuir devant ma tête et s'assit dessus. A la vu de ce que j'avais devant mes yeux, je n'avais pas besoin d'explication pour savoir ce que ma Maîtresse
attendait de moi. J'avançais ma langue, heureux que N. m'offre un échappatoire plus digne. Bientôt les accoudoirs bloquaient la profondeur de fouille de la langue alors elle mis ses jambes sur
mes épaules.
Je me concentrais pour faire du plus doux que je pouvais. Mais pendant ce temps, le liquide continuait son oeuvre. Des fois il rencontrait des obstacles et la pression montait de plus en plus
intolérable. Jusqu'à ce que l'obstacle soit vaincu et qie je gagne un répit provisoire. Mes intestins se nouaient et se dénouaient. Terrible sensation. Mais je continuais à m'appliquer de mieux que
je pouvais pour ma Maîtresse. Bientôt N. ne s'occupait plus de moi et se laissa aller dans son plaisir qui montait. Le boc était fini, mais N. elle n'avait pas encore fini. Je continuais donc mon
oeuvre jusqu'à que N. obtienne enfin la jouïssance qu'elle désirait.
A ce moment en ayant marre d'être à 4 pattes, j'ai commis une première erreur. En profitant du moment de relâchement de ma Maîtresse, j'ai osé me relever. Instantanément, la masse d'eau a basculé
rendant la pression dans le rectum intolérable. N. ne serait pas parvenue à me raisonner, je n'avais qu'une idée en tête : me soulager pour faire cesser cette torture.
Je partis donc de plus vite que je pouvais vers les toilettes, avec la drole de canule fichée dans mon cul. N. qui avait maintenant récupéré me suivait derrière, éclatée de rire par ma drôle de
démarche.
Allez plus vite mon petit soumis et j'ai envie de voir cela ! Elle n'avait pas besoin de me le dire, j'allais aussi vite que je pouvais mais la masse d'eau à chaque pas se
balançait rendant ma démarche très risquée.
J'ai enfin réussi à atteindre la cuvette des WC. Je m'y suis assis, pressé d'être libéré. La porte était restée ouverte et Maîtresse me regardait curieuse. Et là j'ai fait une deuxième erreur :
j'ai d'abord dégonflé les poires. J'ai mis la main sous les fesses pour récupérer la canule au vol puis j'ai poussé. Ce fut un carnage : cela gicla partout sur le sol, sur les murs !
N. était sidérée:
oh c'est vraiment dégueulasse !. Et sur ces mots, elle partit me laissant litérallement dans la merde.
J'étais atterré et tellement honteux !
dyonisos