Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 16:30

Vendredi après-midi, nous avons réussi à trouver un moment d'intimité pour jouer à 2 à notre jeu favori. C'est moi qui ai eu l'initiative. Cela n'est pas aller sans difficulté au début. Comme souvent cela a donné à une réaction très mitigée de N. style Tu t'imposes, je n'avais pas prévu cela dans mon planning. Mais comme à chaque fois dans cette configuration, au fur et à mesure que la date se rapproche, N. est de plus en plus excitée à l'idée. Le matin, c'était ; Tu vas voir cet après-midi, je vais te dresser ! Je ne regrette pas de forcer le destin.

Je suis rentré du travail en début d'après-midi. Il faisait beau et le soleil baignait la maison. N. était sortie et ne devait pas rentrer avant le milieu de l'aprés-midi. J'ai lancé un bon feu dans la cheminée. Puis je suis monté me faire un rapide lavage des intestins au cas où N. voudrait me prendre au gode-ceinture. Une fois sorti de la salle de bain, j'ai commencé à rassembler nos jouets SM. Ils sont gardés dans une caisse et 2 sacs dans le placard de la chambre. Il est loin le temps où cela ne tenait que dans un seule petite sacoche. Comme à chaque fois, j'ai fait l'inventaire. Sacredieu, il me manque le rabbit de N. et surtout le porte gode ceinture en cuir. Ils ont sans doute étaient planqués rapidement après la dernière séance. C'est finalement N. qui s'est souvenue qu'il avait été rangés dans une boite au dessus de l'armoire.

A 16h, N. est arrivée à la maison. A partir de ce moment, comme à chaque fois, la pression a commencé à monter, pendant que N. répondait à quelques coups de fils pour son travail. Une fois le téléphone raccroché, je me retrouvé devant elle dans le salon. C'est parti !

- Commences par me masser le dos...
Je m'exécute du mieux que je peux en prenant mon temps, d'abord les épaules, puis le cou puis les seins, le bas du dos et la naissance des fesses. N. semble apprécier.
- tu masses beaucoup mieux quand tu es en cage.
C'est vrai, la cage apprend la patience, clé d'un massage réussi.

Maintenant N. me place devant elle. Elle est assise sur un tabouret. Elle m'ordonne d'enlever le haut de mes vêtements. Le bas elle s'en charge. D'abord la ceinture et le bouton du pantalon, puis le slip qui est baissé d'un coup. Je me retrouve nu devant ma Maîtresse, ridicule avec le pantalon aux chevilles. J'adore ce moment où tout bascule. N. rigole, la cage a fait un quart de tour dans le pantalon et pointe vers la cuisse. Elle la remet en place. Elle prend la roue à pic et commence à s'occuper des couilles qui dépassent. Je la regarde faire et me raidis à chaque attaque. Cela ne lui plait pas.

- regardes le plafond et ne le quittes pas des yeux !
J'obéis me trouvant très con de regarder ce foutu plafond.

Et elle reprend son affaire sur mes couilles. J'ai beau avoir confiance en elle, j'ai des sueurs froides en pensant aux pointes acérées de la roue à pic sur la frêle peau des couilles. Surtout que N. prend bien soin de me les faire sentir.

Elle profite aussi des piquants pour pratiquer son sport favori : la libération des poils coincés dans un bouton. Elle utilise un objet tranchant pour 'décapsuler' le poil. Je déteste cela au plus haut point. et N. le sait et prend un plaisir sadique à le faire. Mais ce vendredi, N. a eu peu de candidats. Elle était un peu déçue.

Puis, N. a préparé nos futures cartes de Noêl en improvisant un sapin argenté autour de la cage, de la façon la plus esthétique possible.

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Cela ne faisait pas mal car N. a fixé les équipements sur la cage. Il y avait juste le poids qui la tirait vers le bas retenue par le seul anneau des couilles. J'avais juste peur que la cage se détache. C'était joli mais finalement long et un peu ennuyeux pour moi. A un moment, un des poids a chu et a atterri dans le pantalon à mes chevilles. Je me suis gentiment moqué de N. mais j'aurais mieux fait de me taire. En représailles, Maîtresse N. a immédiatement suspendu les 2 poids de 200g à mes tétons. Et là je vous jure, j'ai dérouillé. Fini de rire ! C'était insupportable, les poids tiraient fortement les tétons vers le bas. J'avais l'impression qu'on me les arrachait. Ils me font toujours souffrir aujourd'hui comme un souvenir de ma désobéisance. Très contente de l'effet obtenu, N. m'a regardé me débattre dans la douleur. El c'est de plus en plus net depuis quelque temps : elle jubile à me voir souffrir. Je suis sur que sa culotte mouille d'avantage encore dans cette situation. Elle boit ma souffrance. Moi de mon côté je tentais de ne pas paniquer, de reprendre mon souffle et d'accepter la douleur. Dans ce contexte, le temps est dilaté. Je pense souffrir depuis trop longtemps alors que pas plus de 2 minutes se sont passées depuis leur pose. Je me retiens difficilement de retirer les pinces avec mes mains libres. Elle reprend enfin la parole :
- je te les enlèves si tu me supplies !
Je n'hésite pas une seconde.
- pitié Maîtresse, je suis une larve mal dressé, un verrat trop lours, je suis désolée, pitié Maîtresse enlevez-les
Elle a attendu encore 10 secondes avant de faire cesser le tourment.

- bon à la suite ! tu mets tes mains sur le dossier du fauteuil de cuir. Combien as-tu fumé de cigarettes en trop cette semaine ?
- 29
- alors 29 coups...

N. a utilisé son paddle favori. Sa technique est maintenant très efficace. Elle ne me laisse plus le temps de respirer entre 2 coups. 13 coups en une rafale suivie d'une 2ème rafale de 14 coups. Je comptais à voix haute. Les 2 derniers coups ont été donnés à pleine puissance. Terrible. Et je dois être content qu'elle n'applique pas de surplus comme certaines Maîtresses car cela deviendrait encore plus dur. Mais je ne me fais pas d'illusion, elle finira par trouver le truc...

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- bon maintenant à 4 pattes, et tu fais 4 tours en rond.
N. s'en va et me laisse seul. Au 4ème tour, elle n'est pas revenue. Je décide d'en faire un cinquième, puis un sixième. Toujours pas de Maîtresse, je m'arrête et reste à 4 pattes en position d'attente sur le sol. Je trouve troublant d'attendre ainsi son bon vouloir de Maîtresse.

J'entends des pas qui se rapprochent. Je prends le risque de jeter un coup d'oeil furtif. N. tient dans sa main un espèce de bâton verdâtre.... 

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Lundi 23 novembre 1 23 /11 /Nov 08:43
Sa Majesté Sérénissime, la Reine N., Maîtresse de dyonisos PETITE BITE a émis hier un nouveau décret Royal à l'encontre de Son Esclave.


Sa date d'effet est immédiate.

Hier soir, Sa Majesté Sérénissime, la Reine N., Maîtresse de dyonisos PETITE BITE, au moment du coucher :

- Je vais signer le décret avec ta petite queue ridicule qui ne sert plus à rien. Je vais m'en servir comme un stylo plume, et ton venin n'aura plus d'autres utilisations que servir de d'encre. Profites-en car ce n'est pas près d'arriver avant un grand moment. Au pain sec !

 Elle m'a décagé puis m'a trait à la main jusqu'à ce que je me déverse dessus. Contente d'elle, N. m'a alors immédiatement remis en cage.





Je vous laisse découvrir les termes du décret sur les photos.

dyonisos PETITE BITE
Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Jeudi 19 novembre 4 19 /11 /Nov 21:59

Je complète ici la réponse que j'ai faite à yanodé, sur mon ressenti de la cage de chasteté.

Finalement je trouve que c'est la contrainte la plus emblématique de mon statut de soumis.

Parce que d'abord c'est une véritable soumission 24/24. Certains rêveraient d'une soumission permanente à leur Maîtresse, de vivre nu sous sa domination, de dormir au pied de son lit. Mais tout cela, même si c'est attirant n'est vraiment pas possible dans le cadre d'une vie familiale avec enfants et amis vanilles. La cage permet de me sentir soumis tout le temps et c'est là son premier avantage.

Parce que c'est une contrainte pas facile à vivre. Même si on finit par plus ou moins s'y habituer, la cage n'est pas toujours facile à supporter (échauffement, incomfort, réveil nocturne). Et quelque part, cela comble, sans grand effort de ma Maîtresse, mes tendances maso et ce sur une durée sans aucune commune mesure avec les séances de dressage ou de punition.

Parce que cela m'apprend la patience du soumis. Etre en cage, c'est long et parfois agaçant. Il m'a fallu apprendre à accepter mon sort et attendre ma libération un jour. N. est devenue de plus en plus exigeante quant à son port. Le plus dur, je trouve, c'est quand je suis dressé sans pourvoir quitté la cage. Dans ces conditions, je souhaiterais le plus au monde pouvoir bander librement pour atténuer un peu les coups et tortures infligés par N.

Parce que je porte la cage 24/24 quelque soit le lieu. Allez au restaurant en cage avec l'amour de sa vie change fortement le point de vue de la soirée. Votre Maîtresse rayonne car elle sait qu'elle détient la clé et qu'elle est excitée de savoir que c'est elle qui a ce pouvoir. Il est dur la première fois de la porter au travail ou en famille avec la crainte que l'on soit découvert. Et puis le travail est un lieu très éloigné de la maison où ont lieu habituellement dans l'intimidité des jeux SM. Je recommande à toute Maîtresse d'obliger leur soumis de la porter en tout lieu et toute occasion. L'humiliation et le stress ressenti permet de faire de rapides progrès dans la soumission.

Parce que j'adore dépendre d'elle pour ma libération. Je ne sais jamais combien de temps je vais rester en cage et quand je serais libéré. J'essaye de lui être le plus agréable possible et j'adore cet adoucissement de personnalité. Et il n'y a rien de plus beau que de dépendre de la femme que l'on adore !

Parce que cela crée une extraordinaire complicité avec N. Je suis enfermé volontairement. Mais ma cage devient de fait un sujet de complicité total avec N. quand je la porte. En liberté, nous allons échanger des mots de complicité sur notre passion BDSM, mais ceux-ci ne sont pas aussi courants que quand je suis en cage. La présence de la cage renforce la complicité entre nous.

Parce qu'en m'enfermant, ma Maîtresse prend une partie de ma virilité. Qu'y a-t-il de plus symbolique que de prendre le contrôle total de mon sexe jusqu'à m'empêcher de me masturber et de prendre majouissance ? N. adore cela, comme une revanche du sexe faible sur le sexe dit fort.

Parce qu'ironiquement la mise en cage me rappelle 20 fois par jour, que j'ai une bite et que je ne peux pas m'en servir. La cage induit une virilité exacerbée. C'est encore pire quand N. joue à m'exciter dans la cage pour me faire à la fois sentir son pouvoir et les limites de mon tube de plastique. En cage, je n'oublie à aucun moment que je suis un homme.

Parce que cela m'oblige à rester chaste, à ne pas me branler. A bientôt 40 ans, j'ai passé une vie à me masturber même en mariage. La chasteté imposée me fait quelque part retrouver du plaisir. Les traites ou les libérations sont des grands moments et je dois avouer que les jouïssances obtenues sont mémorables.

Parce que j'aime plus que tout que N. referme chaque matin le cadenas avec son magnifique sourire complice.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Mercredi 18 novembre 3 18 /11 /Nov 14:56

Lundi comme j'étais malade j'ai du aller chez le médecin. Le problème est que j'étais en cage et que je m'y voyais pas y aller avec, surtout connaissant l'inventivité de notre médecin de famille. Comme N. tient avant tout à ce que notre D/S reste domestique sans prise de risque pour notre statut social (voir envie de promenade), je n'est pas eu trop de mal à être libéré pour quelques heures.

Notre médecin de famille est peut être un très bon médecin, mais je crains ses inventions (bonnes ou mauvaises) qui lui font souvent pratiquer des examens complémentaires. C'est à chaque fois la surprise. Par exemple lundi j'ai eu droit à un électrocardiogramme en supplément alors que j'y allais pour une bronchite carabinée. L'ECG a évidemment rien donné ; tout était normal rassurez vous. Mais j'ai atteint le summum au mois de juin dernier lorsqu'il a absolument voulu me pratiquer un toucher rectal de contrôle. Je sais, vous me diriez, on ne voit que cela dans les films mais moi c'est ma réalité, vu que c'est même le deuxième qu'un docteur m'inflige.
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Le premier, qui m'a valu mon premier moment de solitude, était lorsque que j'avais 25 ans. Je sortais de l'armée et j'avais souffert d'infection urinaire en pagaille pendant toute une année. La seule chose qui me soulageait était, de fait, de pisser. Pas grand chose à attendre du médecin militaire : infection urinaire = est allé voir les putes donc pilules. Mais je vous jure que ce n'était pas le cas. Donc dès mon service terminé, je me suis dépêché d'aller voir un médecin civil car je souffrais vraiment trop. Elle (c'était une femme) m'a renvoyé vers un spécialiste en urologie à l'hôpital.

Le jour dit, je suis introduit dans un espèce de cabinet glauque. Il y a là une infirmière mochissisme au possible (heureusement) et le docteur d'une soixantaine d'année. Déshabillez vous Monsieur. Non non enlevez tout. Je me suis retrouvé complètement à poil devant ses personnes vraiment gêné. Et l'examen clinique a commencé sans une once de considération pour moi. Faites ceci, faites cela. L'infirmière moche qui tournait autour me mettait mal à l'aise.

L'examen a commencé par une vidange forcée de la vessie. En pratique, le docteur prend votre pénis et introduit une tige creuse dans le canal de l'urètre et va forcer l'anneau qui ferme la vessie.Vous vous videz immédiatement à l'insu de votre volonté.  Le sentiment que j'avais était que je n'étais plus considéré comme un animal à examiner. Aucune sympathie ni considération chez l'un comme chez l'autre.

Attention Monsieur je vais vour faire un contrôle de la prostate. Mettez vos fesses au bord de la table !  
Immédiatement je sens 2 doigts me forcer l'entrée du cul sans ménagement puis farfouiller dans mon rectum à la recherche de la prostate. Au niveau sensation, je dirais que c'est comme quand N. maintenant veut me prendre mon cul sans sommation, elle force (ou défonce l'entrée) sans aucune considération pour moi. Mais là c'est de la Domination pas de la médecine.

Bref au final ils ont finis par trouver ce qui n'allait pas en enfilant une caméra dans l'urêtre (et tout cela en direct sur un grand écran) : j'avais depuis la naissance un barreau de chair qui séparait en deux le canal de l'urêtre et qui c'était infecté. J'ai soudain eu l'explication pourquoi depuis plus de 25 ans je n'arrivais pas à pisser d'une seul jet dans la cuvette des WC ce qui m'a valu souvent de pisser en dehors de celle-ci. Prenez un jet d'eau et mettez un obstacle sur son chemin, le jet va se séparer en deux c'est scientifique.

 

Essayez de viser la cuvette ! (lien si je le jeux n'apparait pas, un filtrage semblant avoir été mis en place)

Il fallait donc opérer pour enlever ce barreau de chair (urectotomie est le nom scientifique). Je me présente le jour dit au service d'urologie de l'hopital pour l'opération. L'ambiance est simple que des petits garçons qui ont des problèmes de descente de testicules et moi 25 ans. La honye quoi ! On se déhabille entièrement puis douche à la bétadïne obligatoire (sympa pour ce qui en ont déjà fait) et hop direction le bloc. Là je m'en souviendrais tout ma vie. Vous, vous êtes à poils et la demi douzaine de personnes en face sont tous habillés de vert. Là une infirmière du bloc vous invite à vous installer sur la table d'opération et à mettre vos jambes dans les étriers de table de gynéco. Les gens discutent gentiment avec vous pendant que vous leur montrer votre entrejambe. 2ème grand moment de solitude. Heureusement qu'ils m'ont endormi ensuite car je ne serais pas si ma honte aurait été supportable encore.

Même si à l'époque j'étais déjà très intéressé par le BDSM, je ne voyais pas d'ambiguïté sexuelle dans le toucher rectal. Juste un moment honteux dont on veut vite oublier que cela est arrivé.

Depuis que nous avons commencé à partager avec ma Maîtresse et femme N. des jeux SM de plus en plus poussés, bien évidemment la pénétration rectale est arrivée sur le tapis. Mais avant je dois cependant dire que notre couple n'était pas vierge ou naïf sur le sujet, même dans sa grande période vanille. J'ai toujours aimé mettre un doigt dans le cul de mes partenaires féminines, la plupart du temps à leur grand plaisir voir leur exquis étonnement. Je n'ai jamais été rébuté par le côté scatologique de la chose. Mais avec N. s'il avait été question de sodomie dès notre rencontre (c'est même un peu grace à ça que nous nous sommes aimés), elle refusait absolument que je mette mon doigt dans son trou du cul, trouvant cela trop dégueulasse. Sans doute le résultat d'une éducation convenable.

La révélation a eu lieu un jour pour elle après 2 ans de vie commune. Nous étions dans un formule 1 à Angoulême si je me souviens bien et j'étais malade comme un chien. Je n'avais plus la force de lui faire l'amour mais je voulais lui donner du plaisir. Alors je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais j'ai humidifié mon index avec ma salive et j'ai commencé à lui titiller l'anus puis à m'y enfoncer de plus en plus. Elle me laissait faire, tout en grognant de plaisir de plus en plus. Je ne m'occupais de rien d'autre que de son trou du cul. C'était magique. A un moment elle a eu un merveilleux orgasme.

Pourquoi ne m'as-tu jamais fait cela ? m'a t'elle alors demandé.
J'ai voulu mais tu m'as jamais laissé te le faire...
?!?

Maintenant cela fait partie de nos classiques. Soit en lui prenant le trou du cul avec le pouce pendant que je la prend en levrette. Soit en jouant avec elle au "pack de bière" : un doigt dans le cul, un doigt dans la chatte avec en plus un doit jouant avec le clitoris. Avec les 2 doigts je joue avec la peau entre le sphincter et la chatte. Elle adore ça !

Par contre, elle n'a pas voulu me rendre la pareille. Pourtant en tant que soumis et qui s'assume comme tel, j'avoue que j'adore que l'on s'occupe de moi de cette manière. Il a fallu encore quelques années avant qu'elle dépasse sa répulsion initiale et introduise ses doigts dans mon fondement, d'abord avec un préservatif puis naturellement.

Maintenant elle est très fortement intéressée par arriver à me traire par la prostate comme expliqué ici sur le site de suprématie féminine. Si vous comparez avec un article parlant du contrôle de la prostate par toucher rectal (comme celui-ci par exemple), vous conclurez comme moi que la traite de la prostate ou le toucher rectal est la même technique mais avec un but différent. Il y a même des simulateurs pour entraîner les futurs médecins.

Par contre, quand N. s'essaye à la traite par la prostate, elle est tellement concentrée à trouver la glande et à la presser que je vous avoue que ce n'est vraiment pas agréable pour moi (mais je n'ai rien à dire je suis un soumis). Et pour l'instant le taux de succès de la traite est proche de zéro.
 
Tout cela pour arriver au mois de juin dernier où mon médecin de famille m'a annoncé qu'il allait contrôler ma prostate par toucher rectal. Il m'a fait basculé les pieds au dessus des épaules pour basculer le bassin et ouvrir le chemin d'accès. Compte-tenu de ma pratique BDSM, je ne vous dirais pas que c'est neutre pour le soumis que je suis devenu. Il est difficile de dissocier le plaisir pris dans les jeux D/S par l'introduction d'un doigt farfouilleur dans le cul, avec le sérieux d'un examen médical. J'avais même peur d'être trop conditionné à ce plaisir et de bander, ce qui aurait été du plus bel effet devant lui. Quant à la honte subie, avec le BDSM elle prend une tournure différente car ce qui était en train d'arriver et finalement le fantasme de tout soumis. Etre humilié. Etre exposé.

J'ai au final pris un plaisir pervers à cette situation.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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