Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 18:02

Depuis que nous nous connaissons N. et moi, nous avons toujours eu une profonde entente intellectuelle. Elle est ma moitié, et je suis la sienne, celle qui me complète et que je complète, c'est une évidence. Même si comme tous les couples nous avons nos moments de reproches et d'agacements, voir de colères ouvertes. Mais rien de définitif, et le couple reste solide comme jamais. Je l'aime et elle m'aime. C'est tout et suffisant.

Avant le pacte SM, les relations sexuelles au sein du couple étaient loin d'être monotones. On ne passe pas du missionaire à la cravache ; c'est impossible. En quelques années, nous avons expérimenté une grande partie de ce que des relations sexuelles "normales" au sein du couple peut offrir : les positions acrobatiques, le sexe en extérieur, dans la forêt, dans la piscine, la baise par tous les "trous" y compris le mien, les gadgets, l'amour dans toutes les pièces, les apéros-sexes, le bondage soft, la fessée érotique, etc... Tout cela a été génial, mais a fini par lasser. Les relations du couple se sont peu à peu espacées, remplacées dans un premier temps par mes doigts extrêmement doués aux dires de N. puis par rien du tout. Entretemps les enfants sont apparus et nous ont absorbés une partie de notre énergie sexuelle et l'antre de N. s'est élargie jusqu'à ce que je "nage" une fois qu'elle était bien excitée, à sa grande frustation.  Avec les enfants, les envies ne correspondaient jamais aux périodes de disponibilité. Bref la vie sexuelle de notre couple s'étoliait à vue d'oeil. Nous aurions pu rejaillir sur de nouvelles pratiques, la sodomie par exemple qui sauve de nombreux couples post-enfants, mais tout cela nous l'avions fait avant...

Cela a aboutit à un été sexuellement déprimant pour moi il y a 2 ans et à une prise de conscience. J'étais sur la route quand subitement j'ai décidé de devenir soumis à N. Depuis le temps de l'éveil sexuel à mon adolescence, j'ai été toujours fasciné par le SM.  J'aurais sans doute pu devenir un très bon mâitre inventif, mais avec N. ce n'était pas vraiment possible même si elle adore être bondagée. Il y a donc 2 ans, je me suis arrêté dans un sex-shop pour acheter quelques accessoires SM. Je suis rentré et j'ai à N. que je voulais qu'elle me domine. Je ne dirais pas qu'elle fût enthouisiasmée par ma proposition. Mais bon nous avions déjà un passé sexuel varié et elle a bien voulu essayé pour me "faire plaisir".

Le jour dit, je me suis mis nu avec un collier de chien autour du cou que je venais d'acheter. J'ai mis un tablier et fait la vaisselle. Quand N. est rentrée de son travail, en voyant mon cul nu encadré par les pans du tablier sa première réaction fut d'éclater de rire. Elle trouvait la situation complétement ridicule. Par amour, elle a continué, m'a attaché les bras aux poutres de la chambre et a commencé à s'occuper de mes couilles avec une tapette. Ce fut une révélation pour elle ; elle y a pris un immense plaisir à me voir geindre et sursauter dont elle ignorait l'existence. Et une grande jouissance séche sans éjaculation pour moi. Ce fut le début de l'aventure SM entre nous.

Mais au départ cela restait pour elle une expérience passagère comme un jeu érotique de plus.Moi j'avais une envie plus profonde. J'ai acheté dans les semaines qui suivit une cage de chasteté qui est au départ resté mon "truc" et je suis parti muni de la cage en mission à Paris pour la journée. Au retour, cela devait être une grande séance de D/S dans ma tête. Je suis rentré mais il ne s'est rien passé : à ce moment là elle n'était pas en phase. J'ai enlevé la cage de colère et de frustation et j'ai découché la nuit dans la chambre d'ami. Le matin je me suis réveillé à 5h, toujours en colère, et je suis parti immédiatement en voiture. A son réveil, N. a trouvé la maison vide et je lui ai sans doute fait la peur de sa vie. Le soir nous avons durement discuté sur le fond. Et il en ait sorti le pacte SM entre nous : à savoir comme je ne trouvais pas satisfaction dans les relations sexuelles d'alord, elle "m'offrait" des moments de jeux de D/S quand les enfants seraient en vacances chez les grands-parents. Il faut savoir qu'à l'époque la libido de N. était proche de zéro. Elle a fait ça par amour et très probablement par peur de me perdre. Elle pensait que mon "caprice" finirait par passer.

Nous avons fait ainsi quelque temps mais cela était forcé comme une gêne entre nous. Des fois, je me sentais éconduit comme un amoureux platonique. Puis peu à peu, cela est devenu plus profond aidé par le retour de la libido de N. avec l'arrêt médical de la pilule. Maintenant c'est naturel entre nous. N. a commencé a adoré certaines pratiques à mouiller grave sa culotte et nous avons jamais aimé autant faire l'amour depuis que nous avons pris cette voie. N. a peu à peu trouvé des moments d'excitation intense dans la relation D/S. Les moments vanilles sont fabuleux tout comme les moments de pur D/S. C'est le réveil du couple.

Tout cela n'a été possible que parce que j'ai une femme admirable que j'aime profondément et que j'admire même si je lui dit trop peu souvent. Je souhaite à tout homme en ma situation d'avoir une femme aussi compréhensive et amoureuse.

La relation D/S déborde maintenant du cadre strict de relations "sexuelles" entre N. et moi. Et N. a commencé cet été à introduire la correction de mes défauts (l'alcool, la cigarette) dans les punitions. Cela ne faisait pas partie du pacte mais cette évolution est tellement naturelle vu nos engagements.

Bientôt, dans une semaine ou un mois ou 6 mois, nous retournerons dans une relation plus conventionnelle, avant de retomber dans le monde SM. Pour l'instant nous découvrons ce que la persistence du D/S peut nous apporter.

N. je t'aime. Et merci d'avoir eu le courage de me suivre.

dyonisos









Cette image est hypercélèbre dans le monde des blogs D/S. Mais je l'ai mise là car elle résume pour moi la beauté d'être soumis à sa Maîtresse. L'homme et la femme sont magnifiques et rarement une image résume le D/S conjugual comme celle-ci.



Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 23:47

Arrivé donc en haut de l’escalier, je n’étais vraiment pas serein. Tout allait trop vite…J'étais aussi inquiet  car N. avait décidé d'utiliser la cravache comme instrument.

Notre chambre est occupée en son milieu d'une poutre juste à bonne hauteur  pour attacher les mains d'un soumis. En un tour de main N. m'y attache solidement les mains.



Puis elle passe derrière et me caresse un temps les fesses, puis commence à frapper, 1, 2, 3... c'est fou comme compter vous donne un échappatoire. On est concentré pour ne par perdre le fil des nombres et pendant ce temps les coups pleuvent. Les premiers sont toujours très faciles mais quand la série se prolonge on a qu'une hâte que cela s'arrête. A 30 une pause, N. vient m'embrasser fougueusement la bouche en passant sa tête entre mes bras, elle caresse mon corps. Puis ça reprend des séries de 20,30, 10 parfois, accompagnées de caresses, de baisers, de princement des tétons jusqu'à ce que je crie, de serrages de couilles, de forçages long et profond de mon cul par son doigt inquisiteur, me forçant à me jeter en avant dans mes liens. Un mélange de douleur et de plaisir avec N. de plus en plus excitée. Comme une étreinte sexuelle entre 2 jeunes amants. Je glisse doucement dans le sous-espace. A 90, elle a pris le rythme : ses coups de cravaches deviennent très précis et puissants. A un moment, je n'en peux plus, je m'échappe aussi loin que les cordes me permettent, N. me poursuit de ses coups puis s'arrête et attend que je reprenne la position. Il me faut une bonne dose de volonté pour reprendre la place. 120 ! Elle s'arrête sur une série particulièrement violente. Me prend la tête pour me forcer à la regarder dans les yeux, je crains le pire pour les 4 derniers mais ils sont plus doux presque une caresse. 124 c'est fini ! N. est fière que j'ai supporté.

Ces moments de pure complicité valent tout l'or du monde.



Après que dire, que le couple est revenu vers un monde plus tranquille et que Madame voulait sa satisfaction. Elle a libéré la bête.

D'abord par un long cunni donné en offrance à ma Maîtresse, puis par des étreintes engagées entre l'homme et la femme. Au final, N. m'a pris manuellement avec un gode jusqu'à j'éclate dans mon préservatif.

Dyonisos petite bite

PS : Je dédie ce message à N. Ma Maîtresse et ma femme adorée que j'aaiimmmme de plus profond de mon être. MERCI à toi d'avoir accepté de se risquer sur ces chemins si périlleux.

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 18:40

Voilà cet après-midi, au moment du café, Maitresse N. a jugé toutes les infractions en retard depuis 3 semaines.  Elle n'étais pas très enthousiaste au début, mais elle sait vite laissé convaincre quand elle a vu son chéri arriver entièrement nu avec la bite en cage et les mains attachées dans le dos par les menottes en cuir rouge.



J'ai attendu au pied de la table le début de l'audience de jugement. Il faisait très bon sur la terrasse et je suis toujours très troublé d'être dressé nu en extérieur. N. est venue s'assoir, a mis son propre propre mot de passe et a commencé à changer la programmation des punitions dans le programme. Le ressenti du moment est génial : on ne sait pas ce qui va nous arriver...


Puis c'est le choc violent du verdict : premier jugement de l'infraction la plus grave (je m'étais emporté contre N. il y a 3 semaines). Quelques secondes et le verdic tombe : 134 coups de cravache, avec une remise de peine de 10 coups contre l'obligation de servir d'urinoir à N. tout le week-end et 1 mois d'interdiction d'alcool. N. jubilait tandis que moi j'étais atteré (mais j'ai ce je mérite). Et puis elle rajoute : servir d'urinoir ce n'est une punition, tu aimes trop ça.

Et le jugement des infractions de moindre importance a continué avec N. de plus en plus exictée et Dyonisos à ses pieds. Une fois tous les jugements prononcés, cela n'a pas suffit à N. qui a rajouté une infraction pour pouvoir encore une fois lancer la machine diabolique.

Au final, j'ai pris :
124 coups de cravache
1 mois + 1 semaine de privation d'alcool
1 week-end de service en tant qu'urinoir
le prochain repas sera mangé dans la gamelle au pied de N.
1 semaine supplémenaire en cage
les 2 prochaines nuit à dormir nu et enchaîner au pied du lit de ma Maitresse
el l'intégralité des lessives et repassages pendant 1 semaine

Malgré tout cela, à la fin de la séance, j'étais très excité et ma mouille de bite coulait à l'extrémité de la cage.


N. m'a alors ordonné de me dépêcher de monter dans la chambre pour l'éxécution immédiate de la sentence. Je peux vous dire qu'alors que je montais les marches avec les mains toujours attachés dans le dos, je n'étais plus du tout serein...

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 23:40

Donc aujourd'hui après le bain de soleil de N, nous sommes passés à des choses beaucoup plus sérieuses dans la chambre d'ami. Il faisait vraiment trop chaud dans notre chambre sous les toits. J'avais ressorti les draps de vynil noirs dans l'optique de faire un fond noir pour les photos. Dès que N. les a vus, elle a eu une idée que je n'ai pas comprise immédiatement. Elle m'a fait installer à l'envers la tête au bord du pied du lit, puis m'a chevauché le visage nue. Je pensais qu'elle allait recommencer un queening en se frottant sur mon visage. Résigné j'ai commencé à sucer son clitoris. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis des jets d'urine courir le long de mes lèvres puis sur mes joues. N. sans aucune pudeur pissait sur mon visage. J'ajustais ma bouche pour récupérer le maximum de liquide. Cela se fit en 3 ou 4 giclées, puis N. est venu se frotter le clitoris et le vagin. Dans cet exercice, comme dans la musique, le principal est la respiration. C'est fou comme une femme en train de jouir se fout de l'homme qu'elle étouffe peu à peu. C'est pour cela que je rangerais le queening dans les pratiques sado-masos. Pour finir sur ce chapitre, je dirais à N. que je suis étonné du contraste entre la pudeur qu'elle a en public et ce qu'elle fait en privé. Une fois l'acte accompli, j'avais le goût de l'urine de N. dans la bouche et sous le nez. De fait en maso accompli j'adore cela, cela me rappelle combien je peux être soumis. Elle m'a d'abord attaché les pieds et les bras aux 4 coins du lit avec des cordes.

Puis elle s'est intéressée à l'écrase couille tout en m'enlevant la CB. Tout d'abord elle n'a pas cru que vu la taille de l'anneau pour passer les couilles, mes boules allaient arriver à passer par ce trou. Elle a eu cette réponse quasi définitive « tu vois Dyonisos c'est fait pour des hommes ayant des petites couilles. Si je passe ta bite, je n'ai plus la place de passer tes couilles ». Et autres phrases définitives. N'étant pas d'accord je lui ai demandé de me détacher temporairement les mains pour lui montrer comment procéder. Une couille plus l'autre, puis le pénis. Là franchement je l'ai bluffé car elle n'y avait pas pensé. Un bâillon dans la bouche et hop elle serre en cadence les vis. Honnêtement ce n'est pas la douleur du siècle. Ne pouvant voir on sent les couilles comprimées mais bon moins que lorsque N. me les serre dans une main. Au fil du temps, une vague de chaleur monte doucement des parties pour irradier du bas ventre. Je vous ai mis les photos pour comparer mes ressentiments plutôt faibles et l'impression visuelle qui après coup me semble encore terrible. Je ne voyais que très mal à cause de mon (gros) ventre. Au final, c'est une arme à effet psychologique terrible pour tout soumis qui ne l'a pas essayé, mais une fois essayé, on se dit quoi ce n'était que cela !



PS : à la fin de la séance N. m'a mis un préservatif pour me suçoter le gland. Puis elle m'a branlé de plus en plus fort, je ne voulais pas partir mais Elle voulait que si. Les 31 jours d'absence de jouissance m'ont fait perdre le jeu, et je suis parti dans une super éjaculation. Le pied quoi. Cela a changé le reste de la journée, mais cela je vous le raconterai dans un prochain billet. La quantité (énorme à mon goût) de sperme récupéré a été mise au congélateur pour une utilisation future.

Par dyonisos - Publié dans : Saison 3
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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