Arrivé donc en haut de l’escalier, je n’étais vraiment pas serein. Tout allait trop vite…J'étais aussi inquiet car N. avait décidé d'utiliser la cravache comme instrument.
Notre chambre est occupée en son milieu d'une poutre juste à bonne hauteur pour attacher les mains d'un soumis. En un tour de main N. m'y attache solidement les mains.
Puis elle passe derrière et me caresse un temps les fesses, puis commence à frapper, 1, 2, 3... c'est fou comme compter vous donne un échappatoire. On est concentré pour ne par perdre le fil des
nombres et pendant ce temps les coups pleuvent. Les premiers sont toujours très faciles mais quand la série se prolonge on a qu'une hâte que cela s'arrête. A 30 une pause, N. vient m'embrasser
fougueusement la bouche en passant sa tête entre mes bras, elle caresse mon corps. Puis ça reprend des séries de 20,30, 10 parfois, accompagnées de caresses, de baisers, de princement des tétons
jusqu'à ce que je crie, de serrages de couilles, de forçages long et profond de mon cul par son doigt inquisiteur, me forçant à me jeter en avant dans mes liens. Un mélange de douleur et de
plaisir avec N. de plus en plus excitée. Comme une étreinte sexuelle entre 2 jeunes amants. Je glisse doucement dans le sous-espace. A 90, elle a pris le rythme : ses coups de cravaches
deviennent très précis et puissants. A un moment, je n'en peux plus, je m'échappe aussi loin que les cordes me permettent, N. me poursuit de ses coups puis s'arrête et attend que je reprenne la
position. Il me faut une bonne dose de volonté pour reprendre la place. 120 ! Elle s'arrête sur une série particulièrement violente. Me prend la tête pour me forcer à la regarder dans les yeux,
je crains le pire pour les 4 derniers mais ils sont plus doux presque une caresse. 124 c'est fini ! N. est fière que j'ai supporté.
Ces moments de pure complicité valent tout l'or du monde.
Après que dire, que le couple est revenu vers un monde plus tranquille et que Madame voulait sa satisfaction. Elle a libéré la bête.
D'abord par un long cunni donné en offrance à ma Maîtresse, puis par des étreintes engagées entre l'homme et la femme. Au final, N. m'a pris manuellement avec un gode jusqu'à j'éclate dans mon
préservatif.
Dyonisos petite bite
PS : Je dédie ce message à N. Ma Maîtresse et ma femme adorée que j'aaiimmmme de plus profond de mon être. MERCI à toi d'avoir accepté de se risquer sur ces chemins si périlleux.
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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