Petits contes D/S

Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 19:34

Le vendredi soir suivant arrive trop vite. Je n’ai pas cessé de m’inquiéter toute la semaine à son sujet. Etre livré dans la fosse aux lions à 2 dangereux fauves, n’est pas une perspective pleine d’espoir… D’autant que ma routine a été modifiée à la suite de l’injonction de Yao de l’attendre pour aller ensemble diner chez ma Maîtresse. J’ai tourné en rond une partie de la journée du vendredi, la boule au ventre, incapable de me concentrer sur mes tâches domestiques. Finalement Yao est rentré inhabituellement très tôt, dès la fin de ses cours, le temps de prendre une douche et de passer un élégant costume d’été, le temps aussi de me prendre mon cul très récalcitrant à la sauvage sur le canapé avant de me faire nettoyer de ma bouche les traces laissées sur son sexe. Je n’ai pas aimé.

- Elyse m’a envoyé un sms ce matin pour demander si je comptais te sodomiser avant notre entrevue. Je ne pouvais qu’accéder à son désir si joliment suggéré…

Voilà cela commence : mes deux fauves se reniflent leurs culs avant de s’accorder pour s’amuser de leur proie. Je crains une soirée très longue et humiliante. Je suis déjà un petit soumis fourré à la crème de Mâle alors que la soirée n’a même pas commencé. Et j’ai compris qu’il n’y aurait pas de changement de tenue pour moi : je garde ma jupe raz la bite et le T-shirt délavé et sans forme qui appartenait à mon Maître. Sans doute de l’Elyse curieuse derrière cela…

- Allez à terre,  le clebs !

Maître Yao a sa voix d’impatience : je me dépêche d’obéir en me mettant à 4 pattes, pour me voir avec confusion posé un collier de chien, avant d’être pris en laisse et emmené traverser le jardin pour rejoindre la maison de ma Maîtresse. Les allées sont recouvertes de graviers piquants qui me rentrent dans les mains et les genoux. Cela fait mal et rend ma marche « canine » délicate, mais Yao me met suffisamment de pression sur la laisse pour que je cède et  j’avance…

Dans la maison, Elyse est enjouée. Elle claque la bise sonore à Yao et me caresse la nuque. J’ose jeter un coup d’œil qui me fait dresser instantanément dans ma cage. Elyse a un décolleté qui ne cache rien. Complètement indécent.  Et un dos nu à réveiller les morts jusqu’à la raie des fesses qui baille. Une jupe courte que je devine sans culotte. Cela ne peut être que pour m’exciter, vu la préférence de Maître Yao pour les garçons. Et c’est au-delà de ce que je pourrais imaginer. Je me sens si étroit…

Dans la maison, tout est trop prêt à mon goût. L’apéritif est déjà sur la table basse. Cela finit de m’enlever mes dernières illusions : pas de service à faire = pas de refuge, je vais être à disposition en permanence. Putain : je vais en chier grave ! D’ailleurs cela commence au salon, Yao laisse sans résistance ma laisse à Elyse. De toute façon, je suis sûr que c’est son idée !

Je découvre ses nouvelles chaussures à lanières…

- Bon, bébé, la règle est simple. Tu vas les nettoyer une par une à la langue. Dessus et dessous, pendant que nous prenons l’apéro avec Yao. Nous avons tant de choses à nous dire…

Je ne suis pas addict des shoes, non plus de l’odeur féminine en fin de journée. Elyse raccourcit la laisse pour me forcer à me rapprocher de mon calvaire. Mon excitation est retombée. Je n’ai pas envie de le faire et pourtant je m’y attèle : c’est moi la partie soumise du couple finalement. Le contact avec le cuir est beurk. Glisser sa langue sous chaque lanière  m’est tout sauf érotique. Je me distrais surtout à écouter attentivement la conversation de mes 2 fauves…

- Alors content des services de mon petit Tom ?

- Oui. Une bonne bouche et un petit cul serré comme je les aime ! Il est parfait. Merci.

- Oh pas de quoi. Tom  y trouve, je crois, son compte aussi. Pour la bouche, je sais comment mon bébé peut être doué quand il me suce la foufoune. Oh plus maintenant, car il doit se réserver pour notre mariage. Mais c’est ce qui m’a plu d’emblée chez lui, ses lèvres, sa langue. Et ce que j’ai consommé en premier ! Mais pour le cul, je suis en peu jalouse. J’ai bien des godes ceintures, mais ce n’est pas pareil à une vraie queue de Mâle. Je suis finalement très heureuse de lui faire connaître cela surtout avec un beau morceau comme toi… Si tu devais comparer avec tes autres culs ?

- Cela change beaucoup. Là Tutute est plus vieux que ma consommation habituelle et beaucoup moins tapette.

- Que veux-tu dire par là ?

- Il n’a pas la queue dans le cul par nature. J’ai toujours été très actif et un brin dominant, depuis que je baise des garçons. Je me suis tapé le premier pour mes douze ans, tu sais. Mais là je découvre le plaisir supplémentaire que je peux avoir à me taper un cul plus récalcitrant, à le forcer pour l’entendre crier, demander grâce et m’en foutre finalement pour le foutre jusqu’au bout. C’est génial, comme sensation ! L’impression de la toute puissance !

- Cela te plait autant que cela ?

- Oui, j’adore. Tu vois avant je fessais mes copains quand ils me le demandaient avant de les baiser. C’était érotique. Mais c’est si différent avec le pied que je prends là à lui massacrer le cul au nerf à bœuf. J’aime être pervers, injuste et cruel avec Tutute. J’aime le voir se trémousser quand je le bats. J’adore quand il pleure. Et puis, je crois que c’est aussi une vengeance de la vie. Le mal que me faisait mon oncle à me punir quand j’étais plus jeune au village, je le rends maintenant.

- Je ne m’étais pas trompé sur toi. Tu te révèles donc à toi-même, homo dominant.

- Oui et c’est un peu une surprise. Je n’aurais jamais cru y prendre autant de plaisir. Je crois que je vais continuer dans cette voie. Je me renseigne pas mal sur internet. Il y a tant de possibilités et certaines m’excitent au plus haut point quand je les lis. Tutute ne le sais pas, mais il doit souvent éteindre de sa bouche sous la table, l’ébullition née de mes lectures sur le web ! C’est là que j’ai trouvé l’idée de l’attacher tous les soirs au lit…

- Oui il m’a raconté la semaine dernière combien cela le troublait. Tu sais, il est aussi doué à se soumettre que toi à dominer. Il a eu aussi sa révélation dans son coin… D’ailleurs bébé, tu as finis les lanières ?

- Oui, Maîtresse.

- Et bien tu nous ressers 2 verres avant de t’occuper de mes semelles.

Comment cela les semelles ? En automatisme, je leur ressers 2 whiskies. Elyse pose ses pieds l’un sur l’autre sur la table basse et je comprends ce qu’elle attend. C’est dégueulasse ! Je rechigne à y poser la langue.

- Dépêche-toi, ou je te fais tout recommencer au niveau des lanières !

Je cède pour me débarrasser vite la corvée. Yao reste silencieux et me regarde faire un temps.

- Humm, humiliant comme pratique. Je crois que je vais lui demander de faire la même chose sur mes bottes.

- Oh, c’est une nouveauté pour lui. J’avais un problème, toujours le même en fait. Comment l’occuper pendant que nous discutons, tout en raffermissant son emprise. C’est un peu le problème avec les petits garçons en mal de soumission : il faut toujours s’occuper d’eux, où alors ils végètent et errent malheureux. Mais de mon point de vue, je ne peux les dominer 24/24. Alors faut trouver des activités pour les occuper, un peu comme toi, tu le mets à vénérer ta bite dans sa bouche pendant des heures. Moi je n’ai pas de bite, alors il faut que je trouve d’autres choses… Il ne le sait pas encore mais on va regarder si le face sitting nous irait et de toutes façons, il va se construire dans les prochaines semaines un réduit sous l’escalier pour que je puisse le faire disparaitre de ma vue pendant quelques heures…

- Humm c’est l’idée que j’ai : un endroit pour le consigner pendant que je sors avec les copains. J’ai pensé à une cage mais je ne sais pas comment la trouver…

- Oh, mais il faut juste demander. Nous avons une belle cage conjugale en acier, qui serait parfaite pour cela, et que Tom connait déjà très bien. Tu peux me l’emprunter si tu veux…

- Je peux ? Génial ! Je vois bien l’obliger à me sucer la queue au passage à travers les barreaux…

Comment vais-je survivre si les deux là surenchérissent en permanence ?

- Tu as compris, bébé, tu monteras la cage là où Maître Yao la voudra ! Et puis cela te rappellera tes débuts…

Je finis finalement par venir à bout des deux semelles. Ma langue est crasseuse maintenant au goût de caoutchouc. Yao le remarque…

- Tutute au pied ! Pipi !

Je rougis immédiatement. Il ne peut pas me demander cela devant ma Maîtresse ! C’est indécent et très intime. Mais Elyse finit de m’accabler.

- Bébé, je crois que ton Maître vient de te demander quelque chose…

La honte dans l’âme, j’obéis à contrecœur. Déboutonne la braguette de Yao et en extirpe son sexe. Je me mets alors en position « d’urinoir », bouche grande ouverte prête à recueillir son urine, qui arrive fatalement. J’ai interdiction d’avaler et dois retenir le liquide tant que je n’en ai pas reçu l’ordre. Le « besoin » de Maître Yao est important avec l’apéritif malgré que je l’ai « vidé » juste avant de venir. Ma gorge est remplie quasi à ras bord. L’ordre tarde à venir. Elyse s’est levée pour constater de visu.

- Humm impressionnant. Tu l’utilises toujours ainsi !

- Oui…

- Encore une chose dont je suis un peu jalouse…

- Tu peux avaler maintenant !

Il était temps… J’avale tout en bon petit boy soumis. Pas de luxe pour faire des simagrées. Mais le  goût épicé me ramène à ma situation actuelle. Le sperme de Yao a fait son infâme action pendant que je léchais à 4 pattes les chaussures d’Elyse et cela presse maintenant dans mon rectum.

- Maîtresse, puis-je aller aux toilettes ?

- Tu n’es pas pris des précautions avant ?

- Si mais…

- Mais quoi, bébé ?

- Maître Yao m’a sodomisé juste avant de venir et là le sperme… c’est comme un lavement… J’ai besoin de…

- Si c’est Yao, le responsable, et bien c’est à lui décider !

Yao m’interroge donc.

- N°1 ou n°2 ?

- N°2, Maître.

- Tu ne peux pas attendre ?

- Non… c’est… pressé…

- Et bien tu vas commencer par attendre 10 minutes, le temps que nous reprenions un verre… ressers-en nous un…

J’obéis avec empressement et reste impatient à attendre au pied de la table basse, les crampes au ventre et le cul dodelinant.

- C’est quoi n°1 ou n°2 ?

- Le code US pour les petits garçons… N°1 c’est pipi et N°2 c’est caca…

- Je ne savais pas.

Finalement les 10 minutes finissent par passer lentement. Elles n’ont pas arrangé mon état : je ne pense qu’à être soulagé.

- S’il vous plait, Maître Yao. Je n’en peux plus…

- Je vois bien : tu tortilles du cul comme un boy en chaleur ! Tu as une caisse à besoin ici ?

La peur m’envahit…

- Oh non, pas ça ! Pas devant Elyse ! Pitié Maître… Je serais un bon soumis obéissant…

- Ta Maîtresse m’a laissé la main, alors ce sera à mes conditions ! Alors tu as une caisse ici ou non ?

Je réponds, totalement humilié : non.

- Bon nous devons devoir aller à la maison…

- Non, Maître. Pas ça !

Maître Yao m’emmène d’une main de fer sous l’appentis de notre pavillon au fond du jardin. Elyse suit silencieuse mais plus curieuse que jamais. Ma caisse m’attend et me sourit sadiquement. Pas le choix, je vais devoir m’y rabaisser devant Elyse : il est trop tard pour moi maintenant. J’enjambe la caisse de litière, me mets en chienne, cul tourné vers Yao et Elyse, et totalement rouge de honte, défèque dans un affreux bruit de pets. Je sais que je suis tout sauf érotique à devoir faire cela. Je crains la réaction d’Elyse…

- Il fait cela tout le temps ?

Elyse vient de rompre son silence.

- Non les pets, c’est parce que je l’ai enculé avant. L’air finit toujours par ressortir à un moment ou un autre… Mais ta question ne porte pas sur cela… Il chie ainsi dès que je suis à la maison. Pour son pipi, idem et Tutute n’aime pas ça. Nous avons mis en place cette contrainte il y a un mois. Il ne t’en avait pas encore parlé ?

- Non. Pourquoi ?

- J’ai trouvé cette discipline sur un blog gay américain. J’ai beaucoup aimé. Aller aux toilettes est l’acte le plus intime qu’un homme peut avoir, et là je lui prive de cette intimité, qu’un soumis ne doit pas avoir de toute façon…

- Mais, c’est dégueulasse !

- Oui et non. C’est un acte naturel. Tu fais caca, je fais caca, il fait caca, mais pour lui c’est en public. Et puis nous les homos, on est sans doute plus tolérant avec la merde que vous les femmes. Tu sais un cul ce n’est jamais propre et il arrive souvent que ma bite ressorte avec des traces de pneus. Tiens comme toute à l’heure quand je l’ai baisé avant de venir. L’avantage avec Tutute est que je n’ai besoin de me gêner pour lui faire tout bien nettoyer avec sa bouche après…

- Non c’est trop dégueux ! 

- oh pas plus que quand tu le forces à faire le n°2 dans sa couche, Elyse !

La saillie a porté. Elyse est obligé d’acquiescer.

- Oui, j’oubliais, mais je suis quand même étonnée que Tom se prête à ce jeu limite…

- Oh non il déteste, mais plus il déteste, plus j’ai envie de l’y forcer.

- Il peut éviter en allant aux toilettes quand tu es à l’école…

- Non, je l’empêche.  D’abord, il a pour obligation de demander systématiquement la permission pour le n°1 ou le n°2 par SMS et de ne rien « entreprendre » si je n’ai pas répondu. Il doit m’envoyer une photo de son œuvre après. Et de toute façon, il est enfermé à clé dans la maison avec le compteur d’eau coupé : je saurais bien vite s’il m’a désobéi… vu l’impossibilité qu’il a de se laver après… Tu as finis, Tutute ?

- Oui, Maître Yao.

- Tu le laisses le cul sale après ?

- Quand même pas ! J’y mets quand même ma queue après. Tu vas voir…

Et ce qu’Elyse voit, c’est comment on nettoie le cul sale d’un chien à coup de jet d’eau.

De retour chez Elyse, je suis emmené passer ma tenue de nuit habituelle. En clair : grenouillère et couche. J’obéis de mauvaise grâce, sous les yeux amusés de Yao. Ce soir, c’est « open bar ». Chaque fauve veut marquer sont territoire et montrer à l’autre, la façon dont on traite les petits mâles soumis. Yao est très intéressé par le traitement.

- … pas sûr que j’aimerais. C’est pas pratique pour enculer pendant la nuit.

- Ce n’est pas le but. Là je veux un bébé plutôt asexué, sans forme trop marqué sous sa grenouillère. Je l’aime bien comme cela.

- C’est vrai que vous ne baisez plus depuis que je suis arrivé ?

- Oui, mais cela n’a rien à voir avec toi. Dans un an, nous nous marrions et je trouve intéressant de le faire avec une virginité retrouvée entre nous deux. Je trouve cela très romantique. Alors pour lui c’est la cage et pour moi mes amants limités me suffisent en ce moment… D’ailleurs tu l’as fait éjaculer ?

- Non. Je n’y pense pas. La clé est restée dans mon portefeuille depuis que tu me l’as donnée…

- Tu ne lui enlèves pas la cage pour qu’il se lave ?

- Ah quoi bon ? Les odeurs de son zizi encagé ne me gênent pas et une bonne rincée au pommeau de douche a l’air de suffire pour que cela n’empire pas trop. 

- Alors ça fait – laisse moi réfléchir – 70 jours où il n’a pas…

- Quelque chose comme cela…

Là j’ai grande envie de parler, de plaider ma cause. 74 jours exactement depuis que j’ai éjaculé la dernière fois. Cela me tracasse de plus en plus alors que Yao ne cesse de se faire bouffer la queue ou me prendre le cul. Ce n’est pas neutre : quelque part cela excite le besoin de partir enfin à mon tour. J’ai bien essayé de l’expliquer à Yao mais en vain : il ne s’y pas intéressé. Avec Elyse et son programme de revirginité, ce n’est pas la peine. De toute façon, ce n’est plus elle qui a ma clé mais Yao. Pourtant je suis devenu un bon soumis obéissant : je devrais être récompensé. J’hésite cependant à en parler ici et maintenant. Il se pourrait qu’ils se mettent d’accord pour me punir de mon insolence. De toute façon, ce n’est déjà plus le moment.

- A table !

Je suis surpris de découvrir que la table de la salle à manger a été remplacée, cette semaine. Adieu la table de chêne blanchi et bienvenue à une table en verre design. Je me demande bien pourquoi ? Yao prend place à la demande d’Elyse – il est l’invité de la Maîtresse de maison après tout. Puis Elyse s’assoit à son tour. Je découvre à ce moment qu’il n’y a que deux couverts.

- Tom, tu serais chou d’aller nous chercher au frigo le plateau de fruits de mer…

J’obéis et reviens avec le plateau que je pose au centre, avant d’attendre embêté dans ma grenouillère à côté de la table. Elyse laisse durer le suspense avant de – plus royale que jamais -  me condamner.

- Et bien, bébé, tu ne t’occupes pas de ton Maître Yao ce soir ?

Je ne comprends d’abord pas. Puis je percute. La table en verre ! Yao ! Elyse ! Elle ne veut quand même pas que je m’abaisse à… Yao lui a compris plus vite que moi.

- Et bien oui, Tutute, pourquoi ne t’occuperais-tu pas de moi, comme tous nos soirs, si ta Maîtresse le veut…

Je deviens cramoisi, un brin agacé de m’être fait avoir. Purement coincé ! L’humiliation au visage, je m’agenouille sur le tapis avant de me glisser sous la table, déboutonner Maître Yao et prendre – comme d’habitude – son sexe entre mes lèvres. J’espère, satanée Elyse, que cela t’excite de voir ton homme déchoir à travers la table transparente ! Foutue Elyse de m**** !

La situation plait à Yao, il bande à moitié quand je pose ma bouche. Mes lèvres ne font qu’accroitre son plaisir de la situation. Il bande maintenant.

- Me permets-tu ? J’aime bien le faire avant de manger.

- No problem. Et pour tout t’avouer, je voulais voir ça de mes propres yeux. Cela fait trop longtemps que Tom m’en parle et que j’ai la chatte excitée à chaque fois.

Mais moi je ne suis pas d’accord. Pas dans ses conditions ! Je refuse de participer à mon humiliation. Yao l’a senti et me prend à son habitude le cuir chevelu. Sa bite dressée force sur mes lèvres. Je tente de refuser mais finis par avaler de force. Il me la met bien profond jusqu’à ce que j’hoquète. Nous sommes en démonstration ! Et Maître Yao met sa détermination pour qu’elle soit à son avantage. Sa bite me baise la bouche profond et longuement, jusqu’à ce qu’il jute finalement au fond de ma gorge. Il ne me libère qu’une fois sur que j’ai bien tout avalé comme une tapette soumise. 

Un ange passe : les 2 fauves restent silencieux. Puis Elyse rompt le silence.

- Impressionnant ! J’en ai la chattoune toute retournée de voir mon bébé en tapette à foutre. Cela m’a donné faim. Mangeons maintenant si tu es d’accord Yao…

Ils mangent beaucoup et boivent aussi pas mal du Scharzwald Wein. Elyse me semble rapidement guillerette et Yao guère mieux. Ils discutent pas mal de la vie, de leurs aventures sexuelles pendant que je reste consigné sur le sexe maintenant mou de Yao. Au moins, ils me foutent la paix pendant ce temps. 

-… alors là le client de papa sort sa bite de son pantalon. Une belle bite dans mes souvenirs…

- Tu ne l’avais jamais fait ?

- Non, c’était mon premier. J’avais 14 ans et nous étions pour le week-end chez ce client, qui nous avait invités pour la piscine. Papa faisait la sieste dans sa chambre…

- Et ?

- Il me la mise au cul directement aidé d’une de mes crèmes de jour. Le choix de la position était bizarre. Pas en chienne mais sur le dos le cul relevé par les oreillers. Je crois que cela l’excitait de voir ma tête et mes yeux,  alors qu’il me mettait son gros bâton dans le cul. Il est allé doucement et avec beaucoup de précaution : mais j’ai finis par prendre toute sa bite dans mon cul ! C’était si bizarre comme sensation, un peu douloureux mais pas totalement. J’étais sur une autre planète, fière de me dire que je l’avais enfin fait. Il m’a mise son pouce sur le clito et m’a donné beaucoup de plaisir pendant qu’il coulissait avec lenteur dans mon anneau. Tu sais quoi, Yao, j’ai adoré cela dès le début !

- Il t’a défloré le devant aussi ?

- Non, j’aurais bien voulu. Je lui ai même demandé. Mais il m’a dit de le garder pour un garçon dont je serais complètement amoureuse. Je l’ai fait 6 mois plus tard pendant les vacances d’hiver avec le fils du traiteur de papa à la montagne. Un très bon souvenir… Mais ce premier, je l’ai sucé à la cuisine pendant que papa attendait à table. C’est moi qui en ai pris l’initiative et j’en étais très fière. J’ai sorti son morceau de son costume et je l’ai sucé jusqu’au bout comme une grande, sauf qu’il a préféré éjaculer dans son mouchoir…

- Ouah, décidée l’ado ! Tu l’as revu après ?

- Non. Il est mort d’une crise cardiaque quelque mois plus tard. J’étais si triste quand je l’ai appris… mais Papa et Maman n’ont pas su pourquoi…

- Et toi? 

- Le premier était un vieil homo de passage qui m’a sodomisé. Une des rares fois où je me suis pris une bite au cul. Mais je n’ai pas aimé. Je préfère de loin être actif.

- Qu’est-ce qu’ils ont de plus les mecs ? C’est si différent quand il suce ?

- …que les femmes ? Je sais pas. J’ai jamais essayé avec une fille…

- Jamais, même pas pour te confirmer que ce n’était pas ta tasse de thé ?

Un lourd silence s’impose sur la dernière phrase laissée sans réponse… un moment avant que l’équilibre se rompt brutalement : Elyse me rejoint sous la table ! La folle idée semble faire son chemin chez Yao. Je le sens de nouveau grossir entre mes lèvres… Elyse me pousse doucement.

- Allez laisse-moi ton nonosse, bébé…

C’est soirée est incroyable alors que je vois au premier plan, la bouche de ma Maîtresse engloutir avec faim la bite de mon Maître. Il est incontestable qu’il est consentant vu la rigidité de son sexe. Elyse y met toute sa science de la fellation. Définitivement et infiniment plus doué que moi. Elle obtient qu’il tombe complètement slip et pantalon, pour libérer tous les accès. Yao a fermé les yeux pour se laisser aller à la caresse inédite. Elyse suce, lèche, branle, baisote sans jamais s’arrêter. Elle ose tout y compris son doigt dans le cul de Yao. Je sens la tension qui monte en lui. Il se cabre légèrement et le miracle se réalise : Yao gicle dans la bouche d’Elyse. Je vois un filet de sperme qui s’échappe par la commissure des lèvres, rendant si visible et indécent ce qui vient d’être accompli, là sous mes yeux.

Je suis sur le cul ! Excitée comme une jeune pucelle, jaloux de ne pas y avoir eu droit moi aussi, embêté aussi pour mon Yao. L’air est lourd dans la pièce. Yao respire fort. Elyse a débouché et caresse sensuellement, le sourire aux lèvres,  les couilles maintenant vidées et de quelle manière.  Cette soirée entre fauve de grande chasse est folle.

Finalement Elyse retrouve rapidement sa maîtrise…

- Il est temps, je crois, d’aller te coucher mon bébé dans ton ancienne chambre. Il est des choses qui sont indécentes à regarder pour un petit garçon. Et là je crois que tu as déjà plus que tu aurais du. Et n’oublie pas de bien fermer la porte du couloir et de ta chambre, si tu ne veux pas que je devienne méchante.

Evacué et humilié ! Je m’extirpe de la table et me dirige à regret  vers ma chambre de petit garçon, fermant comme demandé, soigneusement les portes entre moi et eux. Je serais bien resté : la soirée devenait intéressante. J’essaye un moment de saisir au loin depuis mon lit, leurs voix trop étouffées pour que je comprenne, avant de tomber de sommeil sous le coup de la forte émotion de cette soirée incroyable…

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Je suis réveillé le matin suivant par une incroyable vision, celle d’une Maîtresse déchue, nue, le dos et les fesses fraîchement striés et tenue étroitement en laisse par un Maître Yao complètement nu et dressé. Elle porte mon collier et ma laisse ! Je crois être encore en train de rêver mais au fur et à mesure que j’émerge cela me parait de plus en plus vrai, trop vrai même.

Yao me parle.

- Bonjour Tutute, as-tu bien dormi ?

Ravi de la vision, je ne peux m’empêcher de plaisanter de ma situation…

- Comme un bébé…

Je ne cesse de fixer Elyse. Elle a les yeux fatigués d’une nuit blanche, le maquillage défait et elle tient – oui ! – la clé de ma cage entre ses dents. Je bande !

- Cela t’excite ? Comment cela ne te ferait pas bander à mort de retrouver ta dure Maîtresse dans cette position ? D’ailleurs comme tu peux voir, je bande aussi. Nous avons eu une exigeante discussion entre « adultes » cette nuit. Elle a perdu et j’ai gagné. Alors, je me suis dis et si nous allions le montrer à Tutute et le donner un peu de plaisir multiple au pauvre petit « chou », tout seul dans sa chambre. Allez, Sucette, enlève lui sa grenouillère !

Sucette ? Le nouveau nom d’Elyse. J’imagine vraiment pourquoi… Vraiment surprenant ce matin ! Elyse m’enlève la grenouillère. La couche, restée sèche, part avec. Je suis nu moi aussi. Yao installe une chaise à côté du lit et s’y assoit avant de m’attirer à lui, me positionner et me forcer à m’empaler sur sa bite dressée dans une grimace. Heureusement  mon trou est resté graissé de la vieille. Les homos savent utiliser les bons lubrifiants.

- Ah j’ai retrouvé ma petite rondelle favorite. Y’a pas à dire mais un petit trou serré, c’est quand même mieux. Celui de ta Maîtresse est rectifié par des années de sodomies par ses amants. C’est un petit trou un peu lâche maintenant, comme chez les vieux PD. Allez-toi, Sucette, au boulot ! Comme prévu…

Ce nouveau jour est étonnant et merveilleux. Je contemple, la bite de Yao au cul, Elyse ouvrir la cage de mon oiseau qui se dresse immédiatement au garde-à-vous, avant d’y descendre langoureusement ses lèvres pulpeuses pour me le pomper à fond…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 13:23

- Je veux savoir pourquoi Yao te surnomme Tutute ?

Je rougis violemment. Nous sommes vendredi soir, le jour de mes retrouvailles avec Elyse dans notre nouvel arrangement de vie à trois. C’est le jour où Maîtresse Elyse m’interroge sur ma semaine passée avec mon « maître »Yao et elle veut tout savoir. Cela se passe dans l’ancienne pièce d’étude, devenue une sorte de boudoir très féminin, avec des lourds rideaux et une lumière tamisée. C’est aussi notre petit donjon conjugal à nous, avec un impressionnant et menaçant banc à punir en bois noir comme ce qui j’y subis. J’ai grimacé en le voyant la première fois.

Elyse est assise dans un fauteuil à haut dossier, très royale. Elle est habillée très sexy et moi je suis nu prostré à ses pieds. Le vendredi soir est devenu un temps d’interrogatoire, Elyse nourrissant une curiosité sans fin sur ce que je fais avec Yao. Peut-être même finalement un brin jalouse…

- J’attends ta réponse…

Je sais que je vais devoir la donner, complète et fouillée jusqu’à l’os par une Elyse qui me veut n’avoir aucune zone d’ombre pour Elle. Je sais aussi que si je ne réponds pas, je serai envoyé chevaucher durement le banc et battu jusqu’à me faire céder, comme la semaine dernière. Et pourtant, je ne suis pas sûr d’avoir « envie » de dire pourquoi j’ai acquis ce stupide surnom de Yao. Il est finalement beaucoup plus dominant que j’aurais cru, beaucoup plus pervers aussi, ayant le culot de la jeunesse. Je me vois chaque fin de journée, dans sa tenue préférée, devoir faire…  et j’en rougis encore. Il y a peut-être des choses que j’ai du mal à accepter.

Elyse me regarde durement, impatiente. Je cède et passe à confessions.

- Le soir quand il rentre du lycée, et jusqu’au coucher, je suis en permanence agenouillé à ses pieds devant…

Non je n’assume pas ! Je m’arrête très mal à l’aise mais Elyse me relance d’une gifle d’impatience.

- Tu dois faire quoi à ses pieds ? 

- Je… je dois rester en permanence agenouillé à ses pieds et garder son… sexe… dans ma bouche jusqu’à… il me dise d’arrêter.

- Humm, intéressant. Tu es nu ou habillé ?

- Dans la tenue qu’il me préfère maintenant… une mini jupe écossaise qui ne cache rien du tout, qu’il a acheté aux puces et son vieux T-shirt rose, informe et délavé.

Elyse rigole de bon cœur à l’évocation de mon image ainsi.

- Sympa l’idée d’une jupette « ras la bite » ! Ton « Maître » Yao m’étonne de plus en plus.

Je suis mortifié.

- Alors tu fais quoi avec le zizi dans ta bouche ? Tu le tututes sans fin ?

Nous y voilà : Elyse a compris comment j’ai acquis cet humiliant surnom.

- Oui, je dois le suçoter en permanence pendant qu’il fait ses devoirs ou il regarde la télé. Je prends une baffe si je le lâche ne serait-ce qu’une seconde.

- Humm intéressant. Et tu ne fait que le suçoter ? Yao n’a pas des envies plus « dures » de temps en temps ?

Il me faut vraiment tout avouer, le rouge aux joues… toujours le rouge aux joues.

- Quand il… bande… je… je dois le prendre jusqu’au bout…

- Et tu aimes cela, sucer un mec ? Je veux toute la vérité. N’essaye pas de me mentir, ou sinon…

- C’est dur. Yao l’a si grosse et il aime beaucoup que je… la prenne jusqu’à ses… couilles.

- Je connais le beau morceau de Yao mais tu en réponds pas à ma question : aimes-tu devoir le sucer ?

Aie ! Je ne suis pas sûr de vouloir répondre à cette question trop intime… même à ma future femme. Je suis pivoine à chaque fois que je dois me mettre nu d’esprit devant Elyse.

- Je me sens… humilié et cela me trouble tant de devoir le sucer.

- Tu bandouilles dans ta cage pendant que tu le suces ?

Je regarde Elyse et je réponds un petit oui.

- Pourquoi ?

- Parce que… je suis excité de devoir le faire, d’être… humilié, d’y être forcé, moi qui ne suis pas homo.

- Mais si tu es un homo, mon bébé : tu suces des bites de blacks et tu bandes !

- Non ce n’est pas ça…

Elyse est étonnée.

- Comment cela, mon bébé ? Tu n’aimes pas la queue de Yao ?

C’est assez embrouillé dans ma tête, mais j’essaye d’expliquer comme je peux à mon Elyse.

- J’ai… j’ai cru en Suisse découvrir que j’aimais les hommes, que j’étais finalement homo ou bi, mais cela ne marche pas comme cela…

- Humm, cela marche comment alors ?

- Yao a essayé au début de… m’embrasser, mais je ne savais qu’en faire et surtout je n’avais pas ce frisson comme quand vous m’embrassez. 

- Pourtant tu sembles heureux de vivre avec Yao.

- Oui je le suis, comme je le suis avec vous, mais c’est différent. Ce n’est pas issu d’un sentiment amoureux, je crois que c’est plus, comment dire…

- Oui Thomas ?

- parce… parce que je suis soumis basiquement à ce corps et ses besoins. Je vois Yao comme quelqu’un de statut supérieur à qui je dois me soumettre, non comme un amant.

- Intéressant. Tu es plus soumis dans l’âme que je croyais.  Et en quoi cela te plait tant ?

- J’aime ces sensations troubles d’être dépossédé de moi-même, de devoir et de ne plus pouvoir. Et je crois que le fait qu’il soit un homme, plus jeune que moi-même, décuple mon sentiment, bien plus qu’avec Madame Pimpelrose.

- Humm, humm. Et moi dans tout cela, où je me trouve ?

- C’est différent. Je vous aime tant jusqu’à vouloir devenir celui que vous voulez tant que je sois. Et je suis sûr de votre amour en retour. Des fois je me dis que cela serait mieux d’être un couple « normal ». Mais vous avoir a des conditions que j’ai accepté pour pouvoir rester à vos côtés. Mais votre domination est différente. Je vois que l’attachement amoureux est un filet. Quand vous me fouettez, je sais que vous ne me détruirez jamais totalement la peau. Et cette confiance innée change mon ressenti : il n’y a pas ce sentiment d’abandon total à l’autre. Vos remontrances sont différentes, plus pour moi sur le remord de ne pas vous avoir satisfait. Au contraire d’un abandon total de corps et d’esprit, elles demandent une concentration de le l’âme à développer son sentiment d’appartenance et s’investir à devenir meilleur pour vous. Vous êtes mon garde fou. Si vous n’étiez pas là, il me serait impossible je crois de me lâcher totalement avec Yao ou autres…

Cela m’est venu ainsi, sans l’avoir prémédité. Elyse a le regard si amoureux que j’adore, qui m’a fait craquer.

- Je ne me rendais pas compte… Allez viens-là toi, mon petit amour !

Et il s’ensuit le plus merveilleux échanges de baisers profonds que je n’ai jamais partagé avec Elyse. Je suis si heureux ! Nous finissons par nous détacher à regret. Je reprends immédiatement ma place de soumis à ses pieds.

- Alors raconte-moi en détail. Tu le vis comment quand tu le suces dans ce contexte d’abandon total ? Que je compare à ce que je vis avec mes amants…

Tout l’art d’Elyse de me rappeler ce qu’elle fait dans mon dos, mais qui aujourd’hui ne m’atteint pas, sûr de son amour.

- Je suis fasciné quand je sens sa grosse queue se dresser dans ma bouche. Je ne comprends pas pourquoi elle peut être parfois si molle et d’autre fois si dure. Je me sens dépassé par ses envies et j’aime être dépossédé, soumis à l’arbitraire de l’état de sa queue. Je le suce très doucement, sans ardeur excessive. Je veux qu’il exige, m’impose son désir, son rythme, sa main dans mes cheveux pour me forcer à le satisfaire. Je ne veux pas être à l’origine de  sa perte de contrôle quand sa jouissance monte. Je préfère de loin qu’il reste Maître de son désir et de la façon dont il va le prendre dans ma bouche. J’attends qu’il jouisse dans ma bouche avec fatalité. Sinon cela ne marche pas et je me sens perdu, maladroit.

- Tout comme moi avec mes amants exigeants finalement ! Un conseil, titille lui le méat, les hommes adorent cela, comme le doigt dans le cul. Et quand il est prêt à partir tu fais quoi ? 

- Il me prend par les cheveux et me… colle la bouche jusqu’à ce qu’il… parte.

- Il part où, je n’ai pas compris ?

Si Elyse a parfaitement compris, mais elle veut que je le dise à voix haute, pour renforcer son emprise et mon humiliation.

- Au fond de ma gorge, Maîtresse, en me… maintenant… de force…  sur sa bite.

- Humm très dominant comme tu sembles aimer. Tu avales donc en parfait petit garçon soumis ?

Elle ne m’épargne rien, aucun détail. 

- Oui, pas le choix.

- Tu aimes le goût de son sperme ?

- Non, c’est amer. Mais si je n’avale pas tout de suite, il… il me bat.

- Bon, il y a quand même une justice dans ce bas-monde. Et je constate que cela ne te déplait pas tant que tu veux le dire, vu combien tu es devenu tout dur dans ta cage.

Trahi par son corps. Elle vient taquiner de son orteil mon zizi qui dépasse des barreaux un temps avant de me laisser si frustré à mon éternel regret.

- C’est que… je me sens si inférieur à devoir avaler les souillures de son corps dominant… Maîtresse.

- Ah tu appelles le sperme d’un homme, une souillure. Intéressant. Je m’en rappellerai les rares fois où tu gicleras ton pauvre petit sperme de mari soumis… Ah, ah, ah. De toute façon, il faut que tu en profites pour t’habituer. Car une fois mariés, cela sera la norme pour toi. Chaque que je daignerais traire ton petit zizi... Et après le passage de mes amants, pour nettoyer leurs cochonneries dans ma chatte, dans mon cul. Cela sera un bon rappel de ta place dans notre couple. 

Je grimace de dégoût à la perspective tout en étant excité. Le paradoxe de soumis.

- C’est tout ce que Yao fait de son zizi dans ta bouche ?

- Oui.

- Je suis sûre que tu mens. Il n’a pas d’autres besoins parfois ? Les hommes en ont toujours…

Impossible de cacher quoi que ce soit à Elyse.

- Il fait… pipi directement ma bouche et je dois tout… prendre.

- J’en étais sûre. Mon petit doigt me l’a dit. Tu trouves cela dégradant ?

- Oui. Yao y tient absolument, disant que c’est le rôle d’une bonne tapette, de le boire à la source. Sinon c’est le nerf à bœuf pour moi.

- Ne te mens pas : tu sais au fond de toi même que tu aimes cela. Tu viens de me l’avouer. Il t’utilise en pissotière même quand tu n’es pas à lui suçoter la queue ?

- Oui, Maîtresse. Le reste du temps, il me dit « pipi » et je dois immédiatement m’agenouiller, ouvrir la bouche, pour le recueillir dans l’instant. Au lit aussi.

- Tout le temps ? Il ne pisse jamais dans les toilettes ?

- Non jamais. Quand il est à la maison, il m’utilise à chaque fois, y compris la nuit.

- Humm intéressant. Elle est bonne son urine ?

Je déteste ces questions directes auxquelles je me dois de répondre et qui me rendent tant mal à l’aise. 

- Parfois oui, parfois non. Je grimace à celle du matin, forte et amère.

- Et bien, nous allons faire pareil ici le week-end. Faudrait pas que tu perdes tes bonnes habitudes et comme cela tu pourras comparer nos goûts entre Yao et moi. Mais là cela ne sera pas directement du producteur au consommateur. Je te rappelle que c’est interdit de voir ! Nous échangerons un grand verre.

Et merde ! Ce n’est pas que cela soit si intolérable de devoir boire l’urine d’autrui, mais le recyclage permanent augmente mon propre besoin d’évacuer. J’évacue maintenant pour deux et jusqu’à présent j’aimais le week-end avec Elyse pour ne pas devoir le faire pendant 2 jours. C’est terminé et bien terminé, encore un privilège qui m’était inconnu que je vois disparaitre avec tristesse. Un de plus !

- Et côté recto, ton petit trou s’habitue à la taille exigeante de ton Maître Yao ?

- Je n’ai plus de saignement comme au début. Mais c’est toujours aussi difficile de recevoir son sexe.. Je crois que qu’il est impossible de s’y habituer. Il est si gros, Maîtresse !

- Tu y prendrais trop de plaisir que cela ne serait plus de la soumission. Tu as mal quand ?

- Beaucoup quand il me pénètre l’anus. C’est intense et Maître Yao n’est pas très patient. Puis cela baisse. Mon corps s’habitue à sa taille. Avant de remonter aussi intensément quand il me donne des coups de bélier puissant avant la jouissance. Je hurle à ce moment là et Yao adore cela…

- Dis-toi que beaucoup de femmes doivent subir le douloureux assaut au lit. Ce n’est donc que justice que tu connaisses toi aussi cette détresse face à l’envie du Mâle. Il t’a pris en quelle position cette semaine ? En chienne ?

Je rougis d’avantage face à l’indécence de la question… L’intimité devient une chose interdite. Elyse adore de plus en plus m’extorquer crument les faits, surtout quand ils sont humiliants pour moi.

- Moi sur le ventre. Il s’allonge sur moi et…

- Et quoi, mon bébé ?

- et je ne peux plus rien faire pour y échapper maintenant !

- Ah bon ? Pourquoi dis-tu cela ?

- Yao m’attache depuis lundi tous les soirs face contre le lit quand nous nous couchons. Il trouvait que je faisais trop ma timorée face à ses envies nocturnes.

- Comment fait-il ?

- Il a fixé des chaines aux montants du lit, pour mes mains et mes chevilles, trop courtes pour que je puisse me retourner.

- Tu dors donc maintenant systématiquement sur le ventre ?

- Oui, mais ce n’est pas ma position naturelle : j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Surtout que Yao veut ma cage soit visible entre mes cuisses. Je n’y arrivais pas alors il a installé en plus une cordelette avec un mousqueton qu’il accroche à la cage pour empêcher que mon zizi retourne se mettre à l’abri sous moi. Il veut mes couilles à disposition permanente. La position n’est pas naturelle, cela tire toute la nuit.

- Et alors il abuse de son petit trou perso dans cette position ?

Je n’aime définitivement pas la façon humiliante dont Elyse me parle quand je dois raconter ma semaine avec Yao. C’est décervelant et particulièrement intrusif…

- Oui à voir ta tête pas besoin de me le dire. Combien de fois par nuit ?

- Cette semaine, au moins deux fois par nuit et jusqu’à 4 fois dans la nuit jeudi à vendredi.

Là je ne peux m’empêcher de voir arriver quelques larmes à me rappeler ma dernière nuit avec Yao qui était en rut et m’a fait mal au point de le sentir encore dans mon cul. Cela ajoute à mon humiliation de devoir tout raconter et de ne pas avoir de secret pour Elyse.

- 4 fois et bien dis-donc. Et en début de semaine ?

- Il m’a couché sur la table pour me… sodomiser dès qu’il est rentré et puis 3 nouvelles fois pendant la nuit dont une au coucher.

- Ah que c’est mignon les jeunes couples, cela ne se voit pas 3 jours et demi et que déjà ils se manquent tant !

Et Elyse éclate d’un rire sonore qui rajoute à mon humiliation.

- Donc maintenant tu es attaché sur le ventre dans le lit et Yao dispose de ton petit trou. Allez raconte-moi comment vous faîtes ? Moi je n’ai jamais vu des garçons le faire ensemble. Je suis toute curieuse…

Je ne suis pas dupe. Elyse me pose la même question chaque vendredi soir sur le comment Yao m’encule. Non qu’elle ne le sache pas, mais parce qu’elle a trouvé là un moyen sans fin de m’humilier en feignant de croire que nous sommes un couple d’homos normal. Mais la réalité quand Yao me baise, c’est un rapport de domination et soumission. Je n’y serais pas contraint que je n’accepterais pas qu’il m’encule et si j’y trouve finalement pas un certain plaisir intellectuel à me faire déchirer par son gros sexe, c’est un plaisir de l’esprit à être pris et humilié de cette manière et non un plaisir physique. Une sensation aigue de soumission et de déchéance.

- Yao m’enjambe, me prend les mains pour les bloquer de son poids avant d’introduire son sexe dans mon anus en puissance.

- Oh que tout cela est joliment dit, mon bébé,  pour une pine qu’il t’enfonce dans le fion ! La position de l’étoile de mer. Celle du Dernier Tango à Paris. Il te réveille avant si tu dors ?

- Non, il commence même si je suis endormi…

- Et bien cela doit être un réveil violent de mon bébé. Otes-moi d’un doute, il ne te la met quand même pas à sec ?

- Yao a encore essayé cette semaine mais il n’a pas réussi à rentrer. Il s’est énervé et a décidé que dorénavant cela serait ma tâche d’avoir toujours le cul graissé. Il m’a donné un pot de graisse pour cela, et je dois en mettre tout le temps ou sinon il m’a promis qu’il n’hésiterait à forcer et forcer encore jusqu’à me casser l’anus !

- Te voilà donc une dinde graissée en permanence. Cela devrait te plaire, toi qui aime tant les queues des vrais mâles !

- Non je n’aime pas. J’ai l’impression d’avoir le cul sale en permanence. 

- Humm moi j’aime. C’est à ces petites choses, que l’on sait que l’on est soumis à plus grand, plus fort. Donc il te réveille et te fout sa bite dans ton cul à disposition chaque fois qu’il en a envie. Tu as-dis combien, 4 fois par nuit ? Eh bien mon bébé, aucun doute tu es devenu un garage à bite ! 

Je suis accablé par le langage ordurier d’Elyse, elle qui est très policée en public, tout comme moi. Sauf que moi, je n’arrive pas à me lâcher même dans l’intimité.

- Il te besogne longtemps, mon bébé ?

- 5-10 minutes avant qu’il envoie son sper…

- Non, bébé, sa purée de Mâle !

- qu’il envoie sa pur..ée au fond de moi.

- Tu jouis du cul ?

Aie ! Je réponds avec une faible voix

- D’une certaine manière… Oui et non.

- Que veux-tu dire par là ?

- J’aime… aime être… utilisé de cette manière avilissante, mais je n’aime sentir son sexe dans mon rectum. Cela fait si mal !

- ça je n’en doute pas une seconde mon bébé. En fait cela fonctionne un peu comme quand tu le suces. Ton corps n’aime pas mais le cerveau lui adore !

- Oui un peu…

- Alors raconte-moi tout. A quoi pense mon bébé pense quand Yao lui met son gros zizi dans le culcul ?

Elyse est passée Maîtresse dans l’art de tourner sa question pour la rendre encore plus humiliante. Je balbutie ma réponse.

- J’appréhende et je refuse de tout mon être d’être pris encore une fois de cette façon si… infâmante. Je le prie de m’épargner, que je serais un bon garçon obéissant, que je le sucerais à la place. Je me sens si humilié à devoir lui demandé grâce. Mais cela ne marche jamais. Au contraire plus je supplique, plus cela… l’excite. Quand sa… bite… me force l’… anus d’un coup jusqu’aux couilles, je hurle de douleur. La douleur est si… intense, Maîtresse.

- Tu sais c’est aussi pareil pour moi avec mes amants bien membrés même s’ils doivent y aller plus doucement que ton Yao : cela ne rentre jamais sans douleur. Les hommes adorent te mettre leur bite au cul. C’est le must pour eux, que tout amant ou amante doit accepter de bon cœur. Mais je t’ai coupé : je t’en prie continue.

- Je… je pense Maîtresse que j’ai besoin qu’il me rentre sa… bite en force en douleur… pour que j’accepte dans mon esprit sa trouble présence épicée en moi. Ce n’est pas naturel d’avoir un sexe dans son cul. C’est dégradant, c’est trop proche de la sensation de la grosse crotte que l’on veut dégager.

- Ce n’est pas faux mon bébé, mais c’est pour cela que c’est si jouissif. Je connais de tels orgasmes dévastateurs du cul des grosses queues de mes amants ! Que je t’autoriserais d’y mettre ton petit zizi que cela ne serait pas pareil. Je n’ai jamais joui quand Maman me mettait le thermomètre dans mon petit trou !

C’est une seconde nature pour Elyse que de me rabaisser en permanence. Elle se laisse emporter par sa rhétorique D/S… Je tire ostensiblement la tête. 

- Mais non ne sois pas triste. Tu as quelque chose que mes amants n’auront jamais : une langue et des doigts déjà très doués. Et nous travaillerons à les rendre encore plus doués ! Bon je comprends que ce n’est pas une jouissance physique que tu obtiens du braquemart de Yao, mais dans l’esprit…

- Oui, Maîtresse, quand il me… perfore… en force, je me sens si soumis, si inférieure. Je crois que la douleur se… sublime dans mon cerveau. Je crois que j’ai besoin que cela fasse mal pour me détacher de mon corps et me mettre… à vénérer, adorer, la… queue qui me transperce durement.

- Humm perspective intéressante. Tu serais donc très maso en plus d’être très soumis ? Je m’en doutais mais c’est la première fois que tu me l’avoues. Je vais sans doute en intégrer plus dans ton dressage…

J’ai encore du mal à accepter d’être ce que je suis. Ma relation avec Elyse m’ouvre des pans entiers de ma personnalité, que j’ignorais avant… même si je ne suis pas sûr qu’il n’aurait pas mieux voulu que cela reste caché. Mais le train est en marche. J’ai choisi de le prendre et je ne dois pas regretter…

- Te voilà donc addict fou de la queue qui te transperce. 

- Oui, malheureusement.

- Tu le vis comment quand Yao t’envoie sa purée au fond de tes entrailles ? Car il ne se retire jamais pour éjaculer dehors ?

- Non. Cela parait dans l’ordre des choses. Je suis son inférieur et je dois recevoir ses fluides. En fait, Elyse,…

- Oui, bébé ?

- J’adore quand je sens sa… bite devenir encore plus dure… me faire encore plus mal… je deviens comme fou… hypnotisé… avide de recevoir son… offrande en moi… je me sens en accord avec moi-même… c’est un moment de bonheur d’esprit…

- Ouah ! Tout cela ? Et bien pas de doute, tu es vraiment une tapette à foutres ! Yao te fait faire décidemment beaucoup de progrès dans ta soumission et cela ne nous est que plus profitable. Allez c’est l’heure du contrôle : tourne-toi et montre ton cul !

Elyse m’impose cette humiliation chaque vendredi maintenant. Je présente mon cul couché sur mes avant bras au sol. 

- Belles marques fraîches qui m’intriguent mais on parlera après. Plus près !

Je m’ajuste. Elyse me mate à ma grande honte mon trou du cul.

- Cela va, pas plus de dégâts. Il ne faudrait pas que Yao abime trop mon futur petit mari. Et c’est encore aussi rouge que la semaine dernière… 

Je me remets finalement en position d’interrogatoire, c’est-à-dire agenouillé devant ses pieds.

- Passons aux travaux domestiques. Tu arrives enfin à ne plus te faire dépasser ?

- Oui j’ai fait de nombreux progrès. Je crois que je fainéantais trop dans la journée et me concentrais pas assez à faire avancer mes tâches.

- Grand bien te fasse ! Tu n’as donc pas été puni cette semaine pour ton manque d’implication dans la tenue de la maison.

- Non…

- Alors qu’est-ce qui nous vaut ces belles marques fraîches sur ton cul ?

- J’ai renversé le café de Maître Yao ce matin…

- Humm pas bien cela. Combien de coups ?

- 30 à coup de nerf de bœuf. Très douloureux.

- Il faudra que Yao me montre un jour son fameux nerf de bœuf en action. Comme beaucoup d’autres choses qu’il faut que nous partageons tous les deux. Tu l’inviteras à manger de ma part, le prochain vendredi soir.

- Oui, Maîtresse.

Je ne peux pas dire que la rencontre sera vraiment à mon avantage avec  mes 2 dominants, mais leur confrontation devrait être très  « intéressante ».

- Et maintenant tu connais le tarif. Je te prête à Yao et je dois être fière de toi. Alors chaque fois que tu y manques, c’est à moi que tu manques. Allez en place sur le cheval !

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 12:01

Le temps chez mes parents est morose. Bien sûr, ils sont heureux de me retrouver et je suis heureux de les retrouver. J’ai du mentir pour justifier mon arrivée impromptue ainsi que mon relatif silence des derniers mois, à part le coup de fil hebdomadaire sous surveillance d’Elyse. J’étais sur une grosse affaire avec mon patron et elle s’est terminée plus tôt que prévu, me permettant afin de me reposer d’une semaine de vacances. Bien sûr si cela dure plus d’une semaine, je serais coincé dans mon mensonge. Je suis parti avec juste de quoi me payer le coiffeur et le train, et mon compte en banque où est versé mon salaire de (faux) salarié est toujours sous le séquestre d’Elyse. J’ai réussi à récupérer mon téléphone avant de partir, mais il reste muet définitivement muet, à part des anciens amis qui se demandent ce que je suis bien pu devenir…

Je me sens perdu dans ma liberté. J’en ai plus l’habitude et inconsciemment je garde le rythme de ces derniers mois en baillant tôt et allant me coucher « avec les poules ». Cela inquiète Maman qui met cela sur le compte de l’excès travail que j’ai du faire. « Tu devrais attention à toi, Tom. Pense à te reposer et prendre du bon temps. Pourquoi tu ne sortirais pas avec tes amis restés ici ? » Mais je n’en ai pas envie… 

En fait, Elyse me manque. Je me sens vide sans elle. Et aussi Tata Aya et même Madame Pimpelrose. Je me reproche maintenant mon inconséquence en Suisse. Je les ai trahies. Si j’avais au moins vécu tout cela dans la honte et la douleur, rien ne se serait détraqué et tout serait comme avant. Mes journées sont sans fin à vérifier toutes les 5 minutes mon téléphone. Je les passe dans ma chambre ou à me promener dans le bois adjacent, errant en malheureux, sans but. 

Ma queue est libre. J’essaye d’en profiter presque à contrecœur, de me masturber comme « avant » mais ce n’est plus cela, plus de dure érection et plus de motivation. C’est comme si Elyse m’avait définitivement volé cette possibilité…

Je vois avec détresse approcher la fin de la semaine sans nouvelles de mon Elyse, perdu pour la première fois de ma vie. Je ne sais que faire à part avouer à mes parents le trou au fond duquel je suis tombé. 

Au retour de ma balade du vendredi, Maman me dit que j’ai reçu une lettre à la maison. L’écriture d’Elyse : enfin ! Je l’ouvre, fébrile. Aucun mot, juste les papiers d’un voyage d’une semaine aux Canaries et de l’argent de poche, une belle petite somme. L’avion part le lendemain. Papa m’y emmène. Je mens encore une fois en disant que je pars pour une affaire délicate de l’Etude à régler sur place pour un client français. A aucun moment, je ne parle de ma situation avec Elyse ou du fait que je n’ai plus de nouvelles d’elle. J’ai un maigre espoir qu’Elyse soit là-bas, mais je n’y crois trop. 

Effectivement aucune trace d’elle pendant mon séjour. Je passe la majeure partie de mon temps dans ma chambre, ignorant les paysages volcaniques que je trouve lugubres et la joie des vacanciers. 

A l’arrivée du vol de retour, le matin, 7 jours plus tard, je n’ai pas prévenu mes parents. A quoi cela servirait-il ? Je suis au plus bas. Je n’ai aucune idée de ce que ma vie va devenir… et je m’en fous. Je descends les pieds traînants de l’avion et j’ai la surprise de trouver un chauffeur qui m’attend avec mon nom en salle de débarquement. Je revis un peu…

Je le suis et me laisse conduire jusqu’à arriver au bout d’une heure dans un gîte isolé dans la campagne. L’Audi d’Elyse est là pour ma joie. Le chauffeur me laisse ma valise et s’en va immédiatement. Je cours dans la maison en criant à la recherche de mon aimée. Personne ne répond. Je suis inquiet. Je fais toutes les pièces à sa recherche et je la trouve enfin dans une chambre, complètement nue assise sur le lit équipée d’un gode ceinture monstrueux qui pend entre ses cuisses. Elle pleure doucement et ses yeux trahissent ses nuits sans sommeil… Je me sens si coupable.

- Comment as-tu pu me faire cela ?... J’ai été abasourdie…. Je me suis sentie trahie… 

- C’était… la cage … qui…

- Mon futur mari qui adore se faire baiser par un homme ! C’est choquant… Comment as-tu NOUS faire cela ? Tu n’es pas heureux avec moi ? Tu ne veux plus de moi, c’est cela ?

- Si je t’aime, Elyse…

- Oui tu m’aimes tellement que tu prends ton pied avec la queue du premier mâle venu. Je t’ai choisi pour ta tendresse, ta fidélité, ton attachement… pas que tu sois pareil à moi à aller chercher le plaisir ailleurs ! En en plus avec un homme !

Sa colère monte d’un coup. Je me précipite à ses pieds.

- Elyse, je… suis désolé. Excuse-moi, s’il te plait. 

- Non, je n’excuse pas ! Je ne savais même pas si j’avais envie de te revoir ! Cocue par un homme !

- Elyse, laisse-moi t’expliq…

- Non ! Je vais t’en donner de la queue qui ramone, si c’est cela que tu aimes…

Elyse s’est levée d’un bond et me domine.

- A poil ! Que je te casse une fois pour toutes ton sale cul d’égoïste PD !

Je ne l’ai jamais vu si en colère. Elle me fait peur. Je me dépêche d’obéir, me retrouve à 4 pattes sur le lit pour y être embrochée sans aucun gel n’y aucune précaution. L’intromission du gode est un viol d’une  perversité  infinie. Je hurle et ne cesse de hurler tant elle me pistonne de toute sa violence les intestins dans la douleur. Je cherche à m’échapper mais Elyse me maintient sur son pal. Je me fais traiter de tous les noms, de PD, tapette, enculé… Elyse passe sa colère sur mon cul et ne cesse ses mauvais traitements qu’une fois hors de souffle. Elle décule d’un dernier coup de rein qui finit de m’arracher toutes mes larmes et sort en m’enfermant à clé dans la chambre.

Je suis effondré sur le lit, le cul ensanglanté en souffrance et sous le choc de la violence qu’elle vient de me faire subir. Et j’ai plus jamais le moral dans les chaussettes, surtout quand j’entends l’Audi s’en aller du gite…

Le reste de la journée est une horreur d’attente. Je me sens si misérable, si coupable. J’ai un lavabo dans la chambre que j’utilise pour boire ou pisser, en y traînant mon corps meurtri. Finalement l’Audi revient quand la nuit tombe mais elle n’est pas seule. Trois hommes menaçants accompagnent Elyse quand elle ouvre la porte de la chambre et qui me regardent avec excitation. Je prends peur, me relève instinctivement, essaye de fuir mais Elyse referme déjà la porte à clé. 

- Bon Messieurs, je vous présente mon futur mari, Thomas, et il vient de découvrir récemment qu’il adooore sucer et se prendre des belles queues de mâles. Alors je vous en prie, servez-vous . Il adore cela !

Elyse a parlé avec une voix si froide et pleine de mépris. Elle s’installe sur une chaise dans un coin, mais je n’ai pas le temps de m’en préoccuper car déjà 3 mâles en rut m’assaillent. Je les repousse, cherche désespérément à les fuir. En vain, car leurs paluches me choppent et me contraignent à présenter mon cul au troisième.

- Avec du gel, Messieurs.

Un tube est balancé sur le lit.

- Oui M’dame.

Et à partir de là, je subis sans rien pouvoir y faire. Leurs enculades sont une horreur et réveillent les fissures de l’anneau faîtes ce matin à sec.  Ces hommes qui puent m’utilisent en vide foutre dans ma bouche, dans mon cul. 2 heures de viol répété sous les yeux d’Elyse qui ne me quittent pas. Finalement ils partent non sans avoir récupéré leur enveloppe de paiement pour service rendu.

Je suis anéanti et complètement mâté. Elyse garde un silence glacial. Elle me laisse finalement, non sans m’avoir cadenassé un lourd collier autour du cou attaché par une chaîne à une canalisation de chauffage. Elle me ramène un plateau de fruit et un vieux sceau d’aisance trouvé dans le gîte, avant d’entendre de nouveau dans la terreur, l’Audi s’en aller.

Je passe ma nuit à pleurer, finis par m’endormir, avant d’être réveillé le matin suivant par une Elyse qui semble moins crispée et moins en colère. Elle m’apporte un café.

- Bonjour Thomas. Je crains que tu n’ais pas bien dormi…

Je reste silencieux, plus du tout sûr de vouloir aimer cette femme qui m’a livré à 3 brutes. Elyse se rapproche cependant pour me câliner, me bisouter. Dans ses bras, à ses lèvres, je revis et oublie un peu la douleur de mon corps et l’Elyse en colère de la veille. Je me maudis un peu qu’elle puisse avoir un effet comme cela sur moi, que cela soit si simple de me faire passer de Charybde en Scylla. J’ai finalement Elyse dans la peau.

- Tom, il fallait que je sache si tu étais une tapette refoulée avide de se prendre des kilomètres de queues ou non. Manifestement non. Ton zizi est resté rabougri hier même quand je leurs ai demandé de te le faire cracher son venin.  Cela prouve que ta baise en Suisse est une circonstance isolée…

- Oh, Elyse, comme j’en suis désolé…

- Je veux bien te croire. Mais la découverte de tes penchants bi me pose quand même quelques problèmes.

Je proteste que je ne suis pas bi. 

- Mais si tu l’es quand tu jouis d’une queue d’un mâle dans ton cul ! Je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre. Alors tu va rester dans cette chambre en attendant que je trouve comment nous en faire sortir et reprendre notre chemin ensemble. Mais pour l’instant, j’ai besoin que tu me prouves combien tu m’aimes encore pour me rassurer…

Et je lui prouve de tout mon cœur. D’abord ma langue qui assèche à la source une envie qu’a Elyse de moi, et qui après plusieurs orgasmes se sublime en une folle chevauchée de mon (petit) pénis. Cela me met du baume au cœur. Elyse est toujours amoureuse de moi… et cela me suffit, même si l’amour d’Elyse n’est pas quelque chose d’exclusif. Et qui suis-je pour juger, moi qui ais pris tant de plaisir égoïste avec Monsieur en Suisse ?

Une fois l’air rempli des hormones de notre baise, et les corps repus, nous continuons notre discussion.

- Tu m’en veux pour le traitement de hier ?

Question piège et trouble. J’ai souffert atrocement. Alors oui je lui en veux pour m’avoir fait subir cela, mais en même temps, l’épreuve passée, je me retrouve avec une certaine excitation de l’avoir subi. Tout le paradoxe de l’homme qui craint et aime sa soumission en même temps. Et qui confirme le sentiment que j’ai pu avoir des pires moments avec Madame Pimpelrose. A côté de cela, je suis si fier de mon Elyse pour avoir su réagir comme cela… Mais je préfère répondre…

- Non je comprends que tu devais y voir plus clair.

- Tu veux toujours vivre ta vie avec moi ?

- Plus que jamais, je ne pourrais me passer de ton odeur, de ton goût et de ton esprit !

Et là c’était complètement vrai du fond du cœur. 

- Moi aussi je t’aime, mon bébé. Bon tu ne vas pas aimer, mais je te laisse encore une fois. J’ai besoin de réfléchir à ce que je vais faire… Je reviendrai ce soir.

Je vis son départ comme un nouveau déchirement et attends impatiemment son retour qui arrive en fin de journée, bien plus tôt que la vieille. Elyse est souriante quand elle me retrouve dans la chambre. Elle semble complètement apaisée. Et elle ne perd pas son sourire quand elle sent l’odeur qui y règne : je n’ai pu à ma grande honte pas éviter d’utiliser le pot dans la journée. Elle me détache et m’envoie jeter le contenu du pot, puis me laver car je pue. 

En sortant, je ne sais que faire et reste nu. Je la retrouve dans la cuisine. Elle a acheté le repas en passant chez un traiteur. Mais ce qu’il me frappe le plus c’est qu’elle est aussi nue que je peux l’être. Son corps m’excite et me fait immédiatement dresser. Quand Elyse le découvre…

- Ah les hommes et leur zizi…

Elle me sourit avant de s’agenouiller devant moi pour éteindre subliment de sa bouche cette mèche allumée. C’est une toute autre Elyse lumineuse que l’Elyse sombre de la veille.

- Bon maintenant que les choses sont détendues. A table, mon bébé. Nous avons à discuter...

Les plats du traiteur sont divins surtout pour un jeune homme qui a peu mangé ces 2 derniers jours… Le bourgogne qui va avec est fabuleux presque autant que la vue de la femme nue assise en face de moi.

- Bon mon bébé, j’ai quelque chose à te proposer… qui pourrait peut-être fonctionner pour nous relancer.

- Oui, mon amour. J’écoute…

- Tu sais que je n’envisage mon mariage que dans un mode D/S.

- Oui je le sais et je l’ai accepté, Elyse. J’ai même signé rappelle-toi…

- C’est mon rêve de petite fille. Mais toi cela te va ?

- Au début je l’ai fait pour ne pas te… perdre.  J’étais quasi vierge en ces pratiques. Et…

- Et ?

Je rougis terriblement.

-  et… je m’aperçois que… que… j’aime…être soumis… et vivre…vivre… des choses avec des émotions si extraordinaires ! Même quand cela fait si mal…

Voilà j’ai avoué à la femme de ma vie. Plus rien ne peut m’atteindre maintenant.

- Tu es très honnête avec toi-même et aussi moi. Tu feras un mari parfait ! Je t’aime, mon bébé !

- Je t’aime moi aussi !

- Je dois t’avouer que j’étais vierge en Domination aussi. Beaucoup de théories et aucune pratique dans la vraie vie. J’ai cru pouvoir tout maîtriser et contrôler mais c’était vain. Je suis resté quelque part une petite fille qui rêvait à l’esclave prince charmant d’un claquement de doigt sans comprendre que tout cela demandait un grand effort de construction…

- Mais non, tu es une Maîtresse de femme douée et très crédible, crois-moi.

- Peut-être pas assez encore… même si j’ai fait beaucoup de progrès.

- Non tu es déjà bien expérimentée… et sait me maintenir dans le droit chemin.

- Tu crois, mon bébé ?

- Oui, tu es parfaite pour moi !

Elyse se lève et vient très amoureusement cueillir mes lèvres et ma langue un long moment d’éternité. Nous finissons par nous détacher, tout en gardant nos yeux étroitement fixés en amour. Son regard a une lueur que je lui connais.

- J’ai envie de…

- oui… j’ai compris… moi aussi… laisse toi aller ! Tout est ok.

- Allez dépêche-toi d’aller chercher le sac dans la voiture.

Je reviens avec le sac et y retire une corde qui sert à Elyse à m’attacher solidement pieds et mains autour du poteau en bois du salon. Je suis offert à Elyse et je tremble d’anticipation. Et quand elle commence de frapper avec le fouet, je me laisse porter vers ces sensations primaires… C’est comme un joute sexuelle mais d’un type si particulier…

Un quart d’heure plus tard, je me trémousse sur ma chaise tant Elyse y est allé de bon cœur. Je suis heureux. Nous n’avons jamais été autant en phase amoureuse. Elyse reprend là où elle avait laissé…

- bon j’ai compris que trop te frustrer ne marchait pas avec toi. Tu es jeune et tu as besoin de soulager tes tensions sexuelles d’une manière ou d’une autre. Je me suis aperçue que les maris frustrés en permanence dont parle internet étaient plutôt dans le déclin de la vie, non dans l’épanouissement de la jeunesse. Non, tu as besoin de soulagements plus fréquents que ceux que j’envisageais…

Je reste silencieux pour voir où elle veut en venir.

- Moi de mon côté, j’ai mes amants pour me défouler la vulve d’une manière que tu ne pas faire. Malheureusement avoir un gros matos développe l’agressivité, la possession… loin de ces valeurs qui font de toi un être si désirable. Pour mon futur mari, je me veux rare, désirée, vénérée. Je ne vois malheureusement pas d’autre solution que passer une frustration quasi permanente qui te garde bien en ligne. Je nous veux aussi assoiffé l’un de l’autre que possible pour notre mariage. Ah oui, au fait, nous l’avons fixé aujourd’hui avec papa au mois de mai dans un an, le 27. Félicitations !

- Oh mon amour !

Cette fois c’est moi qui me lève pour aller l’embrasser passionnément. C’est une excellente nouvelle ! Je vais passer ma vie avec la plus merveilleuse des femmes. Nous retournons à nos sièges avant de reprendre là où nous nous étions arrêtés.

- Donc ce soir était la dernière fois où nous baisons, avant le mariage. Cela va te torturer, cela va me torturer, mais nous aurons tellement plaisir à nous retrouver lors de la nuit de noce. Je trouve cela si romantique un homme qui m’attend et que j’attends.

L’idée, quoi que folle, est attrayante, une sorte de nouvelle virginité.  Je dois être fou : comment je vais pouvoir tenir si Elyse me remet en cage pendant un an ? Un an ! Pour l’instant j’écoute…

- Ce matin, je me suis dis que ce n’était pas équitable. Moi j’ai mes amants pour satisfaire mes envies et toi, tu n’aurais que la cage ? Car par question que je te masturbe, ni toi devant moi, ni que tu me suces de nouveau, cela serait contraire à l’idée de re-virginité entre nous que j’imagine pour notre nuit de noce. Mais heureusement Dieu m’a écouté et m’a offert une solution qui pourrait fonctionner…

J’écoute tous mes sens aux aguets. Qu’a-t-elle inventé ?

- Pour faire bref, Aya à un neveu de 17 ans, Yao, qui a rencontré des gros problèmes au pays. Il faut le faire rapidement venir en France. Pour l’instant, il est dans un hôtel en Afrique du Sud en attendant son visa. Aya devait l’héberger chez elle mais quand elle m’a raconté son histoire, j’ai proposé de plutôt lui offrir le gite et le couvert chez moi, pendant qu’il continuera son lycée en France. C’est un garçon charmant avec qui j’ai discuté cet après-midi sur skype.

Elle m’inquiète.

- Et ?

- Attend mon bébé, tu vas comprendre l’idée que j’ai eu. Mais avant il faut que je te dise le problème qu’a eu Yao. Il aime en fait les garçons. Le problème c’est quand il est sorti avec le fils d’un notable de sa ville qui a très mal pris que son garçon aime les hommes. On le chasse donc ! Et il faut lui trouver rapidement un refuge…

Je n’ose comprendre…

- Il est donc homo mais pas en faisant la femme, si tu comprends l’image. Il a même un côté dominant naissant qui me plait beaucoup. Et j’ai donc imaginé de te mettre entre ses pattes, une sorte de garde partagée entre lui et moi. Je lui envoyé des photos de toi par mail cet après-midi. Tu lui plais beaucoup et il est d’accord pour te prendre comme petit ami pendant qu’il sera en France. De toute façon, dans un an c’est le bac et il veut continuer ses études au Canada.

Moi soumis sexuellement à un garçon de 17 ans ! Comment Elyse a pu imaginer cela ? Je fais les gros yeux.

- Attend avant de te renfrogner, bébé. Je t’explique mon idée. Il est parfait pour régler ton problème, capable de t’apporter le plaisir qui te manque, mais d’une manière humiliante qui me rassure moi. Le sexe entre homme est plus dominant, et pour tout te dire, j’étais finalement excitée de te voir devant prendre le sperme de mâle dans ton cul et ta bouche. 

- Mais Elyse je ne suis pas homo, pas du tout. En Suisse c’était spécial, parce que j’étais en manque, et que c’était si… humiliant de devoir subir cela. Mais les hommes, ce n’est pas ma cuti…

- C’est pour cela que Yao serait parfait pour toi et moi. Je sais que les services sexuels qu’il te demandera, seront difficiles à accepter pour toi, jour et après jour, que passer la découverte des premières fois, deviendront vite une contrainte. Je te connais déjà bien. Alors oui il est parfait. Il m’aidera à te garder bien soumis, tout en réglant le problème de ton trop plein de tension sexuelle juvénile. Mais pas trop souvent quand même. Je me suis m’y d’accord ave Yao, et bien sûr si tu agrées à notre arrangement à trois, pour que tu restes le zizi sous clé. Sauf que la clé, je la lui confierai, libre à lui de voir, quand tu auras besoin d’être soulagé. Je l’installerai dans le petit pavillon du fond du jardin. Il est à rafraichir et les fenêtres sont à changer mais cela peut aller vite. L’idée est que nous établissions une garde partagée pour toi. Certains jours de semaines, tu habiterais avec lui et le week-end je t’aurais que pour moi avec sans doute beaucoup de plaisir partagé à se retrouver pour du dressage ludique  à fond.

Je grimace à cette perspective. Les femmes dominantes sont si machiavéliques. Je ne peux m’empêcher d’admirer avec quelle habilité Elyse retourne contre moi, la perte de contrôle que j’ai provoquée en Suisse.

- En plus cerise sur le gâteau, cette solution me règle un autre problème que j’ai avec toi. Madame Pimpelrose étant prématurément partie, il n’y a plus personne pour te garder la journée pendant que je suis au travail. Je pourrais employer ton énergie à maintenir la maison pendant mon absence. Mais c’est le domaine d’Aya et pas question d’y empiéter. Alors là tu aurais un petit chez-soi à briquer en attendant le retour de ton homme. Cela serait parfait ! D’ailleurs l’idée de sa petite femme qui l’attend à la maison, plait beaucoup à Yao. Alors qu’est-ce que tu en dis ?

Je comprends ce que veut mettre en place Elyse. Du point de vue dressage D/S, cela a beaucoup de sens, je le reconnais. Mais cela suppose que je devienne le vide-couilles attitré d’un jeune garçon de 17 ans que je pressens avoir des besoins sexuels énormes… et ça cela ne m’enchante guère.  Maintenant si je mets à la place d’Elyse, que peut-elle faire d’autre ? Elle doit travailler et avoir du temps pour rencontrer ses maudits amants. Je suis dans ses pattes. Je n’ai le droit de rien faire à la maison. Elle me renferme dans la cage quand elle part travailler ? Comme en décembre…

Je m’aperçois que les choix pour un soumis sont toujours perdant/perdant, quoi qu’il décide finalement.  Pesons-les alors… Finalement le seul truc qui m’embête dans la solution proposée, est de devoir satisfaire un jeune mâle en rut. Et si cela me devenait horrible ? Ou si j’adorais trop cela à en perdre finalement Elyse ?

- Tu ne deviendras pas jalouse de ce Yao ? Du plaisir que je pourrais y prendre échappant à ton contrôle ?

- Non, je sais que tu aimes me baiser, me vénérer et cela me rassure. Avec une femme, je le serai.  Mais avec un homme, un adolescent de surcroit, je crois que je pourrais me faire à l’idée de toi avec quelqu’un d’autre. Et être finalement heureuse pour mon futur mari, que tu prennes ton pied différemment. 

- Nous n’aurons aucune relation sexuelle, toi et moi, jusqu’à notre mariage ? 

- Non pas au sens classique mais nous pourrons beaucoup plus nous amuser ensemble le week-end où je pourrais me concentrer sur mon petit mari soumis. C’est plus facile à faire que 24h sur 24h et 7 jours  sur 7.

- Et si Yao était plus exigeant que toi finalement, qu’il me garde en cage sans jamais m’autoriser à partir ? Je ne le connais pas…

- Yao m’a promis que non. Il connait,  mieux que moi, les besoins qu’un jeune garçon a à éjaculer de temps en temps. Et il est déjà excité de te nourrir de ton sperme… comme son petit copain d’avant.

Je grimace à cette perspective. 

- Alors que décidons-nous Yao ?

Ce qu’Elyse me propose est encore plus atypique que ce je vis depuis que je suis à la maison, une sorte de relation à trois. Je dois me reconnaître que la perspective est assez excitante, même si elle tourne à mon détriment. Mais bon, j’ai bien survécu à la sadique Pimpelrose, je devrais être capable de la faire avec ce Yao… Je m’apprête à accepter, mais Elyse m’interrompt quand que je commence à parler.

- Attends avant de te prononcer, il y a un dernier détail qu’il faut connaître sur Yao avant de te décider pour être le plus honnête possible…

Elle sort son téléphone de son sac, clique de son doigt avant de me tendre l’appareil. Une photo de Yao au corps musclé nu sur laquelle je ne peux rater le… baobab qui lui tient lieu de bite. C’est énorme comment on peut se la… C’est fascinant et cela me trouble tant, au point que mon petit zizi se dresse au garde à vous à mon insu. Elyse ne le rate pas !

- Humm joli. Pas besoin que je pose la question, c’est ok ?

Je réponds d’un petit oui troublé.

- Bon je lui envoie un mail pour confirmer et après tu me mettras cette belle queue dans le cul pour vois si là-aussi tu es aussi doué que le reste. Et après, Cendrillon, avant minuit clic-clac de nouveau jusqu’à notre mariage pour ma part ! Pour toi, tu verras avec Yao.

Et effectivement, je suis redevenu une citrouille encagé peu avant minuit après une chevauchée mémorable sur ma belle ! A à minuit 1 minute, j’étais cravaché au poteau du salon, pour « remettre l’église au centre du village » avant de passer ma nuit enchainé et bâillonné sur le plancher au pied du lit d’Elyse.

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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