Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 12:01

Le temps chez mes parents est morose. Bien sûr, ils sont heureux de me retrouver et je suis heureux de les retrouver. J’ai du mentir pour justifier mon arrivée impromptue ainsi que mon relatif silence des derniers mois, à part le coup de fil hebdomadaire sous surveillance d’Elyse. J’étais sur une grosse affaire avec mon patron et elle s’est terminée plus tôt que prévu, me permettant afin de me reposer d’une semaine de vacances. Bien sûr si cela dure plus d’une semaine, je serais coincé dans mon mensonge. Je suis parti avec juste de quoi me payer le coiffeur et le train, et mon compte en banque où est versé mon salaire de (faux) salarié est toujours sous le séquestre d’Elyse. J’ai réussi à récupérer mon téléphone avant de partir, mais il reste muet définitivement muet, à part des anciens amis qui se demandent ce que je suis bien pu devenir…

Je me sens perdu dans ma liberté. J’en ai plus l’habitude et inconsciemment je garde le rythme de ces derniers mois en baillant tôt et allant me coucher « avec les poules ». Cela inquiète Maman qui met cela sur le compte de l’excès travail que j’ai du faire. « Tu devrais attention à toi, Tom. Pense à te reposer et prendre du bon temps. Pourquoi tu ne sortirais pas avec tes amis restés ici ? » Mais je n’en ai pas envie… 

En fait, Elyse me manque. Je me sens vide sans elle. Et aussi Tata Aya et même Madame Pimpelrose. Je me reproche maintenant mon inconséquence en Suisse. Je les ai trahies. Si j’avais au moins vécu tout cela dans la honte et la douleur, rien ne se serait détraqué et tout serait comme avant. Mes journées sont sans fin à vérifier toutes les 5 minutes mon téléphone. Je les passe dans ma chambre ou à me promener dans le bois adjacent, errant en malheureux, sans but. 

Ma queue est libre. J’essaye d’en profiter presque à contrecœur, de me masturber comme « avant » mais ce n’est plus cela, plus de dure érection et plus de motivation. C’est comme si Elyse m’avait définitivement volé cette possibilité…

Je vois avec détresse approcher la fin de la semaine sans nouvelles de mon Elyse, perdu pour la première fois de ma vie. Je ne sais que faire à part avouer à mes parents le trou au fond duquel je suis tombé. 

Au retour de ma balade du vendredi, Maman me dit que j’ai reçu une lettre à la maison. L’écriture d’Elyse : enfin ! Je l’ouvre, fébrile. Aucun mot, juste les papiers d’un voyage d’une semaine aux Canaries et de l’argent de poche, une belle petite somme. L’avion part le lendemain. Papa m’y emmène. Je mens encore une fois en disant que je pars pour une affaire délicate de l’Etude à régler sur place pour un client français. A aucun moment, je ne parle de ma situation avec Elyse ou du fait que je n’ai plus de nouvelles d’elle. J’ai un maigre espoir qu’Elyse soit là-bas, mais je n’y crois trop. 

Effectivement aucune trace d’elle pendant mon séjour. Je passe la majeure partie de mon temps dans ma chambre, ignorant les paysages volcaniques que je trouve lugubres et la joie des vacanciers. 

A l’arrivée du vol de retour, le matin, 7 jours plus tard, je n’ai pas prévenu mes parents. A quoi cela servirait-il ? Je suis au plus bas. Je n’ai aucune idée de ce que ma vie va devenir… et je m’en fous. Je descends les pieds traînants de l’avion et j’ai la surprise de trouver un chauffeur qui m’attend avec mon nom en salle de débarquement. Je revis un peu…

Je le suis et me laisse conduire jusqu’à arriver au bout d’une heure dans un gîte isolé dans la campagne. L’Audi d’Elyse est là pour ma joie. Le chauffeur me laisse ma valise et s’en va immédiatement. Je cours dans la maison en criant à la recherche de mon aimée. Personne ne répond. Je suis inquiet. Je fais toutes les pièces à sa recherche et je la trouve enfin dans une chambre, complètement nue assise sur le lit équipée d’un gode ceinture monstrueux qui pend entre ses cuisses. Elle pleure doucement et ses yeux trahissent ses nuits sans sommeil… Je me sens si coupable.

- Comment as-tu pu me faire cela ?... J’ai été abasourdie…. Je me suis sentie trahie… 

- C’était… la cage … qui…

- Mon futur mari qui adore se faire baiser par un homme ! C’est choquant… Comment as-tu NOUS faire cela ? Tu n’es pas heureux avec moi ? Tu ne veux plus de moi, c’est cela ?

- Si je t’aime, Elyse…

- Oui tu m’aimes tellement que tu prends ton pied avec la queue du premier mâle venu. Je t’ai choisi pour ta tendresse, ta fidélité, ton attachement… pas que tu sois pareil à moi à aller chercher le plaisir ailleurs ! En en plus avec un homme !

Sa colère monte d’un coup. Je me précipite à ses pieds.

- Elyse, je… suis désolé. Excuse-moi, s’il te plait. 

- Non, je n’excuse pas ! Je ne savais même pas si j’avais envie de te revoir ! Cocue par un homme !

- Elyse, laisse-moi t’expliq…

- Non ! Je vais t’en donner de la queue qui ramone, si c’est cela que tu aimes…

Elyse s’est levée d’un bond et me domine.

- A poil ! Que je te casse une fois pour toutes ton sale cul d’égoïste PD !

Je ne l’ai jamais vu si en colère. Elle me fait peur. Je me dépêche d’obéir, me retrouve à 4 pattes sur le lit pour y être embrochée sans aucun gel n’y aucune précaution. L’intromission du gode est un viol d’une  perversité  infinie. Je hurle et ne cesse de hurler tant elle me pistonne de toute sa violence les intestins dans la douleur. Je cherche à m’échapper mais Elyse me maintient sur son pal. Je me fais traiter de tous les noms, de PD, tapette, enculé… Elyse passe sa colère sur mon cul et ne cesse ses mauvais traitements qu’une fois hors de souffle. Elle décule d’un dernier coup de rein qui finit de m’arracher toutes mes larmes et sort en m’enfermant à clé dans la chambre.

Je suis effondré sur le lit, le cul ensanglanté en souffrance et sous le choc de la violence qu’elle vient de me faire subir. Et j’ai plus jamais le moral dans les chaussettes, surtout quand j’entends l’Audi s’en aller du gite…

Le reste de la journée est une horreur d’attente. Je me sens si misérable, si coupable. J’ai un lavabo dans la chambre que j’utilise pour boire ou pisser, en y traînant mon corps meurtri. Finalement l’Audi revient quand la nuit tombe mais elle n’est pas seule. Trois hommes menaçants accompagnent Elyse quand elle ouvre la porte de la chambre et qui me regardent avec excitation. Je prends peur, me relève instinctivement, essaye de fuir mais Elyse referme déjà la porte à clé. 

- Bon Messieurs, je vous présente mon futur mari, Thomas, et il vient de découvrir récemment qu’il adooore sucer et se prendre des belles queues de mâles. Alors je vous en prie, servez-vous . Il adore cela !

Elyse a parlé avec une voix si froide et pleine de mépris. Elle s’installe sur une chaise dans un coin, mais je n’ai pas le temps de m’en préoccuper car déjà 3 mâles en rut m’assaillent. Je les repousse, cherche désespérément à les fuir. En vain, car leurs paluches me choppent et me contraignent à présenter mon cul au troisième.

- Avec du gel, Messieurs.

Un tube est balancé sur le lit.

- Oui M’dame.

Et à partir de là, je subis sans rien pouvoir y faire. Leurs enculades sont une horreur et réveillent les fissures de l’anneau faîtes ce matin à sec.  Ces hommes qui puent m’utilisent en vide foutre dans ma bouche, dans mon cul. 2 heures de viol répété sous les yeux d’Elyse qui ne me quittent pas. Finalement ils partent non sans avoir récupéré leur enveloppe de paiement pour service rendu.

Je suis anéanti et complètement mâté. Elyse garde un silence glacial. Elle me laisse finalement, non sans m’avoir cadenassé un lourd collier autour du cou attaché par une chaîne à une canalisation de chauffage. Elle me ramène un plateau de fruit et un vieux sceau d’aisance trouvé dans le gîte, avant d’entendre de nouveau dans la terreur, l’Audi s’en aller.

Je passe ma nuit à pleurer, finis par m’endormir, avant d’être réveillé le matin suivant par une Elyse qui semble moins crispée et moins en colère. Elle m’apporte un café.

- Bonjour Thomas. Je crains que tu n’ais pas bien dormi…

Je reste silencieux, plus du tout sûr de vouloir aimer cette femme qui m’a livré à 3 brutes. Elyse se rapproche cependant pour me câliner, me bisouter. Dans ses bras, à ses lèvres, je revis et oublie un peu la douleur de mon corps et l’Elyse en colère de la veille. Je me maudis un peu qu’elle puisse avoir un effet comme cela sur moi, que cela soit si simple de me faire passer de Charybde en Scylla. J’ai finalement Elyse dans la peau.

- Tom, il fallait que je sache si tu étais une tapette refoulée avide de se prendre des kilomètres de queues ou non. Manifestement non. Ton zizi est resté rabougri hier même quand je leurs ai demandé de te le faire cracher son venin.  Cela prouve que ta baise en Suisse est une circonstance isolée…

- Oh, Elyse, comme j’en suis désolé…

- Je veux bien te croire. Mais la découverte de tes penchants bi me pose quand même quelques problèmes.

Je proteste que je ne suis pas bi. 

- Mais si tu l’es quand tu jouis d’une queue d’un mâle dans ton cul ! Je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre. Alors tu va rester dans cette chambre en attendant que je trouve comment nous en faire sortir et reprendre notre chemin ensemble. Mais pour l’instant, j’ai besoin que tu me prouves combien tu m’aimes encore pour me rassurer…

Et je lui prouve de tout mon cœur. D’abord ma langue qui assèche à la source une envie qu’a Elyse de moi, et qui après plusieurs orgasmes se sublime en une folle chevauchée de mon (petit) pénis. Cela me met du baume au cœur. Elyse est toujours amoureuse de moi… et cela me suffit, même si l’amour d’Elyse n’est pas quelque chose d’exclusif. Et qui suis-je pour juger, moi qui ais pris tant de plaisir égoïste avec Monsieur en Suisse ?

Une fois l’air rempli des hormones de notre baise, et les corps repus, nous continuons notre discussion.

- Tu m’en veux pour le traitement de hier ?

Question piège et trouble. J’ai souffert atrocement. Alors oui je lui en veux pour m’avoir fait subir cela, mais en même temps, l’épreuve passée, je me retrouve avec une certaine excitation de l’avoir subi. Tout le paradoxe de l’homme qui craint et aime sa soumission en même temps. Et qui confirme le sentiment que j’ai pu avoir des pires moments avec Madame Pimpelrose. A côté de cela, je suis si fier de mon Elyse pour avoir su réagir comme cela… Mais je préfère répondre…

- Non je comprends que tu devais y voir plus clair.

- Tu veux toujours vivre ta vie avec moi ?

- Plus que jamais, je ne pourrais me passer de ton odeur, de ton goût et de ton esprit !

Et là c’était complètement vrai du fond du cœur. 

- Moi aussi je t’aime, mon bébé. Bon tu ne vas pas aimer, mais je te laisse encore une fois. J’ai besoin de réfléchir à ce que je vais faire… Je reviendrai ce soir.

Je vis son départ comme un nouveau déchirement et attends impatiemment son retour qui arrive en fin de journée, bien plus tôt que la vieille. Elyse est souriante quand elle me retrouve dans la chambre. Elle semble complètement apaisée. Et elle ne perd pas son sourire quand elle sent l’odeur qui y règne : je n’ai pu à ma grande honte pas éviter d’utiliser le pot dans la journée. Elle me détache et m’envoie jeter le contenu du pot, puis me laver car je pue. 

En sortant, je ne sais que faire et reste nu. Je la retrouve dans la cuisine. Elle a acheté le repas en passant chez un traiteur. Mais ce qu’il me frappe le plus c’est qu’elle est aussi nue que je peux l’être. Son corps m’excite et me fait immédiatement dresser. Quand Elyse le découvre…

- Ah les hommes et leur zizi…

Elle me sourit avant de s’agenouiller devant moi pour éteindre subliment de sa bouche cette mèche allumée. C’est une toute autre Elyse lumineuse que l’Elyse sombre de la veille.

- Bon maintenant que les choses sont détendues. A table, mon bébé. Nous avons à discuter...

Les plats du traiteur sont divins surtout pour un jeune homme qui a peu mangé ces 2 derniers jours… Le bourgogne qui va avec est fabuleux presque autant que la vue de la femme nue assise en face de moi.

- Bon mon bébé, j’ai quelque chose à te proposer… qui pourrait peut-être fonctionner pour nous relancer.

- Oui, mon amour. J’écoute…

- Tu sais que je n’envisage mon mariage que dans un mode D/S.

- Oui je le sais et je l’ai accepté, Elyse. J’ai même signé rappelle-toi…

- C’est mon rêve de petite fille. Mais toi cela te va ?

- Au début je l’ai fait pour ne pas te… perdre.  J’étais quasi vierge en ces pratiques. Et…

- Et ?

Je rougis terriblement.

-  et… je m’aperçois que… que… j’aime…être soumis… et vivre…vivre… des choses avec des émotions si extraordinaires ! Même quand cela fait si mal…

Voilà j’ai avoué à la femme de ma vie. Plus rien ne peut m’atteindre maintenant.

- Tu es très honnête avec toi-même et aussi moi. Tu feras un mari parfait ! Je t’aime, mon bébé !

- Je t’aime moi aussi !

- Je dois t’avouer que j’étais vierge en Domination aussi. Beaucoup de théories et aucune pratique dans la vraie vie. J’ai cru pouvoir tout maîtriser et contrôler mais c’était vain. Je suis resté quelque part une petite fille qui rêvait à l’esclave prince charmant d’un claquement de doigt sans comprendre que tout cela demandait un grand effort de construction…

- Mais non, tu es une Maîtresse de femme douée et très crédible, crois-moi.

- Peut-être pas assez encore… même si j’ai fait beaucoup de progrès.

- Non tu es déjà bien expérimentée… et sait me maintenir dans le droit chemin.

- Tu crois, mon bébé ?

- Oui, tu es parfaite pour moi !

Elyse se lève et vient très amoureusement cueillir mes lèvres et ma langue un long moment d’éternité. Nous finissons par nous détacher, tout en gardant nos yeux étroitement fixés en amour. Son regard a une lueur que je lui connais.

- J’ai envie de…

- oui… j’ai compris… moi aussi… laisse toi aller ! Tout est ok.

- Allez dépêche-toi d’aller chercher le sac dans la voiture.

Je reviens avec le sac et y retire une corde qui sert à Elyse à m’attacher solidement pieds et mains autour du poteau en bois du salon. Je suis offert à Elyse et je tremble d’anticipation. Et quand elle commence de frapper avec le fouet, je me laisse porter vers ces sensations primaires… C’est comme un joute sexuelle mais d’un type si particulier…

Un quart d’heure plus tard, je me trémousse sur ma chaise tant Elyse y est allé de bon cœur. Je suis heureux. Nous n’avons jamais été autant en phase amoureuse. Elyse reprend là où elle avait laissé…

- bon j’ai compris que trop te frustrer ne marchait pas avec toi. Tu es jeune et tu as besoin de soulager tes tensions sexuelles d’une manière ou d’une autre. Je me suis aperçue que les maris frustrés en permanence dont parle internet étaient plutôt dans le déclin de la vie, non dans l’épanouissement de la jeunesse. Non, tu as besoin de soulagements plus fréquents que ceux que j’envisageais…

Je reste silencieux pour voir où elle veut en venir.

- Moi de mon côté, j’ai mes amants pour me défouler la vulve d’une manière que tu ne pas faire. Malheureusement avoir un gros matos développe l’agressivité, la possession… loin de ces valeurs qui font de toi un être si désirable. Pour mon futur mari, je me veux rare, désirée, vénérée. Je ne vois malheureusement pas d’autre solution que passer une frustration quasi permanente qui te garde bien en ligne. Je nous veux aussi assoiffé l’un de l’autre que possible pour notre mariage. Ah oui, au fait, nous l’avons fixé aujourd’hui avec papa au mois de mai dans un an, le 27. Félicitations !

- Oh mon amour !

Cette fois c’est moi qui me lève pour aller l’embrasser passionnément. C’est une excellente nouvelle ! Je vais passer ma vie avec la plus merveilleuse des femmes. Nous retournons à nos sièges avant de reprendre là où nous nous étions arrêtés.

- Donc ce soir était la dernière fois où nous baisons, avant le mariage. Cela va te torturer, cela va me torturer, mais nous aurons tellement plaisir à nous retrouver lors de la nuit de noce. Je trouve cela si romantique un homme qui m’attend et que j’attends.

L’idée, quoi que folle, est attrayante, une sorte de nouvelle virginité.  Je dois être fou : comment je vais pouvoir tenir si Elyse me remet en cage pendant un an ? Un an ! Pour l’instant j’écoute…

- Ce matin, je me suis dis que ce n’était pas équitable. Moi j’ai mes amants pour satisfaire mes envies et toi, tu n’aurais que la cage ? Car par question que je te masturbe, ni toi devant moi, ni que tu me suces de nouveau, cela serait contraire à l’idée de re-virginité entre nous que j’imagine pour notre nuit de noce. Mais heureusement Dieu m’a écouté et m’a offert une solution qui pourrait fonctionner…

J’écoute tous mes sens aux aguets. Qu’a-t-elle inventé ?

- Pour faire bref, Aya à un neveu de 17 ans, Yao, qui a rencontré des gros problèmes au pays. Il faut le faire rapidement venir en France. Pour l’instant, il est dans un hôtel en Afrique du Sud en attendant son visa. Aya devait l’héberger chez elle mais quand elle m’a raconté son histoire, j’ai proposé de plutôt lui offrir le gite et le couvert chez moi, pendant qu’il continuera son lycée en France. C’est un garçon charmant avec qui j’ai discuté cet après-midi sur skype.

Elle m’inquiète.

- Et ?

- Attend mon bébé, tu vas comprendre l’idée que j’ai eu. Mais avant il faut que je te dise le problème qu’a eu Yao. Il aime en fait les garçons. Le problème c’est quand il est sorti avec le fils d’un notable de sa ville qui a très mal pris que son garçon aime les hommes. On le chasse donc ! Et il faut lui trouver rapidement un refuge…

Je n’ose comprendre…

- Il est donc homo mais pas en faisant la femme, si tu comprends l’image. Il a même un côté dominant naissant qui me plait beaucoup. Et j’ai donc imaginé de te mettre entre ses pattes, une sorte de garde partagée entre lui et moi. Je lui envoyé des photos de toi par mail cet après-midi. Tu lui plais beaucoup et il est d’accord pour te prendre comme petit ami pendant qu’il sera en France. De toute façon, dans un an c’est le bac et il veut continuer ses études au Canada.

Moi soumis sexuellement à un garçon de 17 ans ! Comment Elyse a pu imaginer cela ? Je fais les gros yeux.

- Attend avant de te renfrogner, bébé. Je t’explique mon idée. Il est parfait pour régler ton problème, capable de t’apporter le plaisir qui te manque, mais d’une manière humiliante qui me rassure moi. Le sexe entre homme est plus dominant, et pour tout te dire, j’étais finalement excitée de te voir devant prendre le sperme de mâle dans ton cul et ta bouche. 

- Mais Elyse je ne suis pas homo, pas du tout. En Suisse c’était spécial, parce que j’étais en manque, et que c’était si… humiliant de devoir subir cela. Mais les hommes, ce n’est pas ma cuti…

- C’est pour cela que Yao serait parfait pour toi et moi. Je sais que les services sexuels qu’il te demandera, seront difficiles à accepter pour toi, jour et après jour, que passer la découverte des premières fois, deviendront vite une contrainte. Je te connais déjà bien. Alors oui il est parfait. Il m’aidera à te garder bien soumis, tout en réglant le problème de ton trop plein de tension sexuelle juvénile. Mais pas trop souvent quand même. Je me suis m’y d’accord ave Yao, et bien sûr si tu agrées à notre arrangement à trois, pour que tu restes le zizi sous clé. Sauf que la clé, je la lui confierai, libre à lui de voir, quand tu auras besoin d’être soulagé. Je l’installerai dans le petit pavillon du fond du jardin. Il est à rafraichir et les fenêtres sont à changer mais cela peut aller vite. L’idée est que nous établissions une garde partagée pour toi. Certains jours de semaines, tu habiterais avec lui et le week-end je t’aurais que pour moi avec sans doute beaucoup de plaisir partagé à se retrouver pour du dressage ludique  à fond.

Je grimace à cette perspective. Les femmes dominantes sont si machiavéliques. Je ne peux m’empêcher d’admirer avec quelle habilité Elyse retourne contre moi, la perte de contrôle que j’ai provoquée en Suisse.

- En plus cerise sur le gâteau, cette solution me règle un autre problème que j’ai avec toi. Madame Pimpelrose étant prématurément partie, il n’y a plus personne pour te garder la journée pendant que je suis au travail. Je pourrais employer ton énergie à maintenir la maison pendant mon absence. Mais c’est le domaine d’Aya et pas question d’y empiéter. Alors là tu aurais un petit chez-soi à briquer en attendant le retour de ton homme. Cela serait parfait ! D’ailleurs l’idée de sa petite femme qui l’attend à la maison, plait beaucoup à Yao. Alors qu’est-ce que tu en dis ?

Je comprends ce que veut mettre en place Elyse. Du point de vue dressage D/S, cela a beaucoup de sens, je le reconnais. Mais cela suppose que je devienne le vide-couilles attitré d’un jeune garçon de 17 ans que je pressens avoir des besoins sexuels énormes… et ça cela ne m’enchante guère.  Maintenant si je mets à la place d’Elyse, que peut-elle faire d’autre ? Elle doit travailler et avoir du temps pour rencontrer ses maudits amants. Je suis dans ses pattes. Je n’ai le droit de rien faire à la maison. Elle me renferme dans la cage quand elle part travailler ? Comme en décembre…

Je m’aperçois que les choix pour un soumis sont toujours perdant/perdant, quoi qu’il décide finalement.  Pesons-les alors… Finalement le seul truc qui m’embête dans la solution proposée, est de devoir satisfaire un jeune mâle en rut. Et si cela me devenait horrible ? Ou si j’adorais trop cela à en perdre finalement Elyse ?

- Tu ne deviendras pas jalouse de ce Yao ? Du plaisir que je pourrais y prendre échappant à ton contrôle ?

- Non, je sais que tu aimes me baiser, me vénérer et cela me rassure. Avec une femme, je le serai.  Mais avec un homme, un adolescent de surcroit, je crois que je pourrais me faire à l’idée de toi avec quelqu’un d’autre. Et être finalement heureuse pour mon futur mari, que tu prennes ton pied différemment. 

- Nous n’aurons aucune relation sexuelle, toi et moi, jusqu’à notre mariage ? 

- Non pas au sens classique mais nous pourrons beaucoup plus nous amuser ensemble le week-end où je pourrais me concentrer sur mon petit mari soumis. C’est plus facile à faire que 24h sur 24h et 7 jours  sur 7.

- Et si Yao était plus exigeant que toi finalement, qu’il me garde en cage sans jamais m’autoriser à partir ? Je ne le connais pas…

- Yao m’a promis que non. Il connait,  mieux que moi, les besoins qu’un jeune garçon a à éjaculer de temps en temps. Et il est déjà excité de te nourrir de ton sperme… comme son petit copain d’avant.

Je grimace à cette perspective. 

- Alors que décidons-nous Yao ?

Ce qu’Elyse me propose est encore plus atypique que ce je vis depuis que je suis à la maison, une sorte de relation à trois. Je dois me reconnaître que la perspective est assez excitante, même si elle tourne à mon détriment. Mais bon, j’ai bien survécu à la sadique Pimpelrose, je devrais être capable de la faire avec ce Yao… Je m’apprête à accepter, mais Elyse m’interrompt quand que je commence à parler.

- Attends avant de te prononcer, il y a un dernier détail qu’il faut connaître sur Yao avant de te décider pour être le plus honnête possible…

Elle sort son téléphone de son sac, clique de son doigt avant de me tendre l’appareil. Une photo de Yao au corps musclé nu sur laquelle je ne peux rater le… baobab qui lui tient lieu de bite. C’est énorme comment on peut se la… C’est fascinant et cela me trouble tant, au point que mon petit zizi se dresse au garde à vous à mon insu. Elyse ne le rate pas !

- Humm joli. Pas besoin que je pose la question, c’est ok ?

Je réponds d’un petit oui troublé.

- Bon je lui envoie un mail pour confirmer et après tu me mettras cette belle queue dans le cul pour vois si là-aussi tu es aussi doué que le reste. Et après, Cendrillon, avant minuit clic-clac de nouveau jusqu’à notre mariage pour ma part ! Pour toi, tu verras avec Yao.

Et effectivement, je suis redevenu une citrouille encagé peu avant minuit après une chevauchée mémorable sur ma belle ! A à minuit 1 minute, j’étais cravaché au poteau du salon, pour « remettre l’église au centre du village » avant de passer ma nuit enchainé et bâillonné sur le plancher au pied du lit d’Elyse.

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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