Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 08:40

Le printemps est arrivé quand les femmes décident que le temps est venu de faire grandir le « petit Tom ». Enfin ! En quelques mois, je me suis transformé en « bien » devenant plus sage, plus obéissant et beaucoup moins concentré sur moi-même. 

Les femmes ne me laissant rien passer, je me prends encore régulièrement quelques volées sèches, mais je n’ai plus le cul en douleur permanente. J’ai appris à me contenir et me maîtriser. Je connais sur le bout de mes doigts, les règles de préséance en présence de Dames. J’obéis immédiatement sans me poser de question. Je laisse Elyse, Tata aya ou Madame Pimpelrose me faire ce qu’elles veulent de moi. Ma Maman ne me reconnaîtrait pas le mouton que je suis devenu. Il reste bien quelques perfectionnements à faire que Madame Pimpelrose traite du bout de sa canne ou de son paddle, mais globalement je suis devenu l’homme soumis, doux et attentif, et croyant qu’Elyse désirait. 

Et je suis très soumis quand, une fois par mois, le Dr Glucksmann me fait couler de ses doigts dans mon rectum. C’est d’ailleurs le seul « soulagement » que j’ai, car pour le reste, c’est au pain sec et à l’eau. Plus de 100 jours de non jouissance dans ma cage ! Le chiffre m’affole… surtout que je n’ai aucun espoir d’éjaculer de nouveau un jour. Je porte ma chasteté comme Jésus a porté sa croix… C’est une souffrance lancinante plus dans l’esprit que dans le corps. Je me regarde incrédule être ainsi nié en permanence et j’ai plus que jamais envie de partir. Plus que finalement les coups que je reçois, la cage est le symbole de ma soumission totale aux Dames, qui nient ma réalité de petit mâle.

Pendant tout ce temps, où ma sexualité est emprisonnée et limitée aux seules « traites » mensuelles procurées chez le Dr Glucksmann, moment toujours vécu dans la honte d’être vidé ainsi, je ne vois plus mon Elyse que chastement habillée, et ce manque me tourmente de plus en plus. Je me sens adolescent dont le désir s’éveille, à honteusement regarder tout coin de peau laissé nu chez les femmes de la maison.

Je le présentais mais mon statut évolue donc encore une fois. Mais pas avant que je revienne d’une de ces pauses qui rythment mon éducation. Là ce n’est point Elyse, mais Madame Pimpelrose qui m’emmène à Londres, ou plutôt dans les bas-fonds BDSM de Londres. Je suis comme toujours habillé en parfait petit garçon victorien ou plutôt même en parfait petit Lord Fauntleroy avec ces boucles de cheveux que l’on m’a laissé pousser ces dernières semaines. Je suis régulièrement félicité en anglais de ma bonne tenue générale. On y reconnait la griffe de Madame Pimpelrose.  Je me retrouve ainsi un soir dans un manoir autour de Londres, offert nu à disposition. La Maîtresse du manoir est une femme terriblement cruelle, autant qu’ont pu l’être les Sœurs du début de mon éducation. Je manque d’y laisser mes couilles qu’elle « love » m’écrabouiller longuement dans sa main, comme de m’utiliser en urinoir à Dames. J’y suis aussi longuement travaillé au fouet pour le « bon plaisir » de l’assemblée. Madame Pimpelrose m’a prévenu « Que veux-tu, Tom, quand on est soumis aux Dames, on serre les dents et on les laisse s’amuser comme elles le désirent… » Et effectivement, je deviens l’espace d’une soirée un pantin soumis entre leurs mains cruelles.

De retour à la maison, après 3 durs jours à Londres, nous ne prenons pas la peine de rentrer à l’intérieur. Je suis attendu : en cette douce journée, une réunion de notre famille se tient sur la terrasse. Les 3 femmes de ma vie et moi, avec des ciseaux qui ont vite fait de réduire en lambeaux, mon collant, ma chemise et ma veste de petit garçon. 

- Tom, il faut que l’on parle…

Je viens d’être symboliquement dépouillé de mes vêtements et je me retrouve nu et fragile devant les femmes. Je suis donc toute ouïe. C’est Elyse qui me parle.

- Tom, je suis très satisfaite du chemin que nous avons fait ensemble depuis ton arrivée à la maison. Tu es maintenant un garçon bien élevé et attentionné, et nous n’avons plus besoin de te punir aussi souvent qu’au début. Cela veut dire que tu grandis et que nous pouvons passer à la suite de ton éducation.

J’écoute attentivement.

- Et nous voudrions que tu développes maintenant ton côté féminin que tu me montres chaque samedi soir. Je pense que cela nous sera profitable pour passer notre vie ensemble, t’enlever un peu de machisme et te donner un peu de féminité. En clair, tu deviens à partir d’aujourd’hui notre Tomasina. Bien sûr notre exigence ne va pas baisser et se renouveler.

Ma conversion en fille est déterminée. Ma chambre est rose maintenant avec plein de posters de jeunes chanteurs musclés. Je porte robes et jupons qui doivent rester impeccables mis. Madame Pimpelrose m’enseigne à me comporter en fille crédible et les punitions reviennent tant que je me conforme pas totalement à ce qui est attendu, ce qui me prend quelque temps malgré mes efforts. C’est qu’il semble y avoir urgence. Je comprends à demi-mots que j’ai un rendez-vous à assurer courant mai.

Le week-end d’avant, Elyse me fait signer des papiers en présence de son père à la fin du repas familial. Je n’ai aucune idée de ce que je signe : la liasse de papiers est enfermée dans une pochette de carton où seul un cadre a été réservé pour ma signature à l’aveugle. C’est comme signer avec le Diable en l’ignorant totalement ce à quoi je m’engage. Le dimanche, Elyse m’annonce que nous ne serons pas ensemble le week-end à venir. Elle se laissera emmener à New-York par un de ces amants pendant que Madame Pimpelrose m’emmènera « ailleurs ».

Je suis inquiet. D’ailleurs la semaine commence inhabituellement chez le Dr Glucksmann pour un prélèvement sanguin. Elyse nous quitte le mercredi enjouée. Le vendredi voit ma valise préparée par Tata Aya et nous partons avec la mini tôt le samedi matin. Je suis comme à mon habitude maintenant habillée en fille et légèrement maquillée. Mes longs cheveux ont été frisés de la veille. Nous passons la frontière suisse vers midi. Madame Pimpelrose qui est restée inhabituellement silencieuse depuis le départ, me laissant dans l’inconnu, parle enfin.

- Je pense que tu voudrais savoir où nous allons ma petite Tomasina ? 

- Oui, s’il vous plait, Madame Pimpelrose.

- Nous allons à Lucerne.  Chaque année notre petite association de gouvernantes, disons spécialisées , y organise un rassemblement entre nous. Et il est d’usage d’y venir avec son élève du moment. Toi pour moi en l’occurrence. Mais tu ne passeras pas le week-end avec nous. Tu le passeras ailleurs avec celui dont  tu auras attiré le désir. Il est d’usage de mettre aux enchères ce week-end ci de mai, les virginités anale et buccale des petits garçons que nous avons éduqués, en tout bien tout honneur, au profit de l’Unicef. Nous ne sommes pas des proxénètes quand même.

Le choc !

- Voilà comment cela va se passer. Nous nous arriverons vers 15h30 à la salle de vente. Le temps de te faire une beauté. La vente elle-même est programmée à partir de 18h. Chaque enchérisseur est habituellement représenté par une femme qui sera ta chaperonne tout le week-end. Tu dois parfaitement obéir à celle qui t’aura obtenu pour son patron, comme si c’était moi. Elle t’emmènera dès la fin de la vente et te ramènera dimanche en fin d’après-midi. Entre temps tu es à la disposition totale du Monsieur qui t’aura payée fort cher. Ne te fais aucune illusion, Tomasina. Ce qui doit être consommé, le sera d’une manière ou d’une autre. Alors je te conseille de t’y prêter volontairement, cela sera plus « confortable ». Ne me déçois pas sur ce point, ma réputation est à maintenir. Sinon tu y seras contraint d’une manière qui ne te plaira pas. Tu l’as accepté par avance dans les papiers que t’a fait signer Madame Elyse cette éventualité. Il n’y aucune possibilité d’échapper aux services que ce Monsieur aura acheté…

 - Madame, je…

- Tais-toi maintenant, tu en sais bien assez…

Encore la perversité de Madame Pimpelrose. J’ai plein de questions que je voudrais lui poser, mais je ne peux pas. Et je suis troublée de sentir mon petit clitoris tendu dans son capuchon. Comment peut-on être excitée à la perspective d’être vendue et abusée ? 

Nous arrivons à Lucerne. Madame Pimpelrose nous conduit directement vers la cour de service de la salle de vente. Elle s’y gare et nous retrouvons immédiatement deux de ces congénères accompagnées de leur « petite fille » avec qui j’échange des regards fugaces et inquiets, avant d’être requis par Madame Pimpelrose à saluer du « gracieux » baise-main appris les deux gouvernantes. 

Nous rentrons dans le bâtiment pour nous préparer. Nous sommes au total 5 garçon-filles « concernées » par cette vente. Nous remettons les papiers à une assistante, dont le « test VIH datant de moins de 7 jours ». Madame Pimpelrose m’envoie me doucher avant de me faire passer un beau sous-ensemble de dentelles avec des bas. Elle me coiffe et me maquille, avant de m’emmener dans l’atelier photo adjacent où une femme me mitraille dans toutes les positions. « C’est pour le catalogue en ligne. 20 personnes sont déjà connectés sur le site privé réservé à cette vente». Retour dans le vestiaire pour passer une sublime robe blanche et Madame Pimpelrose me fait attendre sagement sur une chaise.

A partir de 18h, mes premières consœurs sont emmenées une par une. Je suis la troisième à partir, entraînée par 2 femmes en blouses grises. Je parcours quelques couloirs avant de me retrouver dans la salle de vente. Sur une estrade, une élégante femme en tailleur sombre officie de son marteau. Dans la salle une vingtaine de femme de tout âge qui me matent des escarpins à la tête. Je suis très mal à l’aise. Plus de clitoris gonflé cette fois dans son capuchon. La commissaire me présente depuis son pupitre.

- Lot n°49  - 25 ans - maison Pimpelrose.

Mon enchère commence à 2000 francs suisses et puis s’emballe. Des mains se lèvent et les prix montent. 4000, 6000, 800, … Les 10000 sont atteints. 2 enchérisseuses se battent pour m’avoir. L’une brune d’une trentaine d’année, assez sexy et l’autre blonde plus âgée et un brin aristocratique. C’est la brune qui m’emporte finalement pour 18000 francs suisses. Je calcule à peu près autant d’euros. Ouah ! Mon cul vaut si cher !

Madame Pimpelrose a disparu de ma vue. Les formalités terminés, nous roulons un temps dans la campagne avant d’atteindre une jolie maison au bord de l’eau gardée par un vigile. La brune n’a rien dit depuis mon « acquisition » malgré mes questions. Nous passons dans une salle de bain pour me refaire une beauté. La brune en profite pour m’attacher mes longs cheveux en queue de cheval et me voilà introduite dans le bureau de mon Maître pour les prochaines 24h, un bel homme d’une quarantaine d’année au corps athlétique. Je suis quelque part rassurée. Je craignais un vieux rabougri nauséabond. Mais qu’est ce que je dis là, pauvre fille ! Il est au téléphone. J’attends alors que la brune s’est discrètement éclipsée. Le bureau est élégant avec de tableaux d’art moderne au mur et un canapé de cuir noir. Cet homme a du goût. La conversation prend fin au bout de 10 minutes. Monsieur note quelque chose sur son agenda avant de s’intéresser à moi. Il me détaille comme on le ferait de sa dernière acquisition à la foire. Je tremble un peu…

- Très joli, tout cela. Pimpelrose a toujours eu très bon goût.

Il a parlé un français élégant avec un petit accent germanique. Il semble moins terrifiant pour la pucelle que je suis ce week-end. Monsieur finit par se servir un whisky et vient s’assoir dans le canapé de cuir. Je reste interdite. Je ne sais que faire. Il vient à mon aide :

- Et bien Mademoiselle faîtes-donc ce que pourquoi vous êtes ici… 

Ce que je dois faire ? Ici ? Je le regarde assis dans le canapé et je comprends brutalement ce qu’il attend de moi. Non, pas ça ! Pas tout de suite ! Je ne veux pas. Je ne veux plus. Monsieur a compris la crise intérieure qui se déroule dans ma tête. Cela a l’air de terriblement lui plaire si j’en juge la bosse qui gonfle sous son pantalon. Je détourne mon regard et ne peux m’empêcher de rougir. Je vois l’image de Madame Pimpelrose qui a son habituel rictus de désapprobation quand je n’obéis pas assez vite. Je fais un pas en avant qui me coûte, puis un autre sous le regard de Madame Pimpelrose que j’imagine très réel, qui m’amène finalement au pied de l’homme. La bosse est devenue si énorme.

- A genoux, Mademoiselle.

Cet homme a des côtés dominants certains. Je dois avoir l’air ridicule dans ma robe de fille. Je m’agenouille humiliée aussi élégamment que je peux, en prenant bien soin, comme on me l’a enseigné de répartir les volants de ma jupe autour de mes genoux. J’ai les yeux à quelques centimètres de la bosse du monstre. Je n’ose pas continuer…

- Ouvrez mon pantalon.

Sa voix est ferme, comme si elle savait que je vais obéir. Et j’obéis. L’habitude du dressage. Je me déteste !  De mille précautions, je dégrafe maladroitement le bouton et je fais descendre la fermeture éclair. Monsieur m’aide en se soulevant en peu pour que je dégage l’ouverture. Il porte un caleçon de lin blanc. Je vois nettement la forme de son envie qui imprime sa marque au tissu. Je saisis les bords pour délicatement descendre le caleçon jusqu’à libérer le Zébulon qui jaillit en dehors de sa boîte. C’est déjà si gros ! Et pourtant il n’est pas complètement déplié.  Comparé à mon propre zizi, je suis définitivement un petit garçon, bon à rester enfermé à vie…

Le phallus énorme au sens propre du terme, bat de son rythme propre devant mes yeux et me terrifie. « Oui je suis une arme de soumission massive ». Toujours poursuivi par l’image de Madame Pimpelrose, j’appelle à tout mon courage pour tendre ma main et saisir ce bâton de chair vivant. Faisant appel à ma science innée de la masturbation, j’entreprends un mouvement oscillatoire sur la hampe, de ma main. Si au moins il pouvait partir là, sur le moment. Mais Monsieur ne l’entend pas ainsi. Il m’enlève ma main de son sexe.

- Avec votre bouche uniquement, Mademoiselle.

Je suis au bord du précipice avec l’envie de vomir. Pourtant mon éducation prend le pas, à mon insu. Ma bouche se pose pour embrasser maladroitement le gland luisant, le lécher un peu. Monsieur semble apprécier et de sa main sur ma tête, m’invite à aller plus loin dans ma déchéance. Il me force les lèvres et arrive à y introduire son sexe. Me voilà prise. Il insiste pour que j’engloutisse le gland tendu. Mes lèvres s’arrondissent autour de la colonne qui ne cesse de me pénétrer, de me violer, de me dépuceler. Je la sens qui butte au fond de ma gorge. Elle m’étouffe et me donne un haut de cœur. Je lutte pour dégager l’intrus, y arrive mais Monsieur de l’entend pas ainsi et me remet de sa main ferme immédiatement à l’ouvrage. Sa main imprime le rythme qu’il désire. Mon esprit se détache et contemple cette bouche que baise Monsieur. Je suis complètement passive, laissant le sexe coulisser sans résistance. Je salive beaucoup et cela aide la souplesse du mouvement. Monsieur respire fort maintenant. Le rythme s’accélère. Je sens le sexe gonfler et durcir au-delà du possible, dans un ultime moment il vient se planter en fond de gorge et je son liquide amer et salé fuse, envahit ma bouche, éclate sur mon palais, coule vers ma gorge et sur mes joues. J’étouffe.  Je veux me dégager mais sa main me maintient fermement empalée. Je suis en détresse totale, me voit mourir avant, d’un dernier souffle de vie, avaler par réflexe le liquide infâme.

Monsieur ne m’a pas relâché. J’ai toujours la bouche empalée sur son sexe qui dégonfle et le goût nauséeux de son sperme qui m’irrite les papilles. Il boit maintenant à petites gorgées son whisky avec la fille qu’il vient de forcer par la bouche, humiliée à boire sa lie sur le sexe du Mâle Alpha jusqu’au bout. Je me déteste. Je suis devenue une simple vide couille. Plus que jamais je me sens inférieur et j’en ai honte.

La brune revient comme par magie et m’emmène me remettre de mes émotions à la salle de bain. Elle me laisse me gargariser plusieurs fois d’eau fraiche pour extirper le goût du sperme qui pourtant reste. Elle ne dit toujours rien, mais rajuste mon maquillage dévasté, avant de me ramener à Monsieur.

Nous dînons sur la terrasse au bord de la piscine. Il me parle de sa famille, de sa femme, de ses enfants en vacances en Italie. Cela me semble complètement décalé… Il m’interroge sur mes relations avec Madame Pimpelrose, sur mon futur avec ma femme. Il serait de plus charmante compagnie, si je n’étais pas là pour assouvir son désir. Je bois plus que d’habitude, espérant que cela m’anesthésie quelque peu pour me rendre la suite plus acceptable. Au café, il recule sa chaise du bord de la table. Je comprends l’invitation.

- Cette fois, je voudrais que vous me l’offriez de votre plein gré, Mademoiselle.

Après-tout pourquoi pas ? Je suis là pour cela. Même trouble à s’agenouiller à ses pieds, rouvrir le même pantalon, sortir son engin et y descendre ma bouche. Je suis devenue une tapette ! La tapette de ce Monsieur. L’alcool me rend les choses plus faciles. Je suce, je lèche comme une bonne fille maintenant, essayant de le prendre profond. Il a mis sa tête en arrière et me laisse faire. Je fais du mieux que je peux, partie sur une autre planète. Je suis même prête à accueillir en bouche une autre de ces charges. Mais Monsieur a une envie différente, il se lève et me domine. Je vois son phallus dressé au-dessus de mon visage. Il se branle. Son sperme jaillit dans un dernier râle et me recouvre le visage. Il vient de me marquer. Un comportement typique d’un Mâle Alpha. Cela me parait dans l’ordre des choses. Il a une sorte de regard tendre sur son « œuvre ». Il ramasse de son doigt les filaments de fluide perdu et me les donne entre mes lèvres. Et je m’empresse de sucer et de  nettoyer son doigt comme si tout était naturel. Je me déteste.

Monsieur se déshabille alors complètement et plonge dans la piscine. Il me m’a rien dit. Je ne sais que faire. Pendant qu’il aligne les longueurs dans le bassin, je me décide à ramasser ses vêtements épars et à les plier en ordre. Et j’attends n’osant pas m’assoir. Monsieur ressort et je ne peux m’empêcher de regarder son beau corps musclé qui me trouble. Qu’est-ce qui m’arrive ? Quand il est devant moi, je suis prête à lui rendre à nouveau l’hommage qui est du à un Mâle Alpha. Mais il interrompt mon mouvement, d’un doigt sous le menton. A la place, il me saisit la bouche de ses lèvres pour un baiser profond et passionné que je suis surprise d’apprécier. Heureusement que je suis sur une autre planète… Sa langue est si fraiche. Monsieur colle son corps humide au mien et sans cesser de m’embrasser fougueusement, envoie sa main sous mes jupes à la recherche de mon petit clitoris enfermé. Je sens son désir comprimé entre nos corps. Je gémis quand il se glisse dans ma culotte de dentelle. Monsieur a des façons de faire qui ne me laisse pas sans réaction. Je suis tant affamé de sexualité depuis des mois que ce Monsieur a un goût d’oasis inespéré dans mon désert. Je m’offre à ses caresses en pucelle en chaleur, si tendue dans mon capuchon, et je lui rends de ma main qui branle son phallus. Du plaisir enfin, quel qu’il soit. Je pourrais rester ma vie entière à goûter sa caresse mais Monsieur décide d’accélérer les choses…

- J’ai envie maintenant… Montons dans la chambre…

Je le suis saluée d’une claque sonore sur mes fesses. La grande chambre est conjugale sans aucun doute, vu les photos de famille qui ornent la table de chevet. Il a sans doute fait l’amour à sa femme dans le même lieu il y a quelques jours. Mais ce soir, je m’en fous. Sa femme, ce soir, c’est moi et je suis dans un état d’excitation terrible à vouloir prendre du plaisir sexuel quel qu’il soit, là sur le champ. Je le laisse me déshabiller totalement à l’exclusion de mes bas qu’il a la fantaisie de me voir garder. Il me place à 4 pattes sur le lit : je me sens femelle avide d’être prise. J’adore la sensation de ses doigts qui me lubrifient. J’adore être rabaissée au même niveau que sa femme qui doit lui offrir aussi son cul. Je frisonne d’envie et je dois être folle quand je m’entends dire à mon « amant »…

- Perforez-moi en puissance ! Je veux sentir votre queue en moi !

Il y a de ces mots capables d’exciter n’importe quel Mâle. Monsieur pose sa main sur le haut de mes fesses et de l’autre accompagne son entrée en moi de tout son poids, jusqu’à ce que l’anneau cède violemment et se distende pour laisser passer l’intrus. Je relève la tête pour vivre une longue douleur aigue. Je hurle de détresse. Il me force comme je viens de bêtement lui demander, pauvre idiote. Sa queue ne s’arrête pas passée l’entrée, défonçant sans précaution mes chairs internes pour se frayer un passage au plus profond et ne s’arrêter que quand ses couilles tapent contre mes fesses. J’ai les larmes aux yeux et le souffle coupé. Je ne suis plus que souffrance. J’ai l’impression d’être ouverte en deux par un zob monstrueux, que je sens vivre et palpiter au fond de mon cul. Satisfait de son entrée fracassante, Monsieur me laisse un moment pour accepter, m’adapter. Je n’ai qu’une envie expulser l’intrus et me libérer. Je joue du trouffion. Mais je suis bien et bien bloquée, empalée jusqu’aux tréfonds de mon âme.

- Tu aimes ma grosse queue, hein petite enculée ?!

Non je n’aime pas cela. Je me suis trompée. Laissez-moi sortir ! Mais mon dépuceleur n’en a cure. Il se désengage complètement pour me perforer violemment d’un nouveau coup de buttoir jusqu’à la racine. Il me saisit les hanches alors pour me défoncer à coup de son marteau piqueur. Je ne sais plus où donner du cri. Je subis ses assauts violents en patin désarticulé. Mon esprit se trouble. Je perds pied peu à peu, trahi par mon petit zizi qui se réveille dans sa cage pour couler et couler encore. Je suis dépossédée de toute virilité. Je me sens si féminine à adorer cette queue de Mâle qui me défonce dans un mélange étonnant de plaisir et de douleur. Je l’encourage à me pistonner encore et encore, jusqu’à ce dernier moment, où je sens son sexe grossir encore et expulser dans un râle au fond de mes entrailles le jus d’homme qui fait de moi une petite enculée, sa petite enculée. Je suis si bien dans ma vague d’hormones de plaisir. Ouah, quel moment !

Sa queue est laissée à dégonfler au fond de mon cul. Cela a l’air sa marque de fabrique. J’apprécie de la sentir se ramollir en moi. Il finit par ressortir libérant son foutre qui coule entre mes fesses. Je suis bien, sur une autre planète. Son sexe est souillé de mes traces marron. Sans réfléchir et en petite femelle soumise, je l’embouche immédiatement pour le nettoyer, ce qui ramène sa dureté, que je traite de ma bouche jusqu’à accueillir de nouveau son jus de mâle Alpha dans ma gorge.

Je ne dors que peu cette nuit là à écouter, apprécier le sommeil profond de Monsieur, à caresser sa queue. Je me lève même un moment pour rejeter le lavement naturel qu’il m’a donné avant de retourner caresser, vénérer son sexe. Au matin, il se réveille, m’embrasse fougueusement, sa main à m’exciter follement dans la cage, avant de basculer au-dessus de moi, me prendre les jambes sur ses épaules et m’enculer furieusement à nouveau. Je suis devenue sa pute et je n’ai aucune honte. Mieux que cela : j’adore me faire baiser par le cul par ce Monsieur ! Je me découvre différente. J’aime sentir cette force me dominer, j’aime sentir l’odeur suave du Mâle en rut. Je couine des oh, des ah, des encore, avide de toujours plus. Cette queue qui m’embroche en cadence me fait un bien fou au corps et au moral. Je sens de nouveau son plaisir atteindre son apogée, cette queue se raidir pour envoyer sa sauce au fond de moi. Cela me rend folle. Je suis sur une autre planète de sensualité. Et alors que je le sens partir, je pars moi aussi. Mon vrai premier orgasme par le cul ! Mon sperme tant retenu suinte de ma cage, comme s’il ne devait jamais s’arrêter… Trop bon !

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Elyse me fait face. Elle a sa tête des mauvais jours. Même Madame Pimpelrose a perdu de sa superbe au retour quand elle a vu le sourire de mâle satisfait que je montrais. Leur affaire n’a pas tourné comme escomptée. Cela devait être un calvaire humiliant et au contraire cela a été une telle libération.

Je suis doucement retombé de ma folle nuit avec Monsieur sur le chemin du retour. Et là je suis embêté… Elyse a vraiment mauvaise mine. C’est un peu leur faute à vouloir nier ma virilité. Je n’y suis pour rien si cela m’a apporté tant de plaisir. Un Mâle suisse qui dérègle un beau mécanisme d’horloge suisse… Est-ce ma faute après tout ? Je n’ai que 25 ans. Je me découvre et je découvre la sexualité. Qu’est-ce que j’y peux y faire ?

Madame Pimpelrose a voulu bien évidement punir par son fouet mon « culot », mais Elyse s’y est opposée. «  Non cela ne servira à rien ! » J’aime plus que jamais Elyse. Je veux me marier avec elle. Mais je veux bien être un mari soumis, mais pas de cette façon où je suis assoiffé de toute sensualité, la complicité sexuelle oui mais pas le désert des sensations. Elyse est troublée et semble un peu perdue. Elle est jeune elle aussi et l’enseignement de Madame Pimpelrose ne lui est pas que positif. C’est après tout qu’une vieille pimpêche qui prend son pied à martyriser les mâles. Elyse finalement prend 2 décisions après une discussion tendue avec la gouvernante : d’abord d’arrêter notre relation avec Madame Pimpelrose qui nous quitte, puis de me libérer le zizi pour m’envoyer retourner chez mes parents que je n’ai pas vu depuis presque 5 mois. « Le temps de faire le point, mon bébé ». J’ai peur maintenant de perdre Elyse, mais pas le choix : je ne peux rester et je n’ai plus d’appartement. Je passe quand même chez le coiffeur, à regret. Mais pas question de me présenter avec mes cheveux longs devant Maman et Papa.

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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