Petits contes D/S

Samedi 12 septembre 6 12 /09 /Sep 06:09

1ère rencontre avec Madame

Je suis un jeune architecte de 29 ans. Cela ne marche pas comme je voudrais. Quelques rénovations de ci et de là. Juste de quoi vivre et pas de quoi retenir Julie qui m‘a largué il y a 2 mois.

En ce chaud jeudi après-midi, je devrais être en train de travailler sur les plans de rénovation d’un garage d’une amie de ma mère. Mais ce projet ne m’attire pas : ce n’est pas pour ça que j’ai voulu devenir architecte. Non, je mate à la place des vidéos SM sur X Hamster, la braguette ouverte et la main à branlotter mon sexe. Une vidéo où une belle Maîtresse russe sert du gode ceinture à son mari…

Subitement, on frappe au carreau de la porte de mon bureau. C’est la panique : j’arrête en catastrophe mon ordinateur tout en reboutonnant mon pantalon. Juste le temps rejoindre la porte avant que l’on frappe une seconde fois.

Je découvre une dame très élégante dans la cinquantaine. Il me semble que la connais.

- Bonjour, comment vas-tu Gaspard ?

Oui je la connais. C’est la maman de mon ancien copain Sébastien. Je suis si gêné... M’a-t-elle vu faire ? J’essaye rougeâtre d’améliorer ma tenue en rentrant les pans de ma chemise.

- Bonjour Madame…

- Oh cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus… et j’ai sans doute bien changé avec l’âge. Tu te souviens, je m’appelle Sévérine.

Comme j’ai pu oublier CETTE Sévérine là ? Sébastien était un de mes meilleurs copains avant qu’il ne déménage en 4ème. Je l’ai perdu de vue depuis. Je suis plus que troublé de revoir cette si belle femme, qui me fascinait et a nourri tant de mes fantasmes masturbatoires du début de mon adolescence ! Je dois être maintenant rouge de honte. J’essaye de me redonner un semblant de dignité…

- Et Sébastien qu’est-il devenu ?

- Il a finit ses études et travaille dans une banque à Londres. Il ne m’appelle plus trop souvent. Je crois qu’il n’a jamais digéré mon divorce d’avec son « saint » père…

- Désolé

- Mais non ne le sois pas. J’ai retrouvé l’amour dans la région et nous nous sommes mariés. Cela fera déjà 10 ans l’an prochain. Je suis Madame Delamaye maintenant…

Delamaye est un nom très connu dans la région. Il est le propriétaire de nombreuses entreprises. C’est un beau remariage et elle ne doit manquer de rien… Elle a toujours les mêmes yeux vert et or, troublants, que je reluque un instant de trop. Je me fais surprendre et baisse immédiatement les yeux en gamin pris sur le fait. J’en bafouille même.

- Que… que me vaut votre visite ?

- J’ai un projet qui me tient à cœur et  j’étais la recherche à la recherche d’un architecte, quand je suis tombé sur ton nom dans la liste. Je ne savais pas que tu en étais devenu un…

- Cela… cela a mis du temps à se préciser, mais finalement c’est le métier que je voulais faire… alors votre projet ?

J’essaye d’être le plus professionnel possible alors que sa présence me trouble tant.

- C’est quelque chose de spécial. Mais le plus simple est de te faire voir, Gaspard…

Elle sort un ipad de son sac, tapote un instant et me le tend. Un diaporama démarre. Je découvre un coin de nature fabuleux qui semble être une ancienne carrière retournée à l’état naturel. Une partie est même maintenant noyée et forme un lac ravissant. L’endroit est splendide !

- Mon mari a récupéré cette ancienne carrière avec une des entreprises qu’il a rachetée il y a quelques années. Je crois qu’elle a fermé dans les années 50. J’adore ce lieu que je trouve si romantique. J’ai toujours adoré les tableaux de Cézanne peint dans la carrière. Je voudrais que cela devienne notre carrière de Bibémus à nous à y construisant notre maison de campagne à l’écart du satané bureau de mon mari…

Ce mari doit bien avoir de la chance de l’avoir obtenu. L’âge l’a sublimé par rapport à ms souvenirs … Je dois absolument répondre quelque chose. 

- C’est vraiment atypique comme lieu. Vous voyez votre future maison où ?

- Au bord de l’ancienne carrière immergée, regardant l’ouest. Je trouve que la vue le soir y est magnifique. Et c’est j’adore l’impression d’isolement hors du monde qu’il y a.

- Le terrain est grand ?

- 6 hectares au total entièrement clôturé : mon mari ne veut avoir aucun problème avec le « lac » et les jeunes qui pourraient y aller. 

J’ai comme un doute. Et si c’était inconstructible ?

- Le Maire est un de nos amis. Il y a des anciens bâtiments d’exploitation pour 500m² au total. La mairie nous autorisera à récupérer leur m² si on les détruit. Cela devrait suffire… Alors ce projet te plairait ?

Je me sens un plus à l’aise depuis que j’évite soigneusement de la regarder. L’affaire est intéressante et sans doute juteuse. Dans ma situation il n’est pas question que je la perde ! Cela devrait me permettre de me faire un projet de référence. Et en plus si cela me permet de revoir le fantasme absolu de mon adolescence…

- Quel budget envisagez-vous ?

- Oh tu sais, le prix des choses chez les Delamaye n’a pas vraiment d’importance. Le plus important est d’obtenir ce qu’ils désirent dans la plus grande discrétion bourgeoise. Sais-tu rester discret Gaspard ?

- Je n’ai pas changé : je sais l’être en cas de besoin…

- Pour tout te dire, cette maison de campagne sera un peu notre cadeau d’anniversaire de nos 10 ans et pour l’instant j’ai gardé le secret pour mon mari. Je veux lui en faire la surprise…

- Pas de problème ! Vous voulez que l’on s’y mette tout de suite ?

- Attends ce n’est pas aussi simple, Gaspard… Le projet est spécial sur beaucoup d’aspects. Tu es un architecte, certes discret, mais es-tu aussi très à l’écoute du besoin de ton client ? Moi j’ai besoin de quelqu’un qui me m’écoute attentivement et comprenne notre mode de vie.

Qui l’écoute ?? Où veut-elle en venir ?

- A son travail, mon mari est le big boss, mais à la maison c’est moi la chef.

Madame porte la culotte dans le couple, d’accord. Mais j’ai un doute, serait-ce plus ? Je la regarde interrogative n’osant pas poser la vraie question..

- Tu as lu 50 nuances de Grey ?

Je bafouille un peu

- Euh… oui. Mon ex-copine l’avait acheté.

- Tu as aimé ?

- Oui.

- Le livre n’est pas très bon, mais notre couple, c’est un mariage comme cela mais à l’envers. En beaucoup moins romancé évidemment et plus réel.

Je ne peux m’empêcher de rougir violemment à l’idée. Sévérine est une authentique Maîtresse SM. J’imagine le puissant Monsieur Delamaye tenu en laisse nu au pied de sa femme, les fesses striées. C’est si excitant comme image !

- Je vois que tu comprends ce que je veux dire. Alors notre future maison, je la voudrais, disons, adaptée à notre style particulier de vie…

Je vois bien ce qu’elle veut dire.

-  Je peux vous construire selon vos besoins…

- Oh ce n’est pas si simple. Il faut d’abord que je m’assure tu es la bonne personne pour cela. Je pensais juste te rendre une visite de courtoisie... Mais tu es un jeune homme étonnant. C’est une découverte pour moi. Il y a une grande différence entre fantasmer sur internet, la queue dans la main, sur des terribles Maîtresses qui martyrisent leurs pauvres soumis et notre réalité à André et moi. Oui, au fait, je t’ai vu !

Elle m’a vu ! La honte totale. Je voudrais disparaitre dans le sol.

- Que fais-tu demain soir ?

La question à contre-pied me surprend.

- Ri…en. Je suis libre.

- Alors, sois prêt à 21h.

C’est le genre d’invitation sèche qui ne laisse aucune possibilité de refus.

 

2ème rencontre avec Madame

- Bonjour Giorgio.

- Bonjour Sévérine. Tu nous amènes de la chair soumise fraiche ?

- Oh, je ne sais pas encore. Gaspard est surtout là ce soir pour découvrir… tu as quelque chose pour l’habiller ?

Je suis très mal à l’aise. Encore plus quand ce « Giorgio » m’emmène dans une pièce derrière en prenant le bras… « Bon voyons… Taille moyenne… ok je sais ce que je vais te mettre… déshabille-toi mon chou… allez ne sois pas timide. Nous sommes en gens de bonne compagnie là… Allez essaye cela… Tes jambes d’abord… Il faut que tu passes ton sexe dans l’ouverture… Ah ces novices ! Attends je vais t’aider…». Comme si tout est naturel, il s’empare de mon sexe, me manipule les couilles pour leur faire passer l’orifice de cuir. Je suis rouge : jamais aucun homme ne m’a touché là ! Et je ne dis rien et me laisse faire, comme sur autre planète. Cela doit être un rêve. Finalement la tenue est finie d’ajuster et je suis gratifié d’une tapette sonore sur les fesses.

- Allez mon chou, viens de voir dans la glace comme tu es mignon pour Maîtresse Sévérine.

Et là c’est le choc ! Je porte un short de cuir avec bretelle que je qualifierais d’invraisemblablement osé, laissant la raie des fesses à l’air libre et mettant en exposition mon sexe – ratatiné à ce moment – derrière une cage de métal.

Je retrouve Sévérine, ou plutôt Madame maintenant, dans une superbe robe fendue de cuir rouge. Elle magnifiquement troublante et majestueuse, surtout avec ce type de longs gants noirs que j’adore.

- Merci Giorgio, je l’adore comme cela ! Bon tu es prêt Gaspard ? Ah oui suis-je bête nous sommes jeudi, j’oubliais…

Elle sort de son sac, un collier (rose !) et une laisse, qu’elle me pose.

- Excuse-moi Gaspard, mais le jeudi est réservé aux couples. Alors reste bien à mes côtés, personne n’y verra que du feu…

Et elle tire gentiment sur la laisse pour me faire franchir le lourd rideau, m’ouvrant à l’antre de mes fantasmes. La lumière est tamisée, les lieux sont élégants dans un dégradé sombre. Elle m’emmène faire le tour du club. Au centre le bar et tout autour des petits espaces plus ou moins ajourés. J’y retrouve les mêmes types d’équipement que sur internet. Une croix de Saint André encore vide. Un banc à fessée occupée par un magnifique corps de jeune fille que son Maître est en train de cravacher. Je suis impressionné, la fille encaisse les coups sans émettre un seul son !

Dans une autre salle, un soumis d’une cinquante d’année a été mis dans un sling. Sa Maîtresse le prend au gode ceinture devant l’assemblée réunie. L’homme est bâillonné et geins à chaque assaut. Son sexe en encagé dans une magnifique cage de chasteté de métal ciselé. Je n’ai jamais vu ce modèle. 

Nous restons un moment nous aussi à regarder le couple. Je suis fasciné : c’est la première fois que je vois cela en réel. Cela me fait grand effet, je bande ostensiblement sous mon grillage et Madame s’en aperçois à ma grande honte.

- Eh bien, cela est du beau : le zizi du petit Gaspard banderait-il dans sa cage ?

Je suis mortifié de cette remarque enfantine. Mais que puis-je répondre alors que c’est la réalité vraie…

- Je suis sûre que tu aimerais tant de retrouver à la place de ce Monsieur… regarde comme il aime cela… se faire défoncer le cul… par une Dame…

J’écarquille les yeux quand je sens son doigt s’insinuer dans mon anus. C’est humiliant… mais si bon. Je ne suis plus où je suis, les sens en folie. Le doigt de Madame, le gode qui sort et rentre dans le soumis, tout cela est affolement excitant ! 

Jusqu’à l’irrémédiable. Je jute dans ma cage à ma totale surprise !

- Et bien dis donc : tu es un rapide toi ! Un vrai lapinou !

Elle a dis cela à voix haute. Tout le monde me regarde à avoir fait dans ma cage, un sourire moqueurs aux lèvres. Je ne sais plus où me mettre… Finalement Madame vient à mon secours et m’enlève à leur intérêt.

- Tiens, je vais te montrer quelque chose que tu n’as jamais vu sur internet…

Nous rentrons dans une salle recouverte de carrelage blanc. Madame en dit rien et me laisse découvrir. Une Maîtresse officie assise sur un tabouret en contrebas de ce qui me semble être un tapis roulant. La Maîtresse appuie sur un bouton. Un volet s’ouvre à gauche et le tapis s’avance amenant un homme nu, encagoulé et maintenu à 4 pattes, les pieds et les mains dans une sorte de palette carcan. Il bande. La Maîtresse démarre sa machine et présente un godet qui s’aspire sur le pénis. L’homme grogne de plaisir 2 minutes dans son bâillon jusqu’à ce qui me semble être une éjaculation… C’EST UNE MACHINE A TRAIRE !

Le cul du soumis est tamponné du chiffre 8 et la Maîtresse appuie de nouveau sur son bouton. L’homme disparait à droite et un nouveau arrive à gauche. Putain, cela ne peut pas exister tout cela ?

Je m’aperçois que je suis en pleine érection.

- Le jeudi, c’est la soirée de traite, une fois par mois. J’y emmène mon André une ou deux fois par an. Il déteste cela… Le soumis passe sa soirée à attendre pour 2 minutes max de plaisir. Tu le mets d’un côté en début de soirée, zizi libre et tu le récupères de l’autre où tu lui remets sa cage en fin de soirée.

C’est affolant comme installation démoniaque. 

- Mais les numéros, cela sert à quoi ?

- A tirer au sort le malheureux qui boira la production des autres. C’est obligatoire. C’est arrivé à André une fois et crois pour lui qui, a peur de son sperme, devoir boire celui de 17 autres a été une épreuve ! Mais bon quand tu passes comme lui le zizi enfermé à l’année, tu perds certains droits…

Nous restons encore une heure à visiter les lieux avant que Madame décide que j’en ai vu bien assez et qu’il est temps de rentrer… à ma grande déception.

 

3ème rencontre avec Madame

Je suis dans un état d’excitation permanent depuis hier soir. 

La visite au club, c’était génialement excitant ! L’ambiance, ma tenue, les soumis et les soumises, les Maîtres et les Maîtresses. J’adoré le doigt de Madame dans mon anus ! Je me suis branlé une partie de la nuit à ces souvenirs. C’était si bon !

Nous devons nous revoir à 15h. Madame arrive et je l’accueille gêné, la bite en érection.

- Tu as les yeux fatigués. Elles étaient bonnes tes petites branlettes ?

Je rougis violemment en petit garçon pris sur le fait!

- Et en plus tu bandes devant une Dame, c’est du propre, Gaspard ! 

Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux instinctivement.

- Alors qu’as-tu pensé de notre sortie de hier au club ?

- J’ai…j’ai été surpris par la variété des pratiques,,, qu’on peut faire. C’est troublant… et excitant… à voir.

- Oui cela nous l’avons vu, petit lapinou ! Mais crois-moi, c’est encore plus puissant à vivre !

Je relève la tête à cette évocation en demande.

- Ah que tu es mignon à quémander. Tu vas être parfait pour moi… Bon j’ai réfléchis. Vu que tu as réussi ton test, je veux bien te confier mon projet de maison… mais à mes conditions qui ne sont négociables.

- Tout ce que vous voulez Madame…

- Je suis une femme très exigeante qui aime être parfaitement servie par les hommes. Je te veux consacré exclusivement sur mon projet dans les prochains mois. Est-ce envisageable ?

- Oui, je n’ai honnêtement pas grand-chose d’autre à faire…

- Alors mets-toi nu, maintenant…

J’hésite quand même… vu que je bande à fond dans mon pantalon.

- Tu sais tu t’es baladé le cul et la bite au vent toute la soirée d’hier, alors tu ne vas pas faire maintenant ton timide… A poil, Gaspard !

Je finis par obéir à contrecœur.

-  Tu bandes encore ! Tu es en rut en ce moment ?

Non juste devant une belle femme qui m’excite les sens et l’esprit…

- Je sais comment la situation peut être excitante pour un jeune homme célibataire. Mais l’idée que tu te masturbes derrière et sur mon dos, ne m’est pas acceptable. Installe-toi à ton bureau, nous allons écrire ton contrat d’engagement.

Je prends une feuille et un stylo.

- Ecris :  Je soussigné – écris ton nom complet – , libre de corps et d’esprit, m’engage pour une durée irrévocable de 6 (six) mois.

- 6… mois, Madame ?

- Oui, c’est ce que je pense qu’il te faudra finaliser les plans. Et je vous connais les hommes. Excité un jour et dans le refus et le déni les autres. Il me faut de la persévérance pour que tu me donnes le meilleur de toi même : c’est donc au moins 6 mois…

Comment cela « au moins » ?

- Premier tiret… A me dépasser pour satisfaire les demandes de Madame Delamaye… second tiret… A accepter sans protester et respecter les décisions qu’elle prendra pour son projet

Je la regarde. Je ne comprends pas ce deuxième tiret. Elle me l’explique…

- Parce que justement, j’ai déjà eu tant de mauvaises expériences avec les architectes. Ils essayaient toujours d’imposer leur vue plutôt que d’écouter leurs clients. Là pour ce projet qui m’est très personnel, je veux un architecte à ma botte qui se concentre à satisfaire le moindre de mes désirs.

« A ma botte » : c’est clair !

- Troisième tiret… En cas de manquement j’accepte d’être puni par Madame Delamaye.

Ce tiret à un côté fascinant pour le fantasmeur que je suis…

- Et quatrième tiret… afin de ne plus être perturbé, je donne le contrôle complet de mon zizi à Madame Delamaye pendant la durée de mon engagement.

Je veux réagir… mais elle me devance.

- Si je t’engage, je te veux totalement à ma disposition, sans perturbation possible. J’ai une grande expérience des hommes : vous enlever votre jouet favori de petit garçon, vous aide à vous concentrer à nous satisfaire. Là depuis hier tu as du te branler au moins une demi-douzaine de fois. Cela épuise ta créativité… Et pour que tu saches tout : comme tu es un homme, donc non fiable, cela sera le zizi en cage en permanence. Et ne te méprends pas. Si cela t’excite au début, cela sera vite une contrainte que tu apprendras à détester…

Son dernier avertissement me fait réfléchir. Mais l’idée d’être gardé en cage par une Femme est si fascinante.

- Dernière phrase : en contrepartie, tu recevras 1000 euros la semaine plus tes frais. Voilà c’est terminé. Tu me donnes le papier maintenant.

J’anticipe d’être mis sous clé séance tenante, mais je suis détrompé…

- Ton engagement est sérieux. Il ne doit pas être pris à la légère. Alors je vais te laisser une dernière chance : celle d’y réfléchir calmement à froid les couilles vides. Viens devant moi, Gaspard.

Madame m’attache d’abord mes mains dans le dos d’une paire de menottes sortie de son sac et elle s’installe confortablement sur ma chaise face à mon entrejambe. Elle passe sa paire de gants noirs, celle qui m’excite tant. Un kleenex est déplié sur sa cuisse.  Et à ma totale surprise, elle commence à me branler doucement. C’est affolant cette pensée que la mère de mon copain – mon fantasme ados absolu - me branle de ses doigts de cuir ! Et me met à nouveau son doigt dans mon cul. A ce niveau d’excitation, je lâche rapidement mon sperme dans des gémissements de pucelle. Elle a dirigé mes jets sur le kleenex, qui est utilisé à recueillir ce qui est resté sur mon sexe.

- Ouvre la bouche !

J’obéis bêtement pour comprendre trop tard ce qui est fait. Retour à l’envoyeur ! Le kleenex souillé est étroitement tassé dans ma gorge me révélant aux premières loges l’odeur écœurante de ma semence. 

- A genoux maintenant devant le mur.

Elle punaise la feuille juste devant mes yeux. 

- Je veux que tu la relises 20 fois à voix haute pour être sûr que tu es prêt à accepter cela. Sinon on arrête là et je te laisse… Et fort, je veux pouvoir t’entendre depuis dehors…

Je sens bientôt l’odeur d’une fumée de cigarette qui revient à mes narines pendant que je lis une à une les phrases à haute voix, tout en réfléchissant. Je ne suis pas une oie blanche. Je parfaitement conscience du côté trouble et sexuel de l’engagement. Et j’ai toujours fantasmé de me retrouver dans cette situation. Et bien me voilà réellement au pied du mur ! Allez courage, mon Gaspard, vit ta sexualité jusqu’au bout…

Madame revient. J’accepte. Mon « contrat » soigneusement plié finit dans son sac. Elle déballe alors une cage de chasteté neuve pour un « encagé neuf ». Ses doigts viennent prendre la mesure derrière mes couilles. Je tremble cette fois. Madame ne perd pas son temps : de gestes experts, mes couilles sont baguées, la cage est enfilée jusqu’à ce que je comprenne trop tard que le clic du cadenas vient de me priver de mon zizi pour un bout de temps ! 

- Bon tu vas avoir beaucoup de boulot. Je te laisse sur ton bureau comment je pense la maison que tu commences à réfléchir. C’est encore une esquisse. Je voudrais aussi que tu réfléchisses à certaines questions que tu trouveras dans le dossier. Je veux être sûre que tu as bien compris ce qu’il faudrait pour eux. Nous le vérifierons ensemble à notre prochaine rencontre. Et bien sûr je veux un rapport d’avancement tous les soirs auquel tu joindras la photo de ton sexe bien sage en cage…

Elle se lève, me fait un chaste bisou sur le front et s’en va me laissant interdit, le zizi encagé et le goût humiliant de mon sperme resté en bouche, sans doute mon dernier avant bien longtemps.

 

4ème rencontre avec Madame

Les 15 jours qui viennent de passer ont été intenses. Je ne crois jamais avoir autant bossé entre ma table de travail et mes 5 visites sur le terrain, donc 2 à relever sous un soleil de plomb toute l’altimétrie.

Le projet que Madame me demande est très complexe. Une classique maison de campagne avec grand salon, cuisine à demi-ouverte et 4 chambres, pour le couple et les enfants ou les invités. Elle a déjà fait pas mal d’esquisses de sa main et je ne peux que constater que Madame a une idée très précise de ce qu’elle veut pour l’organisation de la maison.

Celle-ci sera donc coincée dans une étroite bande de terrain entre le « lac » et une falaise de rochers. Cela suppose une organisation en long qu’elle a déjà pas mal esquissée. J’y rajoute un ponton qui s’avance dans l’eau et je normalise la taille des pièces. La Master Bedroom me semble plus logique à l’étage. Je vais lui proposer…

Mais surtout à côté de la maison digne, Madame veux un palais secret dont la nature et l’existence doit être cachée à qui n’est pas initié. C’est ce qui m’a demandé le plus de recherche et j’espère que le concept plaira.

Nous avons rendez-vous sur le terrain. Je suis fébrile. La maudite cage me broie les couilles comme chaque matin après m’avoir encore une fois rendue la nuit difficile. L’hygiène est compliquée à maintenir. Et plus que tout, j’ai en réel besoin de partir. J’espère que Madame me le permettra…

Le coupé Jaguar de Madame finit par arriver. J’ai disposé les plans et maquettes 3D que j’ai préparé à son intention. Mais elle les refuse…

- Je préfère que tu me racontes ma maison de vive voix… Les plans, j’aurais le temps de les étudier plus tard.

Je suis déstabilisé par cette demande que j’en reste interdit.

- Mais avant, mets-toi nu !

Hein ?

- A poil Gaspard !

Madame a le regard dur qui m’intimide. Troublé, j’obéis…

- Viens-ici Gaspard ! Oh que c’est mignon, cette petite chose sans coquille. Je le préfère de loin comme cela… Tiens je t’ai apporté ton collier…

Le ridicule collier rose, bientôt attaché à mon cou. Je dois être rouge de honte et encore plus quand Madame y accroche la laisse. Je me sens si vulnérable.

- Bah tu sais les hontes, on les éprouve qu’une fois. J’adore l’idée d’avoir les hommes qui sont à mon service en laisse… Même si Monsieur Delamaye a encore du mal à l’accepter pleinement… Toi tu es plus docile, cela devrait t’être plus facile…

Elle met en pression la laisse pour me faire comprendre par le geste son intention…

- Allez raconte-moi tout ! D’abord la partie visible…

J’explique que j’ai travaillé ces esquisses : une bâtisse entre lac et falaise. Je parle de mon idée du ponton qui s’avance sur le lac : elle adore et l’idée est validée. Comme le garage en arrière. Mais ce qui achoppe le plus est la MASTER BEDROOM à l’étage !

- Pourquoi vouloir faire cela, Gaspard ? Ce n’est pas ce que je t’ai demandé …

Ses traits se tendent quand elle me reproche cela. Je dépêche de plaider ma défense…

- La maison est plus équilibrée ainsi. Mais je trouve cela plus symbolique que votre chambre domine l’ensemble dans votre… situation. 

- Humm. Humm.

- Et la fluidité des espaces, tu l’envisages comment avec ma chambre en haut ?

- Je… je ne sais pas. Je n’y ai pas encore pensé… Madame.

J’ai rajouté à la dernière minute, le Madame, espérant que cela l’adoucisse un peu. Elle change de sujet.

- Et pour mon palais caché ?

Madame a demandé explicitement une pièce de « jeu » camouflée dans le prolongement du salon. J’ai eu l’idée d’une bibliothèque escamotable dans les murs qui ouvrent le fond du salon vers la pièce et après de nombreuses recherches sur internet, une entreprise américaine qui est capable de faire cela. Je prends l’initiative de tracer un schéma dans le sable

- Je cacherai la pièce dans le renforcement de l’ancienne carrière, là. La pièce sera impossible à deviner depuis l’extérieur surtout avec la chambre à l’étage. 

Mon idée plait beaucoup, sauf sur la chambre à l’étage qui laisse Madame toujours aussi dubitative.

- Tu as réfléchi au problème de lumière ? Cela sera assez profond…

- On pourrait mettre des lucarnes zénithales…

- Ben oui, comme cela tout le monde saura la nuit qu’il y a quelque chose derrière ! Non cela ne me plait pas… Faut que tu cherches mieux…

Aie ! Cela je n’y ai pas pensé ! Ce n’est pas facile avec une cliente qui n’en dit que trop peu pour son « palais caché ». Elle a l’air de vouloir avancer pas par pas… Mais pour l’instant, elle change complètement de sujet.

- Viens, il fait beau : on va faire le tour du lac…

Le « viens » n’est que de pure forme car la laisse ne me laisse aucun choix. Je progresse entre les rochers en suivant difficilement la laisse de Madame, qui est beaucoup plus à l’aise. Le lac n’est pas très grand : nous arrivons au bout de 10 minutes de l’autre côté sur une espèce de plateforme de rocher.

 - Voilà, cela sera parfait...  Donne tes mains !

J’obéis presque automatiquement pour me retrouver menotté les mains devant.

- Tu me prends pour une cliente idiote ? Tu me rends une copie insuffisante… et tu penses que je vais acquiescer sans rien dire tout cela parce que tu es l’architecte, un homme de surcroît. Que tu le saches une fois pour toute, je ne suis pas ce genre de Dame.

Je blêmis.

- Comme tous les autres architectes, tu privilégies l’extérieur général en oubliant les détails. Cette chambre à l’étage, quel est son but, quel est son intérêt pour satisfaire MES besoins ?

J’ai peur maintenant.

- Je veux que tu m’écoutes, que tu me questionnes, pour comprendre ce que je désire… non que tu me sortes des plans au kilomètre. D’ailleurs je suis sûr que tu as passé plus de temps à redessiner mon plan de maison, qu’à t’occuper à me trouver des solutions. Je veux que tu écoutes ! Je ne veux pas du banal. Et là tu me déçois beaucoup…  il n’y a que ton idée de bibliothèque escamotable à sauver ! C’est peu… Tu connais Glen Murcutt ?

Bien sûr que je connais le Pritzer Price australien. C’est une légende !

- Oui

- En quoi il est différent des autres ?

- Il a fait beaucoup de maisons individuelles géniales. J’aime beaucoup !

- Tu n’as rien compris à Murcutt. Il passe des années sur une même maison, à faire les plans de tous les détails. C’est un architecte précis, pas un de ceux qui survolent… Et en plus il faisait tout sur des calques !

Je n’avais jamais vu Murcutt comme cela…

- Donc aujourd’hui, je suis déçue par l’insuffisance de ton travail. Oublie la maison publique qui est suffisamment bien comme cela – d’ailleurs tu as copié collé ce que j’avais préparé – et concentre toi sur mon palais caché, sur ses détails, son organisation avec le reste et sa lumière ! 

- Oui, Madame.

- C’est un peu court, jeune homme. Tu m’as déçu et la déception a un prix dans mon Royaume…

Elle me saisit par surprise l’oreille et s’assoit au bord d’un rocher.

- Allez sur mes genoux… que je te donne une bonne fessée de remotivation.

Sa main frappe une première fois sur le bas des fesses. Cela me fait si mal, loin de la fantaisie ! Je crie ma douleur… qui est répercuté sur les parois de rocher et me revient multiple en échos. Cela me surprend et m’intimide…

- C’est pour cela que j’adore cet endroit. Cela donne un frisson dominant à chaque fois… Allez on s’y remets…

Je reçois à la volée une bonne vingtaine de claque. Je gigote, je hurle, je supplie mais cela ne l’arrête pas. Putain que cela fait mal ! Ce n’est pas du tout excitant de se prendre une fessée… surtout avec Madame. Quand elle arrête finalement, l’écho courre toujours de parois en parois, comme un rappel. Madame me relâche. J’ai le cul en feu et les larmes au coin de l’œil. Et pire que tout, je ne peux m’empêcher de me frotter les fesses comme un gamin qui vient d’être puni.

- Ecoutes-moi bien Gaspard. Je ne suis aujourd’hui qu’à moitié contente de ton travail : il va falloir faire beaucoup mieux. Tu vas retourner travailler et tu ne m’appelleras que quand tu seras sûr que ton travail va me satisfaire. Jusqu’à notre prochaine rencontre, tu te contenteras de m’envoyer ta photo quotidienne en cage. L’avancement de tes travaux, attendra notre prochaine rencontre. ET TU N’AS PAS INTERET A ME DECEVOIR DE NOUVEAU !

L’avertissement est clair. Je m’autorise à bouger qu’une fois sa voiture disparue de la carrière…


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- à suivre -

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 19:32

Nous regardons le car s’éloigner lentement, emportant notre tendre progéniture vers leur colo estivale. Comme tous les parents présents, nous les saluons de la main jusqu’à ce que l’autobus disparaisse, avant de tourner les talons. Je ne peux pas m’empêcher de laisser m’aller à un « Enfin seuls ! Ce n’est pas comme s’ils étaient des bouffeurs d’énergie, mais, enfin, presque… ».  Marie en rigole doucement avec moi. 2 semaines sans enfant : le rêve de tout parent !

Sur le chemin du retour, je me sens si bien dans notre liberté provisoire de parents. Nous n’avons rien prévu, mais rien qu’une soirée en amoureux à la maison, sans perturbation enfantine, c’est déjà le début du Paradis. Et je salive de l’envie d’un 6 à 8 sauvage qui m’excite depuis le matin l’entrejambe. Je n’en ai pas encore parlé à ma douce pour mieux la surprendre avant de basculer ensemble sur le canapé. Aussi suis-je un peu déçu quand Marie m’apprend finalement que nous avons un rendez-vous à honorer en cette fin de journée. Qu’a-t-elle pu encore imaginer ? Putain on ne peut pas être peinard pour une fois sans les enfants ?

Marie s’explique immédiatement. Il s’agit d’un manoir classé du XVème siècle, sur la commune d’à côté, dont elle a obtenu que nous pouvions le visiter. « C’est une occasion en or, mon chéri. Je ne savais même pas que cela existait à 2 pas de chez nous… ». Mon 6 à 8 se retarde, mais Marie est tellement enthousiaste que je m’en voudrais de la priver de son amour des vieilles pierres. Et puis, autant me l’avouer, je n’y suis pas complètement insensible…

Ce manoir est effectivement bien caché au bout d’une route étroite que je n’avais jamais remarquée, pourtant je passe souvent par cet endroit. Marie me briefe rapidement :

- C’est un manoir qu’ils ont restauré ces dernières années. Lui est Anglais, faisant des affaires à ce que j’ai compris. Elle est Suisse, musicienne, en concert dans le monde entier avec l’Orchestre National Suisse une partie de l’année. Sans enfant. C’est leur maison de vacances, qu’ils louent aussi.

Une femme nous attend dans la cinquantaine. Marie lui claque la bise, sans que je m’en étonne. Je suis tellement habitué qu’elle connaisse beaucoup plus de monde que moi. Et de toute façon, un peu casanier, je ne recherche pas le contact avec autrui plus que cela…

- Je te présente Annie. C’est une artiste peintre que j’ai rencontré à la bibliothèque.

Annie est une petite femme, maigre et presque fragile. Je lui claque à mon tour la bise.

- Annie est la voisine de Ruth : c’est grâce à elle que nous pouvons visiter le manoir.

Je remercie Annie, qui sonne à la porte. Ruth, une magnifique femme de 45 ans, rousse aux longs cheveux ondulants, vient nous accueillir et c’est parti pour la visite ! 

Je ne ferais pas mon chien aigri : la découverte de ce patrimoine est passionnante. Des parties sont anciennes. D’autres ont été reconstituées avec goût. L’ensemble fait un mélange harmonieux. Marie est à discuter devant avec Annie et Ruth et ne cesse de s’enthousiasmer pour tel ou tel détail. Je traîne derrière comme à mon habitude. J’ai toujours détesté les visites guidées, préférant de loin me faire ma propre expérience de ce que je ne connais pas.

Toutes les pièces ont été décorées avec goût. Mais moi ce que je détecte comme à mon habitude : c’est les détails. Dans le salon, des incongrus anneaux dans les poutres du plafond ou scellés dans le sol de pierre. En haut pour suspendre des plantes ? Mais au sol ??? Seraient BDSM ? La visite de la cuisine à l’ancienne, me confirme à quel genre de couple nous rendons visite : deux gamelles traînent au sol nommées Galak et surtout Hubby ! Ben dis-donc, elle ne doit pas s’ennuyer avec son mari, la Ruth !

J’ai hâte de partager avec Marie mes découvertes, mais pour l’instant c’est impossible : elle est inaccessible entre Ruth et Annie. En tout cas, la situation m’excite bien et comme je ne porte pas la cage, même si je m’attends à m’y retrouver bientôt,  je dois faire encore plus attention à ne pas faire remarquer mon érection.

Cette visite devient érotico-passionnante… Nous montons à l’étage pour visiter les chambres, qui se révèlent très confortables et si joliment aménagées. Je suis devenu un Sherlock Holmes aux aguets et gagné ! Une des salles de bains révèle un gode ceinture mauve nonchalamment accroché et à demi caché derrière un peignoir. Oh que cette visite est excitante ! Finalement je vais oublier mon 6 à 8 pour basculer dans le jeu D/S dès notre retour à la maison…

Encore un étage et nous rentrons dans l’unique pièce au sommet du Manoir, sous les toits aux vieilles poutres apparentes. Et là c’est le pompon, sans aucune dissimulation ! Nous venons d’arriver dans un authentique donjon SM. Tout y est : la croix de Saint André, le plan de bondage, le carcan, les râteliers de fouets et cravaches… Je suis comme un petit garçon qui vient d’entre dans un magasin de jouets, un petit garçon forcément pas sage. Encore à mon excitation de découvrir un lieu si fantasmé, je ne fais plus attention, au pourquoi je suis arrivé là. J’aurais du me méfier car Ruth m’interpelle directement pour la première fois :

- Alors David, mon donjon BDSM te plait ?

Je sursaute, m’apercevant que les 3 femmes sont restées à l’entrée pendant que j’allais de découverte en découverte. Je cherche du regard Marie qui le fuit ostensiblement. Elle est rouge de la tête au pied, trahissant sa gêne. Je sens immédiatement la sueur froide du piège. J’arrive à balbutier…

- Oui, beau… beaucoup… Madame…

Le Madame m’est venu automatiquement. Les yeux verts de Ruth qui me transpercent maintenant me troublent tant… Je suis mal à l’aise. Je voudrais partir… Je cherche à supplier des yeux Marie mais elle me fuit toujours.

- Pour que cela clair entre nous, David, je sais tout de ta soumission à ta Dame. Et je connais les limites de ta Marie, qui a du mal à dépasser l’amour qu’elle te porte. Mais la vie est bien faîte : Annie et moi sommes là pour aider Marie et te faire rapidement progresser…

J’ai l’impression d’être devenu une bête acculée.  Je tremble quand Ruth précise son intention.

- Annie et moi sommes beaucoup expérimentées. Cela devrait te plaire de vivre enfin tes fantasmes ! Pourrais-tu de mettre tout nu maintenant ?

Là je panique. Marie semble avoir repris de l’assurance, et son regard dur et excité m’invite, m’ordonne à me conformer. J’ai une conscience aigüe maintenant qu’ELLE savait où je mettais les pieds ! SALOPE ! Je ne méritais pas ce piège. Mais pas le temps de m’appesantir trop sur mon sort : la petite Annie apparaît devant moi, le regard dur, et me gifle sévèrement, avant de me saisir douloureusement l’oreille.

- On t’a dit à poil le goret ! Alors tu obéis sans te poser de question !

Cette femme me fait peur. Petite mais terrifiante. Je regarde Marie qui est fascinée par la situation. Je regarde cette Ruth qui a des yeux noirs de menaces.  J’ai le cœur qui bat à 180 à l’heure. J’ai peur.  Je suis terrifié.

Lâchement j’obéis, le mal à l’âme, enlevant un à un mes vêtements.  Je suis nu de corps et d’âme. Plus pour longtemps : Marie a apporté ma cage à zizi et la donne à Annie, qui de gestes habiles et habitués, m’enferme sur le champ. De toute façon, je n’ai aucune fierté à opposer, la trouille au ventre. Un collier de métal suit et est étroitement fixé à mon cou… Finalement Annie me conduit la tête et les mains dans le carcan qui se verrouille. Avant que ma bouche le soit aussi d’un solide bâillon. Fait et pris !

 Je suis courbé dans le carcan dans une position inconfortable, immobilisé, réduit au silence et avec cette foute cage qui me pèse déjà sur les couilles. Marie semble plus confortable maintenant que je suis immobilisé. Ruth ou devrais-je dire Maîtresse Ruth, a sorti des papiers qu’elle pose sur le plan de bondage.

- Allez Marie à nous donc…

J’apprends avec stupeur que je suis « prêté » pendant les 2 semaines de la colo des enfants à cette Maîtresse Ruth et son assistante Annie. Comment Marie peut me faire cela ? Nous faire cela ? Je proteste violemment mais le bâillon étouffe ma plainte, ce qui interrompt Ruth…

- Tu ne lui as pas dit ?

Non Marie ne me l’a pas dit, la salope de cachottière ! Mais à voir le franc sourire d’excitation qu’elle arbore maintenant, je me doute que le secret faisait partie de son plan.  Je suis sûr que sa culotte mouille abondamment maintenant de son mauvais-coup ! Ruth nous regarde lentement l’un après l’autre et comprend amusée…

- Tu fais Marie quand même une belle petite salope d’épouse ! Alors ne t’inquiète pas, nous allons prendre bien soin de ton mari. Après tout, j’ai l’expérience du mien à ma botte depuis 20 ans et Annie fêtera ses 15 ans avec son mari lopette cet automne. Alors nous nous y connaissons en dressages matrimoniaux…

Et sur ce Ruth se lève pour se rapprocher de mon corps dans le carcan. Elle me flatte ma peau nue qui tremble sous sa main glaciale, à la manière d’un cheval qu’un futur propriétaire évalue à la foire. Je n’aime pas du tout l’idée. Finalement sa main se pose fermement sur mon encolure pendant que l’autre m’écarte les fesses à la recherche de… non quand même pas cela !

- La plupart des femmes pensent que ce que dont les hommes ont le plus intime, c’est leur zizi. Que nenni ! Ils n’arrêtent pas de s’en glorifier, de nous le montrer, c’est public pour eux… Non leur honte à eux, c’est leur petit trou…

Ruth accompagne ses paroles d’une pression insistante sur mon anus. Je fuis du cul tant que je peux pour y échapper, n’aimant justement pas l’idée d’être touché là par une étrangère. Mais le doigt reste bien vissé et profite même de mes rebuffades pour progresser et me pénétrer peu à peu.  C’est complètement humiliant !

- Regarde bien Marie, comment ton petit homme devient rouge honteux quand on s’occupe de son petit trou…

Ses dernières paroles sont soulignées du bout de son doigt qui bouge en cadence à l’intérieur de mon cul pour ne laisser aucun doute qu’elle est maîtresse de la place, bel et bien. Oui Ruth connait bien son affaire : c’est si dégradant d’être pris ainsi pour un mâle. Le doigt m’est retiré finalement d’un coup à sec me retirant un grognement de douleur fugace et Annie est appelée à témoigner…

- Que penses-tu de ce petit trou ?

Un nouveau doigt me force sans précaution. Je serre les dents.

- Un vrai cul de pucelle ! Je sais bien que le petit bonhomme est contracté, mais de là à s’ouvrir aussi peu… Marie, tu ne lui entraînes pas la rondelle ?

Marie répond d’une voix amusée.

- Non pas vraiment. C’est pas trop ma tasse de thé et il a toujours autant de mal à me le donner…

Ruth décide  pour tout le monde.

- Embêtant tout cela. Cela risque d’être compliqué pour la suite. Annie, tu ne voudrais pas voir ce que tu peux y faire pendant que je finis avec Marie ?

- Bien sûr ma chérie. Hi, hi : je vais voir ce que je peux faire… comme toujours…

Et elle s’y engage immédiatement. Les tiroirs s’ouvrent. Les gants claquent sur ses mains. Tout cela est menaçant. Je suis prêt à hurler de désespoir quand je sens que la femme commence à me graisser le cul, méthodiquement et profondément.

J’en perds même un temps le cours de la conversation entre Ruth et ma Marie, qui a repris. Elles sont en train de négocier une espèce de check-list de ce que Marie accepte de me faire subir… Elle est très à l’aise maintenant, très en majesté. Tout y passe… Marie rend toute sorte de flagellations 100% open pour Ruth et Annie et à « leurs discrétions ». Elle interdit les marquages définitifs et les aiguilles… Grâces soient rendues à Sainte Marie ! Mais cela n’allège pas mon inquiétude du moment sur l’opération d’ouverture de mon fondement en cours, . Je tremble de mes membres quand je sens un deuxième doigt rejoindre le premier, puis un troisième qui travaillent de concert à m’ouvrir avec insistance le cul ! C’est tout sauf agréable…

En contrepoint, je suis stupéfait d’entendre Marie accepter sans réticence, toutes formes d’hommages y compris explicitement sexuels, que les femmes dominantes pourraient m’exiger de moi. Mais qu’est-ce qui lui prend, elle si jalouse d’habitude ?

- Prépare-toi à la saillie maintenant mon chou…

Hein ? Je mets quelques instants à comprendre que c’est Annie qui vient de me chuchoter dans l’oreille cet avertissement. De quelle saillie elle parle ? Puis je comprends… trop à mon goût quand je sens un gode presser contre mon anus. Je me débats dans mon carcan : non pas ça ! Je ne veux pas ! Des claques bien senties sur mes fesses me répondent et m’intiment l’ordre de rester tranquille.  Ruth et Annie ont arrêté leur discussion et me regardent avec un intérêt excité. Je suis devenu l’attraction de la pièce ! Les mains d’Annie me prennent les hanches. Le symbole est très dominant et combien de fois l’ai-je fait en baisant Marie… Sauf que là celui qui va être baisé aujourd’hui : c’est moi !

- Respire un bon coup, car je vais te la mettre profonde jusqu’à la garde !

Ses paroles finissent de m’affoler. Je sens le gode qui force et force encore, jusqu’à ce je cède et avale dans la douleur l’intrus. Je hurle à l’empalement à vif dans mon bâillon ! Ma violeuse ne me laisse aucun répit et commence déjà à coulisser dans mon rectum. Les 2 premières minutes sont un enfer, mais quelque chose se débloque dans mon corps : les va et vient deviennent quelque chose entre douleur et plaisir. Annie me donne maintenant des grands coups de reins qui me poussent dans mon carcan et m’arrachent des grognements. Je sens mon sexe tressaillir dans sa cage. Je tombe en soumission…

- Tu vois Marie, que ton petit enculé de mari adore se faire bousculer sa petite vertu, comme tous les autres. Il bande même dans ses barreaux… Tu devrais plus souvent lui servir des godes ceintures à la maison… convaincue ?

Un franc oui de Marie répond à l’affirmation de Ruth.

- Alors, tu autorises les suçages de queues, avalage de spermes et sodomie humiliantes entre soumis ?

- 3 fois oui.

Je suis sur le cul pris d’entendre ma Marie acquiescer à ces activités clairement homosexuelles, où des mâles me prennent la bouche et le cul. Mais qu’est-ce qui lui prend ? Ce n’est pas Marie là ! Je n’ai jamais eu  aucune expérience avec un homme, et je n’en ai pas envie. La queue factice qui me défonce devient trouble et se pare maintenant d’une aura annonciatrice et dévastatrice qui me fait une étrange tension au ventre. Non, je ne suis pas comme ça, moi ! La dernière question m’anéantit.

- Alors capote ou no-capote ? Nous n’en n’avons pas encore parlé, mais nos cochons sont safes si tu vois ce que je veux dire. A toi de voir…

Marie réfléchit un long moment. Je la supplie des yeux de ne pas m’imposer cela ! Tout ce qu’elle veut, mais pas cela. Elle soutient mon regard, une lueur de folle excitation dans ses yeux, et prononce sa sentence.

- Non pas de préservatif. Je souhaite qu’il connaisse l’humiliation de recevoir le sperme au fond de sa gorge ou d’aller le chier marbré dans les toilettes après s’être fait sodomiser. C’est ce qu’il m’a imposé dans le passé, alors je ne vois pas pourquoi je me gênerais…

Aie ! Ces propos sentent tellement la vengeance et sont sans appel. Un démon passe dans la pièce qui inspire à Maîtresse Annie l’envie de me dévaster définitivement le cul. Ses coups de butoir se décuplent m’arrachant des cris de détresse. Mais pas que : une sourde jouissance monte chez mon enculeuse. Son souffle dévient rauque. Je suis devenu son instrument à jouissance d’une manière que je ne m’explique pas ! Mais qui est si claire pour moi : réduit à de la chair à jouissance et rien de plus… et bizarrement l’idée m’excite dans la cage…

- Tu n’as pas faim toi Marie ? Moi si ! Et si nous laissions Annie finir ce qu’elle a commencé à consommer et descendions à la cuisine. Annie nous rejoindra quand elle aura… fini. Je la connais bien : dans son état actuel, la faim est son dernier souci.

Et elles me laissent seul dans cette mauvaise posture avec Maîtresse Annie. Plus les yeux de ma Marie pour m’accrocher. Que la sensation de ce morceau de plastique qui me viole et me reviole encore avec le souffle du démon. Je me sens abandonné dans un trouble érotique ! Et je subis jusqu’au bout la double jouissance de mon cul et de Maîtresse Annie…

Quelques instants plus tard, je ne suis libéré de mon carcan et je m'effondre sur le sol. Maîtresse Annie s’occupe de me « préparer ».  Avant tout, elle m’enfile un plug épais dans le cul, heureusement lubrifié. Mes mains sont menottées serrées dans mon dos. Elle me change le bâillon pour un harnais de tête beaucoup plus contraignant. Je rechigne mais 2 ongles dans mon téton droit ont vite fait de réduire toute velléité de résistance. Je suis condamné au bâillon. Une mentonnière de cuir en bas. Des lanières qui prennent le haut du crane. Mais surtout un indécent conduit qu’elle force entre mes dents. Je reconnais tant ce genre d’accessoire que l’on voit parfois dans des vidéos de soumises sur internet. Une contrainte qui livre sans concession la bouche aux sexes qui voudront la forcer, sans que l’on puisse s’y opposer. Ma bouche vient de devenir un trou à bite open. Je suis anéanti. Au delà de l’humiliation et déjà terrifié de la sourde menace qu’il porte. Je me mets à pleurer de chaudes larmes. Maîtresse Annie finit en bouchant le trou béant d’un indécent bouchon de fond d’évier, comme sur les vidéos.

- Voilà pour l’instant la voix est bouchée… en attendant. Ta Maîtresse nous as dit que tu réagirais beaucoup mais je ne pensais pas que tu allais en pleurer.

Elle se rapproche pour me prendre dans ces bras.

- T’inquiète pas mon chou. Les premières fois, comme toute première fois, ne sont que des moments délicats à passer. Et se faire baiser la bouche ou le cul, n’a jamais causé mort d’homme… Allez il faut qu’on y aille maintenant, la jouissance sur ton cul m’a maintenant ouvert l’appétit.

Nous empruntons un nouvel escalier à colimaçon, en pierre et très étroit : « l’escalier des serviteurs » comme il en existait dans beaucoup de manoirs. L’escalier des soumis aussi maintenant. Il nous emmène directement dans les caves voûtées.

Une barrière de fer ferme la cave à gauche. Maîtresse Annie déverrouille la porte et m’y pousse. C’est froid et humide avec un sol en terre battue, éclairé d’une ampoule blafarde. Deux hommes nus sont enchaînés contre un mur, les mains attachées à des crochets en l’air, les sexes encagés et aussi étroitement bâillonné que je peux l’être. Un homme de 60 ans aux cheveux grisonnants. Un autre un peu plus jeune. Tous les 2 me regardent intensément arriver.

- Allez assis-toi par terre !

Une courte chaîne est fixée entre mon collier et un anneau au sol et je suis abandonné là.

- Le plus vieux s’appelle galak. C’est le mari de Ruth. Le second est hubby et c’est le mien. Ils attendent ta venue depuis plusieurs heures maintenant. Allez je vous laisse faire un peu connaissance…  A toute à l’heure, les chéris !

Les deux hommes ont une sorte de regard de désespoir excité. Ils me « matent » sans se gêner et je ne peux pas rater la vision de leurs sexes qui gonflent dans leur cage à zizi. Je suis ostensiblement la seule raison de leur excitation et cela me terrifie totalement au bord de la panique totale ! NON JE NE VEUX PAS ! MARIE, C’EST DES FOLLES, SORS MOI DE LA, S’IL TE PLAIT ! Je tremble, j’ai froid et plus que tout, je n’arrive pas à détacher mon regard des sexe avides dans leur cage. C’est déjà si gros ! Quelle taille monstrueuse cela peut atteindre libéré ?

C’est un aperçu de l’enfer dans cette cave, réduit à contempler mes futurs violeurs tendus dans leur cage, un long – trop long – moment. Le plug qui me dilate le cul agit comme un rappel permanent. Je suis une autre planète, accablé par le futur et en ayant tellement peur. Je finis même par pleurer doucement à nouveau… ce qui me rassure quelque peu…

J’ai perdu le compte du temps, mais finalement Maîtresse Annie revient et m’amène – seul -  dans une autre cave, beaucoup moins humide, avec une table basse en bois au centre  et un canapé avachi faisant face. Au dessus un grand miroir et autour des murs de pierres blanchies qui diffusent au mieux la lumière des chandeliers de bougies.

Je me laisse immobiliser en crapaud obscène sur la table basse, la tête prise dans un collet de fer à « disposition » et les jambes repliées sous mon ventre exposant sans défense mon derrière à qui voudrait en disposer librement. Un coussin assure ma stabilité. Mes bras sont étroitement liés dans mon dos en position haute et inutile. Maîtresse Annie est une experte en art des liens et je constate avec une appréhension montante mon impossibilité définitive à échapper à mon sacrifice, aussi dur qu’il soit !

Je comprends le rôle du miroir : un amplificateur de mon humiliation ! Je me vois ridicule en crapaud ficelé et je n’aime pas cette vision. Je n’ai pas beaucoup à attendre. Maîtresse Ruth nous rejoint bientôt m’offrant dans la miroir le choc érotique de ma vie : ma Marie nue, à 4 pattes et tenue en laisse au pied de Maîtresse Ruth ! C’est si érotiquement troublant ! Je ne peux empêcher mon sexe de réagir violemment dans sa prison…

Leur attelage fait le tour de mon corps saucissonné pour apparaître devant mes yeux. Je suis toujours complètement à ma surprise.  Marie est gênée et elle fuit mon regard, le rouge au visage.

Maîtresse Ruth donne finalement un ordre.

- Sit !

J’ai la surprise de voir Marie obéir immédiatement et se mettre en chienne assise juste devant moi. Maîtresse Ruth la gratifie d’une caresse dans les cheveux.

- C’est bien, chienne. Je vois avec plaisir que tu as retenu tes premières leçons de dressage que je viens de te donner. Et si tu mettais maintenant ton pauvre mari dans la confidence ? Ce n’est pas bien d’avoir des secrets dans un couple… Je suis sûre qu’il va t’écouter attentivement.

Un ange passe dans la pièce, finalement Marie relève la tête et ouvre ses yeux. Elle semble ailleurs… et ses mots arrivent d’une voix troublée par l’émotion.

- Je… J’ai accepté de devenir la sou…soumise de Maîtresses Ruth... et Annie… pour 2 nuits. C’est… c’est le prix que je dois payer pour ton… dressage…

La révélation m’est désagréable. Je n’ai rien demandé à Marie… Je ne serais pas bâillonné que je lui reprocherais véhément ! Marie l’a lu dans mon regard. Du coup, elle me fuit de nouveau… Ruth intervient.

- Non trop facile ! Tu oublies de dire le principal ! Mais nous allons le montrer à ton mari… Regarde-le dans les yeux et écarte les cuisses, chienne !

La chienne Marie obéit trop docilement. Ruth s’accroupit et prend possession de sa main de l’intimité de Marie. L’autre l'a prise aux cheveux pour l’empêcher de se cacher : son regard est parti ailleurs. Aussitôt Marie se met à gémir sous l’action des doigts dans sa vulve en vraie chienne. Jamais je n’ai obtenu ce type de plaisir d’elle. En 2 minutes, elle explose d’un orgasme dévastateur. Définitivement humilié par une femme qui donne plus de plaisir à Marie que je n’ai jamais réussi à lui offrir !

Finalement Maîtresse Ruth relâche son étreinte, laissant le corps de sa chienne dévasté par la jouissance s’amollir et d’affaisser quelque peu. Et Ruth fait une chose inconcevable : elle s’approche et m’enfonce ses doigts enduits de la lourde mouille de Marie dans mes narines ! Je reconnais immédiatement l’odeur caractéristique de ma belle et je ressens d’autant plus une vive humiliation.

- Tu vois que l’on n’est plus dans tes fantasmes… C’est ta réalité maintenant de mari cocufié par une femme ! Et tu vas en voir beaucoup plus pendant que tu te feras défoncer la rondelle ! Debout MA chienne !

Marie sursaute mais obéit de suite.

- Mais avant je veux être sûre que tu seras une bonne petite chienne soumise…

Annie s’est rapprochée et dévoile les 2 badines qu’elle cachait dans son dos. Marie à leur vue pâlit et se révolte en criant.

- Non pas ça !

Mais Maîtresse Ruth a anticipé la rébellion et la tient serrée par la laisse, prise au plus court.

- Qu’est-ce que tu croyais ? Qu’il te suffisait de demander à ne pas être « battue » pour que nous y renoncions ? A la minute où tu nous as fait cette demande, tu t’étais condamnée, stupide et vaniteuse chienne ! Alors oui nous allons te battre avec nos badines. D’abord pour te punir d’avoir osé demander d’y échapper… Où irait-on si la soumise décidait de tout ? Et puis surtout, il est temps que notre nouvelle petite chienne apprenne à craindre ses Maîtresses, pour en devenir plus obéissante !

Marie est sous le choc. Elle tremble de tout son corps et ne dit plus qu’une litanie de « pitié » sans fin. Finalement Ruth la tire vers l’arrière…

- Il est temps de tester la solidité de votre mariage…

Les perverses Maîtresses ont imaginé une idée diabolique. Marie, plus morte que vive maintenant, est couchée au dessus de mon dos et nous sommes étroitement liés ensemble. Me voilà transformé en banc à fessées dans une double humiliation. Je sens les larmes chaudes de ma Marie qui tombent dans mon cou. Elle ne dit plus rien. Je sens aussi l’humidité de sa chatte contre mes fesses. Sa respiration est si troublée. J’ai tant pitié pour mon Amour…

Et le premier coup arrive dans un sifflement prémonitoire de terreur. Il arrache un cri primal à Marie dont le corps convulse au-dessus du mien. J’encaisse le vif tremblement comme je peux dans l’urgence. Chaque fouetteuse a pris un côté et envoie son coup à son tour. Elles prennent leur temps, nous laissant anticiper dans l’angoisse. Chaque coup vole et  frappe, arrachant un hurlement inhumain à Marie, qui se répercute dans mon corps et finit en grognement étouffé dans mon bâillon. J’ai l’impression de ne former plus qu’un avec ma Marie. Je suis en communion. Ce n’est plus sa punition, mais la notre que nous vivons ensemble et partageons…

Je n’ai pas compté, mais il y a sans doute eu plus de 30 coups quant les badines s’apaisent. Je suis en sueur. J’ai mal partout à supporter le corps de Marie au-dessus qui survit difficilement dans un rauque essoufflement de détresse. Je ne peux cependant m’empêcher de vivre la libération du poids de Marie sur moi comme un soulagement. J’ai en si honte !

Finalement Marie est laissée à reprendre ses esprits, affalée devant le canapé. Le résultat des badines est impressionnant. Les fesses de Marie sont striées de traits violacés : les 2 Maîtresses ne rigolent pas quand il s’agit de marquer leur esclave ! D’ailleurs comme pour répondre à ma conclusion, Maîtresse Ruth me chuchote à l’oreille : «  Ne soit pas jaloux. Toi aussi tu auras droit à ta branlée, mais cela sera demain et au fouet. Tu es définitivement un soumis plus expérimenté… »

Pas sûr que cela me rassure. Je grimace. Finalement Maîtresse Ruth décide qu’il est temps d’aller chercher les « chiens », qui arrivent bientôt tout excité à 4 pattes et en laisse.

- A la maison, cela fait des années qu’ils ne marchent plus qu’à 4 pattes. Au point maintenant que quand nous les sortons à l’extérieur, ils ont du mal à retrouver la marche à 2 pieds, les pauvres chéris ! Toi aussi, crois-moi, tu vas vite apprendre à le faire…

On leur a mis une sorte de muselière canine qui les bâillonne aussi et chacun arbore une magnifique queue de toutou plantée dans leurs culs. Ruth fait les présentations.

- Voilà Galak mon chien de mari. 20 ans de mariage dont 18 à mes pieds. 17 ans qu’il porte une cage le chéri et ne peut plus se masturber derrière mon dos. Et 14 ans qu’il n’a plus connu mon cul ou ma chatte. Je les réserve à mes amants. Pour lui au mieux maintenant, c’est ma main dans son cul, quand je daigne de le traire… Mais c’est de moins en moins fréquent. Sa dernière traite remonte il y a 4 mois… Et je te laisse présenter, Annie, notre autre chien domestique…

-  Je vous présente Hubby. Ne vous laisser pas tromper par son nom de soumis : j’ai toujours refusé de l’épouser et son surnom le lui rappelle tous les jours. Il aurait pu partir, mais il est resté. C’est un maso fini, avec un grand besoin d’autorité féminine. Lui il a plus de mal à tenir sa chasteté que Galak. Il faut que je le trais chaque mois, où alors il n’y en a plus rien à tirer… Donc désolé pour toi, notre nouveau chien, mais tu n’auras que du 30 jours d’âge…

- Bon maintenant que les présentations sont faîtes, il est temps de libérer nos chiens, pour qu’ils fêtent dignement l’arrivée du petit nouveau. Mais le chiot, il faut que tu saches oh combien ils attendent ton arrivée ! D’abord cela fait six mois que nous le torturons en prévision de votre arrivée à Marie et toi.

J’ai mes yeux de surprise. Je ne m'en doutais pas.

- Que c’est rigolo ! Ta Marie est venue nous voir il y a 6 mois pour nous demander de te dresser un peu… Je suis sûre que tu n’as pas vu la façon dont elle s’est débarrassée de vos têtes blondes… pour avoir le champ libre.

6 mois de secret ! Je suis atterré… Ruth se marre.

- Vous êtes tous pareils les hommes : vous ne voyez jamais qu’il y a un éléphant rose dans votre chambre… bref ta Marie est venue nous voir par amour pour toi, il y a 6 mois. Elle nous a fait déférence et bien sucé nos chattounes avec un enthousiasme excité. Je me demande même si finalement, elle ne préfère pas cela à ta « petite » queue. Elle nous a émues, Annie et moi, et nous avons immédiatement décidé de lui donner un petit coup de main.

Je tire la gueule ostensiblement, du moins comme on peut la tirer quand on est un crapouillot attaché promis à la sodomie à des chiens en manque ! D’ailleurs c’est comme si cette Ruth lisait dans mes pensées, elle tient à me préciser :

- Oh si tu savais à quel point mon Galak et Hubby ont hâte de faire connaissance avec la chaleur de tes muqueuses ! Ils en bavent depuis 6 mois et qu’est-ce que nous l’avons utilisé pour les torturer tous les deux ! C’est vrai que leur dernière baise « bio » remonte il y a un an avec un morceau de bœuf que nous leur avions acheté. Ah, ah, ah ! Là on leur  a réservé des conduits tendres de premiers choix ! Ils le méritent ! Allez régalez-vous nos toutous !

Je ne crois n’avoir jamais vu de mâle les yeux aussi excités à me mater comme un futur défouloir à queue… Les boîtes de conserve sont ouvertes libérant les plus grosses queues que je n’ai jamais vues ! J’en tremble, la trouille au ventre. Pas une seconde, ils ne me quittent des yeux, la bave aux lèvres qui suinte de leurs bâillons… Ils me font peur !

Mais je gagne miraculeusement quelques minutes de répit… aux dépens de Marie.

- Halte les chiens en rut ! Vos sexes sont trop dégueulasses à être restés si longtemps à mariner. Mai heureusement nous avons maintenant une chienne à disposition. Allez chienne nettoie nous les zobs de nos chiens avec ta langue, qu’ils soient propres  quand ils s’occuperont de dépuceler le chiot ! Et vous les clébards, pas gicler ou c’est un an de cage !

Marie me semble matée à point. Elle ne fait aucune difficulté pour prendre les sexes sales en bouche et les nettoyer à fond. C’est terrifiant de voir sa femme agir ainsi. L’un puis l’autre est « nettoyé ». 

- Vous avez été bien sages. Nous tenons donc notre promesse. Le nouveau chiot est à votre disposition jusqu’à l’aube ! Profitez-en bien, car après pour ne pas perdre les bonnes habitudes, cela sera 6 mois fermes sans rien pour vous deux !

Les phallus dressés sont terrifiants à l’aune de mon propre sexe : 18 bons centimètres et une grosseur en conséquence. Ce qui me sert de zizi ne dépasse pas 13cm dans sa meilleure forme. Galak et Hubby se jette un unique coup d’œil complice, avant de gagner la place qu’ils se sont attribués. Galak semble avoir la préséance de l’ancienneté : il enlève à mon désespoir le « bouchon » de mon bâillon avant d’introduire dans la place béante son sexe tuméfié. Je ne sens rien au début alors qu’il passe le protège dents, puis c’est le choc de sentir le bâton de chair vivant dans ma gorge. C’est chaud, si différent des godes que Marie m'a fait sucer jusqu’à présent ! Le goût est en soi ni agréable, ni désagréable, juste terriblement humiliant d’être utilisé en vide-couilles par un autre homme.

La mécanique de la chose m’est beaucoup plus difficile à supporter. Quand le long sexe butte finalement au fond de ma gorge, j’étouffe dans un haut de cœur. Il me le laisse planté un instant là, le temps que j’admette ma défaite et sa supériorité, avant d’entamer un va et vient excité dans ma bouche.  Je suis la revanche personnelle d’un mâle depuis trop longtemps contraint qui m’impose sa loi. Il sourit heureux de son aubaine.

Mais le pire arrive quand Annie fait remarquer que je suis en érection dans ma cage de chasteté.

- Et bien cela ne laisse pas le chiot indifférent de se faire baiser la bouche !

Non ! Et si elle a raison : je l’avais oublié ce traitre ! L’humiliation jusqu’à la racine !

Je n’ai pas longtemps à attendre : le dénouement arrive vite. Dans une dernière crispation accompagnée d’un hurlement étouffé de plaisir, il gicle en vainqueur dans ma bouche une quantité impressionnante de sperme. Sa « semence » a un goût infâme, presque rassie. Et je n’ai même pas le temps de la recracher. Il débouche rapidement et referme le bâillon sur son œuvre.

C’est à partir de moment là, que je sombre dans un état second. Le goût du sperme visqueux qui envahit ma gorge, m’emporte très loin. Je goûte l'humiliation d'être refermé après usage... Je ressens au lointain le plug que l’on retire de mon anus, bientôt remplacé par un dur pilon qui écarte sans pitié mes chairs... J’accueille la douleur qui l’accompagne avec soulagement. La marque de mon sacrifice ! J’adore ce mélange aigu de souffrance et de fort ressenti physique. J’adore cette honte qui me recouvre. Je suis définitivement ailleurs, adorateur de ces saintes queues que j’honore. Je fête chaque nouvelle offrande en fond de moi avec le goût du travail bien fait. Tout devient trouble. Je crois voir Marie œuvrer, la tête entre les cuisses de Ruth ou d’Annie, mais je ne suis pas sûr de ne pas l’imaginer. Je crois me souvenir qu’à un moment, elles nous laissent, les deux queues et moi et partent… Mais là aussi ce n’est peut être qu’un  rêve…

Cette soirée est si étrange sur une autre planète…

C’était il y a quelques années. Depuis nous n’avons pas cessé d’encourager les enfants à partir en camp à l’autre bout de la terre. Et nos tendres têtes blondes adorent cela, les chéris ! Nous rejoignons aussitôt NOTRE meute au Manoir. C’est notre seconde famille, celle où nous sentons si bien. Je ne suis plus un chiot, mais un jeune mâle, aussi voir plus mâté que les autres chiens de la meute. Toute sexualité avec Marie m’est dorénavant interdite sauf son gode qui me rappelle fréquemment ma condition. Je suis enfermé en cage à l’année et Marie ne détient pas la clé. J’ai été aussi marqué du chiffre de la meute. Ma Marie est devenue plus chienne que jamais, une seconde nature pour elle. Elle est souvent appelée par les Maîtresses pendant que je reste à m’occuper de la famille et de la maison Une bonne petite chienne suçeuse qui s’est révélée. Mais pas que, une chienne totalement avide des queues des vrais mâles, qu’elle honore régulièrement lors de soirées spéciales sous les yeux des Maîtresses. Et finalement nous sommes heureux ainsi, plus amoureux que jamais…

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 16:12

Epilogue

Je m’appelle Thomas M. J’ai maintenant 36 ans, heureux en mariage et père de 3 magnifiques têtes blondes. 

Il y a 10 ans, je m’apprêtais par amour à passer ma vie en soumission pour vivre auprès de ma belle Elyse. Elle se voulait Maîtresse, je me voulais son soumis à vie. Cela me semble maintenant si lointain. Nous avons fini par former effectivement un solide mariage D/S, Elyse et moi, mais pas de la manière dont nous l’avions prévu. Cela a finalement beaucoup mieux marché en inversant les rôles. Moi en mari dominant et exigeant et Elyse en épouse dévouée et soumise à son homme. Nous avons trouvé notre équilibre de couple ainsi.

Yao et Aya nous ont sans doute bien aidés à trouver notre voie à nous, et nous les en remercions chaleureusement.  Yao m’a aussi révélé ma bisexualité et je retrouve toujours sa queue avec plaisir quand il vient nous voir. Sans doute le seul moment, où je ressens avec un peu de nostalgie le trouble de la soumission.

Pour le reste, je traite presque Elyse comme elle avait prévu de traiter son mari soumis. Je la maintiens sous une stricte discipline conjugale, n’hésitant pas à sortir le fouet au besoin au moindre écart ou à lui imposer une punition éprouvante dont j’ai le secret. Et je crois qu’Elyse est heureuse ainsi, réconciliée avec elle-même. Je la laisse être la redoutée Maître Berchand Lagutte à l’Etude tant qu’elle reste ma tendre et soumise Elyse à la maison. 

La différence avec ce qu’elle me prévoyait est que je ne la trompe pas. Je n’en ressens simplement pas le besoin, sauf quand je me livre de temps à temps mon petit trou à la bite de Yao, quand il vient nous voir. Par contre, je ne me gêne pas pour profiter de son corps en tout lieu et tout moment, dans sa bouche, son cul ou sa chatte. Elyse est devenue mon esclave sexuelle domestique, toujours disponible et ne devant avoir aucune réticence.

Nos têtes blondes, 2 garçons et une fille, sont éduqués dans une maison où on sait nettement que l’on doit respect à ses parents, sauf à se prendre une fessée douloureuse. Ils savent aussi que dans les parents, la parole de leur Papa compte plus que celle de leur Maman. Cela leur parait naturel, et dans l’ordre des choses. Ils n’ont jamais rien connu d’autre…

Et nous pour tout l’or du monde, nous ne voudrions changer cet équililibre si heureux...

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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