Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 19:32

Nous regardons le car s’éloigner lentement, emportant notre tendre progéniture vers leur colo estivale. Comme tous les parents présents, nous les saluons de la main jusqu’à ce que l’autobus disparaisse, avant de tourner les talons. Je ne peux pas m’empêcher de laisser m’aller à un « Enfin seuls ! Ce n’est pas comme s’ils étaient des bouffeurs d’énergie, mais, enfin, presque… ».  Marie en rigole doucement avec moi. 2 semaines sans enfant : le rêve de tout parent !

Sur le chemin du retour, je me sens si bien dans notre liberté provisoire de parents. Nous n’avons rien prévu, mais rien qu’une soirée en amoureux à la maison, sans perturbation enfantine, c’est déjà le début du Paradis. Et je salive de l’envie d’un 6 à 8 sauvage qui m’excite depuis le matin l’entrejambe. Je n’en ai pas encore parlé à ma douce pour mieux la surprendre avant de basculer ensemble sur le canapé. Aussi suis-je un peu déçu quand Marie m’apprend finalement que nous avons un rendez-vous à honorer en cette fin de journée. Qu’a-t-elle pu encore imaginer ? Putain on ne peut pas être peinard pour une fois sans les enfants ?

Marie s’explique immédiatement. Il s’agit d’un manoir classé du XVème siècle, sur la commune d’à côté, dont elle a obtenu que nous pouvions le visiter. « C’est une occasion en or, mon chéri. Je ne savais même pas que cela existait à 2 pas de chez nous… ». Mon 6 à 8 se retarde, mais Marie est tellement enthousiaste que je m’en voudrais de la priver de son amour des vieilles pierres. Et puis, autant me l’avouer, je n’y suis pas complètement insensible…

Ce manoir est effectivement bien caché au bout d’une route étroite que je n’avais jamais remarquée, pourtant je passe souvent par cet endroit. Marie me briefe rapidement :

- C’est un manoir qu’ils ont restauré ces dernières années. Lui est Anglais, faisant des affaires à ce que j’ai compris. Elle est Suisse, musicienne, en concert dans le monde entier avec l’Orchestre National Suisse une partie de l’année. Sans enfant. C’est leur maison de vacances, qu’ils louent aussi.

Une femme nous attend dans la cinquantaine. Marie lui claque la bise, sans que je m’en étonne. Je suis tellement habitué qu’elle connaisse beaucoup plus de monde que moi. Et de toute façon, un peu casanier, je ne recherche pas le contact avec autrui plus que cela…

- Je te présente Annie. C’est une artiste peintre que j’ai rencontré à la bibliothèque.

Annie est une petite femme, maigre et presque fragile. Je lui claque à mon tour la bise.

- Annie est la voisine de Ruth : c’est grâce à elle que nous pouvons visiter le manoir.

Je remercie Annie, qui sonne à la porte. Ruth, une magnifique femme de 45 ans, rousse aux longs cheveux ondulants, vient nous accueillir et c’est parti pour la visite ! 

Je ne ferais pas mon chien aigri : la découverte de ce patrimoine est passionnante. Des parties sont anciennes. D’autres ont été reconstituées avec goût. L’ensemble fait un mélange harmonieux. Marie est à discuter devant avec Annie et Ruth et ne cesse de s’enthousiasmer pour tel ou tel détail. Je traîne derrière comme à mon habitude. J’ai toujours détesté les visites guidées, préférant de loin me faire ma propre expérience de ce que je ne connais pas.

Toutes les pièces ont été décorées avec goût. Mais moi ce que je détecte comme à mon habitude : c’est les détails. Dans le salon, des incongrus anneaux dans les poutres du plafond ou scellés dans le sol de pierre. En haut pour suspendre des plantes ? Mais au sol ??? Seraient BDSM ? La visite de la cuisine à l’ancienne, me confirme à quel genre de couple nous rendons visite : deux gamelles traînent au sol nommées Galak et surtout Hubby ! Ben dis-donc, elle ne doit pas s’ennuyer avec son mari, la Ruth !

J’ai hâte de partager avec Marie mes découvertes, mais pour l’instant c’est impossible : elle est inaccessible entre Ruth et Annie. En tout cas, la situation m’excite bien et comme je ne porte pas la cage, même si je m’attends à m’y retrouver bientôt,  je dois faire encore plus attention à ne pas faire remarquer mon érection.

Cette visite devient érotico-passionnante… Nous montons à l’étage pour visiter les chambres, qui se révèlent très confortables et si joliment aménagées. Je suis devenu un Sherlock Holmes aux aguets et gagné ! Une des salles de bains révèle un gode ceinture mauve nonchalamment accroché et à demi caché derrière un peignoir. Oh que cette visite est excitante ! Finalement je vais oublier mon 6 à 8 pour basculer dans le jeu D/S dès notre retour à la maison…

Encore un étage et nous rentrons dans l’unique pièce au sommet du Manoir, sous les toits aux vieilles poutres apparentes. Et là c’est le pompon, sans aucune dissimulation ! Nous venons d’arriver dans un authentique donjon SM. Tout y est : la croix de Saint André, le plan de bondage, le carcan, les râteliers de fouets et cravaches… Je suis comme un petit garçon qui vient d’entre dans un magasin de jouets, un petit garçon forcément pas sage. Encore à mon excitation de découvrir un lieu si fantasmé, je ne fais plus attention, au pourquoi je suis arrivé là. J’aurais du me méfier car Ruth m’interpelle directement pour la première fois :

- Alors David, mon donjon BDSM te plait ?

Je sursaute, m’apercevant que les 3 femmes sont restées à l’entrée pendant que j’allais de découverte en découverte. Je cherche du regard Marie qui le fuit ostensiblement. Elle est rouge de la tête au pied, trahissant sa gêne. Je sens immédiatement la sueur froide du piège. J’arrive à balbutier…

- Oui, beau… beaucoup… Madame…

Le Madame m’est venu automatiquement. Les yeux verts de Ruth qui me transpercent maintenant me troublent tant… Je suis mal à l’aise. Je voudrais partir… Je cherche à supplier des yeux Marie mais elle me fuit toujours.

- Pour que cela clair entre nous, David, je sais tout de ta soumission à ta Dame. Et je connais les limites de ta Marie, qui a du mal à dépasser l’amour qu’elle te porte. Mais la vie est bien faîte : Annie et moi sommes là pour aider Marie et te faire rapidement progresser…

J’ai l’impression d’être devenu une bête acculée.  Je tremble quand Ruth précise son intention.

- Annie et moi sommes beaucoup expérimentées. Cela devrait te plaire de vivre enfin tes fantasmes ! Pourrais-tu de mettre tout nu maintenant ?

Là je panique. Marie semble avoir repris de l’assurance, et son regard dur et excité m’invite, m’ordonne à me conformer. J’ai une conscience aigüe maintenant qu’ELLE savait où je mettais les pieds ! SALOPE ! Je ne méritais pas ce piège. Mais pas le temps de m’appesantir trop sur mon sort : la petite Annie apparaît devant moi, le regard dur, et me gifle sévèrement, avant de me saisir douloureusement l’oreille.

- On t’a dit à poil le goret ! Alors tu obéis sans te poser de question !

Cette femme me fait peur. Petite mais terrifiante. Je regarde Marie qui est fascinée par la situation. Je regarde cette Ruth qui a des yeux noirs de menaces.  J’ai le cœur qui bat à 180 à l’heure. J’ai peur.  Je suis terrifié.

Lâchement j’obéis, le mal à l’âme, enlevant un à un mes vêtements.  Je suis nu de corps et d’âme. Plus pour longtemps : Marie a apporté ma cage à zizi et la donne à Annie, qui de gestes habiles et habitués, m’enferme sur le champ. De toute façon, je n’ai aucune fierté à opposer, la trouille au ventre. Un collier de métal suit et est étroitement fixé à mon cou… Finalement Annie me conduit la tête et les mains dans le carcan qui se verrouille. Avant que ma bouche le soit aussi d’un solide bâillon. Fait et pris !

 Je suis courbé dans le carcan dans une position inconfortable, immobilisé, réduit au silence et avec cette foute cage qui me pèse déjà sur les couilles. Marie semble plus confortable maintenant que je suis immobilisé. Ruth ou devrais-je dire Maîtresse Ruth, a sorti des papiers qu’elle pose sur le plan de bondage.

- Allez Marie à nous donc…

J’apprends avec stupeur que je suis « prêté » pendant les 2 semaines de la colo des enfants à cette Maîtresse Ruth et son assistante Annie. Comment Marie peut me faire cela ? Nous faire cela ? Je proteste violemment mais le bâillon étouffe ma plainte, ce qui interrompt Ruth…

- Tu ne lui as pas dit ?

Non Marie ne me l’a pas dit, la salope de cachottière ! Mais à voir le franc sourire d’excitation qu’elle arbore maintenant, je me doute que le secret faisait partie de son plan.  Je suis sûr que sa culotte mouille abondamment maintenant de son mauvais-coup ! Ruth nous regarde lentement l’un après l’autre et comprend amusée…

- Tu fais Marie quand même une belle petite salope d’épouse ! Alors ne t’inquiète pas, nous allons prendre bien soin de ton mari. Après tout, j’ai l’expérience du mien à ma botte depuis 20 ans et Annie fêtera ses 15 ans avec son mari lopette cet automne. Alors nous nous y connaissons en dressages matrimoniaux…

Et sur ce Ruth se lève pour se rapprocher de mon corps dans le carcan. Elle me flatte ma peau nue qui tremble sous sa main glaciale, à la manière d’un cheval qu’un futur propriétaire évalue à la foire. Je n’aime pas du tout l’idée. Finalement sa main se pose fermement sur mon encolure pendant que l’autre m’écarte les fesses à la recherche de… non quand même pas cela !

- La plupart des femmes pensent que ce que dont les hommes ont le plus intime, c’est leur zizi. Que nenni ! Ils n’arrêtent pas de s’en glorifier, de nous le montrer, c’est public pour eux… Non leur honte à eux, c’est leur petit trou…

Ruth accompagne ses paroles d’une pression insistante sur mon anus. Je fuis du cul tant que je peux pour y échapper, n’aimant justement pas l’idée d’être touché là par une étrangère. Mais le doigt reste bien vissé et profite même de mes rebuffades pour progresser et me pénétrer peu à peu.  C’est complètement humiliant !

- Regarde bien Marie, comment ton petit homme devient rouge honteux quand on s’occupe de son petit trou…

Ses dernières paroles sont soulignées du bout de son doigt qui bouge en cadence à l’intérieur de mon cul pour ne laisser aucun doute qu’elle est maîtresse de la place, bel et bien. Oui Ruth connait bien son affaire : c’est si dégradant d’être pris ainsi pour un mâle. Le doigt m’est retiré finalement d’un coup à sec me retirant un grognement de douleur fugace et Annie est appelée à témoigner…

- Que penses-tu de ce petit trou ?

Un nouveau doigt me force sans précaution. Je serre les dents.

- Un vrai cul de pucelle ! Je sais bien que le petit bonhomme est contracté, mais de là à s’ouvrir aussi peu… Marie, tu ne lui entraînes pas la rondelle ?

Marie répond d’une voix amusée.

- Non pas vraiment. C’est pas trop ma tasse de thé et il a toujours autant de mal à me le donner…

Ruth décide  pour tout le monde.

- Embêtant tout cela. Cela risque d’être compliqué pour la suite. Annie, tu ne voudrais pas voir ce que tu peux y faire pendant que je finis avec Marie ?

- Bien sûr ma chérie. Hi, hi : je vais voir ce que je peux faire… comme toujours…

Et elle s’y engage immédiatement. Les tiroirs s’ouvrent. Les gants claquent sur ses mains. Tout cela est menaçant. Je suis prêt à hurler de désespoir quand je sens que la femme commence à me graisser le cul, méthodiquement et profondément.

J’en perds même un temps le cours de la conversation entre Ruth et ma Marie, qui a repris. Elles sont en train de négocier une espèce de check-list de ce que Marie accepte de me faire subir… Elle est très à l’aise maintenant, très en majesté. Tout y passe… Marie rend toute sorte de flagellations 100% open pour Ruth et Annie et à « leurs discrétions ». Elle interdit les marquages définitifs et les aiguilles… Grâces soient rendues à Sainte Marie ! Mais cela n’allège pas mon inquiétude du moment sur l’opération d’ouverture de mon fondement en cours, . Je tremble de mes membres quand je sens un deuxième doigt rejoindre le premier, puis un troisième qui travaillent de concert à m’ouvrir avec insistance le cul ! C’est tout sauf agréable…

En contrepoint, je suis stupéfait d’entendre Marie accepter sans réticence, toutes formes d’hommages y compris explicitement sexuels, que les femmes dominantes pourraient m’exiger de moi. Mais qu’est-ce qui lui prend, elle si jalouse d’habitude ?

- Prépare-toi à la saillie maintenant mon chou…

Hein ? Je mets quelques instants à comprendre que c’est Annie qui vient de me chuchoter dans l’oreille cet avertissement. De quelle saillie elle parle ? Puis je comprends… trop à mon goût quand je sens un gode presser contre mon anus. Je me débats dans mon carcan : non pas ça ! Je ne veux pas ! Des claques bien senties sur mes fesses me répondent et m’intiment l’ordre de rester tranquille.  Ruth et Annie ont arrêté leur discussion et me regardent avec un intérêt excité. Je suis devenu l’attraction de la pièce ! Les mains d’Annie me prennent les hanches. Le symbole est très dominant et combien de fois l’ai-je fait en baisant Marie… Sauf que là celui qui va être baisé aujourd’hui : c’est moi !

- Respire un bon coup, car je vais te la mettre profonde jusqu’à la garde !

Ses paroles finissent de m’affoler. Je sens le gode qui force et force encore, jusqu’à ce je cède et avale dans la douleur l’intrus. Je hurle à l’empalement à vif dans mon bâillon ! Ma violeuse ne me laisse aucun répit et commence déjà à coulisser dans mon rectum. Les 2 premières minutes sont un enfer, mais quelque chose se débloque dans mon corps : les va et vient deviennent quelque chose entre douleur et plaisir. Annie me donne maintenant des grands coups de reins qui me poussent dans mon carcan et m’arrachent des grognements. Je sens mon sexe tressaillir dans sa cage. Je tombe en soumission…

- Tu vois Marie, que ton petit enculé de mari adore se faire bousculer sa petite vertu, comme tous les autres. Il bande même dans ses barreaux… Tu devrais plus souvent lui servir des godes ceintures à la maison… convaincue ?

Un franc oui de Marie répond à l’affirmation de Ruth.

- Alors, tu autorises les suçages de queues, avalage de spermes et sodomie humiliantes entre soumis ?

- 3 fois oui.

Je suis sur le cul pris d’entendre ma Marie acquiescer à ces activités clairement homosexuelles, où des mâles me prennent la bouche et le cul. Mais qu’est-ce qui lui prend ? Ce n’est pas Marie là ! Je n’ai jamais eu  aucune expérience avec un homme, et je n’en ai pas envie. La queue factice qui me défonce devient trouble et se pare maintenant d’une aura annonciatrice et dévastatrice qui me fait une étrange tension au ventre. Non, je ne suis pas comme ça, moi ! La dernière question m’anéantit.

- Alors capote ou no-capote ? Nous n’en n’avons pas encore parlé, mais nos cochons sont safes si tu vois ce que je veux dire. A toi de voir…

Marie réfléchit un long moment. Je la supplie des yeux de ne pas m’imposer cela ! Tout ce qu’elle veut, mais pas cela. Elle soutient mon regard, une lueur de folle excitation dans ses yeux, et prononce sa sentence.

- Non pas de préservatif. Je souhaite qu’il connaisse l’humiliation de recevoir le sperme au fond de sa gorge ou d’aller le chier marbré dans les toilettes après s’être fait sodomiser. C’est ce qu’il m’a imposé dans le passé, alors je ne vois pas pourquoi je me gênerais…

Aie ! Ces propos sentent tellement la vengeance et sont sans appel. Un démon passe dans la pièce qui inspire à Maîtresse Annie l’envie de me dévaster définitivement le cul. Ses coups de butoir se décuplent m’arrachant des cris de détresse. Mais pas que : une sourde jouissance monte chez mon enculeuse. Son souffle dévient rauque. Je suis devenu son instrument à jouissance d’une manière que je ne m’explique pas ! Mais qui est si claire pour moi : réduit à de la chair à jouissance et rien de plus… et bizarrement l’idée m’excite dans la cage…

- Tu n’as pas faim toi Marie ? Moi si ! Et si nous laissions Annie finir ce qu’elle a commencé à consommer et descendions à la cuisine. Annie nous rejoindra quand elle aura… fini. Je la connais bien : dans son état actuel, la faim est son dernier souci.

Et elles me laissent seul dans cette mauvaise posture avec Maîtresse Annie. Plus les yeux de ma Marie pour m’accrocher. Que la sensation de ce morceau de plastique qui me viole et me reviole encore avec le souffle du démon. Je me sens abandonné dans un trouble érotique ! Et je subis jusqu’au bout la double jouissance de mon cul et de Maîtresse Annie…

Quelques instants plus tard, je ne suis libéré de mon carcan et je m'effondre sur le sol. Maîtresse Annie s’occupe de me « préparer ».  Avant tout, elle m’enfile un plug épais dans le cul, heureusement lubrifié. Mes mains sont menottées serrées dans mon dos. Elle me change le bâillon pour un harnais de tête beaucoup plus contraignant. Je rechigne mais 2 ongles dans mon téton droit ont vite fait de réduire toute velléité de résistance. Je suis condamné au bâillon. Une mentonnière de cuir en bas. Des lanières qui prennent le haut du crane. Mais surtout un indécent conduit qu’elle force entre mes dents. Je reconnais tant ce genre d’accessoire que l’on voit parfois dans des vidéos de soumises sur internet. Une contrainte qui livre sans concession la bouche aux sexes qui voudront la forcer, sans que l’on puisse s’y opposer. Ma bouche vient de devenir un trou à bite open. Je suis anéanti. Au delà de l’humiliation et déjà terrifié de la sourde menace qu’il porte. Je me mets à pleurer de chaudes larmes. Maîtresse Annie finit en bouchant le trou béant d’un indécent bouchon de fond d’évier, comme sur les vidéos.

- Voilà pour l’instant la voix est bouchée… en attendant. Ta Maîtresse nous as dit que tu réagirais beaucoup mais je ne pensais pas que tu allais en pleurer.

Elle se rapproche pour me prendre dans ces bras.

- T’inquiète pas mon chou. Les premières fois, comme toute première fois, ne sont que des moments délicats à passer. Et se faire baiser la bouche ou le cul, n’a jamais causé mort d’homme… Allez il faut qu’on y aille maintenant, la jouissance sur ton cul m’a maintenant ouvert l’appétit.

Nous empruntons un nouvel escalier à colimaçon, en pierre et très étroit : « l’escalier des serviteurs » comme il en existait dans beaucoup de manoirs. L’escalier des soumis aussi maintenant. Il nous emmène directement dans les caves voûtées.

Une barrière de fer ferme la cave à gauche. Maîtresse Annie déverrouille la porte et m’y pousse. C’est froid et humide avec un sol en terre battue, éclairé d’une ampoule blafarde. Deux hommes nus sont enchaînés contre un mur, les mains attachées à des crochets en l’air, les sexes encagés et aussi étroitement bâillonné que je peux l’être. Un homme de 60 ans aux cheveux grisonnants. Un autre un peu plus jeune. Tous les 2 me regardent intensément arriver.

- Allez assis-toi par terre !

Une courte chaîne est fixée entre mon collier et un anneau au sol et je suis abandonné là.

- Le plus vieux s’appelle galak. C’est le mari de Ruth. Le second est hubby et c’est le mien. Ils attendent ta venue depuis plusieurs heures maintenant. Allez je vous laisse faire un peu connaissance…  A toute à l’heure, les chéris !

Les deux hommes ont une sorte de regard de désespoir excité. Ils me « matent » sans se gêner et je ne peux pas rater la vision de leurs sexes qui gonflent dans leur cage à zizi. Je suis ostensiblement la seule raison de leur excitation et cela me terrifie totalement au bord de la panique totale ! NON JE NE VEUX PAS ! MARIE, C’EST DES FOLLES, SORS MOI DE LA, S’IL TE PLAIT ! Je tremble, j’ai froid et plus que tout, je n’arrive pas à détacher mon regard des sexe avides dans leur cage. C’est déjà si gros ! Quelle taille monstrueuse cela peut atteindre libéré ?

C’est un aperçu de l’enfer dans cette cave, réduit à contempler mes futurs violeurs tendus dans leur cage, un long – trop long – moment. Le plug qui me dilate le cul agit comme un rappel permanent. Je suis une autre planète, accablé par le futur et en ayant tellement peur. Je finis même par pleurer doucement à nouveau… ce qui me rassure quelque peu…

J’ai perdu le compte du temps, mais finalement Maîtresse Annie revient et m’amène – seul -  dans une autre cave, beaucoup moins humide, avec une table basse en bois au centre  et un canapé avachi faisant face. Au dessus un grand miroir et autour des murs de pierres blanchies qui diffusent au mieux la lumière des chandeliers de bougies.

Je me laisse immobiliser en crapaud obscène sur la table basse, la tête prise dans un collet de fer à « disposition » et les jambes repliées sous mon ventre exposant sans défense mon derrière à qui voudrait en disposer librement. Un coussin assure ma stabilité. Mes bras sont étroitement liés dans mon dos en position haute et inutile. Maîtresse Annie est une experte en art des liens et je constate avec une appréhension montante mon impossibilité définitive à échapper à mon sacrifice, aussi dur qu’il soit !

Je comprends le rôle du miroir : un amplificateur de mon humiliation ! Je me vois ridicule en crapaud ficelé et je n’aime pas cette vision. Je n’ai pas beaucoup à attendre. Maîtresse Ruth nous rejoint bientôt m’offrant dans la miroir le choc érotique de ma vie : ma Marie nue, à 4 pattes et tenue en laisse au pied de Maîtresse Ruth ! C’est si érotiquement troublant ! Je ne peux empêcher mon sexe de réagir violemment dans sa prison…

Leur attelage fait le tour de mon corps saucissonné pour apparaître devant mes yeux. Je suis toujours complètement à ma surprise.  Marie est gênée et elle fuit mon regard, le rouge au visage.

Maîtresse Ruth donne finalement un ordre.

- Sit !

J’ai la surprise de voir Marie obéir immédiatement et se mettre en chienne assise juste devant moi. Maîtresse Ruth la gratifie d’une caresse dans les cheveux.

- C’est bien, chienne. Je vois avec plaisir que tu as retenu tes premières leçons de dressage que je viens de te donner. Et si tu mettais maintenant ton pauvre mari dans la confidence ? Ce n’est pas bien d’avoir des secrets dans un couple… Je suis sûre qu’il va t’écouter attentivement.

Un ange passe dans la pièce, finalement Marie relève la tête et ouvre ses yeux. Elle semble ailleurs… et ses mots arrivent d’une voix troublée par l’émotion.

- Je… J’ai accepté de devenir la sou…soumise de Maîtresses Ruth... et Annie… pour 2 nuits. C’est… c’est le prix que je dois payer pour ton… dressage…

La révélation m’est désagréable. Je n’ai rien demandé à Marie… Je ne serais pas bâillonné que je lui reprocherais véhément ! Marie l’a lu dans mon regard. Du coup, elle me fuit de nouveau… Ruth intervient.

- Non trop facile ! Tu oublies de dire le principal ! Mais nous allons le montrer à ton mari… Regarde-le dans les yeux et écarte les cuisses, chienne !

La chienne Marie obéit trop docilement. Ruth s’accroupit et prend possession de sa main de l’intimité de Marie. L’autre l'a prise aux cheveux pour l’empêcher de se cacher : son regard est parti ailleurs. Aussitôt Marie se met à gémir sous l’action des doigts dans sa vulve en vraie chienne. Jamais je n’ai obtenu ce type de plaisir d’elle. En 2 minutes, elle explose d’un orgasme dévastateur. Définitivement humilié par une femme qui donne plus de plaisir à Marie que je n’ai jamais réussi à lui offrir !

Finalement Maîtresse Ruth relâche son étreinte, laissant le corps de sa chienne dévasté par la jouissance s’amollir et d’affaisser quelque peu. Et Ruth fait une chose inconcevable : elle s’approche et m’enfonce ses doigts enduits de la lourde mouille de Marie dans mes narines ! Je reconnais immédiatement l’odeur caractéristique de ma belle et je ressens d’autant plus une vive humiliation.

- Tu vois que l’on n’est plus dans tes fantasmes… C’est ta réalité maintenant de mari cocufié par une femme ! Et tu vas en voir beaucoup plus pendant que tu te feras défoncer la rondelle ! Debout MA chienne !

Marie sursaute mais obéit de suite.

- Mais avant je veux être sûre que tu seras une bonne petite chienne soumise…

Annie s’est rapprochée et dévoile les 2 badines qu’elle cachait dans son dos. Marie à leur vue pâlit et se révolte en criant.

- Non pas ça !

Mais Maîtresse Ruth a anticipé la rébellion et la tient serrée par la laisse, prise au plus court.

- Qu’est-ce que tu croyais ? Qu’il te suffisait de demander à ne pas être « battue » pour que nous y renoncions ? A la minute où tu nous as fait cette demande, tu t’étais condamnée, stupide et vaniteuse chienne ! Alors oui nous allons te battre avec nos badines. D’abord pour te punir d’avoir osé demander d’y échapper… Où irait-on si la soumise décidait de tout ? Et puis surtout, il est temps que notre nouvelle petite chienne apprenne à craindre ses Maîtresses, pour en devenir plus obéissante !

Marie est sous le choc. Elle tremble de tout son corps et ne dit plus qu’une litanie de « pitié » sans fin. Finalement Ruth la tire vers l’arrière…

- Il est temps de tester la solidité de votre mariage…

Les perverses Maîtresses ont imaginé une idée diabolique. Marie, plus morte que vive maintenant, est couchée au dessus de mon dos et nous sommes étroitement liés ensemble. Me voilà transformé en banc à fessées dans une double humiliation. Je sens les larmes chaudes de ma Marie qui tombent dans mon cou. Elle ne dit plus rien. Je sens aussi l’humidité de sa chatte contre mes fesses. Sa respiration est si troublée. J’ai tant pitié pour mon Amour…

Et le premier coup arrive dans un sifflement prémonitoire de terreur. Il arrache un cri primal à Marie dont le corps convulse au-dessus du mien. J’encaisse le vif tremblement comme je peux dans l’urgence. Chaque fouetteuse a pris un côté et envoie son coup à son tour. Elles prennent leur temps, nous laissant anticiper dans l’angoisse. Chaque coup vole et  frappe, arrachant un hurlement inhumain à Marie, qui se répercute dans mon corps et finit en grognement étouffé dans mon bâillon. J’ai l’impression de ne former plus qu’un avec ma Marie. Je suis en communion. Ce n’est plus sa punition, mais la notre que nous vivons ensemble et partageons…

Je n’ai pas compté, mais il y a sans doute eu plus de 30 coups quant les badines s’apaisent. Je suis en sueur. J’ai mal partout à supporter le corps de Marie au-dessus qui survit difficilement dans un rauque essoufflement de détresse. Je ne peux cependant m’empêcher de vivre la libération du poids de Marie sur moi comme un soulagement. J’ai en si honte !

Finalement Marie est laissée à reprendre ses esprits, affalée devant le canapé. Le résultat des badines est impressionnant. Les fesses de Marie sont striées de traits violacés : les 2 Maîtresses ne rigolent pas quand il s’agit de marquer leur esclave ! D’ailleurs comme pour répondre à ma conclusion, Maîtresse Ruth me chuchote à l’oreille : «  Ne soit pas jaloux. Toi aussi tu auras droit à ta branlée, mais cela sera demain et au fouet. Tu es définitivement un soumis plus expérimenté… »

Pas sûr que cela me rassure. Je grimace. Finalement Maîtresse Ruth décide qu’il est temps d’aller chercher les « chiens », qui arrivent bientôt tout excité à 4 pattes et en laisse.

- A la maison, cela fait des années qu’ils ne marchent plus qu’à 4 pattes. Au point maintenant que quand nous les sortons à l’extérieur, ils ont du mal à retrouver la marche à 2 pieds, les pauvres chéris ! Toi aussi, crois-moi, tu vas vite apprendre à le faire…

On leur a mis une sorte de muselière canine qui les bâillonne aussi et chacun arbore une magnifique queue de toutou plantée dans leurs culs. Ruth fait les présentations.

- Voilà Galak mon chien de mari. 20 ans de mariage dont 18 à mes pieds. 17 ans qu’il porte une cage le chéri et ne peut plus se masturber derrière mon dos. Et 14 ans qu’il n’a plus connu mon cul ou ma chatte. Je les réserve à mes amants. Pour lui au mieux maintenant, c’est ma main dans son cul, quand je daigne de le traire… Mais c’est de moins en moins fréquent. Sa dernière traite remonte il y a 4 mois… Et je te laisse présenter, Annie, notre autre chien domestique…

-  Je vous présente Hubby. Ne vous laisser pas tromper par son nom de soumis : j’ai toujours refusé de l’épouser et son surnom le lui rappelle tous les jours. Il aurait pu partir, mais il est resté. C’est un maso fini, avec un grand besoin d’autorité féminine. Lui il a plus de mal à tenir sa chasteté que Galak. Il faut que je le trais chaque mois, où alors il n’y en a plus rien à tirer… Donc désolé pour toi, notre nouveau chien, mais tu n’auras que du 30 jours d’âge…

- Bon maintenant que les présentations sont faîtes, il est temps de libérer nos chiens, pour qu’ils fêtent dignement l’arrivée du petit nouveau. Mais le chiot, il faut que tu saches oh combien ils attendent ton arrivée ! D’abord cela fait six mois que nous le torturons en prévision de votre arrivée à Marie et toi.

J’ai mes yeux de surprise. Je ne m'en doutais pas.

- Que c’est rigolo ! Ta Marie est venue nous voir il y a 6 mois pour nous demander de te dresser un peu… Je suis sûre que tu n’as pas vu la façon dont elle s’est débarrassée de vos têtes blondes… pour avoir le champ libre.

6 mois de secret ! Je suis atterré… Ruth se marre.

- Vous êtes tous pareils les hommes : vous ne voyez jamais qu’il y a un éléphant rose dans votre chambre… bref ta Marie est venue nous voir par amour pour toi, il y a 6 mois. Elle nous a fait déférence et bien sucé nos chattounes avec un enthousiasme excité. Je me demande même si finalement, elle ne préfère pas cela à ta « petite » queue. Elle nous a émues, Annie et moi, et nous avons immédiatement décidé de lui donner un petit coup de main.

Je tire la gueule ostensiblement, du moins comme on peut la tirer quand on est un crapouillot attaché promis à la sodomie à des chiens en manque ! D’ailleurs c’est comme si cette Ruth lisait dans mes pensées, elle tient à me préciser :

- Oh si tu savais à quel point mon Galak et Hubby ont hâte de faire connaissance avec la chaleur de tes muqueuses ! Ils en bavent depuis 6 mois et qu’est-ce que nous l’avons utilisé pour les torturer tous les deux ! C’est vrai que leur dernière baise « bio » remonte il y a un an avec un morceau de bœuf que nous leur avions acheté. Ah, ah, ah ! Là on leur  a réservé des conduits tendres de premiers choix ! Ils le méritent ! Allez régalez-vous nos toutous !

Je ne crois n’avoir jamais vu de mâle les yeux aussi excités à me mater comme un futur défouloir à queue… Les boîtes de conserve sont ouvertes libérant les plus grosses queues que je n’ai jamais vues ! J’en tremble, la trouille au ventre. Pas une seconde, ils ne me quittent des yeux, la bave aux lèvres qui suinte de leurs bâillons… Ils me font peur !

Mais je gagne miraculeusement quelques minutes de répit… aux dépens de Marie.

- Halte les chiens en rut ! Vos sexes sont trop dégueulasses à être restés si longtemps à mariner. Mai heureusement nous avons maintenant une chienne à disposition. Allez chienne nettoie nous les zobs de nos chiens avec ta langue, qu’ils soient propres  quand ils s’occuperont de dépuceler le chiot ! Et vous les clébards, pas gicler ou c’est un an de cage !

Marie me semble matée à point. Elle ne fait aucune difficulté pour prendre les sexes sales en bouche et les nettoyer à fond. C’est terrifiant de voir sa femme agir ainsi. L’un puis l’autre est « nettoyé ». 

- Vous avez été bien sages. Nous tenons donc notre promesse. Le nouveau chiot est à votre disposition jusqu’à l’aube ! Profitez-en bien, car après pour ne pas perdre les bonnes habitudes, cela sera 6 mois fermes sans rien pour vous deux !

Les phallus dressés sont terrifiants à l’aune de mon propre sexe : 18 bons centimètres et une grosseur en conséquence. Ce qui me sert de zizi ne dépasse pas 13cm dans sa meilleure forme. Galak et Hubby se jette un unique coup d’œil complice, avant de gagner la place qu’ils se sont attribués. Galak semble avoir la préséance de l’ancienneté : il enlève à mon désespoir le « bouchon » de mon bâillon avant d’introduire dans la place béante son sexe tuméfié. Je ne sens rien au début alors qu’il passe le protège dents, puis c’est le choc de sentir le bâton de chair vivant dans ma gorge. C’est chaud, si différent des godes que Marie m'a fait sucer jusqu’à présent ! Le goût est en soi ni agréable, ni désagréable, juste terriblement humiliant d’être utilisé en vide-couilles par un autre homme.

La mécanique de la chose m’est beaucoup plus difficile à supporter. Quand le long sexe butte finalement au fond de ma gorge, j’étouffe dans un haut de cœur. Il me le laisse planté un instant là, le temps que j’admette ma défaite et sa supériorité, avant d’entamer un va et vient excité dans ma bouche.  Je suis la revanche personnelle d’un mâle depuis trop longtemps contraint qui m’impose sa loi. Il sourit heureux de son aubaine.

Mais le pire arrive quand Annie fait remarquer que je suis en érection dans ma cage de chasteté.

- Et bien cela ne laisse pas le chiot indifférent de se faire baiser la bouche !

Non ! Et si elle a raison : je l’avais oublié ce traitre ! L’humiliation jusqu’à la racine !

Je n’ai pas longtemps à attendre : le dénouement arrive vite. Dans une dernière crispation accompagnée d’un hurlement étouffé de plaisir, il gicle en vainqueur dans ma bouche une quantité impressionnante de sperme. Sa « semence » a un goût infâme, presque rassie. Et je n’ai même pas le temps de la recracher. Il débouche rapidement et referme le bâillon sur son œuvre.

C’est à partir de moment là, que je sombre dans un état second. Le goût du sperme visqueux qui envahit ma gorge, m’emporte très loin. Je goûte l'humiliation d'être refermé après usage... Je ressens au lointain le plug que l’on retire de mon anus, bientôt remplacé par un dur pilon qui écarte sans pitié mes chairs... J’accueille la douleur qui l’accompagne avec soulagement. La marque de mon sacrifice ! J’adore ce mélange aigu de souffrance et de fort ressenti physique. J’adore cette honte qui me recouvre. Je suis définitivement ailleurs, adorateur de ces saintes queues que j’honore. Je fête chaque nouvelle offrande en fond de moi avec le goût du travail bien fait. Tout devient trouble. Je crois voir Marie œuvrer, la tête entre les cuisses de Ruth ou d’Annie, mais je ne suis pas sûr de ne pas l’imaginer. Je crois me souvenir qu’à un moment, elles nous laissent, les deux queues et moi et partent… Mais là aussi ce n’est peut être qu’un  rêve…

Cette soirée est si étrange sur une autre planète…

C’était il y a quelques années. Depuis nous n’avons pas cessé d’encourager les enfants à partir en camp à l’autre bout de la terre. Et nos tendres têtes blondes adorent cela, les chéris ! Nous rejoignons aussitôt NOTRE meute au Manoir. C’est notre seconde famille, celle où nous sentons si bien. Je ne suis plus un chiot, mais un jeune mâle, aussi voir plus mâté que les autres chiens de la meute. Toute sexualité avec Marie m’est dorénavant interdite sauf son gode qui me rappelle fréquemment ma condition. Je suis enfermé en cage à l’année et Marie ne détient pas la clé. J’ai été aussi marqué du chiffre de la meute. Ma Marie est devenue plus chienne que jamais, une seconde nature pour elle. Elle est souvent appelée par les Maîtresses pendant que je reste à m’occuper de la famille et de la maison Une bonne petite chienne suçeuse qui s’est révélée. Mais pas que, une chienne totalement avide des queues des vrais mâles, qu’elle honore régulièrement lors de soirées spéciales sous les yeux des Maîtresses. Et finalement nous sommes heureux ainsi, plus amoureux que jamais…

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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