Petits contes D/S

Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 06:10

La limousine s’arrêta devant un immeuble haussmannien, boulevard de Metz. 

- Madame. Nous sommes arrivé au 87 boulevard de Metz comme demandé.

- Merci Victor. Vous rentrerez à l’hôtel particulier, cela risque d’être un peu long. Je vous ferai mander pour venir nous rechercher.

Madame et Monsieur de Saint-Esprit descendirent de la limousine. C’était le début de la matinée où la rue déjà grouillait de monde qui allait et venait selon la chorégraphie incompréhensible des villes modernes. Ils s’avancèrent devant la porte cochère du 87et pénétrèrent sous le porche élégant en pierre de taille. Deux cages d’escaliers opposées avec leurs grandes portes vitrée set les plaques étage par étage.  Madame de Saint-Esprit repéra leur destination  sur celle de droite.

Cabinet Médical Zubratchev
4ème étage

Madame était prête à s’engager mais Monsieur la retint par la manchette de son manteau Burberry’s à l’élégant tartan aux couleurs automnales.

- Attendez Anne-Amédée, je ne suis sûr que cela soit une bonne idée d’y aller…

- Ecoutez, Charles, cessez de faire l’enfant. Vous m’avez donné votre parole que vous ne feriez pas de scandale ou sinon…

- Non, vous…

Il ne put finir avant de recevoir un soufflet d’agacement de la main de son épouse. Il baissa immédiatement les yeux et rougit bien plus que la trace de la main.

- Donnez-moi votre poignet que je vous accroche à mon sac à main et contentez-vous me suivre en vous taisant.

Un lien de cuir fut sorti du sac à main Vuitton et vint s’attacher au poignet de Charles, qui n’avait maintenant plus de choix que de suivre au plus près son épouse. Ils prirent donc en attelage l’ascenseur jusqu’au 4ème étage et arrivèrent à l’accueil du Cabinet Médical Zubratchev, une pièce très élégante en boiserie.  Une femme au visage maigre et aux lunettes sévères, les accueillit derrière un bureau Louis XVI.

- Bonjour, Madame, bienvenue au cabinet. Que puis-je faire pour vous ?

- Je suis Madame de Saint-Esprit. J’ai pris rendez-vous pour mon mari.

- Ah oui, je me souviens de votre appel la semaine dernière. Pas de problème, je vois que vous êtes sur l’agenda. Par contre, le Docteur Zubratchev n’est pas encore arrivé. Vous êtes un peu en avance.

- L’exactitude est ma politesse habituelle.

- Tout à fait et cela se perd tellement de nos jours. Peut-être pourrions-nous profiter de ce moment pour réaliser l’admission et régler la question du paiement. Asseyez-vous, je vous en prie.

Anne-Amédée de Saint-Esprit accepta  l’invitation pour elle mais laissa son mari debout à côté du fauteuil. Elle lui demanda en premier lieu d’établir un chèque de 4.700 francs or au nom du cabinet qui fut immédiatement rangé dans un tiroir du bureau et répondit à l’admission.

- Alors avez eu du mal à convaincre, Monsieur, de venir ?

- Mon mari a montré quelques réticences au début. Mais rien que Joseph, notre Majordome, n’ait réussi à remettre en ordre sur ma demande. 

- Ne vous inquiétez pas, c’est classique dans ce genre de situation. Est-il allé à la selle, ce matin ?

- Je ne sais pas. Charles êtes-vous allez à la selle ce matin ?

Monsieur de Saint-Esprit répondit négativement en rougissant.

- Ce n’est pas grave. Je le signalerai à l’infirmière qui pourra régler tout cela. Dernière question : souhaitez-vous assister au traitement Madame  ?

- Je crois que oui si le Docteur Zubratchev n’y voit pas d’inconvénient. Je ne voudrais pas le gêner quand il opérera.

- Non ne soyez pas inquiète, le Docteur a l’habitude de la présence des épouses des patients qu’il traite. Cela ne la gêne d’aucune manière. Bon maintenant que tout est réglé, si vous voulez bien passer avec Monsieur dans l’antichambre.

Elle les introduisit dans l’antichambre, une pièce agréable et lumineuse. Un unique fauteuil Louis XVII, une table basse et dans un coin un porte vêtement. Madame de Saint-Esprit prit place dans le fauteuil après avoir libéré le poignet de son mari.

- Je vais aller prévenir l’infirmière. Voulez-vous un thé de Ceylan pour attendre l’arrivée du Docteur Zubratchev ? Je crains qu’il ait du retard ce matin.

- Volontiers pour le thé avec un nuage de lait.

La femme sortit en refermant silencieusement la porte de l’antichambre. De nouveau seuls, Charles tenta de plaider de nouveau sa cause auprès de son épouse.

- Anne-Amédée, c’est folie que ce que vous voulez m’imposer…

- Taisez-vous donc Charles ! Nous en avons déjà discuté et je ne reviendrai pas sur ma décision. Soyez-fort face à l’adversité comme vos ancêtres le furent en leur temps.

On frappa discrètement. Madame répondit.

- Oui entrez, je vous en prie.

L’infirmière arriva comme annoncé, une femme blonde assez forte.

- Bonjour Madame. Je suis Charlotte, l’infirmière du Docteur. Je dois préparer Monsieur.

- Je vous en prie, disposez de Monsieur comme bon  il vous le semblera.

- Si Monsieur veut bien entièrement se déshabiller. Il ne faudrait pas que Monsieur soit en retard pour son traitement.

Mais Charles refusa ostensiblement de bouger. Son épouse s’apprêtait à lui faire part de sa désapprobation, mais elle n’en eu pas le temps. Charlotte l’infirmière saisit l’oreille de ce Monsieur récalcitrant et entraina la tête vers le sol en causant un long cri de surprise douloureuse.

-  Monsieur voit bien qu’il est mieux de suivre mes directives immédiatement. Cela vaut mieux pour lui… Veuillez donc, Monsieur, enlever vos vêtements immédiatement… c’est bien… la chemise correctement mise sur le porte-vêtement… et les chaussures bien rangées... Oui vous devez aussi enlever pantalon et culotte… Arrêter de faire l’enfant. Votre pudeur ici n’a pas place dans ce cabinet médical…  Monsieur m’impatiente… Il est dans l’intérêt de Monsieur d’obéir vite ou Monsieur aura droit à cent coups de fouets si je dois le déculotter moi-même… Ah, Monsieur est enfin raisonnable… et enlevez donc vos mains ridicules … Ah vous m’exaspérer ! Je crois que vous méritez finalement une punition pour votre désobéissance, si Madame permet.

Madame le permit évidemment le sourire aux lèvres.

- que Monsieur se courbe au-dessus de la table basse et me tende son fessier. Quinze coups. Et comptez à voix-haute ou je recommence au début !

Charles de Saint-Esprit, quatrième du nom, dirigeant du tout puissant du groupe financier Escurior,  reçut alors, comme un vulgaire domestique, une avoinée donnée à la ceinture de cuir par une simple infirmière devant son épouse bien aimée qui acquiesça à la punition. Humiliant et cuisant, comme à chaque fois.

Il n’était pas cependant au bout de sa honte car il se retrouva bientôt un collier de cuir autour du cou, mains immobilisée dans le dos et tenu en laisse par la même infirmière, le sort réservé aux patients récalcitrants. Madame de Saint-Esprit approuva bien sûr tout ce traitement dégradant qui n’en finissait pas de l’avilir et donc de la ravir.

- Si Madame veut-bien excuser Monsieur. Le Docteur Zubratchev est très scrupuleux sur l’hygiène corporelle.  C’est mon rôle de m’en assurer avant l’application de son traitement. Madame retrouvera Monsieur dans la pièce de traitement dans quelques moments quand le Docteur sera prêt à procéder.

Et sur ce, elle entraîna Charles de Saint-Esprit, tiré par la laisse, dans une pièce adjacente.

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Plus tard, Anne-Amédée de Saint-Esprit venait de terminer cet excellent thé de Ceylan, quand le Docteur Zubratchev arriva enfin. C’était un homme d’une soixantaine d’année, assez petit avec une moustache grise lissée qui dégageait un charme étonnant.

- Madame de Saint-Esprit, je présume ? Enchanté de vous rencontrer. Je suis le Docteur Wladimir Zubratchev. Et je vous prie d’excuser mon retard. J’ai eu une urgence ce matin qui ne pouvait pas attendre. Une reprise d'après traitement...

- Enchanté de vous rencontrer. J’ai tellement entendu parler en bien de vous et de vos traitements par Madame de Fontanelle qui m’a conseillé de prendre rendez-vous avec vous pour mon mari.

- Ah oui. Madame de Fontanelle vient régulièrement au cabinet avec son mari qui a fait d’énorme progrès depuis que nous avons commencé son traitement.

- Elle m’a dit le plus grand bien de vos méthodes et m’a convaincu de prendre rendez-vous pour Charles.

- C’est donc la première fois que vous venez à mon cabinet ?

- Tout à fait, Docteur.

- Vous a-t-on expliqué la thérapie que j’emploie avec mes patients ?

- En grande ligne mais pas en détail, Docteur. J’ai vu le résultat sur son mari Henri et c’est étonnant les progrès qu’il a réalisés en quelques mois, sous votre conduite

- Eh bien ici, je soigne non les corps mais l’esprit. J’assure, par un traitement approprié, la paix dans les ménages et l’amour éternel de ces Messieurs pour leurs Dames. Avec un succès reconnu. Mais si vous êtes là, c’est que vous disposez déjà de prédispositions naturelles à assurer l’ordre dans votre ménage.

- Oui et ce depuis le début de mon mariage. Je me suis marié jeune avec Charles qui est plus âgé non par amour mais par intérêt. Il a été choisi pour ses qualités par Papa pour reprendre la direction de la société familiale. Mais quel piètre amant. Rassurez-vous je me console fort bien dans les bras d’autres hommes bien plus vaillants. Alors il m’est venu naturellement l’idée de le mettre à ma botte dpour l’amusement que cela me procure. D’autant que s’il n’est pas sage, fini de Monsieur le président de la société financière Escurior. Papa s’est assuré que je garde le contrôle de l’entreprise.

- Comment l’avez-vous convaincu de venir ici ?

Anne-Amédée de Saint-Esprit rit.

- Il ne le voulait pas au début. Alors je l’ai laissé entre les mains expertes de notre majordome qui sait être convainquant avec Charles, chaque fois que je lui demande. Une seule soirée sous son fouet, et il avait déjà abdiqué, lui le puissant président que tout le monde craint au bureau. Un faible dès qu’il s’agit de son intimité en fait, mais que je reconnais doué pour gérer mes affaires.

- Oui j’entends que vous êtes loin d’être une oie blanche. Savez-vous qu’elle est le but de la leçon d’aujourd’hui ?

- Mme de Fontanelle m’a expliqué qu’il s’agissait de lui enlever le côté trop viril en utilisant votre… si j’osais…

- Osez donc. Osez donc. Madame.

Anne-Amédée de Saint-Esprit s’amusait à exciter les sens du Docteur.

- …en utilisant votre sexe dans son fondement.

- Ah. Ah. C’est cela  par le fondement et par la gorge aussi. L’efficacité de cette première séance repose sur la surprise. Vous ne lui avez rien dit, j’espère.

- Oh que non. Je veux lui laisser la primeur de la grosse surprise. 

- Ah, je vois que votre amie vous a tout raconté sur mon pénis. Quel nom lui a-t-elle donné ?

- La colonne des Carpathes.

- Sacré petit cachottière d’Aymonde. Mais ce surnom lui va bien. Voudriez-vous, Anne-Amédée, le voir de près avant que je l’utilise sur votre mari ? Il est en grande forme depuis votre rencontre.

- C’est en partie pour cela que je suis venue aujourd’hui. Un mandrin exceptionnel à ce que m’as dit Aymonde qui en connait, comme moi, une garnison sur le sujet.

- Passons alors dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles. J’y ai un sofa confortable.

- Oui et vous me montrerez si c’est aussi terrible que cela de se le voir enfiler dans le derrière… juste pour partager un peu le sort futur de Charles.

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Pendant ce temps, le mari était attaché à une chaise, une bouée sous les fesses. Il avait été lavé au savon, séché, et avait déjà pris un premier lavement à la glycérine. Charlotte avait jugé que c’était insuffisant – et se doutant que le Docteur était fort occupé pour le moment – se décida pour un deuxième.

- Allez, soulevez les fesses, Monsieur, que j’introduise la canule à nouveau.

Charles de Saint-Esprit ne pouvait répondre. Il avait été bâillonné par précaution dès sa sortie de l’antichambre. Il n’aurait pas fallu qu’il dérange les ébats de Madame avec le Docteur. D’ailleurs dès qu’elle avait vu cette Dame, elle s’était douté de comment cela finirait avec le Docteur. La plupart du temps, cela se passait à la seconde séance de traitement. Mais là, Charlotte savait que Madame de Saint-Esprit était parfaitement consciente où elle mettait les pieds.

Le Monsieur refusait toujours de se laisser faire. Elle lui pinça un téton entre les ongles, jusqu’à une grimace de douleur le fasse céder. Elle put alors complétement rentrer la canule avant d’envoyer l’eau avec la glycérine.

Le Docteur insistait toujours pour que le lavement se fisse selon les normes. Elle commença donc à masser le ventre en cercles concentrique pour aider la progression du liquide. Mais tout cela lui paraissait déplacé, et il n’y aurait pas eu le bon salaire et le magnifique engin du Docteur qui le lui enfilait de temps en temps, elle aurait fait à sa manière beaucoup moins policée, et aurais mis l’homme au sol, tête contre terre, avant de lui enfiler la canule dans son derrière. Mais bon c’était comme cela. Elle avait aussi du mal à se faire à l’odeur nauséabonde qui envahissait la pièce quand le lavement était rejeté, mais le Docteur avait la phobie des traces sur son sexe quand il ressortait.

Le Monsieur grimaçait alors que le liquide l’envahissait de plus en plus loin et faisait pression depuis l’intérieur. Rien de nouveau, tous les autres avaient le même comportement. Savait-il déjà celui-là qu’il finirait fatalement en parfait petit toutou soumis à Madame que les domestiques ne se gêneraient pas pour enfiler par le cul à la chaîne ? Ils finissaient tous comme cela, une fois le traitement terminé. Pauvres hommes tombés sur la mauvaise femme…

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Le Docteur et Madame rentrèrent finalement dans la salle de traitement. Au centre trônait une espèce de banc auquel Charles était étroitement attaché, cul et sexe accessibles, et même la bouche outrageusement ouverte par un écarteur. Un bandeau l’empêchait de voir quoi que ce soit. 

Les deux nouveaux amants n’avaient pas pris le temps de se rhabiller. Ils arrivèrent donc dans la tenue d’Adam dans la pièce. 

- D’après-vous que dois-je m’occuper en premier chez votre mari. Vous le connaissez bien après tout.

Madame fut gré au Docteur qu’après les tutoiements voire les expressions familières pendant leurs relations amoureuses, il revienne au vouvoiement. Elle n’avait pas été déçue. Quel sexe fabuleux ! Et Anne-Amédée avait même eu beaucoup de mal à le prendre dans les fesses, ce qui quelque part la réjouit à l’avance de ce que Charles allait déguster.

- Je pense que vous devez procéder dans la bouche de mon mari en premier. Il en gardera le goût amer pour la suite.

Le Docteur Zubratchev se présenta mandrin fièrement dressé devant la dite bouche. C’était effectivement une pièce exceptionnelle, plus de 20 cm en longueur et au moins 6 en largeur. Le banc était conçu pour que le patient ne puisse se dérober à l’envahisseur. Et d’envahissement, il fut question. Monsieur avait beau hoqueter à plus finir, le Docteur utilisa sa gorge comme il utiliserait un vagin de prostitué, n’ayant aucune attention pour ses réactions, jusqu’à ce qu’il finisse par partir au fond d’une longue coulée amère. Une fois libéré de l’emprise, Monsieur ne put empêcher un refoulement gastrique qui tomba sur le sol. Madame en rit silencieusement.

- Lors des prochaines séances, ce genre de comportement répulsif sera interdit et votre mari sera forcé de ré-ingurgiter ce qui est sorti malgré lui. Il doit apprendre à accepter ce qu’il lui arrive, quoi qu’il lui arrive.

Le sexe du Docteur s’était recroquevillé après ce premier plaisir ce qui donna une idée à Anne-Amédée. Elle amena Wladimir devant elle et faisant pression sur ses épaules le força à s’agenouiller à ses pieds. Il pouvait sentir l’odeur du vagin en attente, devant lui. Il était quand même étonné de la hardiesse de ces femmes modernes – «  Tu te fais vieux, Wladimir » - mais répondit avec plaisir à l’évidente invitation et suça avidement la bouche pressée contre l’entrejambe par la main exigeante de la Dame. Elle jouit silencieusement.

L’heure du dépucelage était venue pour Charles. Madame s’en réjouissait d’avance sachant quelle taille de foret aller le perforer pour la toute première fois. Beaucoup de lubrifiant, quelques ajustements et un premier beuglement de terreur alors que le sexe l’envahissait. Anne-Amédée s’était placée à portée d’oreille de son mari : « Vous sentez, mon cher, comment ce sexe vous envahit ? Comment cela fait mal ? Comment c’est humiliant d’être pris par-là ? Il va falloir vous habituer à cela car fini la marionnette que mon père m’a mise sur les bras, ou plutôt si je vais dorénavant en tirer les ficelles. Dans votre beau immeuble de la société, vous serez toujours Monsieur le Président craint et respecté par ses pairs, mais chez nous vous serez ma prostituée personnelle que j’aurai immense plaisir à livrer à nos domestiques. Au majordome, Au jardinier que vous trouvez si affreux. Pourtant si vous saviez le beau sexe qu’il a. Au chauffeur aussi qui vous prendra le cul avant de vous emmener à votre travail. Bref à tout ceux qui voudront jouir de votre rectum. Vous entendez, Charles. Vous serez ma prostituée ! Et vous viendrez me lécher les mains comme un bon chien dressé ».  

Elle le laissa entre les mains ou plutôt sur le phallus dressé du bon Docteur et s’intéressa au contenu des étagères de la pièce. Des drôles d’objet qu’elle n’avait jamais vu. Une sorte de tube avec un anneau à la base. Un ensemble de ceintures de cuir muni d’un olisbo. A force de les manipuler dans tous les sens, elle comprit un peu leurs utilités mais elle avait besoin d’explications.

Le Docteur finit par exploser à la fin de son abus et laissa un Charles de Saint-Esprit complétement anéanti qui plut beaucoup à Anne-Amédée. Elle laissa le Docteur reprendre son souffle. Il était tout rouge de jouissance. Puis elle reprit l’initiative de la discussion sur les objets de l’étagère.

- Dites-moi à quoi servent ces étranges contraintes sur l’étagère.

- Ah vous les avez remarqués ? Quoique cela ne m’étonne pas, vu votre tempérament volcanique. Le premier est un appareil anti-pollution intime du 19ème siècle que j’ai acquis récemment. Le second vient d’une maison close de la Nouvelle Orleans. C’est un sexe de remplacement entre les filles. 

- C’est bien ce que je pensais. Montrez-moi un peu comment marche le dispositif anti-pollution intime… non pas sur vous… sur mon mari… humm j’ai compris… non laissez-le en place, c’est parfait… Bon, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais vous emprunter les deux… le premier car cela l’empêchera de me tromper avec sa main dès que j’ai le dos tourné… j’entends qu’il le porte en permanence… le second me donne pas mal d’idées. Mais chut c’est mon jardin secret !

- Comme…comme vous voulez, Madame.

- Vous avez un autre traitement à faire cet après-midi ?

- Non.

- Bon je vous laisse mon mari jusqu’à ce soir. Laissez-le un peu dans ses contraintes, il en a besoin pour réfléchir, et si cela vous dit de recommencer son traitement une seconde fois, libre à vous. Je n’y accorde aucune attention. Vous me le renverrez ce soir. Moi je vais m’amuser cet après-midi ! Et vous direz à votre secrétaire de m’appeler demain pour prendre date pour un nouveau rendez-vous… pour le traitement de mon mari.

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2013 - dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Vendredi 3 mai 5 03 /05 /Mai 09:10

L’homme émerge doucement de son sommeil avec une étrange sensation d’humidité autour du sexe.  Dans les brumes du réveil, il met un moment à comprendre, mais il lui est bientôt clair qu’une bouche est descendue entourer son pénis d’un fourreau chaud et accueillant. Il est encore en demi-érection mais la bouche progresse si langoureusement vers la racine de la hampe que la bête s’éveille elle aussi et prend bientôt toute sa dureté. Les lèvres luttent un instant face à la turgescence mais finalement doivent céder et reculer devant le vigoureux bélier. Elles s’immobilisent autour du gland et la pointe titillante de la langue reprend l’initiative, vient entre-ouvrir le méat avant de détailler la base de couronne. L’homme sent se former au cœur de son ventre cette tension qui annonce tant de plaisir à venir. La langue insiste lui arrachant un premier soupir. L’homme tente de relever la tête pour voir l’être aimé, mais ne voit que les formes qui ondulent sous le mince drap en ce matin de chaud printemps. La bouche laisse s’échapper le fier phallus pour lécher amoureusement l’extérieur de la hampe. Elle finit son affolante descente sur les deux petites boules dont elle décrit les contours sous leur sac protecteur. D’ailleurs l’un des bulbes vient d’être malicieusement gobé en bouche. L’homme frissonne alors que les dents se resserrent sur leur proie. Il recherche à tâtons sous le drap le contact avec son Amour. Voilà la rondeur d’une fesse. Voilà le doux toucher d’une peau tendre qu’il caresse amoureusement, avant que, de son doigt malicieux, il déniche la rondelle cachée au creux du sillon, jouant de l’élasticité et massant amoureusement la bordure. La bouche, surprise de la teneur de la contre-attaque, est désorientée et laisse échapper sa prise. Le temps d’un bruit d’appréciation sous le drap et voilà de nouveau que les lèvres se repositionnent délicatement autour du gland gonflé d’excitation que la langue affole de petits coups rapides. Des doigts viennent masser les boules qu’elles font rouler l’une sur l’autre. L’homme se laisse aller aux multiples caresses et ressent sa machine interne s’emballer maintenant. La bouche, qui a manifestement décidé de faire avancer les choses, commence un va et vient le long de la hampe. Le gland frotte contre les muqueuses de la joue.  A ce rythme, l’homme halète vite en cadence. Il sait qu’il ne tiendra pas longtemps et que toute résistance est vaine.  Déjà la charge est prête à exploser dans le barillet. La bouche ressent que le dénouement est proche, qu’elle a l’homme totalement en son pouvoir.  Un doigt féminin embroche d’autorité l’anus de l’homme. Au dernier instant avant l’apothéose, la suceuse enfourne profondément dans sa gorge le pieu enflammé pour recueillir la liqueur de mâle. Un dernier soubresaut et les vannes cèdent brutalement dans un long râle de l’homme. La semence épaisse fuse dans le fourreau accueillant.  La femme finit de quelques caresses élégantes de vider les dernières gouttes, alors que déjà le pénis perd sa fierté dans la bouche chaude et humide...

- Bonjour mon chéri. Alors tu as aimé ?

- Bonjour mon Amour. Oui… merci ! Quel réveil ! 

La femme, Anne, se déplace pour venir embrasser amoureusement son compagnon d’un de ces longs baisers profonds. L’homme, Charles, l’accueille d’abord avec plaisir et reconnaissance, avant d’être surpris par le goût amer de sperme qu’elle a gardé en bouche. Il cherche à se détourner et mettre fin à ce partage inacceptable pour lui. Mais elle ne lui laisse pas le choix. Déjà sa langue essaye de mélanger avec entrain leurs fluides. Il reste inactif refusant de tout son être ce qu’elle lui tente de lui imposer. Du moins jusqu’au moment où une main autoritaire vient le rappeler à l’ordre d’un broyage de couilles bref et intense. Anne fait durer le baiser pour être sûre qu’il a bu sa lie et ingurgité sa part de honte…

- Tu sais bien, mon chéri, que je n’aime pas avaler et qu’il me parait normal que tu éprouves toi aussi les conséquences de tes cochonneries de petit garçon ! Allez ouste, hors du lit, cours nous préparer le petit déjeuner. Je pense que ce week-end de trois jours va être très soumis pour toi…

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Anne descend une demi-heure plus tard après une douche. Elle ne s’est pas habillée sous son peignoir. Dans la cuisine tout est prêt sur la table : tartines beurre/confiture et 2 mugs de thé et de café. Mais Anne tique. Trop vanille tout cela à son gout ! Alors elle remet les choses dans l’ordre :

- Qu’est-ce que c’est que tout cela ! J’ai dit un week-end de soumission mais le Club Med. Alors tu me vires ton mug et tu me sors ta gamelle ! Cornflake mouillé par le café que tu as préparé ! Cela devrait un bon premier repas de la journée pour mon toutou soumis ! 

Charles surpris par la tournure de la remarque, ne sait que dire et s’empresse de se conformer aux ordres de se Dame. Le voilà à quatre pattes, tout nu, ridicule et excitant à la fois,  e zizi de nouveau excité, en train d’essayer maladroitement de laper sa mixture du petit déjeuner aux pieds de sa Maîtresse.  Anne contemple avec plaisir la scène. Elle décide de l’humilier en lui caressant la nuque.

- Humm c’est bon tout cela ! Et il va tout manger comme un bon toutou obéissant à sa Maîtresse !

Anne adore le voir rougir sous ses remarques humiliantes mais là aucune méprise : la magnifique érection qu’il arbore depuis qu’elle a donné son ordre montre sans aucun doute possible oh combien la situation l’excite. « Très bon présage pour ce week-end… » se dit Anne, presque envieuse. Elle regarde son soumis lutter avec la gamelle.  « Ce n’est vraiment pas adapté avec une morphologie humaine… ».

A un moment la femme décide qu’il est temps de lancer la discussion.

- Tu sais, mon chéri, que je suis allé voir, le week-end dernier, les sites que tu regardes sur ton ordinateur dès que j’ai le dos tourné…

Alerte rouge ! Il doit répondre à tout prix.

- Oui, Maîtresse… Et…

Anne note le « Et » plein d’inquiétude et d’appréhension avant de reprendre

-Et donc… j’ai été surprise parce ce que j’ai vu… Tant de tortures et de Maîtresses implacables… Et je ne pensais pas que certaines pratiques te plaisaient autant, ni pour certaines qu’elles existaient. Je sais que tu dis que le BDSM fait partie de ton équilibre d’homme. Pour la première fois, face à l’infinité de tes envies, j’ai saisi que j’ai beaucoup de mal d’être  à la hauteur de tes attentes ! Je ne suis pas comme ces Maîtresses qui te font tant d’effet à la bite. Je ne te méprise pas assez et je suis encore trop amoureuse de l’homme que j’ai épousé.  J’ai vu ta vidéo favorite que tu regardes tous les jours, celle où le soumis se fait durement fouetter devant le chalet de montagne. Je vois qu’elle te fascine même je ne comprends pas totalement pourquoi. J’ai essayé de m’imaginer à la place de la jeune Maîtresse sadique avec le fouet, mais non, définitivement non, je n’arrive pas à me voir à la place de cette fouetteuse !

Charles l’interrompit d’urgence.

- Mais je n’ai pas besoin de cela. C’est juste des fantasmes. Rien qui nécessite de devenir réalité… 

- Es-tu bien sûr de cela, mon chéri ? Tu m’as initié au BDSM et, oui, j’ai aimé dès le départ avoir mon homme en mon pouvoir et la variété que cela apportait dans notre sexualité. Mais de là en faire un style de vie… non, ce n’est pas mes fondamentaux, pas pour cela que je me suis mariée ! Et pourtant malgré tous les séances que je t’ai amoureusement offertes, moi en Maîtresse, toi en soumis, j’ai toujours l’impression que cela ne te suffit jamais, qu’il t’en faut plus et que cela je te l’apporte pas…

- Non tu t’occupes de moi comme il faut, mon Amour !

- Le crois-tu ? Tu es toujours à moitié déçu de ce que je te fais. Tu ne me reproches rien sur le moment, mais cela finit par sortir. Je ne te bats pas assez fort avec le fouet, je ne sors pas assez souvent le gode-ceinture, je ne m’occupe pas assez de toi quand tu es en cage. Il t’en faut toujours plus et maintenant que j’ai vu ce qui t’excite tant, je comprends pourquoi je ne tiens pas la comparaison...

- Je t’aime comme tu es mon Amour. Tu es parfaite ! Et puis si des jours c’est vrai que la soumission exigeante me fascine, la plupart du temps je suis heureux de ma liberté… de faire ce que je veux quand je veux…

- Oui mais tes démons reviennent toujours te torturer. Au départ nos jeux BDSM étaient pour nous qu’une fantaisie sexuelle, rappelle-toi. Maintenant c’est devenu comme une obsession chez toi. Je vois bien que tu n’es pas pleinement satisfait de ta vie intime. Toujours à la recherche de quelque chose d’autre que tu n’obtiens pas, sans que j’arrive à déterminer, si tu es en demande de soumission ou si tu as un besoin de pratiques sexuelles extrêmes. En tout cas, de plus en plus, je te vois t’isoler dans ton coin. Je crains que tout cela finisse par nous séparer pour le malheur de nos enfants… Alors…

Charles sursauta soudain inquiet au dernier mot. 

- Alors… ?

- Alors je veux savoir ce que tu es au fond de toi-même car je t’aime et je ne veux pas te perdre. Je dois t’aider à y voir clair. Je t’ai délaissé ces dernières années avec nos jeunes enfants, mais je veux essayer de resserrer nos liens qui se sont distendus, pour que notre mariage perdure. Alors j’ai décidé que je vais t’offrir une des choses que tu désires le plus, du BDSM dur que je ne suis pas capable de t’offrir pour le moment. Je ne sais pas trop ce que cela donnera. J’espère seulement que cela te permettra d’y voir plus clair dans ton esprit.

- Tu m’inquiète Anne. Que… que vas… vas-tu faire ? 

- Je t’ai annoncé, Charles, un long week-end de domination – et cela sera sous la forme exigeante à laquelle tu aspires tant – mais ce week-end, tu ne vas pas le passer avec moi, quoiqu’il m’en coûte…

- Comment-cela pas avec toi ? 

- Eh bien disons que j’ai imaginé … de demander à une autre, beaucoup plus douée que moi, de te faire gouter en ma place les abus que je ne sais pas faire. J’envisage de  te prêter ce week-end à une vraie Maîtresse, digne de tes rêves. Une qui saura te montrer en live tous les avantages et les inconvénients d’une vie de soumission, en un minimum de temps, pour t’aider toi à savoir ce que tu veux…

Charles toujours au sol lève des yeux pleins d’inquiétude vers sa femme.

- Mais tu… tu n’as pas le droit !

- C’est ce que je me suis demandé toute la semaine. Ai-je le droit moral de te faire subir ce que je ne voudrais pas que l’on fasse à ma personne ? Dans la vie normale, je dirais que non. Mais là il y a une autre dimension qui se rajoute, celle de la domination et de la soumission, qui vient à l’encontre, par nature, du libre arbitre que chacun possède. Tu te dis soumis, donc fatalement l’acceptation de perdre ta liberté personnelle découle par nature de ton statut. Alors j’ai décidé en mon âme et conscience que j’avais le droit intrinsèque te faire endurer cela. Ce n’est pas comme cela que cela doit se passer dans ce type de relation ? La Maîtresse décide et le soumis obéit ? Et là reconnais, mon chéri, que j’ai pris une vraie décision de Dominante aussi engageante pour toi que pour moi. Si tu te veux être soumis finalement, tu dois évidemment obéir, sinon  on passe à autre chose…

Charles regarde sa femme les yeux incrédules.

- Mais… mais je ne t’ai jamais confié ce droit…

- En fait si, ce droit je l’ai… techniquement… C’est écrit dans le contrat que tu m’as fait signer l’an dernier… C’est l’article 17 rappelle-toi… La Maîtresse est libre de prêter son esclave à tout autre Dominant de son choix sans qu’il puisse s’y opposer…. Tu m’as trop souvent reproché de ne pas tenir compte de ton contrat de soumission… Alors là tu ne vas pas être contrarié parce que je l’ai lu et appliqué ?

- Oui… mais c’était entre nous ! Juste pour nous ! Pas comme cela !

- Je ne te comprends pas…  Tu me bassines à longueur d’année que je ne tiens pas compte de ton contrat de soumis et quand j’en suis les termes, cela ne te va pas… Tu trouves ta Maîtresse de femme pas assez dure à ton goût et quand je décide de confier ton dressage aux mains d’une Vraie Maîtresse, tu rechignes… Que veux-tu à la fin ? Etre soumis ou non ? Vivre ton BDSM ou non ?...ou continuer à te plaindre sans cesse…  plutôt que d’agir… ou de te conformer  à tes désirs profonds ?

Le dernier argument semble faire mouche. L’homme baisse sa tête. Anne en profite pour venir le rassurer de caresses dans le cou. Elle continue plus doucement.

- Bon maintenant le choix est le tien. Soit tu veux essayer de vivre à fond ton côté BDSM,et pour cela je t’offre un week-end de pur SM avec une autre par pur amour, et surtout pour voir ce aussi que cela donne, comme au poker. Soit tu te dégonfles, et je le comprendrai mais il va falloir que tu arrêtes, chaque mois, avec tes remontrances de soumission non assouvie. Il faut que l’on bouge. Nous ne pouvons pas rester là, mal à l’aise, entre deux eaux.  Qu’est-ce que tu veux au fond de toi, finalement ?  Décide-toi enfin ! 

Le chéri reste silencieux. Anne voit bien qu’un conflit  se déroule dans sa tête. Elle ne dit plus rien et attend le verdict.

- Ok j’accepte que tu me prêtes à cette Maîtresse… puisque je t’en ai donné le droit… par le contrat… pour voir aussi… et en espérant que cela ne casse pas notre couple…

Anne est finalement rassurée que tout ne soit pas imagerie et fantasmes chez Charles. Elle l’a craint toute la semaine. Mais là Charles vient de lui prouver qu’il est cohérent dans ses envies ! Et pour cela, elle l’aime encore davantage. D’ailleurs, elle note que la décision a ragaillardi le pénis de Charles entre les jambes. Ce week-end de séparation va être dur pour elle.

- Et cette Maîtresse tu l’as connue où ?

- Sur internet, où j’ai expliqué notre situation en impasse. Elle m’a répondu et proposé son aide. J’ai accepté quand elle m’a dit qu’elle était une Maîtresse très réputée qui vit très bien… disons… de son art particulier. J’ai voulu la payer pour cela, mais elle n’a pas voulu. Pour toi, cela sera gratuit. Elle veut vraiment nous venir en aide...

- Tu me fais peur… une Maîtresse très réputée ?

- Oui une de celles que tu regardes en permanence sur l’ordinateur. Cette Maîtresse va s’occuper ce week-end de toi et t’en faire baver comme tu l’as toujours voulu ! En fait, la plupart du temps, cela ne sera pas elle – elle est souvent occupée - mais une de ses élèves douées en devenir… une très jeune asiatique, comme tu aimes manifestement les mater,  belle beauté, peut-être 17 ou 18 ans et déjà si cruelle avec les hommes soumis pour ce que j’ai vu sur la vidéo. Et je suis sûre que tu seras interloqué, comme moi, par son côté petite peste avec les hommes ! 

- Com… comment s’appelle cette Maîtresse?

- Je ne te dirais pas son nom car je pense qu’il est mieux que tu ne le saches pas. Cela ajoutera de l’inquiétude donc du piment à ton week-end. D’ailleurs moi-même en solidarité j’ai demandé à ne pas connaitre le lieu où tu seras amené. 

- Tu vas me confier à une autre femme sans savoir où j’irai ?

- Oui.

- Et cela ne t’affole pas ?

- Non je ne le crois pas. J’ai y ai pas mal réfléchi et cela me parait un bon piment de situation pour nous deux, quelque chose que nous partagerons à distance. Tu ne seras pas sûr d’être libéré et je ne serai pas sûre que tu me reviennes.  Mais il faut se dépêcher, ils arrivent dans trois quarts d’heure pour te prendre. Va me chercher le colis sous l’escalier mon Amour…

- non je ne…

Anne lui balance malicieusement une claque d’avertissement.

- Tu ferais mieux d’apprendre déjà à te taire et à obéir sans rechigner. Je ne pense pas que là-bas tu t’en tireras qu’avec une simple gifle…. 

Charles revient avec le paquet demandé.

- C’est arrivé hier par Chronopost. Passe-moi une paire de ciseaux mon Amour que je vérifie le contenu… humm… tout semble y être.  Ah oui la cage…

Elle lui demande de se rapprocher à genoux devant elle.

- J’ai pas mal discuté avec V...  la Maîtresse à qui je te prête pour préparer le programme de ton séjour. Nous n’étions pas au départ du même avis quant à ton sort, mais, disons, que sa ligne très dure l’a emporté et qu’elle m’a convaincu. C’est une Maîtresse qui est réputée pour ses pratiques exigeantes et assez extrêmes. Très douée aussi à obtenir ce qu’elle exige de ses soumis et soumises. Nous nous sommes finalement mises d’accord pour qu’il te soit montré un concentré des méchancetés et tourments qu’une Maîtresse peut infliger à un soumis pour le dresser et le faire obéir. Prépare-toi à en baver un max ! Mais cela me semble la bonne voie pour tuer une fois pour toute l’image romantique que tu as de la soumission et arriver au cœur de ton problème. Un exemple édifiant est la cage que tu vas y porter. De toute façon, les soumis mâles sont toujours strictement encagés chez Elle et j’ai compris qu’une libération temporaire n’annonce jamais rien de bon pour le porteur…  tu as vu c’est un modèle bien différent que la cage que nous avons… tout en métal… lourde…. Et là je vois plusieurs pointes acérées que l’on peut faire apparaitre à l’intérieur de la cage… si tu n’es pas suffisamment sage ou juste pour le plaisir… une vraie arme de dressage cette cage en fait… 

Charles ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil inquiet à la cage. Elle le laisse faire. Quand il relève enfin les yeux, Anne peut y lire un soupçon d’appréhension.

- Elle a l’habitude d’un petit jeu cruel avec ses soumis... au moment de les quitter, elle leur pose une énigme… ils ont une minute de réflexion et ne peuvent donner qu’une unique réponse... Si elle est juste, elle leur libère le zizi immédiatement… Si elle est fausse, elle leur laisse leur cage pour les 100 prochains jours, période incompressible sans sortie possible… d’ailleurs la cage est munie d’une serrure spéciale dont elle possède seule la clé. 

- Tu me fais peur là !

Elle lui prend le menton pour le forcer à la regarder les yeux dans les yeux.

- C’est fait pour, mon chéri. Sauf que j’ai demandé à changer les règles du jeu. Pour toi, il n’y aura pas de question. Quoi qu’il se passe là-bas et même su tu décides rapidement de mettre fin à tes envies de soumission… cette cage tu vas la garder pour les cent prochains jours sans possibilité de sortir puisque j’en n’ai pas la clé. De toute façon, tu me reproches toujours de te libérer trop tôt… Tu auras donc cent jours pour réfléchir à ce que tu veux vraiment pour toi et pour notre avenir de couple. De mon côté, je m’engage d’essayer de devenir, pendant cette période, cette Maîtresse exigeante que tu appelles de tes vœux. Tu me garderas les enfants le dimanche pendant que j’irai, disons, me perfectionner auprès de cette Maîtresse expérimentée.

Charles reste silencieux, les yeux embués de larmes avec ce qui ressemble – du moins Anne le juge ainsi - à une petite lueur d’espoir. Elle continue donc.

- Pendant ces 100 jours, les conditions seront contraignantes pour toi. Tu iras dormir dans la chambre d’ami, pas plus d’une heure par jour sur ton ordinateur et je mettrai en place le contrôle parental pour t’interdire d’aller voir ne serait-ce qu’une photo de sexe, tu ne me verras jamais nu et je compte que tu participes beaucoup plus à la vie de la maison, ce qui devrait t’occuper l’esprit. Je ne battrai pas, mais je jugerai à tes efforts ta volonté d’engagement. Puis à la fin des 100 jours, nous retournerons ensemble voire notre Mentor. Je me suis déjà arrangé pour que mes parents gardent les enfants. Tu seras convoqué dans la salle d’audience et tu m’annonceras clairement devant témoins ce que tu auras décidé finalement. Soit tes envies de soumission te seront passées, tu auras le sexe libéré, et nous retournerons chez nous, mais attention, il ne sera jamais plus question de D/S à la maison. Soit ton besoin de soumission sera confirmé, et là je deviendrai ta Maîtresse. Je te remplacerai la cage par une de mon choix et je commencerai ton dressage effectif. Dans tous les cas, tu dois comprendre que si tu acceptes cette proposition, ce matin, c’était ta dernière éjaculation avant bien longtemps… désolé, mon chéri. Alors que décides-tu, je te la mets ou pas cette cage ? 

Anne laisse le temps à Charles de réfléchir et attend patiemment la fin de ses réflexions. Et la décision tombe dite d’une voix faible et hésitante.

- Maîtresse… Anne…, auriez…vous… l’obligeance… de…de  mettre en cage… le zizi… de votre… mari… soumis ?

Anne est à deux doigts d’éclater de rire face au ridicule de la phrase. « Mince, il va falloir que je m’habitue à cela aussi ! C’est sans doute une des phrases les plus importantes de sa vie…». Elle jette un coup d’œil à l’entrejambe de l’homme.

- Et bien cette cage a l’air de te faire peur ! Te voilà tout ramollo du zizi… cela va me faciliter les choses pour la mettre en place… j’ai craint à un moment que cela soit plus compliqué… Lève-toi que je fixe le tout.

- Si je suis encore vivant après l’épreuve de cette veuve de Nuremberg !

Ce fameux humour noir, qu’elle a toujours beaucoup aimé chez Charles, qu’il utilise là en dérivatif d’une situation angoissante. « Oh que je t’aime mon Amour ! Mais il est nécessaire d’en passer par là ». 

La cage est promptement montée et refermée autour du sexe de l’homme, beaucoup plus facilement que leur cage en plastique actuelle. Le reste, Anne, a voulu l’éviter, mais sa conseillère en mariage D/S a insisté pour qu’elle le fasse elle-même, pour assoir sa détermination. Elle prend donc la clé alène dans le carton, et enfonce une à une les pointes jusqu’à qu’elles pénètrent de un ou deux millimètres dans la peau. Les yeux de Charles sont maintenant aux bords des larmes. « Pauvre chou, mais c’est pour nous que je fais tout cela… ».

Anne regarde l’heure à la pendule de la cuisine. Encore 30 minutes. « Il ne faut pas perdre de temps ». Elle sort du carton un ensemble complet de collier et bracelets de métal. Elle se sent soulagée que l’affrontement soit terminé et que Charles accepte finalement de se plier à ce qu’elles ont organisé pour lui sans trop de difficultés. Bien sûr, elle n’est pas dupe : la perspective de rencontrer en live une Maîtresse professionnelle, une de celles qui le fascine sur internet, a beaucoup porté dans la décision de son homme.  Tant mieux, si cela peut aider à enfin décanter les choses. « 100 jours pour que le couple change et survive ! »

- Donne tes poignets… que je te passe les bracelets…  oui je sais il n’y a pas de serrure… en fait seule la Maîtresse, chez qui tu vas, pourra te les enlever… comme la cage… j’ai compris que cela marche comme les antivols de magasin et qu’il faut une machine spéciale pour l’enlever… l’autre poignet… bon les pieds maintenant… reste sage…

Les chevilles sont vite aussi équipées du même type de bracelet.

- Reste plus que ton collier de soumis pour le week-end. Met-toi à genoux devant moi. Tu as vu, il porte le numéro 672 gravé dans le métal. Te voilà sur le point de devenir officiellement le 672ème soumis à tomber sous la coupe de cette Grande Dame ! …. Tu imagines quand même 672 hommes – et quelques femmes - soumis à ses pieds ! Mon palmarès d’amants avant de se connaître n’était pas si fourni…hi, hi… allez baisses la tête  que je puisse refermer le collier autour de ton cou…

Le collier est composé de 2 parties articulées qui se referment avec le même type de serrure sans clé visible. Clic-clac et le collier est fixé.

Il est plus temps de signer les papiers pour le prêt puisque Charles a accepté de se conformer à la procédure prévue.

- D’abord les documents…  apporte-moi un stylo sur le buffet…

L’homme obéit. Il regarde Anne relire attentivement les 3 feuillets. Puis elle les signe, page par page, avant de les mettre dans une grande enveloppe noire qu’elle scelle.

- C’est le contrat de prêt. Il définit les droits que je délègue pour un temps et fixe les limites. D’ailleurs toi aussi tu dois le signer… approche toi de la table…

Sur la table, Charles voit que l’enveloppe a une découpe qui laisse apparaitre, dans l’encadrement, un bout de feuille sobrement intitulé consentement du soumis.

- Ok tu écris la phrase suivante…. Je consens de ma propre volonté à… tu y es ?... à tous les termes de ce… Tu hésites car tu ne sais pas ce qu’il y a dedans ? Et oui c’est normal tu es un soumis et un soumis n’a pas à savoir à quelle sauce il va être mangé ! Allez dépêche-toi, tu vas nous mettre en retard…tous les termes de ce contrat… et tu rajoutes… pour valoir ce que droit… et tu dates et signe de ton vrai nom… Terminé ? Ok bon une bonne chose de faite. Allez la suite, il faut finir de te préparer…

Elle retire du carton une épaisse combinaison de cuir intégrale.

- Ils appellent cela la combinaison de transport. J’ai essayé d’obtenir une dérogation sur ce point mais ce n’est négociable : tu dois t’y plier comme tous les autres. Tout ce que j’ai réussi à obtenir c’est que je te la passe moi-même et que je ne te livre pas tout nu avec tes bracelets et colliers. Je ne voudrais pas anéantir notre réputation dans le quartier. Mais pour le reste, aucune autre faveur. Je n’aurai aucun contact avec les gens qui viendront te prendre. A l’heure dite, je te mettrai devant la porte de la maison, la camionnette arrivera et t’emportera loin de mes yeux. Je récupérerai juste le bon de prise en charge sur le palier après ton départ. Tu vois là et là, les deux anneaux qui serviront à te suspendre comme un paquet debout dans la camionnette. J’ai donc reçu hier une vidéo me montrant comment te mettre la combinaison.

- Au fait, tu as fait pipi ce matin, Charles ?

- Oui en me levant….

- Alors retourne y tout de suite que tu ne sois pas incommodé pendant ton voyage. 

Il obéit et revint une minute après.

- J’espère que tu ne t’es pas branlé dans les toilettes ? Ah oui… j’oubliais tu ne peux plus pour un long moment…

Et Anne éclate d’un fou-rire presque nerveux qui contamine finalement Charles. . « Que tout cela apporte un flot d’émotions… »  Une fois calmés, il est temps de procéder.

Elle lui tend d’abord une épaisse couche culotte qu’elle lui ordonne d’enfiler.

- Ils n’en mettaient pas au début, mais il y avait trop d’accidents pendant le transport, qui si j’ai bien compris sera assez long. Allez essayons de passer la combinaison maintenant… mince… j’ai oublié… rebaisse ta couche !

Anne vient d’oublier le porte plug à mettre sous la couche. 

- Mains sur le sol et tend-moi ton cul mon chéri que je te le mette... pas le temps d’aller chercher du gel… cela sera à l’huile de cuisine : tu sentiras la friture mon chéri pendant ton voyage. Désolé.

Le plug en métal est assez large mais pas très long. Sa longue base étroite permet une bonne prise en cul. Anne lutte un moment pour lui faire avaler l’engin même lubrifié mais il finit par rentrer et se mettre en place. Elle passe alors la ceinture de maintien autour des cuisses et de la taille de son soumis, un modèle pour soumis mâle se séparant en deux pour passer de chaque côté du sexe encagé. Pour finir, le plug s’encastre d’une manière astucieuse dans la ceinture et le tout se verrouille dans le dos du soumis.

- Respire ! Car on m’a prévenu que la suite est moins agréable et comme j’ai demandé à te mettre moi-même la combinaison je vais devoir te faire souffrir un peu. Attention, voilà le premier moment désagréable…

Anne appuie sur un bouton à l’arrière du plug. Celui-ci se déploie immédiatement en 4 quartiers d’orange dans le rectum de l’homme qui pousse un long beuglement. Elle le laisse un temps reprendre son souffle avant de continuer. Puis elle verrouille au plug un câble électrique qu’elle relie à un étrange boîtier. Elle finit en remontant la couche culotte.

- Le rôle de ce plug est de rappeler à l’ordre tout soumis pas sage pendant le transport en lui envoyant une décharge électrique dans le cul. Il m’a été dit de te dire qu’il n’y aura aucune hésitation dans son utilisation et que toute agitation ou bruit sera immédiatement sanctionné. La procédure demande aussi qu’après cet avertissement, l’effet punitif te soit montré en guise d’avertissement. 

- Non ne me fais pas subir cela, mon amour !

- Je crois Charles qu’au point où nous en sommes, tout cela nous dépasse déjà et que nous n’avons pas le choix. Allez soyons courageux ensemble. Agenouille toi et met ta tête entre mes cuisses. C’est bien, mon chou… Allez à 10, j’appuie. 1… 2… 3… 4…

Avant 5, Anne appuie sur le bouton, comme elle l’a décidé pour le prendre au dépourvu. Le corps entre ses jambes se tend avant de se tordre dans tous les sens, l’obligeant à libérer son étreinte. Charles halète de douleur pendant un moment cherchant à reprendre son souffle, prostré sur le sol.

- Mince quelle violence ! Je suis désolé mon chéri. J’espère pour toi que tu seras suffisamment sage dans le camion pour ne pas subir cela à nouveau… Mais là il faut vraiment que l’on se dépêche. Mets-toi debout et passe la combinaison…

Anne le regarde lutter un moment avec la combinaison avec les jambes qui se terminent par des chaussons de lourd cuir, avec les bras qui faut enfiler par devant. Puis Anne prend le relais, réajuste d’abord le tout, passe l’extrémité du câble électrique du plug par une ouverture et installe le boitier d’alimentation dans une poche prévu au niveau du bas du dos. Puis elle remonte la solide fermeture dans le dos avant d’attacher une à une les multiples sangles de cuir. Bientôt le corps est étroitement sanglé depuis les jambes réunies jusqu’à la taille. Les bras de Charles sont immobilisés sur le devant, par les longues manches qui se verrouillent derrière comme pour camisole de force. Anne termine en resserrant la combinaison autour du cou de Charles.

Le téléphone sonne alors dans la poche du peignoir. Un Sms. Anne regarde l’appareil avant de le reposer.

- Moins dix minutes, ils arrivent dans dix minutes t’emmener… allez en avant vers la porte de derrière. J’ai dû normalement laisser assez de mou en bas pour que tu puisses avancer.

Charles peut avancer mais à tout petits pas. Résigné il se dirige lentement vers la porte, pendant que sa femme récupère les derniers accessoires dans le carton. Elle le rejoint, lui prend la tête et l’embrasse à pleine bouche pour un long baisé amoureux. Elle lui demande de sortir sur le palier la porte arrière la mieux abritée des regards indiscrets des voisins heureusement. Là elle finit d’attacher ensemble les chevilles, immobilisant complètement le soumis.

- Allez c’est le sprint final. Ouvre la bouche que je te bâillonne, cela fait aussi partie de la procédure de transport. Tu auras aussi un casque qui t’empêchera d’entendre quoi que soit et bien sûr pas question de voir quoi que cela avec la cagoule.

- S’il te plait, mon amour !

- Non trop tard. Plus le temps. Ouvre la bouche ! Ouvre grand… ou j’appuie sur le bouton du plug !

Il obéit à contrecœur. Bientôt une grosse boule percée vient empêcher toute tentative de parole. Impossible à recracher aussi, vu le harnais qui maintient en place et le fait qu’elle se gonfle légèrement pour s’appuyer contre les mâchoires. Anne regarde l’heure.

- Il reste 6 minutes. Juste le temps de parler un peu. Je veux que tu saches certaines choses avant d’être emmené loin de mes yeux. Quand j’ai préparé ton séjour chez ta Maîtresse de prêt, je ne savais pas où mettre la barre. Nous avons longuement discuté de ton cas, et Elle m’a convaincu que la meilleure chose à faire est de te montrer qu’être soumis n’est pas si innocent que cela, loin du fantasme que tu as. Au départ, je penchais plutôt pour une domination plus douce mais Elle m’a fait changer d’avis finalement. Je pense que c’est important que tu le saches quand, pour ne citer que cela, tu seras fouetté jusqu’au sang à ton arrivée, quand tes couilles seront clouées sur la planche ou quand ce beau black te perforera le cul. Que des horreurs que j’ai encore du mal à accepter et encore moins imaginer t’infliger. Mais je te promets de faire de mon mieux pour être capable bientôt de te faire moi-même la même chose. D’ailleurs je t’avoue que choisir la queue qui te prendra ton pucelage anal et jouira au fond de ton conduit, m’a beaucoup excité la chatouille. Tout sera filmé et que je te pourrai te voir presque en direct. Et je serai la seule, car il n’est pas question que tu fantasmes à ton retour sur ce que tu auras subi. Allez c’est déjà le moment de se quitter…

Charles les yeux effarés essaye de tout son être de protester. Mais aucun son n’arrive sortir de sa gorge et ficelé comme il est, il ne peut plus rien. Anne, dans ses pensées, lui met alors le casque sur les oreilles avant de refermer la capuche sur sa tête. Il ne peut plus parler, il n’entend rien, il ne voit rien : il est désespéré !

Anne le laisse seul et referme la porte. Trente seconde plus tard, une camionnette s’arrête devant chez eux. Quelques bruits et deux minutes après, Anne l’entend déjà repartir. Elle ouvre la porte : plus personne. Juste un papier qu’elle ramasse indiquant qu’un nouveau soumis vient d’être pris en charge…

- Oui Charlie, profite bien de ton week-end, mon amour ! Et du reste…

Anne revient dans la cuisine. Au passage, elle chiffonne puis jette le bon à la poubelle. Il reste un dernier document dans le carton. Un arrêt maladie de 15 jours au nom de Charles Lepetit. Arrêt de complaisanse bien entendu. Elle le complète, le glisse dans une enveloppe avant de rajouter l’adresse de l’employeur. « Il faudra que je le mette à la poste à l’aéroport… »

 «Que la vie est finalement étonnante. Il y a un mois tu ne voyais pas d’autre issue que le divorce avant de tomber par hasard sur ce site de dressage de maris. Cette Maîtresse Vériana connait son métier : au rythme prévu, Charles reviendra dans 2 semaines bien maté et déjà obéissant. Tu n’auras plus qu’à continuer son dressage à la maison. Et toi, ma fille, pendant ce temps, tu t’apprêtes à vivre une semaine de folie de ton corps en Grèce, dans une maison isolée au bord de la plage, avec le plus bel Apollon auquel tu n’as jamais rêvé. Un corps magnifique et si bien pourvu. Un vrai Mâle de remplacement – ou de consolation – si gentiment fourni par Vériana. Et comme tout cela est nécessaire pour devenir la Maîtresse exigeante que Charles désire tant, aucun remord à avoir... Oui, la vie est pleine de ressources ! »

2013 - dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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