Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 06:10

La limousine s’arrêta devant un immeuble haussmannien, boulevard de Metz. 

- Madame. Nous sommes arrivé au 87 boulevard de Metz comme demandé.

- Merci Victor. Vous rentrerez à l’hôtel particulier, cela risque d’être un peu long. Je vous ferai mander pour venir nous rechercher.

Madame et Monsieur de Saint-Esprit descendirent de la limousine. C’était le début de la matinée où la rue déjà grouillait de monde qui allait et venait selon la chorégraphie incompréhensible des villes modernes. Ils s’avancèrent devant la porte cochère du 87et pénétrèrent sous le porche élégant en pierre de taille. Deux cages d’escaliers opposées avec leurs grandes portes vitrée set les plaques étage par étage.  Madame de Saint-Esprit repéra leur destination  sur celle de droite.

Cabinet Médical Zubratchev
4ème étage

Madame était prête à s’engager mais Monsieur la retint par la manchette de son manteau Burberry’s à l’élégant tartan aux couleurs automnales.

- Attendez Anne-Amédée, je ne suis sûr que cela soit une bonne idée d’y aller…

- Ecoutez, Charles, cessez de faire l’enfant. Vous m’avez donné votre parole que vous ne feriez pas de scandale ou sinon…

- Non, vous…

Il ne put finir avant de recevoir un soufflet d’agacement de la main de son épouse. Il baissa immédiatement les yeux et rougit bien plus que la trace de la main.

- Donnez-moi votre poignet que je vous accroche à mon sac à main et contentez-vous me suivre en vous taisant.

Un lien de cuir fut sorti du sac à main Vuitton et vint s’attacher au poignet de Charles, qui n’avait maintenant plus de choix que de suivre au plus près son épouse. Ils prirent donc en attelage l’ascenseur jusqu’au 4ème étage et arrivèrent à l’accueil du Cabinet Médical Zubratchev, une pièce très élégante en boiserie.  Une femme au visage maigre et aux lunettes sévères, les accueillit derrière un bureau Louis XVI.

- Bonjour, Madame, bienvenue au cabinet. Que puis-je faire pour vous ?

- Je suis Madame de Saint-Esprit. J’ai pris rendez-vous pour mon mari.

- Ah oui, je me souviens de votre appel la semaine dernière. Pas de problème, je vois que vous êtes sur l’agenda. Par contre, le Docteur Zubratchev n’est pas encore arrivé. Vous êtes un peu en avance.

- L’exactitude est ma politesse habituelle.

- Tout à fait et cela se perd tellement de nos jours. Peut-être pourrions-nous profiter de ce moment pour réaliser l’admission et régler la question du paiement. Asseyez-vous, je vous en prie.

Anne-Amédée de Saint-Esprit accepta  l’invitation pour elle mais laissa son mari debout à côté du fauteuil. Elle lui demanda en premier lieu d’établir un chèque de 4.700 francs or au nom du cabinet qui fut immédiatement rangé dans un tiroir du bureau et répondit à l’admission.

- Alors avez eu du mal à convaincre, Monsieur, de venir ?

- Mon mari a montré quelques réticences au début. Mais rien que Joseph, notre Majordome, n’ait réussi à remettre en ordre sur ma demande. 

- Ne vous inquiétez pas, c’est classique dans ce genre de situation. Est-il allé à la selle, ce matin ?

- Je ne sais pas. Charles êtes-vous allez à la selle ce matin ?

Monsieur de Saint-Esprit répondit négativement en rougissant.

- Ce n’est pas grave. Je le signalerai à l’infirmière qui pourra régler tout cela. Dernière question : souhaitez-vous assister au traitement Madame  ?

- Je crois que oui si le Docteur Zubratchev n’y voit pas d’inconvénient. Je ne voudrais pas le gêner quand il opérera.

- Non ne soyez pas inquiète, le Docteur a l’habitude de la présence des épouses des patients qu’il traite. Cela ne la gêne d’aucune manière. Bon maintenant que tout est réglé, si vous voulez bien passer avec Monsieur dans l’antichambre.

Elle les introduisit dans l’antichambre, une pièce agréable et lumineuse. Un unique fauteuil Louis XVII, une table basse et dans un coin un porte vêtement. Madame de Saint-Esprit prit place dans le fauteuil après avoir libéré le poignet de son mari.

- Je vais aller prévenir l’infirmière. Voulez-vous un thé de Ceylan pour attendre l’arrivée du Docteur Zubratchev ? Je crains qu’il ait du retard ce matin.

- Volontiers pour le thé avec un nuage de lait.

La femme sortit en refermant silencieusement la porte de l’antichambre. De nouveau seuls, Charles tenta de plaider de nouveau sa cause auprès de son épouse.

- Anne-Amédée, c’est folie que ce que vous voulez m’imposer…

- Taisez-vous donc Charles ! Nous en avons déjà discuté et je ne reviendrai pas sur ma décision. Soyez-fort face à l’adversité comme vos ancêtres le furent en leur temps.

On frappa discrètement. Madame répondit.

- Oui entrez, je vous en prie.

L’infirmière arriva comme annoncé, une femme blonde assez forte.

- Bonjour Madame. Je suis Charlotte, l’infirmière du Docteur. Je dois préparer Monsieur.

- Je vous en prie, disposez de Monsieur comme bon  il vous le semblera.

- Si Monsieur veut bien entièrement se déshabiller. Il ne faudrait pas que Monsieur soit en retard pour son traitement.

Mais Charles refusa ostensiblement de bouger. Son épouse s’apprêtait à lui faire part de sa désapprobation, mais elle n’en eu pas le temps. Charlotte l’infirmière saisit l’oreille de ce Monsieur récalcitrant et entraina la tête vers le sol en causant un long cri de surprise douloureuse.

-  Monsieur voit bien qu’il est mieux de suivre mes directives immédiatement. Cela vaut mieux pour lui… Veuillez donc, Monsieur, enlever vos vêtements immédiatement… c’est bien… la chemise correctement mise sur le porte-vêtement… et les chaussures bien rangées... Oui vous devez aussi enlever pantalon et culotte… Arrêter de faire l’enfant. Votre pudeur ici n’a pas place dans ce cabinet médical…  Monsieur m’impatiente… Il est dans l’intérêt de Monsieur d’obéir vite ou Monsieur aura droit à cent coups de fouets si je dois le déculotter moi-même… Ah, Monsieur est enfin raisonnable… et enlevez donc vos mains ridicules … Ah vous m’exaspérer ! Je crois que vous méritez finalement une punition pour votre désobéissance, si Madame permet.

Madame le permit évidemment le sourire aux lèvres.

- que Monsieur se courbe au-dessus de la table basse et me tende son fessier. Quinze coups. Et comptez à voix-haute ou je recommence au début !

Charles de Saint-Esprit, quatrième du nom, dirigeant du tout puissant du groupe financier Escurior,  reçut alors, comme un vulgaire domestique, une avoinée donnée à la ceinture de cuir par une simple infirmière devant son épouse bien aimée qui acquiesça à la punition. Humiliant et cuisant, comme à chaque fois.

Il n’était pas cependant au bout de sa honte car il se retrouva bientôt un collier de cuir autour du cou, mains immobilisée dans le dos et tenu en laisse par la même infirmière, le sort réservé aux patients récalcitrants. Madame de Saint-Esprit approuva bien sûr tout ce traitement dégradant qui n’en finissait pas de l’avilir et donc de la ravir.

- Si Madame veut-bien excuser Monsieur. Le Docteur Zubratchev est très scrupuleux sur l’hygiène corporelle.  C’est mon rôle de m’en assurer avant l’application de son traitement. Madame retrouvera Monsieur dans la pièce de traitement dans quelques moments quand le Docteur sera prêt à procéder.

Et sur ce, elle entraîna Charles de Saint-Esprit, tiré par la laisse, dans une pièce adjacente.

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Plus tard, Anne-Amédée de Saint-Esprit venait de terminer cet excellent thé de Ceylan, quand le Docteur Zubratchev arriva enfin. C’était un homme d’une soixantaine d’année, assez petit avec une moustache grise lissée qui dégageait un charme étonnant.

- Madame de Saint-Esprit, je présume ? Enchanté de vous rencontrer. Je suis le Docteur Wladimir Zubratchev. Et je vous prie d’excuser mon retard. J’ai eu une urgence ce matin qui ne pouvait pas attendre. Une reprise d'après traitement...

- Enchanté de vous rencontrer. J’ai tellement entendu parler en bien de vous et de vos traitements par Madame de Fontanelle qui m’a conseillé de prendre rendez-vous avec vous pour mon mari.

- Ah oui. Madame de Fontanelle vient régulièrement au cabinet avec son mari qui a fait d’énorme progrès depuis que nous avons commencé son traitement.

- Elle m’a dit le plus grand bien de vos méthodes et m’a convaincu de prendre rendez-vous pour Charles.

- C’est donc la première fois que vous venez à mon cabinet ?

- Tout à fait, Docteur.

- Vous a-t-on expliqué la thérapie que j’emploie avec mes patients ?

- En grande ligne mais pas en détail, Docteur. J’ai vu le résultat sur son mari Henri et c’est étonnant les progrès qu’il a réalisés en quelques mois, sous votre conduite

- Eh bien ici, je soigne non les corps mais l’esprit. J’assure, par un traitement approprié, la paix dans les ménages et l’amour éternel de ces Messieurs pour leurs Dames. Avec un succès reconnu. Mais si vous êtes là, c’est que vous disposez déjà de prédispositions naturelles à assurer l’ordre dans votre ménage.

- Oui et ce depuis le début de mon mariage. Je me suis marié jeune avec Charles qui est plus âgé non par amour mais par intérêt. Il a été choisi pour ses qualités par Papa pour reprendre la direction de la société familiale. Mais quel piètre amant. Rassurez-vous je me console fort bien dans les bras d’autres hommes bien plus vaillants. Alors il m’est venu naturellement l’idée de le mettre à ma botte dpour l’amusement que cela me procure. D’autant que s’il n’est pas sage, fini de Monsieur le président de la société financière Escurior. Papa s’est assuré que je garde le contrôle de l’entreprise.

- Comment l’avez-vous convaincu de venir ici ?

Anne-Amédée de Saint-Esprit rit.

- Il ne le voulait pas au début. Alors je l’ai laissé entre les mains expertes de notre majordome qui sait être convainquant avec Charles, chaque fois que je lui demande. Une seule soirée sous son fouet, et il avait déjà abdiqué, lui le puissant président que tout le monde craint au bureau. Un faible dès qu’il s’agit de son intimité en fait, mais que je reconnais doué pour gérer mes affaires.

- Oui j’entends que vous êtes loin d’être une oie blanche. Savez-vous qu’elle est le but de la leçon d’aujourd’hui ?

- Mme de Fontanelle m’a expliqué qu’il s’agissait de lui enlever le côté trop viril en utilisant votre… si j’osais…

- Osez donc. Osez donc. Madame.

Anne-Amédée de Saint-Esprit s’amusait à exciter les sens du Docteur.

- …en utilisant votre sexe dans son fondement.

- Ah. Ah. C’est cela  par le fondement et par la gorge aussi. L’efficacité de cette première séance repose sur la surprise. Vous ne lui avez rien dit, j’espère.

- Oh que non. Je veux lui laisser la primeur de la grosse surprise. 

- Ah, je vois que votre amie vous a tout raconté sur mon pénis. Quel nom lui a-t-elle donné ?

- La colonne des Carpathes.

- Sacré petit cachottière d’Aymonde. Mais ce surnom lui va bien. Voudriez-vous, Anne-Amédée, le voir de près avant que je l’utilise sur votre mari ? Il est en grande forme depuis votre rencontre.

- C’est en partie pour cela que je suis venue aujourd’hui. Un mandrin exceptionnel à ce que m’as dit Aymonde qui en connait, comme moi, une garnison sur le sujet.

- Passons alors dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles. J’y ai un sofa confortable.

- Oui et vous me montrerez si c’est aussi terrible que cela de se le voir enfiler dans le derrière… juste pour partager un peu le sort futur de Charles.

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Pendant ce temps, le mari était attaché à une chaise, une bouée sous les fesses. Il avait été lavé au savon, séché, et avait déjà pris un premier lavement à la glycérine. Charlotte avait jugé que c’était insuffisant – et se doutant que le Docteur était fort occupé pour le moment – se décida pour un deuxième.

- Allez, soulevez les fesses, Monsieur, que j’introduise la canule à nouveau.

Charles de Saint-Esprit ne pouvait répondre. Il avait été bâillonné par précaution dès sa sortie de l’antichambre. Il n’aurait pas fallu qu’il dérange les ébats de Madame avec le Docteur. D’ailleurs dès qu’elle avait vu cette Dame, elle s’était douté de comment cela finirait avec le Docteur. La plupart du temps, cela se passait à la seconde séance de traitement. Mais là, Charlotte savait que Madame de Saint-Esprit était parfaitement consciente où elle mettait les pieds.

Le Monsieur refusait toujours de se laisser faire. Elle lui pinça un téton entre les ongles, jusqu’à une grimace de douleur le fasse céder. Elle put alors complétement rentrer la canule avant d’envoyer l’eau avec la glycérine.

Le Docteur insistait toujours pour que le lavement se fisse selon les normes. Elle commença donc à masser le ventre en cercles concentrique pour aider la progression du liquide. Mais tout cela lui paraissait déplacé, et il n’y aurait pas eu le bon salaire et le magnifique engin du Docteur qui le lui enfilait de temps en temps, elle aurait fait à sa manière beaucoup moins policée, et aurais mis l’homme au sol, tête contre terre, avant de lui enfiler la canule dans son derrière. Mais bon c’était comme cela. Elle avait aussi du mal à se faire à l’odeur nauséabonde qui envahissait la pièce quand le lavement était rejeté, mais le Docteur avait la phobie des traces sur son sexe quand il ressortait.

Le Monsieur grimaçait alors que le liquide l’envahissait de plus en plus loin et faisait pression depuis l’intérieur. Rien de nouveau, tous les autres avaient le même comportement. Savait-il déjà celui-là qu’il finirait fatalement en parfait petit toutou soumis à Madame que les domestiques ne se gêneraient pas pour enfiler par le cul à la chaîne ? Ils finissaient tous comme cela, une fois le traitement terminé. Pauvres hommes tombés sur la mauvaise femme…

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Le Docteur et Madame rentrèrent finalement dans la salle de traitement. Au centre trônait une espèce de banc auquel Charles était étroitement attaché, cul et sexe accessibles, et même la bouche outrageusement ouverte par un écarteur. Un bandeau l’empêchait de voir quoi que ce soit. 

Les deux nouveaux amants n’avaient pas pris le temps de se rhabiller. Ils arrivèrent donc dans la tenue d’Adam dans la pièce. 

- D’après-vous que dois-je m’occuper en premier chez votre mari. Vous le connaissez bien après tout.

Madame fut gré au Docteur qu’après les tutoiements voire les expressions familières pendant leurs relations amoureuses, il revienne au vouvoiement. Elle n’avait pas été déçue. Quel sexe fabuleux ! Et Anne-Amédée avait même eu beaucoup de mal à le prendre dans les fesses, ce qui quelque part la réjouit à l’avance de ce que Charles allait déguster.

- Je pense que vous devez procéder dans la bouche de mon mari en premier. Il en gardera le goût amer pour la suite.

Le Docteur Zubratchev se présenta mandrin fièrement dressé devant la dite bouche. C’était effectivement une pièce exceptionnelle, plus de 20 cm en longueur et au moins 6 en largeur. Le banc était conçu pour que le patient ne puisse se dérober à l’envahisseur. Et d’envahissement, il fut question. Monsieur avait beau hoqueter à plus finir, le Docteur utilisa sa gorge comme il utiliserait un vagin de prostitué, n’ayant aucune attention pour ses réactions, jusqu’à ce qu’il finisse par partir au fond d’une longue coulée amère. Une fois libéré de l’emprise, Monsieur ne put empêcher un refoulement gastrique qui tomba sur le sol. Madame en rit silencieusement.

- Lors des prochaines séances, ce genre de comportement répulsif sera interdit et votre mari sera forcé de ré-ingurgiter ce qui est sorti malgré lui. Il doit apprendre à accepter ce qu’il lui arrive, quoi qu’il lui arrive.

Le sexe du Docteur s’était recroquevillé après ce premier plaisir ce qui donna une idée à Anne-Amédée. Elle amena Wladimir devant elle et faisant pression sur ses épaules le força à s’agenouiller à ses pieds. Il pouvait sentir l’odeur du vagin en attente, devant lui. Il était quand même étonné de la hardiesse de ces femmes modernes – «  Tu te fais vieux, Wladimir » - mais répondit avec plaisir à l’évidente invitation et suça avidement la bouche pressée contre l’entrejambe par la main exigeante de la Dame. Elle jouit silencieusement.

L’heure du dépucelage était venue pour Charles. Madame s’en réjouissait d’avance sachant quelle taille de foret aller le perforer pour la toute première fois. Beaucoup de lubrifiant, quelques ajustements et un premier beuglement de terreur alors que le sexe l’envahissait. Anne-Amédée s’était placée à portée d’oreille de son mari : « Vous sentez, mon cher, comment ce sexe vous envahit ? Comment cela fait mal ? Comment c’est humiliant d’être pris par-là ? Il va falloir vous habituer à cela car fini la marionnette que mon père m’a mise sur les bras, ou plutôt si je vais dorénavant en tirer les ficelles. Dans votre beau immeuble de la société, vous serez toujours Monsieur le Président craint et respecté par ses pairs, mais chez nous vous serez ma prostituée personnelle que j’aurai immense plaisir à livrer à nos domestiques. Au majordome, Au jardinier que vous trouvez si affreux. Pourtant si vous saviez le beau sexe qu’il a. Au chauffeur aussi qui vous prendra le cul avant de vous emmener à votre travail. Bref à tout ceux qui voudront jouir de votre rectum. Vous entendez, Charles. Vous serez ma prostituée ! Et vous viendrez me lécher les mains comme un bon chien dressé ».  

Elle le laissa entre les mains ou plutôt sur le phallus dressé du bon Docteur et s’intéressa au contenu des étagères de la pièce. Des drôles d’objet qu’elle n’avait jamais vu. Une sorte de tube avec un anneau à la base. Un ensemble de ceintures de cuir muni d’un olisbo. A force de les manipuler dans tous les sens, elle comprit un peu leurs utilités mais elle avait besoin d’explications.

Le Docteur finit par exploser à la fin de son abus et laissa un Charles de Saint-Esprit complétement anéanti qui plut beaucoup à Anne-Amédée. Elle laissa le Docteur reprendre son souffle. Il était tout rouge de jouissance. Puis elle reprit l’initiative de la discussion sur les objets de l’étagère.

- Dites-moi à quoi servent ces étranges contraintes sur l’étagère.

- Ah vous les avez remarqués ? Quoique cela ne m’étonne pas, vu votre tempérament volcanique. Le premier est un appareil anti-pollution intime du 19ème siècle que j’ai acquis récemment. Le second vient d’une maison close de la Nouvelle Orleans. C’est un sexe de remplacement entre les filles. 

- C’est bien ce que je pensais. Montrez-moi un peu comment marche le dispositif anti-pollution intime… non pas sur vous… sur mon mari… humm j’ai compris… non laissez-le en place, c’est parfait… Bon, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais vous emprunter les deux… le premier car cela l’empêchera de me tromper avec sa main dès que j’ai le dos tourné… j’entends qu’il le porte en permanence… le second me donne pas mal d’idées. Mais chut c’est mon jardin secret !

- Comme…comme vous voulez, Madame.

- Vous avez un autre traitement à faire cet après-midi ?

- Non.

- Bon je vous laisse mon mari jusqu’à ce soir. Laissez-le un peu dans ses contraintes, il en a besoin pour réfléchir, et si cela vous dit de recommencer son traitement une seconde fois, libre à vous. Je n’y accorde aucune attention. Vous me le renverrez ce soir. Moi je vais m’amuser cet après-midi ! Et vous direz à votre secrétaire de m’appeler demain pour prendre date pour un nouveau rendez-vous… pour le traitement de mon mari.

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2013 - dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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