EN DIRECT DE LA FERME
8h03 Nous avons le témoignage dans nos archives que Maîtresse Flo aurait au moins déjà attaqué une fois son soumis en 2009. Nous continuons d'enquêter.
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8h03 Nous avons le témoignage dans nos archives que Maîtresse Flo aurait au moins déjà attaqué une fois son soumis en 2009. Nous continuons d'enquêter.
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MERCREDI
6h05 Yanode aurait été libéré. Selon notre source, les conditions de sa détention se précisent. Le prisonnier aurait eu droit à une couverture et l'hypothèse du portable oublié a l'air de se confirmer.
MARDI
23h35 Maîtresse Flo aurait oublié son portable dans le cachot. Information encore non vérifiée.
22h30 Selon nos informations, Yanode aurait été incarcéré la nuit dans un cachot selon la décision Maîtresse Flo. Personne ne sait ce qui est réellement arrivé hier pour l'instant. Mais on parle de fouet, d'orties et d'une agression de la Maîtresse sur la personne de son soumis. Aucun élément n'a filtré sur les éléments qui ont motivés cette attaque.
14h00 Cela serait l'heure du début de l'attaque. Aucun témoin oculaire à part les 2 protagonistes. Certains sur le web parlent de fouet, carcan et orties. Nous enquêtons. Pendant l'agression, Monsieur Yanode aurait été complétement déshabillé. Mais cela reste encore à confirmer.
12h05 Yanode coincé par Maîtresse Flo sans que l'on ne connaisse exactement les raisons. Un tweet d'origine inconnue est apparu. Selon nos experts, il y a 96% de chance que yanode en soit l'auteur. "Je crains le pire que ce soit sur la durée ou sur ce qu elle souhaite me faire , mais comme impossible de m y soustraire j ai plu qu a attendre ...."
12h01 Des voisins de la ferme rapportent que le carcan a été installé dans l'étable. Nous enquêtons.
Il y a des fois où je ferais mieux de me taire. C'était il y a quelques jours, le jour où mon frère jumeau a raconté son expérience de suppositoire au gingembre. Et bien sûr j'en ai parlé à N. Je disais à yanode le matin même que j'avais trouvé la racine de gingembre sur la liste de course et que donc cela allait chaufféer forcément pour mon cul à un moment. Et puis je me disais que ce n'était que justice car c'est moi qui est sorti cette histoire du figging.
Mais je ne pensais pas y passer si vite. Maîtresse N. était énervée. Je ne sais plus pourquoi ? Oh si je me rappelle. Le motif de son agacement était qu'elle m'avait cherché pour un service intime et qu'elle ne m'avait pas trouvé. Elle avait du se débrouiller toute seule. En fait j'étais dehors en train de fumer sur l'ordi. Elle avait regardé par la véranda mais ne m'a pas vu sans doute à cause d'un fichu angle mort. Bref après coup elle m'a repéré enfin dehors et m'a tout de suite paru contrariée de ne pas m'avoir pu profiter mes services. Je pense qu'elle les attendait puisamment.
Maitresse N. m'a fait hélico rentrer à l'intérieur, m'a dispusté et a décidé de me punir immédiatement avec la racine de gingembre. Direction de la cuisine, pour que je la taille moi-même. Je trouve toujours aussi émotionnellement perturbant de préparer son propre supplice, mais la D/S dans le couple doit vouloir cela. Elle m'a surveillé de près trouvant la forme pas suffisamment proche d'un plug apte à rester planté dans mon cul. A contrecoueur, j'ai obéit en me disant que j'avançais dans l'inconnu total.
Je ne sais pas ce qu'elle m'a fait dans la chambre. Peut être m'a-t-elle fouetté ou non. Je m'en souviens plus mais à un moment, elle m'a fait mettre à 4 pattes sur le lit conjugual pour avoir libre accès à mon petit trou. Je lui avais demandé avantt si je devais mettre un peu de lubrifiant. Et j'ai eu en réponse un niet définitif. Elle voulait voir ma réaction pure. Et c'est donc une des très rares fois où j'ai été pris à sec.
La sécheresse ne rendait pas évidemment l'introduction facile malgré qu'elle me l'ai fait sucé un moment en bouche (goût désagréable). Pour l'instant le gingembre avait forcé l'anneau mais le moindre mouvement l'expulserait en un instant. Il me faisait l'impression d'une pommade massante qui chauffait désagréablement mais sans plus. Maîtresse N. hésitait à lancer l'ultime assaut (qui peut gâcher terriblement l'ambiance si cela se passe mal comme à mon anniversaire). Alors je suis venu à son aide, j'ai écarté mon cul de l'intérieur et j'ai fini de rentrer le dernier centimètre. Quel con !
Dès que le gingembre a été avalé, j'ai ressenti un important afflux de douleur. C'est comme si, j'étais en train de me cramer l'intérieur du cul. Insupportable ! Je l'ai dit en serrant les dents. Maîtresse N. m'a fait tenir quelques minutes le temps de prendre des photos témoins, avant de m'autoriser à expulser l'intru, pour ne pas m'abimer m'a t-elle dit.
Mais en tant que soumis, je ne me refais pas et je me demande maintenant ce qu'il y avait après ces premières minutes. Et puis c'est tellement différent de l'expérience de yanode. Alors tout cela m'intrigue.
dyonisos
PS : l'origine de l'expression figging me reste obscure. fig en anlais est tout simplement une figue. Et quel rapport entre une figue et le cul d'un cheval ?
CHAPITRE 8 - Straffet pige
Claire était revenue avec son soumis après l’avoir fait soigner par Joseph dans la cuisine. La bite de Pierre, maintenant toute recroquevillée, était barrée d’un ridicule sparadrap au motif de personnages de Mickey. Plus de peur que de mal finalement. Les dents n’avaient causées que des coupures superficielles. Et l’inquiétude passée, Claire avait bien rit de la tête de son soumis quand Joseph avait insisté pour lui mettre le fameux pansement. Sur le chemin du retour, elle n’avait pas oublié de le faire marcher en chien à côté de ses chaussures. Et la femme s’était même amusée à lui dire que s’il avait gardé sa coque de protection, rien de cela ne lui serait arrivé. Cela fut une justification de Maîtresse plus que suffisante pour lui remettre immédiatement l’appareil autour du sexe dès leur retour, avant de remiser le à un anneau sur un mur. De l’autre côté de la pièce, Thomas continuait dans sa cage à jouer de la danse du ventre, sans que personne n’y porte attention.
Claire rejoignit les autres Maîtresse. Elles entouraient la petite lesbienne fautive qui était maintenant solidement écartelée sur la table en bois. On lui avait arraché de force son collier, son harnais et sa fausse queue de chienne qui trainaient en désordre sur le sol. Claire observa avec intérêt la position dans laquelle les Maitresses avaient attaché Nikka. Elle avait été positionnée dos contre l’épais plateau de bois, ses cuisses largement écartées et remontées pour laisser le libre accès à son intimité de jeune fille. Les cuisses étaient maintenues dans leurs positions par un ensemble de cordes de chanvre forçant l’ouverture de sa chatte. Ses bras étaient étirés loin en arrière par un lien enserrant ses poignets tendu vers le bord opposé de la table. Et le tout était complété par une longue corde qui lui plaquait la taille et la poitrine contre le plateau en bois en zigzagant d’anneau en anneau comme un lacet de chaussure.
L’usage voulait que Maîtresse Elke ait seule droit de justice dans son domaine en cas de mauvais comportement d’un invité. Une fois prononcées, les sentences qu’elle édictait étaient irrévocables. Il fallait s’y soumettre ou quitter les lieux. Mais la plupart du temps offensés et offenseurs louaient sa sagesse. Et c’est ce genre de jugement qu’elle s’apprêtait à énoncer.
- Claire je suis heureuse que ton chihuahua n’ait pas été plus blessé lors de l’incident, mais il est de notre devoir de punir le comportement de cette petite fille effrontée.
Elke fit une pause avant de continuer.
- Comme cette lesbienne a attaqué notre chihuahua favori par son point faible d’homme, je vous propose de la punir de la même manière par son point faible de fillette mal éduquée… Je la condamne donc à recevoir douze coup de cravache portés directement au cœur de sa chatte.
Un silence pesant avait pris place dans la pièce à part la petite lesbienne fautive qui n’arrêtait pas de murmurer Non, Non sans grande illusion. Claire se demandait comment une femme pouvait supporter des coups sur cet endroit si fragile. Elle était désarçonnée par la proposition d’Elke, qu’elle trouvait cependant d’une logique perverse. Et elle se demandait quelle femme de l’assemblée serait assez sadique pour traiter ainsi une de ses congénères.
Elke alla ouvrir le tiroir d’une commode et en revint avec une cravache. Elle l’amena avec un grand sourire devant une Claire éberluée :
- Claire… Il me semble que la fautive est sous ta responsabilité ce soir. Et tu es la principale victime. C’est donc toi qui va la punir.
Claire médusée regarda la cravache puis le corps nu écartelé de la jeune fille. Elle trouvait la situation irréelle et fouetter une femme, en ce temple si intime, n’avait jamais partie de ses fantasmes. Elle ne comprenait pas non plus comment elle pouvait être la victime du geste de Nikka. Elke lui mit l’instrument de la punition en main et l’invita à procéder d’un bras derrière son épaule qui l’amena face au corps de la vulnérable lesbienne. Claire s’était statufiée incapable de se décider à faire si mal à une femme qui ne lui avait finalement rien fait. Elle ne comprenait pas pourquoi elle devait punir Nikka qui n’avait finalement que ratée son épreuve en n’arrivant pas à totalement maîtriser son dégout des hommes. Pierre n’avait été qu’éraflé. Pas de quoi fouetter une chatte ! Tout cela allait trop loin à ses yeux.
- Procède maintenant ! l’incita la Maîtresse du domaine.
Claire hésita un moment sous le regard incitant d’Elke. Au centre la cible était outrageusement exposée sans défense. Les petites et grandes lèvres étaient très élégantes, fines et pâles. Elles formaient les pétales d’une fleur tropicale d’une rougeur intense, légèrement luisante, dont le fond disparaissait dans la noirceur et saillant de sa protection capuchonnée, un petit fruit mûr à point donc la taille inhabituelle étonna Claire. Se pourrait-il que les besoins de la petite lesbienne résident là ?
Claire prit position sans conviction et lança au hasard la cravache au cœur des lèvres. Elle avait fait cela en contrôlant la puissance de son coup de peur de blesser. Un geste plus doux encore que quand elle s’occupait des couilles de Pierre. Il était un homme après tout. Nikka eut un vague sursaut dans ces liens mais ne brancha pas. Elke l’arrêta immédiatement :
- Non, non, c’est une caresse que tu fais là, pas une punition. Attend donne moi la cravache, je vais te montrer.
La Domina prit l’instrument dans sa main. Elle envoya son bras en arrière avant de lancer son coup de toute la hauteur offerte. La cravache fendit l’air dans un sifflement d’avertissement, avant de venir s’écraser sur l’entrée du vagin en un bruit sec. Le coup se propagea alors dans tout le haut du corps de la soumise qui s’arquebouta dans ses liens avant de se terminer par un long feulement de bête blessée. La frappe de la claquette avait laissé un net rectangle d’un rouge carmin, presque violet sur la frêle peau de Nikka. Claire en eut le souffle coupé de tant de violence concentrée alors qu’Elke lui rendait déjà le manche
La petite lesbienne avait manifestement la larme aux yeux ce qui n’aidait pas la fouetteuse dans sa tâche. Claire regardait le corps écartelé sur la table, comme quelque chose d’irréel. Elle adorait fouetter son homme, l’entendre geindre sous le choc et bientôt supplier. Mais c’était son amour, et une relation de complicité sexuelle. Et pourtant, elle savait au fond d’elle-même que cela était un test spécialement pour elle, pour voir si elle était digne de ce monde de femmes dominantes. Elle ne voulait pas quitter cet endroit, pas encore. Alors elle oublia un temps la fille et décida ne s’occuper que du corps impersonnel. Evoquant secrètement toute la force qu’elle disposait, elle frappa à son tour l’abricot offert, avec un bruit moins élégant et une maîtrise aléatoire. Elle ferma même ses yeux au dernier moment. L’impact se fit de biais sur les petites lèvres, mais prit au dépourvu une Nikka qui ne s’était pas attendud à un tel déchainement chez une Maîtresse a priori inexpérimentée. Le coup déclencha un long cri désespéré et le corps se braqua dans ses entraves pour essayer de dissiper la douleur. Claire découvrait avec une grande surprise l’effet sonore et visuel que cela donnait, finalement étonné qu’il soit si facile de fustiger une inconnue. La marque se fonçait nettement.
Elle annonça rapidement : trois ! d’une voix pas encore totalement assurée et décida de continuer.
La volée suivante fut beaucoup plus nette et maîtrisée. Claire l’avait fait exactement atterrir là où elle l’avait décidé, cette fois sans fermer les yeux, à la gauche directe du clitoris. Et son achèvement dans un éclat de sanglot pour la pauvre lesbienne punie, la rassura sur la force donnée. Elle admirait la forme géométrique laissée sur la peau. Jamais, elle n’avait obtenu une telle réaction chez son propre soumis. Et manifestement, elle aimait cela, comme le démontrait l’humidité qui gagnait son ventre. Oubliés les réticences, elle prenait soudainement conscience qu’elle adorait jouer une symphonie obscure avec sa victime par le pouvoir de sa cravache. Alors Claire continua pour son plaisir.
Ses sens s’aiguisaient à obtenir de la soumise telle réaction désirée. Elle variait les attaques pour varier les effets. Et évidemment à ce rythme, elle finit complètement mouillée d’excitation sadique, qu’elle cherchait égoïstement à sublimer à chaque coup.
La lesbienne avait compris dès le troisième coup, que cela serait terrible, au delà de ses pires cauchemars. Ce n’était plus une petite fille que l’on punissait, mais une jeune femme soumise ayant fauté. Elle criait, hurlait, sursautait sans rien pouvoir y faire. Son esprit s’embrumait. Elle n’était plus qu’une poupée de chiffon que son bourreau déchiquetait sans fin. A partir du septième coup, sa Maîtresse vient lui prendre la tête entre ses mains pour, les yeux dans les yeux, l’aider à surmonter son expiation. Nikka s’y rattachait comme un morceau de bois flottant dans un immense océan de douleur.
- Douze !
La dernière cinglée était terriblement perverse. La fouetteuse avait sciemment visé l’entrée du vagin. L’instrument la pénétra quelque peu avant de finir sa course sur la frêle membrane interne. Nikka ressentit une souffrance primale, épurée. Elle avait cessé de respirer. La vive douleur se diffusa dans toutes les parties de son corps. Les yeux apeurés, tournoyant sans cesse, elle avait quitté le monde réel. Noémie très pâle accentua la caresse sur ses cheveux pour l’aider à sortir de ce labyrinthe émotionnel. Avec succès, sa soumise ouvrit enfin la bouche et hurla un long moment toute sa détresse, avant que sa Maîtresse vienne cueillir à ses lèvres le gout amer de la souffrance dans un long baiser passionné et compatissant.
Claire laissa tomber la cravache.
Pierre, attaché à son mur, était fasciné par la transformation de se femme. C’est la première fois qui la découvrait face à une autre soumise. Il voyait nettement la lueur de folle excitation dans les beaux yeux noisette de Claire. Le visage avait rougi d’effort et des gouttelettes de sueur luisaient même sur le front. Il n’avait pas besoin de plonger ses doigts dans le calice de sa Maîtresse pour deviner comment elle devait être inondée à cet endroit. Il ne la connaissait que trop bien ! Pierre ne l’avait cependant jamais vu libérer autant de fureur sadique et immédiatement il se mit à craindre pour son propre sort.
L’assemblée était silencieuse, reprenant son souffle après le spectacle. Claire détaillait chacune des onze marques laissés sur le sexe labouré de la soumise. Son œuvre ! Elle avait adoré au-delà de ce qu’elle aurait imaginé travailler le magnifique corps de la jeune fille. Oh comme il était finalement facile de faire mal à une personne sans la barrière restreignante de l’amour porté. Sa chatte était dans un état d’excitation terrible et Claire avait manqué d’un instant de partir d’un puissant orgasme libératoire au douzième coup. Sans y penser, elle laissa fureter son doigt sur la peau tentante de sa victime, encerclant les tétons, glissant le long du ventre, avant de venir détailler les vallons et collines de l’abricot violacée, tourner autour du bouton et descendre furtivement dans le gouffre. Nikka gémissa de réconfort avant que Claire reprit ses esprits et retira son doigt inquisiteur. Noémie avait cessé d’embrasser sa soumise, et regardait Claire un doux sourire complice aux lèvres.
Elke parla.
- Bien, ça c’était de la punition, et je pense que vous en avez toutes profité. Notre Claire est manifestement douée dans l’art de châtier les petites filles désobéissantes.
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