Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 00:37

Aujoird'hui au grand plaisir de N. et des enfants, j'ai réservé les vacances début juillet. Et pour ceux qui ne nous connaissent pas, les vacances estivales c'est vanille à 100% (et plus si affinité).

Voici la rediffusion d'un des très rares articles à 4 mains du blog qui résume pas mal ce nous attendons des vacances... 

dyonisos


 

kikkou1ancien.JPGUn saucisson, m'avait promis mon petit soumis.

Ce qui fut fait, avec une dextérité insoupçonnée et une rapidité plus qu'étonnante compte-tenu des souvenirs laissés des expériences anciennes. Avant la naissance des enfants, nous pratiquions régulièrement le bondage. Secret de cette rapidité soudaine : l'étude très approfondie du fascicule "Osez le bondage"  que j'avais commandé chez Domina pour notre dernier anniversaire de mariage. Fallait-il y voir un désir inavoué ? C'est ce qu'en a conclu D., et ceci pour mon plus grand plaisir en cet après-midi d’été

Ces derniers jours, très prise par mes activités et exténuée le soir, je n'ai pas suivi son blog où il s’épanche sur notre vie intime. Mon cher D.  ne m'a dévoilé ses projets qu'au moment de préparer les bagages : "je prends nos petits jouets et aussi les cordes rouges. Cela fait longtemps que nous ne les avons pas utilisées..."

Je fus donc transformée manu militari en saucisson, un jésus tout dodu entouré de cordes rouges. Seules les mains étaient jointes par une fine cordelette blanche. Il parait que cette figure porte le nom charmant de "diamant kikkou".  Hormis la forme entourant le nombril, je n'y ai pas vu de diamant. Quant au « kikkou » qui me fait penser instantanément au continent africain, je ne sais où il se cache sinon dans mon derrière de Callipyge. Où vont donc se cacher l'imagination et le marketing éditorial ?

En plus, j'ai exigé de D. qu'il adapte le modèle qui ne mettait pas assez en valeur ma généreuse poitrine. Je voulais sentir mes seins tendus à l'extrême, qu'ils soient aussi tendus et gonflés qu'après la naissance d'un enfant, lorsqu'ils débordent de lait.

Son choix de figure m'apporta rapidement satisfaction. J'ai immédiatement apprécié le passage des cordes entre mes grandes lèvres. Leur tension était suffisante pour qu'à chacun de mes mouvements, je sente le frottement des cordes sur mon clito et sur l'entrée de mes ouvertures. Un mouvement léger, une tension subtile entrainèrent chez moi, en plus de l'excitation intellectuelle, une véritable fontaine.

Couchée sur le côté, dans le grand lit blanc avec le soleil puissant d'après-midi qui passait par les volets, je pris le vit de mon soumis/mari/dominant à pleine bouche. Une atmosphère torride et moite, lointaine réminiscence de lectures de Marguerite D. Un aller/retour doucereux, pimenté de quelques coups de dents, revigora l'instrument. Entravée, saucissonnée, excitée et toujours dominante, je prenais l'initiative  de la positikikou3ancienon : classique et efficace. Deux oreillers l'un sur l'autre pour le confort d'une levrette, où ma croupe se relevait naturellement, mes doigts serrés en prière comme appui, j'étais fin prête pour subir les assauts de mon amant. Il prit un malin plaisir à me faire patienter, prenant des photos sous plusieurs angles. Mon désir montait en vagues de plus en plus rapprochées. Mon ventre prenait le pouvoir, je bouillais intérieurement, je me consumais. Allait-il me laisser là avec mon désir de plus en plus violent ? Allait-il décevoir mon attente d'un orgasme salvateur après plusieurs semaines d'inassouvissement du à la fatigue et au stress ?

Ces quelques secondes, deux /trois minutes à peine sans doute, me parurent d'une longueur insupportable. Je mouillais de plus en plus et je commençais à sentir le liquide mielleux couler le long de mes lèvres.

Enfin, ce fut l'assaut brutal et profond, avec le bruit des couilles tapant sur mon cul. Un aboutissement, une complétude si longtemps désirés. Le rythme se ralentit, à ma demande, D. sortit doucement de mon con et y rentra lentement, profondément jusqu'à venir caresser le col de l'utérus. Il alterna avec subtilité, et toute à ma surprise, rythmes lents et saccadés. Je laissais échapper de petits cris aigus, manifestant ma jouissance le plus discrètement possible, compte-tenu de la promiscuité avec les appartements voisins. Il mouilla son pouce et vint titiller ma rondelle à mon plus grand plaisir. Les cordes frottaient mon clito, mon vagin accueillait dans sa moiteur son sexe et ma rondelle s'ouvrait sous les massages de son doigt. Une plénitude, une jouissance enfin ressenties. Mais rapidement, mon vagin n'y trouva plus son compte. Comme de nombreuses femmes, les grossesses ont œuvré et quand je jouis je m'écarte tellement que la grosseur de la bite de mon homme ne m'apporte plus assez de satisfaction.  Plus jeune, je craignais ce moment ultime où il prenait mon cul. Je me contractais, ma rondelle se fermait et les tentatives de pénétration se vouaient à l'échec ou bien se terminaient par des déchirures douloureuses. Avec l'âge ? l'expérience ? la confiance dans mon partenaire ? les caresses buccales ? les caresses intimes avec uniquement pénétration d'un doigt, puis de deux ? Je m'offre maintenant complètement et avec plaisir à mon homme. Aujourd'hui quelques gouttes de gel et l'insatisfaction croissante sont les promesses d'une enculade réussie...

N.



Et t'embrocher au plus profond du rectum, comme j'aime cela mon Amour. Tout pour moi, y compris le « farfouillage » de ton antre du bout de mon petit vit, n'est que préliminaires avant de passer au vrai objectif de l'offensive amoureuse : ton fabuleux œillet plissé qui s'ouvrait avec envie sous la pression de mon pouce éclaireur.


En cette merveilleuse après-midi avec le soleil filtrant des persiennes, tout allait à merveille. L'heure crapuleuse de la sieste est décidemment notre moment d'accouplement de prédilection.

Je
t'ai consciencieusement  ficelée pour te laisser reposer, frustrée, tendue dans l'attente. Je sais ce que les cordes t'apportent d'intensité aux niveaux physique et psychique. Je me souviens encore avec délectation de tes joues rouges et honteuses dans le magasin, quand je t'ai emmené notre premier été en acheter. Une envie d'essayer et un saut dans l'inconnu...

Je me rappelle ce studio de Port Camargue, où insouciants nous pratiquions nos jeux amoureux. L'heure était la même mais la chaleur beaucoup plus intense. Le chat regardait les passants sur le balcon aller vers la plage, éternelle source d'intérêt. Je t'ai ficelé maladroitement les seins, avant de te prendre puissamment, en passant à côté de l'intense bataille qui se déroulait dans ta tête. Ce plaisir tu me l'as avoué quelques semaines plus tard, comme s'il n'était pas convenable de s'être laissée surprendre ainsi.

Tu étais là en position de prière/offrande affalée sur les oreillers. Je te laissais mariner frustrée et impatiente pour t'entendre quémander. Tu dis que tu étais restée dominante juste parce que tu avais choisi le terrain de bataille. Que nenni. La Maîtresse était loin à ce moment là, et il n'y avait qu'une ardente épouse, magnifiquement parée de ses cordes rouges, qui appelait de tous ses vœux la saillie de son Mâle. Je te l'ai furtivement rappelé à ton dépourvu en te donnant un coup de paddle sur la fesse droite. Tu as hâtivement protesté.
Rétorsions semble ton mot favori en ce moment.

Je me suis positionné derrière ta croupe dégageant un peu les cordes pour libérer l'entrée. Ton dos était magnifique avec son quadrillage de lignes rouges. Je me suis présenté et d'un profond coup de rein, j'ai pris possession de ce qui est mien. Je te sokikkou4ancien.JPGupçonne de préférer cette position bestiale, non pour l'étroitesse de ton antre, mais pour l'abandon qu'elle t'emmène de femelle se faisant saillir par le Mâle. Tu étais la vache assumée, j'étais devenu le taureau.


J'ai commencé le pilonnage. Variant les angles d'attaques et les profondeurs des percées successives. La Maîtresse n'existait plus, mais la femelle était là, toute ardente de désir. Je te conduisais par tes cordes vers les espaces sauvages du plaisir. Ta symphonie était sublime avec des petits cris entrecoupés de oh, ah, oui. Et je me délectais de tenir la place sentant ton antre céder peu à peu sous les coups de buttoirs, jusqu'à laisser sans défense le col du fond. Tu étais maintenant complètement assaillie. La victoire était totale avec son sentiment de plénitude. Je fouillais tous les coins de mon domaine reconquis.

J'y étais tellement bien que je faillis me faire surprendre au détour du col et connaître le sort du vaincu. Je calmais un temps mon ardeur et commençais le préparatif de la conquête du vrai objectif. Tu l'appelais d'ailleurs de tes vœux, trahie comme toujours par la veule excitation qui avait complètement ravagée ton antre, où bientôt plus rien n'aurait de tenue. Tu as quémandé mon doigt pour entrouvrir la seconde porte. Un peu de salive et mon pouce est immédiatement aspiré. Je joue avec l'élasticité de l'anneau, il est souple déjà en train d'accepter le pilon qui va le perforer dans quelques instants.


Je me retire de la dévastation du bas, il n'y a rien de plus en espérer. J'enlève cette maudite capote, et me prépare à saillir à cru son cul. Je sais que cette dernière attaque va être sans retour pour N. Je m'ajuste sur l'œillet et j'ébranle les dernières défenses de ma prude amante...

D.



Un saucisson, m'avait promis mon petit soumis. Un saucisson que j'enculerai, avait-il aussitôt ajouté. Promesse tenue. Rapidement mon con trop large ne m'apportait plus aucune satisfaction. Mon désir de jouir jusqu'à plus soif reprenait le dessus. Avide, mon trou du cul palpitait d'impatience. Ma rondelle dilatée avec son pouce expert réclamait son du. J'entendis le bruit sec du préservatif retiré à la hâte qui se déchire. Promesse merveilleuse d'une suite encore plus bestiale.

Je crains toujours cette première intrusion dans mon fondement. La tension est extrême entre mon impatience et cette peur de souffrir, de sentir une fissure, même petite, une infime brûlure naître à l'entrée de mon anus. Douleur et plaisir sont cousines, et l'une renforce l'intensité de l'autre. Premier assaut. Je frémis, sursaute, encaisse le coup de buttoir. Douleur d'abord, le second assaut arrive aussitôt, puis le troisième, les suivants, pas le temps de compter, de réfléchir ; mon esprit perd le contrôle ; je ne suis plus qu'unkikou2ancien.jpg corps, une parcelle de corps exactement réduite à sa zone uro-génitale qui palpite à nouveau, se dilate jusqu'à absorber ce bâton jusqu'à sa garde. Une jouissance animale, primale s'empare de tout mon être ; je crie, je gémis, je pince les lèvres pour contrôler a minima, je n'y parviens pas, une vague me submerge, j'accompagne de coups de reins le mouvement, j'avale goulûment le bâton de chair. La jouissance est là, incontrôlable, je suis le jouet de mon homme, je subis et j'aime cette perte absolue de tout contrôle. Les cordes se tendent sous mes mouvements, le clito est à nouveau sollicité. Je mouille, je mouille de plus en plus, à tel point que mon con redevient avide et gourmand. Je quémande un gode pour obtenir l'acmé, la reddition absolue celle de la double pénétration. Avec au bout l'orgasme que je désire tant depuis des semaines.

Il ne l'a pas préparé. Il avait uniquement sorti le paddle, qu'il a essayé sur ma fesse droite sans que cela me fasse véritablement réagir, et lui promettre des rétorsions en retour. Je sens sa bite grossir en moi. Il éjacule bien au fond. Il adore partir en moi. La giclée de sperme cela est très esthétique à l'écran ou en photo, mais le plaisir est tellement moindre, pour l'un(e) et l'autre. J'aime sentir cette chaleur en moi s'écouler doucement entre mes fesses et mes cuisses. Risque minime, mais risque quand même d'une nouvelle grossesse qui m'est désormais interdite par la médecine.

Il est repus, épuisé de cet assaut violent et rapide. Je suis insatisfaite, il y a eu jouissance, plaisir(s), excitation, mais pas ce moment ultime de l'orgasme. Il a compris, il attrape le magnifique gode de black, avec des énormes couilles qu'il m'a offert. Un clin d'œil à ma vie de célibataire, quand j'étais très attirée par les hommes de couleur. Il le fait entrer dans mon con avec rapidité, il le bascule d'avant en arrière. Insuffisant, je lui demande d'inverser la position des couilles, en sens contraire des lois de la nature. Les couilles viennent buter contre mon clito. Il continue à faire pénétrer et sortir l'engin avec dextérité. Je gémis, je sens la lente progression du plaisir. Je suis pas à pas dans ma tête la courbe exponentielle du degré de plaisir. Enfin, je palpite, du con, du cul ; le palier, l'acmé et la descente rapide, enfin repue et comblée.

Il se lève pour se doucher et remonte amoureusement le drap sur mon corps épuisé. J'aime ce moment d'abandon total, de détente maximale qui suit l'acte sexuel abouti, et je plonge enfin dans un sommeil calme et réparateur.

N.


Et comme, mon Amour, tu es descendue de ton Olympe (dans tous les sens du terme, propre et figuré), je prend possession du mot de la fin. Je sais que ta nature dominante n'aime pas trop cela maintenant. Mais la femme que je vois défaite sur le lit n'a plus le statut d'une Maîtresse, mais celui d'une petite fille qui vient de subir la loi du Mâle. Tu te verrais. C'est un ravage : ton con baille complètement les muqueuses luisantes et la liqueur coulant  obscènement  maintenant au dehors de ta matrice. Et le vil affront que je viens de faire subir à ton cul vient compléter ta défaite. Tu as été prise comme un légionnaire prend une fille de joie. Et en plus tu as aimé intensément cela. Mon triomphe n'aurait pas été complet s'il n'avait pas été enluminé de ma semence de Mâle jaillissant profondément au fond de tes boyaux. Cela tient du rituel païen. Je me réjouis d'avance de la honte que tu éprouveras à aller sur les toilettes en urgence "rendre" l'offrande de ton Mâle qui aura fait son œuvre de lavement entretemps. Cette vision viendra rappeler mon triomphe.

Merci de ton offrande.

Je t'aime.

D.

 

Par dyonisos - Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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Samedi 4 juin 6 04 /06 /Juin 10:35

CHAPITRE 10 - Soledgang

 Les quatre Maîtresse se remettaient doucement de leur soirée, assises sur le sofa autour de l’élégante table basse. C’était manifestement une nuit réussie comme Elke aimait offrir à ses invités, excitante et follement non conventionnelle, même dans le milieu du SM. Les soumis, Thomas, Nikka et Pierre avaient été rassemblés courbés côté à côte au travers de la table de chêne blanchi, maintenus dans leur position par une cordelette reliant leur collier à un anneau de l’autre côté de la table. Pour plus de sécurité, les hommes avaient eu un lien fermement et attaché à la base de leur verge en cage qui leurs maintenait sévèrement le sexe en tension au point d’accroche le plus proche. Nikka avait eu la chance de part sa nature féminine d’en être exemptée.

La conversation des femmes portait sur la journée à venir. Claire apprit que l’activité favorite de Noémie était de se dorer la pilule au bord de la piscine avec sa jeune soumise à ses pieds. Comme un temps de repos à ne rien faire, pour se remettre de l’hyperactivité de sa vie professionnelle. Elle était chef du marketing dans une grande boite internationale à Paris. Sa venue au domaine était une parenthèse bien loin du faste à Marrakech ou Gstaad dont elle était habituée. Elle ne cachait pas qu’elle avait le pouvoir et l’argent qui va avec. Cela lui permettait de vivre la vie qu’elle voulait, sans se préoccuper des autres. Sa présence chez Elke en devenait ainsi plus mystérieuse pour Claire. Mais elle-même ne connaissait leur hôtesse après tout que depuis quelques mois.

Les activités de Sophie avec Thomas étaient plus énigmatiques. Elle parlait simplement de prendre plaisir d’être avec son mari sans la contrainte des enfants. Claire cru comprendre que Sophie et Thomas n’avaient pas l’intention de beaucoup sortir de leur maisonnette pendant la journée du lendemain. A quelles activités s’y adonnaient-ils ? Vanille ou SM ? Claire ne le savait pas tellement le couple semblait, vu de l’extérieur, banal, et pourtant c’était cette Sophie qui avait livré son futur mari aux fourches d’Elke ou qui n’avait pas hésité à mettre sur les braises les couilles de Pierre. Mais leur présence dans ces murs était beaucoup plus évidente, vu le rôle de grande initiatrice joué par Elke lors de leur mariage. Sophie devait aimer revenir se ressourcer au Domaine. Il devait bien évidemment en être un peu différemment pour le mari avec le séjour de dressage initial et ses semaines annuelles de recyclage. Pour ce qu’elle en avait vu, Elke semblait toute douce mais Claire ne doutait pas une seule seconde qu’elle devenait une furie si elle le décidait contre tout soumis. Une main de fer qui se cachait dans un gant de velours au doux accent nordique. 

- Et toi Claire, que comptes-tu faire demain ? lui demanda Elke.

- Je ne connais pas la région alors je comptais visiter un peu les alentours avec  Pierre.

- Je dois aller demain en début d’après-midi à Saint-Prunien, c’est le plus gros village à côté de chez nous. Je dois passer à la banque pour une opération que j’aurais dû faire depuis longtemps et comme Joseph n’a pas évidemment délégation sur ma signature… C’est un joli bourg avec les ruines d’un château au sommet et quelques rues très anciennes. Cela te dit ?

- Oui nous serons enchantés de t’accompagner avec Pierre.

- Ca, cela ne vas pas être possible. J’y descends avec le cabriolet et je n’ai qu’une seule place passager.

- Bon on te suivra donc avec notre voiture…

- Mais qu’est-ce que tu t’embêtes, ma chérie, à faire suivre ton chihuahua. Un toutou soumis, c’est fait pour rester enfermé pendant que Maîtresse sort. Et le cachot dans l’écurie c’est fait pour cela de préférence après une bonne fouettée du cul pour le remettre à sa place. Alors c’est d’accord, Claire ?

Claire réfléchit rapidement et elle dut s’avouer que la pensée qu’elle allait prendre du bon temps, pendant que Pierre l’attendrait tout contrit dans sa prison, l’excitait follement. En une seconde, et au désespoir visible du chihuahua , elle prit sa décision et répondit :

- Oui avec grand plaisir ! Nous ferons ainsi…

- Nous partirons donc après le repas… Bon il s’agit maintenant de clôturer cette très bonne soirée les filles et d’aller nous coucher. Vous m’avez laissé le « chaud et froid ». C’est sympa. Quel soumis ou soumise vais-je donc choisir ? Humm…

Elle s’était levée et promenait sa main sur les trois croupes alignées au bord de la table. Elle passa sa main entre les cuisses de Thomas pour lui attraper les couilles et le lui serrer très fort. Le soumis torturé cria. 

- Toi ?

Elle lâcha Thomas pour prendre possession de la même manière de la virilité du chihuahua qui couina de douleur à son tour.

- Toi ?

Ce fût le tour de Nikka. Elle avait rentré tous ses doigts dans le vagin et s’amusa à tester l’écartement maximal qu’elle obtenait. La petite lesbienne soumise grimaça.

- Ou toi ?

Elke relâcha sa pression sur Nikka.

- Vos trois culs alignés m’amusent beaucoup. Alors ce soir, je vais user de mes prérogatives et je vous choisis tous les trois. Nous allons commencer à donner bonnes couleurs à vos fesses.

Elle avait tiré d'un tiroir un saisissant paddle en cuir qu’elle utilisa immédiatement pour frapper les globes tendus en offrande. Elke jouait une symphonie secrète  dont elle devait avoir la musique en tête, alignant plusieurs coups de suite sur la même fesse et sautant d’un coup vers un autre fessier. Le cœur des soumis se fit bientôt entendre, rythmé par les claps de la lanière de cuir. Mais bientôt, toutes les Maîtresses purent constater qu’Elke maîtrisait parfaitement sa chorégraphie avec des culs qui rougissaient en parallèle. Une vraie artiste ! Elle ne posa son instrument que quand les lunes furent devenues entièrement rouges. Elle n’eut même pas besoin de se reculer pour contempler son résultat, tellement elle semblait sûre d’elle-même. Satisfaite, elle laissa les derrières pour lubrifier les trois coroles obscures à l’aide d’une étrange pipette, puis alla dans la cuisine récupérer un bac dans le congélateur et revint devant les culs. Elke avait mis une longue paire de gants en latex, ce qui lui permettait de bien lubrifier chaque anus, avant de finalement y glisser un étonnant obus gainé d’une parure sombre. Et un. Et deux. Et trois. Tous subirent le même cérémonial.

Noémie demanda :

- Que leur as-tu mis ?

- Oh pas grand-chose, juste un suppositoire de mon invention que me prépare bjørneunge à ma demande, sans qu’il sache si c’est pour lui ou les autres. C’est en fait un glaçon creux avec une protection en plastique pour ne pas brûler les muqueuses internes. Et à l’intérieur, bjørneunge y a mis du tabasco. Le froid et le chaud !

- J’imagine la sensation. Mort de rire !

Pierre qui avait écouté, craignait ce qu’il allait arriver dans son cul. Il l’avait eu mauvaise quand il avait entendu la trahison de sa femme. Préférer l’enfermer pour avoir la paix ! Mais maintenant ce n’était plus son souci principal. Il avait durement ressenti l’intrusion directe des doigts d’Elke dans son fondement suivie de la sensation désagréable d’être fourré comme une dinde de Noël. La maîtresse du domaine n’avait pris aucune précaution pour lui enfiler son « suppositoire » diabolique. C’était extrêmement froid. Et il avait une peur panique de ce qui arriverait quand la glace aurait fondu. De ses lectures sur internet, il savait que cela serait sans doute très terrible. Il ne pouvait s’empêcher de penser à la glace qui fondait à l’intérieur, comme un compte à rebours, avant le déchaînement de douleur. Mais il ne fut pas longtemps à cogiter : la soirée était finie et chaque soumis repartait avec sa propriétaire habituelle.

Les Maîtresses se dirent bonsoir avant de partir chacune de leur côté avec leur chose bien tenue en laisse. Claire et Pierre prirent le sentier de retour vers leur petite maison sur les hauteurs. A leur grande surprise, il était balisé par des lampes qui diffusaient une faible lumière, sans doute des lampes solaires. Pierre avait la crainte au ventre. Aussi il prit le risque de s’en ouvrir à sa femme.

- Claire s’il te plait, laisse-moi éjecter le glaçon avant qu’il soit fondu !

La femme regardait son mari soumis avec surprise. Comme si soudain, elle redescendait sur terre et revenait à la réalité. Elle avait adoré l’ambiance excitante de la soirée. Elle reprit l’initiative :

- Qu’es-tu prêt à faire pour cela ?

- N’importe quoi !

- Vraiment ?  Humm laisse-moi réfléchir…

Claire attacha le bout de la laisse à un branchage er recula de deux pas pour réfléchir. La soirée avait été follement excitante pour une Maîtresse qui restait après tout débutante. Ses sens s’étaient enivrés de l’étrange atmosphère de domination sans fin. Elle avait aimé regarder ces corps se tordre sous l’épreuve et elle avait adoré au-delà du possible fouetter le fond de la chatte de Nikka. Elle n’aurait jamais imaginé prendre un tel plaisir à travailler sexuellement une fille. Que la vie était surprenante ! Et cette vie là – sa nouvelle vie – elle voulait la prolonger à tout jamais comme une fillette qui aurait découvert une boîte à succulents bonbons. Elle n’avait jamais été aussi consciente de la forte humidité qui li taquinait l’entrejambe. Peut-être était-il temps de consommer, maintenant ?

Elle se décida et revint vers son soumis. Elle lui déclara qu’elle accéderait peut être à sa demande, mais pas avant qu’il lui ait rendu un petit service – intime -. Claire installa le chihuahua par terre; le buste relevé et tenu en position par les bras légèrement tendus de l'homme. Elle prit son temps enlever son jean, qu’elle accrocha délicatement sur un buisson, et sa culotte suivie bientôt. Elle sentait le vent chaud de la nuit venir lui chatouiller les poils de sa foufounette. Et elle ne désirait rien de plus au monde que jouir de toute l’excitation accumulée de la soirée, maintenant et immédiatement.

Claire passa avec grâce sa jambe au-dessus de la tête de son soumis pour lui présenter les lèvres luisantes à hauteur de langue. Elle n’eut pas besoin d’ordonner. Pierre ne savait que trop bien quel service voulait sa femme en l’échange de sa libération. Et pressé, il se mit immédiatement à la lécher de toute son habilité. La femme l’accueillit d’un soupir mêlé de soulagement et de plaisir à venir. La langue venait délicieusement caresser les bords du vagin, cherchant à s’y enfoncer plus profond. Elle jouait de la résistance de l’ouverture, changeant de façon imprévisible ses mouvements. Oh comment  Claire aimait le travail de cette langue. Il n’avait pas à dire son chihuahua était doué pour lui donner ce plaisir et manifestement elle l’avait déjà bien entraîné depuis qu’il était tombé sous sa coupe. Elle se laissa aller émettant sans aucune gêne au milieu du bois des gémissements de contentement. Elle montait et sentait maintenant que la mécanique interne vers le nirvana était en marche irrévocablement. Elle lâchait de nouveau des flots de cyprine épicée que la bouche devait gérer, même ingérer, pour ne pas s’étouffer. Elle était si bien, si heureuse. La montée s’accéléra sous le magnifique travail de la langue. Elle avait toujours constaté que Pierre était bien meilleur suceur quand il était son soumis. La machine s’emballait maintenant. Claire sentait le tsunami de plaisir naître et elle n’attendait plus qu’il déferle. Elle serra instinctivement les jambes pour mieux goûter des caresses de sa chose. Et puis cela explosa magnifiquement dans un long cri aigu de jouissance qui résonna dans le silence de la chaude nuit !

Claire se remettait peu à peu alors que la bouche en dessous reprenait son souffle. Qu’il était agréable d’avoir un homme soumis à disposition. La tête cherchait à se retirer. Elle la retint dans sa position par les cheveux.

- tss, tss, tss. Pas bouger le chihuahua, j’ai encore besoin des services de mon toutou. Ouvre grand la bouche !

Elle contempla sadiquement le regard de bête affolée dans les yeux de son soumis. Sans doute l’explosion dans ses entrailles devait avoir commencée, mais elle n’en avait pas fini avec son toutou, pas totalement. Il lui devait un dernier petit service intime.

Claire rajusta sa position au-dessus de la bouche sottement ouverte, écarta ses grandes lèvres de ses doigts et libéra sa vessie par petites giclées directement dans le palais, en lui laissant le temps d’avaler chaque gorgée, ses yeux plantées dans ceux de sa chose. Elle écumait tout le vin qu’elle avait bu dans la soirée. Et cela prit longtemps... Elle voyait bien que le corps de chihuahua avait commencé à se convulser entre ses pieds. Trop tard ! pensa-t-elle, mais elle croyait que quand une Maîtresse avait décidé quelque chose, il était fondamental pour son autorité qu’elle aille jusqu’au bout quoi qu’il en coûte à son soumis. Elle finit donc de se soulager dans la bouche de Pierre, comme si c’était la chose la plus normale du monde. Et quand elle eut terminé, elle s’enleva et l’autorisa à expulser ce qu’il pouvait encore. Elle vit une lueur de soulagement dans ses beaux yeux dorés qu’elle avait toujours adorés.

La Maîtresse et le toutou en laisse reprirent leur chemin, lui avançant tant bien que mal à quatre pattes sur le sol épineux. Elle devait tirer sur la laisse de temps en temps quand elle trouvait qu’il ne mettait pas assez de volonté à avancer plus vite. Arrivés devant la maisonnette, elle lui fit faire une halte au pied d’un bouleau pour ses besoins avant de se retrouver enfermé pour la nuit. Le chihuahua en était tout troublé car il avait oublié la présence de la maudite cage, ou il n’avait pas cru qu’il y passerait ses nuits. Il voyait là nettement qu’une nouvelle phase de leur relation avait commencé et bizarrement cette perspective l’excitait doucement. Il aurait le temps d’y penser pendant sa longue nuit entre les barreaux…

La chambre d’Elke était très différente du reste du domaine. Elle tenait étonnamment plus de l’alcôve romantique que du style épuré nordique. Au centre trônait un imposant lit à baldaquins en frêne massif. Des tapis persans aux teintes rouge recouvraient le parquet et les murs en pierre étaient tapissés de lourdes draperies chatoyantes. 

Elke avait passé un déshabillé de dentelles blanches et s’apprêtait manifestement à aller se coucher. Joseph était présent aussi comme chaque soir pour le rituel du coucher. Il était d’usage qu’il ne puisse aller dormir avant sa Maîtresse, comme il devait être aussi présent à son réveil. C’était souvent ses seuls moments d’intimité avec sa Maîtresse danoise. Il était tout nu muni de sa seule ceinture de chasteté métallique et intégrale qu’il portait en permanence depuis quinze ans. Et sur ce point, Elke avait été très claire quand elle l’avait accepté comme soumis personnel. 

Il était en train de démêler la longue chevelure cendrée de sa Maîtresse, comme chaque soir et chaque matin. Quand il aurait fini elle le renverrait dormir dans sa niche spartiate au-dessus de la cuisine. Il ne passait jamais ses nuits dans la chambre de sa propriétaire. Elke semblait heureuse et commença à discuter :

- Dis-moi, mon bjørneunge adoré, depuis quand n’as-tu pas éjaculé ?

- Vous m’avez gentiment trait par la prostate, il y a cinq semaines, Madame.

- Non pas les traites, ça c’est juste pour l’hygiène. Non pas avec une vraie éjaculation à l’ancienne ?

- Euh… c’était il y a sept mois pour mon anniversaire, Madame.

- Ah oui, j’avais oublié. Comme le temps passe vite… Bon je crains que tu doives encore attendre un peu, je ne vois pas ce qui vaudrait cette faveur. Et en plus après je trouve que tu te ramollis trop. C’est embêtant. Comme maintenant, ton accueil de Maîtresse Claire n’a pas été si bien fait que d’habitude. Tu as sans doute besoin que je t’aiguillonne un peu pour t’aider à te concentrer sur tes devoirs.

- Vous… vous avez certainement raison, Madame.

- Bien sûr que j’ai raison, mon bjørneunge adoré , après tout  je suis ta Maîtresse, et je sais quand j’ai besoin de t’aider à te reconcentrer sur tes tâches. Allez va chercher dans le tiroir, le plug électrique…

- Oui…. Oui tout de suite Madame.

Joseph revint avec le plug métallique et se présenta devant le fauteuil de sa Maîtresse. La ceinture était faîte de telle façon qu’Elke n’eut pas besoin d’ouvrir la cage à l’oiseau pour fixer le plug. Elle prit néanmoins le temps de l'enduire de gel conducteur avant de l’enfoncer et de le verrouiller en position par un petit cadenas…

Ils furent interrompus par un toc-toc discret à la porte. Elke donna l’autorisation d’entrer. Une femme apparut.

- Ah c’est toi, cela tombe bien je voulais te voir. Mais je n’en ai pas totalement fini avec mon bjørneunge. Enlève tes vêtements et va donc m’attendre à genoux au pied de mon lit, le temps que je finisse !

La femme s’exécuta pendant que la Maîtresse du domaine finissait de fixer le boitier électrique dans le dos de Joseph au-dessus de la ceinture. Elle verrouilla le câble du gode, de façon qu’il ne puisse pas se détacher sans la clé spéciale, régla les options du boitier et donna une tape sur les fesses du soumis avant de le libérer.

- J’ai programmé une forte décharge toutes les quarts d’heure et tu as donc quinze minutes avant que la première survienne. Bonne nuit donc mon bjørneunge adoré.

- Je... Je souhaite une bonne nuit à Madame.

Et sur ce, il s’agenouilla pour baiser rituellement les pieds de sa Maîtresse comme chaque soir et chaque matin, quand il la quittait ou la retrouvait. Et puis Joseph s'en alla de la pièce en refermant avec précaution la porte derrière lui.

Elke se leva pour rejoindre le corps maintenant nu de son invitée. Elle s’arrêta au passage devant la commode pour choisir un dur fouet de dressage en cuir et se planta devant la future fouettée.-

- A nous ! Et tu vas déguster fort, car j’avoue que j’ai été déçue aujourd'hui ! 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 2 juin 4 02 /06 /Juin 22:18

dreamlover2000-w.jpg Je viens de recevoir un mail annonçant la séparation de la DL2000 en 2 modèles :

- la PRO qui reste à 1400$ (1000 euros) et qui a à peu près les caractéristiques décrites dans la rubrique à droite. Avec cependant une nouveauté que j'ai découverte : la surveillance des intensités des impulsions qui permettrait au dire de Dream LoverLab de détecter les soumis menteurs qui ne porte pas ou mal l'appareil sur le zizi. Pour cela, si j'ai bien tout compris il y aurait des mini-décharges à intervalles réguliers. 

- la LITE (légère) qui passe à 1000$ (700 euros). Pour cela les principales modifications physiques sont l'absence du moteur qui faisait du bien (voir la rubrique DL2000) et une batterie à durée de vie soit-disant plus faible (60 jours contre 90 jours). Le reste est du simple verrouillage de fonctions logicielles. Adieu donc le moteur d'excitation et les commandes associées, adieu les commandes silencieuses (une sorte de morse à base d'impulsions qui donnait des ordres aux soumis, adieu les possibilités de commander le machin depuis internet, adieu la possibilité de commander avec plusieurs télécommande le machin ou plusieurs machins avec la même télécommande. Mais le mode chien et le mode laisse restent.

De mon point de vue, le modèle PRO c'est pour les soumis des dominatrices PRO et le LITE est destiné plus pour les maitresses et soumis en couple. Je pense que peu à peu on va aller vers une simplification du produit qui demandait une Maîtresse BAC+12 !

dyonisos

PS : si vous ne comprenez pas tout, la base est

Par dyonisos - Publié dans : Les Objets
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Jeudi 2 juin 4 02 /06 /Juin 21:59

Entendue par Maîtresse N. sur une radio ce matin. Il s'agit d'une définition du sadomasochisme :

"FRAPPER AVANT D'ENTRER"

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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