Samedi 4 juin 6 04 /06 /Juin 10:35

CHAPITRE 10 - Soledgang

 Les quatre Maîtresse se remettaient doucement de leur soirée, assises sur le sofa autour de l’élégante table basse. C’était manifestement une nuit réussie comme Elke aimait offrir à ses invités, excitante et follement non conventionnelle, même dans le milieu du SM. Les soumis, Thomas, Nikka et Pierre avaient été rassemblés courbés côté à côte au travers de la table de chêne blanchi, maintenus dans leur position par une cordelette reliant leur collier à un anneau de l’autre côté de la table. Pour plus de sécurité, les hommes avaient eu un lien fermement et attaché à la base de leur verge en cage qui leurs maintenait sévèrement le sexe en tension au point d’accroche le plus proche. Nikka avait eu la chance de part sa nature féminine d’en être exemptée.

La conversation des femmes portait sur la journée à venir. Claire apprit que l’activité favorite de Noémie était de se dorer la pilule au bord de la piscine avec sa jeune soumise à ses pieds. Comme un temps de repos à ne rien faire, pour se remettre de l’hyperactivité de sa vie professionnelle. Elle était chef du marketing dans une grande boite internationale à Paris. Sa venue au domaine était une parenthèse bien loin du faste à Marrakech ou Gstaad dont elle était habituée. Elle ne cachait pas qu’elle avait le pouvoir et l’argent qui va avec. Cela lui permettait de vivre la vie qu’elle voulait, sans se préoccuper des autres. Sa présence chez Elke en devenait ainsi plus mystérieuse pour Claire. Mais elle-même ne connaissait leur hôtesse après tout que depuis quelques mois.

Les activités de Sophie avec Thomas étaient plus énigmatiques. Elle parlait simplement de prendre plaisir d’être avec son mari sans la contrainte des enfants. Claire cru comprendre que Sophie et Thomas n’avaient pas l’intention de beaucoup sortir de leur maisonnette pendant la journée du lendemain. A quelles activités s’y adonnaient-ils ? Vanille ou SM ? Claire ne le savait pas tellement le couple semblait, vu de l’extérieur, banal, et pourtant c’était cette Sophie qui avait livré son futur mari aux fourches d’Elke ou qui n’avait pas hésité à mettre sur les braises les couilles de Pierre. Mais leur présence dans ces murs était beaucoup plus évidente, vu le rôle de grande initiatrice joué par Elke lors de leur mariage. Sophie devait aimer revenir se ressourcer au Domaine. Il devait bien évidemment en être un peu différemment pour le mari avec le séjour de dressage initial et ses semaines annuelles de recyclage. Pour ce qu’elle en avait vu, Elke semblait toute douce mais Claire ne doutait pas une seule seconde qu’elle devenait une furie si elle le décidait contre tout soumis. Une main de fer qui se cachait dans un gant de velours au doux accent nordique. 

- Et toi Claire, que comptes-tu faire demain ? lui demanda Elke.

- Je ne connais pas la région alors je comptais visiter un peu les alentours avec  Pierre.

- Je dois aller demain en début d’après-midi à Saint-Prunien, c’est le plus gros village à côté de chez nous. Je dois passer à la banque pour une opération que j’aurais dû faire depuis longtemps et comme Joseph n’a pas évidemment délégation sur ma signature… C’est un joli bourg avec les ruines d’un château au sommet et quelques rues très anciennes. Cela te dit ?

- Oui nous serons enchantés de t’accompagner avec Pierre.

- Ca, cela ne vas pas être possible. J’y descends avec le cabriolet et je n’ai qu’une seule place passager.

- Bon on te suivra donc avec notre voiture…

- Mais qu’est-ce que tu t’embêtes, ma chérie, à faire suivre ton chihuahua. Un toutou soumis, c’est fait pour rester enfermé pendant que Maîtresse sort. Et le cachot dans l’écurie c’est fait pour cela de préférence après une bonne fouettée du cul pour le remettre à sa place. Alors c’est d’accord, Claire ?

Claire réfléchit rapidement et elle dut s’avouer que la pensée qu’elle allait prendre du bon temps, pendant que Pierre l’attendrait tout contrit dans sa prison, l’excitait follement. En une seconde, et au désespoir visible du chihuahua , elle prit sa décision et répondit :

- Oui avec grand plaisir ! Nous ferons ainsi…

- Nous partirons donc après le repas… Bon il s’agit maintenant de clôturer cette très bonne soirée les filles et d’aller nous coucher. Vous m’avez laissé le « chaud et froid ». C’est sympa. Quel soumis ou soumise vais-je donc choisir ? Humm…

Elle s’était levée et promenait sa main sur les trois croupes alignées au bord de la table. Elle passa sa main entre les cuisses de Thomas pour lui attraper les couilles et le lui serrer très fort. Le soumis torturé cria. 

- Toi ?

Elle lâcha Thomas pour prendre possession de la même manière de la virilité du chihuahua qui couina de douleur à son tour.

- Toi ?

Ce fût le tour de Nikka. Elle avait rentré tous ses doigts dans le vagin et s’amusa à tester l’écartement maximal qu’elle obtenait. La petite lesbienne soumise grimaça.

- Ou toi ?

Elke relâcha sa pression sur Nikka.

- Vos trois culs alignés m’amusent beaucoup. Alors ce soir, je vais user de mes prérogatives et je vous choisis tous les trois. Nous allons commencer à donner bonnes couleurs à vos fesses.

Elle avait tiré d'un tiroir un saisissant paddle en cuir qu’elle utilisa immédiatement pour frapper les globes tendus en offrande. Elke jouait une symphonie secrète  dont elle devait avoir la musique en tête, alignant plusieurs coups de suite sur la même fesse et sautant d’un coup vers un autre fessier. Le cœur des soumis se fit bientôt entendre, rythmé par les claps de la lanière de cuir. Mais bientôt, toutes les Maîtresses purent constater qu’Elke maîtrisait parfaitement sa chorégraphie avec des culs qui rougissaient en parallèle. Une vraie artiste ! Elle ne posa son instrument que quand les lunes furent devenues entièrement rouges. Elle n’eut même pas besoin de se reculer pour contempler son résultat, tellement elle semblait sûre d’elle-même. Satisfaite, elle laissa les derrières pour lubrifier les trois coroles obscures à l’aide d’une étrange pipette, puis alla dans la cuisine récupérer un bac dans le congélateur et revint devant les culs. Elke avait mis une longue paire de gants en latex, ce qui lui permettait de bien lubrifier chaque anus, avant de finalement y glisser un étonnant obus gainé d’une parure sombre. Et un. Et deux. Et trois. Tous subirent le même cérémonial.

Noémie demanda :

- Que leur as-tu mis ?

- Oh pas grand-chose, juste un suppositoire de mon invention que me prépare bjørneunge à ma demande, sans qu’il sache si c’est pour lui ou les autres. C’est en fait un glaçon creux avec une protection en plastique pour ne pas brûler les muqueuses internes. Et à l’intérieur, bjørneunge y a mis du tabasco. Le froid et le chaud !

- J’imagine la sensation. Mort de rire !

Pierre qui avait écouté, craignait ce qu’il allait arriver dans son cul. Il l’avait eu mauvaise quand il avait entendu la trahison de sa femme. Préférer l’enfermer pour avoir la paix ! Mais maintenant ce n’était plus son souci principal. Il avait durement ressenti l’intrusion directe des doigts d’Elke dans son fondement suivie de la sensation désagréable d’être fourré comme une dinde de Noël. La maîtresse du domaine n’avait pris aucune précaution pour lui enfiler son « suppositoire » diabolique. C’était extrêmement froid. Et il avait une peur panique de ce qui arriverait quand la glace aurait fondu. De ses lectures sur internet, il savait que cela serait sans doute très terrible. Il ne pouvait s’empêcher de penser à la glace qui fondait à l’intérieur, comme un compte à rebours, avant le déchaînement de douleur. Mais il ne fut pas longtemps à cogiter : la soirée était finie et chaque soumis repartait avec sa propriétaire habituelle.

Les Maîtresses se dirent bonsoir avant de partir chacune de leur côté avec leur chose bien tenue en laisse. Claire et Pierre prirent le sentier de retour vers leur petite maison sur les hauteurs. A leur grande surprise, il était balisé par des lampes qui diffusaient une faible lumière, sans doute des lampes solaires. Pierre avait la crainte au ventre. Aussi il prit le risque de s’en ouvrir à sa femme.

- Claire s’il te plait, laisse-moi éjecter le glaçon avant qu’il soit fondu !

La femme regardait son mari soumis avec surprise. Comme si soudain, elle redescendait sur terre et revenait à la réalité. Elle avait adoré l’ambiance excitante de la soirée. Elle reprit l’initiative :

- Qu’es-tu prêt à faire pour cela ?

- N’importe quoi !

- Vraiment ?  Humm laisse-moi réfléchir…

Claire attacha le bout de la laisse à un branchage er recula de deux pas pour réfléchir. La soirée avait été follement excitante pour une Maîtresse qui restait après tout débutante. Ses sens s’étaient enivrés de l’étrange atmosphère de domination sans fin. Elle avait aimé regarder ces corps se tordre sous l’épreuve et elle avait adoré au-delà du possible fouetter le fond de la chatte de Nikka. Elle n’aurait jamais imaginé prendre un tel plaisir à travailler sexuellement une fille. Que la vie était surprenante ! Et cette vie là – sa nouvelle vie – elle voulait la prolonger à tout jamais comme une fillette qui aurait découvert une boîte à succulents bonbons. Elle n’avait jamais été aussi consciente de la forte humidité qui li taquinait l’entrejambe. Peut-être était-il temps de consommer, maintenant ?

Elle se décida et revint vers son soumis. Elle lui déclara qu’elle accéderait peut être à sa demande, mais pas avant qu’il lui ait rendu un petit service – intime -. Claire installa le chihuahua par terre; le buste relevé et tenu en position par les bras légèrement tendus de l'homme. Elle prit son temps enlever son jean, qu’elle accrocha délicatement sur un buisson, et sa culotte suivie bientôt. Elle sentait le vent chaud de la nuit venir lui chatouiller les poils de sa foufounette. Et elle ne désirait rien de plus au monde que jouir de toute l’excitation accumulée de la soirée, maintenant et immédiatement.

Claire passa avec grâce sa jambe au-dessus de la tête de son soumis pour lui présenter les lèvres luisantes à hauteur de langue. Elle n’eut pas besoin d’ordonner. Pierre ne savait que trop bien quel service voulait sa femme en l’échange de sa libération. Et pressé, il se mit immédiatement à la lécher de toute son habilité. La femme l’accueillit d’un soupir mêlé de soulagement et de plaisir à venir. La langue venait délicieusement caresser les bords du vagin, cherchant à s’y enfoncer plus profond. Elle jouait de la résistance de l’ouverture, changeant de façon imprévisible ses mouvements. Oh comment  Claire aimait le travail de cette langue. Il n’avait pas à dire son chihuahua était doué pour lui donner ce plaisir et manifestement elle l’avait déjà bien entraîné depuis qu’il était tombé sous sa coupe. Elle se laissa aller émettant sans aucune gêne au milieu du bois des gémissements de contentement. Elle montait et sentait maintenant que la mécanique interne vers le nirvana était en marche irrévocablement. Elle lâchait de nouveau des flots de cyprine épicée que la bouche devait gérer, même ingérer, pour ne pas s’étouffer. Elle était si bien, si heureuse. La montée s’accéléra sous le magnifique travail de la langue. Elle avait toujours constaté que Pierre était bien meilleur suceur quand il était son soumis. La machine s’emballait maintenant. Claire sentait le tsunami de plaisir naître et elle n’attendait plus qu’il déferle. Elle serra instinctivement les jambes pour mieux goûter des caresses de sa chose. Et puis cela explosa magnifiquement dans un long cri aigu de jouissance qui résonna dans le silence de la chaude nuit !

Claire se remettait peu à peu alors que la bouche en dessous reprenait son souffle. Qu’il était agréable d’avoir un homme soumis à disposition. La tête cherchait à se retirer. Elle la retint dans sa position par les cheveux.

- tss, tss, tss. Pas bouger le chihuahua, j’ai encore besoin des services de mon toutou. Ouvre grand la bouche !

Elle contempla sadiquement le regard de bête affolée dans les yeux de son soumis. Sans doute l’explosion dans ses entrailles devait avoir commencée, mais elle n’en avait pas fini avec son toutou, pas totalement. Il lui devait un dernier petit service intime.

Claire rajusta sa position au-dessus de la bouche sottement ouverte, écarta ses grandes lèvres de ses doigts et libéra sa vessie par petites giclées directement dans le palais, en lui laissant le temps d’avaler chaque gorgée, ses yeux plantées dans ceux de sa chose. Elle écumait tout le vin qu’elle avait bu dans la soirée. Et cela prit longtemps... Elle voyait bien que le corps de chihuahua avait commencé à se convulser entre ses pieds. Trop tard ! pensa-t-elle, mais elle croyait que quand une Maîtresse avait décidé quelque chose, il était fondamental pour son autorité qu’elle aille jusqu’au bout quoi qu’il en coûte à son soumis. Elle finit donc de se soulager dans la bouche de Pierre, comme si c’était la chose la plus normale du monde. Et quand elle eut terminé, elle s’enleva et l’autorisa à expulser ce qu’il pouvait encore. Elle vit une lueur de soulagement dans ses beaux yeux dorés qu’elle avait toujours adorés.

La Maîtresse et le toutou en laisse reprirent leur chemin, lui avançant tant bien que mal à quatre pattes sur le sol épineux. Elle devait tirer sur la laisse de temps en temps quand elle trouvait qu’il ne mettait pas assez de volonté à avancer plus vite. Arrivés devant la maisonnette, elle lui fit faire une halte au pied d’un bouleau pour ses besoins avant de se retrouver enfermé pour la nuit. Le chihuahua en était tout troublé car il avait oublié la présence de la maudite cage, ou il n’avait pas cru qu’il y passerait ses nuits. Il voyait là nettement qu’une nouvelle phase de leur relation avait commencé et bizarrement cette perspective l’excitait doucement. Il aurait le temps d’y penser pendant sa longue nuit entre les barreaux…

La chambre d’Elke était très différente du reste du domaine. Elle tenait étonnamment plus de l’alcôve romantique que du style épuré nordique. Au centre trônait un imposant lit à baldaquins en frêne massif. Des tapis persans aux teintes rouge recouvraient le parquet et les murs en pierre étaient tapissés de lourdes draperies chatoyantes. 

Elke avait passé un déshabillé de dentelles blanches et s’apprêtait manifestement à aller se coucher. Joseph était présent aussi comme chaque soir pour le rituel du coucher. Il était d’usage qu’il ne puisse aller dormir avant sa Maîtresse, comme il devait être aussi présent à son réveil. C’était souvent ses seuls moments d’intimité avec sa Maîtresse danoise. Il était tout nu muni de sa seule ceinture de chasteté métallique et intégrale qu’il portait en permanence depuis quinze ans. Et sur ce point, Elke avait été très claire quand elle l’avait accepté comme soumis personnel. 

Il était en train de démêler la longue chevelure cendrée de sa Maîtresse, comme chaque soir et chaque matin. Quand il aurait fini elle le renverrait dormir dans sa niche spartiate au-dessus de la cuisine. Il ne passait jamais ses nuits dans la chambre de sa propriétaire. Elke semblait heureuse et commença à discuter :

- Dis-moi, mon bjørneunge adoré, depuis quand n’as-tu pas éjaculé ?

- Vous m’avez gentiment trait par la prostate, il y a cinq semaines, Madame.

- Non pas les traites, ça c’est juste pour l’hygiène. Non pas avec une vraie éjaculation à l’ancienne ?

- Euh… c’était il y a sept mois pour mon anniversaire, Madame.

- Ah oui, j’avais oublié. Comme le temps passe vite… Bon je crains que tu doives encore attendre un peu, je ne vois pas ce qui vaudrait cette faveur. Et en plus après je trouve que tu te ramollis trop. C’est embêtant. Comme maintenant, ton accueil de Maîtresse Claire n’a pas été si bien fait que d’habitude. Tu as sans doute besoin que je t’aiguillonne un peu pour t’aider à te concentrer sur tes devoirs.

- Vous… vous avez certainement raison, Madame.

- Bien sûr que j’ai raison, mon bjørneunge adoré , après tout  je suis ta Maîtresse, et je sais quand j’ai besoin de t’aider à te reconcentrer sur tes tâches. Allez va chercher dans le tiroir, le plug électrique…

- Oui…. Oui tout de suite Madame.

Joseph revint avec le plug métallique et se présenta devant le fauteuil de sa Maîtresse. La ceinture était faîte de telle façon qu’Elke n’eut pas besoin d’ouvrir la cage à l’oiseau pour fixer le plug. Elle prit néanmoins le temps de l'enduire de gel conducteur avant de l’enfoncer et de le verrouiller en position par un petit cadenas…

Ils furent interrompus par un toc-toc discret à la porte. Elke donna l’autorisation d’entrer. Une femme apparut.

- Ah c’est toi, cela tombe bien je voulais te voir. Mais je n’en ai pas totalement fini avec mon bjørneunge. Enlève tes vêtements et va donc m’attendre à genoux au pied de mon lit, le temps que je finisse !

La femme s’exécuta pendant que la Maîtresse du domaine finissait de fixer le boitier électrique dans le dos de Joseph au-dessus de la ceinture. Elle verrouilla le câble du gode, de façon qu’il ne puisse pas se détacher sans la clé spéciale, régla les options du boitier et donna une tape sur les fesses du soumis avant de le libérer.

- J’ai programmé une forte décharge toutes les quarts d’heure et tu as donc quinze minutes avant que la première survienne. Bonne nuit donc mon bjørneunge adoré.

- Je... Je souhaite une bonne nuit à Madame.

Et sur ce, il s’agenouilla pour baiser rituellement les pieds de sa Maîtresse comme chaque soir et chaque matin, quand il la quittait ou la retrouvait. Et puis Joseph s'en alla de la pièce en refermant avec précaution la porte derrière lui.

Elke se leva pour rejoindre le corps maintenant nu de son invitée. Elle s’arrêta au passage devant la commode pour choisir un dur fouet de dressage en cuir et se planta devant la future fouettée.-

- A nous ! Et tu vas déguster fort, car j’avoue que j’ai été déçue aujourd'hui ! 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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