Vendredi 22 avril 5 22 /04 /Avr 19:00

CHAPITRE 3 - Dobbelt Fødsel

Pierre était rentré le premier. Jamais il ne s’était senti aussi humilié et mal à l’aise.  Il avait envie de quitter immédiatement ce lieu. Mais argumenter avec elle n’avait jamais été facile, et cela était même devenu plus difficile les dernières années. Il était loin le temps où elle tenait chacune de ses phrases comme une Sainte Parole et il arrivait de moins en moins à obtenir gain de cause dans leur dispute.

La visite ne fit que lui confirmer dans quel lieu, elle l’avait emmené. Le salon par l’où on rentrait avec tout d’une pièce normale très lumineuse avec  des grandes baies cadrant la nature et une mignonne petite cheminée dans un angle. Mais le seul mur aveugle portait des anneaux de fer scellés, ainsi qu’un râtelier avec un choix d’outil de flagellation et des cordes pour immobiliser. On atteignait la petite cuisine par quelques marches. Une cuisine tout à fait normale sauf qu’un détail lui sauta immédiatement aux yeux : il n’y avait qu’une seule chaise devant la table. En enfilade, se trouvait la chambre aussi sombre que le salon était clair, éclairée par de toutes petites fenêtres à raz de plafond. Le mobilier était très sobre : un lit en bois, un banc et… une cage infiniment noire, aux lourds barreaux d’acier, juste à la taille d’un homme – un soumis pour être précis -, ce genre de modèle que l’on ne voyait que dans les films spécialisés. Cela se saisit au plus profond de son être et il en était effrayé. Il resta un long moment à la fixer en redoutant le moment quand il y serait enfermé – car il ne doutait pas une seule seconde que sa Maîtresse ayant accès à ce type d’objet puisse ne pas s’en servir.

Il sursauta quand Claire lui mit une main sur son épaule.

Elle avait attendu avant de se décider à rentrer et à affronter la peur de Pierre. Au moment de rentrer, elle avait respiré un bon coup pour prendre de l’air avant de passer en apnée. Elle n’aimait pas ce qu’elle allait faire, mais elle était intimement convaincue que cet abus était nécessaire. Elle ne s’était pas attardée pas sur les équipements du logis. Grâce à Elke, elle savait déjà tout.

Pierre s’était retourné. Son visage était livide.

- non je ne veux pas… allons-nous en s’il te plait ma chérie…

Elle avait décidé à l’avance de rester silencieuse.                                                                      

- Cette femme qui me regardait si profondément…  cet homme qui ta fait un baise main… cette cage…

Elle voyait tout le trouble qui avait envahit Pierre, mais elle s’y attendait.

- Partons s’il te plait… cet endroit me fait peur. Partons vite.

Les derniers mots avaient été dit d’un mince de voix…  Pierre restait le regard fixé sur la cage. Elle laissa le silence tombait dans la pièce pendant un moment avant de répondre.

- Nous ne partirons pas de ce lieu chihuahua car, vois-tu, JE l’ai choisi avec soin et il est parfait pour faire ce que J’ai décidé. Tu ne sais pas ce que tu veux. Tu me fais chier tout le temps, avec ton besoin d’être soumis et quand je te le propose tu te défiles ! Alors j’ai choisi pour Moi puisque tu n’arrives pas à te décider. Merde après tout tu vas te défiler en permanence ? Tu veux être MON soumis ou non ? Ton choix est simple… Soit tu pars d’ici immédiatement pour satisfaire ta petite personne, mais moi je reste! Soit tu m’obéis et tu te soumets immédiatement en allant au coin après t’avoir enfilé ton plug favori dans le cul. JE vais attendre dehors que tu ais décidé.

Et sur ces mots, elle quitta la chambre et sortit du bâtiment sans lui laisser le temps de répondre. Elle avait beau y avoir réfléchi intensément ces derniers mois, elle n’avait pas trouvé d’autre possibilité de gérer ce moment. Elle en avait aussi longuement discuté avec Elke qui l’avait conforté dans cette idée. Alea jacta est.

Elle prit son temps profitant  de la beauté du lieu avant de se décider à rentrer voir comme cela avait tourné.

De retour dans la chambre, elle eut la satisfaction de voir qu’il l’attendait le nez contre le mur, le pantalon aux chevilles et avec le plug qui dépassait de son derrière. La vue du petit cul nu de son soumis était si excitante à en mouiller. Finalement cela n’avait dû être pas si difficile que cela pour lui de se décider à se soumettre. Elle en était presque déçue qu’il n’est pas montré plus de résistance. Elle ne savait pas ce qui l’avait décidé en fin de compte, mais le résultat était là devant ses yeux : un soumis cul nu tout appétissant ! Elle se laissa aller à profiter le plus possible du moment en défaisant ses affaires  tranquillement comme si c’était une journée comme les autres. Pierre qui l’avait entendu arriver sembla à un moment devenir impatient et bougea de plus en plus. Elle répliqua immédiatement : Pas bougé le chihuahua ! Ce qui eut pour effet de le raidir immédiatement dans sa position.

Elle s’assit un moment sur le banc pour contempler les 2 fesses qu’il lui montrait. A la pensée de ce qu’elle allait leur faire subir – la phase 2 de Elke – elle en mouilla encore plus. Oh comme elle allait aimer ce moment. Elle finit par se relever pour aller chercher au salon de quoi l’attacher et le frapper. Le désir de la dominatrice déferlait en elle alors qu’elle étudiait de quel instrument elle allait se saisir sur le râtelier. Il y a avait une dizaine de cravaches, fouets et autres baguettes mais une avait un mot attachée à la poignée par une cordelette mauve. Il disait :

 

Cette cravache fait partie de ma collection personnelle que je t’offre
Elle me semble l’instrument parfait pour ce que tu vas faire
Pense que cela va être une double naissance :
celle d’une Reine et celle d’un soumis
C’est un moment rare : profite s’en bien.

Elke.

 

L’instrument était magnifique avec un manche sculpté dans un bois très noir. Elle cingla l’air de quelques coups : Elke avait eu encore une fois raison, c’était l’instrument parfait.

De retour dans la chambre, elle courba Pierre sur les barreaux de la cage. Aucune résistance, comme il semblait docile. Elle prit son temps pour lui attacher les mains le plus loin possible, et les chevilles légèrement écartées. Au passage elle découvrit que Pierre montrait sa plus belle forme. « Cela ne va pas durer », pensa-t-elle.  Elle finit sa préparation en remontant le bas de se chemise sur ses reins et en descendant au plus bas l’ensemble du pantalon et du slip. Elle recula alors d’un pas pour contrôler l’allure général du tableau, qui la satisfit.

Claire se plaça alors à côté de sa cible et aillant saisi sa cravache, commença la raclée « mémorable » qu’elles avaient prévue avec Elke, comme acte fondateur. Le premier coup parti avec toute la force qu’elle pouvait mettre dedans, siffla dans l’air et vint s’abattre contre la fesse tendue. Le chihuahua lança un long cri de surprise et de détresse. Il tenta de se ruer dans ses liens sans succès. Elle jeta rapidement un coup d’œil à la cible : la peau avait éclaté sur l’impact et déjà un peu de sang suintait. Loin de l’effrayer, cela la rassura sur sa capacité à marquer l’esprit de Pierre. Elle lança un deuxième coup. Puis un troisième visant une zone différente à chaque fois. Elle attendait quelques secondes entre chaque lancé et repartait de plus belle. Elle se réglait sur ses cris qu’elle voulait puissants et aigus. Quand il ne criait pas assez, elle frappait plus fort le suivant. C’était une raclée, pas un jeu !

Elle n’avait pas compté, mais elle finit par faire une pause autour du quinzième coup. Elle avait besoin de reposer son bras. La vue du cul ensanglanté de son soumis la mettait dans un état d’excitation avancé, et là elle était sur un plateau. Elle se rappela qu’elle devait parler, lui marquer l’esprit comme le corps. Elle commença :

- ce n’est qu’un aperçu de ce que tu vas endurer tant que tu ne seras pas parfaitement dressé !

Pour ponctuer sa phrase, elle ne résista pas à lui donner une cinglée supplémentaire qui le fit crier intensément.

- Je n’accepterai plus jamais que tu cherches à me résister. Plus jamais.

Un autre coup pour lui faire bien rentrer dans la tête qu’elle y était déterminée.

- Je t’aime mais tu as vraiment besoin que je te remette les idées en place mon petit mari macho.

Elle terminait chacune de ses phrases d’un coup cinglant sur ses fesses.

- Tu as voulu jouer mais maintenant on va appliquer mes règles à moi.

Schlak !

- Il va falloir que cela change à la maison et que tu sortes de ta bulle !

Schlak !

- Tu ne t’occupes jamais des enfants, c’est toujours moi qui se démerde quand ils sont malades !

Schlak !

- Les lessives. Le ménage c’est pour moi pendant que mon mari traîne sur internet. Là aussi cela va changer !

Schlak !

- Tu vas voir je vais te dresser mon petit chihuahua ! Tu vas être le mari parfait et tu n’as pas intérêt à rechigner ! Je veux le parfait toutou à ma botte et je l’aurai ! Si je pense que tu ne te bouges pas assez vite et suffisamment, tu seras cocu mon chéri avant que tu es le temps de t’en apercevoir. Il y a cet architecte qui me plait beaucoup au boulot….

Schlak ! Schlak ! Schlak ! Schlak ! Schlak !

Elle fit une nouvelle pause pour contempler le résultat. Le cul du chihuahua était strié de balafres où s’échappait du sang suintant. Mais cela ne lui suffisait pas. Elle mouillait sans cesse et ne voulait pas arrêter. C’était une raclée qu’avait dit Elke après tout !

- Prépare-toi, ce n’était que le début. Voilà la vraie punition !

Et elle recommença à frapper régulièrement et méthodiquement. C’était si jouissif ! Elle ne s’arrêta que quand elle prit conscience que Pierre ne criait plus et pleurait sous la cravache. Ses fesses étaient un vrai désastre. Elle le libéra et le consola un moment entre ses bras, sans réussir à calmer ses pleurs. Il était devenu maintenant un animal craintif face à sa Maîtresse.

- va te nettoyer sous la douche tu fais vraiment pitié à voir mon pauvre chéri. Et tu profiteras pôur te raser autour du zizi comme il sie à une petit garçon.

Au sortir de la salle de bain Pierre souffrait encore beaucoup mais l’eau chaude l’avait quand même un peu apaisé. Il avait été choqué par la violence qu’elle avait déclenchée envers lui. Et pourtant à bien y réfléchir il ne lui donnait pas tort dans ses arguments, car au fond elle avait raison et il avait été trop idiot pour en prendre conscience. Il était presque à se dire que sa punition  si douloureuse était à la hauteur de sa paresse et il l’aimait d’autant plus qu’il se sentait honteux d’avoir été si égoïste ces dernières années. Oh oui il l’aimait sa femme. La cinglée avait été un enfer pour lui. Jamais il n’aurait imaginé autant souffrir. Mais avait été aussi une expiation. Il se promit de tout mettre en œuvre désormais pour ne jamais retourner dans la même position.

Il trouva Claire étendu sur le lit. Elle était nu en bas et écartait impudiquement les jambes. Il savait ce qu’elle attendait de lui. Il se glissa dans son entrejambe tout en faisant attention à ne pas attiser la douleur sur ses fesses et commenca à sucer du mieux qu’il pouvait. Après tout, sa femme pour sa clairvoyance le méritait. Elle appréciait manifestement l’hommage. Elle haletait, râlait, couinait, venait lui pendre parfois la tête pour l’enfoncer plus profond. Il variait les hommages. Parfois la langue sur le bouton, parfois les dents. De temps en temps, une pointe inquisitrice dans le trou si béant à jouer avec les bords. Et le plaisir montait chez Claire, explosait puis repartait de plus belle. Cette femme était magnifique et méritait toute son obéissance.  Elle serrait maintenant de plus en plus souvent les cuisses de jouissance, et il devait lutter pour rester au contact. Elle ne semblait pas se lasser mais lui commençait à se fatiguer de la langue. Pourtant il ne cessait pas l’hommage. Elle finit dans une longue plainte de plaisir qu’elle interrompit à son climax en lui repoussant la tête. Il essaya de revenir en position, mais elle se mit sur le côté, en ayant eu suffisamment sans doute.

Claire s’était assoupie, vaincue par les hormones. Il ne savait que faire, se sentant de trop sur le lit. Il se décida pour aller se remettre dans le coin, cette fois à quatre pattes dans l’angle de la pièce et ressassant la leçon qu’elle lui avait donné. Et surtout réfléchissant comment éviter à l’avenir de se retrouver dans une si douloureuse situation.

Quand Claire se réveilla, elle chercha des yeux sa moitié et elle vit avec satisfaction qu’il s’était remis de sa propre initiative au coin. Elle admira l’état de ses fesses, dont elle était responsable. Le sang avait disparu, et son cul était barré de haut en bas de long traits rouges. Il y a avait quelques balafres qui avaient éclaté sa peau. Mais globalement vu la force qu’elle avait mise, le résultat était moins désastreux qu’elle aurait cru. Ou alors il été capable d’endurer plus qu’elle aurait imaginé.

Elle se leva et se rapprocha de son soumis. Elle s’arrêta derrière ses talons et lui parla comme elle aurait parlé à ses enfants.

- le petit garçon n’a été pas sage et a dû être puni. Mais maintenant il sait quelles bêtises, il a commis et qu’il va faire attention dans le futur d’être beaucoup plus obéissant. Maintenant il va se dépêcher de remettre sa tétine dans son petit trou, de mettre son collier et d’enfermer son petit zizi de garçonnet dans sa cage. Il mettra des jolis vêtements pendant que Maman ira prendre sa douche.

Claire se sentant beaucoup plus fraiche après la douche, finit de s’habiller avant de s’occuper à nouveau de son soumis. Il se présenta  devant elle pantalon baissé, pour côté pile lui faire constater que son trou était bien embouché et côté face pour lui présenter sa cage pour être verrouillée par ses soins. Il avait remis son collier de soumis, mais elle ne trouvait pas cela satisfaisant à 100%. Elle alla chercher un cadenas dans la valise pour verrouiller le collier. Il ne dit rien et referma son pantalon. Elle reconnut qu’il portait les plus belle affaires qu’ils avaient prises : un jean blanc et une chemise de lin. Il était si élégant dedans.

Il était plus que temps d’aller dîner et ils partirent ensemble, sans l’avoir au préalable remis en laisse.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 20:44

CHAPITRE 2 - Herskerinde og gartneren

L’intérieur de la bâtisse était assez luxueux,  avec un escalier à volées de bois montant à l’étage. Claire ouvrit la porte marquée Réception.

La pièce  était éclairée par éclairaient pas des grandes baies avec un comptoir qui occupait le milieu de la pièce. Au fond l’ouverture vers la pièce suivante ne laissait pas voir grand-chose à part des placards. Claire actionna la sonnette sur le dessus du comptoir.

Le bruit d’une chaise dont on se lève se fit entendre dans la pièce du fond, et bientôt une femme apparut. Elle était grande avec de magnifiques cheveux cendrés. Elle  portait un haut en lin blanc et un pantalon crème. Elle devait être à la fin de sa cinquantaine et ce que Claire remarqua tout de suite, c’était ses magnifiques yeux sombres.

- bonjour, vous devez être Claire. Je vous attendais…

A la voix teintée d’un léger accent étranger, au timbre scandinave, Claire ne pouvait pas se tromper : il s’agissait de Elke !

- heureuse de vous rencontrer en chair et en os Claire.

L’expression avait été dite avec un phrasé très particulier, comme si elle avait été apprise par cœur. Subitement Claire se sentit gênée : il l était si simple d’échanger par mail, mais là c’était réel.

- … bon-jour

- vous avez fait bon voyage ?

- oui.

- je vous ai installé dans maison du haut, vous devriez être tranquille. Joseph vous y amènera avec la voiture électrique.

- Merci. Pour le paiement, voulez-vous que je vous règle tout de suite ?

Elke rit.

- non, non tu pourras le faire en partant. Et puis stoppe utiliser vous. Je n’ai jamais rien compris dans le français. Dans mon pays, vous existe mais n’est vraiment pas utilisé par les personnes. Ce n’est pas normal comme chez toi. C’est juste pour les courriers de l’Etat. Je crois même que dans  Suède, ils ont fait une réforme pour supprimer. Alors tu dis tu et je dis tu.

- comme vou… tu veux.

- Et puis tu sais, vu qu’on va faire ensemble à ton mari, nous serons à la fin comme deux amies

Ces premiers propos avaient eu l’avantage de détendre un peu Claire. Elke continua :

- je pense que tu es pressée d’aller à la maison, mais j’ai besoin que tu me donnes des informations 

- ce que tu veux…

- bon d’abord, ton homme tu l’appelles comment ?

- Pierre

- non son nom quand il est soumis à toi !

- ah oui….

- sois pas gêné  toi. Ils ont tous un petit nom. Moi Joseph je appelle bjørneunge  cela veut dire enfant de ours en danois. Mais Joseph est aussi exotique pour moi qui ne suis pas française.  Alors des fois je me contente cela.  Alors ton soumis à toi, comment appelles-tu ?

Claire répondit à demi voix et tout en rougeur maintenant qu’elle appelait son soumis, chihuahua. C’est la première fois qu’elle le disait à une étrangère et cela lui faisait tout drôle. 

- qu’est-ce que veut dire ?

- c’est le nom d’une race de chien… très petit.

- ah oui je comprends. Tu as un petit chien à maison !

- oui c’est cela.

- et bien je verrai l’animal à toi. Tu veux toujours que tu m’as écrit ?

- oui, j’ai bien réfléchi et je le souhaite

- bon je t’aiderai. Il mange tout ? Pas allergies ?

- non pas que je connaisse

- le repas est à huit heures dans  la maison bois à côté. Ah j’oubliais… Ce week-end nous avons un couple BDSM de femmes avec  soumise. La dernière fois, nous avons eu gros problèmes avec bite homme tout dure à côté de soumise femme. Je préfère éviter cette fois. C’est un problème pour toi pour mettre la bite de ton homme en chasteté belt pendant le week-end ? Du moins en dehors maison.

Les yeux de Claire venaient de s’illuminer, elle n’avait pas prévu ça, mais aimait déjà l’idée.

- Non il connait déjà

- Je préfèrerais car dernière fois, cela a créé une grosse colère. Tu en as une chasteté belt , ou je prête toi une.

- Non on a une que nous avons prise… au cas où.

- Alors tout est ok.

- J’appelle Jos… bjørneunge pour les bagages.

Elle avait dit cela avec un sourire complice envers Claire qui lui avait rendu à son tour un immense sourire. Elke avait réussi à la détendre à nouveau. elle venait de saisir une de ces télécommandes qu’utilisent les chasseurs – comme l’oncle de Claire – pour le dressage des chiens de chasse et avait appuyé sur un des boutons.

- Joseph va arriver. C’est un machin électrique qu’il porte autour de son penis et c’est lui qui a trouvé. Il permet moi de l’appeler au bout du domaine comme une sonnette. Allons voir ton homme maintenant.

Pendant ce temps Pierre – ou chihuahua – attendait à l’extérieur attaché à son anneau. La situation lui échappait et il avait envie de fuir ce lieu. Il n’arrivait pas à se il décider car craignait plus que tout la réaction de sa femme. Le conflit déclenchait une cascade d’adrénaline. Il suait beaucoup et si elle était là, elle lui aurait sans doute dit qu’il puait. Il fixait sans cesse les entrées de la cour, craignant que quelqu’un arrive. Mais tout était calme… pour le moment.

Il fut surpris par l’arrivée des femmes, et sa première réaction aurait été la fuite si Claire n’était pas venue le chercher pour le rassurer.  Il avait l’impression que la femme aux cheveux cendrés – qui devait être cette Elke – le jaugeait des pieds à la tête comme on juge un canasson à la foire. Quelque chose de non humain, mais de purement utilitaire. Cette femme pris la parole :

- bonjour Pierre, bienvenu dans mon domaine. 

L’introduction était sobre mais chaleureuse. Pourtant cette femme l’inquiétait par l’influence qu’elle avait sur Claire. A son invitation, il lui sera la main sans se départir de l’impression que c’était une irréalité qu’une femme serre la main d’un homme enchaîné au mur. Mais les caresses de Claire faisaient leur effet apaisant. 

Bientôt le e bruit d’un moteur électrique se fit entendre : une voiturette à l’image de celle que l’on trouve dans les haras apparue arrivait conduite par un homme dont l’habillement ressemblait à celui d’un jardinier du 19ème siècle.

Le véhicule s’immobilisa et Joseph en descendit. C’était un homme qui devait avoir plus ou moins 50 ans, avec les rides qui commençait à apparaitre sur le visage. Ses habits étaient parfaitement portés et manifestement il ne supportait pas une seule once de graisse sans paraître trop maigre. Il se mit en attente au pied du perron de la bâtisse en attendant manifestement qu’Elke s’exprime.

- Joseph, je te présente Maîtresse Claire et son soumis chihuahua

A ces mots, Joseph mis un genou à terre et en prit la main de Claire y déposa un court baiser comme cela devait être l’usage dans les anciennes cours royales. Pour Pierre, il se contenta d’un signe de la tête mais il n’y fit pas attention tellement le comportement de Joseph l’avait médusé.

Pendant ce temps, Pierre était reparti dans son labyrinthe émotionnel.  Il avait été saisi qu’Elke ait employé son nom secret que personne ne connaissait. Il jeta un regard plein d’inquiétude vers sa femme sans obtenir de réponse en retour. Ses muscles étaient tendus et il n’était pas rassuré du tout. Il avait hâte de se retrouver dans une intimité rassurante avec Claire. Mais cela ne serait pas pour tout de suite.

Elke leur souhaita une bonne installation et rentra dans la bâtisse, les laissant dans les mains de Joseph. Ce dernier invita Claire à monter dans le siège passager à l’avant, puis alla décrocher la laisse du chihuahua et le tira jusque dans la benne arrière.  Il rattacha la laisse à l’arceau derrière Claire en lui laissant très peu de liberté. Joseph s’installa au volant à côté de Claire et démarra.

Ils firent d’abord un arrêt au niveau du parking. Pierre avait essayé d’en profiter pour faire mime d’aller décharger les bagages et se débarrasser de la mise en laisse si humiliante, mais Joseph avait stoppé son élan en lui disant qu’il n’avait pas besoin de se descendre et que c’était sa tâche, et qu’il devait attendre bien sagement en « toutou » soumis. Claire se retourna pour lui faire sentir comment elle avait désapprouvé sa tentative.

- Claire….

- Couché le chien ! Tu jacteras quand nous serons seuls !

Il en resta coi. C’était la première fois que Claire lui parlait ainsi d’une façon aussi directive. Les sacs atterrirent dans la benne à côté du chihuahua  et la voiturette repartit.

Ils descendirent un chemin derrière la maison principale et arrivèrent dans étonnant petit vallon, dont on n’aurait pas deviné la présence en cet endroit. Il était barré en son milieu d’un barrage de terre retenu par un mur de pierres  qui retenait un étang lové au milieu du bois avec une étrange cabane flottante dessus. Il y a aussi une construction en pierre assez massive en contre-bas.

Le véhicule s’engagea sur la levée de terre. Au passage, Joseph leur donna quelques explications :

- la construction en bas c’est ce que Maîtresse Elke appelle le « fessoir ». et là-bas c’est notre sauna flottant, que je ne puis que vous conseillez, Maîtresse Claire, vivement d’essayer.

Claire se promit immédiatement d’y aller pendant que Pierre être pressé d’être arrivé pour enfin avoir enfin une explication avec Claire en privé.

La voiturette traversa complétement le vallon et monta le coteau opposé au milieu des arbres. Au sommet la végétation changeait avec  la présence de bouleaux avec leur écorce blanche et grise poussant entre des roches affleurantes. Ils arrivaient bientôt à leur destination une élégante maison de bois nichée au milieu des arbres qui donnait à l’ensemble une allure inhabituelle presque scandinave.

Claire commençait à appréhender la discussion à venir avec son mari. Elle était déterminée à y arriver. Pourtant à cet instant, elle ne savait pas comment elle allait y arriver. Elle jeta un coup d’œil rapide vers Pierre. Sa tête était toute blanche. Cela n’allait pas être facile mais elle s’était promis de tenir sa ligne directrice.

Le véhicule s’arrêta devant la maison. Joseph commença  à descendre les valises qu’il rentra dans la maison. Claire avait décidé d’attendre, mais libéra Pierre qui sauta immédiatement hors de la benne et rentra dans la maison. Joseph eu vite fait et aida Claire à descendre.

La voiturette redémarra et elle regarda un moment Joseph disparaitre avant de se décider à rentrer dans la maison…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 12:00

CHAPITRE 1- Ankomsten

Ils avaient quittés l’autoroute maintenant et roulaient plein est. 

Le week-end en amoureux commençait très bien. Pierre et Claire étaient partis le matin avec les enfants. Comme prévu, ils s’étaient arrêtés pour déjeuner chez les parents de Claire d’un de ces très bon repas où l’on adore laisser mitonner les cocottes des heures. Les gamins étaient ravis de retrouver les grands parents. Tout allait pour le mieux, un vrai moment de sérénité familiale. Puis le café passé, les enfants les avaient presque mis à la porte, pressés  d’être en liberté chez Papy et Mamie. Cela les avait doucement amusés, mais ils s’étaient laissés volontiers faire, pressés de commencer enfin leur long week-end en amoureux.

Du moins c’est ce qu’ils avaient raconté aux parents et aux enfants. Quoique cela ne fut pas totalement faux. De l’amour il y en aurait, de la complicité aussi. Mais c’était quelque chose de différent de ce que les grands et petits imaginaient.  Il y avait 2 ans maintenant, leur couple n’allait plus très bien, non des disputes mais un amour qui se muait en quelque chose assez proche de la simple amitié avec le respect qui allait avec. Ils ne faisaient plus qu’épisodiquement l’amour et ne prenaient plus le temps de partager les choses de la vie en complicité.

Cela les désolait l’une et  l’autre, mais même cela, ils n’arrivaient pas à le partager.  Il y eut heureusement un déclic un soir d’été, où Pierre proposa tout d’un coup d’essayer des choses nouvelles comme le SM. Claire n’avait pas rejeté l’idée immédiatement ; il était si rare qu’ils parlent d’eux ainsi ensemble. L’idée avait fait un peu de chemin et ils s’étaient mis d’accord de le tester pendant les vacances des enfants… La première fois avait été très maladroite. Il y avait comme une gêne entre eux, comme deux adolescents qui se voyaient la première fois nus. Mais il n’y avait pas à dire, ils avaient adoré  leur nouveau jeu, surtout quand Claire avait pris fermement dans sa main les couilles de l’homme qu’elle aimait.

La boîte de Pandore resta ouverte à la suite de cette première journée. Le SM leur offrait tellement de possibilités à explorer. Ils passèrent alors sans doute par les mêmes étapes  que les autres couples dans leur cas, apprenant elle à donner et lui à recevoir, alignant les premières fois : le premier collier, la première prise au gode de son entre-fesses, les premières tapes sur les fesses. A cause ou grâce à la vie familiale, ils avançaient en pointillés, sans grande activité pendant des mois et accélérant en quelques jours. Tout cela rejaillissait aussi sur leurs accouplements classiques, qui étaient redevenus aussi intenses qu’au tout début. Ils revivaient dans la complicité, redevenant à l’approche de la quarantaine des amants.

Peu à peu, tout naturellement, le jeu avait débordé de la chambre pour envahir la maison et bientôt l’extérieur. Tout cela semblait un peu improvisé à chaque fois, mais ils aimaient vraiment se donner l’un à l’autre.  En 10 ans de mariage, jamais il n’avait passé autant de temps entre ces cuisses à lui donner du plaisir de sa langue et il y prenait goût. Elle avait aussi découvert le plaisir de tenir le pénis de son mari bien sagement enfermé dans une cage de chasteté pour de courtes périodes.

Un observateur attentif du couple aurait sans doute remarqué que Claire était devenue moins réservée et un peu plus décidée, y compris pour ce qui concernait le couple et que manifestement Pierre la laissait faire. Elle s’affirmait un peu plus chaque jour. 

A la fin de l’hiver, elle avait décidé de leur organiser un week-end à deux. Elle appela ses parents pour caser les enfants et rechercha un lieu. Elle lui avait demandé de poser des jours pour la date choisie. Il avait voulu en savoir plus mais elle avait évité la réponse en se lançant dans une de ces grandes retranscriptions de sa journée qu’elle savait qu’il détesterait écouter. Cela avait marché, au bout de 2 minutes, il était reparti à ses activités.  Plus tard, elle s’était assurée qu’il avait bien posé les jours demandés.

A deux semaines du départ, elle lui avait comprendre au détour d’une conversation, qu’il s’agirait d’un week-end de jeux D/S. A ces mots la bite de Pierre avait jailli, et elle avait poussé son avantage, jusqu’à amener la tête de son homme entre ses cuisses. Il avait été parfait et elle avait longuement joui. 

Puis la date approchant, il était devenu curieux. Il avait essayé en vain d’en savoir plus, mais elle gardait avec vigilance son secret. Impossible d’avoir un seul indice sauf qu’il devrait préparer quelques accessoires de la boite à malice dans la penderie de la chambre.

Quand il fut l’heure de partir, le secret tenait bon et Pierre, résigné, avait renoncé à en savoir plus.

Une fois partis de chez les grands-parents, Claire lui avait indiqué la sortie d’autoroute à emprunter quelques 200 km plus au sud. Comme à son habitude, elle se laissait conduire et bientôt, elle s’était assoupit à l’heure de la sieste dans le siège passager. Pierre ne savait pas où ils allaient et cela le rendait un peu mal à l’aise. Mais les pensées d’être à nouveau son soumis l’excitaient doucement avec la sensation nette de sa bite mouillée lâchant du pré-sperme, qui était souvent le signe annonciateur de descente dans cet état de soumission qu’il adorait.

Au péage, Claire s’était réveillée et lui avait indiqué une nouvelle direction sur une départementale. Le dernier CD acheté se faisait entendre dans la voiture et Claire était manifestement très  détendue. Pierre décida de voir s’il pouvait retirer quelques informations de son sphinx énigmatique. 

- Mon amour, on est bientôt arrivé ?

- Tu es impatient ?

- Non, c’est juste pour savoir….

- Nous ne sommes plus très loin maintenant.

- Où va-t-on ?

- Allez je suis sympa… je te donne quelques infos… je nous ai réservé une chambre d’hôte. J’ai discuté par mail avec la propriétaire, elle est très sympa et l’endroit semble magnifique.  Tu vas être étonné.

- Tu as échangé avec la propriétaire ?

- Oui, c’est une femme très intéressante.  Elle est danoise mais vit en France depuis 15 ans. Et surtout, elle offre une grande liberté pour nos jeux. Tu devrais être heureux. Au fait tu as bien pris ce que je t’avais demandé dans la boîte.

- Oui.

Pierre était surpris que sa femme ait pris l’initiative de réserver une chambre d’hôtes. Il ne voyait pas comment on pouvait jouer à des jeux d’adultes dans une chambre à proximité de la propriétaire. A moins que celle-ci soit dans la confidence, mais tout cela n’augurait rien de bon. Claire ne le laissa pas longtemps dans ses pensées, car il était temps de changer de direction.

- Ok, bon si j’en crois mon itinéraire, tu changeras de direction dans ce village. Tu prends la direction de St Mixine.

Pierre aurait bien relancé la conversation pour en savoir plus, mais Claire alluma la radio pour écouter les informations de 17h, ce qui coupa son envie. 

Au bout de quelques kilomètres, elle lui prendre un nouvelle itinéraire à un croisement à patte d’oie et ils roulèrent encore un peu.

- Ne va pas trop vite, on ne devrait pas être loin maintenant.

Ils avançaient maintenant au milieu d’une zone boisée. Pierre restait inquiet, il n’y avait rien qui ressemblait à un lieu habitable autour. Claire de son côté regardait régulièrement le compteur kilométrique.

- Ralentis un peu…  Cela devrait être par-là sur la droite. .. oui c’est là… prend à droite.

Ils s’engagèrent sur un chemin qui s’enfonçait dans le bois. Il était indiqué par une  pancarte marquée « Le Domaine ».Ils  descendaient légèrement dans le bois passèrent une grille en fer qui obligea Pierre à descendre du véhicule.  La route faisait une dernière courbe avant de dévoiler ce qui devait être leur terminus. Ils voyaient un mur pignon en pierre au bout de la perspective alors qu’ils suivaient un champ abritant des chevaux pur-sang.

Bientôt le simple mur de pierre se dévoilait être un ensemble de bâtiments plus vaste composé d’une bâtisse centrale et d’autres constructions en ailes, formant une cour au centre. Les jardins autour  étaient manifestement très bien entretenus  par la main  de l’homme  et contrastaient avec le désordre du bois qu’ils venaient de traverser.  Ils n’eurent pas plus de temps pour observer, avant de devoir obliquer pour suivre la direction indiquée d’un parking. Pierre gara la voiture et sortit rapidement pour s’étirer et surtout fumer une cigarette. Claire rassemblait ses affaires pendant ce temps-là.

Le parking n’était très vaste mais bien ombragé à l’ombre de grands arbres. D’autres voitures l’occupaient déjà. Claire savourait ce moment avant que Pierre se doute du piège. Depuis le départ de la maison, elle mouillé, même chez ses parents. Mais depuis qu’il était arrivé, c’était le vrai déluge. Elle aurait souhaité se coucher immédiatement dans l’herbe et jouir de la langue de son soumis. Mais c’était trop tôt. Tout cela finirait par venir à son heure. Pour l’instant, elle jubilait d’avance du moment où il prendrait conscience du coup qu’elle lui avait préparé. 

La cigarette se finit et Pierre écrasa les restes sur le sol. Elle reprit l’initiative.

- allons à la réception !

Pierre comme à son habitude marchait quelques pas devant. Un panneau indiquait la direction de la réception, mais il avait aussi en dessous une petite pancarte indiquant « NOS AMIS LES SOUMIS DOIVENT ETRE TENUS EN LAISSE DANS LE DOMAINE ». Claire le savait déjà. Pierre resta figé sur place. Tout d’un coup il découvrait ce que sa femme lui avait caché. Claire jeta un coup d’œil à sa face qui n’avait jamais été aussi blanche. Le choc était manifestement important.

Alors comme elle l’avait prévu, elle décida de mentir. Elle émit un petit rire nerveux de mieux qu’elle put mais où Pierre s’il l’avait attentivement écouté, aurait reconnu de l’excitation, et lança la phrase maintes fois préparée.

- Suis-je bête ! Elke me l’avait écrit. Les soumis ne sont pas admis en liberté dans le domaine.

- Mais Claire tu n’es pas sérieuse… tu ne veux pas…

- Pierre tu dis que tu m’appartiens mais quand je te demande de le prouver…

 - Mais si quelqu’un nous aperçoit…

- Alors tu n’auras qu’à dire que tu appartiens à ta Maîtresse.

- C’est trop risqué…

- Il n’y a pas de mais. Tu m’appartiens et c’est tout. Alors oublie cette pancarte… Moi, ta Maîtresse, JE veux que tu ailles chercher ton collier que JE t’ai fait prendre et JE veux te le mettre autour de ton cou. On ne va pas y passer dix ans.

- Mais…

- Tu m’énerves à la fin. Tu veux être mon soumis et tu bassines tous les jours avec cela mais quand je te le demande, tu rechignes. Bon cela suffit maintenant, TU METS IMMEDIATEMENT TON COLLIER ou le week-end est fini avant d’avoir commencé et nous retournons passer quelques jours chez mes parents. Et n’oublie pas la laisse. Tu l’as prise au moins ? Allez au trot mon soumis !

Il avait fallu beaucoup de préparation et de courage à Claire pour tenir cette position. Elle savait que Pierre rechignerait mais la réussite de ce qu’elle avait en tête dépendait de ce premier moment, où elle prendrait le pouvoir. Pierre hésitait, doutait, craignait visiblement.  Elle le regarda droit dans les yeux avec  toute l’assurance que lui apportait son excitation. Au bout d’un moment suspendu, il finit par baisser les yeux et par s’exécuter à contrecœur  en trainant un peu les pieds vers leur voiture. Elle était soulagée, cela ne c’était passé finalement moins mal qu’elle l’avait escompté.

Pierre revint avec son collier et la laisse. Sa figure était maintenant blanche. Elle le fit mettre à genoux avant de lui ajuster le collier de cuir autour du cou et de fixer la laisse à l’anneau. Elle termina en ajustant a longueur de excédentaire autour de sa main. Une fois fait, elle le tira doucement en avant pour lui intimer l’ordre de se relever. 

L’attelage avait fière allure : Claire devant et Pierre derrière au bout de la laisse. Il ne mettait manifestement pas grande volonté à avancer et elle devait le tirer plus en avant à chaque pas.

Ils finirent par déboucher dans la cour entre les bâtiments avec la grande bâtisse au centre et les deux ailes qui donnaient de la majesté à l’ensemble. Claire les dirigea vers la grande porte d’entrée. Un panneau était fixé à côté. Il représentait un homme attaché à un anneau devant une porte stylisée avec l’inscription « J’ATTEND MA MAITRESSE A LA PORTE ».  Cela Elke ne lui en avait pas parlé. Elle regardait comment elle pouvait faire quand elle vit un anneau scellé dans le mur de la bâtisse à hauteur d’homme. Elle y attira son soumis en le tirant par sa laisse avant d’y accrocher l’extrémité par un double nœud dans l’anneau. 

- Désolé mon amour, mais tu vas devoir m’attendre ici…

Et sur ce elle, s’engouffra dans la maison, laissant son mari stupidement planté devant la façade, attaché par le collier et sans avoir eu le temps de réagir.

Dogs Must Be On Leash


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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 07:42

 

89% pour voir tout de suite c'est un score de dictateur africain. Et que 2 qui veulent attendre dont ma réponse quand j'ai testé le sondage ! Vous n'avez plus rien à lire ? 

Bon je cède à la vox populi...

Et le premier chapitre sera en ligne à midi aujourd'hui !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : blog
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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