Vendredi 29 avril 5 29 /04 /Avr 14:24

Et non il n'est pas encore publié mais je vois que vous êtes nombreux à l'attendre ! Cela serait donc sympa de me laisser un commentaire pour dire comment vous avez trouvé les 5 premiers chapitres, vous les lecteurs silencieux. Cela m'encouragerait à poursuivre l'écriture !

dyonisos

PS : ma Maîtresse qui a lu le chapitre 6 en avant première, l'a trouvé très mouillant. 

Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 08:09

CHAPITRE 5 - Udstoppet kalkun

Elke ne rata pas Pierre :

- Et bien je vois que ce jeune chiot a encore besoin d’un peu de dressage pour apprendre la propreté !

Ce qui fit s’esclaffer toutes les Maîtresses présentes y comprit Claire qui venait de comprendre comment son soumis avait finit tout mouillé. Mais Maîtresse Elke ne l’entendait pas de cette oreille et  envoya Joseph quérir le martinet en plastique, après avoir obtenu l’autorisation de Maîtresse Claire pour le punir.

- allez chihuahua, en position mon petit !

Elle prit le soumis par le collier pour mettre d’autorité sa tête entre ses jambes avant de refermer ses cuisses autour du cou de la pauvre bête déboussolée.  Et elle commença à lui chauffer le dos à un bon rythme. La réplique avait été brutale et Pierre ne l’avait pas vu arriver. Maintenant il couinait sous les coups perdant sa dignité. Maîtresse Elke mettait de l’ardeur à lui faire comprendre quel devrait être le bon comportement à l’avenir.

Puis tout cela prit fin aussi soudainement que cela avait commencé. Pierre était effondré sur le carrelage le dos rougi et avait du mal à se calmer. Claire avait donné depuis le début blanc seing à Elke mais elle lui était reconnaissante néanmoins de ne l’avoir frappé sur ses fesses déjà bien abimées.

Comme s’il ne s’était rien passé, Elke était redevenue très enjouée.

- Bon Mesdames, et si nous commencions notre soirée ?

Entremetteuse, elle organisait les échanges de soumis :

- Bon alors nous avons ici un mâle de 40 ans bien dressé. A qui je confie sa laisse ?

Noémie la prit avec Thomas à son extrémité. Puis Claire récupéra Nikka. Il ne restait donc que Sophie qui prit en main un Pierre tout penaud et se remettant difficilement de la dernière séquence.

La petite troupe traversa la cour précédée du majordome qui leur éclairait la voie avec le feu ondulant d’une torche. En procession, ils se dirigeaient vers l’aile opposée de la cour, un bâtiment presque sans ouverture. Joseph les attendait devant l’entrée : une petite porte  en pierre taillée surmontée d’une inscription énigmatique (« hus elskerinder »). Dans le chambranle, un battant en bois ancien complétait la majesté de l’accès. Claire fixait l’énigmatique inscription au-dessus de la porte, ce que ne manqua pas de remarquer Elke.

- Cela veut tout simplement dire que derrière c’est pour nous les Maîtresses !

Et sur ce, ils rentrèrent tous à l’exception de Sophie qui glissa un dernier mot à Joseph, avant de les suivre.

L’intérieur était étonnant : une pièce aérée très différente des « donjons » que l’on rencontre dans l’imagerie BDSM. Des meubles de bois clair et de grands aplats de couleurs gaies sur les murs. Des lampes épurées fournissaient une lumière très chaleureuse. Dans l’ensemble on aurait dit une pièce de vie très féminine avec banquettes, table de chêne blanchie et même un coin cuisine. Tout juste pouvait-on reconnaitre de ci de là des meubles à utilisation nettement plus marquée pour les jeux entre une Maîtresse et son soumis : une banquette en cuir blanc qui semblait l’endroit idéal pour le fustiger, des anneaux de fer fixés sur la tranche de la table pour l’attacher, une cage aux montants en acier brossé pour l’enfermer.

Les Maîtresses remisèrent leurs soumis d’un soir, côte à côte avec leurs colliers sagement attachés à la table. Pendant ce temps, Elke avait ouvert une bouteille de St Joseph blanc et servi les verres.

- à la vôtre Mesdames.

Elles trinquèrent avec plaisir. Le vin était délicieux et parfait pour finir la journée.

- Alors Claire comment trouves-tu ma hus elskerinder ? Ma maison des femmes à moi ?

- Elle est très étonnante et j’avoue être séduite. Je trouve que les donjons ne font souvent que refléter l’imagerie des mâles – Maître ou soumis - avec tout ce noir.

 - Oui et c’est pour cela que je le voulais différent. Juste un endroit où je me sente à l’aise pour m’occuper de bjørneunge. Quand nous avons transformé la propriété en maison à hôte, la pièce est devenue tout naturelle la maison des femmes. Enfin plus précisément des femmes Maîtresses avec soumis.

- Tu l’utilises souvent avec  bjor… enfin Joseph, demanda Noémie.

- bjør-neun-ge !  En fait plus très souvent. Plutôt quand nous n’avons pas d’invités. Joseph obéit beaucoup mieux depuis quelques années et il est moins puni. Quand je ne suis pas contente, je l’emmène plutôt dans une autre pièce plus petite située sous la maison pour le punir. Il déteste y aller et fait tout pour l’éviter. Bon un autre verre les filles ? 

L’ambiance entre elle commençait à être bien détendue. Sophie avait enlevé ses chaussures et Claire sentait les premières bulles d’alcool arriver au cerveau. Elke reprit :

- Bon c’est cuisine ce soir. Qui commence ?

- Moi, répondit Noémie, car j’ai besoin de temps pour laisser mariner.

- Que vas-tu nous faire ? demanda Sophie.

- Une recette que je sers de temps à temps à Nikka quand elle n’a pas été sage.

- Tu éveilles notre curiosité… Qu’est-ce que c’est ?

- Vous aller le voir les filles. Il me faut du lait, une racine de gingembre et du poivre.

Les trois soumis au pied de la table ne perdaient une miette de la conversation. Pierre aurait bien essayé de discuter avec les deux autres, mais Nikka avait deviné son intention et de regard insistant lui avait enlevé l’envie de parler. Bien lui a pris, car au même moment, Pierre en changeant de position toucha de son pied une console derrière lui, sans conséquence mais le bruit que cela fit, leur valut à tous les trois un rappel à l’ordre d’Elke : Silence les toutous !

Noémie avait disposé les ingrédients sur la grande table. Le gingembre fut d'abord taillé en forme de plug grossier. Puis dans un grand bol en inox, elle mélangea le lait avec une quantité indigeste de poivre moulu. Elle commentait pour ses spectatrices :

- Dans la campagne où j’allais passer mes vacances enfant, ma grand-mère racontait souvent que les anciens utilisaient le poivre pour calmer les ardeurs des jeunes adolescents. J’ai  découvert les vertus du gingembre avec un Maître qui l’utilisait sur sa soumise. Je trouve que les deux avec la douceur du lait donne un mélange étonnant sur les soumises pas assez obéissantes.

Elle s’interrompit pour fouiller dans les placards avant d'en extirper une seringue de cuisine. Il lui manquait qu'une chose : un batteur de cuisine qu’elle n’avait pas trouvé. Elle demanda à Elke, qui transmit la demande à Joseph par interphone.

- En attendant, allons chercher l’invité principal !

Elle se saisit de la laisse de Thomas qu’elle installa cul en l’air la joue collée sur la table. Elle lui rattacha le collier étroitement à un anneau, prête à procéder. On frappa à la porte.

- Autorisation d’entrer, dit Elke

Joseph apparut avec la boite d’un batteur électrique sans doute prélevé dans les stocks de la cuisine. Il le confia aux bons soins de Noémie avant de s’arrêter pour glisser quelques mots à l’oreille de Sophie. Il disparut aussitôt.

Thomas s’était un peu effondré pendant l’interruption, ce qui lui valut une tape sur les fesses.

- Toi, tu gardes la position !

Noémie avait pris la seringue et aspiré une partie du bol. Elle ajusta l’embout au centre de l’anus de Thomas et lui injecta sans se presser le contenu. Puis elle remplit à nouveau la seringue pour continuer à farcir le soumis avec la mixture. Elle recommença une dernière fois en pressant fortement le bout de la seringue contre l’anneau pour améliorer l’étanchéité. Le lait avait du mal à rentrer. La face de Thomas faisait maintenant la grimace alors que le liquide progressait dans ses entrailles et que le poivre commençait son action d’irritation sur les muqueuses.  Noémie continua de presser le liquide jusqu’à vider la seringue.

- La deuxième étape, Mesdames, est de bien mélanger le tout.

Elle ouvrit la boite du batteur et prit son temps pour choisir l’accessoire qu’elle utiliserait. Elle renonça à contrecœur à prendre les fouets pour monter les blancs en neige, donc la largeur aurait empêché l’intromission, et se rabattit sur un malaxeur à pâte en forme de tire-bouchons d’une taille beaucoup plus acceptable (la largeur de 2/3 doigts). Elle enduit d’huile un seul accessoire, laissant son frère jumeau dans la boîte, puis elle le monta sur la tête de l’appareil. Elle présenta le tout à l’entrée de l’anus du soumis, sans lui avoir jeté auparavant un regard pour se repaître de sa visible appréhension. Noémie commença  à pousser pour forcer l’entrée. Charitable, venait de passer devant Thomas pour l’immobiliser d’une main ferme par le collier. A voir la figure du supplicié, l’objet avait du mal à pénétrer. Mais ce que Maîtresse veut…  Il finit donc par l’avaler dans un long cri ce qui lui valut une claque de rappel à l’ordre de sa propre Maîtresse. Mais ce fut rien par rapport au moment où sa tourmentrice mit l’appareil en marche. C’était horrible ! Thomas avait l’impression qu’un régiment de Sénégalais lui ravageait le derrière. Son arrière train partait en tout sens cherchant à échapper à l’infernale machine, mais Noémie suivait le mouvement pour le maintenir bien profond. Quelques coulées de liquide marronnatres arrivaient cependant à s’échapper. Thomas dans ses vains mouvements n’arrivait qu’à faire battre la machine en contact avec les parois et à avoir encore plus mal. En plus le mélange lui irritait complétement les muqueuses maintenant. Il ne cessait de crier surtout quand Noémie augmenta la vitesse.

Cela avait duré tout au plus qu’une ou deux minutes, mais cela avait été une éternité pour Thomas. Pierre avait entendu et surtout perçu les chocs dans la table alors que le soumis cherchait à échapper à son sort. L’état de rêverie érotique était fini et la peur prenait le dessus sur lui.

Pour terminer, Noémie avait retiré avec précaution  le batteur, non pour ménager la chose mais pour éviter de trop perdre de liquide dans l’opération. Le trou béant avait été immédiatement bouché par le bouchon de gingembre. Elle l’avait libéré et fait redescendre de la table. Lorsque les lois de la gravité agirent sur le déplacement du liquide à l’intérieur et que la chaleur du gingembre se diffusa, il devint tout pâle avec des larmes au bord des yeux. Il n’arrivait pas à rester immobile tortillant le derrière d’une façon qui amusait beaucoup les Maîtresses. Impitoyable, Noémie lui fit lécher une à une les taches de lait salies sur la table. Puis le chihuahua fut emmener se faire reposer dans la cage du coin. Les Maîtresses le regardèrent un moment se tordre de douleur sous l’action du liquide et l’irritation des composants.

- Je vous avais dit, triompha Noémie, que le mélange avait quelque chose de détonant ! Nikka n’aime pas du tout cela ! Ce qui la motive habituellement à éviter de s’y retrouver soumise.

- Je vois l’effet et j’aime beaucoup, répondit Claire. Je vais la mettre dans mes recettes favorites !

Ce qui fit éclater de rire toutes les Maîtresses présentes. Comme Thomas faisait manifestement trop de bruit avec ses plaintes, Noémie décida au dernier moment de la bâillonner. Puis elles le laissèrent à son tourment sans que Noémie l’ait mis formellement en garde contre toute « cochonnerie » dans la cage.

- Comme tu sais pour moi un pénis cela n’a aucune utilité et je n’hésiterais pas à te le fouetter à vif !

Elke servit de nouveau un verre de vin blanc aux filles. Et leur conversation reprit autour de la rencontre de Noémie avec Nikka.

- La première fois que je l’ai vu, elle venait de me rayer la portière de mon coupé Audi avec son scooter. J’étais furax. Nikka de son côté était paniquée et craignait plus que tout de le dire à ses parents, surtout son père, malgré ses tout nouveaux 18 ans. En larmes, elle m’a supplié de trouver un arrangement. Elle était apprentie vendeuse dans un magasin et elle économiserait pour me rembourser intégralement. J’étais pressée alors j’ai pris son numéro de téléphone et l’adresse de ses parents en lui disant que je la rappellerais pour régler cette affaire.

- Tu savais ce qu’il arriverait ?

- Non pas à ce moment, même si à bien y réfléchir son côté de petite fille apeurée avait attisé mon intérêt.

- Alors qu’est-ce qu’il s’est passé ?

- Trois jours plus tard, je suis rentré d’un déplacement  et j’ai vu le papier avec son numéro. Je l’ai appelé pour la convoquer une heure plus tard à mon appartement. Elle était avec ses amis au Mac-Do et ne pouvait pas – soit disant – venir tout de suite. Je n’accepte jamais comme me dise non, alors j’ai haussé le ton en lui disant que si elle n’était pas d’ici une heure à l’adresse que je lui donnais alors je m'adresserai à ses parents. Et sur ce, je lui ai raccroché au nez !

- Elle est venue ?

- Bien sûr mais moins vite que j’aurais cru. Mais le principal était qu’elle soit là. Elle a sonné et je l’ai fait entrer dans mon appartement. Cette fois, j’ai pris mon temps pour la regarder de haut en bas, sans rien dire, la mettant mal à l’aise. Elle était vraiment mignonne à croquer.

- Elle ne savait pas que tu aimais les femmes ?

- Non à ce moment-là, elle était loin de s’en douter ! Une vraie agnelle qui avait été gardée éloignée de la vraie vie par des parents beaucoup trop maternants. Elle avait préparé un papier où elle avait calculé combien elle pourrait me rembourser par mois. Une vraie misère car à ce rythme, elle aurait fini de rembourser les réparations dans plusieurs années. Elle m’a juré qu’elle ne pouvait pas faire plus pour l’instant mais à la fin de l’année scolaire, elle espérait être embauchée dans le magasin et donc augmenter son remboursement. Je pense qu’elle n’avait aucune idée du coût des réparations chez Audi. Elle attendait manifestement que je lui donne mon accord.

- Tu as fini par lui donner ?

- Non pas tout de suite. Je trouvais qu’elle s’en sortait à trop bon compte. Et puis je dois avouer que j’avais la culotte complétement mouillée depuis son arrivée. Alors j’ai décidé de pousser l’avantage et j’ai feint de me mettre en colère. Je lui ai dit que non ça n’allait pas du tout, et que c’était beaucoup trop long. Je lui ai annoncé un devis farfelu de 4290€ que je venais d’inventer et je lui ai  demandé de me rembourser au plus vite. Elle m’a répondu que c’était impossible pour elle. Je lui ai rétorqué que c’était elle qui a voulu procéder ainsi et si ce n’était pas réalisable, j’allais régler cela directement avec ses parents. Elle m’a suppliée de ne pas le faire en fondant en larme. Qu’elle serait punie si son père l’apprenait. Elle s’était mise à genoux pour me supplier sans se rendre compte que plus elle s’enfonçait, plus cela m’excitait. Je l’ai laissé pour aller ostensiblement chercher le téléphone. Elle pleurait de plus belle et c’est là que je lui ai tendu un piège fatal.

- De quel type ? demanda Claire.

- Je lui ai dit d’une voix soudain aussi faussement adoucie que l’avait été ma colère : Mademoiselle, ne vous mettez pas dans tous ces états. Je comprends que vous craignez la réaction de vos parents, mais je suis une femme intègre. Qu’importe le temps du remboursement, cela m’embête que vous échappiez à la punition que vous avez méritée compte tenu de votre sotte conduite. Elle me regardait avec le fol espoir du condamné croyant échapper à la potence. Je repris : vous admettez Mademoiselle que cela mérite une punition ? Elle a laissé échapper un petit oui ne sachant pas où je voulais en venir. Alors j’ai prononcé la sentence : cette punition vous sera donnée par vos parents ou… par moi maintenant et ici même. Et moi les petites filles qui ont fait une bêtise, je leur donne la fessée cul nu. Je vous laisse le choix. J’ai observé ses yeux s’affoler alors qu’elle comprenait qu’elle était coincée. Son visage était tout rouge de honte et de pudeur renversée. J’ai remis la pression : Alors Mademoiselle, dois-je appeler vos parents ? Elle se dépêcha de répondre non. J’avais décidé de l’achever : que voulez-vous donc ? J’aimerais pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté que vous le disiez à haute voix ! Elle s’est forcée à dire : je veux… Madame… que vous me donniez la … fes…sée … cul… nu… pour ma bêtise… Je jubilais : à la bonne heure une bonne fessée pour une petite fille ! Maintenant dépêche-toi de baisser ton pantalon et ta culotte avant que je change d’avis !

Pierre écoutait aussi l’histoire tout en regardant Nikka qui avait pris une bonne couleur et fuyait son regard. Oublié un moment la peur, il bandait dans sa cage étroite en imaginant la scène relatée.

Au-dessus, Noémie continuait de parler :

- Son derrière laiteux était merveilleux et cela a été un plaisir de le faire rosir, de voir les effets des claques se propager sur la peau des fesses. Elle poussait des cris de petite fille effarouchée mais c’était une vraie soumise qui s’ignorait. La petite mouillait abondamment sur ma jupe et ne pouvait pas le cacher : je sentais l’humidité au bout de mes doigts à chaque aller-retour. Le plaisir montait visiblement en elle sous mes tapes. J’ai arrêté au bout d’une longue séquence, je n’en pouvais plus et mes mains me faisaient mal. Je l’ai prise sur mes genoux pour jouer de mes doigts une symphonie avec son abricot et la petite a été d’orgasme en orgasme.

- Nikka venait de trouver sa vraie nature ! déclara Elke.

- Plus que cela et mon nouveau jouet m’excitait au plus haut point. Mais je voulais m’en délecter avant de consommer. Alors je l’ai fait mettre complètement nue pour l’attacher aux quatre coins du lit, laissant sa foufoune sans défense face au travail du martinet. Et là ce fut pour Nikka une toute autre histoire !

- Nikka venait de passer sous la dure coupe de sa nouvelle Maîtresse, plaisanta Sophie.

- Oui et le même soir, complétement matée, j’ai commencé à lui enseigner comment donner du plaisir à une femme… avant de lui pendre sa virginité au gode ceinture au petit matin. Depuis, elle a quittée ses parents - à leurs grands regrets - pour moi. Nikka a été finalement embauchée dans la boutique et elle me loue officiellement une chambre de bonne que je possède dans mon immeuble. En fait, elle n’y est pas très souvent, sauf quand je l’y enferme pour passer une nuit tranquille avec une amante. Et l’argent du loyer qui est versé sur un compte d’épargne auquel elle a accès, lui sert à acheter de quoi la dresser selon mes demandes. En ce moment, elle «économise » depuis 1 an pour acheter une ceinture de chasteté.

Elke interrompit la conversation.

- Bon c’est pas tout les filles, mais il y a encore deux soumis qui nous attendent. Qui prend la suite ?

Sophie s’avança.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Samedi 23 avril 6 23 /04 /Avr 07:34

Le Carême est fini : il est temps de s'y remettre !

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Et en clin d'oeil à Soumis Pissotte comme quoi quand on veut, on peut !

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Et pour vous mes lecteurs, je vous offre le 4ème chapitre du Domaine et malheureusement dernier totalement écrit. Il faudra attendre la suite (sniff, sniff, sniff -> oui je sais c'est dur !).

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : blog
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Samedi 23 avril 6 23 /04 /Avr 07:30

CHAPITRE 4 - Aftensmad

Ils arrivèrent  un peu en avance. La terrasse profitait des derniers rayons de soleil, avant qu’il disparaisse derrière la colline. Deux femmes assises autour d’une table de jardin attendaient à côté d’Elke. Joseph avait revêtu une impeccable tenue de majordome et finissait avec classe de servir les coupes d’apéritif. A  leurs pieds, se tenaient un soumis et UNE soumise. 

Le premier couple était 100% féminin avec une dominante au début de sa trentaine et une soumise, très jeune, pas plus de 20 ans. Noémie en jupe et chemisier ouvert sur le décolleté, avait de longs cheveux blonds qui lui retombaient sur les épaules. Tout dans son allure indiquait une certaine sophistication et une grande assurance. Elle devait certainement tenir un poste d’encadrement supérieur dans son travail. Au bout de la laisse posée sur ces genoux, se tenait sa soumise. Ses cheveux d’une blondeur nordique étaient rassemblés en une seule natte d’adolescente qui pendant sur son dos. Elle portait un harnais constitué de bandes de métal qui lui enserrait la poitrine et lui faisait saillir les mamelles. Elles se croisaient en X dans le dos pour permettre d’y attacher la laisse. Sa tenue se complétait d’une queue d’animal enfilée dans le derrière, de gants en forme de pattes animales et d’un collier dans le même métal que le harnais. Manifestement la soumise était une petgirl, qui, pour l’instant, était lascivement allongée sur le côté, bras et jambes au repos, laissant entrevoir la naissance des lèvres vaginales ce que Pierre ne rata pas.

La Maîtresse du second couple était une personne que l’on n’aurait pas remarquée dans la rue, semblable à des milliers d’autres femmes. 40 ans environ, des lunettes et des cheveux châtains. Quelqu’un que l’on n’aurait pas aussi imaginé dans un rôle dominant. Le soumis mâle qu’elle tenait attachée au montant de sa chaise, avait le même âge. Il était assis au garrot complètement nu à part le collier et une cage métallique sur son sexe. Son corps était musclé, légèrement hâlé et sans un seul poil apparent.

Elke invita Claire à s’assoir. Il n’y avait évidemment qu’un seul fauteuil qu’elle prit laissant Pierre debout derrière ne sachant que faire. Cela fit sourire Elke : ils sont si mignons ces jeunes soumis dans leur manque de dressage. Alors elle lui vint en aide :

- Alors chihuahua tu ne sais pas que l’on se met par terre quand les Dames s’assoient !

Elle regarda sa face rougir immédiatement et la confusion apparaitre dans les yeux. Claire ne fit rien pour le sauver. Elle avait une petite lueur amusée dans son regard. Pierre finit par s’exécuter et s’agenouiller par terre à contrecœur.

Elke fit les présentations. La Maîtresse à la soumise s’appelait Noémie et de prime abord elle parut très sympathique à Claire. L’autre dominante s’appelait Sophie et était manifestement très à l’aise.

Leurs soumis par terre avaient Nikka et Thomas comme nom.  Joseph vint s’enquérir auprès de Claire de ce qu’elle désirait boire et repartit immédiatement amener la coupe demandée.

Les 4 femmes parlaient de leur journée. Claire comprit que les deux autres couples étaient là depuis le début de la semaine et que Noémie était une amie d’Elke. La conversation était tout à fait neutre, et aucune ne faisait attention aux soumis par terre. Les Vous tombèrent très naturellement au profit des Tu. A un moment, Sophie finit par demander à Claire pourquoi son soumis n’était pas tout nu ? 

- Je viens tout juste de commencer son dressage. Et tout cela est nouveau pour moi comme pour lui, du moins sous cette forme. Mais tu as raison, ce n’est pas équitable aves les autres.  Serait-il possible d’avoir une paire de ciseaux ?

Joseph qui comme tout majordome était l’oreille aux aguets, rapportait déjà l’instrument demandée. Claire recula sa chaise et ordonna au chihuahua de se mettre debout. Alors méticuleusement, elle découpa les vêtements de la chose en prenant garde à laisser durer le suspense pour ne  rien complètement dévoiler avant le dernier coup de ciseaux. Les autres femmes s’étaient rassemblées en cercle autour et même les soumis suivaient la scène avec curiosité. La chemise fut réduite méticuleusement en lanières. Pierre était devenu pivoine. Elle lui enleva ses chaussures mais ne savait pas qu’en faire. Noémie vint à son aide en demandant à sa soumise Nikka de pisser à l’intérieur, ce qu’elle fit sans une once d’hésitation. Claire s’attaqua alors au bas (pantalon, ceinture et slip) et agit si bien que seul le dernier coup de ciseaux dévoila les parties cachées : le chihuahua montrait maintenant devant l’assemblée réuni  ses fesses régulièrement striées.

- Eh bien, dit Elke, voilà donc un soumis qui n’a pas été sage.

Et toutes les Maîtresses rirent de bon cœur, avant que Claire ordonne à son soumis de se remettre à quatre pattes.

Elke les invita alors à passer à table. Chaque Maîtresse prit son soumis en laisse pour entrer dans le bâtiment. La pièce était coupée en deux par une cheminée. D’un côté la grande table d’hôte où Elke présidait. De l’autre un espace dévolu aux soumis, où chacun et chacune avait une gamelle à son nom. Claire fit comme les autres et attacha la laisse de Pierre à l’anneau scellé dans le sol devant sa gamelle. Elle lui caressa la tête avant d’aller s’assoir à la place désignée par Maîtresse Elke. Aussitôt, Joseph arrivait avec les entrées.

Claire apprit beaucoup de ce premier repas en commun. D’abord sur l’organisation : les Maîtresses mangeaient en premier et les soumis devaient attendre la fin de leur repas avant d’avoir droit aux restes. Il leurs était d’ailleurs interdit de parler pendant le diner des Maîtresses. Elke avait fait prendre des cours de cuisine à Joseph pour le transformer en parfait Maître Queux. A juste raison, car les plats qu’il servait étaient vraiment succulents. Claire apprit aussi que Joseph dormait à part à l’étage au-dessus de la cuisine, sauf si sa Maîtresse réclamait son service en chambre.  Claire était détendue et bientôt parfaitement à l’aise aux côtés des autres dominantes. C’est comme si elle était en fin elle-même…

Le diner prit fin et les femmes se retirèrent dans la bibliothèque, pendant que Majordome Joseph préparait le thé.  Pierre ou chihuahua avait eu l’intelligence  de rester silencieux jusqu’à présent et il n’avait pas perdu une  miette de la conversation des Maîtresses. Mais une fois la pièce vide, il osa poser une question à ses congénères.

- Cela se passe toujours comme cela ?

Thomas lui répondit.

- Oui, mais tais-toi tu vas nous faire repérer !

Joseph arrivait pour apporter le plateau de thé à la bibliothèque. Il repassa rapidement avant de retourner dans sa cuisine.

- Comment vous vous appelez ?

- Thomas.

- Nikka.

- Moi c’est P… chihuahua

Ils n’eurent pas le temps de discuter plus, que déjà Joseph revenait en poussant un charriot de cuisine. . Il prenait chaque gamelle de soumis avant de leur servir généreusement des louchées prises dans la grandes cocottes où il avait mélangé tous les restes du diner.

Pierre s’aperçu qu’il avait faim, et le fumet qui se dégageait de sa gamelle lui aiguisait l’appétit. Il ne se fit pas prier pour manger sa gamelle à 4 pattes. Au moins c’était chaud et, nonobstant les mélange de l’entrée, du plat et du dessert, ce n’était après tout pas si mauvais.  

Dans la bibliothèque, les femmes étaient assises chacune dans un fauteuil confortable autour d’une table ronde. Derrière un feu avait été fait dans la cheminée.  Elke servit le thé avant de lancer la conversation.

- Bon Mesdames, le thème de ce soir est Cuisine. Je vous fais passer le programme des réjouissances de cette nuit. Choisissez avec inspiration !

Elle fit passer  un dossier en cuir à la femme à droite. Cela ressemblait aux cartes de menu dans les restaurants.  Sophie l’avait ouverte devant elle et étudiait attentivement son contenu, puis se décida et retira un petit papier qu’elle plia soigneusement avant de transmettre le dossier à la suivante. Et le même manège recommençait. Le portfolio finit par arriver dans les mains de Claire. A l‘intérieur, il y ne restait plus que deux feuilles d’une écriture finement manuscrite avec des noms intrigants.

Chaud-froid.

Cuisine asiatique.

Claire ne savait pas que faire. Noémie lui expliqua les règles du jeu. Elle devait d’abord choisir une des propositions, celle que l’inspirait le plus. La deuxième étape était la désignation du soumis ou de la soumise qui lui serait confié pour la soirée. Cela se faisait au hasard en tirant dans une coupe un nom que chacune gardait secret avant la séance. Cela pouvait donc être celui de son propre soumis ou plus probablement celui d’une autre Maîtresse. Elke avait imaginé ce rituel pour permettre un partage  entre ses hôtes et chaque après-midi, elle prenait plaisir à écrire le menu du soir.  Elle ne participait pas à ce tirage mais avait le droit, en tant que Hôtesse, de choisir à la fin de la soirée le soumis qu’elle voulait pour s’amuser avec lui avec le thème de la dernière feuille qui n’avait pas été retenue. Voici comment s’organisaient les soirées au Domaine et qui valaient à Elke une belle réputation dans le milieu D/S.

Claire qui avait maintenant compris le mécanisme, ne savait pas trop quoi penser des deux propositions. Elle choisit finalement la cuisine asiatique plus parce qu’elle l’appréciait particulièrement que pour l’inspiration que cela provoquait en elle. Elle plia à son tour le papier.

Elke avait attendu qu’elle ait fini de décider avant d’aller chercher la coupe sur le buffet. Elle ne garda que trois boules et mis de côté les autres. Chaque boule s’ouvrait en deux pour pouvoir y glisser un petit bout de papier. Elle prépara les trois boules avant de les mélanger dans la coupe et tendit le tout à Claire.

Claire regarda l’intérieur, les sphères étaient parfaitement identiques. Elle en prit une et fit passer la coupe à sa voisine.  Le papier qu’elle récupéra portait le nom de Nikka, la petgirl. Elle en fut très surprise car elle n’avait jamais imaginé pratiquer avec une femme soumise mais la perspective l’excitait déjà beaucoup, elle devait le reconnaitre. Comment dressait-on une soumise ?  Elle réfléchit un moment sur le cas de la toute jeune lesbienne, et se convainquit  que l’on devait pouvoir tenir ce type de fille par la chatouille et le bouton. Restait plus qu’à trouver comment. Et une idée lui vint.

Elle eut un peu honte d’avoir oublié son propre soumis toute à l’excitation de la perspective de s’amuser avec un ravissant nouveau jouet tout mignon de 20 ans. Elle regarda les 2 autres femmes et se demanda à laquelle son chihuahua serait offert pour la soirée. Elles ne donnaient aucun indice et en plus Claire n’avait aucune idée des instructions qu’elles avaient reçues. C’était frustrant et tellement excitant. Elle avait hâte de voir la réaction de Pierre. Ce domaine était vraiment parfait.

Elke s’était renfoncée dans son fauteuil tout en humant sa tasse de thé.

- bon alors Claire raconte-nous votre histoire avec ton chihuahua, je suis sûre que nos amis meurent de curiosité de la connaître….

Pendant ce temps, Joseph avait fini de desservir la table. Ses fréquentes allées et venues ne laissaient pas la possibilité à Pierre de discuter avec les deux autres soumis, Il avait une autre tentative vite suspendue avec le retour de Joseph. Les deux autres semblaient particulièrement craindre de se faire surprendre par le majordome.

Et un étrange manège commença. Joseph avait passé une élégante veste en laine crue au-dessus de sa tenue. Il avait détaché Nikka  avant de l’emmener dehors la tenant par sa laisse. Quelques minutes plus tard, il revint et la rattacha à sa place. Le même manège recommença avec Thomas qui suivit servilement le majordome. Pierre était maintenant curieux de comprendre à quoi rimaient ces manœuvres. Son tour arriva vit. Il fut de même détaché et Joseph prit sa laisse en main. A son invitation (« Suis-moi chihuahua ! »), il se laissa entrainer dehors n’osant toutefois pas se relever. 

A l’extérieur, la fraicheur de la nuit lui fit frissonner l’épiderme. Joseph leur faisait suivre un chemin qui s’enfonçait sous les arbres. Le gravier faisait mal aux mains et aux genoux, et ils n’avançaient pas de fait très vite. Ils arrivèrent dans une sorte d’enclos de pierres sèches avec du sable sur le sol et un poteau de bois planté en son milieu. L’odeur d’urine était forte dans l’endroit et Pierre vit même (avec effroi !) une petite crotte qui ne devait pas avoir plus de quelques minutes. Non tout, mais pas ça !  Joseph le regardait bizarrement avec un sourire aux lèvres.

- Et oui quand on est le soumis de ces Dames, on doit faire des choses que l’on ne ferait normalement pas. Alors je conseille au toutou de se dépêcher de faire ses besoins, d’abord par que Maîtresse Elke déteste commencer la soirée en retard, ensuite parce qu’elle n‘aime pas les soumis qui ont la vessie pleine quand elle joue avec eux. Je me souviens d’une fois d’un qui avait mouillé sa robe sous l’action d’un plug électrique, et il avait passé toute la journée du lendemain attaché dans un pilori au milieu du jardin. 

Ces propos glacèrent Pierre qui découvrait que le majordome n’était pas aussi inoffensif que cela. Il lui faisait l’effet d’un chef de meute qui apprenait au jeune chiot comment se comporter. Il était maintenant tenu serré avec la laisse et des petites tractions sur son collier l’incitaient à obéir. Joseph le fixait avec dureté au point que Pierre, vaincu, finit par baisser les yeux et toute honte bue par uriner sous lui.

Bien sûr le problème avec les jeunes chiots, c’est toujours qu’ils ne sont pas propres au début. Tout à son dépourvu, il avait pris pour uriner une position sous lui plus proche de la jeune  femelle que du jeune mâle. Et avec la cage arrimée à son pénis, il s’en était mis partout, ce qui lui valut une moue de désapprobation de la part du majordome.

Sur le chemin de retour, ils firent donc une halte au tuyau d’arrosage pour nettoyer les dégâts et le chihuahua rentra encore dégoulinant d’eau, au moment où les Maîtresses sortaient de la bibliothèque.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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