Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 08:09

CHAPITRE 5 - Udstoppet kalkun

Elke ne rata pas Pierre :

- Et bien je vois que ce jeune chiot a encore besoin d’un peu de dressage pour apprendre la propreté !

Ce qui fit s’esclaffer toutes les Maîtresses présentes y comprit Claire qui venait de comprendre comment son soumis avait finit tout mouillé. Mais Maîtresse Elke ne l’entendait pas de cette oreille et  envoya Joseph quérir le martinet en plastique, après avoir obtenu l’autorisation de Maîtresse Claire pour le punir.

- allez chihuahua, en position mon petit !

Elle prit le soumis par le collier pour mettre d’autorité sa tête entre ses jambes avant de refermer ses cuisses autour du cou de la pauvre bête déboussolée.  Et elle commença à lui chauffer le dos à un bon rythme. La réplique avait été brutale et Pierre ne l’avait pas vu arriver. Maintenant il couinait sous les coups perdant sa dignité. Maîtresse Elke mettait de l’ardeur à lui faire comprendre quel devrait être le bon comportement à l’avenir.

Puis tout cela prit fin aussi soudainement que cela avait commencé. Pierre était effondré sur le carrelage le dos rougi et avait du mal à se calmer. Claire avait donné depuis le début blanc seing à Elke mais elle lui était reconnaissante néanmoins de ne l’avoir frappé sur ses fesses déjà bien abimées.

Comme s’il ne s’était rien passé, Elke était redevenue très enjouée.

- Bon Mesdames, et si nous commencions notre soirée ?

Entremetteuse, elle organisait les échanges de soumis :

- Bon alors nous avons ici un mâle de 40 ans bien dressé. A qui je confie sa laisse ?

Noémie la prit avec Thomas à son extrémité. Puis Claire récupéra Nikka. Il ne restait donc que Sophie qui prit en main un Pierre tout penaud et se remettant difficilement de la dernière séquence.

La petite troupe traversa la cour précédée du majordome qui leur éclairait la voie avec le feu ondulant d’une torche. En procession, ils se dirigeaient vers l’aile opposée de la cour, un bâtiment presque sans ouverture. Joseph les attendait devant l’entrée : une petite porte  en pierre taillée surmontée d’une inscription énigmatique (« hus elskerinder »). Dans le chambranle, un battant en bois ancien complétait la majesté de l’accès. Claire fixait l’énigmatique inscription au-dessus de la porte, ce que ne manqua pas de remarquer Elke.

- Cela veut tout simplement dire que derrière c’est pour nous les Maîtresses !

Et sur ce, ils rentrèrent tous à l’exception de Sophie qui glissa un dernier mot à Joseph, avant de les suivre.

L’intérieur était étonnant : une pièce aérée très différente des « donjons » que l’on rencontre dans l’imagerie BDSM. Des meubles de bois clair et de grands aplats de couleurs gaies sur les murs. Des lampes épurées fournissaient une lumière très chaleureuse. Dans l’ensemble on aurait dit une pièce de vie très féminine avec banquettes, table de chêne blanchie et même un coin cuisine. Tout juste pouvait-on reconnaitre de ci de là des meubles à utilisation nettement plus marquée pour les jeux entre une Maîtresse et son soumis : une banquette en cuir blanc qui semblait l’endroit idéal pour le fustiger, des anneaux de fer fixés sur la tranche de la table pour l’attacher, une cage aux montants en acier brossé pour l’enfermer.

Les Maîtresses remisèrent leurs soumis d’un soir, côte à côte avec leurs colliers sagement attachés à la table. Pendant ce temps, Elke avait ouvert une bouteille de St Joseph blanc et servi les verres.

- à la vôtre Mesdames.

Elles trinquèrent avec plaisir. Le vin était délicieux et parfait pour finir la journée.

- Alors Claire comment trouves-tu ma hus elskerinder ? Ma maison des femmes à moi ?

- Elle est très étonnante et j’avoue être séduite. Je trouve que les donjons ne font souvent que refléter l’imagerie des mâles – Maître ou soumis - avec tout ce noir.

 - Oui et c’est pour cela que je le voulais différent. Juste un endroit où je me sente à l’aise pour m’occuper de bjørneunge. Quand nous avons transformé la propriété en maison à hôte, la pièce est devenue tout naturelle la maison des femmes. Enfin plus précisément des femmes Maîtresses avec soumis.

- Tu l’utilises souvent avec  bjor… enfin Joseph, demanda Noémie.

- bjør-neun-ge !  En fait plus très souvent. Plutôt quand nous n’avons pas d’invités. Joseph obéit beaucoup mieux depuis quelques années et il est moins puni. Quand je ne suis pas contente, je l’emmène plutôt dans une autre pièce plus petite située sous la maison pour le punir. Il déteste y aller et fait tout pour l’éviter. Bon un autre verre les filles ? 

L’ambiance entre elle commençait à être bien détendue. Sophie avait enlevé ses chaussures et Claire sentait les premières bulles d’alcool arriver au cerveau. Elke reprit :

- Bon c’est cuisine ce soir. Qui commence ?

- Moi, répondit Noémie, car j’ai besoin de temps pour laisser mariner.

- Que vas-tu nous faire ? demanda Sophie.

- Une recette que je sers de temps à temps à Nikka quand elle n’a pas été sage.

- Tu éveilles notre curiosité… Qu’est-ce que c’est ?

- Vous aller le voir les filles. Il me faut du lait, une racine de gingembre et du poivre.

Les trois soumis au pied de la table ne perdaient une miette de la conversation. Pierre aurait bien essayé de discuter avec les deux autres, mais Nikka avait deviné son intention et de regard insistant lui avait enlevé l’envie de parler. Bien lui a pris, car au même moment, Pierre en changeant de position toucha de son pied une console derrière lui, sans conséquence mais le bruit que cela fit, leur valut à tous les trois un rappel à l’ordre d’Elke : Silence les toutous !

Noémie avait disposé les ingrédients sur la grande table. Le gingembre fut d'abord taillé en forme de plug grossier. Puis dans un grand bol en inox, elle mélangea le lait avec une quantité indigeste de poivre moulu. Elle commentait pour ses spectatrices :

- Dans la campagne où j’allais passer mes vacances enfant, ma grand-mère racontait souvent que les anciens utilisaient le poivre pour calmer les ardeurs des jeunes adolescents. J’ai  découvert les vertus du gingembre avec un Maître qui l’utilisait sur sa soumise. Je trouve que les deux avec la douceur du lait donne un mélange étonnant sur les soumises pas assez obéissantes.

Elle s’interrompit pour fouiller dans les placards avant d'en extirper une seringue de cuisine. Il lui manquait qu'une chose : un batteur de cuisine qu’elle n’avait pas trouvé. Elle demanda à Elke, qui transmit la demande à Joseph par interphone.

- En attendant, allons chercher l’invité principal !

Elle se saisit de la laisse de Thomas qu’elle installa cul en l’air la joue collée sur la table. Elle lui rattacha le collier étroitement à un anneau, prête à procéder. On frappa à la porte.

- Autorisation d’entrer, dit Elke

Joseph apparut avec la boite d’un batteur électrique sans doute prélevé dans les stocks de la cuisine. Il le confia aux bons soins de Noémie avant de s’arrêter pour glisser quelques mots à l’oreille de Sophie. Il disparut aussitôt.

Thomas s’était un peu effondré pendant l’interruption, ce qui lui valut une tape sur les fesses.

- Toi, tu gardes la position !

Noémie avait pris la seringue et aspiré une partie du bol. Elle ajusta l’embout au centre de l’anus de Thomas et lui injecta sans se presser le contenu. Puis elle remplit à nouveau la seringue pour continuer à farcir le soumis avec la mixture. Elle recommença une dernière fois en pressant fortement le bout de la seringue contre l’anneau pour améliorer l’étanchéité. Le lait avait du mal à rentrer. La face de Thomas faisait maintenant la grimace alors que le liquide progressait dans ses entrailles et que le poivre commençait son action d’irritation sur les muqueuses.  Noémie continua de presser le liquide jusqu’à vider la seringue.

- La deuxième étape, Mesdames, est de bien mélanger le tout.

Elle ouvrit la boite du batteur et prit son temps pour choisir l’accessoire qu’elle utiliserait. Elle renonça à contrecœur à prendre les fouets pour monter les blancs en neige, donc la largeur aurait empêché l’intromission, et se rabattit sur un malaxeur à pâte en forme de tire-bouchons d’une taille beaucoup plus acceptable (la largeur de 2/3 doigts). Elle enduit d’huile un seul accessoire, laissant son frère jumeau dans la boîte, puis elle le monta sur la tête de l’appareil. Elle présenta le tout à l’entrée de l’anus du soumis, sans lui avoir jeté auparavant un regard pour se repaître de sa visible appréhension. Noémie commença  à pousser pour forcer l’entrée. Charitable, venait de passer devant Thomas pour l’immobiliser d’une main ferme par le collier. A voir la figure du supplicié, l’objet avait du mal à pénétrer. Mais ce que Maîtresse veut…  Il finit donc par l’avaler dans un long cri ce qui lui valut une claque de rappel à l’ordre de sa propre Maîtresse. Mais ce fut rien par rapport au moment où sa tourmentrice mit l’appareil en marche. C’était horrible ! Thomas avait l’impression qu’un régiment de Sénégalais lui ravageait le derrière. Son arrière train partait en tout sens cherchant à échapper à l’infernale machine, mais Noémie suivait le mouvement pour le maintenir bien profond. Quelques coulées de liquide marronnatres arrivaient cependant à s’échapper. Thomas dans ses vains mouvements n’arrivait qu’à faire battre la machine en contact avec les parois et à avoir encore plus mal. En plus le mélange lui irritait complétement les muqueuses maintenant. Il ne cessait de crier surtout quand Noémie augmenta la vitesse.

Cela avait duré tout au plus qu’une ou deux minutes, mais cela avait été une éternité pour Thomas. Pierre avait entendu et surtout perçu les chocs dans la table alors que le soumis cherchait à échapper à son sort. L’état de rêverie érotique était fini et la peur prenait le dessus sur lui.

Pour terminer, Noémie avait retiré avec précaution  le batteur, non pour ménager la chose mais pour éviter de trop perdre de liquide dans l’opération. Le trou béant avait été immédiatement bouché par le bouchon de gingembre. Elle l’avait libéré et fait redescendre de la table. Lorsque les lois de la gravité agirent sur le déplacement du liquide à l’intérieur et que la chaleur du gingembre se diffusa, il devint tout pâle avec des larmes au bord des yeux. Il n’arrivait pas à rester immobile tortillant le derrière d’une façon qui amusait beaucoup les Maîtresses. Impitoyable, Noémie lui fit lécher une à une les taches de lait salies sur la table. Puis le chihuahua fut emmener se faire reposer dans la cage du coin. Les Maîtresses le regardèrent un moment se tordre de douleur sous l’action du liquide et l’irritation des composants.

- Je vous avais dit, triompha Noémie, que le mélange avait quelque chose de détonant ! Nikka n’aime pas du tout cela ! Ce qui la motive habituellement à éviter de s’y retrouver soumise.

- Je vois l’effet et j’aime beaucoup, répondit Claire. Je vais la mettre dans mes recettes favorites !

Ce qui fit éclater de rire toutes les Maîtresses présentes. Comme Thomas faisait manifestement trop de bruit avec ses plaintes, Noémie décida au dernier moment de la bâillonner. Puis elles le laissèrent à son tourment sans que Noémie l’ait mis formellement en garde contre toute « cochonnerie » dans la cage.

- Comme tu sais pour moi un pénis cela n’a aucune utilité et je n’hésiterais pas à te le fouetter à vif !

Elke servit de nouveau un verre de vin blanc aux filles. Et leur conversation reprit autour de la rencontre de Noémie avec Nikka.

- La première fois que je l’ai vu, elle venait de me rayer la portière de mon coupé Audi avec son scooter. J’étais furax. Nikka de son côté était paniquée et craignait plus que tout de le dire à ses parents, surtout son père, malgré ses tout nouveaux 18 ans. En larmes, elle m’a supplié de trouver un arrangement. Elle était apprentie vendeuse dans un magasin et elle économiserait pour me rembourser intégralement. J’étais pressée alors j’ai pris son numéro de téléphone et l’adresse de ses parents en lui disant que je la rappellerais pour régler cette affaire.

- Tu savais ce qu’il arriverait ?

- Non pas à ce moment, même si à bien y réfléchir son côté de petite fille apeurée avait attisé mon intérêt.

- Alors qu’est-ce qu’il s’est passé ?

- Trois jours plus tard, je suis rentré d’un déplacement  et j’ai vu le papier avec son numéro. Je l’ai appelé pour la convoquer une heure plus tard à mon appartement. Elle était avec ses amis au Mac-Do et ne pouvait pas – soit disant – venir tout de suite. Je n’accepte jamais comme me dise non, alors j’ai haussé le ton en lui disant que si elle n’était pas d’ici une heure à l’adresse que je lui donnais alors je m'adresserai à ses parents. Et sur ce, je lui ai raccroché au nez !

- Elle est venue ?

- Bien sûr mais moins vite que j’aurais cru. Mais le principal était qu’elle soit là. Elle a sonné et je l’ai fait entrer dans mon appartement. Cette fois, j’ai pris mon temps pour la regarder de haut en bas, sans rien dire, la mettant mal à l’aise. Elle était vraiment mignonne à croquer.

- Elle ne savait pas que tu aimais les femmes ?

- Non à ce moment-là, elle était loin de s’en douter ! Une vraie agnelle qui avait été gardée éloignée de la vraie vie par des parents beaucoup trop maternants. Elle avait préparé un papier où elle avait calculé combien elle pourrait me rembourser par mois. Une vraie misère car à ce rythme, elle aurait fini de rembourser les réparations dans plusieurs années. Elle m’a juré qu’elle ne pouvait pas faire plus pour l’instant mais à la fin de l’année scolaire, elle espérait être embauchée dans le magasin et donc augmenter son remboursement. Je pense qu’elle n’avait aucune idée du coût des réparations chez Audi. Elle attendait manifestement que je lui donne mon accord.

- Tu as fini par lui donner ?

- Non pas tout de suite. Je trouvais qu’elle s’en sortait à trop bon compte. Et puis je dois avouer que j’avais la culotte complétement mouillée depuis son arrivée. Alors j’ai décidé de pousser l’avantage et j’ai feint de me mettre en colère. Je lui ai dit que non ça n’allait pas du tout, et que c’était beaucoup trop long. Je lui ai annoncé un devis farfelu de 4290€ que je venais d’inventer et je lui ai  demandé de me rembourser au plus vite. Elle m’a répondu que c’était impossible pour elle. Je lui ai rétorqué que c’était elle qui a voulu procéder ainsi et si ce n’était pas réalisable, j’allais régler cela directement avec ses parents. Elle m’a suppliée de ne pas le faire en fondant en larme. Qu’elle serait punie si son père l’apprenait. Elle s’était mise à genoux pour me supplier sans se rendre compte que plus elle s’enfonçait, plus cela m’excitait. Je l’ai laissé pour aller ostensiblement chercher le téléphone. Elle pleurait de plus belle et c’est là que je lui ai tendu un piège fatal.

- De quel type ? demanda Claire.

- Je lui ai dit d’une voix soudain aussi faussement adoucie que l’avait été ma colère : Mademoiselle, ne vous mettez pas dans tous ces états. Je comprends que vous craignez la réaction de vos parents, mais je suis une femme intègre. Qu’importe le temps du remboursement, cela m’embête que vous échappiez à la punition que vous avez méritée compte tenu de votre sotte conduite. Elle me regardait avec le fol espoir du condamné croyant échapper à la potence. Je repris : vous admettez Mademoiselle que cela mérite une punition ? Elle a laissé échapper un petit oui ne sachant pas où je voulais en venir. Alors j’ai prononcé la sentence : cette punition vous sera donnée par vos parents ou… par moi maintenant et ici même. Et moi les petites filles qui ont fait une bêtise, je leur donne la fessée cul nu. Je vous laisse le choix. J’ai observé ses yeux s’affoler alors qu’elle comprenait qu’elle était coincée. Son visage était tout rouge de honte et de pudeur renversée. J’ai remis la pression : Alors Mademoiselle, dois-je appeler vos parents ? Elle se dépêcha de répondre non. J’avais décidé de l’achever : que voulez-vous donc ? J’aimerais pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté que vous le disiez à haute voix ! Elle s’est forcée à dire : je veux… Madame… que vous me donniez la … fes…sée … cul… nu… pour ma bêtise… Je jubilais : à la bonne heure une bonne fessée pour une petite fille ! Maintenant dépêche-toi de baisser ton pantalon et ta culotte avant que je change d’avis !

Pierre écoutait aussi l’histoire tout en regardant Nikka qui avait pris une bonne couleur et fuyait son regard. Oublié un moment la peur, il bandait dans sa cage étroite en imaginant la scène relatée.

Au-dessus, Noémie continuait de parler :

- Son derrière laiteux était merveilleux et cela a été un plaisir de le faire rosir, de voir les effets des claques se propager sur la peau des fesses. Elle poussait des cris de petite fille effarouchée mais c’était une vraie soumise qui s’ignorait. La petite mouillait abondamment sur ma jupe et ne pouvait pas le cacher : je sentais l’humidité au bout de mes doigts à chaque aller-retour. Le plaisir montait visiblement en elle sous mes tapes. J’ai arrêté au bout d’une longue séquence, je n’en pouvais plus et mes mains me faisaient mal. Je l’ai prise sur mes genoux pour jouer de mes doigts une symphonie avec son abricot et la petite a été d’orgasme en orgasme.

- Nikka venait de trouver sa vraie nature ! déclara Elke.

- Plus que cela et mon nouveau jouet m’excitait au plus haut point. Mais je voulais m’en délecter avant de consommer. Alors je l’ai fait mettre complètement nue pour l’attacher aux quatre coins du lit, laissant sa foufoune sans défense face au travail du martinet. Et là ce fut pour Nikka une toute autre histoire !

- Nikka venait de passer sous la dure coupe de sa nouvelle Maîtresse, plaisanta Sophie.

- Oui et le même soir, complétement matée, j’ai commencé à lui enseigner comment donner du plaisir à une femme… avant de lui pendre sa virginité au gode ceinture au petit matin. Depuis, elle a quittée ses parents - à leurs grands regrets - pour moi. Nikka a été finalement embauchée dans la boutique et elle me loue officiellement une chambre de bonne que je possède dans mon immeuble. En fait, elle n’y est pas très souvent, sauf quand je l’y enferme pour passer une nuit tranquille avec une amante. Et l’argent du loyer qui est versé sur un compte d’épargne auquel elle a accès, lui sert à acheter de quoi la dresser selon mes demandes. En ce moment, elle «économise » depuis 1 an pour acheter une ceinture de chasteté.

Elke interrompit la conversation.

- Bon c’est pas tout les filles, mais il y a encore deux soumis qui nous attendent. Qui prend la suite ?

Sophie s’avança.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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